Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 13 août17, 22:04

Message par Yvon »

Je n'ai pas de Gourou , ce terme comme le mot secte dans vos propos sont péjoratifs . Si un enfant veux pratiquer , rien ne l'y empêche ? J'ai moi même eu un de mes enfants qui a voulut pratiquer à 11 ans de sa propre volonté ca à durer 2 ans puis il est passé à autre chose aujoud'hui . Par contre forcer un enfant c'est stupide , ca n'apporte rien de bon . On ne peut pas faire une activité quelqu'onque à contrecoeur . Tot ou tard l'enfant arrètera et finira parfois même par se retourner contre ses parents .
En France les activités religieuses de mineurs sont interdites . ( Ceci dit le cathéchisme continue et dans le genre bourrage de crâne catho , le scoutisme c'est pas mal non plus )
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 21 août17, 00:18

Message par algol-x »

Yvon a écrit :Je n'ai pas de Gourou , ce terme comme le mot secte dans vos propos sont péjoratifs .
Les objectifs de suprématie de Daisaku Ikeda au Japon:

Ces citations de Daisaku Ikeda sont très anciennes il ne les a plus réitérées dans ses discours depuis les années 1990 car certains de ces objectifs se sont réalisés.

Sur la domination soka
"Nous devons placer les membres de la Soka Gakkai dans tous les postes clés du gouvernement japonais et de la société. Sinon kōsen-rufu (la propagation mondiale des valeurs bouddhiques de la SG) ne sera pas accomplie." Le 6 Septembre 1957 dans le Seikyo Shimbun (quotidien officiel de SG au Japon)

Sur la prise en charge du Japon
"je sens que le temps de prendre les rênes le Japon est venu. Un parti politique qui ne peut pas prendre les rênes du gouvernement n'a pas besoin d'exister. Mais ne vous inquiétez pas. Je suis ici derrière le parti (Komei : celui de la Soka Gakkai)."Le 16 Novembre 1976 à l'occasion d'une séance de photos avec les membres du parti Komei.

Sur la conquête du pouvoir au Japon
"Ce que j'ai appris (du deuxième président Toda) c'est de savoir se comporter comme un monarque. Je serai l'homme le plus puissant (du Japon). La Soka Gakkai sera alors dissoute." Numéro de Juillet 1970 du magazine mensuel japonais "Gendai "

Sur le contrôle de l'économie
"En tant que processus de nos activités pour kōsen-rufu, le parti politique de la SG (Komei), les écoles SG, le Bunka (organisation culturelle SG) et le Minon (organisation de spectacles et concerts SG) ont été fondées. La dernière (révolution) encore inaccomplie est celle l'économie. A partir de maintenant, nous membres du Shachokai (un groupe qui se compose des directeurs généraux de la Soka Gakkai ) allons créer une révolution économique". Le 25 Juin 1967, lors de la 1ère réunion Shachokai

Sur l'expression de notre puissance
"Exprimons notre puissance discrètement, mettons en place des réseaux dans le monde industriel."Yasuhiro Nakasone (ancien premier ministre japonais) n'est pas une question importante. C'est juste un gars de notre côté. Quand il m'a demandé de l'aider à faire de lui le premier ministre japonais, j'ai dit : D'accord, d'accord, je vous laisse être le premier ministre."Le 25 Novembre 1967, lors de la 6e séance Shachokai

Être Dieu et Roi
"Pour fonder la Nation Soka, le Royaume Soka, sur la terre, dans l'univers, je protégerai les membres de la Soka Gakkai." Lors de la seconde réunion des chefs de quartier Deuxième à Tokyo, le 10 Juin 1975

Sur le fascisme conçu comme une combinaison de l'état et du pouvoir des entreprises
"Pour dire la vérité, le fascisme est mon idéal réel." Lors de la 61e réunion de l'exécutif de la SG, le 15 Juin 1972

Édifiant, non?

http://blog.doctissimo.fr/soka-gakkai-e ... -nichiren/
Yvon a écrit :Si un enfant veux pratiquer , rien ne l'y empêche ? J'ai moi même eu un de mes enfants qui a voulut pratiquer à 11 ans de sa propre volonté ca à durer 2 ans puis il est passé à autre chose aujoud'hui .

Les parents pratiquants peuvent exercer des pressions sur leur leur enfants d'une manière inconsciente, ensuite vous sous estimez l'organisation, ma fille suite à une réunion où elle avait était invitée avait "décidé" de pratiquer et de faire des activités, elle s'est arrêté au bout de quelques mois.
Yvon a écrit :En France les activités religieuses de mineurs sont interdites . ( Ceci dit le cathéchisme continue et dans le genre bourrage de crâne catho , le scoutisme c'est pas mal non plus )
Elles ont été supprimées sous la pression des pouvoirs public. Vers la fin des années 80 j'ai été témoin au centre de Sceaux, de l'endoctrinement d'enfants de cinq à huit ans, qui faisaient l'activité "pompons" soumis au culte de la personnalité envers D.Ikéda qu'ils devaient considérer comme leur maitre et leur "second père".

