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Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 15 mars18, 09:52
par algol-x
Yvon a écrit :Vous n'avez rien à dire car vous ne savez rien comme d'hab .
Si ça vous fait plaisir ! :)

Ce que je remarque surtout, c'est que vous semblez incapable de faire une synthèse, ne serait-ce que trente lignes, sur le "bouddhisme Soka Gakkai" !

:levitation:

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 15 mars18, 12:14
par Yvon

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 15 mars18, 20:35
par zeste de savoir
algol-x a écrit : Ce que je remarque surtout, c'est que vous semblez incapable de faire une synthèse, ne serait-ce que trente lignes, sur le "bouddhisme Soka Gakkai" !

:levitation:
Yvon a écrit :Erreur c'est dèjà fait.

http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... 38510.html

Pas vraiment, en s'attribuant les écrits d'autres contributeurs, il en est capable ! :sourcils:
http://www.forum-religion.org/bouddhism ... -t367.html

:Bye:

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 15 mars18, 20:53
par Yvon
La vie à la lumière du bouddhisme
Le mot bouddha signifie « l’éveillé », et désigne une personne qui manifeste dans son être la sagesse et la bienveillance qu’il est possible d’acquérir en prenant conscience que la vie et l’univers entier sont régis par une Loi éternelle et universelle.
Toute personne, par sa recherche intérieure et sa pratique religieuse, peut accomplir la même transformation de l’esprit et de la vie menée à bien par le Bouddha. À nos yeux, l’essence du bouddhisme n’est autre que la découverte de cette source d’espoir fondamentale inhérente à l’homme.
Le bouddhisme élucide une conception de la vie ainsi que sa mise en pratique – à savoir, le moyen d’accéder à une compréhension de la Loi éternelle et universelle qui anime toutes formes de vies, et l’univers entier, et à surmonter toutes les souffrances dues à l’ignorance de cette loi pour parvenir au bonheur.
L’enseignement bouddhique est appelé en sanscrit « Dharma ».Le Dharma désigne précisément cette vérité ultime de la vie qui rend possible la transformation au niveau de l’esprit et de la vie évoquée ci-dessus. Le terme a plusieurs significations : il décrit à la fois la doctrine permettant à l’être humain d’acquérir cette vérité ; le moyen de mettre en pratique ce principe ; ou encore,le Canon, les enseignements normatifs.

L’enseignement du bouddhisme n’est pas figé. Il dépend du temps et de la réceptivité de ceux à qui il s’adresse, et de leur capacité à accepter cet enseignement. Le « temps » en l’occurrence représente le moment où le désir ardent des gens de sortir des souffrances coïncide avec la volonté bienveillante du Bouddha d’enseigner aux hommes une voie leur permettant de se libérer véritablement des souffrances. Le contenu de l’enseignement varie en fonction de la nature de leurs souffrances, ainsi que de leur capacité spirituelle à accepter cet enseignement.

Le Sûtra du Lotus
Notre croyance, fondée sur le Sûtra du Lotus, reconnaît le développement de divers enseignements bouddhiques antérieurs, et respecte leur existence.Nous souhaitons toutefois insister sur ce point doctrinal important qu’il ne faut en aucun cas perdre de vue : chacun de ces divers enseignements constitue un parcours, un processus ayant pour but de guider les êtres humains vers l’état de vie,vers l’éveil du Bouddha lui-même. C’est un point à ne jamais oublier, une mise en garde valable pour nous-mêmes comme pour tous les croyants bouddhistes : car dès que nous oublions
cela, ces divers enseignements fragmentaires de la Loi s’écartent de l’esprit et de l’illumination du Bouddha.

Nichiren Daishonin
Nichiren Daishonin fut le bouddhiste qui prit le plus profondément conscience de cette nature essentielle du bouddhisme ainsi que de cet avertissement.Recherchant passionnément une voie permettant à tous les êtres humains d’élever leur état de vie au même niveau que le Bouddha, Nichiren fut une personne qui entreprit lui-même ce processus de transformation de sa vie, en tant qu’être humain.Et il le poursuivit jusqu’au bout, offrant ainsi à la postérité un modèle pour les êtres humains qui aspirent au bouddhisme.
Tout comme Nichiren Daishonin, nous croyons que c’est précisément en percevant cette nature essentielle dubouddhisme, et en l’enseignant, qu’on en assure la diversité et la richesse.

