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Sami aldeeb web

Posté : 19 juil.17, 17:10
par IslamPaix!
Salam,

Ce qui me déçois, c'est que tu as des savants qui ont étudié presque toute leur vie le Coran et les hadith, et la ta un samy Aldeeb qui debarque tu deep web ( Jeux de mots ) et prétend que le Coran fait des erreur grammaticale.... :?

Re: Sami aldeeb web

Posté : 19 juil.17, 18:35
par Etoiles Célestes
IslamPaix! a écrit :Salam,

Ce qui me déçois, c'est que tu as des savants qui ont étudié presque toute leur vie le Coran et les hadith
Tu penses bien qu'un chrétien qui suit et étudie toute sa vie la Bible est dans le faux.
Pourquoi les savants seraient eux dans le vrai par ce qu'ils suivent et étudient les hadiths et le Coran toute leur vie?

Re: Sami aldeeb web

Posté : 19 juil.17, 19:04
par IslamPaix!
Salut, mon frère.

Tu as certainement raison, je connais des gens.
Qui lisent le Coran en entier 5 fois par mois en arabe, et il y a. Aucune erreur de plus, le grammaticale a été fondé a partir du Coran.
Al Zamakhshari un grammarie Asie qui a fait un tafsir du coran, Même qui disait que Le Grammaire du Coran est supérieur,

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Al-Zamakhshari

https://www.wdl.org/fr/item/14759/ :
Al-Kashshāf (Commentaire) est l'un des plus célèbres tafsirs (explications ou exégèses) du Coran. Écrit en Perse au XIIe siècle par Mahmud ibn 'Umar Zamakhshari, l'ouvrage fait encore l'objet d'études et de débats parmi les exégètes, qui contestent son rationalisme mutazilite, tout en reconnaissant sa grande érudition et sa sophistication linguistique. Il est enseigné, ou même vénéré, par toutes les écoles sunnites et chiites d'interprétation. Selon l'érudit moderne Kifayat Ullah, « aucun autre ouvrage dans l'histoire du tafsir n'a été commenté sous forme de gloses, de supergloses, de supercommentaires et de mukhtasars [abrégés] plus qu'al-Kashshaf ». Le sous-titre du livre résume l'ampleur et la complexité des arguments : « Sur les mystères de la révélation, la perfection de la locution et l'interprétation complète [du Coran] ». L'approche rationnelle du mutazilisme concernant la nature de Dieu et des textes sacrés disparut peu à peu du courant dominant de pensée musulmane de la majorité du monde islamique, mais elle perdura dans la région du Khorasan (ou Khorassan), en Iran, où Zamakhshari s'était établi. Le défi de l'auteur envers la philosophie orthodoxe, sa maîtrise incontestable de la philologie et de la grammaire arabes, ainsi que son long voyage visant à promouvoir ses idées, constituent la base de l'héritage impérissable de son tafsir. L'ouvrage fut imprimé en deux volumes en 1864 au Caire à la presse de Boulaq, à l'époque sous l'administration d'Abd al-Rahman Rushdi et la direction savante de Shaykh Muhammad Qutb al-'Adawi. Il fut édité par Muhammad al-Sabbagh, qui ajouta peut-être les notes dans la marge du texte principal. Le livre comporte une postface biographique et critique en prose rimée, incluant des poèmes panégyriques et le texte inscrit sur la tombe de l'auteur, dans l'est de l'Iran.

Re: Sami aldeeb web

Posté : 19 juil.17, 21:12
par yacoub
Sami Aldeeb est un spécialiste de l'islam consulté par l'ONU depuis des années.

Il est membre d'honneur du forum des apostats de l'islam comme Salem Ben Ammar.

Image

https://youtu.be/rRN0s3qvLNU


Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 01:58
par Seleucide
Il est évident qu'il existe des fautes de grammaire dans le Coran.

La raison est simple : sur les 7 lecteurs canoniques qui interprétèrent le rasm et fixèrent les voyelles et la diacritisation sur le texte coranique, seul 2 étaient grammairiens.

