Les 5 sagesses

Croyances issu des enseignements de Siddhartha Gautama, considéré comme le Bouddha historique.
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Le bouddhisme est une pratique, une philosophie de vie fondée par un sage de l'inde antique vers -600 avant JC, ce sage appelé "Bouddha" ce qui veut dire Éveillé, atteint l'Éveil vers 40 ans puis il enseigna durant toute sa vie, il mourut vers 80 ans en ayant établi une communauté de sa doctrine.
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komyo

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Les 5 sagesses

Ecrit le 13 janv.16, 19:50

Message par komyo »

Souvent les mandalas tibétains ou shingon représentent un bouddha central entouré de 4 autres bouddhas. Ces 5 bouddhas correspondent a 5 sagesses spécifiques au vajrayana ou véhicule de diamant. En voici une description tiré d'un site triratna. Il y en a d'autres sur la toile que je mettrais en fin de texte !


Les cinq sagesses et les cinq bouddhas.

Chacun des cinq bouddhas symbolise un aspect différent de la sagesse. Ces aspects de la sagesse sont collectivement appelés les « cinq jñanas », les « cinq sagesses » ou les « cinq connaissances ».

La première des cinq sagesses est la sagesse du dharmadhatu, et est symbolisée par Vairocana. C'est la sagesse de base, les quatre autres en étant des aspects particuliers. Le terme dharmadhatu est un terme difficile. Dhatu signifie « domaine », ou « royaume », ou « champ », et représente ici l'ensemble du cosmos. Dharma signifie ici « réalité », « vérité », l'« ultime ». Le dharmadhatu est donc l'univers considéré comme le domaine de manifestation de la réalité, ou l'univers conçu comme étant entièrement pénétré par la réalité. Tout comme la totalité de l'espace est remplie par les rayons du soleil, la totalité de l'existence, avec ses systèmes galactiques, ses soleils, ses dieux et ses hommes, est remplie par la réalité elle-même. C'est un champ pour la manifestation, le jeu, l'expression et l'exubérance de la réalité.

La sagesse du dharmadhatu est donc la connaissance directe de l'ensemble du cosmos comme n'étant pas différent de la réalité. Non pas que le cosmos soit effacé ou oblitéré. Le cosmos est toujours là et vous le voyez toujours. Les maisons, les arbres, les champs, les hommes et les femmes, le soleil, la lune et les étoiles sont tous là, tout comme avant, mais ils sont maintenant remplis par la réalité. Vous voyez en même temps le cosmos et la réalité, l'un ne fait pas obstruction à l'autre. Vous voyez le cosmos, vous voyez la réalité. Vous voyez la Réalité, vous voyez le cosmos. Le cosmos est la réalité, la réalité est le cosmos. Le rupa est la shunyata, la shunyata est le rupa.

Puis, en second, vient la sagesse-semblable-au-miroir, symbolisée par Akshobhya. Cette sagesse est comme un miroir car, tout comme un miroir reflète tous les objets, l'esprit Éveillé reflète tout : il voit tout, de tout il comprend la vraie nature. Si vous regardez dans les profondeurs de l'esprit Éveillé, vous voyez tout.

Tous les objets du monde se reflètent dans les profondeurs de l'esprit Éveillé, mais l'esprit Éveillé n'est pas affecté par eux, ils ne s'y attachent pas. Si vous prenez un miroir et placez un objet en face de lui, l'objet est réfléchi. Si vous enlevez cet objet et mettez un autre objet en face du miroir, le miroir reflète ce dernier. Quand vous déplacez l'objet, ou quand vous déplacez le miroir, vous voyez que le reflet n'est pas attaché. L'esprit Éveillé est juste comme cela : il reflète mais rien ne s'y attache. Notre esprit, cependant, est très différent. Si vous poursuivez l'illustration, vous pouvez dire que notre esprit est une sorte de miroir, mais que tous les reflets s'y attachent. En fait non seulement ils s'attachent, mais ils se solidifient, ils s'empêtrent tous. Parfois, même, le miroir s'attache à l'objet de telle sorte que vous ne pouvez plus les séparer. En d'autres termes, dans l'esprit Éveillé il n'y a pas de réaction subjective, pas d'attachement subjectif ; il y a une objectivité pure et parfaite - tout comme un miroir réfléchissant tout ce qui existe.

