Je crois que le problème arrive quand on emprunte une voie spirituel qui n'a plus pour but premier de chercher le bien et ses effets positifs sur soi et le prochain; (le bien physique, mental, spirituel)
alors la conception du bien et du mal sur un tel chemin prend un coup, et peut même devenir illogique et aberrante : on verra par exemple un extrémiste religieux considérer comme bien le fait de tuer son frère qui a quitté sa religion, et comme un mal terrible des choses insignifiantes comme chanter ou danser.
On remarque ici que la plus part des gens trouveront que c'est une folie, ainsi les gens ne se posant pas de question sur la religion et n'ayant emprunté aucune voie spirituelle particulière ont une conception du bien et du mal et des oeuvres naturellement bien meilleur que celle d'un homme ayant suivis une voie spirituel mortifère.
Mortifère par ce que les notions de "Dieu, prophète" etc.. peuvent devenir des truc bien vides, ils défendent ça comme une mafia défendrait son territoire.
Auteur : Erdnaxel Date : 08 juil.16, 14:08 Message : Petite précision, Daesh ( داعش, "Dāʿiš") ce n'est pas un homme mais l'acronyme arabe (qui en anglais est devenu "Daesh") de l'organisation terroriste islamique la plus importante à savoir: l'état islamique ( الدولة الإسلامية , "ad-dawla al-islāmiyya ").
Abou Mohammed al-Adnani : porte-parole et émir de l'Etat islamique pour la Syrie, à lui même annoncé le nom du nouveau Khalifat. Abou Mohammed al-Adnani : "L'état islamique a décidé d'annoncer la création d'un Khalifat islamique et de nommer comme Khalife, le cher, le Djihadiste, l'imam et le descendant de la maison du prophète : Abdullah Ibrahim Albracdadi."
________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Ensuite il est facile de manipuler des musulmans en situation de faiblesse car "le mal islamique" fait parti du projet islamique:
1) Il y a ceux qui interprètent et manipulent les textes sacrés islamiques (font leurs propres islam).
2) Mais il y a aussi ceux qui prennent les textes sacrés islamiques tel qu'ils sont (on les appelle parfois:"les islamistes").
Djamel Beghal (celui qui a endoctriné les frères Kouachi et Amédy Coulibaly)
Djamel Beghal sait très bien parler et lire l'arabe donc le coup de la mauvaise traduction ça ne marchera pas avec lui. Djamel Beghal n'est pas un musulman traditionaliste mais un musulman convaincu en connaissance de l'islam (des textes sacrées ect...). Il est même capable de réciter par cœur plein de versets coraniques ect... Il n'y a pas 36 islam valables et à la base le musulman est censé suivre le vrai islam: à savoir l'islam de Muhammad, c'est à dire un islam archaïque (celui aussi des guerres saintes, de la conquête arabo-musulmane ect...).
_______________________________________________________________________________________________________________________________________________
Pour finir, je rappelle au passage que "le musulman" est un soumis qui craint Allah. "Le musulman" doit avant toutes choses obéir à Allah et Son messager.
Auteur : aleph Date : 08 juil.16, 21:32 Message :
Lucide a écrit :Bonjour
Je crois que le problème arrive quand on emprunte une voie spirituel qui n'a plus pour but premier de chercher le bien et ses effets positifs sur soi et le prochain; (le bien physique, mental, spirituel) ......
Dans ton analyse tu prends le phénomène DAESH comme s'il était spontané.
C'est ce que pensaient les gens des microbes avant Pasteur, ils appelaient ça : la génération spontanée.
DAESH est une blessure ouverte dans un corps agressé, traumatisé par des bombes à fragmentation, des missiles de croisières, une purge complète d'un système de gouvernement laïc et dictatorial.
Dans ce vide béant, rien n'a été proposé aux gens pour réorganiser leur vie de façon civilisée. Le champ a été laissé libre à la voix des morts qui seule parlait au nom du sang versé.
Il y 'aura toujours des DAESH quand le sang est versé et qu'il n'y a rien pour réparer.
Daesh promettait un Ramadan de sang… il culmine avec l’attentat de Bagdad dans la nuit de samedi à dimanche.
C’est le plus meurtrier et le plus impressionnant cette année: 213 morts et 200 blessés, touchés par l’explosion d’un camion rempli d’explosif dans le quartier commercial de Karrada… là où les familles profitaient de ce moment de rupture du jeûne et allaient faire leur course à la veille de l’Aid el Fitr.
Première conséquence politique, le ministre irakien de l'Intérieur Mohammed Al-Ghabbane a présenté aujourd’hui sa démission au premier ministre Haider al-Abadi. Pas sûr que cela suffise à calmer la colère grandissante contre un gouvernement très fragilisé.
Après la reprise de Fallouja par l’armée irakienne le 26 juin et plus largement le recul territorial du groupe Etat islamique… celui-ci montre encore une fois sa capacité à continuer de frapper durement la population.