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 02:59
par yacoub
:non:
Il n y a pas eu sept lecteurs canoniques mais plutôt sept lectures canoniques.

Le calife Othman a délibérément retirer de sa Vulgate les versets qui lui paraissaient ridicules ou trop atroces.

Mais ils sont restés dans la mémoire collective et tu trouves
encore les versets concernant l'allaitement des adultes comme aussi le verset de la lapidation.

De plus l'islam n'est pas limité au Seul Saint Coran, les Nobles Hadiths ont leur importance.

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 04:10
par bahhous
IslamPaix! a écrit :
Salam,

Ce qui me déçois, c'est que tu as des savants qui ont étudié presque toute leur vie le Coran et les hadith, et la ta un samy Aldeeb qui debarque tu deep web ( Jeux de mots ) et prétend que le Coran fait des erreur grammaticale....


un médiocre ne peut donner que de la médiocrité ... le plus beau est qu'il explique le coran en se basant sur le vocabulaire et grammaire arabe et ne sait pas que la grammaire était déduite à partir des règles du coran ... le coran ne peut être expliquer ou interpréter que par le coran ...

yacoub a écrit :
Sami Aldeeb est un spécialiste de l'islam consulté par l'ONU depuis des années.

Il est membre d'honneur du forum des apostats de l'islam comme Salem Ben Ammar.
toi aussi tu es un vrai spécialiste de l'islam !!

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 04:17
par yacoub

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 06:17
par Teo
Les archéologues n'ont trouvé aucune trace dans les archives des civilisations voisines ni les vestiges de royaumes gigantesques ayant appartenu à jésus&cie
Il n'y aucune trace de quoi que ça soit sortant de la torah bible &coran

En rien

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 06:33
par Seleucide
yacoub a écrit :Il n y a pas eu sept lecteurs canoniques mais plutôt sept lectures canoniques.
Sept lectures canoniques, relatives à sept lecteurs canoniques, rapportées par deux transmetteurs canoniques.

Ces 7 lectures sont traditionnelles, mais d'autres s'ajoutèrent par la suite pour former 10 lectures (ibn al Jazari) voire même 14.
yacoub a écrit :Le calife Othman a délibérément retirer de sa Vulgate les versets qui lui paraissaient ridicules ou trop atroces.
Ça n'a pas de rapport avec les lectures.

Les lectures sont différentes manières de voyelliser/diacritiser le Coran d'Othman.

Elles n'ont rien à voir avec les recensions coraniques pré-othmaniennes qui contiennent des variantes de sourates ou de versets. C'est un autre sujet.
yacoub a écrit :le plus beau est qu'il explique le coran en se basant sur le vocabulaire et grammaire arabe et ne sait pas que la grammaire était déduite à partir des règles du coran
Sauf erreur, la grammaire arabe se base sur le rasm coranique et la diacritisation/voyellisation opérée par les lecteurs.

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 06:43
par jipe
IslamPaix! a écrit :Salam,

Ce qui me déçois, c'est que tu as des savants qui ont étudié presque toute leur vie le Coran et les hadith, et la ta un samy Aldeeb qui debarque tu deep web ( Jeux de mots ) et prétend que le Coran fait des erreur grammaticale.... :?

en fait la plus grosse erreur dans tout cela c'est ceux qui lisent et appliquent le contenu de ce bouquin :pleurer:

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 06:58
par Abou Abdullah
en 14 siecle l'islam a connu des millions des grands savants qui ont étudié le coran toute leur vie depuis leur enfance en l'apprenant par coeur jusqu'a leur mort soit une étude quotidienne de plus de 50,60,70 ans et ont écrit de nombreux livre sur lui et t'as un ras du nom samy al deeb qui n'a ni appris par coeur le coeur ni l' étudié et qui se veut spécialiste loool et en plus il avait un fui un debat avec karim al hanifi,un spécialiste de réligion meme un enfant musulman d'une école islamique peut l'apprendre le coran

