Résultat du test :
Auteur : vic
Date : 10 août17, 02:06
Message : http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... 344_33.htm
(Ce témoignage n'est pas de moi , il a été pris sur le net, lien ci dessus ) :
Il y a plusieurs mois de cela, j’ai rencontré un couple qui se présentait eux-mêmes comme étant “bouddhistes » . Je suis heureux d’être quelqu’un qui a étudié le bouddhisme, pratiqué le zen et le vipassana et s’intéresse aux spiritualités orientales.. J’habite aussi dans un partie très conservatrice et chrétienne de notre pays ou il y a peu, si ce n’est aucun bouddhiste. Je me renseignai sur le type de bouddhisme qu’ils pratiquaient et j’appris qu’il s’agissait du bouddhisme Nichiren en association avec la soka gakkai. Naturellement, j’étais extrêmement curieux ayant beaucoup lu sur le bouddhisme au cours des années et ayant suivi un cursus universitaire dessus. Ce qui m’intriguai le plus, c’est que dans toutes ces études je n’avais jamais été confronté au bouddhisme de Nichiren, pas plus que je n’avais entendu parler de la soka gakkai.
Ma première expérience avec la soka gakkai a été similaire à d’autres postées ici. J’ai été bombardé avec du "love bombing" et pensais que le groupe était chaleureux, ouvert et authentiquement bouddhiste. En dépit du fait que je ne pouvais dans un premier identifier précisément ce qui leur permettait de se dire bouddhiste. Au début, cela ne me semblait pas franchement important, étant transporté par l'idée d'être membre d'une communauté bouddhiste. Il ne me fallu cependant pas longtemps, pour me rendre compte que quelque chose n'allait pas.
Je suis désormais affilié à la SGI depuis 7 mois et j'ai l'intention d’en sortir. La lune de miel terminée, j'ai commencé à réaliser que quelque chose ne tournait pas rond. Les membres de la SGI ne pratiquent tout simplement pas le bouddhisme. En fait, il est tragique que la SGI s’appelle elle-même une organisation bouddhiste, tant la plupart de ses membres ne savent que très peu, voire rien du tout, sur le Bouddha ou ses enseignements. Au lieu de cela, ce qu’ils ingèrent est l’alimentation régulière d'écrits confus du président Ikeda qui disserte sur les écrits de Nichiren qui lui-même commente le Sutra du Lotus. Ces éléments sont tellement filtrés qu'ils éliminent pratiquement le Bouddha de leur bouddhisme.
Avec le recul, j'aurais dû savoir quelque chose n’allait pas à la première rencontre auquel j'ai assisté, lorsqu’un des dirigeants a indiqué que davantage de gens devaient devenir bouddhistes, car il n’y en avait que seulement 12 millions dans le monde (à l'époque je pensais que c'était une erreur involontaire, car ce n’est pas le cas. Depuis, j'ai réalisé ce qu'il voulait dire. Son idée était que les seul les membres de la SGI étaient d’authentiques bouddhistes – ce qui est absurde).
J'aurai aussi dû me douter que quelque chose n'allait pas lorsque les membres ont laissé entendre que le chant devant le Gohonzon (mandala) se traduirait par des avantages matériels et quand ils ont suggéré que je chante devant pour atteindre des objectifs personnels. Car ce n‘est décidément pas un enseignement ou une manière de penser bouddhiste. Parce que j'ai tendance à donner aux gens le bénéfice du doute, je supposai que ces membres se trompaient et allaient comprendre leur erreur au fur et à mesure que le temps passerait. (Après tout, pensais-je, le chant est une ancienne forme de méditation qui permet d’apaiser et de concentrer l’esprit). C’était surement ce que ces gens faisaient dans le but d’atteindre un état de conscience à partir duquel ils pourraient percevoir le vide, la non dualité, le non attachement, etc. Rétrospectivement, je ne pouvais me tromper plus).
Néanmoins, estimant qu'il devait y avoir plus dans la pratique SGI que ce que j’en percevais à première vue, j'ai commencé à assister à des réunions régulières et à chanter par moi-même (ce qui a eu un impact positif sur ma propre anxiété et était apparemment plus efficace pour calmer mon l'esprit que mes expériences passées de méditation). J'ai rapidement reçu un Gohonzon pour 30 $. Je n'étais pas vraiment pressé d’en acheter un, mais ils étaient très désireux que j’en possède un. Ce que je ne savais pas, c’est que le prix d'achat incluait un abonnement à deux publications SGI-USA.
Peu de temps après (un mois ou plus), j'ai commencé à remarquer que les membres de mon district ne connaissaient absolument rien au sujet du bouddha et du noyau des enseignements bouddhistes. Je me souviens d'un incident où notre groupe a discuté de la conversation qu'avait eu un membre avec un de ses collègues de travail lequel avait mentionné sa familiarité avec l'un des enseignements du Bouddha appelés les « Quatre Nobles Vérités. « Les membres ont éclaté de rire à l'idée que les Quatre Nobles Vérités étaient bouddhistes. L'un d'eux ajouta, « C’est quoi ces Quatre Nobles Vérités ? Ce n'est pas bouddhiste. Autrement, je devrais les connaître car je suis bouddhiste. « J'ai du intervenir et les informer sur ce sujet, oui, en effet, l'enseignement des Quatre Nobles Vérités est l'un des enseignements les plus anciens et les plus vénérés du Bouddha. Ils n'en avaient absolument aucune connaissance (et probablement ne l’ont toujours pas). Bien que cela m’ait choqué, je leur ai accordé de nouveau le bénéfice du doute, pensant que peut-être certains membres n'avaient pas la capacité ou le temps d'étudier les principes bouddhistes ou les enseignements du Bouddha. Et à coté de cela, les membres de la SGI étaient très gentils, apparemment sincères, et semblaient assez inoffensifs.
Puis j'ai commencé à lire les publications SGI qui ont commencé à arriver peu de temps après ma remise du Gohonzon (The World Tribune and Living Buddhism). Je me suis vite rendu compte de leur inutilité. Il n'y a littéralement aucun contenu. Elles sont au contraire, remplis de propagande sur la manière dont le président Ikeda est grand et servent à lui faire de la publicité pour ses innombrables livres. Même les articles qui auraient pu être intéressants, pourquoi les membres de la SGI pratiquaient ou des réflexions sur les principes bouddhistes de base comme l'impermanence, la vacuité, la non-dualité, etc n’expliquaient ou n’ étudiaient rien en profondeur. Au lieu de cela, tous étaient extrêmement vagues et répétitifs. Les articles faisaient aussi fréquemment recours à des référence à la loi mystique de Nam-Myho-Renge-Kyo chaque fois qu'un point important devait être aborder, sans pouvoir jamais expliquer ce que c’était, comme si cette seule mention devait satisfaire toute curiosité . D'un point de vue scientifique, je pense que les publications SGI sont pleines de non-sens et du charabia. C'est vraiment du vent pour moi et, je pense une vraie tragédie, car les publications de la SGI ont un énorme auditoire captif qui gagnerait à être initié ou introduit au bouddhisme authentique.
