Auteur : Crisdean Date : 28 avr.16, 03:30 Message : Après le Super Tuesday du 27 avril, le chemin semble être dégagé pour les deux frontrunners des deux grands partis : Donald Trump (avec un grand chelem mardi) côté républicain et Hillary Clinton, côté démocrate.
Alors tout est-il joué et l'élection générale de novembre verra t-elle se confronter Trump et Clinton ?
En fait non, pas encore, car ce qui est intéressant dans cette course à la présidentielle américaine, c'est que rien ne se passe comme à l'habitude. Le show que sont les élections américaines tient ses promesses. Suspense !!!!
Sur le papier, et selon le processus en place, côté républicain, Trump est le seul à pouvoir gagner les primaires aux nombres de délégués, c'est à dire la majorité avant la convention. Il est le seul a le pouvoir et tel que c'est parti, il devrait réussir.
Côté démocrate, Hillary Clinton n'est pas mathématiquement assurée. Cependant son rival, Bernie Sanders, social-démocrate se doit de gagner largement les primaires qui vont suivre et cela semble presque impossible.
Mais, l'Establishment républicain, pourrait tenter de voler l'élection à Trump, lors de la convention, dans le cas où il n'atteindrait pas le nombre magique de délégués. La convention pourrait devenir une magouille politique qui risque de coûter cher au parti, car à l'encontre de la volonté des électeurs.
Côté Démocrates, c'est différent. Déjà, c'est pas encore gagné pour Clinton car son avance en terme de délégués élus n'est pas si spectaculaire, quoique confortable, et la question des super-délégués (cadres du parti non élus mais votant) n'est pas si claire.
Outre ces aspects électoraux techniques, Clinton a le FBI sur le dos pour une affaire d'usage de boite mail privée pour traiter des mails confidentiels, avec en plus un soupçon de fraude pour couvrir les faits. Techniquement, cela peut se traduire par une accusation de crime.
Si vous cherchez les raisons qui poussent Sanders à se maintenir, ne cherchez pas trop loin. Rester en course lui permet, d'une, de continuer à faire passer son message, et, éventuellement, de profiter des déboires de Clinton. Une chose est sûre, le septuagénaire ne fait pas ça pour sa carrière.
L'Etablishement fortement secoué par les électeurs :
Une chose claire pour l'observateur, c'est que les électeurs, lors des primaires, ont bousculé l'Establishment, c'est à dire la vision bipolaire de la démocratie, rigide autour des insiders politiques à Washington.
Ils ont, pour diverses raisons de chaque côté, montré leur ras-le-bol du système pourri par l'argent et les intérêts financiers, dans lequel les intérêts privés financent les campagnes avec des montants indécents.
Côté républicain, Trump avec son langage fleuri dans ses attaques personnelles et ses positions tantôt racistes (les mexicains sont des violeurs, ou il faudrait exécuté les terroristes avec des balles remplies de sang de cochon..), tantôt socialement de gauche. Plus il allait loin dans la provoc, plus les électeurs républicains conservateurs ont voté pour lui. Et aucun autre candidat (il faut avouer que le niveau était plus que pitoyable avec Ted "iluvjeesus" Cruz , Bush et Rubio) n'avait les épaules, ni l'intelligence pour contrer Trump. Le parti GOP est à la dérive depuis qu'il a décidé de se tourner vers l'ultradroite Tea Party.
Côté démocrate, la réussite de Sanders aura été de faire sortir du placard l'idée de socialisme, mot tabou aux States où dès qu'il est prononcé, on a des réactions dignes de l'époque de la Guerre Froide. Les progressistes ont trouvé en Sanders un élu qui portait leur espérance, clair dans son discours, constant dans ses convictions politiques, et honnête.
Cette réussite est assez marquante, d'autant plus que les Médias et les politiques ont clairement montré leur biais en faveur de Clinton, vieille briscarde de la politique rodée au jeu parfois limite du pouvoir. Cet obscur sénateur d'un petit état, le Vermont, a réussi en 6 mois à cristalliser la jeunesse et les gauchistes (autant qu'on puisse être de gauche au US) malgré les vents contraires et un système au service de sa rivale. A tel point, que sa victoire était crédible.
Sanders a secoué le cocotier, fait en sorte que les jeunes s'intéressent à la politique et votent. Cette jeunesse semble vouloir entretenir le feu que le sénateur du Vermont a ré-allumé, après l'espoir, en partie déçu, qu'avait suscité Obama. Je tâcherai de faire un petit laïus sur le bilan des deux mandats d'Obama.
Par contre, si vous êtes, comme moi, partisan de Sanders, ne rêvez pas trop, la possibilité est très mince de voir à la Maison Blanche un président capable de démolir le système délétère quasi-oligarchique qu'à ce pays politiquement et de mettre en place une démocratie à l'européenne (Sanders cite comme exemple le Canada et les pays scandinaves).
