Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 05 avr.18, 22:40
par Yvon
Non nous pratiquons devant le gohonzon afine de développer notre état de bouddha .
Nichiren à inscrit son état de vie de bouddha afin que chacun de nous puisse révéler le sien .
Ce n'est que dans les prières silencieuses que nous formulons nos souhaits .
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 05 avr.18, 22:51
par algol-x
Yvon a écrit :Non nous pratiquons devant le gohonzon afine de développer notre état de bouddha .
Nichiren à inscrit son état de vie de bouddha afin que chacun de nous puisse révéler le sien .
Ce n'est que dans les prières silencieuses que nous formulons nos souhaits .
Vraiment ?
directives de Tsuji
"Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort...
Je ne sais pas ce que vous développez, à part quelque chose qui ressemble à du fanatisme, que votre "organisation" appelle "révolution humaine" !
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 06 avr.18, 00:41
par Ichinen29
..."Bonno Soku Bodai"...les désirs en tant que "moyen,....
Vous devriez essayer,...pour de bon,...
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 06 avr.18, 06:53
par algol-x
Ichinen29 a écrit :..."Bonno Soku Bodai"...les désirs en tant que "moyen,....
Vous devriez essayer,...pour de bon,...
"Bonno" signifie : passion, troubles, illusions, c'est une manipulation et pas seulement sémantique: les adeptes s'épuisent à vouloir réaliser leurs "désirs" par la récitations du mantra, et comme ces bonnos amoindrissent leurs intuitions autant qu'il amplifie leurs désirs, le résultat peut s'avérer problématique, un exemple parmi d'autres: dans le cas ou les adeptes recherchent un compagnon, une compagne, leur "désirs" oblitérant leur perceptions, les conflits, les séparations sont fréquents !
Mais Gakkai est là avec ses injonctions à pratiquer, à s'investir davantage dans l'organisation, à "transformer son karma" jusqu’à ce qu'ils deviennent des militants décérébrés. C'est très différèrent du tantrisme, que votre organisation a déformé à son profit !
Voici l'interprétation des 108 bonnos d'après l’école zen soto:
http://www.sunyatazenconseil.com/blog/zen/bonnos-1.html
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 06 avr.18, 07:19
par Yvon
Les désirs terrestres sont l'illumination :
Bonno Soku Bodai - Les bonno (troubles) impliquent l'Éveil
Le bouddhisme enseigne également un corollaire du principe du Poison changé en élixir : bonno soku bodai. Bonno signifie "afflictions" ou "défilements", "troubles" et également "désirs égocentriques de l'ignorance". Soku n'a pas de véritable équivalent, signifiant "s'identifie à" ou, dans ce contexte, "implique". Bodai signifie la bodhéité. Ainsi, bonno soku bodai signifie que les désirs égocentriques, qui affligent notre vie et créent tant de souffrances, impliquent l'Eveil et sont par eux-mêmes la bodhéité.
A première vue, cela paraît non seulement absurde mais dangereux. Et de fait, ce principe a engendré, à travers les âges, un lot considérable de mésinterprétations et de dommages. Beaucoup de personnes ont abusé de la traduction fallacieuse "les désirs sont en eux-mêmes l'Eveil" pour justifier leur égotisme et les pulsions hédonistes, prétextant que c'était une "activité d'Eveil".
Néanmoins, l'affirmation que les afflictions et les détresses impliquent l'Éveil est fondée sur le principe de la transformation du poison en élixir ainsi que sur le principe de la non-dualité, qui sont des enseignements fondamentaux du Sutra du Lotus. Lorsque ce corollaire est compris correctement, il nous indique une attitude saine et efficace dans notre relation avec nos émotions et nos besoins.
Avant d'analyser la nature non-duelle des bonno (désirs/détresses) et de la bodhéité, il faut bien préciser ce que nous entendons par ces termes. Il faut également comprendre de quelle manière cette relation est décrite dans la grande majorité des textes bouddhiques.
Les bonno sont ces caractéristiques ou ces traits personnels qui nous maintiennent dans un état d'agitation, d'anxiété ou de frustration, et nous empêchent d'atteindre la bodhéité. Nous appelons troubles les trois poisons - l'avidité, la colère et l'ignorance. On peut leur ajouter l'orgueil, les vues erronées et le doute.
L’orgueil est le fait de se considérer comme supérieur en capacités ou en savoir et une vision déformée d’un soi nombril du monde. Ce genre d’attitude erronée conduit à s’accrocher à des concepts d’existence et de non-existence, par exemple, ou à des notions que l’on ne peut pas prouver, comme Dieu, âme, etc.
