Et tu n'as rien à voir avec l'humour, voilà, la boucle est bouclée !l'espoir a écrit :
tu te moque ou quoi???
ça prouve que tu écrit sans réfléchir.
l'Amerique n'a rien avoir avec la belgique
Converssion à l'islam en Belgique
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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- maurice le laïc
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Ecrit le 27 janv.07, 13:16
Autement dit, les uns comme les autres se font avoir. Voilà ou ça mène de prendre les vessies pour des lanternes !la vérité a écrit :En Belgique,
Les non-musulmans sont très gentils par rapport à la france, les belges organisent des rencontres entre religions, entre origines, etc etc,
Certains convertis à l islam sont ceux qui ont des fréquantations avec les musulmans pieux et ils ont aimé l islam et se sont convertis.
Certains sont ceux qui sont curieux sur l islam et ils lisent les livres écrits par de bons auteurs et (non pas par des ennemis de l islam qui racontent n importe quoi) et rstent fascinés par cette religion.
- l'espoir
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Ecrit le 27 janv.07, 13:19
l'humour avec toi maurice le laïc, je m'attend absolument pas à ça!maurice le laïc a écrit : Et tu n'as rien à voir avec l'humour, voilà, la boucle est bouclée !
enfin peut etre que le temps change les personnes, et ça me ferait vraiment plaisir
25.63. Les serviteurs du Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur la terre, qui lorsque les ignorants s'adressent à eux disent "paix"
Hadith: «Crains Dieu où que tu sois, fais suivre la mauvaise action par la bonne et use d’un bon comportement envers les gens»
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Ecrit le 28 janv.07, 07:02
oui et en attendant
source :A.M.I France
L’ancien président de l’Exécutif des Musulmans de Belgique (EMB), Mohamed Boulif a été placé sous mandat d’arrêt et inculpé d’abus de confiance, a-t-on indiqué de source judiciaire.
Selon le parquet de Bruxelles, cité par les médias belges, l’inculpation de l’ex-Président de l’EMB (2003-2005) fait suite à une enquête ordonnée par le ministère de la justice suite à des soupçons de détournements.
L’affaire porterait sur un montant global de plus de 60.000 euros, notamment des ordinateurs qui auraient disparu du siège de l’Exécutif ainsi que des dépenses non justifiées.
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Re: Converssion à l'islam en Belgique
Ecrit le 12 nov.16, 02:18“J’ai entendu l’apologie de la pédophilie à la grande mosquée de Bruxelles”
Farah Kay, belgo-marocaine, a renié l’islam après avoir étudié les “sciences islamiques” dans les mosquées bruxelloises. La violence des textes, les appels à la haine et les justifications de la pédophilie l’ont définitivement vacciné de l’hérésie islamique.
Cette courageuse femme libre sort un livre : "Papa, maman, Allah et moi" aux éditions de la Boite à Pandore (septembre 2016).
https://youtu.be/1MLjeNY_U9s
Farah Kay, belgo-marocaine, a renié l’islam après avoir étudié les “sciences islamiques” dans les mosquées bruxelloises. La violence des textes, les appels à la haine et les justifications de la pédophilie l’ont définitivement vacciné de l’hérésie islamique.
Cette courageuse femme libre sort un livre : "Papa, maman, Allah et moi" aux éditions de la Boite à Pandore (septembre 2016).
https://youtu.be/1MLjeNY_U9s
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Re: Converssion à l'islam en Belgique
Ecrit le 04 janv.17, 02:24Fouad Belkacem aurait refusé de devenir informateur : "Je suis un vendeur de voitures, pas de musulmans"
Publié le mardi 03 janvier 2017 à 06h01 - Mis à jour le mardi 03 janvier 2017 à 08h38
La Justice veut déchoir de sa nationalité Fouad Belkacem: "Il représente un danger permanent pour notre sécurité publique"
Sharia4Belgium: Fouad Belkacem se pourvoit en cassation
Belgique
Fouad Belkacem, l'ancien leader de Sharia4Belgium, affirme dans une interview accordée au magazine Humo avoir été approché par la Sûreté de l'Etat afin de devenir informateur. Selon lui, son refus de coopérer est à l'origine de la procédure de dénaturalisation dont il fait l'objet.
"Depuis mon transfert à la prison de Hasselt, j'ai reçu plusieurs visites de la Sûreté de l'Etat. Mes refus d'accepter leurs propositions me faisaient pressentir une mauvaise nouvelle. C'est alors que ma procédure de dénaturalisation a démarré", a expliqué le prêcheur islamiste dans un échange de courriers avec la rédaction de l'hebdomadaire flamand. "Ils sont venus me voir trois ou quatre fois et m'ont demandé de devenir informateur. Si j'avais accepté, j'aurais obtenu un 'séjour relax' au sein de la prison, un salaire mensuel et une libération anticipée. J'ai évidemment refusé. D'abord par principe, et ensuite parce que je suis un vendeur de voitures, pas de musulmans. Quelques semaines après mon refus, la procédure a été lancée."