Ce qui m'amène à la fixation malsaine sur le président Ikeda. Parce que j'étais concentré à essayer de comprendre ce que ces gens croyaient et ce qu'ils pensaient qu'ils faisaient quand ils chantaient, pendant des mois, j'ai largement négligé le culte de la personnalité qui entoure le président Ikeda. Je ressens maintenant que la SGI est sa tirelire bancaire personnelle. Je ne suis pas au fait de l'ensemble du différend avec les prêtres, etc, mais je peux vous dire que Ikeda me semble l’individu le moins bouddhiste qui soit. L'accumulation de richesse, de prestige, et l’autoglorification incessante qu'il recherche ne sont pas des qualités que le Bouddha personnifiait et, ironiquement, semblent aller à l'encontre de l’octuple sentier). Quoi qu'il en soit, j'ai lu quelques livres d' Ikeda et je suis d'avis qu'ils sont au mieux médiocres en termes de message et ne contiennent pratiquement rien qui puisse instruire le lecteur sur les vérités les plus profondes que les enseignements bouddhistes ont à offrir. Je dois ajouter que les vidéos SGI montrant Ikeda sont tout à fait étranges. La première fois que je l'ai vu dans une de ces vidéos, je l'ai regarder passer environ 45 minutes à vanter ses diplômes honorifiques, etc.
J’en suis presque tombé de ma chaise. Plus tard, lors d'une réunion, quand j'ai parlé de mon sentiment que la SGI faisait une fixation malsaine sur Ikdea, une chef de groupe a commencé à pleurer et a dit, comment personnellement elle était reconnaissante d'avoir eu Sensei (Ikeda) comme son mentor et comment nous devions l'apprécier, aujourd'hui plus que jamais, car il est vieux et ne va peut pas rester avec nous encore longtemps. Qu'est-ce que le bouddhisme a à voir avec cela?
Je ne pense pas forcément que la SGI soit une secte, mais je pense que c'est juste un groupe qui se plait à se définir comme bouddhistes, mais qui n'a pas d’intérêt réel pour le travail et l'étude qui est nécessaire pour vraiment embrasser une pratique bouddhiste. Tout le monde peut chanter devant un parchemin pour des gains matériels. Il est beaucoup plus difficile de pratiquer le lâcher-prise des illusions qui colorent notre perception de la réalité.
Ken Wilber, un éminent spécialiste en psychologie trans-personnelle, a mis au point un système permettant de catégoriser les différents types de pratiques spirituelles/expériences qui je pense est utile pour comprendre ce qui se passe avec la SGI et pourquoi ils s’appellent à tort eux-mêmes bouddhistes. Dans l'un des modèles de Wilber, il place les expériences spirituelles d’un spectre de la conscience allant du pré-rationnel à une extrémité au trans-rationnel (au-delà du rationnel) à l'autre, avec le rationnel au milieu. Parce que ni les expériences pré-rationnelles, ni les trans-rationnelles ne sont rationnelles, il est souvent facile de les confondre. Par exemple, le bouddhisme dans sa forme pure est trans-rationnel, car il inclut la pensée rationnelle et le dialogue, mais invite ses disciples à les transcender. La Wicca, d'autre part, est pré-rationnelle, en raison de l'accent mis sur l'animisme et "Hocus Pocus" – ils ne sont clairement pas concernés par la rationalité.
Avec ce modèle à l'esprit, j'ai tendance à voir les SGI comme étant dans l' interprétation pré-rationnelle d'un système bouddhiste qui est fondamentalement trans-rationnel .... Ainsi, les membres de la SGI sont tombés dans ce que Wilber appelle le sophisme de pré/trans. En clair, chanter devant le parchemin pour un gain matériel est totalement et complètement irrationnel, et ne signifie pas avoir atteint un état transcendant mental (ce que croient les membres de la SGI). C’est une pensée magique pré-rationnelle. Trop de Hocus Pocus (formule magique), pas assez de rationalité ... et aucune atteinte de la transcendance.
Inutile de dire que j'ai l'intention d'en sortir rapidement à l’issue de cette de brève rencontre avec la SGI. En tant que personne éduquée et titulaire d'un doctorat, toute l'expérience a été plutôt embarrassante. J'essaie de me consoler avec le fait qu’avec la SGI, il est presque impossible de comprendre ce qui se passe réellement, ce qu'ils croient, pourquoi ils le croient, et en quoi tout cela est bouddhiste. Il m'a fallu 6 mois (5 mois trop long) pour trouver la réponse à ces questions.
Auteur : algol-x
Date : 10 août17, 02:25
Message : Mon trajet dans la Soka Gakkai:
J'ai adhéré à la Soka Gakkai fin 1982, nous avions reçus quelques mois auparavant ma compagne et moi même, une carte postale de sa sœur du "centre Bouddhique européen" à Trets où elle participait à un séminaire. Elle nous donna par la suite des explications au sujet de sa pratique et de la philosophie qu'elle sous-tendait, c'était passionnant. Nous commençâmes à réciter le mantra (nam myo ho rengue kyo appelé Daimoku: le grand titre) à faire Gongyo (réciter des extraits du sutra du lotus) à étudier des textes et à participer à des réunions. En décembre nous reçûmes les préceptes de cette école, la cérémonie était très belle, envoutante, de nature à induire des états de conscience modifiés (perception du temps, de l'espace, des couleurs des sons). Puis le bonze dans un discours fit référence à Gandhi. Une responsable nous offrit des recueils de directives d'Izumi et de Tsuji, deux VIP de la Soka Gakkai au Japon, l'enthousiasme amplifié par la dynamique de groupe altérait notre perception de cette littérature orientée matérialisme spirituel, nous l'accordions avec nos propres vues.
Nous nous rendions deux fois par mois en zadankai (réunions de discussions) à l'autre bout de Paris entre 19h et 21h. L'ambiance était chaleureuse (même un peu trop...) un texte était lu et commenté, puis des adeptes témoignaient de leurs "résultats" attribuées à la pratique: issues favorables de problèmes de santé, situations sociales qui s'amélioraient, à la fin de la réunion, les membres sortaient leurs agendas, afin de prendre des rendez-vous "pour pratiquer ensemble". Je fis un drôle de rêve: je me trouvais dans un monastère Tibétain, et le supérieur du lieu m'installait pour la nuit me désignant un coffre recouvert d'un mince matelas, ce lama avait un sourire étrange. J’eus un sommeil agité, dans la nuit j'ouvris le coffre qui me servait de lit, je découvris un corps momifié, les poignets et les chevilles entourés de lourds bracelets de métal sertis de pierres précieuses. Le lendemain matin, au lever, le lama vint me voir, me demandant si j'avais passé une bonne nuit...
En plus de la zadankai, les membres appartenaient à des département (hommes, femmes, jeunes hommes, jeunes femmes pour les principaux), lesquels avaient des réunions et des activités spécifiques. J'ai été la cible de quelques pressions, des réunion en petit comité afin de me persuader de rejoindre le département des jeunes hommes, n'étant pas en phase avec leur activisme, je ne donnais aucune suite. Quelque temps plus tard je fus invité à rencontrer un responsable. Ils étaient deux, après la récitation de Gongyo ils blâmèrent avec vigueur la tiédeur de mon engagement et m'admonestèrent afin que j'adopte "une attitude plus positive", je claquais la porte, sans renoncer toutefois à la pratique.
