Jesus(as) n'est pas mort!

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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kyné byzaro

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Ecrit le 02 août04, 03:12

Message par kyné byzaro »

nasser a écrit :ecoute byzarro!

lis le en arabe et tu comprendras!
J'ai fait une recherche sur les traductions anglaises de 3:54: Wamakaroo wamakara Allahu waAllahu khayru almakireena. Il semble que vous ayez raison et que vous ayez trouvé le 100ème Nom de votre Dieu: le Rusé ou le Malin. Maintenant, je comprends mieux pourquoi la traduction française modifie complètement le sens du texte.

Ce verset 3:54, c'est ce que j'appelle DE LA BOMBE!!!! (Merci Nasser! vos conseils de lecture sont précieux! si vous en avez d'autres, n'hésitez pas!)

francis

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Hadiths faibles

Ecrit le 02 août04, 03:32

Message par francis »

Amis musulmans, n'avez-vous pas rencontré un problème analogue avec vos hadiths dont certains ont été déclarés "faibles" ? Lorsqu'un hadith est qualifié de "faible", ne dites-vous pas : "C'est parce que nous ne croyons pas que son contenu ait véritablement été dit par Muhammad ou l'un de ses compagnons" ?

Pierre, Jean et Jacques étaient-ils en désaccord profond avec Paul ?
Les passages suivantes tirés de l'Evangile-Nouveau Testament, prouvent que ces hommes étaient d'authentiques amis et en parfait accord doctrinal.
A. Dans sa lettre aux Galates, Paul déclare :
"Ensuite, quatorze ans plus tard, je montai de nouveau à Jérusalem avec Barnabas... J'y montai par suite d'une révélation. Je leur exposai l'Evangile que je prêche parmi les païens... de peur de courir ou d'avoir couru en vain."
" Jacques (le frère de Jésus), Pierre et Jean, considérés comme des colonnes, nous donnèrent la main droite à Barnabas et à moi, en signe de communion... nous devions seulement nous souvenir des pauvres..." (2.1-2, 9-10).
B. Actes 21.17-20 décrit la fin du dernier voyage de Paul à Jérusalem, environ 5 ans avant sa mort:
"A notre arrivée à Jérusalem, les frères nous reçurent avec joie. Le lendemain, Paul se rendit avec nous chez Jacques (le frère de Jésus) et tous les anciens y vinrent aussi. Après les avoir salués, il (Paul) se mit à raconter en détail ce que Dieu avait fait au milieu des païens par son ministère. En l'écoutant, ils glorifiaient Dieu."
C. Enfin, dans la seconde des deux lettres que Pierre écrivit lui-même, nous lisons:
"Considérez que la patience de notre Seigneur est votre salut, comme notre bien-aimé frère Paul vous l'a aussi écrit selon la sagesse qui lui a été donnée. C'est ce qu'il fait dans toutes les lettres où il parle de ces sujets, et où se trouvent des passages difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme elles le font du reste des Ecritures, pour leur propre perdition" (2 Pierre 3.15-16).
Ces versets nous apprennent que Paul s'est rendu à Jérusalem pour vérifier si sa prédication était conforme à celle de Pierre, de Jean et de Jacques. Ils nous apprennent qu'à la fin de sa vie, Paul entretenait des relations cordiales avec Jacques. Ils nous apprennent encore que Pierre considérait les écrits de Paul comme "Ecriture".
Galates 2.11-16 rapporte une réprimande adressée par Paul à Pierre, mais le texte cité plus haut fait état d'une réconciliation entre les deux hommes.
Pourquoi le Dr Bucaille passe-t-il ces versets sous silence ? Si j'omettais des versets aussi importants que ceux-ci lorsque je cite le Coran, est-ce que cela n'équivaudrait pas à changer le contexte par élimination de preuves ? C'est comme si j'affirmais qu'il y avait entre Abou Bakr, Omar et Uthman des dissensions profondes, alors que le Hadith prétend le contraire.
Assurément il y eut des luttes. Mais elles opposaient Paul, Pierre, Jacques et Jean d'un côté aux chrétiens judaïsants de l'autre.
L'impact de cette lutte sur l'Evangile-Nouveau Testament
Le livre des Actes et les lettres de Paul présentent trois niveaux d'affrontement.
II y a d'abord l'affrontement entre Paul et les païens, adorateurs d'idoles. D'après Actes 19, lorsque des personnes avaient accepté Christ comme leur Sauveur, suite à la prédication de Paul, elles "abandonnaient les idoles mortes pour servir le Dieu vivant". Elles cessaient d'acheter des statues et autres images de métal. C'est la raison pour laquelle les orfèvres d'Ephèse se mirent en colère, provoquèrent une gigantesque émeute et contraignirent Paul à quitter la ville.
Il y avait ensuite affrontement entre les apôtres et ceux des juifs qui refusaient l'Evangile. Actes 12 rapporte la mise à mort de Jacques, le frère de Jean, et l'emprisonnement de Pierre. Dans Actes 14.19 il est dit :
"Puis survinrent d'Antioche et d'Iconium des juifs qui gagnèrent les foules, lapidèrent Paul et le traînèrent hors de la ville, pensant qu'il était mort."
Il y avait enfin affrontement entre Pierre, Jean et Paul d'un" côté, et les judéo-chrétiens de l'autre. C'est essentiellement à ce troisième type de conflit que fait allusion le Dr Bucaille.
Le lecteur se demande certainement ce que recouvre l'expression "judéo-chrétien". Pierre, Jacques, Jean et tous les disciples n'étaient-ils pas des juifs devenus chrétiens ? Quelle est alors la différence entre ces chrétiens (d'origine juive) et les judéo-chrétiens ?
Que croyaient les judéo-chrétiens ?
Contrairement à tout ce que nous aurions pu imaginer, nous nous apercevons qu'ils acceptaient la doctrine de l'Evangile.
Dans son livre, le Dr Bucaille se réfère maintes fois aux travaux du Cardinal Daniélou, sur les judéo-chrétiens. Il écrit notamment à la page 31 :
"Le Christianisme, initialement judéo-christianisme, si bien étudié... par les auteurs modernes comme le Cardinal Daniélou, avant de subir sa transformation sous l'influence de Paul, a très normalement reçu cet héritage de l'Ancien Testament (Torah )."
A la page 62 le Dr. Bucaille écrit :
"En reprenant des travaux antérieurs, il (le Cardinal Daniélou) en retrace l'histoire et nous permet de situer l'apparition des Evangiles dans un contexte bien différent de celui qui ressort des exposés destinés à la grande vulgarisation."
Ces extraits donnent l'impression que Daniélou aurait découvert un Evangile différent au sein de la communauté judéo-chrétienne. Mais si nous nous référons aux travaux personnels du Cardinal Daniélou dans leur contexte, nous nous rendons compte qu'il en tire des conclusions tout à fait opposées.