:Bye:
Modifié en dernier par algol-x le 22 août17, 05:46, modifié 3 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 21 août17, 06:08

Message par Yvon »

C'est du trés grand n'importe quoi comme d'hab venant d'algol avec des interprétations toutes trés personnelle .Toujours les mêmes ineptsies et fadaises depuis des années . :fatiguer:

Je pratique depuis 33 ans et jamais je n'ai lû ou entendu de tels propos du président Ikeda . C'est de la calomnie pûr .
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 22 août17, 09:41

Message par algol-x »

Yvon a écrit :Je pratique depuis 33 ans et jamais je n'ai lû ou entendu de tels propos du président Ikeda . C'est de la calomnie pûr .
Les adeptes zappent sur ce qui pourrait les remettre en cause, ensuite, ces "bonnes feuilles" sont noyées dans une prose lénifiante, appelant aux grands idéaux, aux grand hommes, c'est un biais, un procédé subliminal, votre déni est compréhensible, voici un exemple de la duplicité du personnage:

"D'un cœur guéri et en paix naît l'humilité.
De l'humilité naît la volonté d'écouter l'autre.
De l'écoute naît la compréhension mutuelle
et de cette compréhension mutuelle naît un monde de paix.
"

recueil des discours de D. Ikéda juin 99 page 36:
"On ne m'applaudissait que du bout des doigts. Au cours de la précédente réunion, quelques jours auparavant, le plus important responsable présent sur l'estrade ne me désigna pas sous le nom "d'Ikeda sensei" (traduction: maitre Ikéda) Il ne s'agit pas là d'une affaire personnelle, mais bien d'une trahison du cœur des amis de la soka-gakkai, unis par un lien très fort..."


:Bye:
Modifié en dernier par algol-x le 23 août17, 00:16, modifié 6 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 22 août17, 11:59

Message par Yvon »

Explications alambiqués d'un esprit tordu , qui ne veut rien dire et nient la vérité des faits .
PS je doute fort que le club de rome dont le président ikéda est membre admette en son sein une personne qui se prendrait pour un monarque facsiste :lol:
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 23 août17, 06:50

Message par vic »

Yvon a écrit :Explications alambiqués d'un esprit tordu , qui ne veut rien dire et nient la vérité des faits .
PS je doute fort que le club de rome dont le président ikéda est membre admette en son sein une personne qui se prendrait pour un monarque facsiste :lol:
Pourtant le club de rome de la sokka gakkaï adute Nichiren Daishonin , un monarque fachiste , ça change quoi ?
Tel Maitre tel élève , telle cause tel effet .
Nichiren reniait le bouddha historique Siddharta et se plaçait lui même en bouddha historique à sa place .
Si c'est pas du monarque fachiste c'est quoi ?

Image

Le projet de Nichiren d'assassiner tous les maitres bouddhistes pour prendre le trône en tant que monarque :

" Il faudrait faire brûler jusqu'à la dernière pierre tous les temples du Nembutsu et du Zen, Kenchû-ji, Jufuku-ji, Gokuraku-ji, Daibutsu-den et Chôraku-ji, et conduire les maîtres de ces écoles sur la plage de Yuinohama pour les décapiter. Sinon, il est certain que le Japon sera détruit !"

(Source : Le choix en fonction du temps, Volume III, p. 191, ACEP, 1994)

" Pour le Salut du Pays, ce sont tous les moines du Nembutsu, du Zen, du Ritsu et d'autres écoles du Japon qu'il aurait fallu faire décapiter, en exposant leurs têtes sur la plage de Yuinohama. Mais maintenant, il est sans doute déjà trop tard."

( Source : Réponse au nyûdô Takahashi, VolumeVI, p. 144-145, ACEP, 2000).

"Comme il est regrettable que des émissaires mongols innocents aient été décapités, et non les moines du Nembutsu, du Shingon, du Zen, et du Ritsu, qui sont pourtant les véritables ennemis de notre pays !"

(Source : Les émissaires mongols, Volume V, p. 201, ACEP, 1996)
Modifié en dernier par vic le 23 août17, 07:10, modifié 2 fois.
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 23 août17, 07:08

Message par Yvon »

Erreur Nichiren n'a jamais renié Shakyamuni, c'est une invention de votre part .
Le Sûtra du Lotus c'est shakyamuni et Nichiren cite souvent des sûtra de shakyamuni. Vous connaissez bien mal votre sujet . Pas étonnant alors que vos interprétations soient des plus fantaisistes et absurdes .
De plus comme je l'ai déjà cité durant 33 ans je n'ai jamai lu un discours du président Ikeda mentionnant de tels conneries .
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 23 août17, 07:14

Message par vic »

Yvon a écrit :Erreur Nichiren n'a jamais renié Shakyamuni, c'est une invention de votre part .
Le Sûtra du Lotus c'est shakyamuni et Nichiren cite souvent des sûtra de shakyamuni. Vous connaissez bien mal votre sujet . Pas étonnant alors que vos interprétations soient des plus fantaisistes et absurdes .
De plus comme je l'ai déjà cité durant 33 ans je n'ai jamai lu un discours du président Ikeda mentionnant de tels conneries .
Votre gourou Nichiren n'a pas dit qu'il à de nombreuses reprises qu'il souhaitait décapiter les maitres des écoles bouddhistes ?
IL ne se prenait pas pour un monarque radical avide de pouvoir peut être ?
Si Nichiren n'avait pas eu aussi peu d"adepte lui empêchant de former une armée personnelle n'aurait il pas mis son projet d'assassinat en série à exécution ?
N'est pas là même la vision d'un guide fachiste ?