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 08:24
par bahhous
Abou Abdullah a écrit :
en 14 siecle l'islam a connu des millions des grands savants qui ont étudié le coran toute leur vie depuis leur enfance en l'apprenant par coeur jusqu'a leur mort soit une étude quotidienne de plus de 50,60,70 ans et ont écrit de nombreux livre sur lui et t'as un ras du nom samy al deeb qui n'a ni appris par coeur le coeur ni l' étudié et qui se veut spécialiste loool et en plus il avait un fui un debat avec karim al hanifi,un spécialiste de réligion meme un enfant musulman d'une école islamique peut l'apprendre le coran
mémoriser le livre d'allah est important mais le plus important et de le bien méditer ...toute analyse ou interprétation du livre d'allah doit être interne et pour cela il faut avant tout comprendre sa structure et sa composition et gommer l'existence de toute synonymie et elements superflus dans le livre d'allah ; autrement dit ; au 21 emme siecle nous devons l'etudier à la lumiere des progrés scientifiques de notre époque et remettre en cause les defintions classique de certains concepts tels que l'islam et l'imane ; le prophete et le messager ... qui ont créé des confusions et un grand amalgame terminologiques ... si le livre d'allah est universel et éternel et ne peut être soumis à une seule époque déterminée cela voudrait dire que toute interpreattion du livre d'allah doit évoluer dans le temps en fonctions des progrés scientifiques et technologiques ... et bien comprendre l'universalité du message de Mohamed et sa validité eternelle contrairement aux livre de Moise et de jesus qui sont de caracteres periodiques circonstanciels et locaux ...et toute analyse du livre d'allah doit toujours prendre en consideration la notion de la mondialité et l'eternité du livre d'allah ...

Re: Sami aldeeb web

Posté : 20 juil.17, 23:30
par yacoub
Zoom – Père Henri Boulad : le « J’accuse » du prêtre égyptien

Après les abominables attentats survenus en Égypte le dimanche des Rameaux, le père Henri Boulad a publié un sévère « J’accuse » qui fera date. Ce prêtre égyptien qui parcourt le monde pour éveiller les consciences endormies dénonce l’islamisme qui, dans son pays comme partout dans le monde, s’est enferré dans un dogmatisme dont il ne parvient pas à sortir. Il désigne aussi les grandes nations occidentales qui tout en prétendant défendre les valeurs de liberté, de démocratie et de droits de l’homme collaborent activement avec un islam fondamentaliste pour des intérêts bassement économiques et financiers.
Père Henri Boulad : « J’accuse l’islam »
Source
PUBLIÉ PAR DREUZ INFO LE 4 MAI 2017
Égypte : Au lendemain des attentats sanglants contre les chrétiens coptes célébrant le Dimanche des Rameaux, le 9 avril 2017…
J’accuse l’islam !

J’accuse l’Islam d’être la cause de cette barbarie et de tous les actes de violence commis au nom de la foi musulmane.

Je n’accuse pas les musulmans qui sont majoritairement pacifiques, bienveillants et amicaux, mais l’islam comme idéologie politique. J’ai parmi les musulmans – qui sont nos frères en humanité – beaucoup de remarquables amis fidèles et irréprochables, souhaitant eux-mêmes un islam humaniste et pacifié. De très nombreux musulmans – et ex musulmans – ne sont pas responsables de cette barbarie au nom de Dieu. Ce ne sont donc pas eux que j’accuse ici… mais l’islam comme tel.

Ce ne sont pas non plus les terroristes, ni le terrorisme que j’accuse. Ni uniquement les Frères Musulmans ou la nébuleuse de groupuscules qui gravite autour de cette confrérie jihadiste et violente. Pas plus que je n’accuse l’islamisme, ou l’islam politique et radical.

J’accuse tout simplement l’islam qui, par nature, est à la fois politique et radical.

Comme je l’avais déjà écrit il y a plus de vingt-cinq ans, l’islamisme c’est l’islam à découvert, dans toute sa logique et sa rigueur. Il est présent dans l’Islam comme le poussin dans l’œuf, comme le fruit dans la fleur, comme l’arbre dans la graine. Il est porteur d’un projet de société visant à établir un califat mondial fondé sur la charia, seule loi légitime, parce que divine. Il s’agit là d’un projet global et globalisant, total, totalisant, totalitaire.

