Salut les COOLS !!Je me ressent toute émotive en ce moment que je vous écrit ce poste. Je viens de visioner un film des plus tendres et des plus respectueux. Un film qui se rapporte sur un homme qui se prépare lui-même, sa propre famille, ses parents, son milieu de travail, et sa congrégation à sa transformation en femme.
Marier depuis 25 belles et heureuses, et paisibles années à la même femme qu'il aime profondèment, il lui annonce qu'il se fera opéré pour se transformer complètement en femme; puisqu'il se considère comme étant "une femme dans un corps d'homme". Se qui scandalise son environnement tout entier, à l'exception du son patron qui réussira à coucher avec sa femme. Son pasteur lui, bien le pauvre, on ressent bien son malaise ! Jeune et à la mode, il entreprend jusqu'à une recherche internet pour se documenter: la transexsualité par rapport à la vie Chrétienne Évangélique.
Le pasteur commence par conseiller l'épouse en lui suggérant un questionnement personnelle. A-t-elle castré émotionnellement son mari. Et en ce qui concernerait le mari lui-même, le pasteur explique à l'épouse qu'il désire se changer en femme pour devenir la femme qu'il admire: son épouse adorée. Le pasteur finira par faire amende honorable à l'épouse en lui donnant son "consentement" à le quitter, mais ce qui se fait ressentir parcontre comme étant plutôt un puissant conseil pour son bien-être...
Pour faire une histoire courte, l'épouse porte son mari dans son coeur. Et malgré une aventure adultère d'un soir avec le patron du conjoint, elle se donne à son mari qui prend de l'hormone, et qui a maintenant des seins. Le lendemain, il se fera transformer. Elle l'accueille donc là dedans et lui donnde tout son amour et son support, et son corps. Ils demeurerons ensemble en tant que mari et femme, en tant qu'amoureux, et en tant que parents !! Ils mariés à la vie pour le meilleur et pour le pire, à la vie !
Celà, me va droit au coeur...
Mais pourquoi donc ? Je n'approuve pas l'homosexualité, même si je ne me considère pas comme étant homophobe.
Le film dévoile ce pourquoi. Ce filme là, dont je n'en connais même pas le nom, a réussit à me faire "ressentir" le pourquoi précis. Ce film a sû démontrer ce qu'une femme qui "aime" l'homme, ce qu'une femme qui "aimme son HOMME" ressent envers lui.
J'ai pu m'identifier à cette épouse lorsqu'elle touchait les vêtement de son homme. J'ai pu m'identifier à cette épouse losqu'elle humait l'odeur de son après râsage. Je m'identifiait à elle, lorsqu'elle riait avec un merveilleux sense de l'humour, lorsque son propre mari chantait en tant que membre de la choral paroissiale, "en soprano"; et que tout le monde y demeura bouche bée
! Juste ta meilleure amie oserait rire de toi quand tu chante mal comme ça...Mais, coudons ! Qu'est-ce qu'une histoire d'un film Évangéliste sur la transexualité et ce genre de mariage là viendrait faire dans un forum religion comme celui-ci ? Me demanderez-vous.
Bien justement, mettons-nous dans ses souliers à cette femme là, juste un petit moment de plus. Elle aimait cet homme là tellement et si profondèment qu'elle le voyait dans sa soupe même après 25 ans. Elle le portait encore dans son coeur. Elle le humait, le touchait, le caressait, etc. avec et par amour. Elle rageait, et voulait aller jusqu'à le battre pour le garder "en entier avec toute ses parties" auxquels elle avait fait l'amour. (Je te fais un dessein là Jean ! ). Elle rageait pour le battre afin de le garder auprès d'elle, et qu'il ne la quitte pas de son physique, de son âme.
Toutes personnes en amour, toutes personnes veufs ou veuves, toutes personnes séparées ou divorcés en amant toujours passionnément comprennent ce que je veut dire par celà !
Cette homme était l'homme de sa vie, l'amour de sa vie. Il y en aura jamais un autre qui l'égalera dans l'amour qu'elle éprouve pour lui.Je me souviendrai toujours d'avoir vécu la perte de mon premier mari. Que j'aimait son odeur, son sourir, son toucher...
Le mari que j'ai présentement, c'est encore pire ! Nous veillons l'un sur l'autre comme la prunelle de nos yeux. Nous recherchons notre bonheur mutuel. Nous sommes tout le temps ensemble, nous ne nous quittons pas sauf dans ses heures de travail. Je ne peut même pas penser à d'autre hommes, car j'aime que lui.
Nous prions ensemble, nous louons ensemble.