Fouad Belkacem craint d'être persécuté ou assassiné en cas de retour au Maroc, en raison de ses positions critiques vis-à-vis de la monarchie chérifienne. "N'importe qui sain d'esprit, aux Nations unies, chez Amnesty International ou encore dans d'autres institutions, sait que les opposants sont systématiquement torturés ou tués. J'ai évidemment peur que ma femme se retrouve veuve et que mes enfants se retrouvent orphelins si jeunes."
L'ancien leader de Sharia4Belgium, qui a été condamné pour le recrutement de combattants envoyés en Syrie et est incarcéré dans l'aile de la prison de Hasselt réservé aux terroristes, taxe le système belge de racisme. "Le message de la justice est très clair: un enfant, un petit-enfant, un arrière-petit-enfant d'étranger demeure un étranger. Macaque un jour, macaque toujours, de génération en génération."
Publié le mardi 03 janvier 2017 à 06h01 - Mis à jour le mardi 03 janvier 2017 à 08h38
La Justice veut déchoir de sa nationalité Fouad Belkacem: "Il représente un danger permanent pour notre sécurité publique"
Sharia4Belgium: Fouad Belkacem se pourvoit en cassation
Belgique
Fouad Belkacem, l'ancien leader de Sharia4Belgium, affirme dans une interview accordée au magazine Humo avoir été approché par la Sûreté de l'Etat afin de devenir informateur. Selon lui, son refus de coopérer est à l'origine de la procédure de dénaturalisation dont il fait l'objet.
"Depuis mon transfert à la prison de Hasselt, j'ai reçu plusieurs visites de la Sûreté de l'Etat. Mes refus d'accepter leurs propositions me faisaient pressentir une mauvaise nouvelle. C'est alors que ma procédure de dénaturalisation a démarré", a expliqué le prêcheur islamiste dans un échange de courriers avec la rédaction de l'hebdomadaire flamand. "Ils sont venus me voir trois ou quatre fois et m'ont demandé de devenir informateur. Si j'avais accepté, j'aurais obtenu un 'séjour relax' au sein de la prison, un salaire mensuel et une libération anticipée. J'ai évidemment refusé. D'abord par principe, et ensuite parce que je suis un vendeur de voitures, pas de musulmans. Quelques semaines après mon refus, la procédure a été lancée."
Fouad Belkacem craint d'être persécuté ou assassiné en cas de retour au Maroc, en raison de ses positions critiques vis-à-vis de la monarchie chérifienne. "N'importe qui sain d'esprit, aux Nations unies, chez Amnesty International ou encore dans d'autres institutions, sait que les opposants sont systématiquement torturés ou tués. J'ai évidemment peur que ma femme se retrouve veuve et que mes enfants se retrouvent orphelins si jeunes."
L'ancien leader de Sharia4Belgium, qui a été condamné pour le recrutement de combattants envoyés en Syrie et est incarcéré dans l'aile de la prison de Hasselt réservé aux terroristes, taxe le système belge de racisme. "Le message de la justice est très clair: un enfant, un petit-enfant, un arrière-petit-enfant d'étranger demeure un étranger. Macaque un jour, macaque toujours, de génération en génération."
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Re: Converssion à l'islam en Belgique
Ecrit le 26 févr.17, 01:59VIDEO. Femmes kamikazes : un phénomène qui prend de l'ampleur
>La Parisienne > Société|18 novembre 2015, 15h43|3
Société
En déclenchant sa ceinture d'explosifs plutôt que d'être capturée vivante, la Française qui a péri mercredi matin à Saint-Denis a ouvert une nouvelle ère en France, mais rejoint une longue cohorte de femmes kamikazes, pas toutes musulmanes, qui se sont suicidées pour leur cause.
A l'aube, alors que les policiers d'élite défoncent la porte de l'appartement de Saint-Denis, la femme née à Clichy-la-Garenne, en 1989, se trouve en compagnie de quatre hommes. Hasna Aitboulahcen, qui se présente sur les écoutes téléphoniques comme la cousine Abdelhamid Abaaoud, le djihadiste belge considéré comme le planificateur des attentats de vendredi, choisit de se faire exploser. Depuis la veille, elle était pistée par les enquêteurs et les auraient conduit à l'«appartement conspiratif».