N'hésitez pas à donner vos impressions.
Auteur : Soultan Date : 28 avr.16, 05:40 Message : La fin des USA s'approche à grands pas
Le Dragon sur terre c'est eux, et selon les propheties, ils seront détruits
Les trois autres animaux seront affaiblis mais leurs sera donné un temps
Auteur : medico Date : 28 avr.16, 06:02 Message : pourquoi avoir posté plusieurs fois ce même sujet ?
Auteur : Bertrand Date : 28 avr.16, 10:56 Message : Surveillez surtout c#e qui se passera au Québec !!!
Je crois il viendra par moi ???
soultan==La fin des USA s'approche à grands pas
Le Dragon sur terre c'est eux, et selon les propheties, ils seront détruits
Les trois autres animaux seront affaiblis mais leurs sera donné un temps
La bête doit dabord dévorer la prostitué... Le système commerciale médical de Nimrod a Babylone..
regarde bien le Québec..
Auteur : Soultan Date : 28 avr.16, 11:14 Message : la bete masculine barbu terroriste pré moderne VS la bete féministe sexiste post moderne
behomoth et leviathan
Dans le jafr de l’Imam Ali (as):
« (…) Allah guerri le coeur des gens de l’Islam. Ils prendront des secrets du Coran et la lumiere des lettres, avec ils construiront des villes, des sciences que vous ne connaissez pas, le peuple de l’Europe croira que la science est (chez eux), ensuite ils regretteront la science qui leur a échappé. Par la suite, ils se prosterneront pour Allah avec repentance, car ils auront fait la guerre contre le Mahdi aj, pour cette science. Ils interdiront à leurs enfants (du temps de la guerre contre l’imam), la lumière de la vérité pour un temps.
Le Mahdi (as) enverra ses gouverneurs à chaque pays, avec le Coran, pour éduquer les gens, et la justice entre les peuples, soit croyant, soit ceux qui ne croient pas, tant qu’ils tiendront la bay’a (l’allégeance) à l’Imam. A tel point que les moutons et les loups seront ensemble dans un même lieu.
Par le Seigneur de Muhammad sawas, les enfants joueront avec les serpents et les scorpions, sans aucun mal contre eux. Le mal disparaîtra, restera le bien. Les hommes planteront un peu de graine, Allah leur rendra 7 à 700 fois plus. »
Auteur : Bertrand Date : 28 avr.16, 11:18 Message : behomoth et leviathan
ca cest après... Hénoch donne es détails
Auteur : Soultan Date : 28 avr.16, 11:23 Message :
Bertrand a écrit :behomoth et leviathan
ca cest après... Hénoch donne es détails
Le Prophète ( ) dit : «Les gens connaîtront une époque où leur dieu sera leurs ventres, leur qiblah (direction de la prière) leurs femmes, leur religion, leurs argents, leur honneur leurs marchandises. Il ne restera de la Foi que son nom, de l’Islam que son dessin (sa forme), du Coran que sa leçon. Leurs mosquées seront bien construites, mais leurs cœurs en ruine sur le plan de la guidance, et leurs uléma seront les plus méchants des créatures d’Allah sur terre.»
Dans son livre « Al-Ghaybah », Cheikh al-Tûcî rapporte le témoignage suivant de Mohammad Ibn Muslim et Abî Baçîr qui affirment avoir entendu l’Imam al-Sâdiq (p), dire:
« Cette affaire (la venue de l’Imam al-Mahdî) ne se réalisera pas avant que ne disparaissent les deux tiers de l’Humanité ».
Sur ce, ils (les deux témoins) lui ont demandé:
- Mais si les deux tiers de l’humanité disparais-saient, qui restera-il?
L’Imam al-Sâdiq a répondu:
« N’accepteriez-vous pas de faire partie du tiers restant? ».
Selon Abû Na’îm dans « Al-Burhân fî ‘Alâmât C,âhib al-Zamân », l’Imam ‘Alî (p) a dit:
« Le Mahdî ne sortira que lorsqu’un tiers des gens auront été tués et un autre tiers morts et que le troisième tiers aura survécu ».
Selon un hadîth rapporté par al-C,adûq et attribué à l’Imam al-Kâdhim (p):
« Deux signes annonceront la venue d’al-Mahdî, qui démentiront les calculs des astrologues: une éclipse lunaire qui se produira le 5 du mois (lunaire) et une éclipse solaire, le 15, ce qui ne s’était produit depuis la descente d’Adam (p) sur la terre ».
Selon l’Imam Mohammad al-Bâqer (p): « Al-Mahdî ne paraîtra que lorsque les tyrans auront été élévés. »
dans votre science, 2/3 périront avant cette affaire?
pour moi oui et beaucoup sont deja morts par les maladies comme tensions, diabete, accident de voitures, intoxications à plein de trucs... reste une guerre, à mon avis elle sera de l'autre coté du monde, voir du coté de la CORée!!
laba, les 4 titans s'affronteront trés bientot (je peux me tromper)
Auteur : Crisdean Date : 28 avr.16, 21:52 Message :
medico a écrit :pourquoi avoir posté plusieurs fois ce même sujet ?
J'ai demandé à supprimer le doublon.
Auteur : Soultan Date : 28 avr.16, 22:00 Message : Sous quel gouverneur le Dragon Américain périra? c'est ça la question!
Auteur : Bertrand Date : 29 avr.16, 01:40 Message : Pour le moment je m'attend de voir bouger; La Russie,,,L'Arabie... La Turquie... La France et le Québec...
Auteur : Crisdean Date : 02 mai16, 01:33 Message :
Soultan a écrit :La fin des USA s'approche à grands pas
Le Dragon sur terre c'est eux, et selon les propheties, ils seront détruits
Les trois autres animaux seront affaiblis mais leurs sera donné un temps
Le fondateur de WikiLeaks a accordé un entretien exclusif au journaliste australien John Pilger, revenant sur les fuites d’emails d’Hillary Clinton qui s’invitent dans la campagne de la présidentielle américaine.
Au cours de l'interview, le fondateur de Wikileaks Julian Assange a abordé les relations qu’entretient Hillary Clinton avec des pays comme l’Arabie saoudite ainsi que les chances de victoire de Donald Trump, selon lui très minimes.
«Les Saoudiens, les Qataris, les Marocains, les Bahreïniens, surtout les deux premiers, donnaient tout cet argent à la fondation Clinton, alors qu’Hillary Clinton était secrétaire d’État et le département d’État approuvait des ventes d’armes massives, en particulier à l’Arabie saoudite», a ainsi rappelé Julian Assange, ajoutant que durant le mandat de Hillary Clinton en tant que secrétaire d’État, le plus grand contrat de vente d'armement jamais signé dans le monde, d'une valeur de 80 milliards de dollars, a été conclu avec l'Arabie saoudite. Par ailleurs, durant son mandat, le montant des exportations totales d'armes des États-Unis a doublé, rappelle-t-il.
Aussi, les e-mails d'Hillary Clinton révèlent des liens apparents entre les dons de certains gouvernements à la fondation Clinton et la politique des Etats-Unis à l'époque où cette dernière était secrétaire d’État.
Sur le financement de Daesh et de la fondation Clinton
Dans son interview à John Pilger, Julian Assange accuse également Hillary Clinton de cacher aux Américains que les alliés de Washington au Moyen-Orient soutiennent ou ont soutenu Daesh.
Dans un mail de la candidate démocrate rendu public par Wikileaks, l’actuelle candidate démocrate qui était alors secrétaire d’Etat, exhorte John Podesta, alors conseiller de Barack Obama, à «faire pression» sur le Qatar et l'Arabie saoudite […] qui fournissent un soutien financier et logistique clandestin à l'Etat islamique ainsi qu’à d’autres groupes sunnites radicaux», rappelle Julian Assange.
«Selon moi, c’est le courriel le plus important de toute la série», a déclaré le fondateur de Wikileaks qui a publié trois tranches de courriers électroniques liés à Hillary Clinton au cours de l'année écoulée.
«Tous les analystes dignes de ce nom et même le gouvernement américain lui-même, savent que certains responsables saoudiens ont soutenu et financé l’Etat islamique. Même si le royaume continue officiellement de le nier, assurant qu’il s’agirait de quelques princes "voyous" qui font ce qu’ils veulent avec l’argent du pétrole, le courriel d’Hillary Clinton indique clairement que c'est le gouvernement de l'Arabie saoudite et celui du Qatar qui ont financé Daesh», ajoute Julian Assange. Une victoire de Trump est quasi impossible
Par ailleurs, selon le fondateur de Wikileaks, Donald Trump n’a que peu de chances de s’imposer à la présidentielle américaine car il ne reçoit le soutien d’aucune partie de l’establishment, au contraire d’Hillary : «Personne de l’establishment ne le soutient, peut-être à l’exception des évangélistes, si on peut les considérer comme faisant partie de l’establishment. Mais les banques, les renseignements, les fabricants d’armes, les puissances financières étrangères, ils sont tous réunis derrière Hillary Clinton».
WikiLeaks, essaie-t-il de pousser Donald Trump dans la Maison Blanche ?
Retrouvez l’intégralité de l’interview de Julian Assange le 6 novembre en exclusivité sur RT.
En savoir plus : Hillary Clinton «dévorée vivante par ses ambitions», Julian Assange s’exprime en exclusivité sur RT
Auteur : indian Date : 04 nov.16, 03:58 Message : ...pendant ce temps, les freres Koch financent à coup de centaines de millions :Trump par la bande, le Sénat et la Chambre des représentant républicains, et les organismes qui soutiennent la cause des pétrolieres et autre riches......
Sur le net
Le candidat républicain répondait à des avertissements de Riyad qui s'inquiète d'une possible adoption par le Congrès américain d'un projet de loi relatif aux attentats du 11 Septembre.
Alors que le président des États-Unis, Barack Obama, est arrivé mercredi pour une dernière visite en Arabie saoudite sur fond de tension entre les deux pays, le candidat à l'investiture républicaine Donald Trump a répondu violemment à des avertissements de Riyad qui s’inquiète d'une possible adoption par le Congrès américain d'un projet de loi relatif aux attentats du 11 Septembre.
Le texte en question, soutenu aussi bien par les démocrates que les républicains, n'a pas encore été soumis à un vote au Congrès. Il permettrait aux familles des victimes du 11 septembre 2001 de poursuivre, entre autres, le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Aucune implication de l'Arabie saoudite n'a jamais été démontrée mais 15 des 19 pirates de l'air étaient saoudiens.
Selon le New York Times, le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, avait averti des élus américains, lors d'une visite à Washington le mois dernier, de possibles conséquences coûteuses si ce projet de loi était adopté. Le quotidien affirme que le ministre avait menacé de vendre quelque 750 milliards de dollars en bons du Trésor américain et autres biens détenus aux Etats-Unis.
"Nous les achèterons tous""Sur un ton défiant, Donald Trump a commenté l'affaire durant une émission radio matinale, The Joe Piscopo Show", rapportait le 18 avril le blog Mediaite, dirigé par le journaliste de la chaîne ABC Dan Abrams.
"Les Saoudiens nous menacent (...)", a lancé l'animateur radio à M. Trump, avant que celui-ci ne l'interrompe : "Ce n'est pas grave, nous les achèterons tous".
Et de poursuivre: "Regardez, nous protégeons l'Arabie saoudite. Nous les protégeons en échange de presque rien. Et sans notre protection, ils ne survivraient pas plus d'une semaine. Nous les protégeons comme nous protégeons d'autres".
Le milliardaire a estimé que les Etats-Unis n'étaient pas "correctement remboursés". "Et l'on se demande pourquoi notre dette (publique) s'élève à 19 trillions de dollars... En tout, cas nous sommes les policiers du monde...nous ne recevons pas ce qui nous est dû", a conclu le magnat de l'immobilier.
Lire aussi
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Heurs et malheurs de la politique étrangère de Barack Obama
Auteur : yacoub Date : 09 nov.16, 00:42 Message : L'Arabie Saoudite tremble !
Si GW Bush a envahi l'Irak, Trump peut envahir l'Arabie qu'il a dans le nez.
Auteur : indian Date : 09 nov.16, 00:44 Message : Pouvons nous parlez d'une victoire de la démocratie?
BREIZATAO – ETREBROADEL (06/09/2016) Absolument pas rapporté dans les médias hexagonaux, le discours de politique étrangère de Donald Trump, prononcé le 15 août 2016 à l’université d’état de Youngstown (Ohio), marque un tournant historique et se voulant comme tel.
Déclaration de guerre formelle et globale contre l’islamisme
Dans celui-ci, le candidat républicain rompt avec plus d’une dizaine d’années de coopération active avec l’islamisme – Frères Musulmans en tête – de la part des administrations Bush et Obama, notamment au Moyen-Orient. Politique qui a également été suivie par l’ambassade américaine en France (lire ici) où la CIA a activement fait pression en faveur de l’islam, d’organisations islamistes et de l’immigration de masse afro-musulmane.
Donald Trump consacre l’essentiel de ce discours à la lutte contre l’islam radical, enterrant au passage toute la politique moyen-orientale US entamée à partir de 2001.
Le candidat républicain place son discours dans une perspective historique : la victoire contre le communisme remportée sous Ronald Reagan. Pour le candidat à la présidence américaine, la question ne fait pas le moindre doute : les USA sont en guerre contre l’islam radical et cette guerre est globale, équivalente à celle menée contre le communisme pendant près de 50 ans.
Elle implique, pour lui et sa future administration en cas de victoire à l’élection présidentielle US de novembre, un alignement de l’Otan et des Alliés – dont la France – dans cette guerre contre l’Occident déclarée par le monde musulman radicalisé. Et ceci tant en Europe que partout dans le monde.
Extraits du discours traduit par BREIZ ATAO (source) :
Au XXème siècle, les États-Unis ont vaincu le fascisme, le nazisme et le communisme. Maintenant, une menace différente pose un défi à notre monde : le terrorisme islamique radical.
Donald Trump dénonce formellement le Discours du Caire de Barack Obama, prononcé en 2009, point majeur de la collaboration active entre le Parti Démocrate américain au pouvoir à Washington et les Frères Musulmans. Largement influencé par une vision tiers-mondiste, il faisait l’apologie de l’islam et dénigrait l’Amérique et l’Occident.
Peut-être qu’aucun discours n’a été aussi erroné que le discours du président Obama au monde musulman donné au Caire, en Égypte, en 2009.
En gagnant la Guerre Froide, le président Ronald Reagan a constamment rappelé la supériorité de la liberté sur le communisme et appelé l’URSS « l’Empire du Mal ».
Pourtant, quand le président Obama a donné son discours au Caire, aucun courage de cet ordre ne peut être trouvé […] Ses mots naïfs furent suivis d’actions encore plus naïves.
L’heure est venue pour une nouvelle approche.
Notre stratégie actuelle d’exportation de la démocratie et de changement de régime est un échec avéré. Nous avons créé les vides qui ont permis aux terroristes de croître et de prospérer.
Après avoir dénoncé l’intervention en Libye décidée par Clinton au profit des Frères Musulmans, Donald Trump poursuit en indiquant que les alliés des USA – dont la France – auront l’obligation de s’aligner et de combattre l’ennemi nouvellement désigné :
J’étais un opposant à la guerre d’Irak depuis le début, une différence majeure entre moi et mon adversaire.
Mais il est temps de mettre les erreurs du passé derrière nous et de dessiner une nouvelle voie.
Si je deviens président, l’ère de la construction [armée, NDLR] de la démocratie sera terminée. Notre nouvelle approche – qui doit être partagée par les deux partis en Amérique, par nos alliés outre-mer, et par nos amis au Moyen-Orient – devra être de stopper l’expansion de l’islam radical.
Toutes les actions devraient être orientées vers ce but et n’importe quel pays qui partage ce but sera notre allié. Nous ne pouvons pas toujours choisir nos amis mais nous ne pouvons jamais échouer à reconnaître nos ennemis.
En tant que président, j’appellerai pour une conférence internationale centrée sur ce but. Nous travaillerons avec tous ceux qui reconnaissent que cette idéologie de mort doit être éteinte.
Nous travaillerons aussi étroitement avec l’Otan sur cette nouvelle mission.
Donald Trump évoque une nouvelle ère dans les relations américano-russes :
Je crois également que nous pourrions trouver un terrain d’entente avec la Russie dans le combat contre l’État Islamique. Ils ont également beaucoup en jeu dans le résultat de la guerre en Syrie et ont eu leurs propres batailles contre le terrorisme islamique.
Le candidat a également présenté l’enjeu central de la lutte idéologique contre l’islam radical :
Le lutte militaire, cyber et financière sera essentielle dans le démantèlement du terrorisme islamique. Mais nous devons également utilisé la guerre idéologique.
Exactement comme nous avons gagné la Guerre Froide, en partie, en exposant les maux du communisme et les vertus du marché libre, nous devons également confronter l’idéologie de l’Islam Radical.
Pour vaincre le terrorisme islamique, nous devons également parler puissamment contre l’idéologie haineuse qui fournit le terreau fertile pour que la violence et le terrorisme croissent.
Donald Trump a logiquement établi un lien de causalité entre le terrorisme islamique et l’immigration musulmane, annonçant des mesures de guerre pour encadrer cette menace.
Des sondages montrent que dans beaucoup de pays dans lesquels se trouvent de nombreux immigrés, les opinions extrémistes religieuses – telle que la peine de mort pour ceux qui abandonnent la foi – sont courantes.
Durant la Guerre Froide, nous avions une évaluation idéologique. Le temps est venu de développer des tests d’évaluation pour les menaces que nous affrontons aujourd’hui.
En plus d’analyser tous les membres ou les sympathisants de groupes terroristes, nous devons également analyser tous ceux qui ont des attitudes hostiles à l’encontre de nos pays ou de ses principes, ou qui pensent que la charia [la loi islamique, NDLR] devrait supplanter la loi américaine.
Pour mettre en place ces nouvelles procédures, nous devrons temporairement suspendre l’immigration de certains des régions les plus dangereuses et instables du monde qui ont un historique d’exportation du terrorisme.
Entreprenant de réduire à néant la politique pro-islamique de l’administration Obama, Donald Trump annonce une politique de destruction systématique de tous les réseaux musulmans actifs aux USA :
Pour atteindre un but, vous devez vous fixer une mission : les réseaux de soutien aux à l’islam radical dans ce pays seront dénombrés et extirpés, un par un.
Analyse : Il ne fait pas de doute que ce discours constituerait une rupture historique dans les rapports entre l’Occident et le monde musulman, ravagé par la prolifération de l’islamisme. C’est un discours de guerre qui désigne formellement l’ennemi et détaille toutes les sphères où la lutte serait engagée une fois Donald Trump élu président des USA.
Outre cette rupture historique et ce passage du pacifisme – voire de la bienveillance à l’égard du monde musulman et de ses ferments islamistes – à la contre-attaque, la première puissance du globe imposerait à ses alliés européens d’entrer en guerre contre l’ennemi précité.
Cette rupture imposée par les USA et l’Otan en cas de victoire de Trump heurterait de plein fouet la politique pro-musulmane de la France, tant en termes géopolitiques que de politique intérieure, notamment migratoire. De fortes tensions entre forces pro-musulmanes et anti-musulmanes, au sein de la société comme dans l’appareil d’état, ne manqueraient pas d’éclater.
BREIZ ATAO soutiendra, en Bretagne, les objectifs fondamentaux énoncés par Donald Trump dans le domaine de l’information. Les intérêts bretons et américains convergeant dans cette lutte existentielle contre l’islam
Auteur : jipe Date : 09 nov.16, 01:46 Message : ben alors mon Bébert va falloir sortir les gousses d'ails
« Je suis allé à Moscou il y a deux ans, et voilà ce que j’ai à dire : on peut s’arranger avec ces gens, et très bien. On peut faire affaire avec eux » ;
« Poutine ne respecte pas notre président [Barack Obama]. Mais il [Poutine] bénéficie d’une immense popularité en Russie, il est aimé là-bas pour ce qu’il fait, il est aimé pour ce qu’il représente » ;
« Je n’ai aucune relation avec lui [avec Poutine], outre le fait qu’il m’a qualifié de génie. Il a dit que Donald Trump était un génie et qu’il dirigerait son parti et qu’il dirigerait le monde. À part ça, c’est vrai que ce serait bien d’avoir de bonnes relations avec les autres pays. Je pense que j’aurai de bonnes relations avec Poutine » ;
« Je veux bien être ferme avec Vladimir Poutine, mais je ne peux même pas imaginer ce que je pourrais bien vouloir obtenir de plus qu’une Russie amicale ».
(Toutes les citations sont extraites de la BBC.)
Sur la Russie :
« Si nous pouvions faire une chose aussi remarquable pour notre pays qu’arranger nos relations avec la Russie, ce serait fantastique, je voudrais vraiment essayer » (citation BBC.)
Sur les agissements de la Fédération de Russie en Syrie :
« Je considère que l’État islamique est un problème très important, et je suis très heureux que la Russie bombarde l’EI. À mon avis, ils doivent continuer. » (CBS)
Sur l’opposition syrienne :
« J’ai parlé avec les généraux, et ils m’ont dit que nous fournissions de l’équipement qui coûte des milliards de dollars à des gens dont nous ne savons strictement rien. Ils sont peut-être encore pires qu’Assad. » (CBS)
Sur la question de la Crimée :
« De ce que j’en sais, le peuple de Crimée voulait être avec la Russie, et pas là où il était. Et cela aussi, il faut le prendre en compte. » (RIA Novosti).
Sur une levée des sanctions contre la Russie :
« Nous l’envisageons. Oui, nous l’envisageons. »
Auteur : bercam Date : 10 nov.16, 09:50 Message :
point de non retour à Dieu ! oui il y a un point de non retour !
citation du premier message sous la vidéo :
Scott Simpsonil y a 3 mois
That Eagle on Trump's throat is proof of his presidency.
Auteur : yacoub Date : 11 nov.16, 06:16 Message :Donald Trump président : un tremblement de terre géopolitique http://referentiel.nouvelobs.com/file/1 ... itique.jpg[/img]
Avec l'élection de Donald Trump (ici le 3 octobre dans le Colorado), le monde entre dans l’une des périodes les plus dangereuses depuis les années 1960. (Theo Stroomer / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)
L'élection du candidat républicain résonne comme un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’impensable – le cauchemar – devient donc réalité : le 20 janvier prochain, la première puissance militaire et économique de la planète sera dirigée par un président raciste, erratique et isolationniste. Un tremblement de terre géopolitique aux conséquences potentiellement dramatiques.
L’Europe se réveille en se demandant, effarée, si le Grand Frère qui l’a protégée depuis 1945 continuera à assurer sa défense. La panique va probablement s’emparer des pays frontaliers de la Russie, en particulier, les Baltes, l’Ukraine et la Pologne. Non seulement Donald Trump a menacé de réduire l’engagement américain vis-à-vis de l’Otan mais il n’a jamais clairement dit qu’il s’opposerait vigoureusement à une nouvelle aventure militaire de Vladimir Poutine sur ses flancs occidentaux. Cette victoire affaiblit dramatiquement les tenants de la démocratie libérale en Europe et dans le monde. Elle va donner des ailes aux "hommes forts" du Vieux Continent, à tous les Mussolini en herbe, les leaders polonais, hongrois, slovaque, et à tous les chefs populistes, Marine Le Pen en premier lieu qui le soutient ouvertement.
En Asie, la course à l’armement nucléaire, si redoutée par tous les spécialistes, risque d’être brutalement accélérée. Le président élu a non seulement fait part de son admiration pour le leader nord coréen, Kim Jong Un (celui-ci a d’ailleurs appelé à voter pour lui), qui disposera bientôt de la bombe H, mais il a mis en doute l’engagement américain à défendre le Japon et la Corée du Sud, incitant ces deux pays à se doter de leur propre force de frappe atomique. Une spirale terrifiante.
"Un monde s'effondre"
Ce n’est pas tout. Les tensions sino-américaines vont sans doute s’accroître dangereusement. A l’évidence, la Chine, contre laquelle Donald Trump a tenu des propos d’une extrême virulence, va vouloir tester le leadership du nouveau locataire de la Maison-Blanche dans la région, et particulièrement en Mer de Chine. Jusqu’où le président américain sera-t-il prêt à aller ? De cette réponse, dépend peut-être l’avenir de la planète.
Auteur : indian Date : 11 nov.16, 07:30 Message :
yacoub a écrit :[Ce n’est pas tout. Les tensions sino-américaines vont sans doute s’accroître dangereusement. A l’évidence, la Chine, contre laquelle Donald Trump a tenu des propos d’une extrême virulence, va vouloir tester le leadership du nouveau locataire de la Maison-Blanche dans la région, et particulièrement en Mer de Chine. Jusqu’où le président américain sera-t-il prêt à aller ? De cette réponse, dépend peut-être l’avenir de la planète.
Peut être qu'il continuera à faire coudre les vêtements de sa ligne de vêtement en Chine
ou... ira t'il les faire coudre au Vietnam?
Bientôt, le premier clash entre le roi Salmane Ibn Abdelaziz et Donald Trump.
L’accession de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis n’est pas une bonne nouvelle pour l’Arabie saoudite. Elle annonce, entre autres, la fin de l’islam politique.
Par Mohamed Rebai *
L’élection de Donald Trump à la magistrature suprême aux Etats-Unis annonce-t-elle la fin de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale et le commencement d’une nouvelle ère basée sur le pragmatisme et l’action? Dans la foulée du changement continu du comportement humain, le wahhabisme obscurantiste saoudien va-t-il, par conséquent, se disloquer de lui même?
Le wahhabisme au service de l’islam politique
Le wahhabisme du nom de Mohamed Ibn Abdelwahab (1703-1792), largement inspiré d’Ibn Taymiyya, est un dogme religieux inventé par les Al-Saoud pour maintenir à la pointe de l’épée un royaume théocratique héréditaire qui compte aujourd’hui près de 30.000 princes. C’est aussi une manière machiavélique pour rester longtemps au pouvoir. L’épée arborée sur le drapeau saoudien, qui fait peur et horreur depuis bien des années, en est le parfait signe. Elle sert à couper les têtes récalcitrantes. En seulement six mois de l’année 2016, plus d’une centaine de personnes condamnées à mort ont été décapitées au sabre dans les places publiques.
Une alliance a été scellée entre deux familles pour le partage du pouvoir et des richesses qui se poursuit jusqu’à nos jours. Celle de Mohamed Ibn Abdelwahab serait chargée des questions religieuses et celle d’Abdelaziz Ibn Saoud chargée des questions politiques et militaires. Ce sont, en effet, les descendants du premier, «oulémas», qui dominent les institutions de l’Etat fournissant l’impulsion idéologique à l’expansion «djihadiste» saoudienne qui arrive dare-dare jusqu’en Europe et aux Etats-Unis.
Les Saoudiens vassaux encombrants des Américains
Faut-il se rappeler que les Saoudiens ont été les complices des Américains pour porter l’estocade à l’Union soviétique en inondant les marchés de pétrole à un prix dérisoire (7 dollars US le baril au lieu de 35 en 1985). Ils sont les seuls à pouvoir le faire en produisant à faible coût. Ils recourent de nos jours au même procédé pour causer des ennuis financiers à la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak et l’Algérie. Le Venezuela en Amérique latine est déjà asphyxié.
Le niveau de production du pétrole saoudien est laissé au bon vouloir des Américains. Ces derniers qui les protègent militairement ne s’intéressent qu’à leur pétrole. Dans le temps, ils se foutaient de leur wahhabisme qui a terrorisé et terrorise toujours les musulmans. Les recettes qui en découlent sont ventilées par les Américains en trois morceaux. Un tiers va pour la famille royale, un tiers pour acheter du matériel militaire obsolète et le dernier tiers devrait rester dans les banques américaines. C’est à prendre ou à laisser.