" Pour le Salut du Pays, ce sont tous les moines du Nembutsu, du Zen, du Ritsu et d'autres écoles du Japon qu'il aurait fallu faire décapiter, en exposant leurs têtes sur la plage de Yuinohama. Mais maintenant, il est sans doute déjà trop tard." ( citation de Nichiren Daishonin)

( Source : Réponse au nyûdô Takahashi, VolumeVI, p. 144-145, ACEP, 2000).
Modifié en dernier par vic le 23 août17, 07:26, modifié 1 fois.
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 23 août17, 07:26

Message par algol-x »

Erreur Nichiren n'a jamais renié Shakyamuni, c'est une invention de votre part . Le Sûtra du Lotus c'est shakyamuni et Nichiren cite souvent des sûtra de shakyamuni. Vous connaissez bien mal votre sujet . Pas étonnant alors que vos interprétations soient des plus fantaisistes et absurdes .
Le SDL est apocryphe, la tradition l'attribue à Shakyamuni, et vous transformez une tradition en dogme! Les interprétations de Nichiren sur les textes du mahayana sont polémiques! Shakyamuni reste le bouddha historique certes, mais Nichiren se considère (selon les écoles) comme l'émanation du dharmakaya (pour le Mahayana "le bouddha cosmique" est Shakyamuni), et les enseignements attribués à Shakyamuni sont jugés par lui hétérodoxes et il fallait les détruire "pour le bien du pays" car il croyait que les calamités qui touchait le Japon à cette époque avaient pour cause "les enseignements erronés" des autres écoles. La Soka Gakkai réactualise le Nichinérisme radical du XIIIeme siècle comme on peut le voir ici à travers vos propos.
Yvon a écrit :De plus comme je l'ai déjà cité durant 33 ans je n'ai jamai lu un discours du président Ikeda mentionnant de tels conneries

je vous ai répondu un peu plus haut sur ce point :

"Les adeptes zappent sur ce qui pourrait les remettre en cause, ensuite, ces "bonnes feuilles" sont noyées dans une prose lénifiante, appelant aux grands idéaux, aux grand hommes, c'est un biais, un procédé subliminal, votre déni est compréhensible"

Votre adhésion à la Soka Gakkai semble affecter vos perceptions !


:Bye:
Modifié en dernier par algol-x le 23 août17, 14:00, modifié 5 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 23 août17, 10:50

Message par Yvon »

Toujours les mêmes fadaises , discussion stérile . :Bye:

Le Président Ikeda un marathonien pour la paix :

Dialogues menés par Daisaku Ikeda
D. Ikeda a mené de nombreux dialogues :