Irak… entre victoire militaire et défaite sécuritaire.
Intervenants
Loulouwa Al-Rachid : docteure associée au Centre de recherches internationales de SciencesPo Paris, ancienne analyste référent sur l’Irak au sein de l’International Crisis Group. Auteur de l'article "À propos de la violence irakienne" Dans "A contrario" 2008/1 (Vol. 5)
Bertrand Badie : Professeur des universités à Sciences Po Paris. Sous sa direction: "Nouvelles guerres : comprendre les conflits au XXIe siècle" et "Qui gouverne le monde?: l'état du monde 2017 (septembre 2016 à La découverte)
Paul Moreira : documentariste au sein de l'agence "Premières lignes", qui revient d'un reportage en Irak
Omar Ouahmane : correspondant de Radio France à Beyrouth, ancien grand reporter à la rédaction de France Culture
Bibliographie
Un monde d'inégalités: l'état du monde en 2016
Un monde d'inégalités: l'état du monde en 2016 La Découverte, 2015
Couverture Nous ne sommes plus seuls au monde
Nous ne sommes plus seuls au monde : un autre regard sur l'ordre international La Découverte, 2016 Bertrand Badie
Auteur : Lucide Date : 09 juil.16, 10:04 Message : je crois aussi que naturellement on sait (pas forcément de manière parfaite certes) ce qui est bien et mal.
Le problème peut venir quand une idéologie vient au contraire nous encourager dans nos mauvais penchant, (comme la haine) donner une justification à la violence au lieux de nous apprendre à nous contrôler.
Une personne qui est constamment dans la haine envers les autres, alors on peut être sûr qu'il est sur une voie de mort.
La haine est un sentiment humain, au même titre que la colère et non pas un mauvais penchant (un vice humain).
Auteur : yacoub Date : 13 juil.16, 23:07 Message : Omar al-Shishani dit « Omar le Tchétchène », l’un des commandants les plus en vue du groupe État islamique (EI), a été tué en Irak, a rapporté mercredi l’agence Amaq liée à cette organisation ultraradicale.
Citant « une source militaire », Amaq a rapporté qu’Omar al-Shishani avait été tué « dans la ville de Charqat alors qu’il participait à la bataille pour repousser la campagne militaire contre la ville de Mossoul », le bastion du groupe DAESH dans le nord de l’Irak.
Amaq n’a pas précisé quand Omar al-Shishani avait été tué mais sa mort, si elle est confirmée, est un nouveau coup porté au groupe EI, qui a subi plusieurs défaites depuis le début de l’année.
Un responsable américain avait annoncé en mars que ce chef du groupe DAESH avait été « probablement tué » dans un bombardement américain le 4 mars dans le nord-est de la Syrie. Le Pentagone avait confirmé qu’une frappe avait ciblé « Omar le Tchétchène » mais s’était refusé à donner toute indication sur son sort.
Positions importantes
« Omar le Tchétchène », de son vrai nom Tarkhan Tayumurazovich Batirashvili, était de nationalité géorgienne, selon le Pentagone.
Connu pour son épaisse barbe rousse, Omar al-Shishani « a occupé plusieurs responsabilités à la tête de l’organisation militaire du groupe EI, dont le ministère de la guerre », avait alors indiqué Peter Cook, le porte-parole du Pentagone.
Auteur : Karlo Date : 14 juil.16, 00:12 Message :
Comment on en arrive à des extrémistes comme Daech
Ce n'est pas un truc nouveau. Nous n'en sommes pas "arrivés" aux extrémistes de Daech. Ils étaient déjà là.
La seule chose qui ait un peu évolué, c'est leur capacité à nuire. Ils ont simplement des moyens démesurés à leur disposition pour appliquer leur idéologie.
On a aussi beaucoup de fanatiques religieux du même acabit sur ce forum. La seule différence c'est qu'ils n'ont pas la capacité de mettre à exécution leurs principes et idéologies.
Auteur : komyo Date : 14 juil.16, 00:48 Message :
aleph a écrit :
Dans ton analyse tu prends le phénomène DAESH comme s'il était spontané.
C'est ce que pensaient les gens des microbes avant Pasteur, ils appelaient ça : la génération spontanée.
DAESH est une blessure ouverte dans un corps agressé, traumatisé par des bombes à fragmentation, des missiles de croisières, une purge complète d'un système de gouvernement laïc et dictatorial.
Dans ce vide béant, rien n'a été proposé aux gens pour réorganiser leur vie de façon civilisée. Le champ a été laissé libre à la voix des morts qui seule parlait au nom du sang versé.
Il y 'aura toujours des DAESH quand le sang est versé et qu'il n'y a rien pour réparer.
très juste, la génération spontanée n'existe pas !
