Les musulmans aussi aiment Jésus
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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- slamani
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Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 08 juil.09, 07:17salut,
Les chrétiens parlent souvent de développer un lien avec Jésus et de l’accepter dans leur vie. Ils affirment que Jésus était bien plus qu’un homme et qu’il est mort sur la croix pour délivrer les hommes du péché originel. Les chrétiens parlent de Jésus avec amour et respect et il est évident qu’il occupe une place très spéciale dans leur vie et leur cœur. Mais qu’en est-il des musulmans? Que pensent-ils de Jésus et quelle place ce dernier occupe-t-il au sein de l’islam?
Celui qui n’est pas familier avec l’islam sera sans doute surpris d’apprendre que les musulmans aussi aiment Jésus. Habituellement, le musulman n’omet jamais de faire suivre la mention du nom de Jésus de la formule « que la paix soit sur lui ». En islam, Jésus est un homme aimé et estimé, un prophète et messager qui a appelé son peuple à l’adoration du seul Dieu véritable.
Les musulmans et les chrétiens partagent des croyances très similaires sur Jésus. Ils croient tous qu’il est né de la vierge Marie et qu’il était le Messie envoyé au peuple d’Israël. Ils croient également que Jésus reviendra sur terre peu avant le Jour Dernier. Mais il y a un détail, sur Jésus, qui crée un monde de distance entre les musulmans et les chrétiens : les musulmans ont la certitude que Jésus n’était ni l’incarnation de Dieu ni le fils de Dieu, et qu’il ne faisait partie d’aucune trinité.
Dans le Coran, Dieu s’adresse directement aux chrétiens :
« Ô gens du Livre! N’exagérez pas dans votre religion et ne dites, sur Dieu, que la vérité. Le Messie, Jésus fils de Marie, n’était qu’un messager de Dieu, Sa parole qu’Il transmit à Marie et un esprit provenant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers, et ne dites plus « Trois ». Cessez! Ce sera bien mieux pour vous. Votre Dieu est un Dieu unique. Il est trop parfait pour avoir un fils. C’est à Lui qu’appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Et Il suffit comme protecteur. » (Coran 4:171)
Tout comme l’islam nie catégoriquement que Jésus fût l’incarnation de Dieu, il rejette également la notion selon laquelle les hommes naîtraient en portant en eux un quelconque péché originel. Le Coran nous dit qu’il est impossible, pour une personne, de porter le fardeau des péchés d’une autre personne et que nous sommes tous responsables de nos propres actions devant Dieu : « Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18). Dieu, cependant, dans Son infinie miséricorde et sagesse, n’a pas abandonné les hommes à eux-mêmes. Il a fait descendre des messages et des lois qui leur expliquent comment L’adorer et vivre selon Ses commandements. Les musulmans doivent croire en tous les prophètes et les aimer; en rejeter un revient à rejeter l’islam. Jésus faisait partie de la longue lignée de prophètes et messagers qui ont, à travers les âges, appelé les gens à n’adorer qu’un seul Dieu. Il a été envoyé au peuple d’Israël spécifiquement, car ce dernier s’était, à l’époque, éloigné du sentier de Dieu. Jésus a dit :
« Et (je viens) vous confirmer ce qu’il y avait avant moi, dans la Torah, et je vous rends licite une partie de ce qui vous était interdit. Je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur; alors craignez Dieu et obéissez-moi. Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le. Voilà le droit chemin. » (Coran 3:50-51)
Les musulmans aiment et admirent Jésus. Mais la perception qu’ils en ont demeure fidèle à celle du Coran et à celle qui transparaît dans les paroles du prophète Mohammed. Trois sourates du Coran parlent de la vie de Jésus, de sa mère, Marie, et de leur famille, et chacune révèle des détails que l’on ne retrouve pas dans la Bible.
Le prophète Mohammed a souvent parlé de Jésus et l’a même décrit comme son frère.
« De tous, je suis le plus proche du fils de Marie. Tous les prophètes sont des frères paternels et il n’y a eu aucun autre prophète entre lui [Jésus] et moi. » (sahih al-Boukhari)
Suivons donc l’histoire de Jésus telle qu’elle apparaît à travers les différentes sources islamiques; nous comprendrons alors comment et pourquoi il occupe, en islam, une place aussi importante.
Le premier miracle
Le Coran nous apprend que Marie, la fille d’Imran, était une jeune femme célibataire, chaste et pieuse, dévouée à l’adoration de Dieu. Un jour, alors qu’elle profitait de la solitude, l’ange Gabriel vint la voir pour lui annoncer qu’elle serait bientôt mère. Choquée et consternée par cette nouvelle, elle ressentit une grande frayeur. Dieu dit, dans le Coran :
« Et Nous ferons de lui un signe pour les gens et une miséricorde émanant de Nous. C’est une affaire déjà décrétée. » (Coran 19:21)
Marie devint donc enceinte de Jésus, et lorsque vint le temps d’accoucher, elle s’éloigna de sa famille et se dirigea vers Bethléem. Au pied d’un dattier, elle donna naissance à son fils.
Après s’être reposée et remise de la douleur et de la peur qu’elle avait ressenties en donnant naissance toute seule, elle comprit qu’elle devait retourner chez les siens. C’est avec crainte et angoisse qu’elle emmitoufla l’enfant pour le bercer dans ses bras. Comment pourrait-elle expliquer cette naissance à sa famille? C’est alors qu’elle entendit les paroles de Dieu, suite à quoi elle décida de retourner à Jérusalem.
« Si tu vois quelqu’un d’entre les humains, dis-lui : « J’ai fait vœu de jeûne, à mon Seigneur; je ne peux donc parler à aucun être humain, aujourd’hui. » Puis elle revint auprès des siens, portant son bébé. » (Coran 19:26-27)
Dieu savait que si Marie essayait de fournir des explications, son peuple ne la croirait pas. Alors, dans Son infinie sagesse, Il lui dit de ne pas parler. Dès qu’ils aperçurent Marie avec un bébé, les siens se mirent à l’accuser; mais elle suivit les instructions de Dieu et s’abstint de répondre. Cette femme timide et chaste pointa tout simplement son doigt en direction du nourrisson qu’elle tenait dans ses bras.
Les gens qui l’entouraient la regardèrent avec incrédulité et lui demandèrent comment ils étaient censés parler à un nouveau-né. C’est alors que par la permission de Dieu, Jésus, le fils de Marie nouvellement né, accomplit son premier miracle. Il parla et dit :
« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)
Les musulmans croient que Jésus était un serviteur et messager de Dieu envoyé spécifiquement au peuple d’Israël de son époque. Il a accompli de nombreux miracles par la permission de Dieu. Les paroles suivantes, du prophète Mohammed, résument la position importante qu’occupe Jésus au sein de l’islam :
« Quiconque atteste qu’il n’y a pas de divinité à part Dieu, sans partenaire ni associé, que Mohammed est Son serviteur et messager, que Jésus est Son serviteur et messager de même que la parole de Dieu descendue sur Marie et un esprit créé par Lui, que le Paradis est réel et que l’Enfer est réel, Dieu le fera entrer au Paradis par la porte qu’il choisira parmi les huit portes par lesquelles il est possible d’y entrer. » (sahih al-Boukhari et sahih Mouslim)
Les chrétiens parlent souvent de développer un lien avec Jésus et de l’accepter dans leur vie. Ils affirment que Jésus était bien plus qu’un homme et qu’il est mort sur la croix pour délivrer les hommes du péché originel. Les chrétiens parlent de Jésus avec amour et respect et il est évident qu’il occupe une place très spéciale dans leur vie et leur cœur. Mais qu’en est-il des musulmans? Que pensent-ils de Jésus et quelle place ce dernier occupe-t-il au sein de l’islam?
Celui qui n’est pas familier avec l’islam sera sans doute surpris d’apprendre que les musulmans aussi aiment Jésus. Habituellement, le musulman n’omet jamais de faire suivre la mention du nom de Jésus de la formule « que la paix soit sur lui ». En islam, Jésus est un homme aimé et estimé, un prophète et messager qui a appelé son peuple à l’adoration du seul Dieu véritable.
Les musulmans et les chrétiens partagent des croyances très similaires sur Jésus. Ils croient tous qu’il est né de la vierge Marie et qu’il était le Messie envoyé au peuple d’Israël. Ils croient également que Jésus reviendra sur terre peu avant le Jour Dernier. Mais il y a un détail, sur Jésus, qui crée un monde de distance entre les musulmans et les chrétiens : les musulmans ont la certitude que Jésus n’était ni l’incarnation de Dieu ni le fils de Dieu, et qu’il ne faisait partie d’aucune trinité.
Dans le Coran, Dieu s’adresse directement aux chrétiens :
« Ô gens du Livre! N’exagérez pas dans votre religion et ne dites, sur Dieu, que la vérité. Le Messie, Jésus fils de Marie, n’était qu’un messager de Dieu, Sa parole qu’Il transmit à Marie et un esprit provenant de Lui. Croyez donc en Dieu et en Ses messagers, et ne dites plus « Trois ». Cessez! Ce sera bien mieux pour vous. Votre Dieu est un Dieu unique. Il est trop parfait pour avoir un fils. C’est à Lui qu’appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Et Il suffit comme protecteur. » (Coran 4:171)
Tout comme l’islam nie catégoriquement que Jésus fût l’incarnation de Dieu, il rejette également la notion selon laquelle les hommes naîtraient en portant en eux un quelconque péché originel. Le Coran nous dit qu’il est impossible, pour une personne, de porter le fardeau des péchés d’une autre personne et que nous sommes tous responsables de nos propres actions devant Dieu : « Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18). Dieu, cependant, dans Son infinie miséricorde et sagesse, n’a pas abandonné les hommes à eux-mêmes. Il a fait descendre des messages et des lois qui leur expliquent comment L’adorer et vivre selon Ses commandements. Les musulmans doivent croire en tous les prophètes et les aimer; en rejeter un revient à rejeter l’islam. Jésus faisait partie de la longue lignée de prophètes et messagers qui ont, à travers les âges, appelé les gens à n’adorer qu’un seul Dieu. Il a été envoyé au peuple d’Israël spécifiquement, car ce dernier s’était, à l’époque, éloigné du sentier de Dieu. Jésus a dit :
« Et (je viens) vous confirmer ce qu’il y avait avant moi, dans la Torah, et je vous rends licite une partie de ce qui vous était interdit. Je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur; alors craignez Dieu et obéissez-moi. Certes, Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur; alors adorez-Le. Voilà le droit chemin. » (Coran 3:50-51)
Les musulmans aiment et admirent Jésus. Mais la perception qu’ils en ont demeure fidèle à celle du Coran et à celle qui transparaît dans les paroles du prophète Mohammed. Trois sourates du Coran parlent de la vie de Jésus, de sa mère, Marie, et de leur famille, et chacune révèle des détails que l’on ne retrouve pas dans la Bible.
Le prophète Mohammed a souvent parlé de Jésus et l’a même décrit comme son frère.
« De tous, je suis le plus proche du fils de Marie. Tous les prophètes sont des frères paternels et il n’y a eu aucun autre prophète entre lui [Jésus] et moi. » (sahih al-Boukhari)
Suivons donc l’histoire de Jésus telle qu’elle apparaît à travers les différentes sources islamiques; nous comprendrons alors comment et pourquoi il occupe, en islam, une place aussi importante.
Le premier miracle
Le Coran nous apprend que Marie, la fille d’Imran, était une jeune femme célibataire, chaste et pieuse, dévouée à l’adoration de Dieu. Un jour, alors qu’elle profitait de la solitude, l’ange Gabriel vint la voir pour lui annoncer qu’elle serait bientôt mère. Choquée et consternée par cette nouvelle, elle ressentit une grande frayeur. Dieu dit, dans le Coran :
« Et Nous ferons de lui un signe pour les gens et une miséricorde émanant de Nous. C’est une affaire déjà décrétée. » (Coran 19:21)
Marie devint donc enceinte de Jésus, et lorsque vint le temps d’accoucher, elle s’éloigna de sa famille et se dirigea vers Bethléem. Au pied d’un dattier, elle donna naissance à son fils.
Après s’être reposée et remise de la douleur et de la peur qu’elle avait ressenties en donnant naissance toute seule, elle comprit qu’elle devait retourner chez les siens. C’est avec crainte et angoisse qu’elle emmitoufla l’enfant pour le bercer dans ses bras. Comment pourrait-elle expliquer cette naissance à sa famille? C’est alors qu’elle entendit les paroles de Dieu, suite à quoi elle décida de retourner à Jérusalem.
« Si tu vois quelqu’un d’entre les humains, dis-lui : « J’ai fait vœu de jeûne, à mon Seigneur; je ne peux donc parler à aucun être humain, aujourd’hui. » Puis elle revint auprès des siens, portant son bébé. » (Coran 19:26-27)
Dieu savait que si Marie essayait de fournir des explications, son peuple ne la croirait pas. Alors, dans Son infinie sagesse, Il lui dit de ne pas parler. Dès qu’ils aperçurent Marie avec un bébé, les siens se mirent à l’accuser; mais elle suivit les instructions de Dieu et s’abstint de répondre. Cette femme timide et chaste pointa tout simplement son doigt en direction du nourrisson qu’elle tenait dans ses bras.
Les gens qui l’entouraient la regardèrent avec incrédulité et lui demandèrent comment ils étaient censés parler à un nouveau-né. C’est alors que par la permission de Dieu, Jésus, le fils de Marie nouvellement né, accomplit son premier miracle. Il parla et dit :
« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)
Les musulmans croient que Jésus était un serviteur et messager de Dieu envoyé spécifiquement au peuple d’Israël de son époque. Il a accompli de nombreux miracles par la permission de Dieu. Les paroles suivantes, du prophète Mohammed, résument la position importante qu’occupe Jésus au sein de l’islam :
« Quiconque atteste qu’il n’y a pas de divinité à part Dieu, sans partenaire ni associé, que Mohammed est Son serviteur et messager, que Jésus est Son serviteur et messager de même que la parole de Dieu descendue sur Marie et un esprit créé par Lui, que le Paradis est réel et que l’Enfer est réel, Dieu le fera entrer au Paradis par la porte qu’il choisira parmi les huit portes par lesquelles il est possible d’y entrer. » (sahih al-Boukhari et sahih Mouslim)
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
- gabrielange
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 09 juil.09, 18:10tu nous apprends rien sur le fait que les musulmans aiment jesus aussi , puisque leur doctrine est fonde sur le judaisme t le christianisme et affirme que l islam est l accomplissement de ces dernieres .Maintenant jesus n etait pas un simple homme comme nous tous ou meme mahomet; il a ete conçu par le saint esprit donc dieu lui meme, il n a jamais commis de péchés dans sa vie d homme, il a accomplit des miracles comme ressuscite les morts , guerir les malades, commandé au vent et a la mer etc..., des miracles qui n ont jamais ete accompli par aucun humain meme moise.quand on parle de trinite tout de suite les musulmans disent que nous sommes polytheistes , ce qui est totalement faux puisque puisque c est le fils , le pere et le saint esprit aucun rapport avec trois dieux ou je ne sais quoi.Maintenant il est impossible que mahomet soit le dernier des prophetes puisqu'il est en contradiciton avec les enseignements de jésus , ce qui voudrait dire que dieu après avoir envoyé jésus enseigné au peuple , il enverrait 6 siecle plus tard mahomet le contredire donc se contredire lui-même, incohérent.Jésus a aussi mis en garde les faux prophètes qui viendraient après lui en precisant qu il n yauraient plus personne apres lui.il a aussi dit qu on les reconnaitrait a leur fruit , qu un bon arbre ne faisait pas de mauvais fruits. l arbre represente l homme et les fruits ses actions.quand on regarde les actions de mahomet on peut en conclure facilement qu il a commis de mauvaises actions .Maintenant a ton avis qui est le plus REPRESENTATIF DE DIEU? MAHOMET UN HOMME QUI A FAIT LA GUERRE ? S EST MARIE AVEC DES ENFANTS ? ET A COMMIS DE NOMBREUX PECHES OU JESUS QUI N A JAMAIS TENU UNE EPEE , A ACCOMPLI DE NOMBREUX MIRACLES ET S EST SACRIFIE POUR NOUS SAUVER,
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 09 juil.09, 20:40Je ne crois pas que la question se pose en ses termes, mais plutôt en ses conséquences.