Les gens s'attachent à ces croyances métaphysiques dans le vain espoir d'échapper à l'insécurité. Cette erreur est également propre à ceux qui nient la production conditionnée et la loi de causalité car cela permet de ne pas prendre en main sa propre vie et de ne pas regarder en face la vraie nature de la réalité.
En ce qui concerne le doute, un questionnement honnête et l’esprit de recherche n’est nullement un bonno. Mais ce doute peut conduire à la détresse par l’indécision, l’hésitation et une absence de confiance en soi.
D’après le bouddhisme, la misère des désirs dévorants, la paranoïa de la colère, la confusion de l’ignorance, la négativité engendrée par l’orgueil, les vues erronées et le doute sont des facteurs qui nous empêchent de nous sentir totalement à l’aise, heureux, sereins et confiants. C’est à cause d’eux que nous ne pouvons pas voir les choses sous leur véritable éclairage.
Les premiers enseignements bouddhiques présentaient la bodhéité comme un équivalent du nirvana. Nirvana signifie extinction des flammes des désirs-bonno. En d'autres termes, la bodhéité était vue comme un état où tous les troubles et le sentiment d'un moi qu'ils engendrent étaient entièrement détruits. C'est avec cette idée que les premiers adeptes se sont concentrés sur la négation des désirs-bonno et ont cherché à maintenir le pratiquant dans un état de conscience dépassionné par la méditation.
Parallèlement, on reconnaissait que les désirs-bonno pouvaient également avoir des côtés positifs qui n'avaient pas été développés. Par exemple, ceux qui étaient pleins de désirs dévorants et d'attachements étaient également capables d'un étonnant dévouement à l'égard des trois trésors. Ceux qui étaient particulièrement critiques et hostiles aux autres avaient également la capacité d'une analyse pénétrante et pouvaient distinguer le vrai du faux. Ceux dont l'esprit était facilement dispersé dans d'interminables spéculations sont aussi reconnus pour leur ouverture d'esprit et leur curiosité. Ayant admis que des désirs ignorés pouvaient être canalisés et développés en qualités positives, ces premiers bouddhistes ont mis au point différentes méditations qui misaient sur la potentialité positive des désirs, et les encourageaient. Ils les associaient à d'autres formes de méditation afin de contrebalancer les aspects négatifs des désirs. Ainsi, une personne trop critique à l'égard des autres devait méditer régulièrement sur la bonté. Cette même personne pouvait également méditer sur différents éléments du corps afin d'exercer ses capacités d'analyse critique (note) .
Il faut également ne pas oublier que les désirs-bonno sont justement ce qui nous motive à pratiquer le bouddhisme. Si nos vies étaient parfaites et que nous n'éprouvions ni détresse ni frustration, nous n'aurions pas à chercher la véritable nature de l'existence ni à développer la sagesse et la compassion de la bodhéité. Dans un certain sens, nos détresses et nos désirs inconscients manifestent notre aspiration à un mode de vie meilleur. Les troubles sont le symptôme d'un besoin profond de trouver un sens à la vie, la sécurité et le bonheur authentique. Une personne en proie aux désirs venus de l'inconscient les renforce malgré elle dans son effort mal orienté pour les satisfaire. La tendance habituelle de rechercher la satisfaction durable de son ego dans des objets matériels, ou même spirituels, s'accroît à chaque nouvelle tentative. Et pourtant, il n'y a rien, sauf dans le bouddhisme, qui soit à même de procurer un bonheur tel qu'il comble nos désirs inconscients. C'est dans ce sens que les désirs sont des agents actifs de la bodhéité : ils nous poussent à chercher, même sans le savoir, notre état de bouddha. On pourrait même dire : "Ce que nous cherchons est précisément ce qui nous pousse à chercher."
Finalement, les désirs-bonno sont eux-mêmes des objets d'Éveil. La bodhéité n'est pas quelque chose qui existe dans un vacuum, un néant mystique. La bodhéité est le fait de s'éveiller à la véritable nature de la réalité ; c'est le jaillissement de ce qui est profondément enfoui. Lors de l'Éveil, les troubles ne sont pas simplement rejetés ou oubliés. Ils sont perçus comme une partie intégrante de la nature dynamique et interdépendante de notre vie. Celui qui est Éveillé à la véritable nature de ces troubles n'est plus en leur pouvoir et peut les voir dans leur pureté, celle de la nature dynamique et interdépendante de tout ce qui est. Avidité, colère, ignorance, orgueil, vues erronées et doutes sont transformés, par une perception éclairée, en leurs équivalents positifs, tout comme les blocs de glace se muent en eau sous la chaleur du soleil. Dans la bodhéité, l'avidité devient dévotion, la colère, une saine critique, l'ignorance, un esprit d'ouverture à la vérité ; l'orgueil devient confiance en soi, les vues erronées se transforment en raisonnement scrupuleux et le doute en examen prudent. On devient aussi capable d'utiliser les connaissances acquises dans notre vie intérieure pour comprendre et aider les autres, et partager leurs troubles.