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 16 mars18, 02:23
par algol-x
algol-x a écrit : Ce que je remarque surtout, c'est que vous semblez incapable de faire une synthèse, ne serait-ce que trente lignes, sur le "bouddhisme Soka Gakkai" !
Yvon a écrit :Erreur c'est dèjà fait.
http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... 38510.html
zeste de savoir a écrit :Pas vraiment, en s'attribuant les écrits d'autres contributeurs, il en est capable ! :sourcils:
http://www.forum-religion.org/bouddhism ... -t367.html
La fin justifie les moyens ! Il ne va pas se réinventer...

:levitation:

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 16 mars18, 04:43
par Yvon
3. La transmission du bouddhisme : la voie de maître et disciple
La diffusion du bouddhisme, et l’action de l’enseigner à d’autres, repose traditionnellement sur une relation humaine appelée « relation de maître et disciple ». Les deux caractères chinois composant le mot « maître », ou « enseignant », impliquent une notion d’antériorité. Autrement dit, le maître est une personne qui, parce qu’il a précédé le disciple sur le chemin de la vie, possède un enseignement et une expérience à transmettre.
Parce que le bouddhisme est une loi de transformation spirituelle, un principe de transformation de la vie, il faut assurer une transmission fidèle de l’enseignement du point de vue littéral, certes, mais également transmettre cette Loi par son comportement en tant qu’être humain, globalement, d’une personne à une autre. Le maître enseigne, alors que le disciple reçoit cet enseignement, et le transmet. Le disciple tend, lui aussi, vers les mêmes résultats rendus possibles par l’enseignement dont son maître a donné l’exemple.
Le fonctionnement de cette relation de maître et disciple sert précisément de relais qui permet à la Loi bouddhique de progresser éternellement (on appelle cela « faire tourner la Roue de la Loi »).
Cela ne signifie pas pour autant qu’une discrimination quelconque sépare le maître du disciple, ni que le premier soit supérieur au second. L’objectif du maître est que son disciple se développe plus que lui-même, et le but du disciple est de construire, avec le maître, des bases essentielles pour la
réalisation de leur idéal commun – à savoir le bonheur de tous les êtres humains et la paix mondiale. Le but est de succéder au maître en étant fidèle à son esprit afin d’amplifier l’œuvrecommune du maître et du disciple.
À ce sujet, Nichiren Daishonin a écrit :» On dit que si un maître a un bon disciple, tous deux atteindront la bouddhéité, mais que si un maître forme un mauvais disciple, tous deux tomberont en enfer. Si le maître et le disciple n’ont pas le même esprit, ils ne pourront rien accomplir. »

4. Qu’est-ce que l’» Éveil » ?
Un bouddha est celui qui s’est éveillé à la Loi fondamentale régissant tout l’univers, principe en œuvre dans toutes les formes de vies, animées ou inanimées, et sous-tendant tous les phénomènes. Cette potentialité d’Éveil, autrement dit, la possibilité de réaliser en soi l’état de vie du Bouddha, existe de manière latente en chaque être humain. Le but de la pratique bouddhique est de faire apparaître cet état.
En somme, chacun de nous possède au même titre et sans exception l’extraordinaire possibilité de nous éveiller à la Loi de la vie. Nous sommes tous des bouddhas en puissance. Et nous pouvons puiser librement, par la foi, dans ce trésor éternel et universel de notre propre vie.

5. L’enseignement du bouddhisme de Nichiren Daishonin
L’enseignement de l’école bouddhique fondée par Nichiren Daishonin, tel qu’il se concrétise dans la pratique préconisée par le mouvement Soka, s’appuie sur trois points considérés comme indispensables dans la tradition bouddhique pour l’approfondissement de la croyance : Préceptes, Méditation, et Sagesse (Trois Sortes d’études, également appelées Trois disciplines).
5.1. La révélation de la Loi et l’expression de la croyance (daimoku)
Nam-myoho-renge-kyo, que nous appelons daimoku est le nom de la Loi fondamentale sous-tendant la nature essentielle de l’univers, Loi de la vie. Cette invocation se distingue donc des formules magiques ou des mantras.Ce terme représente la fusion de la vie d’un être humain avec la Loi éternelle et universelle à laquelle le Bouddha s’est éveillé.
La pratique de la récitation du nom de cette Loi, autrement dit,daimoku, est une action visant à dissiper, grâce à la foi,l’ignorance et l’incroyance (auxquelles le bouddhisme donne le nom d’obscurité fondamentale, ou d’illusion).
Il s’agit d’une forme de croyance qui rend possible la transformation positive du cœur humain dans les profondeurs de la vie – et ce, de manière continuelle, dans le contexte de la vie quotidienne –, un processus librement entrepris par une personne en vue de sa propre amélioration. Parce que daimoku (la récitation de Nam-myoho-renge-kyo) est une pratique qui permet de dissiper l’obscurité fondamentale pour faire surgir la sagesse qui naît de la compréhension de la Loi, parmi les Trois Sortes de disciplines bouddhiques traditionnelles, elle correspond à la Sagesse.

