Re: Physicalistes et spiritualistes.
Posté : 08 sept.18, 07:22
https://www.google.ca/url?sa=t&source=w ... 7sU-UQDnbY
Réalistes, quasi réalistes et anti réalistes.
Faut lire ce PDF, même en diagonale, pour facilement se rendre compte de tout le labyrinthe idéologique dans lequel le genre humain ( homo mysticus et homo scepticus) s'est enfoncé au point de ne plus trouver de porte de sortie entre ce qui tient de la réalité universelle et de la connaissance humaine. À vous écœurer de toute prospection philosophique.
Le positivisme quantique dira que ce que nous définissons ce n'est que notre interaction avec l'univers. Grosse révélation. Réel et observateur concernent en effet une édification de la connaissance avec sa part d'exactitude et inexactitude, essais et erreurs. Mais de là à penser que les lois d'organisation Universelles n'ont pas de propriétés physiques propres, objectives et singulières autres que celles qui passent par notre intersubjectivité y a un pas vers le scientisme comme absolu du constat scientifique. S'il y a matérialisme pur et dur c'est bien celui là. Pas d'atomes=pas de cérébralité. Ok! Mais pas de cérébralité=pas d'atomes? C'est ça la physique quantique? Pas d'observateurs ou classes d'observateurs ( crevettes, instruments, savants) au niveau macroscopique signifie... pas de physique fondamentale déterminée?
Si l'univers n'avait sa propre objectivité et ses propres pouvoirs structurants on se demande bien comment il se serait déployé et composé dans son entièreté sans monde subjectif pour le conceptualiser.
On voit bien que la " Science" avec le grand "S" a le spiritualisme comme premier cadre épistémologique autant du point de vue Métaphysique que positiviste. Le positivisme est un très mauvais défenseur du physicalisme, naturalisme scientifique et réalisme philosophique.
Pas de monde subjectif ( cause intelligente, observateur) pas de réalité universelle. Pas étonnant que l'idéalisme quantique qualifie de réalisme naïf toute approche physicaliste et déterministe de la réalité universelle estimée comme inférieure à un entendement qui place le CONSTAT SCIENTIFIQUE comme seul fondement du réel. Pas de constat, pas de mesure= pas de déterminant. On retrouve bizarrement Platon au cœur d'une science dite du 21 ième siècle née sous les influences philosophico- religieuses du 20 ième siècle.
L'univers n'est fait que de déterminismes naturels et universels. De là à comprendre toute la logique de ses agencements possibles et probables au niveau atomique et anatomique ça reste un défi qui concerne l'esprit pensant pour autant qu'il fasse lui même partie intégrante de cette réalité. Mais l'univers peut très bien se passer d'être vu, lu, décrypté, compris pour être un fait de nature cosmique. Homo sapiens est un épiphénomène. La bonne ou mauvaise connaissance qu'il peut avoir du réel fondamental concerne sa petite épopée particulière. Son pouvoir sur la nature. La connaissance est un pouvoir d'orientation en la nature, même celui de la taupe aveugle dans ses sentiers sousterrains.
On a cru à un univers statique pendant qu'il était en expansion. Et? Preuve qu'il existe une réalité universelle indépendante de tout Monde des idées et que la naïveté est plus du côté des idéalistes du cantique du quantique qui croient que le phénomène de la connaissance et conscience est essentiel à la détermination des valeurs physiques.
Je réitère ...un constat même très scientifiquement quantique demeure le fondement d'une connaissance sur un comportement de la matière/nature, pas le fondement du fait de nature. C'est ici que le reproche d'un idéalime quantique pointe le bout de son nez comme sous produit de la Métaphysique et qui reprend l'approche spiritualiste d'un monde spirituel nécessaire voire rétrocausale à la réalité universelle physique et objective.
Et je répète pour résumer... Le positivisme croyait pouvoir tacler la culture religieuse ( Métaphysique) par la culture scientifique comme gage imparable de rationalisme et départage du réel et irréel, Physique et Métaphysique. C'est raté! Le plafond de verre s'est arrêté à l'idéalisme quantique de Bohr et a frôlé le scientisme dans ses pires moments et scepticisme primaire dans sa grossière expression. Faudrait bien un jour qu' un savant esprit en fasse sa thèse de doctorat bien formatée. . A lui ou elle le prix bébelle.