Auteur : yacoub Date : 14 juil.16, 00:57 Message : L'islam a été terroriste depuis 622 jusqu'à maintenant, l'islam s'est propagé par le sabre. L’Afrique du Nord ne s'est pas offerte aux envahisseurs islamiques, elle a résisté mais les islamikazes ont eu raison d'elles. Seule l'Espagne a réussi aux griffes de l'Ogre de Barbarie après 8 siècles de domination mahométane.
Auteur : komyo Date : 14 juil.16, 01:06 Message : cela ne change rien au fait que l'occident "non terroriste"
a tué dernièrement plus de 3 millions de personnes "musulmanes" dans des opérations de libération douteuses !
Que l'on se prenne des bombes sur la gueule par amitié ou non, pour apporter la liberté ou non, pour ceux qui se les prennent c'est toujours douloureux !
faire une relation de cause a effet entre daesh et ceci est bcp plus sensé que de vouloir l expliquer par une idéologie qu'indirectement on entretien par nos actions militaires. D'ailleurs les autres l'ont bien compris.
Auteur : vic Date : 14 juil.16, 01:37 Message :
komyo a écrit :cela ne change rien au fait que l'occident "non terroriste"
a tué dernièrement plus de 3 millions de personnes "musulmanes" dans des opérations de libération douteuses !
Que l'on se prenne des bombes sur la gueule par amitié ou non, pour apporter la liberté ou non, pour ceux qui se les prennent c'est toujours douloureux !
faire une relation de cause a effet entre daesh et ceci est bcp plus sensé que de vouloir l expliquer par une idéologie qu'indirectement on entretien par nos actions militaires. D'ailleurs les autres l'ont bien compris.
L'idéologie de daesh est entretenu par deux facteurs , l'islam et son idéologie de base dormante (qui ne fait que se réveiller périodiquement dans l'histoire avec les califats) et l'occident qui a entretenu la braise ,l'a réveillé d'avantage . Mais prétendre que le terrorisme ça serait uniquement une production de l'occident je ne suis pas d'accord .Disons que ces mouvements issus de l'islam sont des mouvements qui ont profité de l'occase pour prospérer encore plus .Maintenant c'est sûr que les interventions abusives de l'occident leur ont donné un bon coup de main .
GW Bush, chrétien, aurait du comme Jésus tendre l'autre joue en septembre 2001 et offrir à Oussama Ben Laden deux autres villes à bombarder. Le monde serait en paix aujourd'hui.
Auteur : aleph Date : 14 juil.16, 03:02 Message :
yacoub a écrit :@Komyo
GW Bush, chrétien, aurait du comme Jésus tendre l'autre joue en septembre 2001 et offrir à Oussama Ben Laden deux autres villes à bombarder. Le monde serait en paix aujourd'hui.
C'est complétement tiré par les poils d'un trou invisible. La lutte contre Ben laden n'entraîne pas forcément le renvoi du moyen orient au moyen âge.
Auteur : vic Date : 14 juil.16, 03:02 Message :
yacoub a écrit :GW Bush, chrétien, aurait du comme Jésus tendre l'autre joue en septembre 2001 et offrir à Oussama Ben Laden deux autres villes à bombarder. Le monde serait en paix aujourd'hui.
Mais oussama ben laden n'était pas en Irak , pourquoi la guerre en irak ?
Pareil pourquoi la guerre en lybie contre kadhafi ?
Par contre oui traquer ben laden il fallait le faire .
Auteur : yacoub Date : 14 juil.16, 03:23 Message :
vic a écrit :
Mais oussama ben laden n'était pas en Irak , pourquoi la guerre en irak ?
Pareil pourquoi la guerre en lybie contre kadhafi ?
Par contre oui traquer ben laden il fallait le faire .
GW Bush aurait du envahir l'Arabie Sodomite, sur les 19 terroristes du 11 septembre 2001, il y avait 15 saoudiens, Oussama Ben Laden était Saoudien même s'il a perdu sa nationalité, des conseillers de Bush ont conseillé l'attaque contre l'Arabie mais le lobby saoudien a réussi à les faire renvoyer et l'Afghanistan et l'Irak ont été pris pour cibles. L'Afghanistan est un pays primitif, arriéré et barbare, l'invasion américaine n'est pas regrettable mais pour l'Irak, ça a été une erreur, Saddam Husseyn était un dictateur sunnite mais il tolérait les chrétiens, les yézidis, les chiites, les alaouites alors que maintenant c'est l'intolérance généralisée.
Auteur : komyo Date : 14 juil.16, 04:21 Message :
yacoub a écrit :@Komyo
GW Bush, chrétien, aurait du comme Jésus tendre l'autre joue en septembre 2001 et offrir à Oussama Ben Laden deux autres villes à bombarder. Le monde serait en paix aujourd'hui.