-- 19 Mar 2018, 07:16 --

5.2. L’objet de culte (Gohonzon)
L’objet de culte est un mandala, appelé le Gohonzon, qui est enchâssé au domicile des pratiquants ou dans les lieux de culte.Il s’agit pour ainsi dire d’une concrétisation de la Loi révélée par Nichiren Daishonin, qui transcrivit sous forme de caractères chinois l’état de vie du Bouddha qui fait un avec la Loi, et qu’il présenta comme objet de culte.Il a le sens d’un miroir limpide capable de refléter la nature de bouddha (la possibilité d’éveiller la bouddhéité) dont la vie de chaque être humain est originellement dotée. Il ne s’agit donc pas d’une forme d’idolâtrie.
Avant que Nichiren Daishonin ne révèle le Gohonzon, la pratique du Sûtra du Lotus prenait la forme d’austérités bouddhiques, dont l’introspection par la méditation, en s’appuyant sur les principes exposés dans ce sûtra. Cependant,ces pratiques austères exigeaient des capacités exceptionnelles
et des efforts très importants. Elles n’étaient pas facilement accessibles à tous.
Grâce à la concrétisation du Gohonzon, l’objectif ultime du Sûtra du Lotus, c’est-à-dire l’éveil de la bouddhéité pour tous les êtres humains, devint désormais réalisable. Cette possibilité pour chacun d’épanouir sa nature de bouddha, constitue ainsi un tournant crucial dans l’histoire du bouddhisme.
Parce que le Gohonzon révèle la Loi à laquelle il convient de vouer un respect fondamental, et que grâce à lui, il est possible de se concentrer dans la foi, cet objet de culte correspond, parmi les Trois disciplines bouddhiques, à la Méditation.

5.3 Le lieu où l’on prête serment de croire fermement dans le Gohonzon (kaïdan)
Est appelé plate-forme d’ordination, ou kaïdan, tout lieu où l’on récite Nam-myoho-renge-kyo face au Gohonzon (le mandala).Parce que l’on s’engage à croire, dans un lieu où l’objet de culte est parfaitement explicite, ce lieu correspond aux Préceptes parmi les Trois Sortes d’études.
Le mot « préceptes », est composé de deux idéogrammes chinois, dont le premier, kaï, signifie empêcher les erreurs et arrêter le mal. Les divers courants bouddhiques avaient traditionnellement établi de nombreux préceptes ou interdictions limitant les actions – certains étant d’ordre
extrêmement ascétique.
A l’opposé, la doctrine de Nichiren établit que la manifestation de sa nature de bouddha, par la récitation de daimoku fondée sur la foi en la Loi merveilleuse, est le moyen fondamental de dissiper l’ignorance et l’incroyance inhérentes à la vie, d’empêcher les erreurs et d’arrêter le mal. Par conséquent, le seul précepte consiste à « recevoir et garder » Nam-myoho-renge kyo.

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 19 mars18, 03:52
par Shonin
Je suis fière de pratiquer cette magnifique philosophie.

Comprendre le sens de : prendre la responsabilité de sa vie , de son bonheur ,
est chose primordiale.

Primordiale, ne veut pas dire 'simple' .

Bien à vous.

Re: Le bouddhisme de la Soka Gakkaï,ぼうっでぃ 楚歌 学会

Posté : 20 mars18, 07:40
par Ichinen29
Merci de ton accueil Shonin,...et OUI Yvon a raison :pas de magie dans ce bouddhisme!...sinon, transmettre la Loi est la mission essentielle e la Soka et des pratiquants fidèles à leur serment de boddhisattva!...nam Myoho Renge Kyo!