A la fin de son oeuvre monumentale Théologie du Judéo-Christianisme(5) dans laquelle le Cardinal examine tous les documents disponibles jusqu'à 1964, date de parution de son livre, il déclare :
" Nous nous étions proposé, au début du livre, de poursuivre une enquête à travers les documents qui subsistent de la période judéo-chrétienne de l'Ancienne Eglise, afin de voir si les données qu'ils présentent ont suffisamment de traits communs pour permettre de parler d'une théologie judéo-chrétienne."
" La théologie judéo-chrétienne nous est ainsi apparue comme une théologie de l'histoire, mais cette théologie de l'histoire a un caractère cosmique... La préoccupation essentielle des théologiens judéo-chrétiens est en effet de montrer que les événements de la vie du Christ et de l'Eglise sont la réalisation du dessein éternel de Dieu."
"L'action du Verbe remplit tous les espaces spirituels. Elle s'étend du septième ciel aux enfers. Elle concerne ainsi la totalité des créatures. Ceci s'est exprimé particulièrement par la symbolique de la croix, qui, à côté de sa relation à l'action créatrice, en tant que pivot de l'histoire a un symbolisme d'universalité et marque l'extension cosmique de l'action du Verbe." (p.434-435).
"Nous constatons en effet que la théologie judéo-chrétienne est bien une théologie au sens propre du mot, c'est-à-dire une tentative pour construire une vision d'ensemble à partir des données qui constituent les événements divins de l'Incarnation et de la Résurrection du Verbe. La théologie de Paul et de Jean est à bien des égards l'expression d'une spéculation commune qui lui est antérieure et dont les écrits judéo-chrétiens sont une autre attestation" (p. 433).
Le Cardinal Daniélou ne se contente pas d'affirmer que les judéo-chrétiens avaient la même foi que Paul en ce qui concerne Jésus et Dieu, mais à dix reprises au moins dans son livre, il cite Paul pour illustrer la foi des judéo-chrétiens.
Le désaccord entre les Apôtres et les judéo-chrétiens
Puisque le différend ne portait pas sur la foi en Jésus comme Sauveur, quelle pouvait bien être la cause d'une dissension si vive ? D'après l'Evangile-Nouveau Testament, le désaccord surgit au moment où des païens idolâtres se convertirent au christianisme.
Car alors se posa d'une manière aiguë la question de savoir si, outre l'acceptation de Christ comme Sauveur, il fallait imposer la circoncision et exiger le respect des lois religieuses cérémonielles de la Torah. En d'autres termes: pour devenir un chrétien accompli, fallait-il d'abord devenir Juif et se faire circoncire ? C'est de là qu'est né le terme " Judéo-Chrétien".
Paul dit : " Jésus a payé pour chacun de nos péchés. Son salut est gratuit. Il est accordé par pure grâce. Un point, c'est tout!".
Les Judéo-Chrétiens rétorquent : " Il est vrai que Jésus a payé pour nos péchés, mais chacun doit désormais obéir à la loi".
L'essentiel de leur enseignement est résumé dans Actes 15.1 :
"Quelques hommes, venus de la Judée. enseignaient les frères et disaient : Si vous ne vous faites pas circoncire selon la coutume de Moïse, vous ne pouvez être sauvés (même si vous avez accepté Jésus le Messie comme Sauveur)."
C'est cette divergence qui a amené Paul et Barnabas a se rendre a Jérusalem pour en discuter avec les autres apôtres.
Au cours de la discussion, Pierre déclara :
"Pourquoi tentez-vous Dieu, et mettez-vous sur le cou des disciples un joug que nos pères et nous-mêmes nous n'avons pas été capables de porter ? Mais c'est par la grâce du Seigneur Jésus que nous croyons être sauvés de la même manière qu'eux " (Actes 15.10-11).
On pourrait paraphraser le témoignage de Pierre ainsi : "Non, nous autres Juifs, nous ne sommes pas sauvés parce que nous sommes Juifs. Nous sommes sauvés pour avoir accepté Jésus comme Sauveur et pour être devenus chrétiens. C'est pourquoi il n'est pas nécessaire que les païens qui se tournent vers Christ deviennent d'abord Juifs." Telle fut d'ailleurs la conclusion de cette conférence. Les chrétiens de souche païenne n'eurent pas à se faire circoncire.
L'argumentation détaillée de cette question fait l'objet de la lettre de Paul aux Galates et d'une partie du livre des Actes (chapitres 10-15). On s'aperçoit que sur ce point précis, Jacques, le frère de Jésus, et Pierre étaient en plein accord avec Paul. Les judéo-chrétiens refusèrent d'appliquer cette décision dont ils rendaient Paul responsable. C'est pourquoi ils le persécutèrent comme le principal propagateur de cette conception chrétienne.
L'Islam et les révélations antérieures
La question du lien entre l'Islam et les révélations antérieures ne semble pas s'être posée aux premiers musulmans, et je me demande pourquoi. On pourrait penser qu'à moins que le Coran n'ait abrogé un commandement de la Torah ou de l'Evangile, ce commandement, ou cet enseignement, demeure valable pour les musulmans.
Ainsi, pourquoi les musulmans ne pratiquent-ils pas la circoncision de leurs fils le 8ème jour, comme Dieu le demande à Abraham ? Genèse 17.9-12 déclare en effet :
"Dieu dit à Abraham... Voici comment vous garderez l'alliance que je traite avec vous et avec ta descendance après toi : tout mâle parmi vous sera circoncis. Vous vous circoncirez comme signe d'alliance entre vous et moi. A l'âge de huit jours, tout mâle parmi vous sera circoncis, dans toutes vos générations, qu'il soit né dans ta maison, ou qu'il soit acquis à prix d'argent."
Le Coran clame bien haut qu'il remonte à la vraie religion d'Abraham. Et cependant, la plupart des musulmans circoncisent leurs fils quand ils sont plus âgés, entre trois et six ans. Cette pratique semble aller à l'encontre de l'ordre précis et clair donné par Dieu à Abraham de circoncire les garçons à l'âge de huit jours.
Quoi qu'il en soit, même si nous imaginons deux groupes de musulmans opposés sur cette question, l'un affirmant : " Nous devons pratiquer la circoncision le huitième jour comme Dieu l'a ordonné à Abraham" et l'autre rétorquant : "Non, ce n'est plus nécessaire", nous n'aurions pas un reflet exact du conflit qui secoua l'Eglise primitive. Car la discussion portait sur un sujet autrement plus important.
Sommes-nous sauvés par nos efforts à garder la loi inscrite dans la Torah ou dans le Coran ?
Ou sommes nous sauvés uniquement par la grâce et la miséricorde de Dieu qui a pavé la dette de nos péchés par Christ ?