@yacoub
oui il est formidable ce chrétien, il a envahi un pays qui n'avait rien a voir avec le 11 septembre, a permis de protéger un autre dont l'idéologie est responsable de toutes suspicions pendant 2 décennies. Et maintenant que le premier après plusieurs millions de morts est devenu un foyer terroriste qui vient nous attaquer chez nous, ils ont désormais toutes les raisons pour créer un régime policier et restreindre les libertés.
En chine on appelerait cela, tuer deux oiseaux avec une seule pierre !
glory, glory, alléluha !
Auteur : Erdnaxel Date : 14 juil.16, 10:31 Message :
Ce n'est pas un truc nouveau. Nous n'en sommes pas "arrivés" aux extrémistes de Daech. Ils étaient déjà là.
La seule chose qui ait un peu évolué, c'est leur capacité à nuire. Ils ont simplement des moyens démesurés à leur disposition pour appliquer leur idéologie.
Vladimir Poutine a dit: "Nous savons par exemple, qui en Turquie, se remplit ses poches et permet ainsi aux terroristes de gagner de l'argent sur la vente du pétroles volé en Syrie. C'est cet argent que les combattants utilisent pour recruter, acheter des armes et organiser des actes terroristes contre nos citoyens."
Auteur : Yoel Date : 14 juil.16, 11:49 Message :
Karlo a écrit :
Ce n'est pas un truc nouveau. Nous n'en sommes pas "arrivés" aux extrémistes de Daech. Ils étaient déjà là.
La seule chose qui ait un peu évolué, c'est leur capacité à nuire. Ils ont simplement des moyens démesurés à leur disposition pour appliquer leur idéologie.
Ce n'est pas un truc nouveau ? Donc, il y'a déjà eu un mouvement politico-religieux extremiste du type ÉI par le passé ? Tu peut nous en nommer un ou quelques uns ?
Et peut-tu SVP relèver le dénominateur commun entre l'ÉI et ses mouvements ? Il faut bien trouver la cause.
Karlo a écrit :On a aussi beaucoup de fanatiques religieux du même acabit sur ce forum. La seule différence c'est qu'ils n'ont pas la capacité de mettre à exécution leurs principes et idéologies.
Les fanatiques il y'en a même parmis les irreligieux !
Auteur : marco ducercle Date : 14 juil.16, 20:02 Message : Ok, la guerre en Irak était une connerie. Pour autant, que ce soit Sadam ou Kadhafi, il ne faut pas oublier que c'est eux en centralisant tout les pouvoirs dans leurs mains qui ont créés le chaos. Il arrive que des dictatures tombent sans que ce soit la guerre civile. Simplement, ce sont des dictatures light en comparaison de ces deux regimes.
Auteur : komyo Date : 14 juil.16, 20:10 Message : trop facile de dire que c'est la centralisation, puis la décentralisation qui a créé le chaos. Car qui a créé brutalement la décentralisation forcée, en plus au plus de millions de vies, si ce n'est l'occident !
Ce qui laisse des traces, si toute ma famille est butée par une bombe américaine, ou française, et que mon pays est en pleine guerre civile suite a ces fabuleuses interventions soit disant pour apporter la liberté et le bonheur de la démocratie, il y a des chances que je m'en souvienne pendant longtemps !
Auteur : wook Date : 14 juil.16, 21:18 Message : Attention à ne pas prendre l'invasion de l'irak comme unique catalyseur du terrorisme islamique. Des attentats sanglants ont également lieu au pakistan, kennya, somalie, bangladesh, indonésie etc...
Auteur : marco ducercle Date : 14 juil.16, 21:33 Message :
komyo a écrit :trop facile de dire que c'est la centralisation, puis la décentralisation qui a créé le chaos. Car qui a créé brutalement la décentralisation forcée, en plus au plus de millions de vies, si ce n'est l'occident !
Ce qui laisse des traces, si toute ma famille est butée par une bombe américaine, ou française, et que mon pays est en pleine guerre civile suite a ces fabuleuses interventions soit disant pour apporter la liberté et le bonheur de la démocratie, il y a des chances que je m'en souvienne pendant longtemps !
Un discours un chouia 'Munichois'. En 38 on ne voulais pas mourir pour Danzig. Je rappellerai qu'on est pas intervenu en Irak en 2003. On a pas étés récompensé en retour: Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hamid Reza Assefi, a critiqué dimanche la "décision extrémiste" de Jacques Chirac de présenter un projet de loi interdisant le foulard islamique et d'autres signes religieux "ostensibles" à l'école.
"Nous considérons cette décision comme une décision extrémiste visant à empêcher le développement des valeurs islamiques" en France, a déclaré M. Assefi.
"Cette décision est contraire aux droits des citoyens et portera atteinte à l'image de la France auprès des opinions publiques du monde islamique", a-t-il dit.
Continuez encore à leur donner raison. Comme a dit Churchill après les accords de Munich:
"Vous avez choisi la honte et vous aurez la guerre".