1967
Comte Richard Coudenhove-Kalergi, philosophe autrichien.
1972
Arnold Toynbee, historien anglais.
1974
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
René Huyghe, historien d'art et membre de l'Académie française.
Mikhaïl Sholokhov, prix Nobel de littérature.
Zhou Enlai, premier ministre chinois.
1975
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
Deng Xiaoping, vice premier ministre chinois.
Henry Kissinger, secrétaire d'État des États-Unis.
Aleksei Kossyguine, premier ministre de l'URSS.
Kurt Waldheim, secrétaire général de l'ONU.
Norodom Sihanouk, ancien roi du Cambodge.
Aurelio Peccei, membre fondateur du Club de Rome.
1978
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
1979
J.P. Narayan, dirigeant politique indien et disciple de Gandhi.
1980
Deng Yingchao, veuve de Zhou Enlai.
1981
Nikolai Tikonov, premier ministre de l'URSS.
Todor Zhivkov, président du Conseil d'État bulgare.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Anatoly Lougaflov, recteur de l'Université de Moscou.
1982
Javier Pérez de Cuellar, secrétaire général de l'ONU.
1983
Rudolphus Marie Lubbers, premier ministre hollandais.
Hu Yaobang, secrétaire général du Parti communiste chinois.
Paul Hartling, haut commissaire de l'ONU pour les réfugiés.
1984
Joao Baptista de Oliveira Figueiredo, président du Brésil.
Fernando Belaunde Teny, président du Pérou.
1985
Rajiv Gandhi, premier ministre de l'Inde.
1986
Raul Alfonsin, président de la République d'Argentine.
Johan Galtung, spécialiste en études sur la paix.
Miguel de la Madrid, président de la République du Mexique.
1987
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix.
Norman Cousins, écrivain et enseignant américain.
Joaquin Balaguer, président de la République dominicaine.
Michel Baroin, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Nikolaï Ryzhkov, premier ministre soviétique.
Jacques Chirac, maire de Paris.
Edgar Faure, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Alain Poher, président du Sénat français.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Wojciech Jaruzelski, président du Conseil d'État polonais.
1988
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
Jaime Lusinchi, président de la République du Vénézuela.
Lee Kuan Yew, premier ministre de Singapour.
1989
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Franz Vranitzky, chancelier d'Autriche.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Princesse Chulabhorn, princesse de Thaïlande.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Princesse Anne d'Angleterre.
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Cari XVI Gustav, roi de Suède.
Bengt Göransson, ministre suédois de l'Education et des Affaires culturelles.
François Mitterrand, président de la République française.
Jack Lang, ministre de la Culture.
Danielle Mitterrand, présidente de l'association France-Libertés.
Marcel Landowski, secrétaire peipétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Alain Poher, président du Sénat français.
Jean Fage, président du Musée de la photographie à Bièvres.
André Fage, directeur du Musée de la photographie à Bièvres.
Louis Auquier, président de l'Université Paris V.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Robert Berthier, président des Jeunesses musicales de France.
Bernard Dorin, ambassadeur de France au Japon.
Donald Chesworth, militant social britannique.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
Ying Ruocheng, vice-ministre de la Culture de Chine.
Bernard Lown, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
Mikhail Kuzin, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
John Neumeier, directeur du Ballet de Hambourg.
Fabio Roversi-Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Cornel Capa, directeur du Centre international de la photographie.
Javier Perez de Cueilar, secrétaire général des Nations unies.
Jean-Pierre Hocké, haut-commissaire du HCR.
Margaret Thatcher, premier ministre de Grande-Bretagne.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Anatoly Loukyanov, président du Présidium suprême de l'URSS.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Joseph Rotblat, président des Pugwash Conferences on Science and World Affairs.
Prince Tony Momoh, ministre nigérian de l'Information et de la Culture.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Jan Wirgin, directeur du Musée des antiquités asiatiques de Stockholm.
1990
Zhelyu Zhelev, président de la République de Bulgarie.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés.
Georges Saitoti, vice-président du Kenya.
Nelson Mandela, président adjoint de l'African National Congress.
Rhi Chong Sun, directeur du musée d'art Ho-Am de Corée du Sud.
Nataliya Sats, fondatrice et présidente du Théâtre musical national des enfants de Moscou.
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Turgut Ozal, président de la République de Turquie.
Kenneth Kaunda, président de Zambie.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
René Simard, vice-recteur de l'Université de Montréal.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
1991
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Neil Rudenstine, président de l'Université Harvard.
Elie Wiesel, prix Nobel de la paix.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
René Simard, professeur à l'Université de Montréal, cancérologue.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Marcel Landowski, chancelier de l'Institut de France.
Pierre Hugo, arrière-petit-fils de Victor Hugo.
Serge Tolstoï, petit-fils de Léon Tolstoi.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sir Fred Hoyle, professeur et astronome.
Genrikh A. Borovik, président du Comité soviétique pour la paix.
Carlos A. Faraco, recteur de l'Université de Panama.
Gennadi A. Yagodin, président du Comité national de l'URSS pour l'éducation.
James Njagi Njiru, ministre de la Culture du Kenya.
Jutta Unkart, Mmc la ministre de l'Education d'Autriche.
W. Henrichsmeyer, recteur de l'Université de Bonn.
Richard von Weizsâcker, président de la République fédérale allemande.
Wang Xuezhen, professeur à l'Université de Pékin.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Anatoly A. Louganov, recteur de l'Université de Moscou.
Charles K. Kao, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Wang Gungwu, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Corazon Aquino, présidente de la République des Philippines.
John Major, premier ministre britannique.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Rita Siissmuth, présidente de la Chambre des députés d'Allemagne.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Oswald Mtshali, poète anti-apartheid sud-africain.
Chingiz Aitmatov, écrivain et diplomate d'URSS.
Federico Mayor, directeur général de l'UNESCO.
Albert Carnesale, de l'École John F. Kennedy à Boston.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hsueh Shou Sheng, recteur de l'Université de Macao.