Quelque mois après, nous rencontrâmes par hasard une pratiquante, elle réussit à nous convaincre de revenir dans l'organisation, attribuant nos mésaventures à l'imperfection humaine. Les rapports au sein du groupe étaient amicaux, une ombre au tableau, certains membres me faisaient penser à des maoïstes avec Daisaku Ikeda à la place de Mao. On m'intégra finalement dans le département des hommes où on me fichait une paix relative. Sous influence et dans l'espoir de solutionner des problèmes de logement, j'entrepris la récitation d'un million de Daimoku en trois mois afin de "transformer" la situation, cela représentait trois heures par jour, plus trois quarts d'heure pour la récitation du sutra. A l'issue de cet épisode je ne dormais plus, j'étais épuisé. Je consultais un médecin qui me prescrit des anxiolytiques, une responsable japonaise aussi sympathique qu'endoctrinée me déconseilla de prendre ce traitement, "la pratique est le meilleur des médicament" cela me laissa un peu dubitatif.
J’ai eu pendant quelques années la pensée entravée par la crainte subliminale de formuler des critiques même en pensée (menaces de rétributions négatives) envers l'organisation et son leader. L'arrêt de la pratique était également susceptible de produire des effets redoutés. En 1991 éclata le conflit entre Soka Gakkai et la Nichiren Shoshu. La pression était forte, l'ambiance militante. Nous étions sollicités afin signer des pétitions contre les moines, à assister à des réunions ponctuées de propos agressifs à leur encontre, c'était décevant. Quelques mois plus tard j'ai été nommé responsable de la zadankai que je recevais depuis plusieurs années à mon domicile, mais la magie s'en était allée, ces évènements avaient réveillés certains questionnements. Progressivement, je prenais mes distances avec la Soka Gakkai. Les mêmes textes, les mêmes commentaires, les mêmes mots revenaient en boucle depuis des années...
Ma compagne connaissant mon intérêt pour le Bouddhisme au sens large m'offrit vers l'été 1998 un petit manuel de méditation de Thich Nhat Hanh, pendant des réunions, afin de tromper mon ennui, dans un état d'attention particulier, j'observais les expressions, gestes, regards, inflexions de voix des participants. Je ne récitais plus Gongyo et Daimoku qu'exceptionnellement. J'écourtais les communications téléphoniques avec les responsables, je n'avais plus rien à leur dire. L'ultime épisode eu lieu en automne 2000 lors d'une réunion de préparation de zadankai, un responsable avait apporté une vidéo censée être un reportage d'une journaliste Américaine sur la Soka Gakkai, en réalité un pseudo-reportage qui sentait la commande, une hagiographie à la gloire d'Ikeda, un film de propagande, ce fut la goutte d'eau...
Auteur : Yvon
Date : 09 sept.17, 04:11
Message : [Edit]
Auteur : algol-x
Date : 23 sept.17, 22:44
Message : J'ai été membre de la Soka Gakkai - Je déteste le dire - dix-huit ans. Au moment de mon arrivée, ma vie allait assez mal. Mon fiancé m'avait quitté et je venais aussi d'être renvoyé. Donc, inutile de dire que j'étais malheureuse et ne savait pas quoi faire. Ma meilleure amie, qui a eu aussi des problèmes avec les hommes, le travail et la famille, venait de rejoindre la SGI, et m'a encouragé à aller à des réunions avec elle. Les membres semblaient si gentils, positifs et enthousiastes. Ils ont beaucoup parlé à propos de l'amélioration de leur vie etde leur aide aux autres. Ils m'ont encouragé en me disant que si je pratiquais et participais à des activités de l'organisation, je pourrais changer mon mauvais karma et être heureuse aussi.
Je sentais que je n'avais plus rien à perdre, la vie pouvait elle être pire? Donc, je suis entrée et me suis jetée dans les activités, même celles que je croyais un peu artificielles. J'ai planifié des réunions, organisé des groupes d'études, gardé des enfants pour les membres potentiels afin qu'ils puissent aller à des réunions, nettoyé des toilettes au centre où nous tenions nos réunions. À l'époque, j'étais heureuse de le faire. J'ai aimé les membres, apprécié de nombreuses activités, et senti que je contribuais à « kosen rufu." (D'autant que du coup n’ayant pas de petit ami et pas de travail, j'aivais beaucoup de temps libre.) Nous étions tous censés travailler pour kosen rufu, un moment où nous aurions la paix mondiale, car un grand pourcentage de la population pratiquerait ce bouddhisme.
J'ai été gêné par la pression de faire "shakabuku », ou convertir tout le monde à notre forme de bouddhisme. A la fin des années 80, nous étions censés aller vers de parfaits étrangers et les inviter dans les maisons des membres pour les réunions bouddhistes. Cela me semblait dangereux ainsi que présomptueux .... J'avais des amis et de la famille qui étaient heureux en pratiquant d'autres religions. Qui étais-je pour dire qu’il serait mieux pour eux de pratiquer ce bouddhisme? Il y avait une telle pression intense pour faire de nouveaux convertis - si nos chiffres n'étaient pas assez élevés, nos dirigeants se mettaient en colère après nous. Oui, nous avions des quotas.
Dans la fin des années 80, l'organisation avait également un très grand nombre d'activités. Nous devions participer à cinq ou six réunions et activités par semaine, et étions accusés d'avoir peu de foi si nous ne le faisions pas. Au début, j'étais heureuse de le faire - puis j'ai commencé à retourner à l'école et à retravailler. Lorsque j'ai réduit le nombre des activités que je faisais, mes dirigeants m'ont fait des remarques sur ma « mauvaise attitude » et mon « manque de foi ». Ils m'ont dit que l'organisation était là pour moi quand j'en avais eu besoin - et maintenant il était temps pour moi de donner en retour. Pourquoi étais-je si égoïste que je ne voulais pas aider les autres comme je l'avais été moi-même?
Je devais mon bonheur et mon succès à la Soka Gakkai. Si je cessais de participer à l'organisation, je perdrais tout la bonne fortune que j'avais créé. Je devais à la SGI une « dette de gratitude!" Et apparemment, cette dette a un taux d'intérêt si élevé que vous n'arrivez jamais à la rembourser, peu importe la façon dont vous y travaillez.
Comme Sparky l’a dit, on nous disait que nous pouvions obtenir tout ce que l’on désirait, si nous avions assez pratiqué et travaillé pour la SGI. Lors de chaque réunion, les membres étaient invités à « donner une expérience" - si vous ne donniez pas d'expériences assez souvent, les dirigeants vous disaient que vous ne pratiquez pas assez dur!
Une expérience est une mini-histoire. Quelqu'un a un problème - travail, famille, relations, santé, cela pourrait être n'importe quoi. Il essaie de le résoudre, et il ne peut pas. Ils pratique à ce sujet. Habituellement, le problème reste le même, ou s'aggrave. Ils vont voir ensuite un leader pour une « guidance » Le chef leur dit alors à chanter plus et de travailler davantage pour l'organisation. La personne le fait, et résout finalement son problème - elle est tellement reconnaissante qu’elle s'engage à travailler de plus en plus pour l'organisation.