Auteur : komyo Date : 14 juil.16, 23:45 Message : bigre, si l'on n'est pas va t en guerre, on est munichois, un lache qui connaitra la honte, churchill nous avait prévenu, etc !
C'était déjà valable hier pour l'irak ou des bébés des couveuses attendaient parait il notre venu, en libye aussi pour défendre les courageux démocrates désireux de faire partir le tyran. Auujourd'hui il faut libérer dare dare la syrie pour les memes raisons, ne parlons meme pas des russes qui oppriment de braves démocrates ukrainiens ce qui nécessite le renforcement de l'otan et l'encerclement de la russie.
Bref,
le degré zéro de l'analyse analyse à partir de comparaisons douteuses.
Auteur : yacoub Date : 15 juil.16, 00:07 Message :
wook a écrit :Attention à ne pas prendre l'invasion de l'irak comme unique catalyseur du terrorisme islamique. Des attentats sanglants ont également lieu au pakistan, kennya, somalie, bangladesh, indonésie etc...
L'islam n'a besoin d'aucun prétexte.
PBSL a divisé dès 622 la terre en deux:
-Dar el Islam où règne la Loi Divine où on tranche la main du voleur où on lapide la femme adultère
-Dar el harb où on adore la croix où on mange du porc et où les femmes sortent nus
Entre les deux Dars, il ne peut y avoir que le jihad, la trêve peut exister mais tous les Grands Savants de l'islam vous le diront, elle ne doit pas excéder 10 ans. Pacte de Houdaybiya.
Auteur : marco ducercle Date : 15 juil.16, 09:00 Message :
komyo a écrit :
le degré zéro de l'analyse analyse à partir de comparaisons douteuses.
Au contraire, il est tout a fait à propos.
En 2004, il ne fallait pas voter de loi sur le voile à l'école, pour ne pas "stigmatiser" les musulmans.
En 2012 à Toulouse, c'était la faute de Sarko qui était allié avec Israel( on ne parlait pas de la Libye).
En Janvier 2015, le truc était de dire << qu'il ne fallait pas insulter le prophète >>. 11 mois après, on a carrément oublié le prophète. Nous avions une nouvelle excuse: << il ne fallait pas allé bombarder daesh>>
Etre munichois n'est pas être l'opposer d'un va t'en guerre. C'est de croire qu'en évitant le clash, il ne nous arrivera rien, nuance.
le terrorisme, "c’est adorer Allah comme il vous l’a ordonné", c’est "refuser l'humiliation, la soumission, et la subordination [aux kouffar - infidèles] ", c’est "vivre en tant que musulman… Le terrorisme pour eux, c’est insister, sur vos droits et quand vous n’y renoncez pas". al-baghdadi
Bref, être terroriste est être un bon musulman!
Auteur : yacoub Date : 16 juil.16, 06:44 Message : Daesh revendique le carnage de Nice, la France confrontée à un nouveau type d'attentat
Le groupe jihadiste État islamique a revendiqué samedi l'attentat de Nice sur la Côte d'Azur, un carnage dont l'ampleur, le mode opératoire et le profil de son auteur placent la France face à "un attentat de type nouveau" selon les autorités.
Encore sous le choc de cette tuerie de masse perpétrée à l'aide d'un camion — une première en France —, hantés par des images atroces d'enfants écrasés, des rescapés ou des proches des victimes cherchaient samedi des informations ou du soutien psychologique dans plusieurs hôpitaux de cette ville du sud-est.
Quatre-vingt-quatre personnes, dont 10 enfants et adolescents, ont été tuées jeudi soir sur la célèbre Promenade des Anglais de Nice à l'issue du feu d'artifice de la fête nationale du 14 juillet, par le camion conduit par un Tunisien de 31 ans, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel. Cinq enfants étaient toujours samedi entre la vie et la mort, dont un garçon de huit ans non identifié. 16 corps étaient n'étaient toujours pas identifiés.
L'auteur de l'attaque, que le groupe jihadiste EI a présenté dans sa revendication comme "un soldat de l'État islamique", semblait jusque-là avoir davantage un profil de déséquilibré, était inconnu des services de renseignement et n'avait pas de liens avérés avec l'islamisme radical.
"Il semble qu'il se soit radicalisé très rapidement, ce sont des premiers éléments qui apparaissent à travers les témoignages de son entourage", a déclaré le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve à l'issue d'une réunion de crise du gouvernement à l'Elysée.
"Nous sommes désormais confrontés aux individus qui sensibles au message de Daech (acronyme arabe de l'EI) s'engagent dans des actions extrêmement violentes sans nécessairement avoir participé aux combats, sans nécessairement avoir été entraînés et sans disposer d'armes destinées aux attentats de masse", a ajouté M. Cazeneuve. "Nous sommes face à un attentat de type nouveau", qui illustre "l'extrême complexité de la lutte antiterroriste".
