11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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marco ducercle

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11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 05 août17, 20:47

Message par marco ducercle »

Un agent de la CIA déclare sous serment : «Nous avons détruit les tours jumelles le 11 septembre»
CIA Agent Gives Sworn Statement: 'We Brought Down the Twin Towers on 9/11

L’ex-agent de la CIA, qui est également un pilote expérimenté, a parlé de la destruction des bâtiments du World Trade Center, affirmant que les trois tours ont été abattues par des démolitions contrôlées et non par des avions qui auraient été détournés par des pilotes amateurs.
The ex-CIA agent, who's also an experienced commercial airline pilot, has blown the whistle on the destruction of the World Trade Center buildings, claiming that the three towers were actually brought down by controlled demolitions, and not by passenger planes that were flown by amateur pilots.

L’ancien agent de la CIA, a non seulement fait une déclaration sous serment en tant que témoin expert, mais il a également produit des preuves concluantes qui réfutent le récit officiel selon lequel les tours jumelles ont été détruites par des avions qui ont été volés et pilotés par des terroristes.
Former CIA agent has not only given a sworn statement as an expert witness, but he has also produced conclusive evidence that disproves the official narrative that the towers were destroyed by airplanes that were highjacked and flown by terrorists.


Contrairement à toute autre forme de déclaration, une déclaration sous serment devient vérité dans la loi, si elle n’est pas réfutée.
Il appartiendra maintenant aux critiques de la théorie de présenter leurs preuves et leurs analyses pour réfuter l’affirmation point par point.
S’ils ne le font pas ou ne peuvent pas, le gouvernement des États-Unis autorisera par voie d’omission que le rapport fourni par la Commission du 11 septembre est faux.
Unlike any other form of statement, an affidavit becomes truth in law, if it is not rebutted.It will now be up to critics of the theory to present their evidence and analysis to rebut the statement point by point.If they do not – or cannot – then the US government will by omission be allowing that the account given by the 9/11 Commission is wrong.
http://www.neonnettle.com/news/2495-cia ... s-on-9-11-

universel

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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 06 août17, 08:00

Message par universel »

Très bien Marco du Triangle ----------toute cette histoire est claire au claire du jour -----Vois- tu ce que font les manipulateurs des peuples ( Surtout l'Oxy-dents )

marco ducercle

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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 06 août17, 08:18

Message par marco ducercle »

Peut être que l'agent en question est un agent qui s'oxyde. Trop de CIA rend mythomane.

ultrafiltre2

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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 06 août17, 19:05

Message par ultrafiltre2 »

Peut être aussi qu'il aime la Suisse
the sound - contact the fact l’hyper monde est un infty-simplexe triangulairement scalairisé
...ccnc ...et la lumière fut

vic

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vic
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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 07 août17, 00:37

Message par vic »

marco ducercle a écrit :Peut être que l'agent en question est un agent qui s'oxyde. Trop de CIA rend mythomane.
Ce qui est surtout étrange c'est la source de l'info , quelle est la fiabilité de ce site journalistique inconnu du public ?
Comment se fait il que cette info ne figure dans aucun journal reconnu comme sérieux ?
La vérification de la fiabilité d'une info n'est elle pas la base ?

Je n'ai vu cette info reprise que par les sites conspirationnistes du net , comme réseau international qui est reconnu comme étant un site canular par excellence .
Aucun journal sérieux n'a repris cette info .
Ca semble donc être un canular .
Ce dieu par sa transcendance ne peut être vu . Et ce qui ne peut être vu ne peut être qu'imaginé . je ne vois guère de différence entre cette histoire de dieu et l'imagination qui tourne en rond dans son bocal .Même si ce dieu existait , ça n'y changerait rien du tout au fond du problème .

marco ducercle

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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 07 août17, 03:37

Message par marco ducercle »

Non, ce n'est pas un canular, car celui ci a pour fonction de faire rire la galerie.

Je pense que sa diffusion s'inscrit dans la continuité de Reopen9/11 et consort, qui n'ont de cesse de réactivé la théorie pour qu'elle ne tombe pas dans l'oublie.
Pour certains, le conspirationnisme est un gagne pain.

Pour ce qui est de réseau international, je n'oublierai jamais son article rendant la mafia newyorkaise responsable de la guerre Iran/Irak:
Que peut-t-il y avoir comme point commun entre Saddam, l’Afghanistan et un mafieux sicilien newyorkais ?

De prime abord aucun. Pourtant, un article mis en ligne par le Washington Post le 20 mai 2016 passa tout à fait inaperçu. Et pour cause, il fut retiré du site quelques heures plus tard, sans qu’aucune explication ne fût donnée. S’agit-t-il d’un fake ou d’un coup de pression sur le rédac chef du canard qui connut son heure de gloire lors de l’affaire du Watergate ?