Les membres apprennent à recadrer leurs expériences. Si vous obtenez un bon travail, une nouvelle voiture, de bonnes notes, peu importe, c'est à cause de votre pratique et de votre participation à des activités SGI - pas parce que vous avez étudié, économisé de l'argent, ou passé beaucoup de temps en recherche d'emploi. De même, on vous dit si vous laissez l'organisation ou si vous la critiquez que de mauvaises choses vont vous arriver.
Pendant de nombreuses années, la Soka Gakkai faisait partie de la Nichiren Shoshu, une communauté bouddhiste japonaise. La Soka Gakkai en était une organisation de membres laïcs. Dans le début des années 1990, la Soka Gakkai et la Nichiren Shoshu se sont séparés très violemment. Les dirigeants nous ont dit pendant des années de soutenir les prêtres Nichiren Shoshu puis tout d'un coup on nous dit que ces prêtres étaient corrompus et mauvais. Et apparemment, les hauts dirigeants de la Soka Gakkai savaient cela depuis des années! Il n’y avait rien à ajouter.
Nos réunions positives se sont remplies de colère, de rodomontades sur la façon dont les prêtres étaient diaboliques. Si vous n'aviez pas la haine des prêtres Nichiren Shoshu et des membres laïcs qui étaient restés avec eux, vous n’étiez apparemment pas un bon bouddhiste. J'ai demandé une fois: « Si nous estimons que les prêtres pratiquent mal le bouddhisme - peut-on simplement le dire - et ensuite seulement se concentrer sur la pratique et sur nous-mêmes ?"
Apparemment, c'était une mauvaise attitude aussi. Le Grand Prêtre, Nikken Abe, devait venir à New York pour visiter le temple. On nous a dit que nous devions pratiquer pour que sa visite soit un échec. Apparemment, nous n'avons pas assez pratiqué car son avion ne s'est pas écrasé dans sa route vers New York. Un temple de Californie avait un repas improvisé pour ses membres. Certains membres de la Soka Gakkai Californie ont décidé de pratiquer pour que ce repas-partage soit un échec. Qu’est-ce qu’ils attendaient de cela ? Que tout le monde apporterait une mêlasse de moules de fruits en conserve? Je n’étais pas devenu une bouddhiste pour pratiquer pour l'échec du déjeuner de quelqu'un.
Quand j'ai essayé de discuter de mes questions et préoccupations avec mes chefs, je n'ai obtenu aucune réponse. Ils devenaient juste en colère après moi avec mes questions. L'un de nos hauts dirigeants, un homme japonais, m’a crié dessus et m'a dit, « les Américains poser trop de questions!" Et pourtant, dans le même temps, la SGI explique comment elle est « démocratique » et comment ils croient dans le « dialogue ». Oui, juste ne pas être en désaccord avec aucun des dirigeants ou aucune des politiques de l'organisation et vous pouvez avoir un dialogue génial!
A cette époque, l’adulation du président de SGI, Daisaku Ikeda, semblait augmenter. On nous a dit que nous devions le prendre comme notre mentor - un homme que la plupart d'entre nous n'avaient jamais rencontré. Les membres parlaient de l'aimer et de vouloir « remplir ses attentes », « être de bons disciples. On nous a dit que "Vous devez accepter le président Ikeda comme votre mentor. Sans un lien personnel avec lui, vous n’atteindrez pas l'illumination et vous tomberez dans l'enfer des souffrances incessantes. "
Whoa. Le Bouddha dit: "Suivez la loi et non la personne." Le SGI était en train de dire l'opposé ... suivez la personne et non la loi. Ce n'est pas le bouddhisme. La Soka Gakkai n'est plus la pratique du bouddhisme. Ils pratiquent l’ Ikedaisme. Les membres qui se posaient des questions sur cela se voyaient accuser de « rompre l'unité de l'organisation », ou de pécher et de se faire un mauvais karma.. À ce stade, je savais que je ne pouvais pas rester dans l'organisation plus longtemps. Je n'ai pu rester amie avec aucun des membres. Certains agissaient comme s'ils avaient peur de moi. Quand je les rencontre par hasard, ils semblent surpris que je sois en bonne santé, toujours dans mon job, et que je profite de la vie.
Comme quelques-uns des membres américains que j'ai rencontrés ne savent rien à ce sujet, je sens que je dois aussi mentionner le Nouveau Parti Komeito, . J'ai appris par des amis japonais qui ne sont pas membres de la SGI que la Soka Gakkai a son propre parti politique au Japon - le Nouveau Komeito. Les membres de la Soka Gakkai japonaises sont pressés à la fois de voter pour, et de passer beaucoup de temps à faire campagne pour ce parti au moment des élections. Dans le passé, j'avais donné de l'argent à la SGI - et je me demande maintenant si il aurait pu aller à ce parti. Mon chef m’a dit non, mais personne ne sait vraiment. Le SGI refuse de laisser les membres connaître ses affaires financières. Un groupe de membres américains, appelé l'IRG, ou groupe de réforme interne, a demandé à la direction de la SGI une plus grande transparence financière et que les membres en général aient plus à dire sur la politique organisationnelle. Pour leurs efforts, ils ont été stigmatisés et mis à la porte comme fauteurs de troubles.
Source:
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t199158 Auteur : Yvon
Date : 23 sept.17, 22:58
Message : vraiment rien de bien méchant et beaucoup de mauvaises interprétations . Exemples :
-la SG n'a jamais dit qu'il fallait suivre la personne et non la loi .
-Les moines ont, été protégés par la SG j'usqu'au jour où ils ont dépassés les bornes Lire : "La Nichiren Shoshue histoire d'une déviation "
- Pas besoin d'avoir le président Ikéda pour atteindre l'illumination , il suffit de lire les écrits de Nichiren pour le comprendre .
Etc...
De toute évidence comme Algol cette pratiquante , malgrés 18 ans de pratique à une vision trés superficielle du bouddhisme de Nichiren en général et de la Soka Gakkai en particulier . Algol et elle ont un manque certain d'étude , ce n'est ,donc pas étonnant qu'ils aient arrété de pratiquer .
Auteur : Coeur de Loi
Date : 23 sept.17, 23:07
Message : Si un bouddhiste vous dit qu'il ne connais pas le soutra du lotus, c'est comme un chrétien qui dirait qu'il ne connais pas l'évangile ou un musulman qui dirait qu'il ne connait pas le Coran.
C'est juste un non-bouddhiste du Mahayana.
Hors il n'y a que la SG qui est des rares groupes à faire connaitre ce soutra centrale et essentiel.
"Hommage au soutra du lotus" le roi des soutras du Bouddha
Auteur : Yvon
Date : 23 sept.17, 23:09
Message : Coeur de Loi t'es hors sujet .