Hasna A n'aurait pas hésité à déclencher la ceinture d'explosifs qu'elle portait sur elle.
«Dans ce cas, c'est avant tout une marque de détermination», explique Fatima Lahnait, chercheuse, auteur du rapport «Femmes kamikazes, le jihad au féminin» publié par le Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). «L'endoctrinement et l'embrigadement sont tels qu'elle a préféré mourir que d'être arrêtée. Ce faisant, elle contribue à la lutte. Et là le sexe importe peu. Mais le fait que ce soit une femme va bien entendu multiplier l'impact de son acte sur la société».
La Belge Murielle Degauque se fait sauter en Irak (2005)
Si des centaines de femmes ont rejoint au cours des deux dernières années les «terres de jihad» syrienne ou irakienne, rares étaient celles qui avaient choisi la voie du martyr. Parmi elles, Muriel Degauque, une Belge convertie à l'islam, qui s'est fait sauter en novembre 2005 en Irak, au passage d'un convoi américain.
Désir de mort
Si elle a préféré la mort à la reddition, la kamikaze de Saint-Denis n'a pas choisi, contrairement à ceux qui se sont fait sauter vendredi soir dans les rues de Paris ou près du stade de France, faisant au moins 129 morts, de tenter de commettre un attentat-suicide visant des passants.
«La participation de femmes à des actes de carnage et de douleur dévastatrice a toujours suscité un mélange de stupéfaction, de révulsion et d'intérêt public», écrit Fatima Lahnait. «Comment appréhender le désir de mort de ces femmes qui aspirent à mourir mais aussi à tuer ?»
«La religion musulmane condamne en principe formellement le suicide, et pour les musulmans c'est d'autant plus condamnable que ce n'est pas le rôle qui leur est culturellement attribué», ajoute-t-elle. «Mais cela a été régulièrement contourné, notamment par les Libanais, les Palestiniens, Al Qaïda ou les Tchétchènes».
Elles représentent 15% du total des kamikazes recensés
En 1985 une Libanaise de seize ans, Sana Khyadali, précipite sa voiture piégée contre un convoi israélien, tuant deux soldats. Elle est la première d'une longue liste de femmes candidates au martyr dans son pays, mais aussi en Israël, Turquie, Inde, Pakistan, Ouzbékistan, Tchétchénie, Irak.
A partir de cette date et jusqu'en 2006, «plus de 220 femmes kamikazes se sont sacrifiées, ce qui représente près de 15% du total des kamikazes recensés», précise la chercheuse dans son rapport.
Des enfants
Parmi elles figure l'irakienne Sajida al-Rashawi, qui avait tenté en novembre 2005 de se faire exploser parmi les convives d'une noce palestinienne dans un grand hôtel d'Amman (Jordanie). Les chefs d'Al Qaïda, qui la considéraient comme une héroïne, demandaient sa libération. Après la mort du pilote jordanien Maaz al-Kassasbeh, brûlé vif dans une cage par l'EI, elle a été pendue en février.
C'est actuellement le groupe jihadiste nigérian Boko Haram qui a le plus recours aux femmes kamikazes, allant même jusqu'à envoyer dans des marchés surpeuplés des fillettes dont la plus jeune avait sept ans. Dans ce cas, les chefs gardent souvent le contrôle de l'explosion de la charge, qu'ils déclenchent à distance par téléphone.
«A Maiduguri (grande ville du nord du Nigeria), les attentats-suicide sont quotidiens», dit Marc-Antoine Pérouse de Montclos, chercheur à l'Institut de recherche pour le développement (IRD). «Ce sont surtout des femmes ou des enfants, des fillettes, qui vengent la mort de leurs maris ou de leurs pères, tués dans des affrontements avec l'armée nigériane».
La vengeance, la perte d'un parent est aussi souvent à l'origine de la motivation des kamikazes tchétchènes, les fameuses «veuves noires», qui ont fait des dizaines de victimes.
Si les imams des groupes jihadistes promettent aux candidats au martyr les délices du paradis, notamment les fameuses 72 vierges, rien de tel pour les femmes kamikazes : «ce qu'on peut leur promettre, c'est de retrouver au paradis un être cher, un mari disparu, par exemple», précise Fatima Lahnait.
leparisien.fr
>La Parisienne > Société|18 novembre 2015, 15h43|3
Société
En déclenchant sa ceinture d'explosifs plutôt que d'être capturée vivante, la Française qui a péri mercredi matin à Saint-Denis a ouvert une nouvelle ère en France, mais rejoint une longue cohorte de femmes kamikazes, pas toutes musulmanes, qui se sont suicidées pour leur cause.