La meilleure façon de faire face aux troubles est simplement de leur accorder notre attention à la lumière du Dharma merveilleux. C'est en cela que la récitation de Namu Myoho Renge Kyo peut nous aider à changer le poison des troubles en qualités de bodhéité. Par daimoku nous développons notre capacité d'attention et d'équilibre, ce qui nous permet de repérer et de réorienter nos désirs, au lieu de nous y engluer et nous laisser emporter dans leur tourmente. Namu Myoho Renge Kyo peut nous aider à réfléchir avant d'agir et même à reconnaître les pensées et les sentiments négatifs pour ce qu'ils sont, si bien que nous ne nous identifions plus à ces pensées et à ces sentiments, et prenons ainsi le contrôle de nos vies. Par ailleurs, le principe de Namu Myoho Renge Kyo ne condamne pas ces désirs, pas plus qu'il les nie : il nous fournit l'occasion et la force de faire sur eux un certain travail et de révéler leur aspect positif.
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 06 avr.18, 19:00
par Yvon
Les désirs impliquent l’éveil ou les détresses impliquent l'Éveil. (bonno soku bodai,).
Principe fondamental de certains courants du bouddhisme du Mahayana et notamment des écoles qui se rattachent au Lotus. Selon ce principe, l'homme peut atteindre l'état de bouddha en transformant les illusions et les désirs terrestres en sagesse plutôt qu'en les supprimant. Selon la doctrine theravada, puisque ces désirs contribuent généralement à obscurcir la nature de bouddha et à faire obstacle à la pratique bouddhique, il faut les éliminer pour atteindre l'état de bouddha. Alors que selon le Sutra du Lotus, les désirs terrestres et l'Éveil ne sont pas différents dans leur essence. Il s'ensuit que l'Éveil n'est pas la suppression du désir, mais un état dont on peut faire l'expérience en transformant les désirs inhérents à la nature humaine. Le Sutra Fugen, (qui sert de conclusion au Sutra du Lotus) explique que "même sans éliminer leurs désirs terrestres ou nier les cinq désirs, les hommes peuvent purifier tous leurs sens et supprimer toutes leurs mauvaises actions." Le chapitre Juryo* (XVI) du Sutra du Lotus révèle que l'état de bouddha contient les neuf autres états (bukkai soku kukai). Même après avoir atteint l'Éveil, le Bouddha conserve encore les neuf états propres au commun des mortels. En se fondant sur l'état de bouddha, les hommes créent la joie plutôt que la souffrance sans transformer leur nature. "Les désirs impliquent l'Éveil " indique donc une caractéristique du processus de l'Éveil, c'est à dire l'instant où l'immense énergie contenue dans les désirs devient bodhéité. Le Sutra Vimalakirti, cité par Nichiren notamment, dit : "l'Éveil du Bouddha se trouve dans la vie humaine, montrant que de simples mortels peuvent devenir bouddha et que les souffrances de la naissance et de la mort peuvent se changer en nirvana". Le terme "s'identifier" (soku, ji) indique non seulement la non-dualité des passions et de l'Éveil mais leur identité atemporelle. Dans la réalité quotidienne il ne s’agit pas toutefois de confondre désir et Éveil,
https://www.nichiren-etudes.net/dico/d.htm#bonnosoku
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 05:34
par zeste de savoir
Yvon a écrit :
HS et déjà posté, copie collique ?
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 05:35
par Yvon
C'est pour le poisson rouge Algol qui l'avait oublié . Et ce n'est pas HS .C'est de l'étude .
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 08:10
par algol-x
Yvon a écrit :
zeste de savoir a écrit :HS et déjà posté, copie collique ?
C'est la légende Nichiren à l'usage des membres SGI ! voici un point de vue plus réaliste:
Quelques rappels historiques:
"Nichiren était très populaire parmi les samouraïs en raison de son mode de débat féroce, il était invaincu dans les joutes verbales, et ses compétences étaient légendaires au jeu stratégique de GO."
À ma connaissance, il n'y a aucune preuve d'une telle chose. Nichiren n'apparaît pas dans les documents historiques de son temps, et il n'y a aucune biographie faite par les disciples qui l'ont connu de son vivant...