Rien ne serait moins étonnant quand on sait que le Washington Post a été racheté en 2013 pour 250 millions de dollars, par le milliardaire et fondateur d’Amazon Jeff Bezos. Or, il se trouve que son père adoptif (Miguel Bezos) aurait fait dans les années 70, la connaissance d’un certain Salvatore DeMeo.
Si ce nom est complètement inconnu du grand public, on ne peut pas en dire autant des services de police du New Jersey. Il était fiché sous le sobriquet du « roi du crédit ». Rapport aux nombreuses escroqueries à la carte du même nom.

Dans les années qui suivirent la révolution cubaine, une grande partie travailla pour le parti républicain. Un certain nombre fut spécialisé dans des opérations pas tout à fait légales. Il arriva que DeMeo fût chargé de monter une équipe.

Là où ça se corse, c’est quand on apprend, qu’il fut affilié à la famille Gambino. Organisation criminelle qui doit son nom à Don Carlo Gambino et qui fait partie des cinq familles mafieuses new-yorkaises.

Dans les années soixante, les Gambino importaient de l’héroïne aux USA depuis Marseille. C’était la célèbre filière de la French Connexion immortalisé à l’écran en 1971 par Gene Hackman. Les Marseillais étaient à l’époque les maîtres de la fabrication d’héroïne dans le monde. Il faut comprendre que la « Corsican union » gérait dans les années trente le trafic d’opium depuis l’Indochine. C’est tout naturellement grâce à des décennies d’expériences et de savoir-faire, que la capitale phocéenne fut propulsée à la pointe de la transformation de la morphine base en héroïne.
La France perdit l’Indo en 1954. Ce qui eut pour conséquence de rompre la voie d’acheminement de son produit de base : la feuille de pavot contenant l’opium. Les truands corso-marseillais prospectèrent de nouvelles contrés productrices et de nouvelles routes au moyen orient.

C’est dans ce contexte, qu’un jeune étudiant baasiste fut approché au Caire en 1962 par François Mattei, ancien de la carlingue (gestapo française) et de la bande des trois canards. Son nom ? Saddam Hussein !

A l’époque, les temps sont durs. Opposant politique, enfui d’Irak et condamné à mort par contumace, il vit dans la contrebande de pavot une opportunité pour pouvoir financer l’opposition clandestine au général Kassem. Mattei tenait avec son frère cadet (Raymond) et deux de ses cousins des claques dans la cité égyptienne. Saddam forcé au célibat par l’exil de son Irak natal, fit la connaissance de ce tenancier de bordel au charme et à l’élégance assuré. Il voyait à travers cet homme hâbleur, toujours tiré à quatre épingles, la quintessence du pouvoir. Être capable de la plus grande cruauté avec ses ennemies, tout en montrant une sincère empathie pour une personne dans la difficulté. Mattei de son côté, vit immédiatement les perspectives lucratives qu’offraient les connexions du parti Baas (Parti de la résurrection arabe et socialiste). Un cousin de Saddam, lui aussi membre du même parti, faisait régulièrement de la contrebande entre l’Irak et l’Iran. Le milieu marseillais de son côté, travaillait régulièrement avec la pègre turque, notamment dans le trafic de cigarettes.

C’est donc le plus naturellement du monde, qu’une filière partant d’Afghanistan, traversant l’Iran pour finir en Turquie, fut imaginée.

Les débuts furent laborieux. Les délais avaient du mal à être tenus. Les trafiquants empruntaient à dos de mulets des pistes longues et sinueuses. Un événement allait changer la donne. En 1963, à la faveur d’un coup d’état le parti Baas s’empara du pouvoir en Syrie. La même chose se produisit avec beaucoup moins de succès en Irak la même année. Le parti Baas fut immédiatement écarté du pouvoir. Qu’à cela ne tienne, Saddam joua de ses relations pour que le nouveau boss de Syrie Amin al-Hafez, intervienne auprès du Chah d’Iran pour faciliter la traversée du pays par des voies beaucoup plus « classiques ». Le Chah fit mine de décliner la demande du nouvel homme fort syrien, tout en laissant au chef de sa police secrète (la SAVAK) le soin de négocier un accord financier avec un représentant «non officiel» du régime syrien. En tant qu’architecte, c’est Saddam et son cousin qui furent chargés de parlementer au nom du parti !

On passa donc de la filière artisanale au réseau structuré. Tout alla pour le mieux dans le meilleur des mondes jusqu’à la guerre des six jours en 1967. L’administration américaine vit d’un très mauvais œil que l’argent engendré par le narco trafic servit au gouvernement syrien à acheter des armes aux Russes. Elle fit donc pression sur l’Iran pour stopper ce petit manège. Elle alla jusqu’à arroser le gouvernement afghan pour qu’il brûle les champs de pavot. Un conseil extraordinaire euy lieu à l’hôtel Waldorf Astoria de New York, réunissant les cinq familles de Cosa Nostra. C’est ce que l’on appelle la commission. Des dossiers déclassifiés en 1998 démontrèrent qu’il y avait toujours d’étroits liens entre la mafia et la CIA bien après l’histoire peu glorieuse de la Baie des Cochons. Faut-t-il y voir un lien de cause à effet ou un simple hasard, mais quelques mois plus tard, la situation se normalisa avec l’élection de Nixon. Là où on est en droit de se poser des questions, c’est qu’un petit peu plus tard, le nouveau président fit une guerre féroce à la French connexion via le DEA et l’appui du gouvernement français du président Pompidou. Le ministre de l’intérieur Raymond Marcellin allait démultiplier les moyens et durcir la législation sur le trafic de stupéfiants.