Ricardo Popovsky, recteur de l'Université de Palermo en Argentine.
1992
Yehudi Menuhin, violoniste.
Ricardo Diez Hochleitner, présidentdu Club de Rome.
Shankar Dayat Sharma, vice-président de l'Inde.
Bans Manço, musicien turc.
Ramaswamy Venkataraman, président de la République de l'Inde.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Hosni Mubarak, président de la République arabe d'Egypte.
Vaclav Havel, président de la République tchèque et prix Nobel de la paix.
Suleyman Demirel, premier ministre de Turquie.
Frederic Willem de Klerk, président de la République sud-africaine.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Aleksei Khoklov, professeur à l'Université de Moscou.
Glenn Paige, professeur émérite à l'Université de Hawaii.
Ihsan Dogramaci, fondateur de l'Université Bilkent d'Ankara.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Suharto, président de l'Indonésie.
Majid Tehranian, professeur de l'Université de Hawaii.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Ralph Unkart, professeur émérite à l'Université des technologies de Vienne.
Francis Gichaga, vice-chancelier de l'Université de Nairobi.
Shao Huaze, éditeur chinois.
1993
Rosa Parks, militante des droits civiques américains.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre SimonWiesenthal.
Noemi Sanin de Rubio, ministre des Affaires etrangeres de Colombie.
Noranit Setabutr, président de l'Université Thammasat de Thaïlande.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Austregésilo de Athayde, président de l'Académie des Lettres du Brésil.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Carlos Menem, président de la République d'Argentine.
Francisco Delich, recteur de l'Université de Cordoba.
Mariano Mores, pianiste et compositeur argentin.
Osvaldo Pugliese, chef d'orchestre argentin.
Andrès Rodriguez, président du Paraguay.
Luis Berganza, recteur de l'Université nationale d'Asuncion au Paraguay.
Patricio Aylwin, président de la République du Chili.
Luis Fleury Fiiho, gouverneur de l'État de Sao Paulo.
Linus Pauling, lauréat du prix Nobel de chimie et du prix Nobel de la paix.
Franck Jordan, maire de San Franscisco.
Carlos Mario de Clerc, recteur de l'Université Lomas de Zamora en Argentine.
Nambaryn Enkhbayar, ministre de la Culture de Mongolie.
Lu Jimin, directeur du Musée de Pékin.
Vasant Sathe, président du Concile indien pour les relations culturelles.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Lawrence Sullivan, directeur du Centre d'étude des religions à l'Université Harvard.
John Humphrey, professeur émérite de l'Université Mac Giil, à Montréal.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Alfredo Cristiani Burkard, président de la République du Salvador.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Azian Shah, roi de Malaisie.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Princesse Napoléon.
Alexis Vaesken, ministre des Affaires étrangères du Paraguay.
Gunal Akbay, recteur de l'Université d'Ankara.
Fidel Ramos, président de la République des Philippines.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Nur Yalman, titulaire d'une chaire d'anthropologie à l'Université Harvard.
John Montgomery, professeur émérite à l'Université Harvard.
Robert Jastrow, scientifique de la NASA, collaborateur du programme Apollo.
Chang Lin Tien, chancelier de l'Université de Californie.
David Strangway, président de l'Université britannique de Colombie.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal
.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Nelson Maculan Filho, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
1994
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Cai Delin, président de l'Université de Shenzhen.
Li Youwei, maire de la ville de Shenzhen.
Farouk Hosni, ministre égyptien de la Culture.
Vincent Harding, professeur des religions à l'Université de Denver.
Forbes Munro, recteur de l'Université de Glasgow.
Franco Nannotti, vice-gouverneur de la province de Florence.
Fabio Roversi Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Mikhail Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Aleksandr Yakovlev, président du Leonardo Club.
Gavril Popov, président de l'Université internationale de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Lou Ann Guanson, directrice du Spark M. Matsunaga de l'Institut pour la paix de l'Université de Hawaii.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Patricio Aylwin, ancien président du Chili.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Lin Zugeng, président de l'Université Xiamen.
Shunzo Ono, musicien de jazz japonais.
Herbie Hancock, musicien de jazz américain.
Rosa Parks, militante du mouvement des droits civiques américains.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica, prix Nobel de la paix.
Edouardo Frei Ruiz Tagle, président de la République du Chili.
Lech Walesa, président de la République de Pologne.
Youssef Boutros-Ghali, ministre égyptien de la Coopération internationale.
Sisto Duran-Ballen, président de la République d'Equateur.
Ivaylo Znepolski, ministre de la Culture de Bulgarie.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Ricardo Diez-Hochleitner, président du Club de Rome.
Christina Weiss, directrice de l'Office culturel de la Ligue des villes hanséatiques à Hambourg.
John Neumeier, directeur artistique du Ballet de Hambourg.
Jack Stark, président du Claremont Mc Kenna College de Californie.
Michel Oksenberg, directeur du centre Est-Ouest de Honolulu.
Roger Posadas, chancelier de l'Université des Philippines.
Cai Delin, président de l'Université Shenzhen.
Jen Hu Chang, professeur à l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Tsai Mci Lin, présidente de l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Kedar Mathema, vice-chancelier de l'Université Tribhuvan du Népal.
Amos Ganor, ambassadeur d'Israël au Japon.
Guy Bourgeault, professeur de bioéthique à l'Université de Montréal.
Ved Nanda, professeur à l'Université de Denver.
Richard Dubanoski, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Anthony Marsella, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Francisco Delich, recteur de l'Université nationale de Cordoba en Argentine.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Wang Xiaoxian, vice-présidente de l'Association du peuple chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Huang Shiming, vice-président de l'Association de l'amitié sino-japonaise.
1995
Nelson Mandela, président de l'Afrique du Sud.
Kocheril Raman Narayan, vice-président de l'Inde.
Carlos Alberto Messeder, directeur du Centre de philosophie et de sciences humaines de l'Université de Rio de Janeiro.
Adolfo Perez Esquivel, militant argentin.
Robert Thurman, professeur au département des religions de l'Université de Colombie.
Jin Yong, écrivain chinois.
Wang Gungwu, vice-recteur de l'Université de Hong-Kong.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica.
Jorge Range!, secrétaire de l'Education et de la Jeunesse de Macao.
Birenda Bir Bikram Shah Dey, roi du Népal.
Govindra Raj Joshi, ministre de l'Education nationale du Népal.
Sher Bahadur, premier ministre du Népal.
Hassan Gouled Aptidon, président de la République de Djibouti.
Luiz Marques, directeur du Musée national de Sao Paulo.
Youssef Boutros-Ghali, ministre de la Coopération internationale d'Egypte.
Aleksander Yakolev, un des artisans de la perestroika en URSS.
Albert Likhanov, écrivain russe.
Su Dongtian, professeur de l'Université de Shenzhen en Chine.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Bans Manço, artiste turc.
1996
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Fidel Castro, président du Conseil d'État de la République de Cuba.
Armando Hart Davalos, ministre de la Culture de Cuba.
Juan Vela Valdes, recteur de l'Université de la Havane.
José Maria Figueres Olsen, président de la République du Costa Rica.
Ved Nanda, professeur de l'Université de Denver.
Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État des États-Unis.
Moshe Arad, président de l'Université Hébraïque de Jérusalem.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre indien Rajiv Gandhi.
Johan Galtung, chercheur en études sur la paix.
Yuri Petrosyan, directeur de l'Institut des études orientales de l'Académie des sciences de Russie.
Shanmughasundaram Mohan, de la Cour de justice suprême de l'Inde.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Manuel Esquivel, premier ministre du Belize.
Amos Richmond, professeur de l'Université Ben Gourion de Tel Aviv.
Yasushi Akashi, Sous-secrétaire général des Nations unies pour les affaires humanitaires.
Batmunkh Ligden, président de la Fédération de Mongolie.
Wang Xunzhang, président de l'Université de Zhongshan en Chine.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
1997
Qian Weichang, recteur de l'Université de Shanghai.
Chen Liangyu, député-maire de Shanghai.
Fang Zhaoling, artiste peintre de Chine populaire basée à Hong-Kong.
Amadeu Thiago de Mello, poète brésilien.
Louis Derbré, sculpteur français.
Cinto Vitier, fondateur et président du Centre de recherches José Marti.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Choue Young Seek, fondateur de l'Université Kyung Hee de Corée.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Fernando Nery de Sa, député brésilien.
Liu Cheng, secrétaire général de l'Institut de littérature de Mongolie.
Ved Prakash Nanda, professeur de droit à l'Université de Denver aux Etats-Unis.
Sitaram Sharma, secrétaire général adjoint de la World Federation of United Nations Associations.
Hashim Abdul Halim, président de la WFUNA.
Kochenl Raman Narayanan, président de l'Union indienne.
Krishna Kunt, vice-président indien.
Kumar Gujral, premier ministre de l'Inde.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Amalendu De, secrétaire général de la Société asiatique (mémorial de Rabindranath Tagore).
Ravinder Kumar, directeur du mémorial Nehru.
Dr N. Radhakrishnan, directeur du Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Liu Zhongshu, président de l'Université du Jiling en Chine.
Zhang Fuliang, vice-président de l'Université du Jiling.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Cai Delin, ancien président de l'Université de Shenzhen, en Chine.
Félix Unger, président de l'Académie des sciences et des arts européens.
Chang Jenhu, président du conseil d'Université de la culture chinoise de Taiwan.
Lin Tsaimei, président de l'Université de la culture chinoise de Taiwan.
J. Forbes Munro, professeur d'histoire économique à l'Université de Glasgow.
Martin Seligman, professeur de psychologie de l'Université de Pennsylvanie.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Jong Taeck Chung, président du collège Chong Cheong de Corée.
Li Decheng, maire adjoint de Shenzhen.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
1998
Juan Carlos, roi d'Espagne.
César Gaviria Trujillo, secrétaire général de l'Organisation des Etats Américains et ancien président de la Colombie.
Fidel V. Ramos, président de la République des Philippines.
Virsely de la Cruz, présidente de l'Université de Manille.
Fang Zaoling, peintre chinoise.
Jin Yong, écrivain chinois.
Jorge Rangel, secrétaire d'État à l'éducation et à la jeunesse de Macao.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l'ONU.
Hu Jintao, vice-président de la République populaire de Chine.
Benjamin William Mkapa, président de la Tanzanie.
Alberto Antonio Kohan, secrétaire général de l'Office présidentiel d'Argentine.
Mikhail Nikolayev, président de la République du Sakha de la Fédération de Russie.
Thabo Mbeki, vice-président exécutif d'Afrique du Sud.
Inder Kumar Gujral, ancien premier ministre de l'Inde.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée.
Jong Taeck Chung, président du Collège Chung Cheong de Corée.
Cho Moon Boo, président de l'Université nationale Cheju.
Yu Byeong Don, gouverneur de la province de Puyo en Corée.
Chung Jong Teh, gouverneur de la province de Kyongsang en Corée.
Hou Zixin, président de l'Université Nankai à Tianjin en Chine.
Piao Wenyi, président de l'Université de Yanbian en Chine.
Vrajendra Raji Mehta, vice-chancelier de l'Université de Delhi.
Antonio Celso Alves Pereira, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
Arun Gandhi, directeur de l'Institut M.K. Gandhi pour la non-violence.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hazel Henderson, futurologue et économiste.
Andrew Gonzalez, président de l'Université De la Salle aux Philippines.
Wang Gungwu, directeur de l'Institut d'Asie orientale à Singapour.
David Krieger, président de la Nuclear Age Peace Foundation.
Mario Armando Mena, recteur de l'Université de Moron d'Argentine.
Manuel Pantigoso Pecero, de l'Association des docteurs du Pérou.
Ivan Rodriguez Chavez, recteur de l'Université RicardoPalma.
Fang Jie, viceprésident de la Fondation de l'Art chinois.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'Etat de Moscou.
Anatoly Logunov, directeur de l'Institut de physiques de haute énergie de Russie.
Antonio Laffranchi, recteur de l'Université de Panama.
Eusebio Leal, directeur du Musée de la Havane.
Roberto Kertesz, président de l'Université Florès d'Argentine.
Pan Yunhe, président de l'Université Zhejiang.
Qian Weichang, chancelier de l'Université de Shanghai.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Abu Bakar, vice-chancelier de l'Université de Brunei Darussalam.
Ramiro Eduardo Osorio, ancien ministre de la Culture de Colombie.
Francis Tolentino, maire de la ville de Tagaytay aux Philippines.
Natsagiin Bagabandi, président de la République de Mongolie.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
1999
Raja Nazrin Shah, roi de Malaisie.
Andrés Pastrana Arango, président de la République de Colombie.