Auteur : algol-x
Date : 23 sept.17, 23:34
Message : Yvon a écrit :De toute évidence comme Algol cette pratiquante , malgrés 18 ans de pratique à une vision trés superficielle du bouddhisme de Nichiren en général et de la Soka Gakkai en particulier . Algol et elle ont un manque certain d'étude , ce n'est ,donc pas étonnant qu'ils aient arrété de pratiquer .
vous avez une vision déformée au sujet du Bouddhisme en général et du Bouddhisme de Nichiren en particulier, dans la Soka gakkai par "étudier" il faut traduire "s'endoctriner" ce qui à votre niveau est visible dans votre manière de réagir...

Auteur : Coeur de Loi
Date : 23 sept.17, 23:35
Message : Oui un peu car je réagissait à ceux qui disaient que c'est pas du Bouddhisme, on dit secte quand il y a une arnaque, une fraude sur le plan financière ou criminel.
Hors je ne voit pas le délit de la SG, si on est pas d'accord avec son interprétation du Bouddhisme et bien c'est un autre débat mais pas une secte.
En quoi c'est une secte en terme de délit et crime ?
Auteur : algol-x
Date : 23 sept.17, 23:48
Message : J'étais membre depuis 1986 étant adolescent quand je suis entré. En regardant avec du recul j'ai rencontré quelques personnes formidables dans la SGI. Semblable à certains des postes ci-dessus, j'ai commencé à m'interroger sur le mouvement après le schisme avec la Nichiren Shoshu.
J'ai commencé à remettre en question l'interprétation des enseignements de Nichiren Shonin telle qu'elle est enseignée par la SGI / Nichiren shoshu et d'autre part j'ai eu mes réserves au sujet de l'organisation de la SGI en tant que telle.
La scission m'a amené à entreprendre mes propres recherches sur l'histoire du bouddhisme de Nichiren qui est plus diversifiée que ce que la SGI ou NST ont pu nous en dire. En particulier des questions concernant le Dai-Gohonzon, Nichiren comme le bouddha fondamental et la position du prêtre m'ont fait réfléchir. Les informations sur ces questions ont toujours été censurées par la SGI et aucun des points de vue différents n'ont jamais pu être exprimées. Au lieu de cela, des rumeurs étaient propagées par exemple au sujet de la Nichiren Shu (qui ne considèrent pas Nichiren comme un Bouddha et sont généralement considérés comme la plus ancienne école de Nichiren).
Une observation que j'ai faite est que à la fois la SGI et la Nichiren shoshu s'appuient sur un leader, une personne. Il ya la position du grand prêtre suprême dans la NS qui, après la scission a été remplacé par l'adulation sans limite de Daisaku Ikeda. Ce culte du chef ridiculise ce qu'on appelle la relation de maitre a disciple. Une relation qui est en effet importante dans le bouddhisme et devrait être un choix personnel. Pas une relation avec un homme vieillissant au Japon qui serait le seul maître digne d'intérêt dans le monde.
C'est pourquoi la SGI perd un grand nombre de membres pour le moment - quand je suis devenu membre de l'organisation, il n'y avait aucune référence au fait que je devais comprendre "le cœur de Sensei" (Ikeda est souvent désigné comme sensei, un terme que certains lecteurs pourraient assimiler à enseignant, par exemple). Si l'on critique la question de mentor / disciple telle qu'elle est enseignée par SGI on sera regardé avec consternation. Toute critique d' Ikeda ou de l'organisation en tant que telle est considérée comme de la diffamation, pas étonnant que personne ne s'exprime. Quand quelqu'un prend la parole, c'est qu'il va partir peu après. L'organisation est pour ainsi dire égale au dharma (la loi bouddhiste)La gouvernance de la SGI est douteuse en terme de structure et plus on monte dans le processus décisionnel et moins c'est transparent.
Et puis, il y a la pression des pairs. On est poussé à se battre, à lutter, à gagner afin de conduire le mouvement à se développer et voir ainsi la "preuve réelle". Organisation basée sur la foi, il y a peu de place pour l'échec, les choses habituelles qui forment la vie et dans laquelle les choses ne se passent pas toujours comme prévues ne font pas vraiment partie du concept. La Soka a également développé un langage qui semble parfois assez martiale et dramatique, la plupart du temps à un niveau maximal. Cela devint évident dans le conflit avec la prêtrise, des comparaisons étaient faites comme de parler de la SGI comme d'une « forteresse de la justice » comparant le sacerdoce de la prêtrise à un "cancer". Ils étaient / sont proches d'un vocabulaire fasciste.En fin de compte, cela à très peu à voir avec Nichiren, il s'agit de la Soka Gakkai et de Daisaku Ikeda, pas du bouddhisme.
Je souhaite que les officiels et les universités examinent de plus près à qui et à quoi ils ont à faire quand ils remettent des distinctions.
Je me vois toujours comme un bouddhiste Nichiren et fait des efforts pour rechercher des liens plus étroits avec la Nichiren Shu, ce qui est difficile quand on vient d'une organisation qui a dominé votre vie privée. En plus de cela la Nichiren Shu n'a pas d'organisation laïque. À certains égards, cela peut être bon car l'on est forcé de vraiment pratiquer le bouddhisme pour soi-même et non pour le bien d'une organisation.
Quitter la SGI est difficile, non pas que j'ai été contraint de rester, bien que beaucoup de gens qui avant s'en foutaient ont laissé des messages sur mon téléphone , mais c'est simplement que plus vous avez fait partie de celle-ci, plus celle-ci a dominé votre vie. Quand je suis parti, j'ai perdu la plupart de mes amis. Quand on participe à autant d' activités, il est naturel que cela impacte aussi sur le plan privé. Donc, il faut du temps pour voir de nouveau le monde avec ses propres yeux et j'encourage ceux qui le feront à porter un regard neuf sur le bouddhisme et sur Nichiren.
« La meilleure façon de faire de vos rêves une réalité, est de se réveiller." Paul Valéry
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t199196 Auteur : Coeur de Loi
Date : 23 sept.17, 23:54
Message : "Quitter la SGI est difficile, non pas que j'ai été contraint de rester,"
Donc ce n'est pas une secte, il a juste changé d'avis et il est parti de ce groupe.
Auteur : Yvon
Date : 24 sept.17, 00:02
Message : algol-x a écrit :J'étais membre depuis 1986 étant adolescent
Algol qui nous ressort ses vieilles casseroles d'un site à l'autre , il reproduit ses discours d'il y a 8 ans lol .
La traduction de cette expérience est pourrie, il n'y a pas de "chef" dans la SG.
c'est un détail parmis d'autres mais ca montre bien le degré de méconnaissance et des apprioris sur le fonctionnement de la SG et des rapports entre les membres dans la tête du traducteur.( Car c'est une traduction )
Quand aux responsables autoritaires j'en ai vu aussi et ils ont finit par quitter ou par changer d'hattitude ce n'est pas l'esprit de la SG.
Un responsable dans la SG s'engage à soutenir et aider les personnes qu'il rencontre. Il est au service des membres et non l'inverse.
Sinon pour ce témoignage c'est qu'une personne qui n'était plus en accord avec les les idéaux de la SG et le comportement imbécile de certaines personnes .
Et c'est son droit .