La doctrine qu'il renferme peut être orthodoxe, mais vous mettez en doute qu'elle soit authentique ou "forte". C'est exactement ce que nous autres, chrétiens, exprimons en déclarant tel livre "apocryphe", ou "non canonique", ou "non authentique".
Conclusion
L'examen des trois points énoncés par le Dr. Bucaille a révélé leur fragilité et leur faiblesse. Nous ne disposons d'aucune preuve pour affirmer que les conflits religieux du premier siècle de notre ère aient empêché le Saint Esprit de Dieu de guider ses Prophètes et ses Apôtres. Car, après tout, il est le Dieu Tout-Puissant, créateur des cieux et de la terre. Quel homme pourrait modifier Sa volonté ou Sa parole ?
De plus, la thèse du Dr. Bucaille s'oppose manifestement au Coran. Nous avons vu, au chapitre I de la deuxième section, que le Coran affirme, dans la Sourate 61.14 (Sourate du Rang, Al-Saff ) de l'an 3 de l'Hégire, que
"... Un groupe des fils d'Israël crut, un groupe fut incrédule. Nous avons soutenu contre leurs ennemis ceux qui croyaient et ils ont remporté la victoire" (trad. D. Masson).
La Sourate du Fer (Al-Hadîd) 57.27, de l'an 8 de l'Hégire, nous a appris qu'il existait d'authentiques croyants chrétiens lorsque furent fondés les ordres monastiques, vers 300, donc bien longtemps après la disparition du judéo-christianisme. En conséquence, d'après le Coran, le Christianisme qui prévalut ne pouvait pas avoir été altéré par les luttes du premier siècle, comme le laissait pourtant entendre le Dr Bucaille.

