Le Coran remis en question

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Prédicateur

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Ecrit le 17 déc.04, 00:46

Message par Prédicateur »

regnatvivus a écrit : . la Bienheureuse Mère de Dieu,
Depuis quand Dieu a une mère. Si Dieu à une mère ce qui voudrait dire qu'il y a quelqu'un au dessus de Dieu, Sa mère. A la place de défendre les meutres de ce qui ce dise prédicateur de Dieu, tu devrais voir leur hypocritie et leur mensonge dans ton enseignement.

Prédicateur

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Ecrit le 17 déc.04, 00:53

Message par Prédicateur »

Simplement moi a écrit : Désolé, ce n'est pas parcequ'on a aimé Rocky I et II que l'on est forcé d'aimer le III et le IV :D
Aucun rapport. Rocky nous montre de la violence que issa te montre qu'il n'y aucun choix à faire entre deux personnes qui offre de l'amour et qui l'enseigne. Après si tu as un choix dans les différentes violence, que tu aime plus une violence que une autre, c'est une autre question.

Simplement moi

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Ecrit le 17 déc.04, 03:20

Message par Simplement moi »

Prédicateur a écrit : Aucun rapport. Rocky nous montre de la violence que issa te montre qu'il n'y aucun choix à faire entre deux personnes qui offre de l'amour et qui l'enseigne. Après si tu as un choix dans les différentes violence, que tu aime plus une violence que une autre, c'est une autre question.
Rien de contradictoire dans ta réponse par rapport à ma propre interprétation.

Disons que les titres du film sont mal choisis, exprès d'ailleurs, pour faire voir que se basant sur les mêmes personnages on peut faire varier les évènements.

D'habitude c'est Les trois Mousquetaires que je prends pour exemple.

catherine

catherine

Ecrit le 17 déc.04, 03:32

Message par catherine »

issa a écrit :ce que tu n as pas encore compris c est qu il nest nullement question de choix entre les deux mais d accepter les deux nuance
Désolée mais n'étant pas musulmane et je te prie de croire que je ne le serai jamais, je n'ai AUCUNE obligation d'accepter mahomet.
Et je le répète entre la vie qu'a mené mahomet et ce qu'il a fait et la vie de Jésus et ce qu'il a fait, aucune hésitation pour moi dans le choix des 2 personnages.

Moussa

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Ecrit le 17 déc.04, 03:51

Message par Moussa »

catherine a écrit : Désolée mais n'étant pas musulmane et je te prie de croire que je ne le serai jamais, je n'ai AUCUNE obligation d'accepter mahomet.
Et je le répète entre la vie qu'a mené mahomet et ce qu'il a fait et la vie de Jésus et ce qu'il a fait, aucune hésitation pour moi dans le choix des 2 personnages.
Faudrait d'abord que tu connaise la vie de Muhammad avant de choisir car ca m'étonnerai que tu la connaises (paix sur lui)
C'est pas dans un forum "bible face au coran" que tu la trouveras!

catherine

catherine

Ecrit le 17 déc.04, 04:00

Message par catherine »

Moussa a écrit : Faudrait d'abord que tu connaise la vie de Muhammad avant de choisir car ca m'étonnerai que tu la connaises (paix sur lui)
C'est pas dans un forum "bible face au coran" que tu la trouveras!
moussa je crois que je t'avais demandé de m'indiquer par mp des forum/site anti islam et pro islam pour me faire une plus juste opinion.
N'oublie pas de m'indiquer les deux. Merci.
Je suis intéressée.
moussa, par mp, peux-tu me donner les forums pro et anti islam que tu connais ?
J'aimerais y jeter un coup d'oeil.

Prédicateur

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Ecrit le 17 déc.04, 04:42

Message par Prédicateur »

Simplement moi a écrit : D'habitude c'est Les trois Mousquetaires que je prends pour exemple.
C'est déjà mieux. :wink:

El Mahjouba-Marie

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Ecrit le 17 déc.04, 07:40

Message par El Mahjouba-Marie »

francis a écrit :Marie Écrit :
Ce que je trouve bizarre c'est que tu ne saches pas la définition d'hebreux. . .qui etait appelé l'hebreux?. . .l'origine de ce mot. . .puisque c'est seulement Abraham qui est venue de l'autre coté de l'Euphrate je ne vois pas pourquoi ses enfants porteraient ce surnom. . .

Ne me dis pas que Noé aussi etait "l'hebreux" AL 'IBBRI


La descendance abraham d apres la thora !

Dieu dit : Prends ton fils, je te prie, ton fils unique, celui que tu aimes, Isaac ;

La promesse fut par le peuple Hébreux !


En effet, la langue hébr. est coutumière des jeux de mots et des assonances. On ne nous dit rien d’autre de Noé, jusqu’à ce qu’il atteigne 500 ans,



Hébreu ( S., F., J., T.): qui provient de l’autre côte, qui traverse. - 1. D’après l’histoire bibl., les Hébr. vinrent de la rive orientale de l’Euphrate (cf. Gn. 12.5 avec 14.13; Jos. 24.2, 3). Leur nom peut avoir signif. cela, ou avoir été, à l’origine, une forme patronymique dérivée d’Eber désignant tous ses descendants, Israélites compris #Ge 10.21 jusqu’à ce que ces derniers eussent acquis une telle importance que le terme d’Hébreux ne s’appliquât plus qu’aux Israélites. V. Eber. - De nombreux linguistes pensent que le terme hébr. ‘ibhri (hébreu) est apparenté à l’akkadien habiru, ou hapiru (pl. habiru), figurant dans les textes cunéiformes de tout le Proche-Orient, à partir, approximativement du dernier quart du XXVIe jusqu’au XIe s. av. J.-C. Ce mot apparaît aussi dans la langue égypt., sous la forme ‘apiru. Les Habirou étaient des étrangers, à la recherche d’aventures. En Babylonie ils furent mercenaires; pour subsister, ils durent vendre leurs services aux Hurriens de Nuzu (Nuzi), ce qui était un véritable esclavage. Primitivement, le nom d’Habirou n’avait pas, semble-t-il, un s. ethnique. Selon les lettres de Tell el-Amarna, Abdi-Hiba, de Jérusalem, adressa des appels désespérés au roi d’Egypte quand les Habirou envahirent la Palestine. Si l’Exode a bien eu lieu vers 1440 av. J.-C., cet appel au secours coïncide en effet avec l’invasion dirigée par Josué. Les Israélites appartenaient sans doute au groupe appelé Habirou, mais tous les Habirou n’étaient pas des Israélites. V. Egypte III, 8, Tell el-Armarna. - Le nom d’Hébreux, au pl., s’appliquait aux Israélites #Ge 40.15; 1Sa 4.6; 13.3; 2Co 11.22 A l’époque du N.T., les Juifs parlant l’hébr. ou plutôt l’aram. se donnaient ce nom-là, par opposition aux Hellénistes, leurs compatriotes de langue gr.. #Ac 6.1 L’expression "Hébreu né d’Hébreux" signif.: dont les ascendants, du côté paternel et du côté maternel, étaient tous Hébreux. #Php 3.5 - 2. La langue des Hébreux #2Ki 18.26, 28; Isa 36.11, 13 appelée langue de Canaan #Isa 19.18 appartient au groupe des langues sémitiques. C’était celle du pays de Canaan, quand Abraham y arriva. Les tablettes de Tell el-Amarna, la stèle de Moab, et les inscriptions phéniciennes ont prouvé que les Cananéens, les Phéniciens, et les Moabites, sinon les tribus voisines, parlaient un idiome peu différent de l’hébr. Une forme d’hébr. primitif. écrit avec un alphabet cunéiforme, se lit sur les tablettes de Ras Shamra (du XIVe ou du XVe s. av. J.-C.). - L’alphabet hébr. se compose de 22 consonnes. A l’origine cette langue s’écrivait sans les points servant de voyelles. Ceux-ci sont postérieurs à l’exil mais app. antérieurs à l’ère chrét. Les Massorètes ont finalement fixé un système de points-voyelles qui est devenu officiel. Excepté certaines parties des livres de Daniel et d’Esdras et quelques autres passages de la Bible, rédigés en aram., tout l’A.T., dans l’original, a été écrit en hébr. - Les langues ont des périodes de croissance. Il y eut, de même, à diverses époques de l’A.T., une évolution de la langue hébr., avant l’hébr. bibl. En outre, l’hébr. ancien présentait des dialectes (cf. Chibboleth et Sibboleth, Jug. 12.5, 6). Avant la déportation en Babylonie, la langue de la Bible est relativement pure; pendant l’exil, et après, l’aram. exerce une influence décisive sur l’hébr. et finit par le supplanter comme langue parlée. L’hébr. écrit demeura sous forme de transcription aram. qu’on appelle l’hébr. carré. C’est la langue de la Torah (Bible hébr.) et de la Michna, commentaire bibl., rédigé vers l’an 200 de notre ère. L’hébr. rabbinique, langue des théologiens juifs dans le Talmud, est une évolution linguistique ultérieure. A travers tout le Moyen-Age l’hébr. subsista, comme langue savante. Sa forme ultime est l’hébr. moderne, parlé actuellement en Israël, dont il est la langue officiellement reconnue. A l’époque de notre Seigneur, l’aram. avait supplanté l’hébr. comme langue parlée #Mr 5.41 et avait même emprunté son nom. Par conséquent, lorsque le N.T. parle de la langue hébr. ou simplement de l’hébreu, cela signif. l’aram. #Joh 5.2; 19.13, 17, 20; Ac 21.40; 22.2; 26.14; Re 9.11 V. Araméen; Grec 3.; Langues; Sémitique.
nan. . .il n'y avait pas d'hébreux avant Abraham. . .puisque c'est lui qui venait de l'autre rive :lol:

L'hebreu une langue de canaan. . .BRAVO!! :P donc l'hebreu en tant que langue n'existait pas. . .c'est après qu'ils l'ont appelé ainsi. . .

El Mahjouba-Marie

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Ecrit le 17 déc.04, 07:41

Message par El Mahjouba-Marie »

catherine a écrit : Désolée mais n'étant pas musulmane et je te prie de croire que je ne le serai jamais, je n'ai AUCUNE obligation d'accepter mahomet.
Et je le répète entre la vie qu'a mené mahomet et ce qu'il a fait et la vie de Jésus et ce qu'il a fait, aucune hésitation pour moi dans le choix des 2 personnages.
Donc tu préfère aussi Jésus(as) à Moise ?

ostervald

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Ecrit le 12 janv.05, 23:03

Message par ostervald »

Ibn Warraq , Pourquoi je ne suis pas musulman, Editions l’Age d’Homme.


Un médecin juif de Bagdad avait publié une critique des trois grandes monothéistes.

Pour l’auteur, un certain Ibn Kammuna, le prophète Muhammad était un personnage tout à fait ordinnaire : « Nous ne concéderons pas, écrivait-il, que (Muhammad) ait ajouté à la connaissance de Dieu et à son culte rien de plus que ce qui se trouvait dans les religions antérieures. »


Les qualités morales du Prophète n’ont rien d’exceptionnel : « Il n’existe aucune preuve que Muhammad ait atteint la perfection ou le pouvoir de rendre d’autres parfaits, ainsi qu’on le prétend. » Les non-musulmans ne se convertissent à l’islam que « par peur, pour acquérir le pouvoir, pour échapper à de lourds impôts, pour ne pas être humiliés, parce qu’ils ont été faits prisonniers, ou parce qu’ils se sont entichés d’une femme musulmane. Vous ne verrez jamais un riche non-musulman, bien versé dans sa propre religion, se convertir à l’islam, si ce n’est pour une de ces raisons ». Finalement, Kammuna estimait que les musulmans sont tout à fait incapables de fournir une seule bonne raison qui justifierait le titre de Prophète qu’ils donnent à Muhammad.

Comment les musulmans accueillirent-ils autant de septicisme ? En décrivant les évènements qui eurent lieu quatre ans après la publication de ce traité, le chroniqueur Fuwati (1244-1323) nous donne la réponse :

« En cette année 1284, on sut à Bagdad que le juif Ibn Kammuna avait écrit un livre dans lequel il faisait preuve d’irrévérence envers les prophéties. Allah nous préserve de répéter ce qu’il a dit. Une foule en colère s’insurgea, se rassembla poue attaquer sa maison et pour le mettre à mort. L’émir (…) et un groupe de notables se rendirent à la madrasa Mustansiriya et convoquèrent le juge suprême et les maîtres de la loi pour régler cette affaire. Ils cherchèrent Ibn Kammuna, mais il se cachait. Ce jour-là était un vendredi.

Le juge suprême se prépara donc pour la prière, mais voyant que la foule l’en empêchait, il retourna à la madrasa. L’émir sortit pour calmer la foule, mais elle l’accabla d’injures, l’accusa d’être du côté d’Ibn Kammuna et de prendre sa défense. Alors, sur ordre de l’émir, il fut proclamé dans Bagdad que, tôt le lendemain matin, Ibn Kammuna serait brûlé hors des murs de la ville. La foule se dispersa et nul se parla plus jamais d’Ibn Kammuna. Quant à lui, on le mit dans une malle recouverte de cuir et on le porta à Hilla, où son fils était fonctionnaire, et il y demeura jusqu’à sa mort. »

Cette histoire montre de quelle manière le commun des musulmans, et non pas uniquement ceux que l’on nomme les intégristes, a réagi tout au long de l’Histoire aux soi-disant insultes que l’on aurait faites à sa religion. Les musulmans qui osent émettent des critiques sont habituellement accusés d’hérésie puis décapités, crucifiés ou brûlés.

Ali Dashti, homme de lettres iranien dans son livre Vingt-trois ans…

Ce texte fut rédigé en 1937, mais il ne fut publié anonymement qu’en 1974, et probablement à Beyrouth, après que le régime du shah eut interdit en 1971 la diffusion de toute critique religieuse. Après la révolution iranienne de 1979, Dashti en autorisa la publication par des groupes clandestins d’opposition. Cet ouvrage, dont le titre fait référence à la carrière prophétique de Muhammad, s’est probablement vendu, entre 1980 et 1986, à plus d’un demi-million d’exemplaires, en éditions pirates.

Dashti predn la défense du rationalisme et critique toute foi aveugle, car « les croyances peuvent émousser la raison humaine et le bon sens », même chez les érudits. La pensée rationnelle exige donc que l’on fasse plus « d’études impartiales ». Il refuse vigoureusement tous les miracles attribués postérieurement à Muhammad par des commentateurs trop zélés et il soumet à un examen minitueux et contradictoire le dogme orthodoxe qui affirme que le Coran est la parole d’Allah Lui-même, et qu’il est miraculeux par la seule vertu de son éloquence et du sujet qu’il traite. Il démontre également que même les anciens érudits musulmans, « reconnaissent ouvertement, avant que la bigoterie et l’hyperbole ne prédominent, que le style et la syntaxe du Coran ne sont pas miraculeux et que des œuvres de valeur égale oun supérieure pourraient tout aussi bien être produites par n’importe quel individu qui craint

« Le Coran contient des phrases qui sont incomplètes et incompréhensibles sans l’aide de gloses. On y trouve des mots étrangers, des mots arabes peu courants, des adjectifs et des verbes accordés sans respect de la concordance du genre et du nombre, des pronoms utilisés illogiquement ou de façon agarammaticale et qui n’ont quelquefois pas de référent, des prédicats qui, dans les passages en vers, sont souvent éloignés de nouveaux champs d’investigation aux critiques qui récusent la perfection littéraire du Coran. (…) En résumé, plus d’une centaine d’aberrations par rapport aux règles habituelles de la grammaire ont été relevées dans le Coran. »

En ce qui concerne l’aspect miraculeux du Coran, Ali Dashti remarque, tout comme Ibn Kammuna, que le Coran :

« ne contient rien de neuf, c’est-à-dire aucune idée qui n’ait pas été déjà exprimée par d’autres. Tous les préceptes moraux contenus dans le Coran sont évidents par eux-mêmes et sont communéments admis. Les histoires qu’ils contient sont reprises telles quelles, ou avec seulement des modifications mineures, des traditions juives ou chrétiennes, que Muhammad a recueillies auprès des rabbins et des moines qu’il a rencontrés au cours de ses pérégrinations en Syrie, et de la mémoire conservée par les descendants des peuples d’Ad et de Talmud ( fréquemment mentionnés dans le Coran et dont on a perdu toute trace). Dans le domaine de l’éducation morale, le Coran ne peut pas être considéré comme miraculeux. Muhammad répète des principes que l’humanité avait déjà élaborés en d’autres lieux et en d’autres siècles. Confucius, Boudha, Zoroastre , Socrate, Moïse et Jésus avaient dit des choses semblabes (…) La plupart des rites et des obligations religieuses de l’islam ne sont que le prolongement des pratiques juives que les Arabes païens avaient adoptées. »

Dashti tourne en ridicule les supertitions qui entourent de nombreux rites, et particulièrement celui du pèlerinage à la Mecque. Muhammad lui-même apparaît comme un personnage versatile qui s’abaisse à l’assassinat politique, au meurtre et à l’élimination systématique de tout opposant. D’ailleurs, parmi les partisans du Prophète, les meurtres étaient considérés comme des services rendus à l’islam. Dieu, tel que les musulmans l’imaginent , est critiqué. C’est un Dieu cruel, colérique et orgueilleux, trois qualités qui ne forcent pas particulièrement l’admiration. Enfin, il est clair pour Dashti que le Coran n’est pas la parole divine, car il contient de nombreux passages où il est impossible de dire qui, d’Allah ou de Muhammad, prend la parole.

Dashti mourut en 1984 après avoir passé trois ans dans les geôles de Khomeyni où il fut torturé, malgré qu’il eut 83 ans. Avant d’expirer, il put dire à un ami : « Si le shash avait autorisé la publication et la lecture de livres comme celui-ci, nous n’aurions jamais eu une révolution islamique. »

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