On retrouve ça partout dans n'importe quelle association des gens qui addhèrent et qui partent et des gens qui confondent responsabilité et autorité.
Encore une fois Y'a pas de quoi fouetter un chat. On est bien loin de la secte
Auteur : algol-x
Date : 24 sept.17, 03:45
Message : Ce témoignage rédigé avec humour décrit exactement le processus d'embrigadement "orwellien" - au nom d'idéaux généreux - dans l'Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren, de Patrick Durand7 un jeune homme sincère, ouvert d'esprit, confiant.
Initialement publié le 03/11/2004 :
https://groups.google.com/forum/#!msg/f ... 1fgV74QVQJ
Si ça vous amuse... Voilà mon "expérience":
Recherchant à pratiquer le bouddhisme, j'ai rencontré des gens qui m'ont fait entrer dans une secte japonaise "la Soka Gakkai"; je tiens à mettre en garde contre ce mouvement que j'ai quitté au bout de cinq ans, avec beaucoup de colère et d'amertume ; j'ai le sentiment d'avoir été abusé et détourné de ma recherche initiale...
Donc désirant pratiquer "le" bouddhisme, je contacte une personne qui pratique et me met en relation avec un "responsable" de manière sympa, au resto, discussion sympa, "amicale", puis quelques "témoignages" écrits sous forme de photocopies, puis invitation à venir voir comment ça marche .
Donc, invitation à une pratique en groupe chez l'un des pratiquants; un petit 1/4 d'heure de "méditation" (récitation d'un texte et répétition du mantra), puis discussion (apparemment libre) sur un sujet; mais d'abord chacun se présente façon "alcooliques anonymes" : "bonjour je m'appelle x ou y, je pratique depuis x années, je suis plombier etc.."; bon, sympa, donc comment ça marche : matin et soir on fait le 1/4 d'heure (ou plus, comme on veut) de méditation chez soi et deux fois par mois on le fait en groupe "pour s'entraîner" ; bon, sympa... Ah oui et puis aussi, les réunions il faut les "préparer", en faisant le bilan de la réunion précédente (et les Statistiques..!). (Statistiques où l'on doit noter le nombres de personnes ayant assister à la réunion, hommes, femmes, jeunes hommes, jeunes femmes, inscrits à la Soka Gakkai ou non). (Si,si , c'est vrai).
Donc, on "pratique" matin et soir (normal), et on se rencontre deux fois par mois, et deux fois supplémentaires pour ceux qui préparent, les "responsables". Les statistiques sont "transmises" au responsable du "chapitre" qui regroupe un certains nombres de groupes sur un secteur... Le thème de la réunion est choisi en réunion préparatoire et tout est méticuleusement encadré pour que les membres ressortent de la réunion "plein de joie et d'espoir"... Alors on cherche des expériences individuelles de préférence du genre "j'avais un cancer, j'ai pratiqué, j'ai guéri" (mais en plus subtil !!) (Encore que !!).
Et puis on fait la connaissance au passage, de "l'organisation" "la Soka Gakkai"... Et de son président "le président Ikeda" "sensei". Ahhhhhhhhhhhh !!!! (il est d'ailleurs en photo sur le mur ou à côté de l'autel bouddhique, seul ou avec sa femme). Donc, le "sensei" est vraiment quelqu'un d'extraordinaire, on a LA chance qu'il soit vivant, il faut en profiter !! Et puis pour mieux comprendre "le cœur de sensei" on peut s'abonner aux différentes revues et "s'imprégner" de ses discours... C'est un grand homme vous savez, il a rencontré Gorbatchev (il a même fait un livre avec lui), il a rencontré Mandela, il a rencontré Mitterand et bien d'autres...
Bien, mais le bouddhisme dans tout ça ? Ah oui, "nous" pratiquons LE vrai bouddhisme, le bouddhisme "Orthodoxe", celui de Nichiren Daishonin, Le Bouddha FONDAMENTAL... Tous les autres c'est "pipeau"... On a la preuve, c'est écrit, tu comprendras "au fur et à mesure"...
Ah bon... Moi je suis accommodant et puis je veux pas faire de vagues, tous ces gens sont charmants, je "comprendrai" plus tard, c'est normal, pour l'instant je suis novice en la matière... Donc si tu pratiques, tu auras des "bienfaits", et en plus si tu "transmets" tu auras encore plus de bienfaits, donc parles en autour de toi, à ta famille, à tes amis, à tes collègues, à tous les gens qui souffrent (c'est pas ce qui manque !), même si ils ne disent le mantra qu'une seule fois, ils sont "sauvés"... Ouah, mais c'est génial votre truc, je me sauve et je sauve les autres en même temps ! Ah ben oui, on est bouddhiste n'est ce pas ? Et un bouddhiste ça pense aux autres...
Ça y est, j'ai mon outil de travail sur moi et mon bâton de pèlerin, à moi le monde, l'éveil du Bouddha (fondamental...), la PAIX dans le MONDE... Tout ce dont je rêve quelque part...
Bon, je suis "novice en la matière", mais pas niais ni stupide, et puis j'ai Internet (même l'adsl !), je fais quelques recherche sur "Soka Gakkai" et que trouvai-je...? Ce serait une secte ? (Soit les sites sont des sites de la Soka Gakkai qui fait sa pub d'une manière ou d'une autre, soit les autres sites sont des sites anti-sectes) (et ce, en France comme ailleurs dans le monde...).
Euh, je sais pas comment vous le dire, mais j'ai entendu dire que la Soka Gakkai était une secte... Tsss-Tsss, tout ça c'est des ragots ! Les journalistes savent qu'ils peuvent faire du papier avec les soi-disant sectes ! Et puis il y a "Nikken" le moine "corrompu" qui veux la peau du président Ikeda (Ahhhhhhhhhhhh !)...
Euh, mais j'ai lu que la Soka Gakkai était répertoriée comme secte sur les différents rapports français (Gest-Guyard-Brard, etc.) Tsss-Tsss... Ça c'est seulement en France, d'ailleurs "on" est reconnu comme ONG (organisation non gouvernementale) à l'ONU, à l'UNESCO et tout et tout... "ON" est une association qui lutte pour "la paix - la culture - et l'éducation - en se basant sur le bouddhisme de Nichiren Daishonin"...
Ah bon ? Ça m'embête un peu quand même... Meuh non ! Pratique et tu verras ! Tu comprendras... Au fur et à mesure... ! C'est vrai, c'est peut-être des ragots et puis ils sont si sympathiques (enfin pas tous...), si dévoués... Et puis on peut obtenir tellement de bienfaits avec la pratique... Après tout y a pas grand chose à perdre, je suis libre de partir quand je veux, personne ne me retient...