Réalistes, quasi réalistes et anti réalistes.
Faut lire ce PDF, même en diagonale, pour facilement se rendre compte de tout le labyrinthe idéologique dans lequel le genre humain ( homo mysticus et homo scepticus) s'est enfoncé au point de ne plus trouver de porte de sortie entre ce qui tient de la réalité universelle et de la connaissance humaine. À vous écœurer de toute prospection philosophique.
Le positivisme quantique dira que ce que nous définissons ce n'est que notre interaction avec l'univers. Grosse révélation. Réel et observateur concernent en effet une édification de la connaissance avec sa part d'exactitude et inexactitude, essais et erreurs. Mais de là à penser que les lois d'organisation Universelles n'ont pas de propriétés physiques propres, objectives et singulières autres que celles qui passent par notre intersubjectivité y a un pas vers le scientisme comme absolu du constat scientifique. S'il y a matérialisme pur et dur c'est bien celui là. Pas d'atomes=pas de cérébralité. Ok! Mais pas de cérébralité=pas d'atomes? C'est ça la physique quantique? Pas d'observateurs ou classes d'observateurs ( crevettes, instruments, savants) au niveau macroscopique signifie... pas de physique fondamentale déterminée?
Si l'univers n'avait sa propre objectivité et ses propres pouvoirs structurants on se demande bien comment il se serait déployé et composé dans son entièreté sans monde subjectif pour le conceptualiser.
On voit bien que la " Science" avec le grand "S" a le spiritualisme comme premier cadre épistémologique autant du point de vue Métaphysique que positiviste. Le positivisme est un très mauvais défenseur du physicalisme, naturalisme scientifique et réalisme philosophique.
Pas de monde subjectif ( cause intelligente, observateur) pas de réalité universelle. Pas étonnant que l'idéalisme quantique qualifie de réalisme naïf toute approche physicaliste et déterministe de la réalité universelle estimée comme inférieure à un entendement qui place le CONSTAT SCIENTIFIQUE comme seul fondement du réel. Pas de constat, pas de mesure= pas de déterminant. On retrouve bizarrement Platon au cœur d'une science dite du 21 ième siècle née sous les influences philosophico- religieuses du 20 ième siècle.
L'univers n'est fait que de déterminismes naturels et universels. De là à comprendre toute la logique de ses agencements possibles et probables au niveau atomique et anatomique ça reste un défi qui concerne l'esprit pensant pour autant qu'il fasse lui même partie intégrante de cette réalité. Mais l'univers peut très bien se passer d'être vu, lu, décrypté, compris pour être un fait de nature cosmique. Homo sapiens est un épiphénomène. La bonne ou mauvaise connaissance qu'il peut avoir du réel fondamental concerne sa petite épopée particulière. Son pouvoir sur la nature. La connaissance est un pouvoir d'orientation en la nature, même celui de la taupe aveugle dans ses sentiers sousterrains.
On a cru à un univers statique pendant qu'il était en expansion. Et? Preuve qu'il existe une réalité universelle indépendante de tout Monde des idées et que la naïveté est plus du côté des idéalistes du cantique du quantique qui croient que le phénomène de la connaissance et conscience est essentiel à la détermination des valeurs physiques.
Je réitère ...un constat même très scientifiquement quantique demeure le fondement d'une connaissance sur un comportement de la matière/nature, pas le fondement du fait de nature. C'est ici que le reproche d'un idéalime quantique pointe le bout de son nez comme sous produit de la Métaphysique et qui reprend l'approche spiritualiste d'un monde spirituel nécessaire voire rétrocausale à la réalité universelle physique et objective.
Et je répète pour résumer... Le positivisme croyait pouvoir tacler la culture religieuse ( Métaphysique) par la culture scientifique comme gage imparable de rationalisme et départage du réel et irréel, Physique et Métaphysique. C'est raté! Le plafond de verre s'est arrêté à l'idéalisme quantique de Bohr et a frôlé le scientisme dans ses pires moments et scepticisme primaire dans sa grossière expression. Faudrait bien un jour qu' un savant esprit en fasse sa thèse de doctorat bien formatée. . A lui ou elle le prix bébelle.