Car finalement la question n'est pas de savoir si on aime son prochain mort ou recussité, mais de savoir si on peu aimer son prochain présentement et de manière désintéressée, car il est toujours facile d'aimer ses amis, ses connaissances ou ses relations évoluant dans la même sphere de pensée.
Mais il est plus difficile d'aimer l'autre quand il est n'est pas dans la même sphére de pensée.
p.e. Aimer les musulman comme il sont quand on est chrétiens ou aimer les chrétiens comme il sont quand on est musulman.
C'est en ses termes d'amour que se pose le message des religions.
Car finalement la question n'est pas de savoir si on aime son prochain mort ou recussité, mais de savoir si on peu aimer son prochain présentement et de manière désintéressée, car il est toujours facile d'aimer ses amis, ses connaissances ou ses relations évoluant dans la même sphere de pensée.
Mais il est plus difficile d'aimer l'autre quand il est n'est pas dans la même sphére de pensée.
p.e. Aimer les musulman comme il sont quand on est chrétiens ou aimer les chrétiens comme il sont quand on est musulman.
C'est en ses termes d'amour que se pose le message des religions.
- slamani
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 10 juil.09, 04:23Le message de Jésus :
Nous avons déjà dit que Jésus, le fils de Marie, avait accompli son premier miracle alors que Marie le berçait dans ses bras. Par la permission de Dieu, il parla à ce moment-là, et ses premières paroles furent : « Je suis vraiment le serviteur de Dieu. » (Coran 19:30). Il ne dit pas « je suis Dieu » ni même « je suis le fils de Dieu ». Par ses premières paroles, il posa les assises mêmes de son message et de sa mission, qui était de ramener les gens vers l’adoration exclusive de Dieu.
À l’époque de Jésus, le concept d’un Dieu unique n’était pas nouveau pour les enfants d’Israël. La Torah disait déjà « Écoute, ô Israël! Ton Seigneur, Dieu, est unique ». Mais avec le temps, les hommes interprétèrent différemment les révélations de Dieu et leurs cœurs s’endurcirent. Jésus fut envoyé pour dénoncer les dirigeants des enfants d’Israël qui s’étaient détournés de Dieu pour mener une vie basée sur le matérialisme, et pour confirmer la loi de Moïse qui se trouve dans la Torah, mais qu’ils avaient modifiée à leur avantage.
La mission de Jésus consistait à confirmer la Torah, à rendre licites certaines choses qui étaient auparavant illicites et à réaffirmer la croyance en un Créateur unique. Le prophète Mohammed a dit :
« Chaque prophète a été envoyé exclusivement à sa nation, tandis que j’ai été envoyé à toute l’humanité. » (sahih al-Boukhari)
Jésus a donc été envoyé aux Israélites.
Dieu dit, dans le Coran, qu’Il a enseigné à Jésus la Torah et l’Évangile, de même que les Écritures et la sagesse :
« Dieu lui enseignera les Écritures et la sagesse, ainsi que la Torah et l’Évangile. » (Coran 3:48)
Afin qu’il puisse transmettre correctement son message, Dieu a enseigné la Torah à Jésus et a fait descendre sur lui l’Évangile. Dieu a également doté Jésus d’une facilité à guider et à influencer les gens, et l’a renforcé de signes et de miracles divers.
En fait, Dieu a soutenu tous Ses messagers à l’aide de miracles observables que les gens arrivaient à comprendre dans le contexte où ils leur apparaissaient. À l’époque de Jésus, les Israélites étaient très versés en médecine. Par conséquent, les miracles accomplis par Jésus (avec la permission de Dieu) étaient de cette nature et incluaient le fait de redonner la vue à l’aveugle, de guérir les lépreux et de ressusciter les morts. Dieu dit :
« Et tu guérissais, par Ma permission, l’aveugle-né et le lépreux. Et par Ma permission, tu faisais revivre les morts. » (Coran 5:110)
Jésus enfant :
Ni le Coran ni la Bible ne font référence à Jésus alors qu’il était enfant. Toutefois, nous pouvons aisément imaginer qu’en tant que fils de la famille d’Imran, il ne pouvait être que pieux, studieux et désireux d’influencer vers le bien les enfants et adultes de son entourage. Tout de suite après la mention de Jésus parlant au berceau, le Coran raconte l’histoire de Jésus façonnant un oiseau dans la glaise, puis soufflant dedans pour lui donner la vie, par la permission de Dieu :
« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)
L’évangile de l’enfance selon Thomas, qui fait partie des textes rédigés par les premiers chrétiens (mais non acceptés dans la Bible) fait également référence à cette histoire. Il raconte en détail l’histoire du jeune Jésus façonnant des oiseaux dans la glaise et soufflant la vie en eux. Bien que cette histoire soit fascinante, les musulmans ne croient au message de Jésus que de la façon dont il est rapporté dans le Coran et par le prophète Mohammed.
Les musulmans ont l’obligation de croire en tous les livres révélés par Dieu à l’humanité. Cependant, la Bible, telle qu’elle existe de nos jours, ne peut être considérée comme l’Évangile véritable qui fut révélé à Jésus. Les paroles et la sagesse de Dieu qui furent révélées à Jésus ont été perdues, dissimulées, modifiées et détournées de leur sens. Le sort qui fut réservé aux textes apocryphes dont fait partie l’évangile de l’enfance selon Thomas en est un exemple frappant. En l’an 325, l’empereur Constantin tenta d’unifier l’église chrétienne alors divisée en convoquant une réunion des archevêques des quatre coins du monde. Cette réunion est connue sous le nom de Concile de Nicée et nous a légué la doctrine de la trinité auparavant inexistante, de même que la perte de 270 à 400 évangiles. Le concile ordonna que soient brûlés tous les évangiles jugés indignes d’apparaître dans la nouvelle Bible, et l’évangile de l’enfance selon Thomas en faisait partie.[1) Cependant, les copies de nombreux évangiles échappèrent aux flammes et, bien que ceux-ci ne se trouvent pas dans la Bible, ils sont respectés pour leur valeur historique.
Le Coran nous libère :
Les musulmans croient que Jésus a bel et bien reçu une révélation de Dieu, mais qu’il ne l’a pas mise par écrit, pas plus qu’il n’a demandé à ses disciples de le faire.[2) Le musulman ne gagne rien à essayer de réfuter le contenu des ouvrages chrétiens. Le Coran nous libère de cela, car Dieu dit :
« Il t’a révélé, (ô Mohammed), le Livre avec la vérité, confirmant [les Écritures] qui avaient été (révélées) avant lui. » (Coran 3:3)
Et :
« Et à toi, (ô Mohammed), Nous avons révélé le Livre avec la vérité, pour confirmer les Écritures qui étaient là avant lui et pour prévaloir sur elles. Alors juge entre eux sur la base de ce que Dieu a révélé... » (Coran 5:48)
Tout enseignement utile aux musulmans que l’on pourrait trouver dans la Torah ou dans l’Évangile est déjà clairement mentionné dans le Coran. Toute bonne chose qui se trouvait dans les Livres précédents se trouve maintenant dans le Coran.[3) Donc si les paroles du Nouveau Testament portent le même message que celles du Coran, alors elles font probablement partie des paroles de Jésus qui n’ont pas subi d’altération avec le temps. Le message de Jésus était le même que ceux transmis par tous les prophètes de Dieu à leur peuple : Dieu est unique, n’adorez que Lui. Et Dieu dit, dans le Coran :
« Voilà, certes, le récit véridique (de Jésus). Nul ne doit être adoré à part Dieu. Certes, Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 3:62)
Footnotes:
[1) Misha'al ibn Abdullah, What did Jesus really say?
[2) Sheikh Ahmad Deedat. Is the Bible God’s word?
[3) Sheikh-‘Uthaymeen Majmoo’ Fataawa wa Rasaa’il Fadeelat vol. 1, p. 32-33
Nous avons déjà dit que Jésus, le fils de Marie, avait accompli son premier miracle alors que Marie le berçait dans ses bras. Par la permission de Dieu, il parla à ce moment-là, et ses premières paroles furent : « Je suis vraiment le serviteur de Dieu. » (Coran 19:30). Il ne dit pas « je suis Dieu » ni même « je suis le fils de Dieu ». Par ses premières paroles, il posa les assises mêmes de son message et de sa mission, qui était de ramener les gens vers l’adoration exclusive de Dieu.
À l’époque de Jésus, le concept d’un Dieu unique n’était pas nouveau pour les enfants d’Israël. La Torah disait déjà « Écoute, ô Israël! Ton Seigneur, Dieu, est unique ». Mais avec le temps, les hommes interprétèrent différemment les révélations de Dieu et leurs cœurs s’endurcirent. Jésus fut envoyé pour dénoncer les dirigeants des enfants d’Israël qui s’étaient détournés de Dieu pour mener une vie basée sur le matérialisme, et pour confirmer la loi de Moïse qui se trouve dans la Torah, mais qu’ils avaient modifiée à leur avantage.
La mission de Jésus consistait à confirmer la Torah, à rendre licites certaines choses qui étaient auparavant illicites et à réaffirmer la croyance en un Créateur unique. Le prophète Mohammed a dit :
« Chaque prophète a été envoyé exclusivement à sa nation, tandis que j’ai été envoyé à toute l’humanité. » (sahih al-Boukhari)
Jésus a donc été envoyé aux Israélites.
Dieu dit, dans le Coran, qu’Il a enseigné à Jésus la Torah et l’Évangile, de même que les Écritures et la sagesse :
« Dieu lui enseignera les Écritures et la sagesse, ainsi que la Torah et l’Évangile. » (Coran 3:48)
Afin qu’il puisse transmettre correctement son message, Dieu a enseigné la Torah à Jésus et a fait descendre sur lui l’Évangile. Dieu a également doté Jésus d’une facilité à guider et à influencer les gens, et l’a renforcé de signes et de miracles divers.
En fait, Dieu a soutenu tous Ses messagers à l’aide de miracles observables que les gens arrivaient à comprendre dans le contexte où ils leur apparaissaient. À l’époque de Jésus, les Israélites étaient très versés en médecine. Par conséquent, les miracles accomplis par Jésus (avec la permission de Dieu) étaient de cette nature et incluaient le fait de redonner la vue à l’aveugle, de guérir les lépreux et de ressusciter les morts. Dieu dit :
« Et tu guérissais, par Ma permission, l’aveugle-né et le lépreux. Et par Ma permission, tu faisais revivre les morts. » (Coran 5:110)
Jésus enfant :
Ni le Coran ni la Bible ne font référence à Jésus alors qu’il était enfant. Toutefois, nous pouvons aisément imaginer qu’en tant que fils de la famille d’Imran, il ne pouvait être que pieux, studieux et désireux d’influencer vers le bien les enfants et adultes de son entourage. Tout de suite après la mention de Jésus parlant au berceau, le Coran raconte l’histoire de Jésus façonnant un oiseau dans la glaise, puis soufflant dedans pour lui donner la vie, par la permission de Dieu :
« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)
L’évangile de l’enfance selon Thomas, qui fait partie des textes rédigés par les premiers chrétiens (mais non acceptés dans la Bible) fait également référence à cette histoire. Il raconte en détail l’histoire du jeune Jésus façonnant des oiseaux dans la glaise et soufflant la vie en eux. Bien que cette histoire soit fascinante, les musulmans ne croient au message de Jésus que de la façon dont il est rapporté dans le Coran et par le prophète Mohammed.
Les musulmans ont l’obligation de croire en tous les livres révélés par Dieu à l’humanité. Cependant, la Bible, telle qu’elle existe de nos jours, ne peut être considérée comme l’Évangile véritable qui fut révélé à Jésus. Les paroles et la sagesse de Dieu qui furent révélées à Jésus ont été perdues, dissimulées, modifiées et détournées de leur sens. Le sort qui fut réservé aux textes apocryphes dont fait partie l’évangile de l’enfance selon Thomas en est un exemple frappant. En l’an 325, l’empereur Constantin tenta d’unifier l’église chrétienne alors divisée en convoquant une réunion des archevêques des quatre coins du monde. Cette réunion est connue sous le nom de Concile de Nicée et nous a légué la doctrine de la trinité auparavant inexistante, de même que la perte de 270 à 400 évangiles. Le concile ordonna que soient brûlés tous les évangiles jugés indignes d’apparaître dans la nouvelle Bible, et l’évangile de l’enfance selon Thomas en faisait partie.[1) Cependant, les copies de nombreux évangiles échappèrent aux flammes et, bien que ceux-ci ne se trouvent pas dans la Bible, ils sont respectés pour leur valeur historique.
Le Coran nous libère :
Les musulmans croient que Jésus a bel et bien reçu une révélation de Dieu, mais qu’il ne l’a pas mise par écrit, pas plus qu’il n’a demandé à ses disciples de le faire.[2) Le musulman ne gagne rien à essayer de réfuter le contenu des ouvrages chrétiens. Le Coran nous libère de cela, car Dieu dit :
« Il t’a révélé, (ô Mohammed), le Livre avec la vérité, confirmant [les Écritures] qui avaient été (révélées) avant lui. » (Coran 3:3)
Et :
« Et à toi, (ô Mohammed), Nous avons révélé le Livre avec la vérité, pour confirmer les Écritures qui étaient là avant lui et pour prévaloir sur elles. Alors juge entre eux sur la base de ce que Dieu a révélé... » (Coran 5:48)
Tout enseignement utile aux musulmans que l’on pourrait trouver dans la Torah ou dans l’Évangile est déjà clairement mentionné dans le Coran. Toute bonne chose qui se trouvait dans les Livres précédents se trouve maintenant dans le Coran.[3) Donc si les paroles du Nouveau Testament portent le même message que celles du Coran, alors elles font probablement partie des paroles de Jésus qui n’ont pas subi d’altération avec le temps. Le message de Jésus était le même que ceux transmis par tous les prophètes de Dieu à leur peuple : Dieu est unique, n’adorez que Lui. Et Dieu dit, dans le Coran :
« Voilà, certes, le récit véridique (de Jésus). Nul ne doit être adoré à part Dieu. Certes, Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 3:62)
Footnotes:
[1) Misha'al ibn Abdullah, What did Jesus really say?
