Et quel texte Jésus à lut dans la synagogue? Je ne vais pas plus loin pour le moment car selon le texte que tu donneras en référence il t'attends une belle surprise...a moins que tu ouvre les yeux.
" Un jour, dans une synagogue, le Christ s’est levé pour lire un passage du rouleau d’Ésaïe. Le texte qu’il avait sous les yeux correspond, dans nos Bibles, aux versets 1 et 2 du chapitre 61 de ce livre, dans lequel le nom divin apparaît plus d’une fois (Luc 4:16-21).
Luc cite (à peu près) d'après la Septante; ce qui nous vaut, par exemple, d'avoir des "aveugles" au lieu des "prisonniers" du texte hébreu. Le récit sur lequel on se fonde pour affirmer que Jésus a lu un texte en hébreu ne suit précisément pas ce texte en hébreu...
La lecture de Jésus dans la synagogue suscite une réaction immédiate enthousiaste (v. 22), inimaginable si Jésus avait pronocé le tétargramme : il faut que Jésus provoque ensuite la controverse sur un tout autre sujet (la préférence accordée aux "païens" en matière de miracles) pour réussir enfin à se faire virer.
Pour le reste savais-tu que les NT en hébreu traduisent kurios non pas par "Seigneur"/"Adonaï", mais en général soit par le tétragramme soit par JEHOVAH et vont jusqu'à dire que le terme Adonaï c'est Jéhovah. Tu veux des preuves?
La TMN pour justifier ses insersions dans le NT de l'occurence "Jéhovah" quant elles ne citent pas texte de l'AT, s'appuie sur la référence de nombreuses traductions du NT de langue hébraïque. Le fait est, pourtant, que toutes ces traductions hébraïques ont été faites qu'à partir du quatorzième siècle de notre ère, et certaines pas plus tard qu'au dix-neuvième siècle. Bien qu'elles soient en hébreu cela peut donner une l'apparence d'un support authentique, mais il ne s'agit seulement que de cela - une apparence. Les différents traducteurs ne faisaient rien d'autre qu'indiquer leur choix personnel par leur insertion du Tétragramme dans les manuscrits grecs qu'ils traduisaient contenaient en fait le mot ”Seigneur” ou ”Dieu”. En réalité, ces traductions hébraïques n’ont pas plus de poids en la
matière qu'une traduction dans une langue comme l'arabe, l'allemand, ou le portugais faite à la même époque. Elles ne constituent pas une preuve, mais seulement une opinion personnelle du
traducteur. En quoi ces traductions ont-elle plus de poids que les manuscrits du NT ?