Olusegun Obasanjo, président désigné du Nigeria.
Amara Essy, ministre des Affaires étrangères de Côte d'Ivoire.
Joseph Estrada, président de la République des Philippines.
Vasili Vlasov, premier ministre de la République de Sakha.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Lee Soo Sung, ancien premier ministre de Corée du Sud.
Hashim Abdul Halim, président de la WFLTNA.
Marquise du Lau d'Allemans, descendante de Napoléon Bonaparte.
Allen Lee Sessoms, de PUniversité de la ville de New York.
Jules Brassner, directeur de la Napoleonic Society of America et
directeur honoraire du Musée Fuji de Tokyo.
Abel Prieto, ministre de la Culture de Cuba.
Hector A. Navarro Diaz, ministre de l'Education du Vénézuela.
Cho Moon Boo, président de PUniversité nationale de Cheju en de Corée du Sud.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée du Sud.
Lee Won Sik, maire de la ville de Kyongju en Corée du Sud.
Kim Sang Soon, gouverneur de la province de Chongdo en Corée du Sud.
Zhou Ligao, recteur de l'Université de Macao.
He Jicheng, président de l'Université Nord-Est dc la Chine.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda de Recherches sur la paix et la politique mondiales.
Stuart Rees, directeur du Centre pour la paix et les conflits de l'Université de Sydney.
Casimiro Juarez, président du Cagayan Capitol College des Philippines.
Lin Liyun, interprète durant la rencontre entre le premier ministre chinois Zhou Enlai et Daisaku Ikeda, députée chinoise et ancien membre du comité permanent du Congrès national populaire de Chine.
Jiang Shusheng, président de l'Université de Nankin.
Cassio Taniguchi, maire de la ville de Curitiba du Brésil.
José Antonio de Chazal Palomo, recteur de l'Université de Santa Cruz en Bolivie.
Quansheng Zhao, professeur à l'École des relations internationales de l'American University de Washington.
Luo Weizhi, vice-président de l'Université de Hunan.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
Lester Thurow, économiste et professeur à l'Institut de technologie du Massachusetts.
José Abueva, ancien président de l'Université des Philippines.
Forbes Munro, professeur à l'Université de Glasgow.
David Tay, président de Société de photographie de Singapour.
Wang Yongxiang, directeur du Centre de recherches Zhou Enlai de l'Université de Nankai.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Norberto Ramos, danseur de tango argentin.
2000
Huang Jianhua, président de l'Université des études étrangères du Guangdong.
Mme Fang Zaoling, peintre chinoise.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Joseph Rotblat, président émérite des Conférences Pugwash et lauréat du Prix Nobel de la paix.
Emmanuel Yap Angeles, président de l'Université Angeles des Philippines.
Rogelio Quiambao, commandeur suprême de l'Ordre de José Rizal des Philippines.
Ha Jingxiong, président de l'Université des nationalités de Pékin.
Ludmila Verbitskaya, recteur de l'Université de Saint Pétersbourg.
Le Lam, maire de la ville de Auburn en Australie.
Emesto Melendez Bachs, ambassadeur de Cuba au Japon.
David P. Roselle, président de l'Université de Delaware.
Daniel F. Callahan, professeur de l'Université de Delaware.
Shi Ningzhong, président de l'Université nationale du Nord-est de Chine.
Fidel V. Ramos, ancien président des Philippines.
Kim Sam Youl, président de l'Association des familles des personnes méritoires décédées pour l'indépendance nationale de la Corée du Sud.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Wayne Shorter, musicien de jazz américain.
Tsend-Ayush, recteur de l'Institut de Littérature de Mongolie.
M.B.G Dogon-Yaro, ancien ambassadeur nigérien au Japon.
Zhu Weihua, président de l'Université de Yunnan (Chine).
Chen Fuqiang, vice-président de l'Université de Yunnan (Chine).
Arun Gandhi, fondateur de l'Institut M. K. Gandhi pour la non-violence.
Lawrence Edward Carter Sr., doyen de la Chapelle internationale Martin Luther King, Jr. du Morehouse College (Etats-Unis).
George David Miller, professeur de l'Université Lewis des États-Unis.
Edmund Ho Hau Wah, directeur de la Région administrative spéciale de Macao.
Hans Denningsen, ancien proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Henning Dochweiler, proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda pour la recherche sur la paix et la politique mondiales.
Ronald. R. Duterte, président de l'Université des Philippines du Sud.
Richard H. Seager, professeur adjoint des études religieuses, Hamilton College (Etats-Unis).
Anand Panyarachun, ancien premier ministre de Thaïlande.
Hazel Henderson, futurologue et économiste américaine.
Fang Zhaoling, peintre chinoise basée à Hong Kong.
Anson Chan, première secrétaire pour l'administration de Hong-Kong.
Victor H. Kazanjian, Jr., doyen de la vie religieuse et spirituelle, Wellesley College des États-Unis.
Youri A. Petrosyan, vice-président du Centre scientifique de Saint-Pétersbourg de l'Académie russe des sciences.
Pornchai Mongkhonvanit, président de l'Université de Siam, Thaïlande.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Felix Unger, président de l'Académie européenne des sciences et des arts.
S.R. Nathan, président de Singapour.
Leonie Kramer, chancelier de l'Université de Sydney, Australie.
Tun Haji Hamdan bin Sheikh, chancelier de l'Université de Putra, Malaisie.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
2001
Nambaryn Enkhbayar, premier ministre de Mongolie.
Rudoiphus Lubbers, Haut Commisaire des Nations-unies pour les réfugiés.
Abraham Cooper, rabbin et doyen adjoint du Centre Simon Wiesenthal.
Alfred Balitzer, de Claremont McKenna College des États-Unis.
Richard H. Seager, professeur adjoint de Hamilton College, Etats-Unis.
Sun Yong, président de l'Université de Nord-ouest, Chine.
Mercedes Menafra de Battie, première dame d'Uruguay.
Bernard Petit, président du Souvenir napoléonien.
Ronald A. Bosco, président de la Thoreau Society des États-Unis.
Olusegun Obasanjo, président nigérian.
Aftab Seth, ambassadeur de l'Inde au Japon.
Larry A. Hickman, directeur du Centre pour les études sur Dewey à l'Université de l'Illinois du Sud, États-Unis.
Yitzhak Lior, ambassadeur d'Israèl au Japon.
Chen Jian, ambassadeur de Chine au Japon.
Felix Unger, président de l'Académie européene des sciences et des arts.
Chen Haosu, président de l'Association des peuples chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Wu Ruijun, secrétaire général de l'Association d'amitié sino-japonaise.
Luigi Lonfernini, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Fabio Berardi, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Jutta Unkart Seifert, présidente de l'Iniative culturelle européenne pour la jeune génération de l'Autriche.
Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud.
Linus Pauling Jr., professeur et fils du lauréat des deux prix Nobel en chimie et de la paix.
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 24 août17, 01:26