[2) Sheikh Ahmad Deedat. Is the Bible God’s word?
[3) Sheikh-‘Uthaymeen Majmoo’ Fataawa wa Rasaa’il Fadeelat vol. 1, p. 32-33
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 10 juil.09, 04:44.
salut slamani,
tu as dis:
"Confirmé les écriture"
.
salut slamani,
tu as dis:
pourtant juste aprés tu met des passages du coran qui contredise ce que tu vient de dire:Les musulmans croient que Jésus a bel et bien reçu une révélation de Dieu, mais qu’il ne l’a pas mise par écrit, pas plus qu’il n’a demandé à ses disciples de le faire
« Il t’a révélé, (ô Mohammed), le Livre avec la vérité, confirmant [les Écritures] qui avaient été (révélées) avant lui. » (Coran 3:3)
Et :
« Et à toi, (ô Mohammed), Nous avons révélé le Livre avec la vérité, pour confirmer les Écritures qui étaient là avant lui et pour prévaloir sur elles. Alors juge entre eux sur la base de ce que Dieu a révélé... » (Coran 5:48)
"Confirmé les écriture"
.
1 Corinthiens13.2
...Et quand j'aurai le don des prophéties, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurai même toute la foi jusqu'à transporter
les montagnes, Si je n'ai pas l'amour je ne suis rien
J 15.12 Jésus :
" C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme Je vous ai aimés."
...Et quand j'aurai le don des prophéties, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurai même toute la foi jusqu'à transporter
les montagnes, Si je n'ai pas l'amour je ne suis rien
J 15.12 Jésus :
" C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme Je vous ai aimés."
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 10 juil.09, 07:29salut,lunam a écrit :.
« Il t’a révélé, (ô Mohammed), le Livre avec la vérité, confirmant [les Écritures] qui avaient été (révélées) avant lui. » (Coran 3:3)
.
dans autres traduction, tu trouveras : Livres...
Allah dans le coran parle aussi que sa révélation est un livre, la preuve : relis la phrase précedente...
Allah dans le coran appel les chrétiens et les juifs comme : les gens du livre.
le Coran déclare véridique le contenu et les enseignements des Livres antérieurs: de ce point de vue là, quand le Coran dit qu'il "confirme", la Thora, les Psaumes, l'Evangile et les livres antérieurs, en 3/3 et en 5/48, il vise en fait les textes originaux de ces Ecritures, ce que Dieu révéla jadis aux Prophètes Moïse, David, Jésus ect … Textes originaux dont une partie importante existe toujours mais auxquels des éléments étrangers et humains sont venus se rattacher au fil du temps dans les copies en actuelle circulation (d'où des différences voire des contradictions avec le Coran), un fait irréfragable reconnu même par les savants chrétiens. Le résultat est que le Coran confirme l'Evangile de Jésus (et non les Evangiles), les Psaumes de David (dont nous ne connaissons, au demeurant, pas la teneur exacte) la Thora de Moïse (les cinq premiers livres de la Bible n'étant pas la Torah donnée à Moïse mais ne comportant qu'une partie importante de cette même Torah).
Allah a révélé la thora a Moiise, ensuite, cette thora a étais écrite dan un livre, la preuve :
bible, (Deutéronome 31:24) :
Prenez ce livre de la loi, et mettez-le à côté de l'arche de l'alliance de l'Éternel, votre Dieu, et il sera là comme témoin contre toi...
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 10 juil.09, 07:41Les apôtres:
La sourate 5 du Coran est intitulée Al-Maidah, c’est-à-dire « la table servie ». C’est l’une des trois sourates du Coran qui traite plus en détail de la vie de Jésus et de sa mère, Marie. Les autres sourates sont la troisième, ‘Aal Imran (la famille d’Imran) et la dix-neuvième, Maryam (Marie). Les musulmans aiment Jésus et honorent sa mère, mais ils ne les adorent pas. Le Coran, qui contient les véritables paroles de Dieu, tient Jésus, sa mère Marie et toute la famille d’Imran en très haute estime.
Nous savons que Jésus a vécu parmi son peuple, les Israélites, de nombreuses années, les appelant à revenir à l’adoration d’un Dieu unique et accomplissant devant eux de nombreux miracles (par la permission de Dieu). Nombreux furent ceux, parmi son peuple, qui ne tinrent pas compte de son appel et qui ignorèrent son message. Toutefois, Jésus avait réussi à rassembler autour de lui un groupe d’apôtres appelés al-Hawariyine, en arabe.
Dieu dit, dans le Coran :
« Puis, quand Je révélai aux apôtres : « Croyez en Moi et en Mon messager », ils dirent : « Nous croyons. Et sois témoin que nous sommes musulmans, [que nous sommes entièrement soumis à Toi]. » (Coran 5:111)
Les apôtres, donc, s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans; comment cela est-il possible, puisque l’islam n’allait être révélé que 600 ans plus tard? Dieu, bien entendu, fait référence au sens général du mot « musulman », un musulman étant celui qui se soumet entièrement au Dieu unique et Lui obéit, et qui est fidèle envers Dieu et envers les croyants avant qui que ce soit d’autre. Les termes « musulman » et « islam » proviennent de la même racine arabe – sa la ma – car la paix et la sécurité (salam) sont inhérentes à la soumission à Dieu. Il faut donc comprendre que tous les prophètes de Dieu et leurs disciples étaient musulmans.
Une table servie :
Les apôtres de Jésus lui demandèrent :
« Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » (Coran 5:112)
Demandaient-ils à Jésus d’accomplir un miracle? Les apôtres de Jésus, qui s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans, avaient-ils des doutes quant à la capacité de Dieu de produire des miracles à volonté? C’est bien peu probable, car c’aurait été là un acte d’incroyance. Les apôtres de Jésus ne demandaient pas si cela était possible, mais plutôt si Jésus pouvait demander à Dieu, à ce moment précis, de faire descendre une table servie. Mais Jésus répondit :
« Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Coran 5:112)
Lorsqu’ils virent la réaction de Jésus, ils tentèrent de s’expliquer. Ils dirent d’abord : « Nous voulons en manger ».
Peut-être avaient-ils très faim et voulaient-ils que Dieu satisfasse leur besoin. Demander à Dieu de nous apporter notre subsistance est acceptable en soi, car Dieu est Celui qui pourvoit aux besoins de Sa création. Mais les apôtres poursuivirent ainsi : « ... afin de rassurer nos cœurs ».
Ils entendaient par là que leur foi s’affermirait davantage s’ils voyaient un tel miracle de leurs propres yeux, ce qu’ils confirmèrent par la suite en ajoutant : « [et pour] savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. ».
Bien qu’ils l’aient mentionné à la fin, témoigner de la vérité et voir des miracles soutenant cette vérité étaient les raisons principales de leur demande. Les apôtres ont donc demandé à Jésus d’accomplir ce miracle, avec la permission de Dieu, afin d’en être témoins pour l’humanité. Ils souhaitaient pouvoir prêcher le message de Jésus en parlant des miracles vus de leurs propres yeux.
« (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:113-114)
Jésus demanda le miracle à Dieu. Il Le pria, Lui demandant qu’une table servie et pleine de victuailles soit descendue. Il demanda également qu’il y en ait pour tous et que cet événement devienne une célébration annuelle. Le mot arabe utilisé dans le Coran est Eid, ce qui signifie une fête qui revient annuellement. Jésus souhaitait que ses apôtres et ceux qui allaient venir après eux se souviennent des bienfaits et de la générosité de Dieu et qu’ils en soient reconnaissants.
Nous avons beaucoup à apprendre des supplications que faisaient les prophètes et autres personnes croyantes et vertueuses. Jésus ne demanda pas qu’une table servie, mais demanda, de façon générale, à ce que Dieu leur donne leur subsistance. Cela parce que la nourriture n’est qu’une partie de tout ce que nous offre Celui qui pourvoit à nos besoins, qui comprennent toute chose essentielle à notre vie, sur terre, comme la nourriture, le logement et le savoir. Dieu répondit donc :
« Je la ferai descendre pour vous. Et quiconque d’entre vous refuse de croire après cela, Je lui ferai sûrement subir un châtiment tel que nulle autre de (Mes) créatures n’en connaîtra de pareil! » (Coran 5:115)
Le savoir implique une responsabilité
La raison pour laquelle Dieu a répondu à la demande de Jésus si promptement est que si une personne refuse de croire après que Dieu lui ait clairement fait voir un miracle, cela est pire que si une personne refuse de croire sans avoir vu de miracle. La personne qui a été témoin d’un miracle de Dieu a fait l’expérience directe de Son omnipotence; et mieux une personne connaît Dieu, plus grande est sa responsabilité envers Lui. Quand Dieu présente un miracle devant vos yeux, votre obligation de croire et de transmettre Son message est plus grande. Dieu a donc demandé aux apôtres de Jésus d’être conscients de la grande responsabilité qu’ils prenaient sur eux-mêmes en demandant ce miracle.
Par la suite, ce jour devint effectivement une fête annuelle pour les apôtres et autres disciples de Jésus, mais avec le temps, la réelle signification et l’essence même de ce miracle se perdirent peu à peu. Puis, on en vint à adorer Jésus comme un dieu. Au Jour de la Résurrection, quand toute l’humanité se tiendra debout devant Dieu, Dieu parlera à Jésus directement et lui dira :
« Ô Jésus, fils de Marie! Est-ce toi qui as dit aux gens : « Prenez-nous, ma mère et moi, pour deux divinités en dehors de Dieu » ? Il dira : « Gloire à Toi! Il ne m’appartenait pas de déclarer ce que je n’avais aucun droit de dire. Si je l’avais dit, Tu l’aurais su, certes. Tu sais ce qu’il y a en moi, mais je ne sais pas ce qu’il y a en Toi. Certes, Toi et Toi seul connais l’invisible. Je ne leur ai dit que ce que Tu m’avais commandé dire), à savoir : « Adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur. » (Coran 5:116-117)
Ceux d’entre nous qui auront eu la chance de connaître le véritable message de Jésus, ce même message qui fut transmis par tous les prophètes incluant le dernier d’entre eux, Mohammed, auront également une grande responsabilité, ce Jour-là.
La sourate 5 du Coran est intitulée Al-Maidah, c’est-à-dire « la table servie ». C’est l’une des trois sourates du Coran qui traite plus en détail de la vie de Jésus et de sa mère, Marie. Les autres sourates sont la troisième, ‘Aal Imran (la famille d’Imran) et la dix-neuvième, Maryam (Marie). Les musulmans aiment Jésus et honorent sa mère, mais ils ne les adorent pas. Le Coran, qui contient les véritables paroles de Dieu, tient Jésus, sa mère Marie et toute la famille d’Imran en très haute estime.
Nous savons que Jésus a vécu parmi son peuple, les Israélites, de nombreuses années, les appelant à revenir à l’adoration d’un Dieu unique et accomplissant devant eux de nombreux miracles (par la permission de Dieu). Nombreux furent ceux, parmi son peuple, qui ne tinrent pas compte de son appel et qui ignorèrent son message. Toutefois, Jésus avait réussi à rassembler autour de lui un groupe d’apôtres appelés al-Hawariyine, en arabe.
Dieu dit, dans le Coran :
« Puis, quand Je révélai aux apôtres : « Croyez en Moi et en Mon messager », ils dirent : « Nous croyons. Et sois témoin que nous sommes musulmans, [que nous sommes entièrement soumis à Toi]. » (Coran 5:111)
Les apôtres, donc, s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans; comment cela est-il possible, puisque l’islam n’allait être révélé que 600 ans plus tard? Dieu, bien entendu, fait référence au sens général du mot « musulman », un musulman étant celui qui se soumet entièrement au Dieu unique et Lui obéit, et qui est fidèle envers Dieu et envers les croyants avant qui que ce soit d’autre. Les termes « musulman » et « islam » proviennent de la même racine arabe – sa la ma – car la paix et la sécurité (salam) sont inhérentes à la soumission à Dieu. Il faut donc comprendre que tous les prophètes de Dieu et leurs disciples étaient musulmans.
Une table servie :
Les apôtres de Jésus lui demandèrent :
« Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » (Coran 5:112)
Demandaient-ils à Jésus d’accomplir un miracle? Les apôtres de Jésus, qui s’identifiaient eux-mêmes comme musulmans, avaient-ils des doutes quant à la capacité de Dieu de produire des miracles à volonté? C’est bien peu probable, car c’aurait été là un acte d’incroyance. Les apôtres de Jésus ne demandaient pas si cela était possible, mais plutôt si Jésus pouvait demander à Dieu, à ce moment précis, de faire descendre une table servie. Mais Jésus répondit :
« Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Coran 5:112)
Lorsqu’ils virent la réaction de Jésus, ils tentèrent de s’expliquer. Ils dirent d’abord : « Nous voulons en manger ».
Peut-être avaient-ils très faim et voulaient-ils que Dieu satisfasse leur besoin. Demander à Dieu de nous apporter notre subsistance est acceptable en soi, car Dieu est Celui qui pourvoit aux besoins de Sa création. Mais les apôtres poursuivirent ainsi : « ... afin de rassurer nos cœurs ».
Ils entendaient par là que leur foi s’affermirait davantage s’ils voyaient un tel miracle de leurs propres yeux, ce qu’ils confirmèrent par la suite en ajoutant : « [et pour] savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. ».
Bien qu’ils l’aient mentionné à la fin, témoigner de la vérité et voir des miracles soutenant cette vérité étaient les raisons principales de leur demande. Les apôtres ont donc demandé à Jésus d’accomplir ce miracle, avec la permission de Dieu, afin d’en être témoins pour l’humanité. Ils souhaitaient pouvoir prêcher le message de Jésus en parlant des miracles vus de leurs propres yeux.
« (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:113-114)
Jésus demanda le miracle à Dieu. Il Le pria, Lui demandant qu’une table servie et pleine de victuailles soit descendue. Il demanda également qu’il y en ait pour tous et que cet événement devienne une célébration annuelle. Le mot arabe utilisé dans le Coran est Eid, ce qui signifie une fête qui revient annuellement. Jésus souhaitait que ses apôtres et ceux qui allaient venir après eux se souviennent des bienfaits et de la générosité de Dieu et qu’ils en soient reconnaissants.