Goden dodai, la biographie la plus ancienne, est de Nichido (1282-1342), qui est né l'année de la mort de Nichiren. Sa compilation ne contient pas d' informations non trouvée dans les propres écrits de Nichiren.
Deux cents ans plus tard, Nitcho (1422-1500) écrivit une biographie plus complète, Genso kedoki, qui fut imprimée pour la première fois en 1666. Celle-ci inclut la plupart du matériel légendaire qui est devenu ensuite une composante de l'histoire de Nichiren...
Le débat sur l'authenticité de certains des travaux attribués à Nichiren a commencé cinquante ans après son décès.
L'éclatement de la postérité de Nichiren dans des factions opposées quelques années après sa disparition a encouragé la composition de documents falsifiés, dont beaucoup d'érudits et de dévots se disputent encore sur l'authenticité.
"extrait de la préface de "Nichiren, Selected Writings," par Laurel Rasplica Rodd, 1980."
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... o_history/
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 21:13
par Yvon
Pour les preuves littéral de Nichiren se proclamant être le bouddha fondamental voir ses écrits . merci
pour infos :
hosshaku kempon. Littéralement "Rejeter le transitoire et révéler le véritable". Le fait que le Bouddha rejette son identité éphémère et provisoire pour révéler sa véritable nature. Dans le chapitre XVI du Sutra du Lotus, Shakyamuni nie son identité provisoire de Bouddha qui atteignit pour la première fois l'Éveil dans cette vie à Bodhgaya (sho shogaku) et fait part de son Éveil primordial à l'époque atemporelle (gohyaku jintengo - kuon jitsujo).
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 22:49
par algol-x
Yvon a écrit :Pour les preuves littéral de Nichiren se proclamant être le bouddha fondamental voir ses écrits . merci
pour infos :
hosshaku kempon. Littéralement "Rejeter le transitoire et révéler le véritable". Le fait que le Bouddha rejette son identité éphémère et provisoire pour révéler sa véritable nature. Dans le chapitre XVI du Sutra du Lotus, Shakyamuni nie son identité provisoire de Bouddha qui atteignit pour la première fois l'Éveil dans cette vie à Bodhgaya (sho shogaku) et fait part de son Éveil primordial à l'époque atemporelle (gohyaku jintengo - kuon jitsujo).
Cette doctrine qui voit Nichiren supplanter le Bouddha atemporel Śākyamuni, a été introduite en 1400 au Taisekiji sous le IXème patriarche Nichiu Shōnin (1409-1482) et devint plus tard la partie central de l'enseignement du Taisekiji, jusqu’à l’élaboration doctrinal du XXVIème patriarche Nichikan Shōnin (1665-1726) deux siècles plus tard. Les origines de cette théorie se trouvent dans un temple (aujourd'hui indépendant) à proximité du Taisekiji : le Honmonji appelé Nishiyama, et fondé par l'un des disciples de Nikkō Shōnin, nommé Nichidai (1294-1394). Malgré tout, cette conception particulière, qui diffère grandement de l'école traditionnelle fondée par Nikkō et des autres écoles de Nichiren, a été finalement adoptée par le Taisekiji.
Lorsque le Taisekiji adopta cette opinion, cela conduisit à des désaccords profonds avec les autres temples de Nikkō. Les temples de l'école de Nikkō, en fait, ont estimé qu'en fait le Taisekiji se détournait de l'enseignement et commençait à créer sa propre forme de bouddhisme de Nichiren, qui n'avait jamais été enseignée ni par Nikkō, ni par Nichiren lui-même.
Cette nouvelle tendance du Taisekiji a été accompagnée par un fort accent d'exclusivisme, précisant que seul leur temple possédait en conformité les enseignements de Nichiren Daishōnin, bien que ce type de querelle ne fût pas tellement inhabituel parmi les divers temples de Nichiren. Beaucoup d'entre eux, en fait, étaient en compétition les uns avec les autres, insistant qu'eux seuls avaient le meilleur temple et qu'ils possédaient le meilleur enseignement.
http://nichiren-shu.org/
Re: " Etude et méditation,..."
Posté : 07 avr.18, 23:07
par Yvon
Faux c'est Nichiren lui même qui se proclama le bouddha fondamental . Il ne supplante pas le bouddha Shakyamuni , c'est simplement le bouddha qui apparait au momment ou l'enseignement de Shakyamuni n'a plus la capacité de mener les gens à la boddhéîte . C'est le bouddha des derniers jours de la Loi .