Actuellement avec la chute vertigineuse du cours du baril de pétrole (45,71 dollars US), le royaume, qui connait un déficit budgétaire abyssal (87 milliards de dollars), est allé jusqu’à sabrer le salaire de ses ministres. Il ne lui reste que la manne du pèlerinage estimée à 60 milliards de dollars, qui va grimper aux horizons de 2020 à 90 milliards de dollars. Le pèlerinage qui augmente par paliers entiers serait plus rentable que le pétrole.
Les Américains changent de méthode
Maintenant les parrains américains commencent à réfléchir face à la montée de l’extrémisme religieux saoudien qui n’épargne personne. Donald Trump, fraîchement élu à la maison blanche, a décrit le Royaume de l’Arabie saoudite comme une vache grasse laiteuse et a ajouté qu’il n’y a pas d’intérêt pour les Etats-Unis à soutenir le régime despotique et tôt ou tard un soulèvement populaire va éclater avec des ambitions démocratiques que les Américains devront soutenir.
Faut-il se rappeler, sans faire d’amalgame avec les bons Saoudiens, que 15 des 19 terroristes qui ont frappé les Twin Towers à New York, le 11 septembre 2011, sont des extrémistes saoudiens ? Et les exemples à travers le monde sont encore nombreux. Ce sont les Saoudiens qui ont encouragé les islamistes d’Algérie, dans les années 90, à mener une guérilla civile contre le gouvernement. Ils ont également soutenu et financé, des groupes d’insurgés islamistes, pour phagocyter et saboter les soulèvements populaires du «Printemps arabe» en Tunisie, en Libye, en Egypte, en Syrie, au Liban, en Irak, au Soudan et au Yémen, au point que les autorités américaines de l’administration sortante avaient annoncé que le soutien sécuritaire accordé à l’Arabie Saoudite n’est pas un chèque en blanc!
Au congrès américain des voix s’élèvent pour demander aux autorités de s’occuper des affaires intérieures du pays et de renoncer graduellement au rôle néfaste et coûteux de gendarme du monde.
La fin du wahhabisme dévastateur
L’administration démocrate américaine a d’ores et déjà autorisé les familles des 3000 victimes du 11-Septembre à poursuivre l’Arabie Saoudite dans le cadre d’une législation baptisée «Justice Against Sponsors of Terrorism Act» (Jasta). Il faut s’attendre à des dédommagements faramineux qui vont ruiner les caisses du royaume saoudien.
Donald Trump va plus loin en demandant aux Saoudiens de payer les frais de protection sécuritaire américaine en déclarant notamment lors de sa récente campagne électorale: «L’Arabie saoudite existe grâce aux États Unis, elle doit nous payer». Comme si elle ne payait pas déjà assez !
Tous les pronostics indiquent que le wahhabisme saoudien auquel il a été consacré la bagatelle de 75 milliards de dollars (5 fois le budget de la Tunisie) uniquement ,pour répandre l’idéologie islamiste salafiste en l’Europe avec la bénédiction des hommes politiques, perdra de son influence à très court terme. Le «Printemps arabe» va maintenant toucher les monarchies du Golfe qui vont tomber les unes après les autres comme des fruits pourris. La vapeur est déjà renversée en Syrie et en Irak. Qu’en sera-t-il pour la petite Tunisie?
La principale leçon à tirer est la fin annoncée de l’idéologie mondialiste ultralibérale et antisociale. Dans un passé pas très lointain, le communisme, le nazisme et le fascisme ont connu le même sort. Il faut s’attendre à ce que les idéologies islamistes vont perdre du terrain et disparaître à jamais. Toutes les idéologies vont aller dorénavant dans le sens du bien-vivre ensemble. L’heure est au pragmatisme et à l’action. Les gens veulent une économie prospère assurant le plein emploi. C’est tout. Les Américains qui croient en dieu, au dollar et à la violence ont voté pour un homme pieux, riche et violent. Wait and See !
Auteur : Karlo Date : 11 nov.16, 09:06 Message : Dire qu'il y en a qui sont naïfs au point de croire que le milliardaire Trump va s'en prendre à l'Arabie, qui fait partie des 3 plus importants détenteurs de réserve de change en dollars...
Comme si Trump allait lui-même se tirer une balle dans le pied
C'est ca d'être aveuglé par la haine... On prend le premier milliardaire assez haineux pour idole et on oubli son esprit critique en route...
Auteur : Erdnaxel Date : 12 nov.16, 01:48 Message : Le problème vient surtout du fait que le Pakistan a une bombe nucléaire et qu'il est un allié de l'Arabie Saoudite.