Message par algol-x »

Yvon a écrit :Le Président Ikeda un marathonien pour la paix etc.
Des petites universités pour lesquelles il suffit de faire un don pour recevoir le titre de docteur honoris causa, des personnalités piégées, des membres de Gakkai, etc. ça vous impressionne? Si vous prenez cette nomenclature pour des références moi j'y vois de la propagande et des manœuvres de lobying, sans compter les suspicions d'évasion fiscale.

N'a-t-il pas oublié son dialogue avec maire de Trets ? :lol:

http://cixi-helene.over-blog.com/articl ... 64792.html

:Bye:
Modifié en dernier par algol-x le 24 août17, 01:50, modifié 2 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 24 août17, 01:36

Message par vic »

Ca me fait rire parce qu'en fait Ikeda se fait passer pour bouddhiste , du coup tout le gratin de ce monde qui n'y connait rien dans ce domaine lui ouvre ses portes . :lol:
Mais ces gens avec lesquels Ikeda tente sans arrêt de poser pour des photos dans un but promotionnel savent t'ils seulement que la sokka gakkaï est une secte sans rapport avec le bouddhisme , qui empreinte simplement cette couverture afin de dissimuler son vrai visage ?

Quand est ce que BOuddha a enseigné la pratique du mantra en chinois , le fameux " Nam Myo Rengué Kyo" de la sokka gakaï , vu qu'il n'a jamais mis les pieds en chine ?
Quand est ce que bouddha a enseigné le fameux gohonzon de la sokka gakkaï , sorte de dessin étrange devant lequel l'adepte récite son mantra ? Jamais , aucun enseignement du Bouddha n'utilise cette pratique inventé par Nichiren.
Pour Nichiren ou Ikeda ou la sokka gakkaÏ , le bouddhisme n'est qu'un paravent qui dissimule l'invention d'une autre religion que le bouddhisme mais utilisant le paravent du bouddhisme parce qu'il bénéficie d'une forte sympathie dans l'opinion publique , que ce soit au Japon ou en occident .
Il devient évident que le seul but de Nichiren , de Ikeda et de la sokka gakkaï a toujours été le pouvoir sur le plan financier et politique ainsi que sur les adeptes .
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 24 août17, 02:01

Message par Yvon »

C'est vraiment du trés grand délire qui ne repose sur rien . Quand on connait la vie de Nichiren et des présidents de la SG , le pouvoir sur le plan financier , c'est grotesque .

Cérémonie de remise de la distinction de citoyen d'honneur de la ville de Florence à Daisaku Ikeda
Publié le mardi 4 avril 2017 10:54

En 2016, Daisaku Ikeda, président honoraire de la SGI recevait le titre de citoyen d’honneur de la ville de Florence (Italie), décernée par le Conseil municipal, à l’unanimité. La cérémonie publique de remise de la distinction a été organisée le samedi 11 mars 2017, au Palazzo Vecchio, à Florence.

Le maire, Dario Nardella, et la présidente du Conseil municipal, Caterine Biti, ont accueilli Hiromasa Ikeda, venu pour représenter Daisaku Ikeda.

Betty Williams, lauréate du prix Nobel de la paix en 1976, a donné un discours à cette occasion. Elle a fait un éloge de l’engagement et des actions pacifiques de Daisaku Ikeda. L’événement pouvait être suivi par tous les citoyens sur un écran géant sur la place de la mairie.

Le maire de la ville a, quant à lui, souligné les efforts de Daisaku Ikeda pour la promotion universelle de la paix, l’abolition des armes nucléaires, pour le respect de la dignité de la vie, pour un dialogue continu et une compréhension mutuelle entre personnes de différentes cultures et religions.
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 24 août17, 13:14

Message par algol-x »

yvon a écrit :Cérémonie de remise de la distinction de citoyen d'honneur de la ville de Florence à Daisaku Ikeda etc.
Je suppose que ça a dû être l'orgasme quand vous avez appris la nouvelle. Un petit hymne Soka Gakkai pour fêter l'évènement :lol: Les paroles (en anglais) reflètent tout à fait le niveau culturel et idéologique de l'organisation. Une, deux...

https://youtu.be/vLQcJqehYVI
https://www.youtube.com/watch?v=JAup-OdMy4Y

:levitation:
Modifié en dernier par algol-x le 25 août17, 04:04, modifié 3 fois.
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Re: Sokka gakkaï , pratique dangereuse ?

Ecrit le 24 août17, 23:50

Message par Yvon »

Daisaku Ikeda reçoit un 300e titre universitaire honorifique

Daisaku Ikeda, président de l'association bouddhiste internationale Soka Gakkai International et fondateur de l'Université Soka, a reçu le titre de Docteur Honoris Causa en Lettres Humaines, décerné par l'Université de Boston, Massachusetts lors d'une cérémonie qui s'est déroulée le 21 novembre 2010 à Shinjuku, l'un des principaux arrondissements de Tokyo.

Cela porte à 300 le nombre total de doctorats et professorats honorifiques ainsi que de titres équivalents décernés à M. Ikeda par des institutions d'enseignement supérieur dans quelques 50 pays afin de récompenser ses efforts pour la paix et la promotion des échanges culturels et des sciences humaines.

L'Université de Boston, Massachusetts fait partie du système de l'Université de Massachusetts. En tant qu'université publique axée sur la recherche, elle compte 11 000 étudiants de premier cycle et 4 000 étudiants diplômés.

Dans son discours, le Dr Motley a présenté M. Ikeda dans les termes suivants : « Grand leader bouddhiste, homme de paix, écrivain, pédagogue et fondateur d'instituts mondiaux pour l'amélioration de l'humanité ». Il a également loué son soutien envers la responsabilisation individuelle et l'engagement social. M. Ikeda a fait le commentaire suivant : « Je suis profondément honoré. Les distinctions académiques que j'ai acceptées sont toutes au nom de la SGI et de ses membres dans le monde entier. Cela constitue une reconnaissance de leurs multiples contributions. En tant que citoyen individuel, je redoublerai mes efforts en faveur de la paix, des échanges culturels et de l'éducation. »

M. Ikeda et Dr Motley ont convenu que, notamment en ces temps de turbulences et de confusion, le rôle de l'éducation devait être de soutenir les personnes se consacrant au bien-être de l'humanité.

Daisaku Ikeda s'est vu décerner son premier doctorat honorifique le 27 mai 1975 par l'Université d'Etat de Moscou, en reconnaissance de son engagement pour l'éducation, de ses efforts pour l'abolition des armes nucléaires et pour ses écrits philosophiques. Depuis, il a reçu un grand nombre de distinctions universitaires décernées par une grande variété d'institutions parmi lesquelles l'Université Tsinghua, l'Université de Hong Kong, l'Université de Denver, l'Université de Glasgow, l'Université de Delhi, l'Université de Sydney, l'Université fédérale de Rio de Janeiro et l'Université du Ghana.
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