Nous avons beaucoup à apprendre des supplications que faisaient les prophètes et autres personnes croyantes et vertueuses. Jésus ne demanda pas qu’une table servie, mais demanda, de façon générale, à ce que Dieu leur donne leur subsistance. Cela parce que la nourriture n’est qu’une partie de tout ce que nous offre Celui qui pourvoit à nos besoins, qui comprennent toute chose essentielle à notre vie, sur terre, comme la nourriture, le logement et le savoir. Dieu répondit donc :
« Je la ferai descendre pour vous. Et quiconque d’entre vous refuse de croire après cela, Je lui ferai sûrement subir un châtiment tel que nulle autre de (Mes) créatures n’en connaîtra de pareil! » (Coran 5:115)
Le savoir implique une responsabilité
La raison pour laquelle Dieu a répondu à la demande de Jésus si promptement est que si une personne refuse de croire après que Dieu lui ait clairement fait voir un miracle, cela est pire que si une personne refuse de croire sans avoir vu de miracle. La personne qui a été témoin d’un miracle de Dieu a fait l’expérience directe de Son omnipotence; et mieux une personne connaît Dieu, plus grande est sa responsabilité envers Lui. Quand Dieu présente un miracle devant vos yeux, votre obligation de croire et de transmettre Son message est plus grande. Dieu a donc demandé aux apôtres de Jésus d’être conscients de la grande responsabilité qu’ils prenaient sur eux-mêmes en demandant ce miracle.
Par la suite, ce jour devint effectivement une fête annuelle pour les apôtres et autres disciples de Jésus, mais avec le temps, la réelle signification et l’essence même de ce miracle se perdirent peu à peu. Puis, on en vint à adorer Jésus comme un dieu. Au Jour de la Résurrection, quand toute l’humanité se tiendra debout devant Dieu, Dieu parlera à Jésus directement et lui dira :
« Ô Jésus, fils de Marie! Est-ce toi qui as dit aux gens : « Prenez-nous, ma mère et moi, pour deux divinités en dehors de Dieu » ? Il dira : « Gloire à Toi! Il ne m’appartenait pas de déclarer ce que je n’avais aucun droit de dire. Si je l’avais dit, Tu l’aurais su, certes. Tu sais ce qu’il y a en moi, mais je ne sais pas ce qu’il y a en Toi. Certes, Toi et Toi seul connais l’invisible. Je ne leur ai dit que ce que Tu m’avais commandé dire), à savoir : « Adorez Dieu, mon Seigneur et votre Seigneur. » (Coran 5:116-117)
Ceux d’entre nous qui auront eu la chance de connaître le véritable message de Jésus, ce même message qui fut transmis par tous les prophètes incluant le dernier d’entre eux, Mohammed, auront également une grande responsabilité, ce Jour-là.
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 11 juil.09, 01:43L'histoire de Mahomet
Source : http://www.encyclomancie.com/index.php? ... dossier=77
Avant toute chose, il faut préciser que la vie de Mahomet ne nous est connue que par quelques allusions dans le Coran et surtout par la "Sira" (ou vie de Mahomet). Mais cette "Sira" comprend une bonne part de légendes et d'enjolivements ; elle n'a été rédigée qu'un siècle après la mort du Prophète.
Mahomet serait né vers 570 ou 571 après JC en Arabie, à La Mecque dans le clan des Hashim, tribu de Quraysh (Quoraïchites). Son clan était spécialisé dans le commerce des caravanes. Mais peu après sa naissance, il perdit son influence.
Le père de Mahomet était un marchand du nom d'Abdallah. Il meurt en voyage deux mois avant que n'accouche sa femme Amina en 570. Lorsque celle-ci meurt à son tour, Mahomet n'a que six ans.
L'orphelin est élevé par son grand-père, le chef du clan des Bani Hachem (les Hachémites), puis par son grand-oncle, Abou Talib (père de son futur gendre, Ali).
Bien que ne sachant ni lire ni écrire, il assure sa fortune en épousant à 25 ans une riche veuve de quinze ans plus âgée que lui : Khadidja.
Waraqa, le cousin de cette Khadidja, était un ancien prêtre chrétien Nazaréen. (La Sira dit "...Elle se leva alors, s'habilla et alla chez son cousin Waraqa b. Nawfal b. Asad b. 'Abd al-'Uzzä b.Qusä, qui s'était converti au christianisme, avait lu l'Ecriture et avait appris maintes choses des Gens de la Tora et de l'Evangile....) Il est trés probable qu'il ait influencé les idées religieuses de Mahomet.
Devenu un notable, Mahomet organise des caravanes vers la Syrie et peut-être s'y rend-il lui-même.
Vers l'âge de 40 ans, en 610, le futur Prophète prend l'habitude de se retirer dans une grotte du désert, sur le mont Hira, à cinq kilomètres de La Mecque.
C'est là que, selon ses dires, l'ange Jebrail (Gabriel) lui apporte pour la 1ère fois la parole de Dieu.
A son retour à La Mecque, l’apôtre Mahomet (il ne se dit pas encore Prophète) se présente comme l'envoyé de Allah, le Dieu unique, et il commence à révéler ses visions dans les 90 sourates Mecquoises.
Mais les riches marchands de la ville s’opposent à lui à cause de ses critiques véhémentes contre leur mode de vie. Ils craignent pour leurs revenus, liés aux pèlerinages à la kaaba, et le pourchassent, le traitant de fou, et battent ses disciples.
Pour tenter de se concilier leur bonne grâce, Mahomet admet alors publiquement (dans la sourate Nadjm, dite de l'Étoile) que les divinités païennes de La Mecque (Al-Lât, Al-Uzza et Manât, les trois "filles d'Allah") existent bien et peuvent intercéder auprès de Dieu.
Tabari écrit à ce sujet :
Puisque le Prophète de l'islam s'était aperçu que la tribu Quoraïchite était réticente à son égard et puisque cela lui fut pénible à supporter, il souhaita que quelque chose vînt de la part de Dieu pour les rapprocher à lui ; lorsque cette idée a émergé dans son esprit, Dieu a révélé ces versets :
"Ce sont les déesses éminentes et leur intercession est admise." (Sourate Nadjm, versets 19 et 20)
Lorsque les Quoraïchites ont entendu la vénération de leurs dieux (par Mahomet), ils s'en sont réjouis et lorsque Mahomet est, dans son énonciation, arrivé au moment où il fallait prosterner, il a fait la prosternation et les autres qui étaient dans la mosquée, contents de la vénération de leurs dieux par Mahomet, en ont fait autant. Tout croyant ou renégat s'est prosterné... et quand les Quoraïchites sont sortis de la mosquée, ils furent joyeux et disaient : Mahomet a rappelé nos dieux en bons termes et les a traités d'éminents dont l'intercession est approuvée... (Ces faits ont été relatés par Al Tabari et Ibn Sad).
Les relations s'apaisent aussitôt avec les Mecquois Quoraïchites mais, chez ses disciples de la première heure, c'est la consternation. Ils se demandent à quoi rime ce polythéisme déguisé et cet opportunisme religieux envers les idolatres.
Par chance (!), l'ange Gabriel apporte alors à Mahomet une sourate dite de Youssouf par laquelle il est dit que les deux versets incriminés (les fameux "versets sataniques") avaient été inspirés par Satan et donc qu'il fallait les effacer (rapporté par At Tabari et Ibn Sad).
Et dans la sourate Hadj (le pèlerinage de La Mecque),verset 52, Allah explique alors :
"Avant lui aussi, les prophètes avaient des souhaits et Satan a fait venir leurs souhaits dans leur énonciation ..."
Et selon le Tarikh al Moulouk va al Rossal - page 880, Allah aurait dit aussi :
"...Avant toi, nous n'avons chargé aucun envoyé ni apôtre, sans qu'au moment de leur énonciation le Satan n'y fasse des suggestions. Mais Dieu abroge ce que le Satan a suggéré."
Cette rétractation déclencha une sévère persécution contre les pauvres de La Mecque, qui avaient suivi le Prophète.
En 619, l'horizon s'obscurcit encore plus avec la mort de l'épouse dévouée, Khadidja, ainsi que du puissant Abou Talib. Se sentant menacé, Mahomet essaie de partir pour l'oasis de Taïf, à une centaine de kilomètres, mais il en est chassé par les habitants.
Il épouse alors une veuve du nom de Saïda puis la très jeune fille de son disciple Abou Bakr. Elle s'appelle Aïsha et n'a que six ans alors que lui en a cinquante. Elle devint l’épouse préférée de Mahomet, détail qui révèle ses goûts très intimes. (Ces faits sont relatés dans l’un des textes officiels de la tradition islamique, le hâdith 67 39).
Le hadith, Sahih Bukhari 7,62-64 dit :
"Le Prophète a épousé Aisha quand elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle avait neuf ans, et alors elle est resté avec lui pendant neuf années (c'est à-dire, jusqu'à sa mort)."
Le hadith, Sahih Bukhari 1,4-229 dit
Aisha a relaté : "J'avais l'habitude de laver les traces de sperme des vêtements du Prophète et il avait l'habitude d'aller à la prière avec de l'eau encore dessus. (les traces d'eau étaient encore visibles)."
Le hadith, Volume 8, livre 73, N° 151dit :
Aisha a relaté : "J'avais l'habitude de jouer à la poupée en présence du Prophète, et mes jeunes amies avaient l'habitude également de jouer avec moi. Quand l'apôtre d'Allah entrait, elles avaient l'habitude de se cacher, mais le prophète les appelais à le rejoindre et jouer avec moi"
Le hadith, Volume 7, livre 62, N° 17 dit :
Jabir bin 'Abdullah a relaté : Quand je me suis marié, l'apôtre d'Allah m'a dit : "A quel type de dame t'es tu marié ?" J'ai répondu : "J'ai épousé une matrone". Il a dit : "Pourquoi, tu n'as pas de penchant pour les jeunes vierges et pour les caresser?" Jabir a également indiqué : L'apôtre d'Allah a dit : "Pourquoi tu n'as pas épousé une jeune fille de sorte que tu pourrais jouer avec elle et elle avec toi ?"
Le 23 juin 622, à Aqaba, sur les bords de la mer Rouge, les représentants de Yathrib (Médine), une oasis à 350 km au Nord-Est, signent avec le Prophète un pacte d'alliance et acceptent d'accueillir ses disciples mecquois, au total 70 personnes. Mahomet quitta alors finalement La Mecque en septembre pour s'installer à Médine. Cette période correspond à l’Hégire, ou début de l’ère islamique.
Médine était la proie de rivalités entre deux tribus arabes (Les Aws et les Khazraj) ; trois tribus juives y arbitraient ce conflit au gré de leurs intérêts. Mahomet y fut accueilli comme un médiateur et un législateur. Pour lui c'est le début d’un radicalisme politique qui ira crescendo : Désormais, dans ses 24 sourates de la période Médinoise, il ne se dit plus "apôtre" mais "Prophète" et son ton est bien plus dur.
Les Juifs jouent alors un rôle non négligeable dans la vie de la communauté. Il faut dire que Mahomet n'avait pas encore la prétention de professer une religion "nouvelle". Il n'y avait donc pas d'opposition avec les Juifs. D'ailleurs, la prière était tournée vers Jérusalem.
La communauté, en fait, est surtout une association politique : Le chef des musulmans se comporte en guerrier et il multiplie les razzias contre les caravanes des Mecquois pour réunir du butin.
Ayant alors surpris Zaynab bint Khuzaima (30 ans), épouse de son fils adoptif Ali, en petite tenue, Mahomet fut ébloui par sa beauté, et eut envie d'elle. Pour se justifier contre toute accusation d’inceste, Mahomet inventa une histoire incroyable : Une opportune (!) révélation d’Allah l’autorisa à transgresser l’interdit social et à épouser sa belle-fille :
"O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants. " (Sourate 30, 49-51) (il y a aussi la sourate 33, 2-37).
Bien évidemment son fils Zaid accepta de divorcer pour répondre au désir légitime de son père et aux ordres d'Allah.
Les hadiths de Boukhari Vol. 7,48 disent à ce sujet :
Lorsque fut révélé le verset coranique permettant à Muhammad de retarder le tour de n'importe laquelle de ses épouses, et lorsque Muhammad déclara qu'Allah lui avait permis de se marier avec la femme de son fils adoptif, Aïcha lui dit ironiquement: « Ô envoyé d'Allah, je vois que ton Dieu s'est vite empressé de t'exaucer. »
La sourate 66, 1-5 fut également révélée inopinément (!) pour permettre au Prophète de délaisser ses épouses s'il le voulait afin de coucher avec Marya Qibtiya bint shamun appelée aussi maria la copte (une esclave sexuelle qu'on lui avait donné en cadeau).
A partir de Médine, Mahomet organisa alors avec ses partisans trois razzias infructueuses contre les caravanes mecquoises.
Mais en janvier 624, en un lieu appelé Nakhlah, douze disciples de Mahomet attaquent par surprise une caravane de La Mecque, tuent un homme d'une flèche et font deux prisonniers. L'affaire cause un grand scandale car elle s'est produite pendant le mois de rajab. Il s'agit d'une période sacrée où toute hostilité et tout meurtre étaient proscrits.
Mais opportunément (!), Allah dicta à ce moment une sourate l’autorisant à rompre la trêve (sourate 2, 217). Allah accorda en plus une large part à son Prophète (il pu s'approprier un 5ème du butin !).
A cette époque Mahomet garde les juifs de Médine en haute estime. il s’attendait à ce que ceux-ci fussent les premiers à accueillir favorablement son message monothéiste; mais il fut rapidement déçu par leur méfiance et leur frilosité. En effet, les juifs ne le recevaient pas comme leur prophète et ils critiquaient même les libertés qu’il prenait avec le récit biblique.
Au comble de l’amertume, il se détourna du judaïsme et développa une religion qui tira désormais sa source mystique dIsmaël fils d’Abraham, et non plus de Moïse.
Le 11 février 624, une révélation divine (sourate 2, 138) enjoint à Mahomet et à ses disciples que la prière rituelle se ferait désormais en se tournant non plus vers Jérusalem mais vers la pierre noire de la kaaba, le sanctuaire des idolâtres de La Mecque. (en fait les chroniques occidentales indiquent que ce changement se serait fait bien plus tard). La rupture avec les juifs avait commencé.
Parallèlement, Mahomet fit peu à peu assassiner, avec l’accord d’Allah, tous ceux qui lui étaient opposés ou qui l’avaient critiqué
Ainsi Abu Afak, un juif centenaire avait osé composer une satire lyrique du Prophète (Kitab al Tabaqat al Kabir, Volume 2, par Ibn Sa’d, page 32). Mahomet s'est exclamé: "Qui me vengera sur cette crapule?" et Salim ibn Umayr est parti le tuer dans son sommeil.
Puis la poétesse Asma bint Marwan, mère de 5 petits enfants, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mahomet assassiner un vieil homme. Apprenant ses dires, Mahomet questionna : «N’y aurait-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ?» Umayr ibn Adi, un musulman (aveugle ?) se porta volontaire et poignarda la malheureuse dans son lit, alors qu’elle donnait la tétée à son plus jeune enfant.(Sirat Rasul Allah). Lorsque, pris de remord, Umayr exprima ses craintes d'être puni de ce meurtre par Allah, Mahomet le rassura en lui disant que «Même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela». Il dit aussi : "Oh sois témoin, aucune revanche n'est payable pour son sang !" (Aba Dawud Livre 38, 4348)
En 624, le Prophète attaqua victorieusement une caravane Mecquoise au puits de Badr (avec l'appui d'anges invisibles). En souvenir, ce mois devint le Ramadan.
Parmi les prisonniers se trouvait le conteur Al Nadr qui s’était autrefois illustré en se moquant du prophète à La Mecque et en disant que les sourates étaient des fables. Ivre de vengeance, Mahomet en profita pour l’exécuter.
