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Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 22 déc.17, 03:26
par Shonin
Nam Myoho Rengé Kyo (lumière sur) : https://youtu.be/n4oWifovzbQ

Nam : je consacre ma vie
Myoho : Ouvrir, tout inclure, revenir à la vie...
(ho)(qui m'est si chère) (:par sois-même.)
Rengé : fleur de lotus. principe d'inclusion de la cause et son effet instantané, en sois-même. "en un instant", présent.
Kyo : par la voix.


Chanter mes amis, prier est un droit, un acte sans conséquences néfastes: au contraire aussi; simple, et efficace.
Une saveur parmi les 8 existantes, et une source.
Nous sommes nombreux à savoir comment.
-fin des traductions-
Place à l'action.
Créations de valeurs.
#femmesbattues #discrimination #volonté
#Paix en cela.. Qi qong...retourner de façon pacifique vers la paix. #taïkuendo #art #martial
(j'emmerde les européens. #alliance #forum-religion #Aurore. les cloches de l'aube..)

Kyo, est le son, uni-verselle.......................
Nam Myoho Rengé Kyo
Nam Myoho Rengué Kyo
Nam Myoho Rengué Kyo
Nichiren
(bien-veillance. jusqu'à. l'infini...) nyo zé.. infiniment.
(fin des traductions)
une corolle

-- 01 JeuEC 2017 03:42 --

On place habituellement le juzu autour du médium de chaque mains --- la partie qui comporte trois boules vers la main droite et celle qui en comporte deux vers la main gauche, en croisant la boucle au milieu entre nos deux mains.
On dit que les perles de ce chapelet représente le corps humain : les trois parties à droite représente la tête et les deux bras, le point d'intersection de la boucle entre nos deux mains symbolise notre nombril, et les deux parties de gauche représente nos deux jambes.

Chacun de ces chapelets comprend 108 grains, représentant les 108 désirs terrestres, source de la souffrance. Les quatre perles de taille inférieure représentent les quatre bodhisattvas qui sont les Guides des Bodhisattvas sortis de la Terre dans le Sûtra du Lotus.

Sensei
p.353 Dialogue avec la jeunesse
'L'importance de gongyo et de daimoku'

-- 01 DimEC 2017 03:42 --

Quand vous récitez ou lisez « myoho » et « renge », vous devez faire surgir la foi profonde que Myoho-renge-kyo est votre vie elle-même.

Nichiren, Sur l’atteinte de la bouddhéité en cette vie - Ecrits, 4.

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 11 août18, 22:58
par Yvon
Le mot France inclus en lui même 65 millions d'individus , un pays, des régions , ses lois , sa langue , sa cuisine , sa diversité culturelle ect .... Rendre hommage à la France c'est intégré en soi même la globalité du pays et de ses caractéristiques .


D'une vision superficielle Nam Myoho Rengué Kyo signifie " Je me consacre à la Loi merveilleuse du Sûtra du Lotus " .
mais ce n'est qu'une traduction du Mantra . Elle signifie dans un premier temps que le fait de réciter le titre du Sûtra du Lotus équivaut à réciter la totalité des 28 chapitres qu'il contient .


Ce mantra est composé d'un mot Sanscrit "Nam " et de Myoho Rengué Kyo " qui sont du vieux chinois . Un seul caractère a plusieurs significations . C'est pour cela que l'on ne peux le traduire en français cela en diminuerai considérablement le sens .


Que désigne donc Myo ? C'est uniquement la nature mystérieuse de notre vie, d'instant en instant, que l'on ne peut saisir par la pensée ni exprimer par les mots. Si vous vous interrogez sur la nature de votre esprit à un moment donné, vous ne percevez ni couleur ni forme prouvant qu'il existe. Mais vous ne pouvez pas non plus dire qu'il n'existe pas, car diverses pensées ne cessent de se présenter à vous. La vie est une réalité difficile à saisir qui échappe aux mots et aux concepts d'existence comme de non-existence. Elle n'est ni existence, ni non-existence, et pourtant manifeste tantôt l'un de ces aspects, tantôt l'autre. C'est la réalité mystique de la Voie du milieu, réalité unique de toutes choses. On appelle Myo la nature mystérieuse de la vie et Ho ses manifestations.

Renge, la fleur de lotus, symbolise la nature mystique de ce Dharma. Lorsque vous réalisez que votre propre vie est le Dharma Merveilleux, vous réalisez que celle des autres l'est également. Cet Éveil s'exprime par Kyo, le Sutra merveilleux

• Nam : Nam est un mot dérivé de la translittération du mot sanskrit namas qui signifie « se consacrer à », « respecter du fond du coeur », et exprime une forte foi.

• Myôhô : Littéralement, Myôhô signifie « loi merveilleuse » et exprime la relation entre la vie de l’univers et ses nombreuses manifestations. Myô désigne l’essence même de la vie, invisible et au-delà de l’entendement intellectuel. Cette essence s’exprime elle-même sous une forme tangible (hô) qui, elle, peut être appréhendée par les sens. Les phénomènes (hô) changent, mais un principe unique et immuable les habite tous (myô).

• Renge : Renge (prononcé « rèngué ») signifie « fleur de lotus ». Parce qu’il produit en même temps sa fleur et son fruit, le lotus symbolise la simultanéité de la cause et de l’effet.
La loi de cause et d’effet explique que chaque personne est directement responsable de sa propre destinée. Nous créons notre destinée et nous pouvons la changer. Réciter Nam-myoho-renge-kyo produit simultanément dans les profondeurs de notre vie l’effet de la bouddhéité, qui ne manquera pas de se manifester le temps venu.
De plus, bien qu’elle pousse et s’épanouit dans des étangs boueux, la fleur de lotus demeure immaculée. Elle symbolise ainsi l’apparition de l'état de bouddha originel dans la vie en proie aux troubles d’une personne ordinaire.

• Kyô : Littéralement, Kyô veut dire « sûtra », « voix » ou « enseignement d’un bouddha ». Il désigne également le son, le rythme ou la vibration. Le caractère chinois pour kyo désignait à l’origine le fil d’un ouvrage tissé, la continuité temporelle, et représente ainsi le caractère éternel de Nam-myoho-renge-kyo. Au sens large, kyô véhicule le concept selon lequel tout, dans l’univers, est une manifestation de la Loi merveilleuse.

Myo signifie également la nature mystique de notre vie , c'est la vie .
Ho représente la mort .
Renge loi de causalité .
Kyo La cohérence du début jusqu'à la fin .

D'un point de vue du corps humain :

Myo représente la tête
Ho Le cou, La gorge , la bouche , le larynx
Rengé Le thorax , ventre , le sexe .
Kyo : Les Bras ,les mains, les jambes et les pieds .

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 12 août18, 01:13
par Saint Glinglin
Ca, c'est le mantra de la secte Soka Gakaï.

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 12 août18, 01:26
par zeste de savoir
Exact, ils sont sensés pourvoir réussir et faire fortune avec, mais c'estsurtout l'organisation et les dirigeants qui en profitent.
Les autres banquent ou font font du rabattage.


http://www.prevensectes.com/chambre/sal ... ncais.html

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 12 août18, 03:07
par Yvon

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 12 août18, 03:20
par Yvon
Et Grosse Jalouse on parle du Mantra pas de la Soka Gakkai


NAMU MYOHO RENGE KYO
Nam(w)u en chinois



Le caractère qui est prononcé Namu par les bouddhistes de Nichiren, est composé de deux graphèmes: Nan au dessus et Wu en-dessous.

Nan wu n’a aucun sens en chinois. C’est un son qui fut inventé par les premiers bouddhistes chinois pour imiter le son sanskrit Namas.

Namas veut dire “dévotion”. Mais une vieille signification de Namas était “joug”. À première vue, le passage de “joug” à “dévotion” est impossible.
Mais voici le lien. Avant l’ère moderne de la mécanisation, les gens utilisaient des bêtes pour les aider dans leur travail. Des buffles ou des bœufs étaient alors liés sous un joug pour trainer de lourds chars. Lorsque l’un de ces chars pénétrait dans le village, un guetteur criait: «Namas!», signifiant par là “joug”, ou grand char en approche. En effet, on attendait au village ces grands chars qui servaient à ramener des vivres, des médicaments, des notables, etc. Les bouddhistes aussi utilisèrent ce terme pour signifier “prêter une oreille”,“guetter”,“faire attention” et “montrer du respect” quand un enseignement du Bouddha devait être écouté avec attention et récité avec conscience par la suite. Le passage donc de “faire attention” du monde paysan à “faire attention” aux textes sacrés des moines et puis “dévotion”, est ainsi expliqué.




Nan (le caractère supérieur qui compose Namu) est formé de trois graphèmes — Shih, Chiung et Jen.



La plupart du temps Shih (jap. Ju) est le chiffre dix. C’est une croix couchée. Comme composante de Nan, il représente les cinq points cardinaux: le Nord, le Sud, l’Ouest, l’Est et le centre; le centre étant le plus important parce que c’est à partir du centre qu’on détermine les autres points cardinaux.



Chiung est une boîte sans fond, un espace ouvert, la liberté, le pâturage, la retraite. Dans la construction de Nan, il représente la frontière.



Jen est lui aussi composé. Il ressemble au symbole de la devise japonaise, le yen. En fait, c’est une personne à l’envers (une offense) plus une deuxième ligne. La deuxième ligne indique une répétition des offenses, ou simplement une répétition. Un autre concept est aussi utilisé pour représenter l’infraction, celui de la liane de jungle. Et donc, comme partie de Nan, cet élément composé signifie la répétition de la végétation – la jungle.



Shih, Chiung, et Jen se combinent ensemble pour décrire la jungle qui se trouve à la frontière sud de la Chine. Cela pourrait aussi tout simplement dire “Sud”.
La deuxième moitié inférieure de Namu est le caractère chinois Wu (prononcé “où”).
Wu ressemble à un échiquier avec quatre points en-dessous. C’est la représentation d’un homme qui défriche une forêt (la petite barre en haut à gauche est le radical pour “couper”). Au sens figuré, cela veut indiquer la “disparition”, la “négation”, le “débarrasser”.

Dans l’ordre des images:
Une personne est entourée de toute part par des lianes de jungle (ses offenses). Elles la retiennent, la font trébucher, déchirent sa chair et bloquent la lumière, rendant ainsi la progression très difficile. L'homme est perdu, tourne en rond et s’enfonce encore plus dans la jungle. Ça c’est le Nan de Nanwu. Et Wu est le défrichement.
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Myo en chinois

“Ainsi, pendant que je réfléchissais, un bouddha doré apparut soudainement dans l’enfer des souffrances incessantes. […] Tandis que mes tourments diminuaient légérement, je joignis les mains en prière pour lui demander quel type de bouddha était-il. Le bouddha répondit: «Je suis le caractère myo».” (Wulong et Yilong, Gosho Zenshu p. 1580 - Ueno ama gozen gohenji)


Le mot que les bouddhistes de Nichiren prononcent Myo se compose de deux graphèmes chinois: à droite Shao, à gauche Nu :

Nu, pris tout seul, signifie “jeune fille”,“toi”,“tu”. Shao représente quelque chose de petit qui a été coupé en deux – quelque chose de “fin”, donc,“subtile”,“difficile à percevoir”. Kumarajiva utilisait ces deux symboles pour dans le sens de “merveilleux”,“excellent”,“subtil”,“fin” (comme dans une “fine remarque” N.d.T.) et “mystérieux”.
Il correspond au mot sanscrit Sad qui signifie “doté de perfection” ou “complet” (Saddharma-pundarīka).

Mais comment passé-t-on donc de “mystérieux” à “jeune fille”? La réponse se trouve dans le graphème nu. Le coup de pinceau à droite dessine le premier croissant de la lune. La nouvelle lune en effet, se montre d’abord comme un mince croissant qui grandit jusqu’à devenir parfaitement rond, exprimant ainsi au sens figuré la maturité d’une jeune fille qui devient une vraie femme (enceinte). La nouvelle lune est comme la jeune fille. La pleine lune est la femme mûre. Par extension, la lune est l’expression du cycle de vie et de mort, ce qui lui donne son caractère d’universalité. La nouvelle lune illumine très partiellement toute la lune, ce qui, au sens figuré, se traduit par “tout n’est pas révélé”, et donc “mystérieux”.

La lune éclaire l’obscurité tout comme l’espoir (myo) ranime le maussade. L’espoir ouvre les portes du Hoben Pon du Sutra du Lotus qui sont “difficiles à pénétrer”. Le chemin illuminé par myo est le bon médicament pour tous les êtres vivants.

"Tout comme la lune, dès qu'elle s'élève au-dessus des montagnes, à l'est, se reflète immédiatement dans l'eau" (Wulong et Yilong, Gosho Zenshu p. 1580 - Ueno ama gozen gohenji),

notre monde est illuminé par notre initiation à Myo, le Premier Bouddha du Sutra du Lotus.

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Ho en chinois

“Nous ne serons pas contents jusqu’à ce la justice s’écoule comme un fleuve et la droiture comme un puissant courant” (Dr. Martin Luther King Jr.)

Le caractère que les bouddhistes de Nichiren prononcent ho est fa en chinois (et dharma en sanskrit). Il signifie “règle”,“loi” et, par extension, “modèle” ou “motif, patron”. La forme moderne utilisée dans le kyobon se compose de deux graphèmes: Chu, à droite et Shui à gauche.


Chu ressemble à un pupitre à musique. La base triangulaire du pupitre est un récipient ou un pot. Ce qui ressemble à un poteau téléphonique au-dessus, est le couvercle du récipient. Cela signifie “enlever”,“mettre de côté”,“partir”. Si on enlève le couvercle et le contenu, le récipient est vide.


Shui est formé par deux points et une ligne oblique. La ligne représente le ruisseau et les deux points des vortex. Cela veut donc dire “eau”.

Jarre? Eau? Comment cela devient-il la “Loi”? La loi (fa) enlève (chu) les vices et rend la morale flexible comme l’eau (shui).
Toutefois, on peut remonter à plus loin pour la construction du caractère fa (jap. ho, français loi). Fa était compose de chi et de cheng.
Chi est un triangle. Il signifie “l’union” ou “jonction de différents éléments” mais aussi “adaptation au tout”. Pour mieux comprendre, imaginez les côtés du triangle convergeant vers un seul point.
Cheng représente les empreintes qui mènent directement à la crête de la colline pour accéder à une vue panoramique dans toutes les directions. Et puisque les empreintes ne zigzaguent pas, cheng signifie “droiture”.
Fa signifie donc “s’adapter (chi) à la droiture (cheng)” — d’où la “loi”.

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Ren en chinois

“La plante qu'est le lotus a ceci de semblable au principe de Myoho Renge qu'elle contient simultanément la cause [le bourgeon] et l'effet [la graine].” (L'ainsité du Dharma merveilleux, Gosho Zenshu p. 510 -Totaigi sho)
Ren se compose de trois graphèmes — Hua, Chuan et Cho.

Hua est un radical qui indique la végétation. Il est constitué d’une ligne horizontale et de deux petites lignes verticales qui l’entrecoupent. La ligne horizontale est la surface d’où sortent les pousses. Dans le cas du lotus, la surface est l’eau boueuse. Les deux lignes verticales sont la contraction d’un signe primitif qui montrait des mains en offrande. L’interprétation courante y voit la plante qui sort de terre.



Chuan, dans sa forme primitive, est un joug, signifiant la maîtrise. Puis il a pris le sens de chariot, celui qui porte des médicaments, des gens riches ou les notables. Chuan est ce qui véhicule un trésor.



Cho représente les empreintes de pieds, l’une derrière l’autre. Il ressemble à un grand “Z” avec deux points au-dessus.

Cho se combinant à Chuan, donne une file de chariots, en succession. Dans une acception bouddhique, on entend “causalité". L’ensemble de hua, cho et chuan résulte en une plante qui exprime la causalité, c’est-à-dire le Lotus.

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Ge en chinois
Le ge de renge est hua en chinois. Il se compose de deux graphèmes tous deux prononcés hua.



Hua1 est le même que le hua utilise dans le ren de renge. Il signifie la végétation.




Hua2 est lui-même composite. Le hua2 moderne ressemble à un filet carré sur une perche. Les formes anciennes de yu et hua3 ont créé hua2. Elles sont aujourd’hui méconnaissables.
Yu représente le soufflé qui se libère après avoir surmonté une obstruction. Sa signification est donc “expansion”,“liberté”. C’est ce qu’on dit communément “respirer à pleins poumons”.
Hua3 veut dire “changement”,“convertir par l’enseignement”, puis “evolution”.