L’Islam se veut à la fois religion, état et société, dîn wa dawla. C’est ainsi qu’il a été depuis ses plus lointaines origines.

Avec le passage de la Mecque à Médine (l’Hégire) l’Islam passe du statut de religion à celui d’État théocratique. C’est aussi le moment où Mahomet cesse d’être simple chef religieux pour devenir chef de guerre, chef d’État et leader politique. Religion et politique seront désormais indissolublement liés : « L’Islam est politique ou n’est rien » (Imam Rouhollah Khomeiny).

J’accuse de mensonge délibéré ceux qui prétendent que les atrocités commises par des musulmans « n’ont rien à voir avec l’islam ». Or, c’est bien au nom du Coran et de ses injonctions claires que ces crimes sont perpétrés. Le seul fait que l’appel à la prière et l’incitation au meurtre des infidèles soient précédés du même cri, Allah-ou akbar (Dieu est le plus grand) est hautement significatif.

J’accuse les érudits musulmans du Xème siècle d’avoir promulgué des décrets – devenus irréversibles – menant l’islam dans l’impasse d’aujourd’hui.

Le premier de ces décrets – celui de l’abrogeant et de l’abrogé – a consisté à donner la primauté aux versets médinois, porteurs de violence et d’intolérance, au détriment des versets mecquois invitant à la paix et à la concorde.

Pour rendre ce verdict irréversible, deux autres décrets furent promulgués : celui de déclarer le Coran « parole incréée d’Allah », donc immuable ; et celui d’interdire tout effort ultérieur d’interprétation en déclarant « la porte de l’ijtihad [effort de réflexion] définitivement close ». La sacralisation de ces décisions a fossilisé la pensée musulmane et contribué à maintenir les pays islamiques dans un état d’arriération et de stagnation chronique.

J’accuse l’islam de s’être enferré dans un dogmatisme dont il ne parvient pas à sortir. Pris à son propre piège de ressentiments, il rend toute l’humanité responsable de ses propres échecs dans une entreprise de victimisation, et d’autojustification.

J’accuse l’Azhar, censé incarner l’islam modéré, de nourrir un esprit de fanatisme, d’intolérance et de haine chez des millions d’étudiants et d’imams venant du monde entier se former auprès de ses institutions. Il devient ainsi une des sources principales de terrorisme dans le monde.

J’accuse l’Azhar pour son refus systématique de réformer ses programmes et ses manuels scolaires et universitaires. Malgré les demandes réitérées du Président égyptien al-Sissi d’en supprimer tous les textes incitant à la haine, à la violence et à la discrimination, rien n’a encore été entrepris.

J’accuse l’Azhar pour son refus de condamner l’État islamique/Daesh et l’islamisme salafiste/wahhabite, preuve d’une véritable proximité avec le terrorisme.

J’accuse le grand imam d’el-Azhar, le cheikh Ahmed el-Tayeb, malgré plusieurs années d’études à Paris et une thèse de doctorat soutenue à la Sorbonne, de persister à s’en tenir au courant obscurantiste et moyenâgeux. Alors qu’on attendait de sa part la promotion d’une pensée innovante dans cette vénérable institution, il a au contraire rétabli les textes incitant à la violence et à l’intolérance dans les manuels scolaires et universitaires des institutions d’el-Azhar, pourtant écartés par son prédécesseur le cheikh Mohammed Tantaoui.

J’accuse l’Azhar de ne pas faire appel aux « nouveaux penseurs musulmans » d’Orient et d’Occident afin d’amorcer avec eux une réforme en profondeur de l’islam.

J’accuse de grandes nations occidentales qui tout en prétendant défendre les valeurs de liberté, de démocratie et de droits de l’homme collaborent activement avec un islam fondamentaliste pour des intérêts bassement économiques et financiers.