Mahomet dit à ses hommes: "Quiconque d'entre vous rencontrera Abou-Djahl, qu'il ait soin de ne pas le laisser échapper. Si vous ne le rencontrez pas, cherchez le parmi les morts ; car Dieu m'a promis qu'il serait tué aujourd'hui. Si vous ne le reconnaissez pas à son visage qui pourrait être couvert de poussière, vous pourrez le distinguer à une cicatrice qu'il a au pied ;... tranchez lui la tête et amenez la moi. !"... ce qui fut fait.
Mahomet dit à Uqba bin Abi Mu`ayt : "Je fais à Dieu le voeux que si je te saisis en dehors de La Mecque, je te ferai couper la tête !".
Les textes disent ensuite :
Deux jours après, à mi-chemin vers Médine, Uqba, un autre prisonnier, avait été ordonné à l’exécution. Il tenta de protester et demanda pourquoi il devait être traité avec plus de rigueur que les autres captifs. «En raison de ton inimité avec Allah et son prophète», répondit Mahomet. «Et ma petite fille ! cria Uqba dans l’amertume de son âme, qui prendra soin d’elle ?». «Les feux de l’enfer !» s’exclama le Prophète. Et à cet instant, la victime fut fendue jusqu’aux pieds. «Misérable que tu es !» continua-t-il, «Et persécuteur ! Mécréant qui ne crois ni en Allah, ni en son prophète, ni en son livre ! Je remercie le seigneur qui t’as tué, et ainsi a consolé mes yeux !». (bn Hisham, Sirat de Mahomet)
Uqba n’était n'avait pourtant pas persécuté les premiers musulmans : Il mourut pour la simple et bonne raison qu’il refusa l’Islam, fidèlement à ses convictions personnelles.
Mahomet ordonna également le meurtre du poète critique juif Ka'b ibn al-Ashraf, parcequ'il avait récité à La Mecque un ode funèbre pour les Mecquois tués par les musulmans (et aussi parcequ'il taquinait les musulmans en adressant des vers d'amour à leurs femmes). Abû Nâïla, assassina alors le poète durant la nuit, près d’une cascade, aprés l'avoir traitreusement attiré hors de sa forteresse. Il était pourtant son frère adoptif. Quand Abû Nâïla jeta la tête coupée de Ka'b aux pieds de Mahomet, celui-ci s’écria : «Cela m’est plus agréable que le plus beau chameau de toute l’Arabie.» Puis il le félicita et lui fit don d'un bâton sur quoi s'appuyer dans le paradis.
Le lendemain ce fut au tour de Ibn Sunayna d'être assassiné par son ami musulman Muhayyisa ben Masud parcequ'il était juif lui aussi. Le frêre de Muhayyisa s’écria alors que «Une religion qui pousse à faire cela est certainement merveilleuse !».
Ces assassinats troublèrent cependant quelques âmes sensibles et le Prophète trouva le moyen de se justifier par une nouvelle sourate bien opportune (!) : « Il n’appartient pas au prophète de faire des captifs, tant que, sur Terre, il n’a pas complètement vaincu les incrédules.» (sourate 8,67).
Peu après la bataille de Badr, un incident mit le feu aux poudres. Une musulmane ayant été molestée au marché par des juifs de la tribu des Banû-Qaynuqâ', des batailles entre musulmans et juifs s'ensuivent. La tribu mise en cause se trouva bientôt assiégée par les musulmans puis fut expulsée de Médine et ses biens confisqués.
En 625, la deuxième tribu juive, celle des Banû-Nadhîr, fut accusée de pactiser avec les habitants de La Mecque (Allah aurait révélé qu'ils voulaient assassiner son Prophète) et durent s'enfuir à Quaybar après une violente bataille. Mahomet fit couper et brûler leurs palmeraies sur l'ordre d'Allah : «Ce que vous coupez de souple ou que vous laissez debout sur sa tige, c'est sur l'ordre d'Allah et pour confondre les mécréants.»
Ilt fit tuer aussi Kab, chef des Banû-Nadhîr et poête satiriste, ainsi que sa femme, car ils s'étaient moqué de lui.
Mahomet était devenu le maître de Médine. Il devint riche et puissant grâce au butin des razzias et du tribut qu’il exigeait des vaincus. Il s'était associé aux pillards Banou Damréh ainsi qu'à Abouzar de la tribu des brigands de Ghafar. La tribu des Banou Madlidj qui était idolâtre s'est alliée aussi au Prophète uniquement dans l'intention de s'emparer des butins obtenus dans les attaques aux caravanes. Mahomet a mené ainsi soixante trois razzias en tout (contre une seule guerre défensive). Ses victoires devaient démontrer à ses fidèles la pertinence de son message.
Les Mecquois, excédés par le pillage de leurs caravanes, montèrent une expédition avec Abu Sufyan contre Mahomet. Ils le battirent d’abord à Uhud le 21 mars, puis entreprirent le siège de Médine en 627 pendant 15 jours ("bataille du fossé"). Mais Mahomet ayant fait creuser un fossé défensif autour de la ville, les Mecquois durent lever le siège.
Le Prophète en profita pour accuser et attaquer la dernière tribu juive de Médine : les Banu Qurayza (qui pourtant avaient participé à la défense). Aprés un siège d'un mois, il leurs fait dire qu'ils ont le choix entre se convertir à l'islam ou bien de mourir. Malgré leur rédition, Mahomet décide de massacrer, sur ordre d’Allah, tous les membres mâles de la tribu (600 à 800 hommes). Ils furent horriblement torturés, pour qu'ils avouent où ils avaient cachés leurs trésors, puis, emmenés par groupe de cinq, ils furent tous décapités et jetés dans des fosses communes creusées prés de la place du marché de Médine. Les femmes et les enfants furent vendus comme esclaves. Après le carnage, Mahomet pris pour concubine la belle Rayhana bint umru bin hanafa, veuve de l’un des suppliciés.
Le hadith, Sahih Bukhari 5,59,362 dit à ce sujet :
"Il a alors tué leurs hommes et a distribué leurs femmes, leurs enfants et leurs propriétés parmi les musulmans, mais certains d'entre eux sont venus vers le prophète et il leur a accordé la sécurité, et ils ont embrassé l'islam. Il a exilé tous les juifs de Médine. Ils y avait des juifs de Bani Haritha et tous les autres juifs de Médine"
Ibn Ishaq a écrit à la page 466 du Sirat Rasulallah ::
"Alors l'apôtre a divisé la propriété, des épouses, et des enfants des Banu Qurayza entre les musulmans, il a fait connaître à ce jour les parts concernant les chevaux et les hommes, et en a pris le cinquième ",(Mahomet et sa famille ont obtenu un cinquième des prises de guerre). Puis l'apôtre a envoyé Sa'd. . . avec certaines des femmes captives des Banu Qurayza à Najd pour qu'il les vende contre des chevaux et des armes."
Lz hadith 669 dit :
Quelques gens de la tribu d'Uraina sont venus au Prophète et il leur a dit qu'ils pourraient aller aux chameaux de Sadaqa et boire leur lait et urine (utilisée à guérir des certaines maladies). D’abord tout était bien mais alors ils se sont battus sur les bergers et les ont tués, ont devenus des apostats de l’Islam et ont enlevé les chameaux de Muhammad. Il a envoyé des hommes pour les rentrer. Le Prophète Sacré a ordonné leurs mains coupées, leurs pieds coupés, leurs yeux éteints [traduction : leurs yeux crevés] et les avait jeté sur la terre rocailleuse jusqu'à ce qu'ils soient morts.
Le hadith, Sahih Bukhari 8, 82, 794 dit :
Anas a relaté : Certains de la tribu d'Ukl sont venues chez le Prophète et ont embrassé L'islam. Le climat de Médine ne leur convenait pas, alors le prophète leur a ordonné de boire l'urine et le lait des chameau pour se soigner. Ils l'ont fait et ont récupérés de leur mal. Mais ils se sont détourné de l'islam et ont tué le berger des chameaux et sont partis avec les chameaux. Le Prophète envoya certains à leur poursuite et ainsi ils les ont attrapés et rapportés, et le Prophète a commandé que leurs mains et jambes devaient être tranchées et que leurs yeux devraient être marqués au fer rouge et que leurs mains et leurs jambes coupées ne soient pas cautérisées, et ceci jusqu'à ce qu'ils meurent. (... "et il furent jetés à Al-Harra et ils moururent de soif".)
Abu Dawud 38A357 a écrit :
Quand l'Apôtre de Allah a coupé les mains et pieds de ceux qui avaient volé ses chameaux et apostasié, et il a ordonné que leurs yeux soient éteint par feu, Allah l'a réprimandé et a révélé: "La punition de ceux qui font la guerre contre Allah et Son Apôtre et s'efforcent de toutes leurs forces pour la méchanceté à travers la terre est l’exécution ou la crucifixion."
A partir de 627 le Prophète lanca une politique d'agression systématique des autres tribus.
Il attaqua les tribus des Bani Moustalik et les juifs de Wadil Qora, enleva les femmes et les enfants de la tribu des Moshjarik, pilla des caravanes, prit l'oasis juive de Fadak (qui devint bien personnel de Mahomet) et dit aux juifs Beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre !"
Puis il lanca une expédition contre les juifs de Quaybar. Il commenca par inviter leur chef à un pourparler et en profita pour le faire assassiner avec toute sa suite en cour de route.
Dans la "Vie de Mahomet", page 515, il est écrit :
"Il a attaqué la ville juive de Quaybar où il a pris un des chefs juifs et l'a torturé pour le forcer à dire où était enterrée son argent. Après que l'homme ait refusé de parler, et comme il était presque mort du fait de la torture, Mahomet a ordonné que sa tête soit tranchée."
Dans cette ville il fit torturer et tuer l'oncle, le père, et le mari de Safia bint Hayi bin Akhtab (17 ans). Puis il fit de celle-ci son esclave par les droits de la guerre et l'obligea à partager sa couche. Safia elle même déclarait, selon les hadiths, que "Personne ne lui paraissait plus détestable que Mahomet.
Lors du banquet qui s'ensuivi, La belle Zaïnab de Quaybar, tenta d'empoisonner Mahomet avec un plat de viande empoisonné, mais le prophète vomit le poison et guérit. Lorsqu'il demanda à Zaïnab la raison de son geste, elle répondit : "Tu as causé à mon peuple de grands maux et j'ai pensé : si tu n'es qu'un simple chef d'armée, je sauverai mon peuple en causant ta mort, mais si vraiment tu es prophète, Dieu t'avertira de mon projet et tu survivras." Mahomet fit immédiatement mettre à mort l’héroïne juive.)
Un autre texte donne la version suivante :
Zaïnab la juive, fille d'Al Harith, épouse de Sellem ibn Michkam, envoya au prophète un mouton roti qu'elle avait empoisonné. Elle demandant auparavant quelle était la partie que le prophète préférait, et comme on lui apprit que c'était l'épaule, elle mit baucoup de poison sur cette partie. Dés que le prophète mordit l'épaule du mouton qui lui avait été offert, il fut averti que la viande était empoisonnée et il recracha ce qu'il avait dans la bouche.
Ensuite, il fit réunis tous les Juifs et leur demanda "Direz vous la vérité si je vous demande quelque chose?" "Oui, répondirent ils". "Avez vous mis du poison dans ce mouton?" "OUI dirent ils encore". Et quelqu'un vous a portés à le faire ?" demanda-t-il. "Nous avons voulu nous débarasser de toi, au cas où tu aurais été menteur; par contre, si tu es vraiment un prophète, cela ne te fera rien".
On amena ensuite la coupable auprés du messager de Dieu et elle confirma qu'elle avait cherché à l'assassiner. Les musulmans voulurent la tuer mais sur le moment le prophète ordonna qu'on la libère et il ne la punit pas sur le moment. Cependant, lsq Bichir Ibn Al barra ibn Maa'rour qui avait mangé aussi la viande empoisonné mourrut, alors il la fit tuer.
Après quelques ultimes escarmouches sans succès, les Quoraïchites de La Mecque comprirent qu’il ne leur restait plus qu'à faire la paix.
En mars 628 fut signé le pacte de Hudaibiyah qui stipulait une trève de dix ans, mais, comme le Prophète l'explique dans le Coran, "la parole donnée aux mécréants peut être reprise sans scrupules".
En 629, le traité d’Hodaïbiya autorisa les musulmans à effectuer un pèlerinage l’année suivante à La Mecque et, le 11 janvier 630, Mahomet en profita pour entrer par surprise dans la ville à la tête d’une armée de 10 000 hommes et s'en empara sans même livrer bataille. En quelques heures, les Mecquois sont convertis ou supprimés (30 exécutions). Triomphant, Mahomet épousa la fille de son ennemi Abu Sufyan. Il fait ensuite décapiter l'apostat Abdallah ibn Abou Sahr, le poête satiriste Abdallah ibn Khatal et Howairith ibn Noqaïd. Il fait aussi condamner à mort l'esclave affranchie Sara et les chanteuses Qariba et Fartana. Lui échappent Hind (femme d'Abou Sufyan), Ikrima et Cafwan ibn Ommayya (à qui Mahomet avait dit : "Tu as à choisir entre le sabre et l'islam !") qui parviennent à s'enfuir.
Les idoles de La Mecque sont toutes détruites (sauf la pierre noire), les vignes sont arrachées.
Les juifs et chrétiens de Makna, Eilat et Jarba sont ensuite soumis, la ville de Taïf est prise, la tribu des Beni Djadsimaa est massacrée et les musulmans font la guerre contre les tribus hawazites.
En 631 la ville byzantine de Tabouk est soumise et les chrétiens doivent payer le tribut.
Les tribus chrétiennes des Abdul Qaïs, Nadjranites, et Taghlibites sont soumises.
Mahomet conduira encore quelques raids vers la Syrie et les ports de la Mer Rouge.
En 632 il accomplira le pèlerinage annuel devant plusieurs milliers de fidèles : c'est le même pèlerinage que pratiquaient ses ennemis païens, et devant la même "pierre noire" ; mais ce pèlerinage sera désormais interdit à tout "mécréant", malgré les accords, suite à la révélation de la sourate 9, 1 et 28. Tous les rituels paiens du pèlerinage seront cependant conservés par les musulmans, en étant justifiés par des légendes attribuées à des personnages de la Bible.
Mahomet retournera ensuite à Médine où il mourra de maladie le 8-6-632.
Au dernier moment, Mahomet se couvrit le visage de son "khamisa" puis, lorsqu'il eut chaud et manqua d'air, il découvrit son visage et dit :
"Qu'Allah maudisse les Juifs et les Chrétiens, car ils ont élevé des lieux de prière sur les tombes de leurs Prophètes". (selon Aïsha et 'Abdullah bin 'Abbas).
A propos de la maladie du prophète : On rapporte ce hadith de Aicha :
Au cours de la maladie à la suite de laquelle il mourrut, l'envoyé de Dieu disait : "O Aicha !, je ne cesse de ressentir la souffrance que m'a fait éprouver le mets que j'ai mangé à Quaybar. Le moment est venu où mon aorte va se briser sous l'influence de ce poison"
Rien ne pouvait arrêter la lente action de ce poison.
Le Prophète avait demandé à ses compagnons de ne pas l'ensevelir après sa mort, car il serait élevé au ciel. Mais après trois jours, son cadavre commença à dégager une odeur fétide, et ses disciples, déçus de son mensonge, le mirent en terre. La tradition musulmane prétendra que c'est Mahomet qui aurait finalement choisi, après sa mort, de ne pas s'élever et de finir comme le commun des mortels...
Voilà :
C'était l'histoire de ce grand prophète, infiniment sage, infiniment généreux, gentil, dévoué et compatissant, et dont la haute spiritualité est évidente aux yeux de tous...
Source : http://www.encyclomancie.com/index.php? ... dossier=77
Avant toute chose, il faut préciser que la vie de Mahomet ne nous est connue que par quelques allusions dans le Coran et surtout par la "Sira" (ou vie de Mahomet). Mais cette "Sira" comprend une bonne part de légendes et d'enjolivements ; elle n'a été rédigée qu'un siècle après la mort du Prophète.
Mahomet serait né vers 570 ou 571 après JC en Arabie, à La Mecque dans le clan des Hashim, tribu de Quraysh (Quoraïchites). Son clan était spécialisé dans le commerce des caravanes. Mais peu après sa naissance, il perdit son influence.
Le père de Mahomet était un marchand du nom d'Abdallah. Il meurt en voyage deux mois avant que n'accouche sa femme Amina en 570. Lorsque celle-ci meurt à son tour, Mahomet n'a que six ans.
L'orphelin est élevé par son grand-père, le chef du clan des Bani Hachem (les Hachémites), puis par son grand-oncle, Abou Talib (père de son futur gendre, Ali).
Bien que ne sachant ni lire ni écrire, il assure sa fortune en épousant à 25 ans une riche veuve de quinze ans plus âgée que lui : Khadidja.
Waraqa, le cousin de cette Khadidja, était un ancien prêtre chrétien Nazaréen. (La Sira dit "...Elle se leva alors, s'habilla et alla chez son cousin Waraqa b. Nawfal b. Asad b. 'Abd al-'Uzzä b.Qusä, qui s'était converti au christianisme, avait lu l'Ecriture et avait appris maintes choses des Gens de la Tora et de l'Evangile....) Il est trés probable qu'il ait influencé les idées religieuses de Mahomet.
Devenu un notable, Mahomet organise des caravanes vers la Syrie et peut-être s'y rend-il lui-même.
Vers l'âge de 40 ans, en 610, le futur Prophète prend l'habitude de se retirer dans une grotte du désert, sur le mont Hira, à cinq kilomètres de La Mecque.
C'est là que, selon ses dires, l'ange Jebrail (Gabriel) lui apporte pour la 1ère fois la parole de Dieu.
A son retour à La Mecque, l’apôtre Mahomet (il ne se dit pas encore Prophète) se présente comme l'envoyé de Allah, le Dieu unique, et il commence à révéler ses visions dans les 90 sourates Mecquoises.
Mais les riches marchands de la ville s’opposent à lui à cause de ses critiques véhémentes contre leur mode de vie. Ils craignent pour leurs revenus, liés aux pèlerinages à la kaaba, et le pourchassent, le traitant de fou, et battent ses disciples.
Pour tenter de se concilier leur bonne grâce, Mahomet admet alors publiquement (dans la sourate Nadjm, dite de l'Étoile) que les divinités païennes de La Mecque (Al-Lât, Al-Uzza et Manât, les trois "filles d'Allah") existent bien et peuvent intercéder auprès de Dieu.
Tabari écrit à ce sujet :
Puisque le Prophète de l'islam s'était aperçu que la tribu Quoraïchite était réticente à son égard et puisque cela lui fut pénible à supporter, il souhaita que quelque chose vînt de la part de Dieu pour les rapprocher à lui ; lorsque cette idée a émergé dans son esprit, Dieu a révélé ces versets :
"Ce sont les déesses éminentes et leur intercession est admise." (Sourate Nadjm, versets 19 et 20)
Lorsque les Quoraïchites ont entendu la vénération de leurs dieux (par Mahomet), ils s'en sont réjouis et lorsque Mahomet est, dans son énonciation, arrivé au moment où il fallait prosterner, il a fait la prosternation et les autres qui étaient dans la mosquée, contents de la vénération de leurs dieux par Mahomet, en ont fait autant. Tout croyant ou renégat s'est prosterné... et quand les Quoraïchites sont sortis de la mosquée, ils furent joyeux et disaient : Mahomet a rappelé nos dieux en bons termes et les a traités d'éminents dont l'intercession est approuvée... (Ces faits ont été relatés par Al Tabari et Ibn Sad).
Les relations s'apaisent aussitôt avec les Mecquois Quoraïchites mais, chez ses disciples de la première heure, c'est la consternation. Ils se demandent à quoi rime ce polythéisme déguisé et cet opportunisme religieux envers les idolatres.
Par chance (!), l'ange Gabriel apporte alors à Mahomet une sourate dite de Youssouf par laquelle il est dit que les deux versets incriminés (les fameux "versets sataniques") avaient été inspirés par Satan et donc qu'il fallait les effacer (rapporté par At Tabari et Ibn Sad).
Et dans la sourate Hadj (le pèlerinage de La Mecque),verset 52, Allah explique alors :
"Avant lui aussi, les prophètes avaient des souhaits et Satan a fait venir leurs souhaits dans leur énonciation ..."
Et selon le Tarikh al Moulouk va al Rossal - page 880, Allah aurait dit aussi :
"...Avant toi, nous n'avons chargé aucun envoyé ni apôtre, sans qu'au moment de leur énonciation le Satan n'y fasse des suggestions. Mais Dieu abroge ce que le Satan a suggéré."
Cette rétractation déclencha une sévère persécution contre les pauvres de La Mecque, qui avaient suivi le Prophète.
En 619, l'horizon s'obscurcit encore plus avec la mort de l'épouse dévouée, Khadidja, ainsi que du puissant Abou Talib. Se sentant menacé, Mahomet essaie de partir pour l'oasis de Taïf, à une centaine de kilomètres, mais il en est chassé par les habitants.
Il épouse alors une veuve du nom de Saïda puis la très jeune fille de son disciple Abou Bakr. Elle s'appelle Aïsha et n'a que six ans alors que lui en a cinquante. Elle devint l’épouse préférée de Mahomet, détail qui révèle ses goûts très intimes. (Ces faits sont relatés dans l’un des textes officiels de la tradition islamique, le hâdith 67 39).
Le hadith, Sahih Bukhari 7,62-64 dit :
"Le Prophète a épousé Aisha quand elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle avait neuf ans, et alors elle est resté avec lui pendant neuf années (c'est à-dire, jusqu'à sa mort)."
Le hadith, Sahih Bukhari 1,4-229 dit
Aisha a relaté : "J'avais l'habitude de laver les traces de sperme des vêtements du Prophète et il avait l'habitude d'aller à la prière avec de l'eau encore dessus. (les traces d'eau étaient encore visibles)."
Le hadith, Volume 8, livre 73, N° 151dit :
Aisha a relaté : "J'avais l'habitude de jouer à la poupée en présence du Prophète, et mes jeunes amies avaient l'habitude également de jouer avec moi. Quand l'apôtre d'Allah entrait, elles avaient l'habitude de se cacher, mais le prophète les appelais à le rejoindre et jouer avec moi"
Le hadith, Volume 7, livre 62, N° 17 dit :
Jabir bin 'Abdullah a relaté : Quand je me suis marié, l'apôtre d'Allah m'a dit : "A quel type de dame t'es tu marié ?" J'ai répondu : "J'ai épousé une matrone". Il a dit : "Pourquoi, tu n'as pas de penchant pour les jeunes vierges et pour les caresser?" Jabir a également indiqué : L'apôtre d'Allah a dit : "Pourquoi tu n'as pas épousé une jeune fille de sorte que tu pourrais jouer avec elle et elle avec toi ?"
Le 23 juin 622, à Aqaba, sur les bords de la mer Rouge, les représentants de Yathrib (Médine), une oasis à 350 km au Nord-Est, signent avec le Prophète un pacte d'alliance et acceptent d'accueillir ses disciples mecquois, au total 70 personnes. Mahomet quitta alors finalement La Mecque en septembre pour s'installer à Médine. Cette période correspond à l’Hégire, ou début de l’ère islamique.
Médine était la proie de rivalités entre deux tribus arabes (Les Aws et les Khazraj) ; trois tribus juives y arbitraient ce conflit au gré de leurs intérêts. Mahomet y fut accueilli comme un médiateur et un législateur. Pour lui c'est le début d’un radicalisme politique qui ira crescendo : Désormais, dans ses 24 sourates de la période Médinoise, il ne se dit plus "apôtre" mais "Prophète" et son ton est bien plus dur.
Les Juifs jouent alors un rôle non négligeable dans la vie de la communauté. Il faut dire que Mahomet n'avait pas encore la prétention de professer une religion "nouvelle". Il n'y avait donc pas d'opposition avec les Juifs. D'ailleurs, la prière était tournée vers Jérusalem.
La communauté, en fait, est surtout une association politique : Le chef des musulmans se comporte en guerrier et il multiplie les razzias contre les caravanes des Mecquois pour réunir du butin.
Ayant alors surpris Zaynab bint Khuzaima (30 ans), épouse de son fils adoptif Ali, en petite tenue, Mahomet fut ébloui par sa beauté, et eut envie d'elle. Pour se justifier contre toute accusation d’inceste, Mahomet inventa une histoire incroyable : Une opportune (!) révélation d’Allah l’autorisa à transgresser l’interdit social et à épouser sa belle-fille :
"O prophète ! Il t'es permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives qu'Allah aura fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui aura donné son âme au prophète. C'est une prérogative que nous t'accordons sur les autres croyants. " (Sourate 30, 49-51) (il y a aussi la sourate 33, 2-37).
Bien évidemment son fils Zaid accepta de divorcer pour répondre au désir légitime de son père et aux ordres d'Allah.
Les hadiths de Boukhari Vol. 7,48 disent à ce sujet :
Lorsque fut révélé le verset coranique permettant à Muhammad de retarder le tour de n'importe laquelle de ses épouses, et lorsque Muhammad déclara qu'Allah lui avait permis de se marier avec la femme de son fils adoptif, Aïcha lui dit ironiquement: « Ô envoyé d'Allah, je vois que ton Dieu s'est vite empressé de t'exaucer. »
La sourate 66, 1-5 fut également révélée inopinément (!) pour permettre au Prophète de délaisser ses épouses s'il le voulait afin de coucher avec Marya Qibtiya bint shamun appelée aussi maria la copte (une esclave sexuelle qu'on lui avait donné en cadeau).
A partir de Médine, Mahomet organisa alors avec ses partisans trois razzias infructueuses contre les caravanes mecquoises.
Mais en janvier 624, en un lieu appelé Nakhlah, douze disciples de Mahomet attaquent par surprise une caravane de La Mecque, tuent un homme d'une flèche et font deux prisonniers. L'affaire cause un grand scandale car elle s'est produite pendant le mois de rajab. Il s'agit d'une période sacrée où toute hostilité et tout meurtre étaient proscrits.
Mais opportunément (!), Allah dicta à ce moment une sourate l’autorisant à rompre la trêve (sourate 2, 217). Allah accorda en plus une large part à son Prophète (il pu s'approprier un 5ème du butin !).
A cette époque Mahomet garde les juifs de Médine en haute estime. il s’attendait à ce que ceux-ci fussent les premiers à accueillir favorablement son message monothéiste; mais il fut rapidement déçu par leur méfiance et leur frilosité. En effet, les juifs ne le recevaient pas comme leur prophète et ils critiquaient même les libertés qu’il prenait avec le récit biblique.
Au comble de l’amertume, il se détourna du judaïsme et développa une religion qui tira désormais sa source mystique dIsmaël fils d’Abraham, et non plus de Moïse.
Le 11 février 624, une révélation divine (sourate 2, 138) enjoint à Mahomet et à ses disciples que la prière rituelle se ferait désormais en se tournant non plus vers Jérusalem mais vers la pierre noire de la kaaba, le sanctuaire des idolâtres de La Mecque. (en fait les chroniques occidentales indiquent que ce changement se serait fait bien plus tard). La rupture avec les juifs avait commencé.
Parallèlement, Mahomet fit peu à peu assassiner, avec l’accord d’Allah, tous ceux qui lui étaient opposés ou qui l’avaient critiqué
Ainsi Abu Afak, un juif centenaire avait osé composer une satire lyrique du Prophète (Kitab al Tabaqat al Kabir, Volume 2, par Ibn Sa’d, page 32). Mahomet s'est exclamé: "Qui me vengera sur cette crapule?" et Salim ibn Umayr est parti le tuer dans son sommeil.
Puis la poétesse Asma bint Marwan, mère de 5 petits enfants, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mahomet assassiner un vieil homme. Apprenant ses dires, Mahomet questionna : «N’y aurait-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ?» Umayr ibn Adi, un musulman (aveugle ?) se porta volontaire et poignarda la malheureuse dans son lit, alors qu’elle donnait la tétée à son plus jeune enfant.(Sirat Rasul Allah). Lorsque, pris de remord, Umayr exprima ses craintes d'être puni de ce meurtre par Allah, Mahomet le rassura en lui disant que «Même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela». Il dit aussi : "Oh sois témoin, aucune revanche n'est payable pour son sang !" (Aba Dawud Livre 38, 4348)
En 624, le Prophète attaqua victorieusement une caravane Mecquoise au puits de Badr (avec l'appui d'anges invisibles). En souvenir, ce mois devint le Ramadan.
Parmi les prisonniers se trouvait le conteur Al Nadr qui s’était autrefois illustré en se moquant du prophète à La Mecque et en disant que les sourates étaient des fables. Ivre de vengeance, Mahomet en profita pour l’exécuter.
Mahomet dit à ses hommes: "Quiconque d'entre vous rencontrera Abou-Djahl, qu'il ait soin de ne pas le laisser échapper. Si vous ne le rencontrez pas, cherchez le parmi les morts ; car Dieu m'a promis qu'il serait tué aujourd'hui. Si vous ne le reconnaissez pas à son visage qui pourrait être couvert de poussière, vous pourrez le distinguer à une cicatrice qu'il a au pied ;... tranchez lui la tête et amenez la moi. !"... ce qui fut fait.
Mahomet dit à Uqba bin Abi Mu`ayt : "Je fais à Dieu le voeux que si je te saisis en dehors de La Mecque, je te ferai couper la tête !".
Les textes disent ensuite :
Deux jours après, à mi-chemin vers Médine, Uqba, un autre prisonnier, avait été ordonné à l’exécution. Il tenta de protester et demanda pourquoi il devait être traité avec plus de rigueur que les autres captifs. «En raison de ton inimité avec Allah et son prophète», répondit Mahomet. «Et ma petite fille ! cria Uqba dans l’amertume de son âme, qui prendra soin d’elle ?». «Les feux de l’enfer !» s’exclama le Prophète. Et à cet instant, la victime fut fendue jusqu’aux pieds. «Misérable que tu es !» continua-t-il, «Et persécuteur ! Mécréant qui ne crois ni en Allah, ni en son prophète, ni en son livre ! Je remercie le seigneur qui t’as tué, et ainsi a consolé mes yeux !». (bn Hisham, Sirat de Mahomet)
Uqba n’était n'avait pourtant pas persécuté les premiers musulmans : Il mourut pour la simple et bonne raison qu’il refusa l’Islam, fidèlement à ses convictions personnelles.