La fleur (hua) est la forme libérée (yu) de l’évolution (hua3) végétale (hua1).
Ce développement de la fleur commence avec han, le bourgeon. Han est compose de graphèmes qui signifient “manifestation extérieure d’une force intérieure”.
Les fleurs représentent elles des quantités de bienfaits. D’ailleurs, dans le Sutra du Lotus il est écrit: «Les fleurs mandarava tombent comme pluie» (U mandara ke), couvrant le croyant de bienfaits.
Le Quatrième Bouddha [Shakyamuni] du Sutra du Lotus (hua) est la manifestation extérieure d’une force intérieure, parfaitement évoluée, complètement consciente, le Bouddha de délivrance.


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Kyo en chinois

Kyo est Ching (prononcé “ying” en chinois). Il veut dire “enseignement”. Il se compose de I (jap. ichi), ch'uan, t'ing et mi.
En commençant de la droite, puis vers le bas:


Ichi est une simple ligne horizontale, me premier caractère chinois. C’est “l’unité”,“la source de toute chose”,“le numéro un”. Il sert à montrer le lien entre les différents caractères.



Ch'uan représente trois vagues, un fleuve formé par de ruisselets.


Ichi et Ch'uan se combinent ensemble pour donner le son/image Ching2. Le fleuve (Ch'uan) coule sous terre (ichi). Le tout, voulant dire des cours d’eau souterrains, des veines, des vaisseaux sanguins.



Le t'ing dans ching se contracte pour ressembler au caractère kung. Kung est un “H” renversé. C’est le carré. Dans la culture chinoise, le carré est la forme de toute chose.
T'ing en soi est formé par trois lignes, dont deux horizontales reliées par une ligne verticale. T'ing est une personne se tenant debout et ferme sur le sol.



Ching2 s’unit à t'ing qui est sur le sol en train d’observer l’eau coulant sous terre (ching3).


À gauche on trouve mi. Mi est un fil très resistant, résultat de l’entrelacement de plusieurs fils fins. Par extension, il indique des “quantités d’enseignement”.

T'ing (une personne debout sur le sol) observe la source des choses (ichi) et verso où elles coulent (ch'uan). Plus la source est profonde (ichi), plus la rivière est longue (ch'uan). La source (ichi) de Myoho-renge-kyo est infinie et toujours présente.
T'ing observe la surface (ichi) et le mouvement (ch'uan) sous la surface. L’eau qui coule (ch'uan) n’est jamais la même mais est, en même temps, unique (ichi). C’est l’élément moteur [littéralement le sang de la vie, le coeur] (ching2) de tous les bouddhas.
Ching (le Cinquième Bouddha du Sutra du Lotus [Maitreya] est le Bouddha de l’éternité omniprésente. Tous les phénomènes sont des enseignements (Ching).

https://www.nichiren-etudes.net/dico/myo-chinois.htm

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 20 mars22, 04:15
par muugi
Bonjour, en faisant des recherches sur nam myoho rengé kyo j'ai trouvé ceci sur la signification de ce mantra : https://anandapostbouddha.wixsite.com/w ... A9r%C3%A9s
Bien à vous,
Muugi

Re: Nam Myoho Rengé Kyo

Posté : 08 nov.23, 06:58
par Arké
Bonjour à tous,

j'entends parler de la Soka Gakkai, de son culte, de son organisation et sans parler de "secte dangereuse", je trouve tout cela assez orienté vers "la bonne fortune".
Une sorte de religion très adaptée aux commerçants qui prennent peur pour leur chiffre d'affaire !
Du moins dans ma région c'est plutôt ce genre de personnes qui sont les adeptes de la SGI.

Chanter et réciter des paroles devant un meuble contenant une parole ou un texte que les adeptes ne peuvent même pas traduire, je trouve ça dangereux (d'un point de vue chrétien) car jamais je n'irai faire une prière dans une langue qui m'est inconnue, de peur d'invoquer des choses qui seraient contraires à mes attentes (démons).

De plus prier pour que l'argent afflue est contraire à l'enseignement du Christ.
Je n'ai rien contre cette culture mais elle ne m'attire pas du tout mais tant que ces gens ne font pas de mal et n'ont pas de mauvaises pensées pour le monde qui les entoure, je ne vois pas en quoi cette religion dérange !