Failles dans la sécurité ?
Mohamed Lahouaiej-Bouhlel était seulement connu de la justice pour des "faits de menaces, violences, vols et dégradations commis entre 2010 et 2016".
Selon son père, il avait fait une dépression au début des années 2000 et n'avait pas de pratique religieuse affichée.
Quatre hommes de l'entourage du Tunisien ont été placés en garde en vue. L'ex-épouse du tueur, abattu par la police après avoir écrasé familles et touristes sur la célèbre Promenade des Anglais, était toujours en garde à vue samedi matin.
L'attentat de Nice constitue la troisième attaque de masse ayant visé la France, après les attentats de janvier 2015 contre le journal Charlie-Hebdo, des policiers et des juifs (17 morts) et les tueries de novembre 2015 (130 morts à Paris).
Elle a replongé la population dans l'effroi mais cette fois la cohésion nationale, invoquée après les précédentes attaques, a volé en éclats, plusieurs responsables de droite et d'extrême droite ayant accusé les autorités de ne pas avoir pris de mesures de sécurité suffisantes alors que ce pays est en état d'urgence depuis novembre 2015 en raison du risque terroriste.
Pendant la réunion de crise samedi, le président français François Hollande a lancé un appel à la "cohésion" et à "l'unité" en France et dénoncé les "tentations de diviser un pays", selon le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll.
"L'idée qu'il (le président) se fait de la France, c'est que ça doit rester un grand pays du vivre ensemble, l'idée qu'il se fait de la France, c'est un pays qui respecte ses valeurs et ses principes et ses valeurs républicaines", a-t-il ajouté.
Nombre de quotidiens s'interrogeaient aussi samedi sur la façon dont le camion frigorifique de 19 tonnes avait pu pénétrer jeudi soir en pleine fête nationale dans une enceinte réservée aux piétons et sécurisée par les forces de l'ordre en période d'état d'urgence.
Le ministre de l'Intérieur a balayé ces critiques, répétant que la police était "présente, très présente, sur la Promenade des Anglais" jeudi soir. Le camion a forcé le passage en montant sur le trottoir, a-t-il rappelé. Au moins 17 étrangers ont trouvé la mort dans l'attaque, dont trois Allemands, deux Américains, trois Tunisiens et trois Algériens.
Une minute de silence sera observée lundi à 12H00 (6H00 EST) en hommage aux victimes.
Le président français a annoncé la prolongation pour trois mois supplémentaires de l'état d'urgence. Ce régime d'exception, décrété après les attentats du 13 novembre, facilite notamment les perquisitions et l'assignation à résidence de suspects.
Auteur : marco ducercle Date : 16 juil.16, 07:49 Message : Le salafisme djihadiste a deux dimensions spécifiques. Il n’est pas qu’une pratique religieuse, mais la construction d’une identité politico-religieuse totalitaire qui se concrétise dans sa prétention à représenter l’ensemble des musulmans de la planète (oumma). La stratégie de ghettoïsation qu’il souhaite imposer à la composante française musulmane s’exprime à travers des revendications clivantes sans cesse renouvelées (alimentaires, vestimentaires, comportementales, scolaires…). Il rejette toutes les autres pratiques de l’islam en s’accordant un droit d’excommunication (takfir). Les enfants refusent l’islam des parents, allant parfois jusqu’à la rupture. Ses principaux ennemis sont d’abord d’autres musulmans (chiites, soufis ou autres écoles sunnites). Le terrorisme salafiste tue aujourd’hui dix fois plus de musulmans que de non-musulmans.
Auteur : yacoub Date : 31 juil.16, 22:39 Message : L’État islamique, abrégé en EI (arabe : الدولة الإسلامية, « ad-dawla al-islāmiyya »), est une organisation terroriste, militaire et politique, d’idéologie salafiste jihadiste, qui a proclamé le 29 juin 2014 l’instauration d’un califat sur les territoires qu’il contrôle, et souvent considéré comme un proto-État à partir de 2015. Son essor est notamment lié aux déstabilisations géopolitiques causées par les guerres en Irak puis en Syrie.
Sa création remonte à 2006, lorsqu’Al-Qaïda en Irak forme avec cinq autres groupes djihadistes le Conseil consultatif des moudjahidines en Irak. Le 13 octobre 2006, le Conseil consultatif proclame l’État islamique d’Irak (en abrégé EII ; en arabe دولة العراق الإسلامية, dawlat al-ʿirāq al-islāmiyya), lequel se considère à partir de cette date comme le véritable État irakien.