Mahomet ordonna également le meurtre du poète critique juif Ka'b ibn al-Ashraf, parcequ'il avait récité à La Mecque un ode funèbre pour les Mecquois tués par les musulmans (et aussi parcequ'il taquinait les musulmans en adressant des vers d'amour à leurs femmes). Abû Nâïla, assassina alors le poète durant la nuit, près d’une cascade, aprés l'avoir traitreusement attiré hors de sa forteresse. Il était pourtant son frère adoptif. Quand Abû Nâïla jeta la tête coupée de Ka'b aux pieds de Mahomet, celui-ci s’écria : «Cela m’est plus agréable que le plus beau chameau de toute l’Arabie.» Puis il le félicita et lui fit don d'un bâton sur quoi s'appuyer dans le paradis.
Le lendemain ce fut au tour de Ibn Sunayna d'être assassiné par son ami musulman Muhayyisa ben Masud parcequ'il était juif lui aussi. Le frêre de Muhayyisa s’écria alors que «Une religion qui pousse à faire cela est certainement merveilleuse !».
Ces assassinats troublèrent cependant quelques âmes sensibles et le Prophète trouva le moyen de se justifier par une nouvelle sourate bien opportune (!) : « Il n’appartient pas au prophète de faire des captifs, tant que, sur Terre, il n’a pas complètement vaincu les incrédules.» (sourate 8,67).
Peu après la bataille de Badr, un incident mit le feu aux poudres. Une musulmane ayant été molestée au marché par des juifs de la tribu des Banû-Qaynuqâ', des batailles entre musulmans et juifs s'ensuivent. La tribu mise en cause se trouva bientôt assiégée par les musulmans puis fut expulsée de Médine et ses biens confisqués.
En 625, la deuxième tribu juive, celle des Banû-Nadhîr, fut accusée de pactiser avec les habitants de La Mecque (Allah aurait révélé qu'ils voulaient assassiner son Prophète) et durent s'enfuir à Quaybar après une violente bataille. Mahomet fit couper et brûler leurs palmeraies sur l'ordre d'Allah : «Ce que vous coupez de souple ou que vous laissez debout sur sa tige, c'est sur l'ordre d'Allah et pour confondre les mécréants.»
Ilt fit tuer aussi Kab, chef des Banû-Nadhîr et poête satiriste, ainsi que sa femme, car ils s'étaient moqué de lui.
Mahomet était devenu le maître de Médine. Il devint riche et puissant grâce au butin des razzias et du tribut qu’il exigeait des vaincus. Il s'était associé aux pillards Banou Damréh ainsi qu'à Abouzar de la tribu des brigands de Ghafar. La tribu des Banou Madlidj qui était idolâtre s'est alliée aussi au Prophète uniquement dans l'intention de s'emparer des butins obtenus dans les attaques aux caravanes. Mahomet a mené ainsi soixante trois razzias en tout (contre une seule guerre défensive). Ses victoires devaient démontrer à ses fidèles la pertinence de son message.
Les Mecquois, excédés par le pillage de leurs caravanes, montèrent une expédition avec Abu Sufyan contre Mahomet. Ils le battirent d’abord à Uhud le 21 mars, puis entreprirent le siège de Médine en 627 pendant 15 jours ("bataille du fossé"). Mais Mahomet ayant fait creuser un fossé défensif autour de la ville, les Mecquois durent lever le siège.
Le Prophète en profita pour accuser et attaquer la dernière tribu juive de Médine : les Banu Qurayza (qui pourtant avaient participé à la défense). Aprés un siège d'un mois, il leurs fait dire qu'ils ont le choix entre se convertir à l'islam ou bien de mourir. Malgré leur rédition, Mahomet décide de massacrer, sur ordre d’Allah, tous les membres mâles de la tribu (600 à 800 hommes). Ils furent horriblement torturés, pour qu'ils avouent où ils avaient cachés leurs trésors, puis, emmenés par groupe de cinq, ils furent tous décapités et jetés dans des fosses communes creusées prés de la place du marché de Médine. Les femmes et les enfants furent vendus comme esclaves. Après le carnage, Mahomet pris pour concubine la belle Rayhana bint umru bin hanafa, veuve de l’un des suppliciés.
Le hadith, Sahih Bukhari 5,59,362 dit à ce sujet :
"Il a alors tué leurs hommes et a distribué leurs femmes, leurs enfants et leurs propriétés parmi les musulmans, mais certains d'entre eux sont venus vers le prophète et il leur a accordé la sécurité, et ils ont embrassé l'islam. Il a exilé tous les juifs de Médine. Ils y avait des juifs de Bani Haritha et tous les autres juifs de Médine"
Ibn Ishaq a écrit à la page 466 du Sirat Rasulallah ::
"Alors l'apôtre a divisé la propriété, des épouses, et des enfants des Banu Qurayza entre les musulmans, il a fait connaître à ce jour les parts concernant les chevaux et les hommes, et en a pris le cinquième ",(Mahomet et sa famille ont obtenu un cinquième des prises de guerre). Puis l'apôtre a envoyé Sa'd. . . avec certaines des femmes captives des Banu Qurayza à Najd pour qu'il les vende contre des chevaux et des armes."
Lz hadith 669 dit :
Quelques gens de la tribu d'Uraina sont venus au Prophète et il leur a dit qu'ils pourraient aller aux chameaux de Sadaqa et boire leur lait et urine (utilisée à guérir des certaines maladies). D’abord tout était bien mais alors ils se sont battus sur les bergers et les ont tués, ont devenus des apostats de l’Islam et ont enlevé les chameaux de Muhammad. Il a envoyé des hommes pour les rentrer. Le Prophète Sacré a ordonné leurs mains coupées, leurs pieds coupés, leurs yeux éteints [traduction : leurs yeux crevés] et les avait jeté sur la terre rocailleuse jusqu'à ce qu'ils soient morts.
Le hadith, Sahih Bukhari 8, 82, 794 dit :
Anas a relaté : Certains de la tribu d'Ukl sont venues chez le Prophète et ont embrassé L'islam. Le climat de Médine ne leur convenait pas, alors le prophète leur a ordonné de boire l'urine et le lait des chameau pour se soigner. Ils l'ont fait et ont récupérés de leur mal. Mais ils se sont détourné de l'islam et ont tué le berger des chameaux et sont partis avec les chameaux. Le Prophète envoya certains à leur poursuite et ainsi ils les ont attrapés et rapportés, et le Prophète a commandé que leurs mains et jambes devaient être tranchées et que leurs yeux devraient être marqués au fer rouge et que leurs mains et leurs jambes coupées ne soient pas cautérisées, et ceci jusqu'à ce qu'ils meurent. (... "et il furent jetés à Al-Harra et ils moururent de soif".)
Abu Dawud 38A357 a écrit :
Quand l'Apôtre de Allah a coupé les mains et pieds de ceux qui avaient volé ses chameaux et apostasié, et il a ordonné que leurs yeux soient éteint par feu, Allah l'a réprimandé et a révélé: "La punition de ceux qui font la guerre contre Allah et Son Apôtre et s'efforcent de toutes leurs forces pour la méchanceté à travers la terre est l’exécution ou la crucifixion."
A partir de 627 le Prophète lanca une politique d'agression systématique des autres tribus.
Il attaqua les tribus des Bani Moustalik et les juifs de Wadil Qora, enleva les femmes et les enfants de la tribu des Moshjarik, pilla des caravanes, prit l'oasis juive de Fadak (qui devint bien personnel de Mahomet) et dit aux juifs Beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre !"
Puis il lanca une expédition contre les juifs de Quaybar. Il commenca par inviter leur chef à un pourparler et en profita pour le faire assassiner avec toute sa suite en cour de route.
Dans la "Vie de Mahomet", page 515, il est écrit :
"Il a attaqué la ville juive de Quaybar où il a pris un des chefs juifs et l'a torturé pour le forcer à dire où était enterrée son argent. Après que l'homme ait refusé de parler, et comme il était presque mort du fait de la torture, Mahomet a ordonné que sa tête soit tranchée."
Dans cette ville il fit torturer et tuer l'oncle, le père, et le mari de Safia bint Hayi bin Akhtab (17 ans). Puis il fit de celle-ci son esclave par les droits de la guerre et l'obligea à partager sa couche. Safia elle même déclarait, selon les hadiths, que "Personne ne lui paraissait plus détestable que Mahomet.
Lors du banquet qui s'ensuivi, La belle Zaïnab de Quaybar, tenta d'empoisonner Mahomet avec un plat de viande empoisonné, mais le prophète vomit le poison et guérit. Lorsqu'il demanda à Zaïnab la raison de son geste, elle répondit : "Tu as causé à mon peuple de grands maux et j'ai pensé : si tu n'es qu'un simple chef d'armée, je sauverai mon peuple en causant ta mort, mais si vraiment tu es prophète, Dieu t'avertira de mon projet et tu survivras." Mahomet fit immédiatement mettre à mort l’héroïne juive.)
Un autre texte donne la version suivante :
Zaïnab la juive, fille d'Al Harith, épouse de Sellem ibn Michkam, envoya au prophète un mouton roti qu'elle avait empoisonné. Elle demandant auparavant quelle était la partie que le prophète préférait, et comme on lui apprit que c'était l'épaule, elle mit baucoup de poison sur cette partie. Dés que le prophète mordit l'épaule du mouton qui lui avait été offert, il fut averti que la viande était empoisonnée et il recracha ce qu'il avait dans la bouche.
Ensuite, il fit réunis tous les Juifs et leur demanda "Direz vous la vérité si je vous demande quelque chose?" "Oui, répondirent ils". "Avez vous mis du poison dans ce mouton?" "OUI dirent ils encore". Et quelqu'un vous a portés à le faire ?" demanda-t-il. "Nous avons voulu nous débarasser de toi, au cas où tu aurais été menteur; par contre, si tu es vraiment un prophète, cela ne te fera rien".
On amena ensuite la coupable auprés du messager de Dieu et elle confirma qu'elle avait cherché à l'assassiner. Les musulmans voulurent la tuer mais sur le moment le prophète ordonna qu'on la libère et il ne la punit pas sur le moment. Cependant, lsq Bichir Ibn Al barra ibn Maa'rour qui avait mangé aussi la viande empoisonné mourrut, alors il la fit tuer.
Après quelques ultimes escarmouches sans succès, les Quoraïchites de La Mecque comprirent qu’il ne leur restait plus qu'à faire la paix.
En mars 628 fut signé le pacte de Hudaibiyah qui stipulait une trève de dix ans, mais, comme le Prophète l'explique dans le Coran, "la parole donnée aux mécréants peut être reprise sans scrupules".
En 629, le traité d’Hodaïbiya autorisa les musulmans à effectuer un pèlerinage l’année suivante à La Mecque et, le 11 janvier 630, Mahomet en profita pour entrer par surprise dans la ville à la tête d’une armée de 10 000 hommes et s'en empara sans même livrer bataille. En quelques heures, les Mecquois sont convertis ou supprimés (30 exécutions). Triomphant, Mahomet épousa la fille de son ennemi Abu Sufyan. Il fait ensuite décapiter l'apostat Abdallah ibn Abou Sahr, le poête satiriste Abdallah ibn Khatal et Howairith ibn Noqaïd. Il fait aussi condamner à mort l'esclave affranchie Sara et les chanteuses Qariba et Fartana. Lui échappent Hind (femme d'Abou Sufyan), Ikrima et Cafwan ibn Ommayya (à qui Mahomet avait dit : "Tu as à choisir entre le sabre et l'islam !") qui parviennent à s'enfuir.
Les idoles de La Mecque sont toutes détruites (sauf la pierre noire), les vignes sont arrachées.
Les juifs et chrétiens de Makna, Eilat et Jarba sont ensuite soumis, la ville de Taïf est prise, la tribu des Beni Djadsimaa est massacrée et les musulmans font la guerre contre les tribus hawazites.
En 631 la ville byzantine de Tabouk est soumise et les chrétiens doivent payer le tribut.
Les tribus chrétiennes des Abdul Qaïs, Nadjranites, et Taghlibites sont soumises.
Mahomet conduira encore quelques raids vers la Syrie et les ports de la Mer Rouge.
En 632 il accomplira le pèlerinage annuel devant plusieurs milliers de fidèles : c'est le même pèlerinage que pratiquaient ses ennemis païens, et devant la même "pierre noire" ; mais ce pèlerinage sera désormais interdit à tout "mécréant", malgré les accords, suite à la révélation de la sourate 9, 1 et 28. Tous les rituels paiens du pèlerinage seront cependant conservés par les musulmans, en étant justifiés par des légendes attribuées à des personnages de la Bible.
Mahomet retournera ensuite à Médine où il mourra de maladie le 8-6-632.
Au dernier moment, Mahomet se couvrit le visage de son "khamisa" puis, lorsqu'il eut chaud et manqua d'air, il découvrit son visage et dit :
"Qu'Allah maudisse les Juifs et les Chrétiens, car ils ont élevé des lieux de prière sur les tombes de leurs Prophètes". (selon Aïsha et 'Abdullah bin 'Abbas).
A propos de la maladie du prophète : On rapporte ce hadith de Aicha :
Au cours de la maladie à la suite de laquelle il mourrut, l'envoyé de Dieu disait : "O Aicha !, je ne cesse de ressentir la souffrance que m'a fait éprouver le mets que j'ai mangé à Quaybar. Le moment est venu où mon aorte va se briser sous l'influence de ce poison"
Rien ne pouvait arrêter la lente action de ce poison.
Le Prophète avait demandé à ses compagnons de ne pas l'ensevelir après sa mort, car il serait élevé au ciel. Mais après trois jours, son cadavre commença à dégager une odeur fétide, et ses disciples, déçus de son mensonge, le mirent en terre. La tradition musulmane prétendra que c'est Mahomet qui aurait finalement choisi, après sa mort, de ne pas s'élever et de finir comme le commun des mortels...
Voilà :
C'était l'histoire de ce grand prophète, infiniment sage, infiniment généreux, gentil, dévoué et compatissant, et dont la haute spiritualité est évidente aux yeux de tous...
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 11 juil.09, 01:45ce copié collé est beaucoup trop long . 

(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésushttp://www.forum-religion.or
Ecrit le 11 juil.09, 09:50Jésus a-t-il vraiment goûté à la mort?
L’image de Jésus mourant sur la croix est au cœur de la croyance chrétienne et elle à la source de cette conviction profonde selon laquelle il serait mort pour racheter les péchés des hommes. La crucifixion de Jésus est une doctrine centrale dans le christianisme. Les musulmans, cependant, la rejettent totalement. Avant d’aborder le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus, il est essentiel de comprendre d’abord le point de vue de l’islam sur la notion de péché originel.