La troisième des cinq sagesses est la sagesse de l'égalité ou de l'identité. Elle est symbolisée par Ratnasambhava. L'esprit Éveillé voit tout avec une objectivité complète. L'esprit Éveillé voit la même réalité dans tout, la même sunyata dans tout, et a donc la même attitude envers tout. Il voit qu'un homme est un homme, qu'une femme est une femme, qu'une fleur est une fleur, qu'un arbre est un arbre, qu'une maison est une maison, que le soleil est le soleil, et que la lune est la lune. Il voit tout cela, mais en même temps il en voit la Réalité commune, et a donc une attitude identique envers tout. L'esprit Éveillé a un esprit égal envers tout. Il y a le même Amour, la même Compassion pour tout, sans aucune distinction ni discrimination. On dit parfois que l'Amour et la Compassion de l'esprit Éveillé tombent sans discrimination sur tous les êtres, sur tous les objets, sur toutes les choses, tout comme les rayons du soleil tombent ici sur les toits d'or d'un palais et là sur une bouse de vache : c'est le même soleil. L'esprit Éveillé brille avec son Amour et sa Compassion sur le grand et sur le petit, sur le « bon » et sur le « mauvais ».

La quatrième des cinq sagesses est la sagesse toute-discriminante. Cette sagesse est symbolisée par Amitabha. Le miroir, nous l'avons vu, reflète également toutes les choses, mais en même temps ne confond ni ne rend flous leurs traits distinctifs : le miroir reflète les moindres détails. Ceci est très important. Ceci signifie que l'esprit Éveillé ne voit pas seulement l'unité des choses, ou seulement leur diversité, mais qu'il voit les deux à la fois.

L'esprit Éveillé, en particulier sous cet aspect de la sagesse toute-discriminante, ne voit pas que l'unité des choses ; il voit aussi la différence entre les choses, leur caractère unique, et il les voit simultanément. Il ne réduit pas la pluralité à une unité, il ne réduit pas l'unité à une pluralité : il voit l'unité et la pluralité.

Le bouddhisme, à un niveau philosophique, n'est ni un monisme, dans lequel toutes les différences sont éliminées, ni un pluralisme, dans lequel toute unité disparaît. Il n'est ni moniste ni pluraliste. Dans la vision bouddhique de l'existence, l'unité n'oblitère pas la différence, la différence n'oblitère pas l'unité. Nous ne pouvons nous empêcher de voir tantôt l'une, tantôt l'autre, mais l'esprit Éveillé voit en même temps l'unité et la différence. Il voit que vous êtes uniquement vous-même, et en même temps il voit que vous tous êtes un. Et vous êtes un en même temps que vous êtes individuellement vous-même. Et en même temps que vous êtes individuellement vous-même, vous épanouissant avec toutes vos particularités, vous êtes tous un. Ces deux choses, l'unité et la différence, le monisme et le pluralisme, ne sont pas des choses différentes ; nous ne disons pas qu'elles ne font qu'un, mais elles ne font pas deux.

Cinquièmement et dernièrement, il y a la sagesse toute-accomplissante, symbolisée par Amoghasiddhi. L'esprit Éveillé se voue au bien-être de tous les êtres vivants. En faisant cela, il conçoit de nombreux « moyens habiles » pour aider les gens. L'esprit Éveillé aide naturellement et spontanément les êtres vivants. Nous ne devons pas imaginer le bodhisattva, ou l'esprit Éveillé, s'asseyant un matin et pensant : « Comment puis-je aller aider quelqu'un aujourd'hui ? Cette personne-là a-t-elle plus besoin d'aide que celle-ci ? Peut-être vais-je aller aider celle-ci aujourd'hui. » L'esprit Éveillé ne fonctionne pas comme cela : il fonctionne librement, spontanément, naturellement.

‘A Guide to the Buddhist path’ © Sangharakshita, Windhorse Publications 1990,
traduction © Ujumani 2003.
http://www.centrebouddhisteparis.org/Bo ... esses.html


http://www.buddhaline.net/Les-cinq-poisons-et-les-cinq
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cinq_dhyani_bouddhas
http://www.buddhawiki.net/bwiki/bin/vie ... rma/D45A12
Ne pas railler, ne pas déplorer ni maudire, mais comprendre. Baruch Spinoza

Yvon

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Re: Les 5 sagesses

Ecrit le 13 janv.16, 22:29

Message par Yvon »

Il vaudrait mieux intitulé le post , les cinq bouddha de la sagesse et non les 5 sagesses qui porte à confusion .

Dans le Mahayana les cinq sagesses se raporte à la transformation de la huitième conscience en la sagesse de la neuvième conscience. Ce qui n'a rien à voir .

Sinon il existe aussi cette définition :

cinq bouddhas (go-butsu, 五仏 ou gochi nyorai,  五智如来). 1. Cinq bouddhas de la sagesse. Bouddhas décrits dans les mandalas du Monde du Diamant et du Monde de la Matrice, les deux objets de culte du Shingon. Les cinq bouddhas du premier mandala sont :
1) au centre, Dainichi-Vairochana qui représente la sagesse de l'essence du Dharma, celle qui penètre la nature du monde phénoménal ;
2) à l'est, Ashuku qui symbolise la sagesse du grand miroir rond, percevant le monde tel qu'il est ;
3) au sud, Hosho qui représente la sagesse impartiale, celle qui reconnaît l'égalité fondamentale entre toutes les choses ;
4) à l'ouest, Amida qui personnifie la sagesse de l'intuition du particulier discernant les capacités de tous les êtres ;
5) au nord, Fujoku qui symbolise "la sagesse de la pratique parfaite", bénéfique pour soi et pour les autres..

Les cinq bouddhas du second mandala sont : Dainichi-Vairocanai au centre, Hodo à l'Est, Kaifukeo au Sud, Muryoju (ou Fukujoju, autre nom d'Amida) à l'Ouest et Tenkuraion au Nord. Dans chaque cas, les quatre bouddhas des quatre directions représentent des attributs de Dainichi-Vairocana, bouddha dont le Shingon ésotérique pense qu'il inclut tout.

http://www.nichiren-etudes.net/dico/c.htm
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Les 5 sagesses

Ecrit le 13 janv.16, 23:45

Message par vic »

komyo a cité :L'esprit Éveillé aide naturellement et spontanément les êtres vivants. Nous ne devons pas imaginer le bodhisattva, ou l'esprit Éveillé, s'asseyant un matin et pensant : « Comment puis-je aller aider quelqu'un aujourd'hui ? Cette personne-là a-t-elle plus besoin d'aide que celle-ci ? Peut-être vais-je aller aider celle-ci aujourd'hui. » L'esprit Éveillé ne fonctionne pas comme cela : il fonctionne librement, spontanément, naturellement.
Bonjour Komyo,

Si le Théravada ne fait pas tout un plat de cette compassion , c'est que la compassion n'a pas besoin de faire objet d'un entrainement spécial , ce qui la rangerait dans un acte non naturel , non spontané mais cultivé . Hors pour moi la compassion est une sorte d'ouverture spontanée et naturelle , qui n'a pas grand chose avec une sorte de devoir moral qu'on cultive .
Notes komyo qu'il y a plein de gens qui cherchent à devenir compatissants artificiellement pour gagner leur ticket pour un paradis ou un éveil , c'est pas très désintéressé tout ça . :wink:
komyo a cité :"L'esprit Éveillé, en particulier sous cet aspect de la sagesse toute-discriminante, ne voit pas que l'unité des choses ; il voit aussi la différence entre les choses, leur caractère unique, et il les voit simultanément. Il ne réduit pas la pluralité à une unité, il ne réduit pas l'unité à une pluralité : il voit l'unité et la pluralité.

Le bouddhisme, à un niveau philosophique, n'est ni un monisme, dans lequel toutes les différences sont éliminées, ni un pluralisme, dans lequel toute unité disparaît. Il n'est ni moniste ni pluraliste. Dans la vision bouddhique de l'existence, l'unité n'oblitère pas la différence, la différence n'oblitère pas l'unité. Nous ne pouvons nous empêcher de voir tantôt l'une, tantôt l'autre, mais l'esprit Éveillé voit en même temps l'unité et la différence. Il voit que vous êtes uniquement vous-même, et en même temps il voit que vous tous êtes un. Et vous êtes un en même temps que vous êtes individuellement vous-même. Et en même temps que vous êtes individuellement vous-même, vous épanouissant avec toutes vos particularités, vous êtes tous un. Ces deux choses, l'unité et la différence, le monisme et le pluralisme, ne sont pas des choses différentes ; nous ne disons pas qu'elles ne font qu'un, mais elles ne font pas deux"
.
On voit souvent sur les forums bouddhistes des pratiquants bouddhistes qui prônent l'éveil comme étant l'unité en toute chose, je me suis fait virer d'un forum sur le zen que je ne citerais pas parce que je contredisais l'administrateur qui se disait pratiquant du zen de longue date et qui était à fond dans cette idée que le bouddhisme était l'unité dans un sens absolu .
J'avais du reste argumenté avec une citation de lama chogyam Trungpa qui disait tout à fait dans le fond la même chose que cette citation que tu as mise .
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