J’accuse l’Occident d’avoir inventé avec les islamistes la notion mensongère d’islamophobie pour faire taire toute critique à l’égard de l’islam.

J’accuse certains dirigeants européens de céder aux revendications liberticides d’un islam de plus en plus exigeant et agressif, dont le but clairement proclamé est la conquête pure et simple de l’Occident. Ces dirigeants trahissent ainsi leurs peuples et bradent leur héritage historique. Au nom d’une idéologie multiculturaliste, d’un mondialisme sauvage et d’une ouverture tous azimuts, ils contribuent à l’effondrement d’un passé prestigieux de culture et de civilisation.

J’accuse le laxisme d’une certaine gauche libérale incapable en France d’imposer les lois de la République à une minorité refusant toute intégration. Les dirigeants, vendus par intérêt électoral à des banlieues explosives, ont participé à la dégradation sociale des « quartiers perdus de la République » au nom d’une « paix civile » qui n’est que capitulation de l’État.

J’accuse l’Église catholique de poursuivre avec l’Islam un ‟dialogue” fondé sur la complaisance, les compromissions et la duplicité. Après plus de cinquante années d’initiatives à sens unique, un tel monologue est aujourd’hui au point mort. En cédant au « politiquement correct » et sous prétexte de ne pas froisser l’interlocuteur musulman au nom du « vivre ensemble », on évite soigneusement les questions épineuses et vitales. Tout vrai dialogue commence par la vérité.

J’accuse les grands médias de manipulation et de mensonge en faisant une lecture biaisée des réalités, en avançant des chiffres tendancieux, des statistiques faussées et des “sondages” truqués. Cette désinformation systématique foule au pied la déontologie et l’éthique les plus élémentaires au profit des grands groupes financiers qui les subventionnent et dictent leurs lignes éditoriales.

Plutôt que de s’indigner d’actes terroristes de plus en plus fréquents, il est grand temps de faire face à la réalité réelle et d’oser la parole vraie.

Il est grand temps de reconsidérer le problème de l’islam sans détours, sans peur et sans complaisance. La langue de bois et le relativisme ne mènent qu’au pire. Les États occidentaux ont l’obligation légale et morale de préserver leur intégrité territoriale, leur mode de vie, leur culture et leurs valeurs face à un islam conquérant et foncièrement hostile à la civilisation occidentale.

Que les musulmans qui ne se reconnaissent pas dans ce déchaînement de haine et de violence soient confrontés sans déni ni faux-fuyants à eux-mêmes, à leurs textes fondateurs et à leur histoire ainsi qu’à leur tragique situation aujourd’hui dans le monde. Plutôt que de chercher à promouvoir un dialogue entre l’islam et le christianisme, ou entre l’islam et l’Occident, il est urgent de promouvoir un dialogue et des réformes intra islamique. Que les musulmans reconnaissent enfin que leur problème est endogène, et qu’ils aient le courage de l’aborder en toute lucidité et humilité en cessant de se voiler la face.

Il est grand temps de dépasser les clivages de gauche et de droite, de progressiste et de conservateur, de socialiste et de démocrate, de républicain et de libéral, de judéo-chrétien et de musulman, pour trouver entre tous les humains une base commune de valeurs et de principes. Or, je n’en connais point d’autre que la Charte universelle des Droits de l’Homme proclamée par l’ONU en 1948, que tous les pays arabes et musulmans ont refusé de signer dans son intégralité.

Il est grand temps de placer l’Homme au cœur du débat dans une recherche commune de vérité. Car « si vérité et amitié nous sont également chères, c’est un devoir sacré d’accorder la préférence à la vérité » (Aristote, Éthique à Nicomaque, I, 4, 1096 a 13).

Seule une vraie confrontation au réel permettrait qu’ « amour et vérité se rencontrent… que justice et paix s’embrassent » (Psaume 85:11).

Re: Sami aldeeb web

Posté : 21 juil.17, 02:46
par IslamPaix!
Abou Abdullah, de plus il dit que le Coran fait des erreur grammaticale et stylistique.. :( :cry3: