L'effondrement de la théorie de l'évolution en 20 questions

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acro

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L'effondrement de la théorie de l'évolution en 20 questions

Ecrit le 15 mai05, 22:52

Message par acro »

Introduction


Depuis plus de 150 ans, la théorie de l'évolution est d'actualité et influence profondément la vision du monde d'une grande majorité de la population. Elle représente l'homme comme une espèce animale apparue sur terre à la suite d'une combinaison d'innombrables coïncidences. Cette théorie soutient que la loi de la vie se base sur une subsistance égoïste et une volonté de persister coûte que coûte. Les influences de ces suggestions se sont nettement faites ressentir entre le 19ème et le 20ème siècles avec la croissance de l'égoïsme, l'effondrement de la moralité dans la société, la recherche aveugle du profit, l'inexistence de la compassion, la banalisation de la violence, l'expansion des idéologies criminelles, comme le fascisme et le communisme, les crises sociales et individuelles dans lesquelles s'engouffrent les populations en manque de foi…

Nous avons étudié les répercussions sur la société de la théorie de l'évolution dans nos différents ouvrages. Ne s'appuyant sur aucune vérité scientifique, cette doctrine qui se targue d'être une "théorie savante" se base aveuglément sur des scénarios et des mythes fantasmagoriques dont l'aberration a été démontrée dans plusieurs de nos écrits.

Pour connaître la véritable face de la théorie de l'évolution ainsi que "sa vision du monde" embrasant depuis 150 ans de façon méthodique la violence, la sauvagerie, les conflits, vous pouvez consulter nos différents ouvrages sur le sujet.

Dans ce livre, nous allons démontrer d'une façon générale l'irrecevabilité de cette théorie sur un plan scientifique. Nous allons répondre aux questions les plus suscitées auprès de la population et dont les élucidations restent dans le flou, tout en discutant les soi-disant réponses apportées par les évolutionnistes. Pour avoir plus de détails et d'informations sur ces explications, vous pouvez vous référer au livre Le mensonge de l'évolution de Harun Yahya.

. Pourquoi la théorie de l'évolution est-elle scientifiquement invalide?



La théorie de l'évolution maintient que l'apparition de la vie sur terre est le fruit d'une suite de hasards, résultant d'une autoformation à partir des conditions naturelles de l'environnement. Or ce n'est pas une loi scientifique, ni une réalité prouvée, mais est une vision matérialiste du monde cherchant à être imposée à la société. Cette théorie, dont tous les arguments ont été rejetés par la science moderne, s'appuie principalement sur des tromperies, falsifications, mensonges, contradictions et tours de passe-passe.

Lancée au 19ème siècle, elle se base sur des hypothèses fictives dues au contexte primitif de compréhension scientifique. Aucune découverte ou expérience propre à la science ne lui est depuis venue en aide. Au contraire, toutes les méthodes employées pour la confirmer en ont démontré l'invraisemblance.


A l'époque de Darwin, la structure extrêmement complexe de la cellule était inconnue..
Or, à l'heure actuelle, dans l'esprit d'une majorité, cette théorie semble être une loi scientifique prouvée, au même titre que la force de gravitation ou la poussée d'Archimède. Car, comme nous l'avons dit plus haut, son reflet auprès de la population est très différent de sa vraie nature. Beaucoup de personnes ignorent en effet les bases corrompues de cette théorie, comment elle a été réfutée par la science en tout point de vue et comment les évolutionnistes essaient de la maintenir en vie coûte que coûte. Les seuls supports des défenseurs de cette théorie sont des interprétations erronées et subjectives, des artifices, des représentations imaginaires, des méthodes de suggestions psychologiques et d'innombrables falsifications.

Aujourd'hui de nombreux domaines de la science tels que la biologie, la paléontologie, la génétique, la biochimie, la microbiologie ont démontré que la vie ne peut en aucun cas se générer d'elle-même suite à une combinaison de hasards.

Le monde scientifique accepte la cellule vivante comme le système le plus complexe observé par l'homme à ce jour. En comparaison, la complexité de l'architecture d'une seule cellule vivante est bien plus importante que celle d'une grande ville. Cet ensemble, aussi sophistiqué, composé d'interconnections de sous-systèmes complexes, ne fonctionne qu'en la présence simultanée de tous ses éléments constitutifs. Ils doivent être en parfait état et opérationnels dès leur apparition. Si ces deux conditions ne sont pas réunies, la cellule est inopérante, vouée à se disloquer et à disparaître. Contrairement à l'affirmation de la théorie de l'évolution, le système n'attendrait pas des millions d'années l'apparition hasardeuse des autres composantes. C'est pourquoi, la complexité de la structure d'une cellule démontre à elle seule sa création par Dieu.

Cependant, ceux qui défendent la philosophie matérialiste, pour diverses questions d'idéologie et de profit, refusent d'admettre la vérité de la création. Car l'existence et la propagation de sociétés composées d'hommes et de femmes basant leur vie sur la morale définie par les lois de Dieu, Ses commandements et Ses interdictions n'arrangeraient pas l'affaire des matérialistes. Au nom de leurs bénéfices personnels, des générations manipulables, abusées, éloignées de toute moralité, dépourvues d'intérêts religieux, répondent mieux à leurs attentes. C'est pourquoi ils essayent d'imposer et de faire croire à tout prix le mensonge de la théorie de l'évolution affirmant la non-création de l'homme, son apparition hasardeuse et son évolution, depuis les animaux. Laissant de côté la logique et l'intelligence, ils profitent de tous les instants et de toutes les occasions pour actualiser et soutenir cette sottise malgré l'écroulement scientifique et la mise en évidence, par la science, de la réalité de la création à travers des preuves indiscutables.


Exemples de structures complexes de la cellule; à droite: le ribosome où sont synthétisées les protéines; à gauche: le nucléosome où sont empaquetées les unités d'ADN. La cellule abrite ces structures et systèmes et d'autres encore plus complexes. La compréhension de l'impossibilité de la formation par hasard de ces structures extrêmement développées mises à jour par les avancées technologiques, a fait tomber les évolutionnistes dans une insurmontable impasse.


Même en laissant l'intelligence et la logique de côté, la probabilité de la formation d'elle-même d'une seule des millions de molécules composant la première cellule vivante, est démontrée scientifiquement inexistante. La théorie de l'évolution s'écroule donc dès sa première marche, incapable d'expliquer la formation de la première cellule vivante.

La cellule, la plus petite forme vivante connue, ne s'est, d'une part indéniablement pas formée dans un environnement primitif et sans contrôle suite à des hasards, comme le soutiennent les évolutionnistes et, d'autre part, n'a jamais pu être synthétisée dans les laboratoires les plus sophistiqués du 20ème siècle. Les acides aminés, eux-mêmes composés de protéines, éléments de base de la composition de la cellule vivante, n'ont jamais pu être synthétisés, de même qu'aucun autre des éléments composant la cellule (les mitochondries, les ribosomes, la membrane cellulaire, le réticulum endoplasmique…). De ce fait, la formation de la cellule par elle-même, comme l'admet la théorie de l'évolution, ne peut s'interpréter que comme une fantaisie issue d'une imagination débordante.


Francis Crick
La cellule cache encore de nombreux mystères à la science moderne et fait partie des nombreuses questions sans réponse de la théorie de l'évolution.

Un autre dilemme pour les évolutionnistes, est l'existence dans le noyau de chaque cellule d'une molécule contenant un code de près de 3,5 milliards d'éléments d'informations codant l'ensemble de la structure d'un être vivant: l'ADN. Il fut découvert en 1950 suite à l'apparition du microscope électronique. L'ADN est une grosse molécule comportant une architecture et une structure incroyablement complexes. Après l'avoir découvert, Francis Crick, longtemps défenseur de la théorie de l'évolution, fut obligé d'avouer que la vie ne s'explique pas par le hasard:

Aujourd'hui, en se basant sur les découvertes actuelles de la science, un honnête homme ne peut admettre que ceci: la source originelle de la vie ne peut être que miraculeuse.1

Le Professeur Ali Demirsoy, l'un des évolutionnistes les plus célèbres de Turquie fait la confession suivante sur la formation des protéines et de l'ADN:

En vérité, la probabilité de formation d'une protéine ou d'un acide nucléique, suite à un hasard, est une probabilité incommensurablement petite. De plus, la chance d'apparition d'une protéine atteint des degrés tellement faibles, qu'on peut les qualifier d'inexistants.2


Depuis que la théorie de Darwin domine le monde scientifique, la paléontologie l'accepte comme fondement. Malgré cela, les fouilles effectuées dans les quatre coins du monde ont fourni des résultats ne défendant nullement cette théorie, mais la réfutant. Les fossiles témoignent que les différents groupes d'êtres vivants sont apparus subitement avec leur forme définitive, c'est-à-dire prouvent qu'ils ont été créés.


Quant à Homer Jacobson, professeur émérite de chimie, il explique l'impossibilité de la formation hasardeuse des cellules de la manière suivante:


Des fossiles de termites âgés de 25 millions d'années retrouvés dans de l'ambre. Ils sont identiques aux termites actuels..
Une fois la première forme vivante apparue, elle aurait eu besoin d'un mécanisme de reproduction, d'être capable d'exploiter la matière et l'énergie environnantes, d'avoir les informations et un mécanisme de croissance. L'ensemble de ces acquis doit exister en un même lieu et en un même instant. La combinaison de tous ces éléments ne peut se réaliser par hasard.3



Les fossiles représentent une autre des grandes défaites de la théorie de l'évolution. Les recherches archéologiques menées depuis de nombreuses années, ont conduit la découverte d'innombrables fossiles. Cependant, il n'a été trouvé aucune trace de formes transitoires qui démontrerait l'évolution des êtres vivants à partir d'espèce simple se diversifiant en d'autres plus complexes. Si ce genre d'espèce avait réellement vécu, leur nombre et leur diversité auraient été extrêmement nombreux. Plus important encore, ces formes transitoires auraient forcément laissé d'innombrables traces retrouvables dans les fossiles. Car si elles avaient existé, leur nombre aurait été bien plus important que celui des espèces actuelles, et auraient ainsi laissé des traces fossilisées dans les quatre coins du monde. Depuis le milieu du 19ème siècle jusqu'à nos jours, les évolutionnistes ont effectué des fouilles archéologiques acharnées sur toute la planète pour trouver les traces de ces fameuses formes transitoires. Cependant sur une durée proche de 150 ans de recherche, aucune empreinte de ces formes n'a été décelée.

En résumé, les fossiles nous montrent aussi la non-évolution des êtres vivants d'une forme primitive à leur forme actuelle, et leur apparition subite dans la perfection de leur forme actuellement visible.

Depuis près de 150 ans, les évolutionnistes, en tentant de rassembler les preuves destinées à appuyer leur théorie, ont, de leurs propres mains, démontré l'invraisemblance de l'évolution des espèces. Finalement, la science actuelle est arrivée à l'indéniable conclusion: les êtres vivants ne sont pas le fruit d'un hasard aveugle et d'une évolution fictive, mais sont l'œuvre de la création de Dieu.

2. Comment la défaite de la théorie de l'évolution montre-t-elle la véracité de la création?


Lorsque la question "comment est apparue la vie sur Terre?" est posée, deux réponses se distinguent:

-La première explique l'apparition des espèces vivantes par l'évolution. Selon la théorie de l'évolution, la vie a commencé avec une cellule née d'un pur hasard. Cette cellule, toujours grâce aux coïncidences, a évolué en se développant et s'est diversifiée pour donner naissance aux millions d'espèces actuellement présentes sur Terre.

-La deuxième réponse est la création: tous les êtres vivants ont été créés par un Créateur omnipotent. La vie et les millions d'espèces d'êtres vivants ne sont en aucun cas le fruit d'une combinaison de hasard. Depuis leur création jusqu'à nos jours, ils possèdent un organisme parfait et une architecture supérieure. Même les organismes semblant être les plus simples, disposent d'une structure complexe qui ne peut s'être formée d'elle-même, de façon naturelle, suite à des hasards et apportent ainsi une preuve indéniable de l'œuvre du Créateur.

En dehors de ces deux possibilités, une troisième idée, théorie, ou même hypothèse, qui expliquerait l'apparition de la vie est inexistante. En toute logique, si deux hypothèses s'offrent à nous pour résoudre un problème et que nous démontrons clairement l'irrecevabilité de l'une d'entre elles, alors l'autre possibilité est l'unique solution. Cette règle est un principe de base de la logique appelé "logique booléenne" (modus tolendo ponens).

La démonstration de la non-évolution hasardeuse des êtres vivants, apportera donc la preuve de leur conception par un Créateur. Même les scientifiques qui défendent la théorie de l'évolution admettent l'inexistence d'une "troisième alternative". L'un de ces scientifiques, Douglas Futuyma l'énonce de cette façon:

Les êtres vivants sont apparus sur Terre soit dans leur forme finale et parfaite, soit en évoluant à partir d'autres espèces déjà existantes. Leur apparition dans leur forme finale et parfaite induit alors leur création par une intelligence divine.4

L'archéologie et la paléontologie permettent de répondre aux questions suscitées par l'évolutionniste Futuyma. La paléontologie montre l'apparition spontanée de groupes d'espèces vivants sur Terre dans une forme parfaite et à des instants distincts.

Depuis plus d'un siècle, toutes les découvertes des recherches et des fouilles archéologiques démontrent l'apparition subite des êtres vivants dans leur forme finale et idéale, c'est-à-dire leur création, et ce contrairement aux attentes des évolutionnistes. Les bactéries, les invertébrés marins, les poissons, les mollusques, les arthropodes, les amphibiens, les reptiles, les oiseaux ou encore les mammifères, sont apparus subitement avec leur complexité organique actuelle. Les fossiles des formes intermédiaires sont inexistants. La paléontologie confirme le verdict des autres branches de la science: les êtres vivants ne sont pas issus d'une évolution, mais sont les fruits de la création. Finalement les évolutionnistes, en voulant argumenter leur théorie irréaliste ont, de leurs propres mains, fourni la preuve de la création.

Robert Carroll, expert en paléontologie, spécialisé dans l'étude des vertébrés et évolutionniste engagé, admet que les espoirs du darwinisme n'ont pas été confirmés par les découvertes de fossiles.

Malgré les efforts intenses fournis depuis la mort de Darwin, c'est-à-dire plus d'un siècle, en vue de collecter des fossiles, les résultats obtenus ne prouvent pas l'existence de ces formes transitoires infiniment nombreuses auxquelles on s'attendait.5


La seule période du Cambrien suffit à effondrer la théorie de l'évolution

Le monde du vivant est séparé par les biologistes en trois grands règnes, à savoir les végétaux, les animaux et les champignons. Ces règnes sont eux-mêmes subdivisés en différents phylums. Chaque phylum regroupe les êtres qui possèdent une même structure. Par exemple, les arthropodes sont à eux-mêmes un phylum et tous les animaux y étant classés possèdent un plan d'organisation commun. En ce qui concerne le phylum des chordés, il abrite les êtres ayant un système nerveux central. Les animaux connus tels que les poissons, les oiseaux, les reptiles et les mammifères, font partie du sous-embranchement des chordés: les vertébrés.

Il y a environ 35 différents phylums animaux, dont les mollusques, qui incluent des créatures comme les escargots et les poulpes ou les nématodes auxquelles appartiennent des vers d'une taille minuscule. Leur trait le plus important est, comme nous l'avons dit, que chacun possède des caractéristiques physiques totalement différentes. Au sein des phylums, les différentes catégories possèdent des constitutions physiques similaires, mais au niveau des phylums, les différences sont très marquées.

Une question s'impose donc: comment ces différents êtres sont-ils apparus?



Fossile d'un être étrange, le marrella, retrouvé dans le
nid de fossile du Schiste de Burgess Un fossile appartenant à l'époque cambrienne



Analysons tout d'abord les données de la théorie de l'évolution. Comme nous le savons, cette théorie met en avant la diversification de tous les êtres vivants à partir d'un ancêtre commun ayant subi diverses modifications au cours du temps. Cette unicité implique donc, à la base, une ressemblance de tous les êtres dans leurs formes primitives et, au cours du temps, une évolution de ces derniers vers des formes beaucoup plus complexes.

Ainsi, d'après cette théorie, le vivant aurait une origine unique, puis se serait diversifié par la suite à l'allure des branches d'un arbre. D'ailleurs cette hypothèse retentit fortement dans les sources darwiniennes, et le terme "d'arbre évolutif" est couramment utilisé. D'après cet arbre évolutif, seul un phylum existe à la base, puis ce dernier subit lentement (pendant des échelles de temps assez longues) de légères transformations donnant naissance aux autres phylums. Toutes ces données sont le fondement de la théorie de l'évolution. Cependant la question suivante ne manque pas d'intérêt: cela s'est-il vraiment passé de la sorte?


DE CURIEUSES EPINES

A droite, un des êtres vivants qui est subitement apparu à l'époque du Cambrien, le hallucigenia. Sur le fossile de cet être et sur de nombreux autres, on peut observer des épines ou des piquants qui servent à sa défense. Un sujet que les évolutionnistes n'arrivent pas à expliquer est, comment ces êtres ont pu développer de tels mécanismes de défense alors qu'aucun "prédateur" n'existait encore. L'absence de prédateur rend ce fait inexplicable par la "sélection naturelle".




Indéniablement non. Bien au contraire, les animaux, lors de leur apparition, étaient déjà détenteurs d'organismes distincts et très complexes. Tous les phylums du règne animal connus à ce jour, sont apparus en même temps à la surface du globe, pendant une période de temps géologique connu sous le nom de Cambrien. Ce Cambrien est une période géologique datée entre 570 et 505 millions d'années, ayant duré 65 millions d'années. La période où apparut si brusquement la majorité des espèces animales se limite à une phase très brève du Cambrien souvent appelée l'explosion cambrienne. Stephen C. Meyer, P. A. Nelson et Paul Chien, dans un article écrit en 2001, s'appuyant sur une enquête, remarquent que "l'explosion cambrienne est survenue pendant une période très courte à l'échelle géologique, qui a duré pas plus de 5 à 6 millions d'années".6

Avant cette époque cambrienne, en dehors de quelques formes unicellulaires et d'autres formes pluricellulaires très primitives, aucune trace fossile n'a été découverte. Ainsi pendant une période de temps aussi courte que le Cambrien (une durée de 10 millions d'années est considérée comme très courte dans les échelles géologiques), tous les phylums composant le règne animal sont apparus avec leur complexité et leur perfection actuelles!


Des êtres invertébrés complexes comme l'étoile de mer ou la méduse sont apparus subitement 500 millions d'années auparavant sans avoir aucun ancêtre, c'est-à-dire, ont été créés. Ils n'ont aucune différence avec leurs descendances actuelles.

Le socle du Cambrien présente des fossiles de trilobites, de gastéropodes, d'éponges, de méduses, d'étoiles de mer, de vers, de crustacés, de liliacées marines, ainsi que de nombreux autres êtres vivants. Chez la plupart des êtres vivants présents dans les strates composant ce socle, des organes complexes sont mis à jour, tels que les yeux et les branchies, structures physiologiques poussées qui n'ont aucune différence avec leurs successeurs actuels. Ces structures sont à la fois très complexes et très diverses.

Richard Monastersky, l'éditeur du magazine Earth Sciences, référence populaire de la littérature évolutionniste, donne les informations suivantes sur "l'explosion" cambrienne:

Il y a un demi milliard d'années, … les animaux visibles de nos jours et qui disposent d'organes complexes sont apparus subitement. Cet instant correspond au début de la période cambrienne. L'émergence des êtres vivants sur terre et sur mer a commencé avec cette "explosion". Les mollusques qui, de nos jours, se sont éparpillés dans les quatre coins du globe, existaient déjà au début de la période cambrienne et étaient dès lors, déjà très diversifiés.7

L'un des invertébrés qui est apparu avec un organisme très complexe, 500 millions d'années auparavant, est le trilobite. Une de ses particularités qui dérangent les évolutionnistes est la complexité de la structure en alvéole de son œil. Cet œil extrêmement perfectionné dispose d'un système à multiples lentilles. Ce système est identique à celui présent chez de nombreux animaux actuels comme l'araignée, l'abeille ou la mouche. L'apparition subite d'une telle structure chez un être vivant apparu 500 millions d'années auparavant est suffisante pour mettre la théorie des évolutionnistes, basée sur le hasard, à la poubelle.




Prof. Philip Johnson
Un des plus importants critiques mondiaux du darwinisme, Philip Johnson, professeur à l'Université de Berkeley, en se basant sur la réalité mise à jour par la paléontologie, explique de la manière suivante son désaccord avec le darwinisme:

La théorie darwiniste présente l'évolution des espèces comme une "pyramide inversée s'élargissant constamment". Le vivant aurait donc commencé à se former à partir du premier organisme vivant ou de la première espèce animale, et se serait diversifié jusqu'à donner les catégories les plus évoluées de la systématique biologique. Mais les fossiles des animaux trouvés jusqu'à présent nous confrontent à une pyramide classique: tous les phylums existaient dès le premier instant et leur nombre a diminué avec le temps.8

Comme le constate Philip Johnson, loin de s'être constitués graduellement, tous les phylums sont apparus au même instant, et la plupart des espèces parmi ces derniers se sont éteintes par la suite. L'explication de l'apparition sous une forme parfaite et finale d'êtres vivants fondamentalement différents, comme l'accepte l'évolutionniste Futuyma, est la création.

Toutes les découvertes scientifiques effectuées montrent l'invalidité des arguments de la théorie de l'évolution et mettent en évidence la réalité de la création.

3.A quand remontent les plus anciennes traces de l'homme? Pourquoi ces découvertes réfutent-elles la théorie de l'évolution?



Traces de pieds vieilles de 3,6 millions d'années, découvertes en Laetoli, Tanzanie
La connaissance de l'âge de l'apparition de l'homme sur Terre passe par l'étude des fossiles. Cette étude montre des traces inhérentes à l'homme remontant à des millions d'années. Ces découvertes se composent de morceaux de squelettes, de crânes et des restes ayant appartenu aux hommes pendant les différentes périodes. Les traces les plus anciennes de l'homme sont "les traces de pieds" découvertes en Tanzanie, en 1977, par Mary Leakey, experte en fossiles.

Ces traces ont suscité un grand écho dans le milieu scientifique. Suite à une étude, la couche contenant ces empreintes de pieds a été datée de plus de 3,6 millions d'années. Russell Tuttle, qui les a étudiées a écrit:

Ces traces furent certainement laissées par les pieds nus d'un Homo sapiens (l'homme comme nous le connaissons aujourd'hui). Toutes les études morphologiques menées montrent une similitude entre les pieds qui ont laissé ces traces et ceux de l'homme moderne.9

Grâce aux études menées, les propriétaires de ces empreintes ont été identifiés. Vingt traces de pieds fossilisées d'un enfant moderne de 10 ans, ainsi que vingt-sept traces de pieds fossilisées d'un enfant encore plus jeune sont présentes. Les célèbres paléontologues Don Johanson et Tim White, après avoir étudié les traces trouvées par Mary Leakey, ont confirmé cette conclusion. White exprime sa pensée par ces paroles:

N'ayez aucun doute… Ces traces n'ont aucune différence avec les traces de pieds de l'homme moderne. Si ces traces étaient présentes aujourd'hui sur une plage de Californie, et que l'on demandait à un enfant de quoi il s'agit, il répondrait sans aucune hésitation qu'un homme est passé par là. Il n'aurait pu différencier ces traces des centaines d'autres traces laissées par une centaine d'autres plagistes. Et encore, vous non plus vous ne pourriez faire la différence.10

Ces empreintes de pieds ont suscité une vive discussion entre les scientifiques soutenant la théorie de l'évolution. Car admettre l'appartenance de ces traces de pieds à un homme remettrait en cause et rendrait indéfendable la généalogie imaginaire formulée entre l'homme et le singe. Cependant, sur ce point, la logique dogmatique des évolutionnistes montre, une fois de plus, son visage. La plupart des scientifiques défenseurs de la théorie de l'évolution ont abandonné les faits scientifiques en faveur de leurs préjugés. Leur conclusion finale a donc attribué ces traces de pieds trouvées en Laetoli à une forme de primate. Russell Tuttle, un des évolutionnistes qui a essayé de soutenir cette thèse a écrit ceci:

Au final, les traces de pieds vieilles de 3,6 millions d'années trouvées dans la zone de Laetoli, ressemblent fortement aux traces de pieds de l'homme moderne. Si ces traces de pieds n'étaient pas si anciennes, nous aurions pu en admettre, sans aucune discussion, l'appartenance à des hommes comme nous… Mais, en raison de leur âge élevé, nous devons admettre l'hypothèse de l'attribution de ces traces de pieds à des membres d'espèces semblables à celle du fossile Lucy, c'est-à-dire à un Australopithecus afarensis.11

Les restes d'une hutte en pierre trouvés par Louis Leakey dans la région d'Olduvai Gorge au début des années 1960 sont un autre des anciens vestiges laissés par l'homme. Ces derniers ont été découverts dans une couche de terrain vielle de 1,7 million d'années. Il est admis que ce type de construction, encore utilisé de nos jours dans certaines régions d'Afrique, ne peut être que l'œuvre d'Homo sapiens, c'est-à-dire de l'homme moderne. L'importance de cette découverte est de démontrer que l'homme moderne existait à la même période que ses soi-disant ancêtres.


Reste d'une hutte âgée de 1,7 million d'années
La découverte d'un morceau de mâchoire appartenant une fois de plus à un homme moderne et daté de plus de 2,3 millions d'années, dans la région Hadar de l'Ethiopie, montre l'apparition de l'homme bien avant la date préjugée par les évolutionnistes.12

L'un des fossiles le plus vieux et le plus complet appartenant à l'homme moderne est le squelette nommé KNM-WT 15000 ou encore "l'enfant de Turkana". Vieux de 1,6 million d'années, il est décrit de la façon suivante par l'évolutionniste Donald Johanson:

Il était maigre et long. La forme du corps et la proportion des membres étaient identiques à celles d'un Africain d'Equateur. La taille des membres était parfaitement conforme à celle des hommes actuellement vivant en Amérique du Nord.13

Les études effectuées ont montré l'appartenance de ce fossile à un enfant âgé de 12 ans qui aurait pu atteindre une taille de 1,83 m à l'âge adulte. Le paléoanthropologue américain Alan Walker a affirmé qu'il doutait que le paléontologue moyen puisse donner la différence entre ce squelette fossile et celui d'un être humain moderne. Concernant le crâne, Walker écrit qu'il s'est mis à rire en le voyant car "il ressemblait beaucoup à celui d'un homme de Neandertal".14

L'une des traces de l'homme ayant suscitée l'un des plus grands échos dans le monde scientifique est un fossile trouvé en 1995, en Espagne. Le fossile vieux de 800 mille ans et appartenant à un enfant de 11 ans a été découvert suite aux fouilles archéologiques menées dans la grotte de Gran Dolina située dans la région de Atapuerca. Ce fossile a étonné les archéologues. Juan Luis Arsuaga Ferreras, qui était alors à la tête de l'excavation de Gran Dolina, a fait la remarque suivante:

Nous nous attendions, comme vous pouvez l'imaginer, à nous trouver nez à nez avec une forme primitive, grande, large et enflée. Nous nous attendions à trouver un enfant âgé de 800 mille ans semblable à "l'enfant de Turkana". Mais notre découverte fut celle d'un visage moderne dans les moindres détails… Le genre de chose qui vous ébranle n'est pas de trouver un fossile (même si trouver un fossile est déjà un bel évènement), mais de découvrir un objet censé appartenir à notre époque dans un passé reculé. On pourrait dans un sens comparer cette découverte, à celle d'un poste radio dans le Gran Dolina. Evidemment une chose pareille serait très déroutante. Nous ne nous attendions pas à trouver des postes radio, ni des cassettes dans les sédiments du pléistocène inférieur, mais trouver un visage moderne de 800 mille ans est une découverte toute aussi similaire. Lorsque nous l'avons vu, nous avons été très étonnés.15


L'enfant de Turkana
Comme nous pouvons le voir, les découvertes archéologiques témoignent à l'encontre de la théorie de l'évolution de l'homme. Cette évolution est présentée à la population par certains groupes de media en tant que vérité prouvée et démontrée, alors qu'elle ne se fonde, en fait, que sur des hypothèses subjectives. D'ailleurs, les scientifiques soutenant l'évolutionnisme acceptent ce fait et avouent l'inexistence de preuves scientifiques concrètes appuyant l'évolution de l'homme.

Par exemple, C. A. Villie, E. P. Solomon et P. W. Davis, paléontologues qui soutiennent la théorie de l'évolution, acceptent l'apparition subite de l'homme, sans avoir aucun ancêtre originel.16

Durant l'année 2000, Mark Collard et Bernard Wood, dans un de leurs articles, ont été forcés d'écrire: "Les hypothèses phylogénétiques concernant l'évolution de l'homme ne sont vraiment pas fiables."17

Même si toutes les découvertes de nouveaux fossiles sont présentées (par des journaux dont le sérieux est à mettre en doute) avec des titres adaptés du genre "le chaînon manquant de l'évolution a été trouvé", ces fossiles mettent dans l'impasse la théorie de l'évolution. Un de ces exemples est le fossile d'un crâne, trouvé en 2001, et nommé Kenyanthropus platyops. Daniel E. Lieberman, chercheur de la section anthropologie de l'Université George Washington, dans un article publié dans la revue Nature, fit cette interprétation au sujet du Kenyanthropus platyops:

L'histoire de l'évolution est très confuse et n'a pas encore été résolue. Aujourd'hui avec la découverte d'une nouvelle espèce vieille de 3,5 millions d'années, cette histoire va encore plus se confondre… La morphologie du Kenyanthropus platyops apporte de nombreuses questions avec elle au sujet de l'évolution de l'homme et du comportement des espèces. Par exemple, pourquoi, contrairement à ce que l'on devrait attendre, comporte-t-il à la fois une petite molaire, une mâchoire bombée vers l'avant ainsi qu'un grand visage plat? Tous les hominidés ayant un grand visage et une mâchoire placée de la sorte ont une grande molaire. Le plus grand rôle du Kenyanthropus platyops dans les années à venir va être de décomposer les communautés et d'intensifier les désordres dans la recherche de liens entre les différents hominidés.18


Dans son numéro de décembre 1997, Discover, l'une des revues évolutionnistes les plus populaires, mettait en couverture un visage humain âgé de 800 mille ans. Les journalistes exprimaient leur stupéfaction avec la question: "Est-ce le visage de notre passé?"
La dernière preuve en date qui nous permet de réfuter les prétentions de la théorie évolutionniste à propos de l'origine de l'homme est le fossile Sahelanthropus tchadensis découvert au Tchad pendant l'été 2002.

Le fossile a semé l'émoi dans le monde du darwinisme. Dans son article qui donnait des détails sur cette découverte, la revue Nature a admis que "le crâne récemment découvert pouvait ébranler nos idées actuelles sur l'évolution humaine".19

Daniel Lieberman, de l'Université d'Harvard, a dit que "cette découverte allait avoir l'effet d'une petite bombe nucléaire".20

La raison en est que, bien que le fossile en question soit âgé de 7 millions d'années, sa structure est plus proche de la structure humaine (en se référant aux critères employés jusqu'ici par les évolutionnistes) que celle des Australopithèques, vieux de 5 millions d'années, qui sont censés être "l'ancêtre le plus vieux du genre humain". Ceci montre que les liens imaginaires établis entre des espèces de primates disparues, fondés sur le critère d'une similitude humaine hautement subjective, sont totalement chimériques.

John Whitfield, dans son article "Oldest Member of Human Family Found" (Le plus vieux membre de la famille humaine découvert) publié dans Nature le 11 juillet 2002, confirme cette idée en citant Bernard Wood, un anthropologue évolutionniste de l'Université George Washington, à Washington:

"Quand je fréquentais la faculté de médecine en 1963, l'évolution humaine se présentait comme une échelle", il [Bernard Wood] dit. "L'échelle allait du singe à l'homme en passant par une série d'intermédiaires qui à chaque étape ressemblait de moins en moins à des singes. Maintenant l'évolution humaine nous apparaît comme un buisson. Nous avons toute une ménagerie d'hominidés fossiles. Le fait de savoir comment ils sont reliés les uns aux autres et lesquels parmi eux sont les ancêtres de l'homme, s'il tant est qu'il en est parmi eux, reste un débat d'actualité."21

Les commentaires d'Henri Gee, l'éditeur en chef de Nature qui est aussi un éminent paléoanthropologue au sujet du fossile de primate récemment découvert sont dignes d'intérêt. Dans son article publié dans The Guardian, Gee évoque le débat relatif aux fossiles et écrit:

Quelle que soit l'issue du débat, ce crâne montre une fois pour toutes que la vieille théorie du chaînon manquant est fausse. Il devrait être désormais évident pour tous que l'idée même de chaînon manquant, qui a toujours manqué d'appui, est aujourd'hui indéfendable.22


LA REHABILITATION" FORCEE DES EVOLUTIONNISTES DE L'HOMME DE NEANDERTAL

REPRESENTATION DE L'HOMME DE NEANDERTAL EN 1975

Geheimnisse der Urzeit, Deutsche Übersetzung, 1975

REPRESENTATION DE L'HOMME DE NEANDERTAL EN 2000
National Geographic, juillet 2000


Les évolutionnistes, depuis le début du 20ème siècle, présentent une race d'hommes disparue, l'homme de Neandertal, comme un être "mi-singe". La représentation ci-dessus du Neandertal fut utilisée pendant des dizaines d'années par la propagande évolutionniste. Or, depuis les années 80, cette légende commence à s'effondrer. Les études menées à la fois sur les fossiles et sur les traces laissées par la culture du Neandertal ont montré que ces hommes n'étaient pas des "mi-singes". Par exemple, la découverte d'une aiguille vieille de 26 mille ans a authentifié que les hommes de Neandertal savaient coudre et étaient civilisés. C'est pourquoi des publications évolutionnistes comme le National Geographic sont dorénavant contraintes de représenter les hommes de Neandertal en tant qu'hommes "civilisés", comme sur l'image ci-dessous.




Comme nous le voyons, l'augmentation du nombre de découvertes ne joue pas en faveur, mais plutôt en défaveur de la théorie de l'évolution. Or, l'existence réelle d'une période d'évolution aurait laissé beaucoup plus de preuves et toutes les découvertes faites devraient la renforcer et l'appuyer. D'ailleurs, Darwin, dans son livre L'origine des espèces espérait des découvertes scientifiques allant dans ce sens. Selon lui, la seule faiblesse de sa théorie résidait dans l'insuffisance des ressources de fossiles de l'époque. Il espérait la mise à jour, par les fouilles archéologiques à venir, d'innombrables fossiles démontrant sa théorie. Cependant, les découvertes scientifiques tant attendues ont rejeté le rêve de Darwin.


La grotte de Gran Dolina, en Espagne, où a été retrouvé le fossile de l'Atapuerca, véritable être humain


L'importance des restes relatifs à l'homme

Les découvertes relatives à l'homme, dont quelques exemples ont été cités, dévoilent d'importantes vérités. En premier lieu, elles montrent, une fois de plus, l'origine imaginaire des arguments des évolutionnistes qui présentent, comme l'ancêtre de l'homme, une créature semblable au singe. Car, l'apparition de l'homme précède celle des primates supposés être ses "ancêtres". Ces primates ne peuvent donc, en aucun cas, être les ancêtres de l'homme.

Finalement, les traces fossilisées nous montrent une apparition de l'homme vivant plusieurs millions d'années auparavant dans une forme identique à celle d'aujourd'hui, et une existence dépourvue de toutes formes d'évolution. Si les défenseurs de la théorie de l'évolution écoutaient, sur ce sujet, leur esprit scientifique et loyal, ils seraient contraints de se débarrasser de leur hiérarchisation fictive entre le singe et l'homme. Le refus d'abandon par ces "scientifiques" de cet arbre fictif de l'évolution montre une fois de plus une défense de leur théorie non pas au nom de la science, mais au nom d'un dogme qui tente d'être maintenu en vie malgré les réalités scientifiques.

4.Pourquoi la théorie de l'évolution n'est-elle pas
"le fondement de la biologie"?


Un argument régulièrement répété par les évolutionnistes est le mythe qui présente leur théorie comme le fondement de la biologie… Les défenseurs de cette théorie affirment le fondement du développement et de l'existence de la biologie à partir de la théorie de l'évolution. En fait cet argument est le fruit d'une démagogie issue de leur désespoir.

Le philosophe Arda Denkel, un des grands noms du monde scientifique turc, interprète ce sujet de la façon suivante:

L'exemple, "Rejeter la théorie de l'évolution, c'est rejeter les découvertes en biologie, en géologie, en physique et en chimie" est ouvertement une proposition erronée. Car, pour faire une telle déduction (ici un modus tollens) les propositions qui formulent les découvertes en chimie, en physique, en géologie et en biologie devraient tout d'abord impliquer les théories de l'évolution. Or les découvertes, ou encore leurs énonciations n'impliquent nullement ces théories; de plus, elles ne les démontrent pas.23


Tous les travaux scientifiques menés en URSS sous le règne de Staline ont été forcés de s'adapter au "matérialisme dialectique" défini par Marx et Engels. Les personnes qui présentent le darwinisme comme le fondement de la biologie disposent de la même mentalité dogmatique.
En étudiant simplement l'histoire de la science, on comprend vite à quel point le propos "l'évolution est la base de la biologie" est dénué de sens. Si cette allégation était correcte, il aurait fallu une inexistence du développement scientifique dans le domaine de la biologie, avant l'apparition de la théorie de l'évolution, et une apparition de toutes les disciplines de la biologie après l'apparition de cette théorie. Or, plusieurs disciplines scientifiques telles que la biologie ou la paléontologie sont apparues et se sont développées bien avant l'apparition de la théorie de l'évolution. L'évolution, quant à elle, est une théorie que l'on tente d'intégrer de force à ces disciplines scientifiques.

Un comportement semblable à cette méthode des évolutionnistes a été mis en pratique sous le régime de Staline en URSS. A cette époque, le communisme, idéologie officielle de l'Union Soviétique, a considéré la philosophie du matérialisme dialectique comme étant la base de toutes les disciplines scientifiques. Par conséquent, Staline a donné l'ordre d'adapter toutes les recherches scientifiques au matérialisme dialectique. De ce fait, sur tous les ouvrages de biologie, de physique, de chimie, d'histoire, de politique et même d'art, écrits en URSS, la mention "le contenu s'appuie sur le matérialisme dialectique et sur les points de vue de Marx, Engels, Lénine" était ajoutée en introduction.

Cependant, lors de l'effondrement de l'URSS, cette mention a été retirée de ces ouvrages, sans pour autant en changer leur contenu, qui sont encore présentés comme des œuvres scientifiques. L'abandon d'une absurdité comme le matérialisme dialectique n'a en aucun cas laissé la science dans l'ombre, mais au contraire l'a libérée des pressions et des contraintes dont elle était victime.

Aujourd'hui, la science moderne est libre de toute coercition vis-à-vis de la théorie de l'évolution. L'observation et l'expérimentation sont les fondements de la science. La théorie de l'évolution, quant à elle, est une doctrine décrivant une histoire des espèces n'ayant pu être observée. De plus, les propositions et les arguments de ce principe ont toujours été démentis par la science et par les règles de logique. L'abandon de cette théorie n'entraînerait aucune perte pour la science. G. W. Harper, un biologiste américain fait le commentaire suivant:

Régulièrement le darwinisme est présenté comme le fondement de la biologie moderne, alors que l'abandon des propositions liées au darwinisme n'entraînerait aucune modification des connaissances biologiques.24

Bien au contraire, lorsque la science n'aura plus à s'aligner sur cette théorie remplie de dogmes, de subjectivités, de sottises et d'inventions, elle évoluera plus rapidement et plus sainement.

5.Pourquoi l'existence de différentes races n'est-elle pas un argument en faveur de la théorie de l'évolution?


Les partisans de la théorie de l'évolution présentent l'existence de différentes races au sein de l'espèce humaine comme une preuve à leur énoncé. En fait cette hypothèse est, le plus souvent, rapportée par des évolutionnistes amateurs qui ignorent, en grande partie, leur propre principe.

La thèse mise en avant par les défenseurs de cet argument est la suivante: "Si la vie, comme elle est mentionnée dans les Livres saints, a commencé avec un seul homme et une seule femme identiques, comment expliquer l'apparition de différentes races aussi divergentes?" Formulée d'une autre façon, cette question devient: "Les caractéristiques physiques d'Adam et d'Eve, telles que la taille, la couleur de peau, étant de même nature, comment expliquer l'apparition d'autres races avec des caractéristiques physiques si différentes?"

En réalité, le cœur du problème, créé par ces questions et ces critiques, repose sur un manque de connaissance de la génétique ou encore sur la non prise en considération de cette science. Pour mieux comprendre la cause de l'existence de différentes races entre les hommes aujourd'hui, une connaissance générale au sujet de la "variation" - phénomène étroitement lié avec notre sujet - est un préalable.


Le potentiel génétique du premier homme contenait les particularités des différentes races, et avec le temps, suite à une domination de certaines de ces particularités, les races sont apparues.
La variation est un terme de génétique, prenant le sens de "diversification". La conséquence de ce phénomène génétique, est l'apparition de différentes caractéristiques entre les individus ou les groupes d'une même espèce. La source de cette variation est l'information génétique portée par les individus de l'espèce. A la suite de reproduction entre ces individus, ces informations génétiques se mêlent pour donner une nouvelle combinaison au sein des nouvelles générations. Un échange de gènes s'effectue entre les chromosomes de la mère et du père. De cette manière, les gènes se mélangent entre eux. Le résultat de ce brassage génétique est une diversification des caractéristiques physiques de cet individu.

Les races ainsi que les différences physiques qui existent entre les hommes sont des "variations" propres à l'espèce humaine. Tous les êtres humains ont, à la base, la même information génétique, mais grâce au potentiel "des variations" offert par ce bagage génétique, certains ont les yeux bridés, d'autres sont roux, certains ont le nez long, d'autres sont petits de taille.

Pour comprendre le potentiel de cette "variation", prenons l'exemple de deux populations distinctes: une population dont les individus sont blonds avec les yeux bleus, et une population dont la majorité des membres est mate avec les yeux noirs. Au bout d'un certain temps, suite aux mélanges et aux mariages entre ces deux communautés, l'apparition de nouvelles générations à la peau mate et aux yeux bleus sera visible. C'est-à-dire que les caractéristiques physiques propres à chaque communauté vont se côtoyer dans les nouvelles générations pour donner de nouveaux individus ayant une apparence physique différente. Lorsque les autres caractéristiques physiques sont prises en considération et se mélangent, la naissance d'une grande diversification est évidente.

Un point important à connaître est le suivant: toutes les caractéristiques physiques sont définies par des couples de gènes. L'un des deux est un gène dominant, l'autre est dominé (récessif) ou encore les deux peuvent être dominants (co-dominants). Par exemple, la couleur de l'œil d'un individu est définie par deux gènes. L'un provient du père et l'autre de la mère. Le gène dominant contrôlera la couleur de l'œil. En général, les couleurs foncées dominent les couleurs claires. De cette façon, si une personne comporte des gènes propres aux yeux verts et aux yeux noirs, les yeux de cette personne seront très probablement noirs, car la couleur noire est dominante. Cependant la couleur verte, qui est un gène récessif, en se transmettant aux générations suivantes, pourra réapparaître dans une future génération. C'est-à-dire que l'enfant d'un père et d'une mère ayant les yeux noirs, peut avoir des yeux verts. Car les gènes responsables de cette couleur sont présents sous forme de gènes récessifs dans le patrimoine génétique du père et de la mère.

Ce principe s'applique à toutes les autres caractéristiques physiques ainsi qu'aux gènes les définissant. Des centaines et même des milliers de caractéristiques telles que les oreilles, le nez, la forme de la bouche, la taille, l'ossature, la structure, l'apparence et les caractéristiques des membres et des organes, etc. sont contrôlées de cette façon. Grâce à cette particularité, d'innombrables informations présentes dans le patrimoine génétique peuvent être transmises aux générations futures sans pour autant avoir d'influence sur l'apparence de l'individu porteur de ces informations. Les premiers hommes que sont Adam, et son épouse Eve, ont transmis toutes les informations contenues dans leur patrimoine génétique aux générations futures, malgré l'influence de seulement quelques caractéristiques de cette information sur leur apparence physique. Les isolements géographiques des différents groupes pendant l'histoire ont favorisé l'expression de certains gènes qui, sur une période assez longue, a entraîné une divergence des phénotypes tels que l'ossature, la couleur de peau, la taille, la forme du crâne… Les races sont apparues à la suite de ce phénomène.

Cependant, cette longue période n'a, en aucun cas, apporté une divergence d'espèces. Toutes les races, quels que soient la taille, la couleur de peau, le volume du crâne des individus les composant, sont parties intégrantes de l'espèce humaine.

6.Pourquoi la fictive ressemblance à 99% entre le génome humain et celui du singe ne constitue-t-elle pas un argument fondé, en faveur de la théorie de l'évolution?


De temps en temps, dans de nombreuses sources évolutionnistes une ressemblance à 99% est prétendue entre l'homme et le singe, établissant ainsi une preuve de l'évolution. Cet argument est particulièrement utilisé pour le chimpanzé se présentant comme l'espèce de singe la plus proche de l'homme, évoquant ainsi un lien de parenté avec ce dernier. En réalité, c'est une preuve fictive avancée par les évolutionnistes qui abusent du manque de connaissance de la majorité de la population sur ce genre de sujet.

L'homologie à 99% n'est qu'une propagande illusoire

Pendant très longtemps, la chaire de l'évolutionnisme a propagé cette thèse infondée selon laquelle il n'y a que très peu de différences entre l'homme et le chimpanzé sur le plan génétique. Dans n'importe quel ouvrage de littérature évolutionniste, vous trouverez une phrase du genre "nous sommes à 99% semblables aux chimpanzés" ou "il n'y a que 1% de l'ADN qui fonde notre spécificité humaine". Bien qu'aucune comparaison entre les génomes de l'homme et du chimpanzé n'ait donné de conclusion définitive, l'idéologie darwiniste conduit ces savants à soutenir l'idée qu'il existe très peu de différences entre ces deux espèces.

Une étude menée en octobre 2002 a révélé que la propagande évolutionniste sur cette question - comme sur beaucoup d'autres - est complètement erronée. Les humains et les chimpanzés ne sont pas à 99% semblables comme le dit la légende. La similitude génétique entre les deux espèces s'avère être inférieure à 95%. Dans un article publié sur CNN.com et intitulé "Les êtres humains et les chimpanzés sont plus différents qu'on le pensait", on peut lire:

Il y a plus de différences entre un homme et un chimpanzé qu'on ne le croyait, selon les résultats d'une nouvelle étude scientifique.

Les biologises ont longtemps affirmé que les gènes de l'homme et du chimpanzé étaient à 98,5% identiques. Mais Roy Britten, un biologiste de l'Institut de Technologie de Californie, affirme dans une étude publiée cette semaine qu'une nouvelle méthode de comparaison montre que cette similitude génétique tourne autour de 95% seulement.

Britten a basé son étude sur un programme informatique qui a comparé 780.000 des 3 milliards de paires de base qu'on trouve sur l'hélice de l'ADN humain avec celles du chimpanzé. Il a trouvé plus de différences que ces prédécesseurs et a pu conclure qu'au moins 3,9% des bases ADN étaient différentes.

Ce qui l'a amené à conclure qu'il y a une différence génétique fondamentale entre les deux espèces qui est d'environ 5%.25

New Scientist, une revue scientifique reconnue et qui défend avec ferveur les thèses darwinistes a traité ce même sujet dans un article intitulé "La différence d'ADN entre l'homme et le chimpanzé est trois fois plus grande qu'on le croyait":

Nous sommes plus uniques que nous ne le pensions, d'après de nouvelles comparaisons établies entre l'ADN de l'homme et du chimpanzé. On a longtemps soutenu que nous partagions 98,5% de notre matériel génétique avec nos plus proches parents. Ce qui semble être erroné. En réalité, nous avons moins de 95% de matériel génétique en commun, ce qui multiplie par trois le taux de différences qui nous sépare des chimpanzés.26





Le biologiste Roy Britten ainsi que d'autres évolutionnistes continuent à interpréter le résultat en terme d'évolution, mais en fait il n'y a aucune raison valable de le faire sur un plan scientifique. La théorie de l'évolution n'est confirmée ni par l'étude des fossiles ni par les données génétiques ou biochimiques. Au contraire, plusieurs preuves montrent que les différentes formes de vie sont apparues soudainement sur Terre sans qu'il n'y ait eu auparavant d'ancêtres qui auraient évolué, et que la complexité de leur organisation prouve l'existence d'un dessein intelligent qui a présidé à leur apparition.


L'ADN humain ressemble aussi à celui du ver de terre, de la mouche ou encore de la poule!

Les protéines de base mentionnées sont des molécules présentes chez de nombreuses et différentes espèces vivantes. La structure des protéines de même nature chez des espèces entièrement différentes ressemble fortement à celle présente chez l'homme, cette ressemblance n'est pas uniquement liée au chimpanzé.

Par exemple, dans des analyses publiées dans la revue New Scientist, une homologie de 75% entre l'ADN des nématodes et celui de l'homme a été mise en évidence.27 Ce résultat ne signifie nullement l'existence de seulement 25% de différences entre l'homme et cette espèce de ver de terre.

D'un autre côté, lors d'une découverte reflétée également dans les médias, une ressemblance à 60% entre l'homme et la drosophile (mouche à fruit) a été établie.28

Lorsque les espèces autres que l'homme sont étudiées, les soi-disant liens de parentés avancés par les évolutionnistes n'existent pas au niveau moléculaire.29

Cette vérité montre la non constitution, par la notion de ressemblance génétique, de preuve en faveur de la théorie de l'évolution.


La cause des ressemblances:

"un plan d'organisation commun"

Une ressemblance moléculaire entre le corps humain et les autres êtres vivants est inévitable, car tous sont constitués des mêmes molécules, utilisent la même eau et la même atmosphère, consomment des aliments composés de molécules identiques. La ressemblance entre leur métabolisme, et donc leur structure génétique, est naturelle. Cependant, cela ne montre pas qu'ils ont évolué à partir d'un ancêtre commun.

Cette "matière première commune" n'est pas le résultat de l'évolution, mais d'un "plan d'organisation commun", c'est-à-dire le résultat d'une création de tous les êtres vivants sur un plan identique.

Un exemple éclaircira mieux le sujet: tous les ponts du monde entier sont conçus à partir de matériaux identiques (des briques, de l'acier, du béton…). Mais cela ne signifie nullement une évolution de ces ponts des uns vers les autres. Ils sont élaborés différemment en utilisant des matériaux communs. La situation des êtres vivants est comparable à cela. Bien entendu, la structure des êtres vivants est incomparablement plus complexe que celle des ponts.

Le vivant, comme l'affirme la théorie de l'évolution, n'est pas issu de hasards inconscients, mais est le fruit de la création de Dieu, l'Omnipotent, à la connaissance et à l'intelligence sans limite.

7.En quoi prétendre que les dinosaures se sont transformés en oiseaux est un mythe scientifique?


La théorie de l'évolution est une fable prenant source dans l'espoir de la réalisation des choses les plus insensées. Les oiseaux occupent une place très particulière dans cette fable. En effet, ils disposent avant tout de magnifiques organes que sont leurs ailes. Plus que la merveille de leur structure, les ailes, avec leur formidable harmonie, ont toujours suscité l'admiration de l'homme. A un point que l'idée de voler fut le rêve pendant des milliers d'années de l'humanité, entraînant la mobilisation de l'effort de milliers de scientifiques et de chercheurs.

A part des premiers essais peu concluants, l'homme n'a réellement pu concevoir des engins volants qu'au 20ème siècle. Les oiseaux réalisent depuis leur apparition, des millions d'années auparavant jusqu'à nos jours, ce que les hommes ont finalement pu concrétiser après accumulation de centaines d'années de recherche. De plus, un oisillon gagne cette aptitude suite à de brèves tentatives et ce avec de nombreuses particularités incomparablement plus perfectionnées que les derniers avions issus de la technologie de pointe…

Pour pouvoir expliquer l'apparition des êtres vivants et leur diversification, la théorie de l'évolution fait appel à des interprétations subjectives, à des subterfuges. Lorsque le sujet des oiseaux est traité, la science est rangée dans les étagères pour laisser place aux fables des évolutionnistes. Les êtres présentés par les évolutionnistes comme ancêtres des êtres vivants actuels en sont la cause. La théorie de l'évolution avance l'appartenance des ancêtres des oiseaux à un groupe inclus dans la famille des reptiles: les dinosaures. Une telle allégation apporte avec elle deux questions à élucider. La première est par quel moyen les dinosaures se sont transformés en oiseaux. La deuxième question est l'existence, ou non, de fossiles montrant cette transformation.

Les évolutionnistes ont longtemps débattu pour expliquer comment les dinosaures sont devenus des oiseaux, et ont finalement développé deux théories. La première est la théorie "Cursorial" qui suppose l'envol des dinosaures à partir du sol pour se transformer en oiseaux. Les défenseurs de la deuxième théorie rejettent la théorie "Cursorial" et affirment que les dinosaures n'ont pu se transformer en oiseaux en s'envolant à partir du sol. Ils apportent un autre point de vue à la question: "comment alors les dinosaures se sont-ils envolés?" Selon eux, ce sont des dinosaures vivant sur des branches d'arbres et qui en sautant de branche en branche se sont transformés en oiseaux. Le nom de cette théorie est la théorie "arboricole". La réponse à "comment les dinosaures se sont envolés?" est déjà prête: "En essayant d'attraper les mouches!"

Cependant, les personnes qui affirment le développement d'ailes et de mécanisme de vol dans le corps d'un animal comme le dinosaure pour lui permettre d'attraper un insecte comme la mouche, devraient d'abord répondre à la question suivante: comment le système de vol de la mouche, bien plus perfectionné que celui des hélicoptères de dernière technologie qui s'en sont inspirés, s'est-il formé? Sur ce sujet, vous serez témoins de l'absence de réponse des évolutionnistes. Une théorie n'arrivant pas à expliquer le système de vol d'une petite mouche, et osant pourtant affirmer la transformation des dinosaures en oiseaux, est une théorie dont le sérieux est à mettre en doute.

En conclusion, tous les scientifiques dotés d'intelligence et de logique sont en accord pour admettre l'existence d'un unique lien entre ces deux théories et la science: leur nom latin. L'envol des dinosaures est un pur produit de l'imagination, imagination composant la source du problème.

"Les dinosaures, en essayant d'attraper les mouches, ont développé des ailes et sont devenus des oiseaux", ceci n'est pas une plaisanterie, mais une hypothèse très sérieusement définie comme scientifique par les évolutionnistes. Ce seul exemple est nécessaire pour comprendre à quel point les évolutionnistes ne peuvent être pris au sérieux.
Les évolutionnistes qui affirment que le dinosaure s'est transformé en oiseau doivent trouver et montrer les fossiles prouvant cette déclaration. Si c'était effectivement le cas, l'histoire aurait du être peuplée d'êtres mi-dinosaure/mi-oiseau, qui auraient laissé des restes fossiles illustrant cette transformation. Les évolutionnistes, pendant de nombreuses années, ont affirmé l'existence d'une forme transitoire semblable: un oiseau nommé "archæoptéryx". Or, cette affirmation n'est rien d'autre qu'une énorme erreur.

L'erreur archæoptéryx

L'archæoptéryx, présenté comme "la forme transitoire entre les dinosaures et les oiseaux", a vécu environ 150 millions d'années auparavant. Selon la théorie, une partie des dinosaures à petite taille a, à la suite d'une évolution, développé des ailes, commençant à voler. L'archæoptéryx, en théorie est la première espèce s'étant séparée de ses ancêtres les dinosaures et pouvant, petit à petit, voler.

Cependant les dernières études sur les fossiles de l'archéoptéryx montrent le non-fondement scientifique de cette explication. Cet être n'est pas une forme transitoire, mais seulement un oiseau possédant des particularités légèrement différentes des oiseaux actuels, et dont l'espèce s'est éteinte.

La thèse selon laquelle l'archæoptéryx serait un "mi-oiseau" ayant des difficultés à voler, était, peu de temps auparavant, fréquemment citée dans la littérature évolutionniste. L'inexistence de sternum chez cet être, était montrée comme la preuve la plus importante de son incapacité à voler (le sternum est un os se situant sous la cage thoracique et servant de soutien aux muscles nécessaires au vol de l'oiseau. Cet os est présent chez tous les oiseaux pouvant ou non voler, et même chez la famille très distincte de mammifère volant que sont les chauves-souris).

Or, le septième fossile d'archæoptéryx, retrouvé en 1992, révéla l'erreur de cette hypothèse. Car le sternum, longtemps considéré par les évolutionnistes comme inexistant, était présent sur ce dernier fossile d'archæoptéryx. Ce fossile nouvellement découvert était décrit de la façon suivante dans la revue Nature:

Le septième et dernier fossile d'archéoptéryx retrouvé indique la présence d'un sternum partiel, rectangulaire dont l'existence n'ayant jamais pu être démontrée, fut souvent mise en doute. La capacité de cet être à parcourir en vol de grandes distances s'appuie encore sur des spéculations, mais la présence d'un sternum montre l'existence de puissants muscles de vol.30

Cette découverte réduit à néant l'hypothèse selon laquelle l'archæoptéryx serait un "mi-oiseau" ne pouvant complètement voler.

D'un autre côté, une des plus importantes preuves qui démontrent l'archéoptéryx comme un véritable oiseau parfaitement apte au vol, est la structure des plumes de cet animal. La structure asymétrique des plumes de l'archéoptéryx, identique à celle des oiseaux actuels, montre son aptitude au vol. Comme le précisait le célèbre paléontologue Carl O. Dunbar, "à cause de ses plumes, cet être montrait les particularités d'un véritable oiseau".31 Le paléontologue Robert Carroll développe ce point:

La géométrie des plumes de l'archæoptéryx, qui lui servaient à voler, est identique à celle des oiseaux volants modernes alors que la disposition des plumes des oiseaux terrestres n'est pas symétrique. La façon dont les plumes sont disposées sur les ailes coïncide avec celle des oiseaux actuels... Selon Van Tyne et Berger, la taille et la forme de l'aile de l'archæoptéryx sont similaires à celles des oiseaux qui se meuvent par des mouvements restreints à travers la végétation, tels que les gallinacés, les colombes, les coqs de bruyère, les pics et la plupart des passerines… Les ailes servant au vol ont été en place pendant au moins 150 millions d'années…32

Une autre réalité, révélée par les plumes de l'archéoptéryx, est l'appartenance de cet être à la famille des animaux à sang chaud. Les reptiles et les dinosaures sont des animaux à sang froid, c'est-à-dire ne produisant pas leur propre chaleur corporelle, et qui sont influencés par la température ambiante. L'une des fonctions les plus importantes des plumes présentes chez les oiseaux est de préserver la chaleur corporelle. La présence de plumes chez l'archæoptéryx montre, contrairement aux dinosaures, son appartenance aux animaux à sang chaud, démontrant ainsi qu'il s'agit d'un véritable oiseau ayant le besoin de préserver sa chaleur corporelle.


L'anatomie de l'archæoptéryx et l'erreur des évolutionnistes

Les deux plus importants points sur lesquels s'appuient les biologistes évolutionnistes, en montrant l'archæoptéryx comme une forme transitoire, sont les présences chez cet animal de serres sur ses ailes et de dents dans sa gueule.

L'archæoptéryx dispose de serres sur ses ailes et de dents dans sa gueule, cependant ces particularités ne prouvent en aucun cas un lien entre cet animal et la famille des reptiles. Car deux espèces d'oiseaux qui existent actuellement, le touraco et le hoatzin, disposent également de serres qui leur permettent de s'agripper aux branches. Toutefois ces deux espèces n'ont aucune caractéristique propre aux reptiles, mais sont des oiseaux à part entière. C'est pourquoi l'argument selon lequel l'archæoptéryx est une forme transitoire, car il disposait de serres sur ses ailes, est sans fondement.


Les analyses effectuées sur l'anatomie de l'archéoptéryx ont démontré que cet être disposait d'une parfaite aptitude au vol, et était un oiseau type. Les tentatives de le faire ressembler aux reptiles n'ont aucun fondement.
De plus, la présence de dents dans la gueule de l'archæoptéryx n'implique nullement qu'il s'agit d'une forme transitoire. Les évolutionnistes induisent la population en erreur lorsqu'ils avancent la particularité inhérente des dents au reptile. Car la présence de dents n'est pas une caractéristique uniquement liée à ces animaux. De nos jours, certains reptiles disposent de dents et d'autres non. Un point encore plus important est que la présence de dents chez les oiseaux ne se limite pas à l'archéoptéryx. L'extinction de ces espèces d'oiseaux est une réalité, cependant lorsque nous examinons les fossiles nous nous apercevons de l'existence d'un groupe d'oiseaux pouvant être nommés "oiseaux à dents" aussi bien à la même époque que l'archéoptéryx qu'à des époques récentes.

Le côté le plus important de l'affaire, est la grande différence existante entre la structure des dents des "oiseaux à dents", dont l'archæoptéryx, et celle de leurs soi-disant ancêtres les dinosaures. Selon les mesures effectuées par des ornithologues expérimentés comme L. D. Martin, J. D. Stewart et N. Wheatstone, les dents de l'archæoptéryx et des "oiseaux à dents" ont une surface plane et des racines larges. Or chez les dinosaures théropodes présentés comme les ancêtres de ces oiseaux, les dents sont pointues comme les dents d'une scie et leurs

Invité

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Ecrit le 16 mai05, 08:17

Message par Invité »

Contrairement au coran, la théorie de Darwin est étudiée et remise en question par "the Darwin institute a Londres" un milliers d'étudiants et de professeurs étudient chaque affirmation de Darwin et s'il le faut la corrige - peut on en dire autant du Coran ??

Il y a plusieurs millions d'années, un météorite géant a percuté la terre détruisant 90% de la vie végétale et partant pratiquement tout ce qu'on appelle "dinosaures" - çà c'est indéniable

Que s'est il passé alors, dieu s'est remis au boulot et a tout recréé ?

marseillais

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Ecrit le 16 mai05, 10:08

Message par marseillais »

13. C'est Lui, certes, qui commence (la création) et la refait.

14. Et c'est Lui le Pardonneur, le Tout Affectueux,

15. Le Maître du Trône, le Tout Glorieux,

16. Il réalise parfaitement tout ce qu'Il veut.

17. T'est-il parvenu le récit des armées,

18. de Pharaon, et de Tamud?

19. Mais ceux qui ne croient pas persistent à démentir,

19.Ne voient-ils pas comment Allah commence la création puis la refait? Cela est facile pour Allah.

20.Dis : "Parcourez la terre et voyez comment Il a commencé la création. Puis comment Allah crée la génération ultime. Car Allah est Omnipotent".

21.Il châtie qui Il veut et fait miséricorde à qui Il veut; c'est vers Lui que vous serez ramenés.

22.Et vous ne pourrez vous opposer à Sa puissance ni sur terre, ni au ciel; et il n'y a pas pour vous, en dehors d'Allah, ni allié ni secoureur.

23.Et ceux qui ne croient pas aux versets d'Allah et à Sa rencontre, désespèrent de Ma miséricorde. Et ceux-là auront un châtiment douloureux.


15. Quoi? Avons-Nous été fatigué par la première création? Mais ils sont dans la confusion [au sujet] d'une création nouvelle.

16. Nous avons effectivement créé l'homme et Nous savons ce que son âme lui suggère et Nous sommes plus près de lui que sa veine jugulaire

17. quand les deux recueillants, assis à droite et à gauche, recueillent .

18. Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l'inscrire.

19. L'agonie de la mort fait apparaître la vérité : "Voilà ce dont tu t'écartais".

20. Et l'on soufflera dans la Trompe : Voilà le jour de la Menace.

21. Alors chaque âme viendra accompagnée d'un conducteur et d'un témoin.

22. "Tu restais indifférent à cela. Et bien, Nous ôtons ton voile; ta vue est perçante aujourd'hui.

23. Et son compagnon dira : "Voilà ce qui est avec moi, tout prêt". .

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Ecrit le 17 mai05, 00:05

Message par Invité »

as tu vu UN seul verset du coran modifié ??? non au contraire, on paie des mercenaires comme Bucaille pour "faire coller" la science au coran

Au "Darwin institude" ce sont les écrits mêmes de Darwin qui sont parfois modifiés :P

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