En 2012, l’EII commence à s’étendre en Syrie et le 9 avril 2013, il devient l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) (en arabe الدولة الاسلامية في العراق والشام, ad-dawla al-islāmiyya fi-l-ʿirāq wa-š-šām, littéralement « État islamique en Irak et dans le Cham »), en anglais ISIS (Islamic State of Iraq and Sham), parfois désigné par l’acronyme arabe Daech (en arabe داعش, Dāʿiš [ˈdaːʕiʃ ], en anglais Daesh) utilisé par ses opposants.
Le 29 juin 2014, l’EIIL annonce le rétablissement du califat sous le nom d’État islamique dans les territoires sous son contrôle et Abou Bakr al-Baghdadi se proclame calife, successeur de Mahomet, sous le nom d’Ibrahim. Il entre alors en conflit avec Al-Qaïda et son influence s’étend à une grande part du monde musulman avec l’allégeance de plusieurs groupes djihadistes, les plus importants étant Boko Haram dans le Nord-Est du Nigeria, Ansar Bait al-Maqdis dans le Sinaï égyptien et le Majilis Choura Chabab al-Islam en Libye. À partir de 2015, l’État islamique mène également des attentats en Europe.
Dominique de Villepin : "L'État islamique, nous l'avons enfanté"
ecrit en 2014
Auteur : Erdnaxel Date : 01 août16, 01:15 Message : Et bien sûr un homme politique ne mens jamais et ne dit rien que la vérité
_________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Ensuite on peut dire que ce sont "les"juifs ("des"juifs: ce serait plus juste de le dire ainsi par exemple) qui ont inventé l'islam... est ce que pour autant il faut légitimer les actes criminels musulmans (car en fin de compte se seraient des victimes "de la bêtise juive") et accomplir la solution final pour régler le problème de la criminalité islamique?...je crois qu'un jour ou l'autre: il serait temps d'arrêter de faire dans la démagogie et de surfer sur "la victimisation".
Un criminel n'est pas victime, mais coupable d'être un criminel (y compris si le criminel est un musulman).
Francis Fukuyama Pour l’historien américain, célèbre pour sa thèse sur la «fin de l’histoire», ce sont nos propres peurs qui font le lit du populisme.
«Si nous faisons l’erreur d’envoyer des troupes contre Daech, nous sommes finis. Il attend un affrontement et nous devons le lui refuser.» Immense historien et chercheur contemporain en sciences politiques, l’Américain Francis Fukuyama est le père de la thèse de la «Fin de l’histoire», esquissée par Hegel et Marx: la fameuse «prophétie» des années 90, selon laquelle l’histoire politique de l’humanité toucherait bientôt à une fin rassurante avec la démocratie libérale. Le mur de Berlin venait à peine de tomber. Mais le mythe de la démocratie exportable à tout va est tombé, lui aussi, dans le sillage de la deuxième guerre contre Saddam Hussein. Aujourd’hui, les nouveaux totalitarismes, comme celui de Daech, ou les gouvernements autoritaires prolifèrent. L’ancien élève de Samuel Huntington, détesté de Dahrendorf («La «fin de l’histoire» est son quart d’heure de gloire») n’a pourtant rien perdu de son optimisme: «L’Etat islamique n’a pas d’avenir, pas plus que les démocratures de Poutine et Erdogan.» Et ce partisan repenti de George W. Bush d’ajouter: «Nous ne sommes pas en guerre contre le califat.»
Les attentats sont de plus en plus fréquents. Ne s’agit-il pas d’une guerre?
Non. La vraie menace serait de réagir avec excès. C’est là l’objectif du terrorisme, et surtout de Daech. Ne répétons pas l’échec retentissant de la guerre en Irak en 2003. Les citoyens exigent, à juste titre, un retour rapide à la normale. Mais il n’existe pas de solution, soyons honnêtes. Les petits attentats tragiques qui sont le fait d’individus instables, comme ceux commis récemment, et comme il y en a toujours eu aux Etats-Unis, sont par essence imprévisibles. Protéger tous les citoyens est impossible. Mais en même temps, il est hors de question de priver une partie de la population de ses droits et ses libertés, comme le prônent les courants xénophobes et racistes. C’est cela, et pas le terrorisme, qui saperait les fondements de notre démocratie.
Dans ce cas, comment se défendre de Daech?
Poursuivre les frappes chirurgicales parallèlement aux actions des troupes et des milices locales sur le terrain. Daech a récemment perdu une grande partie du territoire qu’il contrôlait et des villes aussi stratégiques que Falloujah. L’Etat islamique est en sursis; il mourra tôt ou tard. Envoyer nos soldats au Moyen-Orient ne ferait qu’empirer les choses.
Selon certains observateurs, le problème se situe au cœur même de l’islam, religion jamais réformée qui menacerait notre démocratie par la teneur politique de son credo. Partagez-vous ce point de vue?