Quand Adam et Ève mangèrent de l’arbre défendu, au Paradis, ils ne furent pas tentés par un serpent. C’est le diable qui les poussa à désobéir. Cependant, ils utilisèrent leur libre-arbitre pour le faire et pour commettre, manifestement, une erreur de jugement. Ève ne porte pas à elle seule le poids de cette erreur. C’est ensemble qu’Adam et Ève réalisèrent l’erreur qu’ils venaient de commettre, suite à quoi ils éprouvèrent des remords et implorèrent le pardon de Dieu. Dieu, dans Son infinie sagesse et Sa grande miséricorde, leur accorda Son pardon. On ne retrouve pas, dans l’islam, le concept du péché originel; chaque personne est responsable de ses propres actions.
« Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18)
Il n’y a aucune raison pour que Dieu, ou un « fils » de Dieu, ou encore un prophète se sacrifie lui-même pour racheter les péchés des hommes. L’islam rejette totalement cette idée. Le fondement même de l’islam consiste à savoir avec certitude et à reconnaître que rien ni personne ne doit être adoré à part Dieu. Le pardon ne peut provenir que de Dieu. Alors quand une personne cherche le pardon, elle doit le faire auprès de Dieu en se tournant vers Lui avec humilité, le cœur empli de regrets, et demander pardon en ayant la ferme intention de ne pas répéter le péché commis. Ce n’est qu’ainsi qu’elle a une chance de voir ses péchés pardonnés.
Maintenant que nous connaissons le point de vue de l’islam sur le concept du péché originel et du pardon, nous comprenons qu’il ne peut enseigner que Jésus est venu pour racheter les péchés des hommes, mais qu’il a été envoyé pour confirmer le message des prophètes qui l’ont précédé :
« Nul ne doit être adoré à part Dieu. » (Coran 3:62)
Les musulmans ne croient pas en la crucifixion de Jésus et ne croient pas qu’il ait goûté à la mort.
La crucifixion :
Le message de Jésus fut rejeté par la plupart des Israélites, de même que par les autorités romaines. Ceux qui crurent en lui formèrent un petit groupe qu’on appela les apôtres. Les Israélites complotèrent contre Jésus et planifièrent son assassinat : il devait être exécuté en public, d’une façon particulièrement horrible et bien connue dans l’empire romain, c’est-à-dire par crucifixion.
Mourir par crucifixion, à l’époque, était considéré comme une humiliation; et les « citoyens » de l’empire romain jouissaient d’une protection contre ce châtiment. La crucifixion était conçue non seulement pour prolonger l’agonie, mais aussi pour mutiler le corps. Les Israélites planifièrent donc cette mort humiliante pour leur messie, Jésus. Mais Dieu, dans Son infinie miséricorde, empêcha la réalisation de leur plan maléfique en transposant sur un criminel l’apparence physique de Jésus et en élevant ce dernier vers Lui, alors qu’il était encore vivant. Le Coran est avare de détails sur l’identité exacte de la personne qui fut crucifiée à la place de Jésus, mais nous savons avec certitude que ce n’est pas le prophète Jésus qui fut crucifié.
Les musulmans croient que le Coran et les paroles du prophète Mohammed (hadith) contiennent toutes les connaissances dont a besoin l’humanité pour adorer Dieu et vivre en conformité avec Ses commandements. Par conséquent, si certains détails ne nous sont pas expliqués, c’est que Dieu, dans Son infinie sagesse, a jugé que ces détails ne nous apporteraient rien. Le Coran raconte, dans les paroles mêmes de Dieu, la conspiration contre Jésus, la façon dont les Israélites ont été trompés, de même que l’élévation de Jésus jusqu’au ciel.
« Alors (les mécréants) complotèrent [contre Jésus]; mais Dieu fit échouer leur complot. C’est Lui le Meilleur des planificateurs. » (Coran 3:54)
« Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures. Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:157-8)
Jésus n’a pas goûté à la mort :
Les Israélites et les autorités romaines ne sont jamais parvenus à tuer Jésus. Dieu affirme clairement qu’Il a élevé Jésus vers Lui.
« Et quand Dieu dit: « Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. » (Coran 3:55)
Dans le verset ci-dessus, quand Dieu dit qu’Il mettra fin à la vie de Jésus, Il utilise le mot moutawaffika. Ceux qui ne connaissent pas la richesse de la langue arabe et qui n’ont pas une idée claire des divers degrés de signification de plusieurs mots de cette langue peuvent avoir de la difficulté à comprendre le sens réel de ce terme. En arabe, de nos jours, le mot moutawaffika est parfois utilisé pour faire référence à la mort, ou encore au sommeil. Dans ce verset coranique, cependant, il est utilisé dans son sens original et signifie que Dieu a élevé Jésus vers Lui, corps et âme. Il était donc vivant et dans son état habituel lors de son ascension.
Les musulmans croient que Jésus n’a pas goûté à la mort et qu’il reviendra sur terre quelque temps avant le Jour du Jugement. Le prophète Mohammed a dit à ses compagnons :
« Jésus, le fils de Marie, descendra parmi vous et jugera selon la loi coranique et non pas selon la loi de l’Évangile. » (sahih al-Boukhari)
Dans le Coran, Dieu nous rappelle que le Jour du Jugement est un jour que nul ne pourra éviter et que le retour de Jésus sur terre sera un signe de l’imminence de ce Jour.
« [Jésus] sera un signe de [l’arrivée imminente de] l’Heure. N’ayez donc aucun doute au sujet [de l’Heure] et suivez-Moi : voilà le droit chemin. » (Coran 43:61)
Le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus et sa mort est donc clair. Un complot a été ourdi pour crucifier Jésus, mais Dieu l’a fait échouer; Jésus n’est pas mort, mais a été élevé vers Dieu. Peu avant la venue du Jour du Jugement, Jésus reviendra sur terre et continuera de prêcher son message.
L’image de Jésus mourant sur la croix est au cœur de la croyance chrétienne et elle à la source de cette conviction profonde selon laquelle il serait mort pour racheter les péchés des hommes. La crucifixion de Jésus est une doctrine centrale dans le christianisme. Les musulmans, cependant, la rejettent totalement. Avant d’aborder le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus, il est essentiel de comprendre d’abord le point de vue de l’islam sur la notion de péché originel.
Quand Adam et Ève mangèrent de l’arbre défendu, au Paradis, ils ne furent pas tentés par un serpent. C’est le diable qui les poussa à désobéir. Cependant, ils utilisèrent leur libre-arbitre pour le faire et pour commettre, manifestement, une erreur de jugement. Ève ne porte pas à elle seule le poids de cette erreur. C’est ensemble qu’Adam et Ève réalisèrent l’erreur qu’ils venaient de commettre, suite à quoi ils éprouvèrent des remords et implorèrent le pardon de Dieu. Dieu, dans Son infinie sagesse et Sa grande miséricorde, leur accorda Son pardon. On ne retrouve pas, dans l’islam, le concept du péché originel; chaque personne est responsable de ses propres actions.
« Nulle âme ne portera le fardeau d’une autre, en plus du sien. » (Coran 35:18)
Il n’y a aucune raison pour que Dieu, ou un « fils » de Dieu, ou encore un prophète se sacrifie lui-même pour racheter les péchés des hommes. L’islam rejette totalement cette idée. Le fondement même de l’islam consiste à savoir avec certitude et à reconnaître que rien ni personne ne doit être adoré à part Dieu. Le pardon ne peut provenir que de Dieu. Alors quand une personne cherche le pardon, elle doit le faire auprès de Dieu en se tournant vers Lui avec humilité, le cœur empli de regrets, et demander pardon en ayant la ferme intention de ne pas répéter le péché commis. Ce n’est qu’ainsi qu’elle a une chance de voir ses péchés pardonnés.
Maintenant que nous connaissons le point de vue de l’islam sur le concept du péché originel et du pardon, nous comprenons qu’il ne peut enseigner que Jésus est venu pour racheter les péchés des hommes, mais qu’il a été envoyé pour confirmer le message des prophètes qui l’ont précédé :
« Nul ne doit être adoré à part Dieu. » (Coran 3:62)
Les musulmans ne croient pas en la crucifixion de Jésus et ne croient pas qu’il ait goûté à la mort.
La crucifixion :
Le message de Jésus fut rejeté par la plupart des Israélites, de même que par les autorités romaines. Ceux qui crurent en lui formèrent un petit groupe qu’on appela les apôtres. Les Israélites complotèrent contre Jésus et planifièrent son assassinat : il devait être exécuté en public, d’une façon particulièrement horrible et bien connue dans l’empire romain, c’est-à-dire par crucifixion.
Mourir par crucifixion, à l’époque, était considéré comme une humiliation; et les « citoyens » de l’empire romain jouissaient d’une protection contre ce châtiment. La crucifixion était conçue non seulement pour prolonger l’agonie, mais aussi pour mutiler le corps. Les Israélites planifièrent donc cette mort humiliante pour leur messie, Jésus. Mais Dieu, dans Son infinie miséricorde, empêcha la réalisation de leur plan maléfique en transposant sur un criminel l’apparence physique de Jésus et en élevant ce dernier vers Lui, alors qu’il était encore vivant. Le Coran est avare de détails sur l’identité exacte de la personne qui fut crucifiée à la place de Jésus, mais nous savons avec certitude que ce n’est pas le prophète Jésus qui fut crucifié.
Les musulmans croient que le Coran et les paroles du prophète Mohammed (hadith) contiennent toutes les connaissances dont a besoin l’humanité pour adorer Dieu et vivre en conformité avec Ses commandements. Par conséquent, si certains détails ne nous sont pas expliqués, c’est que Dieu, dans Son infinie sagesse, a jugé que ces détails ne nous apporteraient rien. Le Coran raconte, dans les paroles mêmes de Dieu, la conspiration contre Jésus, la façon dont les Israélites ont été trompés, de même que l’élévation de Jésus jusqu’au ciel.
« Alors (les mécréants) complotèrent [contre Jésus]; mais Dieu fit échouer leur complot. C’est Lui le Meilleur des planificateurs. » (Coran 3:54)
« Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures. Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:157-8)
Jésus n’a pas goûté à la mort :
Les Israélites et les autorités romaines ne sont jamais parvenus à tuer Jésus. Dieu affirme clairement qu’Il a élevé Jésus vers Lui.
« Et quand Dieu dit: « Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. » (Coran 3:55)
Dans le verset ci-dessus, quand Dieu dit qu’Il mettra fin à la vie de Jésus, Il utilise le mot moutawaffika. Ceux qui ne connaissent pas la richesse de la langue arabe et qui n’ont pas une idée claire des divers degrés de signification de plusieurs mots de cette langue peuvent avoir de la difficulté à comprendre le sens réel de ce terme. En arabe, de nos jours, le mot moutawaffika est parfois utilisé pour faire référence à la mort, ou encore au sommeil. Dans ce verset coranique, cependant, il est utilisé dans son sens original et signifie que Dieu a élevé Jésus vers Lui, corps et âme. Il était donc vivant et dans son état habituel lors de son ascension.
Les musulmans croient que Jésus n’a pas goûté à la mort et qu’il reviendra sur terre quelque temps avant le Jour du Jugement. Le prophète Mohammed a dit à ses compagnons :
« Jésus, le fils de Marie, descendra parmi vous et jugera selon la loi coranique et non pas selon la loi de l’Évangile. » (sahih al-Boukhari)
Dans le Coran, Dieu nous rappelle que le Jour du Jugement est un jour que nul ne pourra éviter et que le retour de Jésus sur terre sera un signe de l’imminence de ce Jour.
« [Jésus] sera un signe de [l’arrivée imminente de] l’Heure. N’ayez donc aucun doute au sujet [de l’Heure] et suivez-Moi : voilà le droit chemin. » (Coran 43:61)
Le point de vue de l’islam sur la crucifixion de Jésus et sa mort est donc clair. Un complot a été ourdi pour crucifier Jésus, mais Dieu l’a fait échouer; Jésus n’est pas mort, mais a été élevé vers Dieu. Peu avant la venue du Jour du Jugement, Jésus reviendra sur terre et continuera de prêcher son message.
Quel est le commandement le plus important de tous? Jésus répondit:
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
« Voici le commandement le plus important: Écoute, Israël, le Seigneur est notre Dieu, il est le seul Dieu; tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ton énergie. » (Marc 12:28-30)
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 13 juil.09, 00:13tu ne peux pas nier le fait que jesus surpasse de loin mahomet en tout point , pourquoi dieu donnerai plus de pouvoir a jesus (le don de ressusciter les morts, diriger au vent et a la mer, faire sortir les demons des gens ...) et pas grand chose a mahomet qui n a jamais accomplit de miracles et dirait qu il est le dernier et le prefere ca me parait tres peu probable.mahomet n a jamis prouve une seule fois qu il avait la puissance divine avec lui contrairement a moise et jesus qui ont accomplit de nombreux miracles
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 13 juil.09, 04:31les musulmaims aimes JESUS mais l'aime t-il come il veux qu'il soit aimer ?
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 13 juil.09, 05:12T'es sur ?gabrielange a écrit :et pas grand chose a mahomet qui n a jamais accomplit de miracles et dirait qu il est le dernier et le prefere ca me parait tres peu probable.mahomet n a jamis prouve une seule fois qu il avait la puissance divine avec lui contrairement a moise et jesus qui ont accomplit de nombreux miracles

gabrielange a écrit :tu ne peux pas nier le fait que jesus surpasse de loin mahomet en tout point , pourquoi dieu donnerai plus de pouvoir a jesus (le don de ressusciter les morts, diriger au vent et a la mer, faire sortir les demons des gens ...)
Jésus a été doter de ses pouvoir parce que les israélite à l'époque de jésus n'ont pas reçu de prophètes pendant un longue durée et leurs cœurs s'endurcirent comme l'affirme le coran
Ceux-ci trouvèrent le temps assez long et leurs coeurs s'endurcirent, et beaucoup d'entre eux sont pervers.(Coran 57:16)
En plus il attendaient le messie prophétiser dans les livres de AT et il y avait pas mal de blasphémateurs et de faux prophètes en Israël, donc jésus a été envoyer avec ces miracles pour qu'il soit reconnu par les gens comme étant le Messie envoyer par Dieu pour libérer les juifs et se faire couronné Roi, mais en vain il était tous des pervers et il ont essayer de le crufier mais Dieu tout-puissant avait détourner le complot sur son serviteur (Voir Psaume 91)
et on leur dira : "Où sont ceux que vous adoriez,en dehors de Dieu ? vous secourent-ils ? ou se secourent-ils eux-mêmes ?"Ils y seront donc jetés pêle-mêle, et les errants aussi,ainsi que toutes les armées d'Iblis. (Coran 2:257)
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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 13 juil.09, 16:08medico a écrit :ce copié collé est beaucoup trop long .
normal y en a adire sur les saloperies qu il a faite

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Re: Les musulmans aussi aiment Jésus
Ecrit le 13 juil.09, 16:11T'es sur ?
oui je suis sur
de plus ce que tu me sors apres quel rapport avec le fait que mahomet n a rien accomplit?

oui je suis sur



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