Marmhonie lisez donc ce qui à été dit au colloque et arrétez donc de dire tout et n'importe quoi sur le Sûtra du Lotus , la Soka Gakkai qui est Hors sujet et le bouddhisme en général .
Yochi Kawada , Dennis Gira , Lokhesh Chandra, Sylvie Hureau , Hiroshi Kanno , Paul Magnin , Jérome Ducors et Jean Noel Robert (maintes fois cité ) sont des références bien plus crédibles que vos allégations de toutes sortes , vos interventions délirantes qui ne font que discréditer ce forum sur le bouddhisme dont de toute évidence vous ne connaissez rien .
Le plus ancien manuscrit d'un Soutra du Lotus est chinois, et du XIII siècle au temple Yansheng-yuan dans la province de Jiangsu, en Chine.
C'est parfaitement
faux pour preuves :
- La traduction du Sûtra du Lotus de Kumarajiva en chinois date de 406 ap JC donc la plus ancienne version du Sûtra du Lotus est bien plus antérieur au XIIIe siécle et même du V iéme siècle .
Le texte, composé en plusieurs étapes, daterait d’entre le ier siècle av. J.-C. et le milieu du ier siècle ap. J.-C., soit plusieurs siècles après la mort du Bouddha. Selon le traducteur Burton Watson, il pourrait avoir été à l'origine écrit dans un dialecte prâkrit avant d'être plus tard traduit en sanskrit pour lui accorder une plus grande respectabilité. Jan Nattier a d’ailleurs proposé que ce serait le cas pour presque tous les sûtras parvenus en Chine avant le ive siècle. Des fragments en sanskrit d’une version d’Asie centrale indépendante de la version chinoise ont été retrouvés dans les années 1990.
La Traduction d'Eugéne Burnouf repose sur des textes sanscrits du SDL datant du VI siécle ap JC .
-Des version du SDL circulaient déjà en chine au VII e siècle :
http://expositions.bnf.fr/chine/grand/c081.htm
Donc Marmhonie de grâce arrétez d'intervenir , vous faites soit du Hors sujet , soit des affirmations érronnées voir complètement fausses .
Merci par avance .
Le message du Sūtra du Lotus :
http://expolotus2016.blogspot.fr/p/le-s ... lotus.html
• Pratiqué largement en Asie de l’est
Le Catalogue de l’ère Kaiyuan du Canon bouddhique (achevé en 730 pendant la période des Tang) établit une liste de 1 076 sūtra en 5 048 volumes. Parmi eux, le Sūtra du Lotus traduit par Kumārajīva (Miaofa lianhua jing ou Sūtra du Lotus de la Loi merveilleuse) occupe une place de premier plan. Sūtra composé de huit volumes, il est appelé le roi des sūtra depuis les temps anciens. Largement adopté dans de nombreuses parties de l’Asie de l’est, il a eu un impact social et culturel significatif à travers l’Histoire, contribuant grandement au développement du bouddhisme en Asie de l’est.
Parmi les six versions chinoises recensées de l’original en sanskrit, trois seulement nous sont parvenues. Celle de Kumārajīva, Le Sūtra du Lotus de la Loi merveilleuse (406), considérée comme la meilleure, est passée à la postérité. Les références au texte incluses dans cette exposition se fondent sur la traduction chinoise de Kumārajīva.
• Chaque personne a la possibilité de devenir un bouddha
Le Sūtra du Lotus porte un message d’espoir destiné à toute l’humanité : « Tous les êtres humains sont, sans exception, par essence, des bouddhas potentiels d’une noblesse illimitée. » Il prodigue des encouragements à ceux qui sont prisonniers de sentiments de découragement et d’impuissance. Le Sūtra du Lotus peut inspirer ceux qui n’ont pas conscience de leur propre bouddhéité inhérente et qui sont prisonniers de la violence et de la haine, à respecter la dignité de la vie humaine et à contribuer à la paix.
• Des peintures permettent aux gens de comprendre les enseignements en les visualisant
Le Sūtra du Lotus n’est pas seulement une relique culturelle du passé. C’est un sūtra qui invite à la revitalisation de la société et à l’établissement d’un avenir de création de valeurs. À travers diverses allégories, par ses sept paraboles, il enseigne la voie vers l’atteinte de la bouddhéité ou un bonheur éternel, d’une façon aisément compréhensible par tous.
Des peintures décrivant des scènes célèbres liées au Sūtra du Lotus ont été réalisées dans les grottes de Mogao, à Dunhuang. Ces peintures véhiculent les messages clés du Sūtra du Lotus.
• Les peintures des grottes de Mogao à Dunhang
Parmi les manuscrits en chinois de Dunhuang existants, les plus nombreux sont ceux du Sūtra du Lotus. Beaucoup de peintures dépeignaient le contenu du Sūtra du Lotus pour en faciliter la compréhension. Cette peinture de plafond illustre le contenu de vingt-quatre des vingt-huit chapitres du Sūtra du Lotus (les VIe, XIIIe, XVIIIe et XXIe chapitres n’étant pas illustrés).
Ces peintures comprennent cent six légendes qui expliquent brièvement le contenu du chapitre. Les chapitres illustrés commencent par l’Assemblée au pic de l’Aigle dans le Ier chapitre (« Introduction »), et vont jusqu’à « La cérémonie dans les Airs » dans le XIe chapitre (« l’Apparition de la Tour aux trésors ») au centre, puis se déroulent dans le sens des aiguilles d’une montre pour la plupart. La peinture décrit des événements successifs sur un décor unifié dans lequel la même personne apparaît plusieurs fois dans le même tableau, indiquant les changements de temps.