On ne me demande pas d'argent non plus... Sauf au mois de juin, c'est "ZAÏMU" : le DON... On donne ce qu'on veut tu sais, on est pas obligé, mais bon, l'argent c'est le nerf de la guerre à notre époque ; et puis on a fait une réunion où on a bien expliqué "le sens du don dans la Soka Gakkaï" (tous les ans on fait cette réunion d'ailleurs, toujours au mois de mai, avant "ZAÏMU" )... Ce qui est important c'est de donner "avec le cœur", tu comprends ? C'est pas la quantité qui compte, c'est "le cœur"... Et puis aussi de donner un peu plus chaque année, de faire un petit effort supplémentaire pour les autres, mais en fait, tu verras... PLUS TU DONNES, PLUS TU REÇOIS... Tiens d'ailleurs j'ai "une expérience" à ce sujet (du genre j'avais pas un sou j'ai quand même donné 10 euros et paf ! Le lendemain je trouve 20 euros dans la rue) (variations à l'infini sur ce thème). Et puis, le don est déductible des impôts... Super... !
Tiens on va "se lancer" un défi, on va faire venir chez nous l'exposition "Gandhi-King-Ikeda Bâtisseurs de la Paix", pour faire connaître "sensei" (Ahhhhhhhhhh !) et la SGI autour de nous ; et puis tu sais, les "activités bouddhiques" ça rapporte plein de "bienfaits" (KUDOKU)... Et donc on fait circuler, l'air de rien cette fameuse exposition qui associe Mahatma Gandhi, Martin Lutherking et Daisaku Ikeda (Ahhhhhhhhh !) en France et dans le monde entier … Et ça paraît dans les journaux et sur le net et on parle de nous et de sensei (Ahhhhhhhhhhhh !)
Et donc il faut des réunions pour préparer cette expo, et puis des réunions pour préparer ces réunions... Sans compter bien sûr les réunions habituelles et les réunions pour préparer les réunions habituelles... !
Ah, puis aussi, maintenant que tu commences à connaître et à bien pratiquer tu pourrais "entraîner" x ou y... Il (ou elle) a des difficultés en ce moment (ou il ou elle commence la pratique) tu vois avec lui ou elle, vous pratiquez ensemble, n'oublie pas de lui lire quelques phrases d'encouragements de sensei (Ahhhhhhhhh !)... A suivre...
Tiens ce mois-ci il y a une réunion pour l'étude du "gosho"; c'est quoi le "gosho" ? Ce sont les écrits de "Nichiren Le Bouddha Fontamental"; il dit CLAIREMENT que les autres formes de bouddhisme sont "ERRONÉES" et que le seul vrai bouddhisme est le sien (donc le nôtre) ; pour comprendre cela il faut bien étudier ses textes – "goshos" - et aussi les enseignements du président Ikeda (Ahhhhhhhh !) Il dit aussi que les pratiquants seront PERSÉCUTÉS à cause de leur pratique, et que c'est LA PREUVE que cette pratique est la bonne !!! AH ouais ! Donc les journalistes, les histoires de secte, Nikken le moine corrompu et tout et tout, c'est des persécutions parce qu'on pratique correctement ! J'ai compris...
Super ! Tiens parlez moi un peu de "NIKKEN" c'est qui ? Lui c'est le grand patriarche de l'école religieuse (nous on est LAÏCS) Nichiren Shoshu ; mais il est corrompu (on a les preuves, il a été avec des geishas, entre autre...), alors il faut pratiquer pour qu'il parte !! Je te propose une heure par semaine le samedi de 9 à 10... Chez moi ou chez toi... Et plus on sera, mieux cela sera ! Banco... J'ai que ça à faire de toute façon, hein, je suis au chômage, ou alors le samedi ça tombe bien je ne travaille pas et puis il n'y a pas "d'activité bouddhique" ce jour-là (enfin il n'y en avais pas).
Tiens au fait, j'ai vu sur le net qu'il y avait d'autres écoles du bouddhisme de Nichiren ? Tsss-Tsss ce sont des écoles ERRONÉES, insignifiantes d'ailleurs, pratiquement en voie de disparition ; "NOUSLASOKAGAKKAI" on est 12 millions dans le monde entier et c'est le président Ikeda (Ahhhhhhhhh !) qui a fait connaître, grâce à ses efforts désintéressés, le VRAI BOUDDHISME au monde entier ! Il a d'ailleurs reçu plusieurs dizaines de prix et de diplômes de facultés et institutions à travers le monde ! Pour le remercier de ses actions en faveur de "la paix la culture et l'éducation" … Il donne de l'argent aussi ? Ah oui, mais non, tu vois ce qui compte c'est le cœur tu comprends ? Sinon tu comprendras plus tard, pratique encore pour comprendre le cœur de sensei !(Ahhhhhhhhhh !)
Donc ayant tout en main c'est à dire:
-ma pratique biquotidienne
-mes réunions bihebdomadaires (pratiquement)
-mes week-end bimensuels d'activités bouddhiques (en gros...)
-mon abonnement aux revues (hebdomadaires et mensuelles)
-mon Zaïmu annuel,
il est venu à mes oreilles (curieuses) qu'on pouvait aussi faire des séminaires...
Comme je ne fais pas les choses à moitié, hop un séminaire : trois jours de pratique et de convivialité "boy-scout" et un petit don au passage pour remercier (et puis le don, c'est source de BIENFAITS)... Un séminaire par an en moyenne...
Malgré toutes ces bonnes choses, des fois la vie est difficile ; alors quand ça ne va pas il faut pratiquer plus et puis aussi demander des DIRECTIVES à ses aînés dans la pratique...
Et pourquoi pas faire un séminaire pour se ressourcer...
Sans oublier de faire des activités et encore des activités car "les-activités-dans-la-soka-gakkai-sont-sources-de-bienfaits" !!!
Et ces activités c'est quoi ? "SHAKUBUKU" = "transmettre la loi" ce qui consiste à organiser n'importe quoi où on pourra inviter des gens et leur faire connaître la valeur de l'organisation et du président – sensei - Ikeda (Ahhhhhhhhhh !) Tout est possible: pique-nique, expo sur la paix, expo sur l'environnement, rallye campagnard, conférence sur la non-violence et j'en passe... Ne pas oublier de comptabiliser les invités pour les statistiques (!!!) et envoyer le compte-rendu à l'organisation qui fera passer le message à sensei (Ahhhhhhhhhh !)
Et si malgré tout ça ne va toujours pas dans ta vie, deux explications :
1/tu ne pratiques pas avec le cœur de sensei (Ahhhhhhhhh !)
2/ c'est la preuve que tu pratiques correctement car les "obstacles" apparaissent... ! Au choix...
J'allais oublié de parler du plus important... Le mandala, le fameux GOHONZON, l'objet de culte "suprême"... : on pratique ce bouddhisme matin et soir en récitant un mantra (quelques mots) devant un mandala (image, représentation du monde...); jusque là rien que du bien classique...; le problème c'est que le seul "bon" gohonzon c'est celui de la Soka Gakkai qui est en fait une copie d'un gohonzon du 17 ème siècle, d'un "patriarche" "orthodoxe" "Nichikan"... Tous les autres sont "erronés" (surtout celui de Nikken) (kss-kss) ; la théorie (héritée de la Nichiren Shoshu) c'est que :
1/ Nichiren est le bouddha FONDAMENTAL
2/ Ce sont eux qui représentent le seul le vrai bouddhisme celui de Nichiren Daishonin, le grand maître)
3/ Le Dai-gohonzon est le seul, le vrai, LE gohonzon
Or, suivez-moi bien, la Nichiren Shoshu (qui détient le Dai-gohonzon) s'est fâchée avec le président – sensei - Ikeda (Ahhhhhhhh !) en 1990, et donc la Soka Gakkai a du trouver une solution de secours et un nouveau gohonzon "qui marchait", qui lui fut généreusement offert par des moines "anti-Nikken"... Après un petit tour de passe-passe rhétorique le gohonzon de Nichikan est devenu le seul valable et distribué dans le monde entier (à 12 millions d'exemplaires) par la Soka Gakkai, et on vous explique indirectement, je dirais de manière "subliminale" que c'est un objet magique qui peut réaliser tous vos désirs et tous vos rêves...
