Jean Moulin a écrit : ↑07 nov.22, 21:00
Ce sont des photos d'époque ?
Puis, Jérusalem c'est une ville, c'est pas la Palestine. Et, il est quand même bizarre que 30 traductions au mois parlent de tuiles s'il n'y avait pas de toits en tuiles dans le pays.
Le texte parle de tuiles car son auteur écrit en Italie.
De plus, on voit mal comment il aurait été pratiqué rapidement un trou assez grand dans un toit terrasse pour y passer une personne allongée sur une civière.
C'est sans doute ce qui a dérangé Luc lorsqu'il a lu Marc :
Mc 2.4 Comme ils ne pouvaient l'aborder, à cause de la foule, ils découvrirent le toit de la maison où il était, et ils descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché.
Matthieu a préféré se passer de ce détail.
Notons que Marc écrit :
2.3 Des gens vinrent à lui, amenant un paralytique porté par quatre hommes.
Tandis que Matthieu écrit :
9.2 Et voici, on lui amena un paralytique couché sur un lit.
Un
quadratus d'un manuscrit de Marc a été lu
grabatus par Matthieu.
Cela dépend du bateau. Il y en a des gros et des petits.
Cela gêne suffisamment les traducteurs qui nous refilent des barques.
Et aussi les illustrateurs :
https://www.croirepublications.com/i/ar ... barque.jpg
Sauf que c'est de Matthieu 4:21 dont nous parlions. Le verset dit ceci, dans Osty :
Et à quelques pas de là, il vit deux autres frères, Jacques, le [fils] de Zébédée, et Jean son frère, dans le bateau avec Zébédée leur père, en train d’arranger leurs filets, et il les appela.
Mais nous sommes d'accord : Zébédée dispose d'un bateau de pêche de taille respectable parce que Matthieu croit que la mer de Galilée est une partie de la mer Méditerranée au même titre que la mer Egée.