komyo

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Re: Les 5 sagesses

Ecrit le 14 janv.16, 07:22

Message par komyo »

je me retrouve plutot dans la formule : le bouddhisme "c'est de ne pas avoir d'opinions". Ou de ne pas y etre exagérement attaché si l'on préfère. Le bouddhisme, du moins il me semble, ne devrait pas etre une drogue idéologique. Il y a tant de façon de voir les choses !
quelque part, concernant ce que tu dit il s'agit d archétypes. Si l'on prend la vierge marie, elle est souvent représentée en mère regardant tendrement son enfant, c'est une belle image de l'amour qui peut parler a beaucoup. Dans le bouddhisme c'est un peu le meme principe avec kannon. Prenons un exemple avec le reiki, il n'est pas difficile de voir la filiation avec mahavairocana, que ce soit dans les bijas employés ou les rapports a la lumière etc. Dans un sens, on peut dire que l'initiation est inutile puisque que nous avons déjà cette nature en nous, dans un autre elle permet une sorte de déclic. Dans le soufisme, les noms de dieu sont exprimés a travers des ouazifats (je ne sais pas comment ca s écrit) qui représentent des qualités divines. C'est un peu le meme principe. Plutot que de s identifier a la colère, la passion, l'orgueil, etc on fait sciemment le choix d'essayer de développer des aspects de compassion, sagesse, suivant en cela un principe important du mahayana qui est la force des voeux. Cela me fait penser a un kabbaliste qui disait : d'abord on pense a quelque chose, ensuite on en parle et puis après on le réalise. La on pense au bouddha ou à des formes spécifiques on s'identifie à celles- ci et l'on essaie d'en réaliser la qualité sous jacente dans la vie de tous les jours.
une autre approche plus zen est celle qui consiste a laisser emerger la nature profonde, qui est celle qui si j'ai bien compris te semble la plus naturelle. Les deux ne sont pas incompatibles comme on le voit en chine, ou contrairement au japon les écoles bouddhistes sont moins focalisées sur une seule pratique !

sinon on retrouve cela aussi bien dans le théravada que dans le mahayana qui n'a pas l'exclusivité de la compassion ! ^^
petit hs car il y a deja un lien la dessus ;)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatre_Incommensurables
Modifié en dernier par komyo le 14 janv.16, 09:31, modifié 2 fois.
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Re: Les 5 sagesses

Ecrit le 14 janv.16, 08:03

Message par vic »

Komyo a dit :Prenons un exemple avec le reiki, il n'est pas difficile de voir la filiation avec mahavairocana que ce soit dans les bijas employés ou les rapports a la lumière etc, dans un sens on peut dire que l'initiation est inutile puisque que nous avons déjà cette nature en nous, dans un autre elle permet une sorte de déclic.
En même temps c'est un paradoxe de penser qu'intégrer le non soi se fasse uniquement par soi même , d'où ces techniques qui sont d'une certaine façon une impression d'une énergie externe qui vient en nous .
En fait je ne sais pas si la nature de bouddha se trouve en moi ou en dehors de moi , certainement cela va dans toutes les directions .

Il est probable qu'un type ne comprenne pas pourquoi un bouddhiste récite un mantra ou évoque une force soit disant extérieure à lui sans doute symbolique ou archétypale plus que réelle et n'en reste pas à chercher l'éveil par lui même en lui tout bonnement .

En ce qui me concerne dans ma pratique , Reiki c'est un peu quelque chose qui complète ma méditation vipassana (peut être plus interne symboliquement) , comme le fait symbolique d'invoquer une énergie externe va complèter dans cet état d'abandon le bouddha que je suis peut être potentiellement dans toutes les directions .:hi:

Mais bon ça n'est que mon ressenti personnel . :)
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

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Re: Les 5 sagesses

Ecrit le 01 févr.16, 06:48

Message par komyo »

equanimité par TNH

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