Je prend ses enfants et ses petits enfants comme miens. Même sa fille dit à sa fille: go see grand-ma!
De son côter, il accepte mes deux pinsons, et ma bergère allemende et tout le pouèle !
S'il a besoin d'argent, je le dépanne. Et moi, il me donne ses paies et s'assure à ce que je n'aie besoin de rien. Je reçois en abondance ! Nous ne sommes pas riche, nous vivons pauvrement. Mais je ne peut penser à rien dont je n'ais pas...
Ça fait seulement trois années que nous sommes ensemble, donc je n'ai rien à me vanter.
Aussi, il y a les hommes comme mon père. De tels hommes sont difficiles à trouver. Il travaillait jusqu'à trois jobs afin de pourvoir à la famille. Lui, il a aimé ma mère. À son décès, après 46 ans de marriage, tout l'hôpital pouvait l'entendre crier et pleurer la mort de sa femme... Je ne crois pas que je pourrais trouver un homme comme lui ! Il y a une chanson québécoise qui dit: où as-tu trouver papa, maman?
J'appartien à une religion, à une Église, dans laquelle la séparation et le divorce sont acceptable. Celà est correcte théologiquement, selon moi, et correcte légalement aussi. Mais je dois admettre, que je pense celà est une nécessité de présenter une lettre de divorce dans certains cas.
Mais dans d'autres non. Y aurait tout de même de limites, non ? Il est écrit: deviendront "une seule chaire". Nous les femmes, devenir une seule chaire avec son mari, est bien plus que avoir du sexe et jouir. Ça va beaucoup plus loin que ça. Nous nous donnons litéralement corps et âme à notre homme.
Et je parle, des nausées pendant la grossesse, les douleureurs attroces de faire passer un objet gros comme un panplemouse par embas, y prêter nos mamelles pour sa subsistance physique, à lui et à son père. Faut l'aimer le gars pour consentir à passer au traver de celà ! On va jusqu'à ne plus pouvoir se passer de son corps, de sa présence...
Et puis, le gars vieillie lui aussi ! Sa barbe tourne grise, son poèle de poitrine et ailleurs aussi. Sa peau vieillie, même. Et lui, il nous voie vieillir en retour à vue d'oeil. Et le désir persévère apès tout.
J'ometterai les bouffées de chaleur, et les crises d'humeur que j'ai.
Nous devons même passer du temps auprès de nos parents vieillard, ce qui n'est pas toujours drole.
Mais que dire de plus, ha oui, nos ados, et nos jeunes adultes qui requièrent constamment de plus en plus d'argent !
Ouien, devenir une seule chair. Il est dit de ne pas s'haire, mais plutôt de s'aime comme nous aimons notre propre chair ! Qu'est-ce que celà peut vouloir dire pour un Chrétien. Est-ce qu'un Chrétien haierait sa propre chair. "Son propre corps, ou le sang de son sang - ses enfant ? Non. Il est dit d'aimer son mari, ou vice-versa, sa femme comme l'on aime sa propre chair.
Il est dit en psychiatrie Freudienne, que l'homme est sa femme parce qu'elle est la femme qu'il désirerait et aimerait "être", et vice-versa, la femme aime son mari, parce qu'il est l'homme qu'elle aimerait être. C'est un aspect "androgène" en nous-mêmes, selon les grecs. "Une seule chaire". L'on pourrait même s'aimer jusqu'à ce point là.
En fait c'est pas bête. Si j'aurais à être un homme, j'aimerais être le genre d'homme qu'est mon mari actuel. Masculin au bout, ruph and tuff, rigoureux, débrouillard, intelligent, vif et alerte, aimer de tous et populaire, spirituel et croyant, avec un ministère, et qui a de l'attrait parce que beaucoup de femmes et d'hommes sont venues au Christ à cause qu'il les emmène à l'Église.
Sans mentionner, qu'il est le seul gars que j'ai rencontré qui est capable de me prendre, et qui est capable de prendre ce que j'ai à donner !
Ça, selon moi, est un point bien important dans une relation à vie. Mes parents, mariés pendant 46 ans faites, pouvaient "le donner et le prendre" l'un à l'autre. Donner et prendre, d'un un, de l'amour, du respect, de la communication, de l'honnêteté et de la franchise, du support, de la fidélité, de l'admiration.
Parce qu'une fois que l'admiration part dans une relation, tout part.
Sentez-vous bien libre de commenter, et d'ajouter votre propre commentaire, s.v.p. Et moi je terminerai en ajoutant seulement ceci. Être qu'une seule chaire, voudrait aussi vouloire dire, est-ce que tu t'abandonnerais ou te rejetterais ou te délaisserais toi-même ?