nasser

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Message par nasser »

kyné byzaro a écrit : J'ai fait une recherche sur les traductions anglaises de 3:54: Wamakaroo wamakara Allahu waAllahu khayru almakireena. Il semble que vous ayez raison et que vous ayez trouvé le 100ème Nom de votre Dieu: le Rusé ou le Malin. Maintenant, je comprends mieux pourquoi la traduction française modifie complètement le sens du texte.

Ce verset 3:54, c'est ce que j'appelle DE LA BOMBE!!!! (Merci Nasser! vos conseils de lecture sont précieux! si vous en avez d'autres, n'hésitez pas!)
quel scoop??? 8-)

mais ne te réjouis pas trop vite!

sais tu pourkoi???

parce que dans la bible YAHWE dit:

car je ruse avec celui qui ruse

DIEU est juste et impartial, il trompe celui qui veut tromper!

alors mr byzaro tu vois bien que YAHWE ruse aussi! normal c' le même DIEU!

je suis YAHWE je ne varie pas

kyné byzaro

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Ecrit le 02 août04, 08:06

Message par kyné byzaro »

nasser a écrit :quel scoop??? 8-)
Oui, c'est un scoop. J'ai la traduction Hamidoullah du Coran et je m'aperçois qu'elle est totalement fausse et ce qu'elle tente de cacher est énorme.
nasser a écrit :mais ne te réjouis pas trop vite!

sais tu pourkoi???

parce que dans la bible YAHWE dit:

car je ruse avec celui qui ruse
1° Je n'ai aucun souvenir de ce passage.
2° La Bible est inspirée et pas révélée. S'il y a une formulation hasardeuse c'est le scribe qu'il faut blâmer, pas Dieu. Par contre, le Coran est supposé être la parole même d'Allah, dans ses mots mêmes, et il se désigne lui-même comme le Rusé, l'Habile en manipulation. Les chrétiens ne connaissent qu'un seul Rusé et un seul Manipulateur. Ils l'appellent également l'Adversaire.

nasser

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Ecrit le 03 août04, 08:10

Message par nasser »

kyné byzaro a écrit : Oui, c'est un scoop. J'ai la traduction Hamidoullah du Coran et je m'aperçois qu'elle est totalement fausse et ce qu'elle tente de cacher est énorme.
1° Je n'ai aucun souvenir de ce passage.
2° La Bible est inspirée et pas révélée. S'il y a une formulation hasardeuse c'est le scribe qu'il faut blâmer, pas Dieu. Par contre, le Coran est supposé être la parole même d'Allah, dans ses mots mêmes, et il se désigne lui-même comme le Rusé, l'Habile en manipulation. Les chrétiens ne connaissent qu'un seul Rusé et un seul Manipulateur. Ils l'appellent également l'Adversaire.
kiné byzarro!

je te le jure, que c' est YAHWE qui dit dans la bible:

je ruse avec celui qui ruse

je te le jure kiné byzarro!

ecoute, parlons bien , regarde les psaumes et tu verras par toi même!

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