Non. L’islam modéré n’a rien d’incompatible avec les institutions modernes, et la Malaisie et l’Indonésie en sont des cas d’école. La Turquie est à part, car selon moi, le régime d’Erdogan tient plus de l’autoritarisme que de l’islamisme. Et l’idéologie djihadiste n’a que peu d’adeptes. Certes, elle représente une menace à prendre au sérieux. Mais la principale menace pour la démocratie est ailleurs. Elle est en nous.
C’est-à-dire?
La défiance des citoyens, qui ont succombé par la peur, envers leurs institutions. Voilà ce qui fait le lit des populismes, dont les promesses cachent des mesures qui pourraient s’avérer dramatiques. Par ailleurs, à l’heure actuelle, ce qui fait cruellement défaut à l’Europe, c’est une figure d’autorité.
Par exemple?
Prenons l’Allemagne. Ce pays devrait s’afficher en meneur capable de guider l’Europe sur la voie de la paix et de la prospérité. Mais Angela Merkel s’arrête au consensus dans son pays. Sa prise de position sur la Grèce lors de la crise de l’euro en était emblématique. Et maintenant, la chancelière se répète avec les banques italiennes. Le problème est qu’aucun autre dirigeant européen n’a les épaules assez larges pour incarner cette figure d’autorité. Que ce soit Hollande ou le médiocre Cameron, qui a déjà démissionné, ces chefs d’Etat lamentables n’ont pas fait grand-chose pour l’Europe.
Sans oublier que la crise des migrants est loin d’être résolue, malgré l’accord avec la Turquie. Selon vous, comment l’Europe a-t-elle abordé cette question?
La politique de l’accueil est admirable. Mais aussi dangereuse. Elle peut bouleverser l’équilibre des communautés européennes. Il y a des limites à la capacité d’absorption de ces nouveaux arrivants. Et l’espace Schengen craque aux coutures, comme toute l’institution européenne, d’ailleurs.
C’est d’ailleurs pour cette raison que le Royaume-Uni a voté en faveur du Brexit…
Tout à fait. Mais si l’on prend du recul, le Brexit était surtout une sanction de la mondialisation. La classe ouvrière se sentait bâillonnée. Elle a retrouvé sa voix avec ce référendum.
La mondialisation rencontre une opposition toujours plus grande. Que pensez-vous de cet acharnement contre le libre-échange?
Le problème majeur est le rythme insoutenable des avancées technologiques, qui favorisent le travail au détriment des travailleurs, dont on viole les droits sociaux. Adopter le libre-échange sans réserve tout en supprimant les prestations sociales comme le firent Reagan et ses successeurs, en laissant les travailleurs sans protection, fut une erreur dont nous payons les conséquences aujourd’hui encore. Et c’est même pour cette raison que Trump pourrait bien être élu.
Que pensez-vous de lui?
Il représente une menace pour la démocratie américaine, avec ses anathèmes lancés contre les minorités. Je voterai probablement pour Hillary Clinton, sans conviction, comme bien des électeurs, pour arrêter son adversaire, mais aussi car elle mènera une politique étrangère plus active que celle d’Obama. Mais Trump est parvenu à redéfinir le paysage politique américain. Et, à l’instar du Brexit, il a su séduire les classes ouvrières et les travailleurs les plus pauvres. En matière de politique étrangère, l’isolationnisme qu’il prône fait le jeu de Poutine. Mais ce sont surtout ses velléités protectionnistes qui m’inquiètent. S’il était élu, il pourrait plonger le monde entier dans la dépression économique. Et qui sait où cela pourrait nous mener.
A la «Troisième Guerre mondiale» qu’entrevoit déjà le pape François?
N’exagérons pas. Depuis 1945, le monde s’est relevé de périodes plus chaotiques que maintenant, comme les conflits au Moyen-Orient ou les chocs pétroliers.
Mais le monde ressemble à une poudrière: terrorisme, populisme, conflits sectaires, guerres. On parle parfois d’un «choc des civilisations». Tandis que la «fin de l’histoire» tarde à venir…
Je ne crois pas au choc des civilisations. L’immense majorité de l’islam est pacifique et même la vendetta entre chiites et sunnites a des racines plus idéologiques et stratégiques que culturelles. Je ne peux pas voir l’avenir, mais ni un «Etat islamique» ni les régimes autoritaires comme la Russie ou la Chine ne vont dans le sens de l’histoire. La démocratie, la vraie, finira par les éliminer. Je le répète: j’en suis convaincu.
Auteur : komyo Date : 01 août16, 05:18 Message : sur ce sujet, lu cet intéressant article
Les actes de guerre illégaux perpétrés par la France au Moyen-Orient, et leurs conséquences, sont largement passés sous silence
La spirale de la terreur en France se terminera quand celle-ci cessera de se comporter en État voyou
Auteur : yacoub Date : 01 août16, 05:40 Message : La France ne doit pas se défendre contre l'islam et doit se soumettre à l'islam qui est la Meilleure des Religions avec sa Merveilleuse Loi Divine