A l'aube, alors que les policiers d'élite défoncent la porte de l'appartement de Saint-Denis, la femme née à Clichy-la-Garenne, en 1989, se trouve en compagnie de quatre hommes. Hasna Aitboulahcen, qui se présente sur les écoutes téléphoniques comme la cousine Abdelhamid Abaaoud, le djihadiste belge considéré comme le planificateur des attentats de vendredi, choisit de se faire exploser. Depuis la veille, elle était pistée par les enquêteurs et les auraient conduit à l'«appartement conspiratif».
Hasna A n'aurait pas hésité à déclencher la ceinture d'explosifs qu'elle portait sur elle.
«Dans ce cas, c'est avant tout une marque de détermination», explique Fatima Lahnait, chercheuse, auteur du rapport «Femmes kamikazes, le jihad au féminin» publié par le Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R). «L'endoctrinement et l'embrigadement sont tels qu'elle a préféré mourir que d'être arrêtée. Ce faisant, elle contribue à la lutte. Et là le sexe importe peu. Mais le fait que ce soit une femme va bien entendu multiplier l'impact de son acte sur la société».
La Belge Murielle Degauque se fait sauter en Irak (2005)
Si des centaines de femmes ont rejoint au cours des deux dernières années les «terres de jihad» syrienne ou irakienne, rares étaient celles qui avaient choisi la voie du martyr. Parmi elles, Muriel Degauque, une Belge convertie à l'islam, qui s'est fait sauter en novembre 2005 en Irak, au passage d'un convoi américain.
Désir de mort
Si elle a préféré la mort à la reddition, la kamikaze de Saint-Denis n'a pas choisi, contrairement à ceux qui se sont fait sauter vendredi soir dans les rues de Paris ou près du stade de France, faisant au moins 129 morts, de tenter de commettre un attentat-suicide visant des passants.
«La participation de femmes à des actes de carnage et de douleur dévastatrice a toujours suscité un mélange de stupéfaction, de révulsion et d'intérêt public», écrit Fatima Lahnait. «Comment appréhender le désir de mort de ces femmes qui aspirent à mourir mais aussi à tuer ?»
«La religion musulmane condamne en principe formellement le suicide, et pour les musulmans c'est d'autant plus condamnable que ce n'est pas le rôle qui leur est culturellement attribué», ajoute-t-elle. «Mais cela a été régulièrement contourné, notamment par les Libanais, les Palestiniens, Al Qaïda ou les Tchétchènes».
Elles représentent 15% du total des kamikazes recensés
En 1985 une Libanaise de seize ans, Sana Khyadali, précipite sa voiture piégée contre un convoi israélien, tuant deux soldats. Elle est la première d'une longue liste de femmes candidates au martyr dans son pays, mais aussi en Israël, Turquie, Inde, Pakistan, Ouzbékistan, Tchétchénie, Irak.
A partir de cette date et jusqu'en 2006, «plus de 220 femmes kamikazes se sont sacrifiées, ce qui représente près de 15% du total des kamikazes recensés», précise la chercheuse dans son rapport.
Des enfants
Parmi elles figure l'irakienne Sajida al-Rashawi, qui avait tenté en novembre 2005 de se faire exploser parmi les convives d'une noce palestinienne dans un grand hôtel d'Amman (Jordanie). Les chefs d'Al Qaïda, qui la considéraient comme une héroïne, demandaient sa libération. Après la mort du pilote jordanien Maaz al-Kassasbeh, brûlé vif dans une cage par l'EI, elle a été pendue en février.
C'est actuellement le groupe jihadiste nigérian Boko Haram qui a le plus recours aux femmes kamikazes, allant même jusqu'à envoyer dans des marchés surpeuplés des fillettes dont la plus jeune avait sept ans. Dans ce cas, les chefs gardent souvent le contrôle de l'explosion de la charge, qu'ils déclenchent à distance par téléphone.
«A Maiduguri (grande ville du nord du Nigeria), les attentats-suicide sont quotidiens», dit Marc-Antoine Pérouse de Montclos, chercheur à l'Institut de recherche pour le développement (IRD). «Ce sont surtout des femmes ou des enfants, des fillettes, qui vengent la mort de leurs maris ou de leurs pères, tués dans des affrontements avec l'armée nigériane».
La vengeance, la perte d'un parent est aussi souvent à l'origine de la motivation des kamikazes tchétchènes, les fameuses «veuves noires», qui ont fait des dizaines de victimes.
Si les imams des groupes jihadistes promettent aux candidats au martyr les délices du paradis, notamment les fameuses 72 vierges, rien de tel pour les femmes kamikazes : «ce qu'on peut leur promettre, c'est de retrouver au paradis un être cher, un mari disparu, par exemple», précise Fatima Lahnait.
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