Peut-on parler d’une OPA de la mafia avec la complicité de la CIA ? On ne peut bien évidemment pas le prouver. C’est pourquoi, il me faut parler des moyens de transport pour acheminer le produit de Turquie vers Marseille.

Une société commerciale iranienne fantoche effectuait par camion les voyages entre l’Afghanistan et le port turc d’Antalya. De là, la marchandise était embarquée sur des bateaux de pêche beaucoup moins surveillés que les bateaux de plaisance. La lutte des autorités françaises eut comme conséquences d’augmenter les saisies record et de faire tomber les chimistes. Il se trouve qu’entre temps, les frères Mattéi avaient émigré au Liban et s’étaient lancés dans l’industrie de la pêche. Inutile de préciser que leur flotte était basée en Turquie.

Par contre, il est bon cette fois-ci de préciser, qu’ils furent retrouvés égorgés dans le coffre d’une Pontiac-GTO 1965 en février 71. Dans le même temps, André Ricord, un chimiste marseillais fut signalé par Interpol sur le territoire turc alors que la société de transport iranienne avait changé de lieu de déchargement des marchandises. Il s’agissait d’une toute nouvelle usine de fabrication de teinture en poudre située entre les villes d’Incirlik et d’Adana. C’est aussi à cette même période qu’on remarqua une augmentation de la fréquence des vols de gros porteurs entre la base aérienne de l’OTAN (Incirlik Air Base) et de la Dobbins Air Reserve Base dans le Dakota. On peut donc raisonnablement conclure qu’il y aurait forcement eu un deal entre les cinq familles et la centrale.

Il faut comprendre, que nous sommes en pleine guerre froide. Les USA savent qu’ils ont perdu le Vietnam.

L’Iran, la Turquie et l’Irak sont des pivots de l’alliance atlantique au Moyen Orient. Leur couper une manne financière très rentable aurait pu les faire basculer du côté soviétique. La mort de quelques junkies issue pour la plupart des minorités, ne saurait remettre en question la géopolitique américaine.

La révolution islamique d’Iran en 1979 chamboula une nouvelle fois la donne. Une fois au pouvoir, les ayatollahs voulurent renégocier les termes du contrat. Ce n’était pas tant qu’ils furent émus par l’odieux trafic qui pervertit l’occident, mais parce qu’ils trouvaient la part iranienne trop peu élevée. Paul Castellano qui était devenu le parrain des parrains en 1975 prit la demande iranienne comme un manque de respect évident.

« C’est nous qui faisons le plus gros du travail dans cette entreprise » déclara-t-il à son consigliere qui lui conseillait plutôt de négocier. Lorsque Sammy Gravano coopéra avec la justice américaine lors du procès Gotti, il sous-entendit que l’obstination de Castellano dans le dossier iranien lui coûta la vie. Il fut assassiné sur ordre de John Gotti par quatre hommes devant le Sparks Steak House à New York en 1985. En théorie, jamais la commission n’aurait autorisé un tel meurtre. Le motif devait être grave et sérieux.

En 1979, pour répondre aux fins de non-recevoir du parrain new-yorkais, les ayatollahs changèrent d’interlocuteur. Ils prirent en otage 52 agents du corps diplomatique américain. Ce devait être à présent la CIA qui devait faire plier Castellano. Malheureusement cette entreprise n’eut guère plus de succès. Le parrain était prêt à provoquer un scandale international, si d’aventure l’agence s’amusait à lui chercher des poux dans la tête.

C’est alors qu’un des architectes du réseau fut mis une fois de plus à contribution. Puisque l’Iran faisait pression sur les états unis, l’Irak ferait pression sur l’Iran !

Avertissement de l’auteur :
Cet article ne saurait en aucun cas prouver une quelconque collusion entre le propriétaire du Washington Post ou son père et une organisation criminelle. Pas plus qu’il ne saurait prouver que le rédacteur en chef du journal aurait subi des pressions à propos d’un article dont on ne peut établir l’existence. Néanmoins il ne nous est pas interdit de nous poser quelques questions.
http://reseauinternational.net/le-rais-et-le-pavot/

Bertrand

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Re: 11 septembre. Les aveux d'un ex agent CIA.

Ecrit le 08 août17, 07:13

Message par Bertrand »

même qu'ils n'ont pas trouvé de moteur d'avion...

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