Enfin bon , maintenant vous pouvez commencer à vous faire une petite idée de "comment ça marche " à la Soka Gakkai...
Enfin j'espère que vous ne vous laisserez pas avoir, ni par ceux-là, ni par d'autres escrocs du même acabit !
Salutations à tous
Patrick

Auteur : Yvon
Date : 24 sept.17, 03:54
Message : Ouai c'est amusant on est encore trés loin de la secte .
Auteur : vic
Date : 25 sept.17, 01:31
Message : Yvon a écrit :Ouai c'est amusant on est encore trés loin de la secte .
Commentaire hors sujet , c'est aux lecteurs du forum d'en juger .
Le sujet n'est pas " les avis des membres de la soka gakkaï sur les témoignages d'anciens adeptes" .
Si tu veux créer un autre sujet sur ça crée le , mais là tu es hors sujet Yvon .
Quand un mouvement cherche autant à contrôler l'avis des gens , leur opinion , on est en droit de s'interroger quelques peu .
A partir de là chacun se fera une opinion libre pour déterminer si ce sont des critères suffisants qui définissent une secte ou non et où se trouve la frontière dans ce domaine . Lâche prise , et laisse le lecteur lire sans influence de ta part et celle de ton mouvement pour un fois se faire une opinion libre , merci . Sinon ça poussera le lecteur à conclure que ton intervention va dans les sens de ce qu'en décrivent les anciens adeptes , c'est à dire une entreprise de Control de l'opinion d'autrui

Auteur : Yvon
Date : 25 sept.17, 02:16
Message : Une secte , ca coupe les gens de la société , ca vous lave le cerveau , ca vous prends votre argent , ca vous empêche d'en partir . La Soka gakkai c'est tout le contraire.
Auteur : vic
Date : 25 sept.17, 02:26
Message : Yvon a écrit :Une secte , ca coupe les gens de la société , ca vous lave le cerveau , ca vous prends votre argent , ca vous empêche d'en partir . La Soka gakkai c'est tout le contraire.
Hors sujet , pour éviter le hors sujet , j'ai crée un sujet ici pour répondre, afin que les membres de la soka gakkaï puissent répondre concernant le témoignage d'anciens adeptes :
http://www.forum-religion.org/bouddhism ... 57644.html
Merci de laisser ce sujet uniquement pour la compilation de témoignange d''anciens adeptes .
Auteur : Yvon
Date : 25 sept.17, 04:50
Message : Non ce n'est pas hors sujet je commente .
Auteur : vic
Date : 25 sept.17, 04:59
Message : Yvon a écrit :Non ce n'est pas hors sujet je commente .
Comme son titre l'indique le sujet est uniquement consacré aux témoignages d'anciens membres de la soka gakkaï Yvon .
C'est moi qui est ouvert ce sujet .
Auteur : Yvon
Date : 25 sept.17, 05:03
Message : Et alors du hors sujet tu en as fait en veux tu en voilà et maintenant tu viens faire la morale sur des commentaire de témoignages , désolé je suis bien dans le sujet . Vas jouer aux billes .
Auteur : vic
Date : 25 sept.17, 05:47
Message : Yvon a écrit :Et alors du hors sujet tu en as fait en veux tu en voilà et maintenant tu viens faire la morale sur des commentaire de témoignages , désolé je suis bien dans le sujet . Vas jouer aux billes .
je rappelle que je suis l'auteur du sujet , et que c'est moi qui fixe le sujet que j'ouvre et son cadre .
Auteur : Yvon
Date : 25 sept.17, 06:44
Message :

Auteur : Oiseau du paradis
Date : 25 sept.17, 08:55
Message : Voilà un 'tit présent, Vic. À toi de le faire valoir comme bon te semble.
http://www.religare.org/livre/bahai/ba-bah-vallees.pdf
Bonne fin de journée tt' el' mundo de la TB.
Auteur : vic
Date : 26 sept.17, 02:36
Message : Yvon a écrit :

Hors sujet , le sujet est consacré à des témoignages d'anciens adeptes de la soka gakkaï et pas à des adeptes qui y sont encore actuellement .
Je referais un autre sujet compilant l'ensemble des témoignages qu'on aura ici sur les témoignage d'anciens adeptes de la soka gakkaï puisqu'on ne peut pas faire autrement que d'être soumis à vos trollage intempestifs de ce sujet . J'attends qu'il y ait encore un certain nombre de témoignages pour le faire.

Auteur : Yvon
Date : 26 sept.17, 02:49
Message :

Auteur : vic
Date : 26 sept.17, 04:12
Message : Yvon a écrit :

POurquoi ne fais tu pas un sujet séparé sur les témoignages positifs d'adeptes manipulés par ta secte ailleurs , ouvre un autre sujet , le fait de troller ce sujet ne changera rien au final puisqu'on refera une compilation des sujets d'ex adeptes ailleurs quand on aura suffisamment d'élèments , donc tu perds ton temps . Profite en pour poster des témoignages positifs d'adeptes de la scientologie pendant que tu y es .
Comme si les témoignage d'un adepte manipulé avait une objectivité réelle .

Auteur : Yvon
Date : 26 sept.17, 04:15
Message : J'y ai pensait mais il y en aurait beaucoup trop .
Auteur : vic
Date : 26 sept.17, 04:17
Message : Yvon a écrit :J'y ai pensait mais il y en aurait beaucoup trop .
Il y a beaucoup de prosélytisme dans cette secte , comme expliqué dans les témoignage d'ex adeptes , on essait de bourrer le crâne de l'adepte afin qu'il fasse du recrutement pour la secte .
On lui explique ensuite qu'il aura des retombées karmiques positives et que si il ne le fait pas il lui arrivera souffrance .
C'est ce qu'on appelle de la manipulation mentale à outrance .

Auteur : Yvon
Date : 26 sept.17, 04:41
Message : vic a écrit :
Il y a beaucoup de prosélytisme dans cette secte , comme expliqué dans les témoignage d'ex adeptes , on essait de bourrer le crâne de l'adepte afin qu'il fasse du recrutement pour la secte .FAUX
On lui explique ensuite qu'il aura des retombées karmiques positives et que si il ne le fait pas il lui arrivera souffrance .Faux
:
Personne n'est obligé de faire du prosélitisme . Ensuite c'est pas parcequ'on parle du bouddhisme de Nichiren qu'on aura des retombés positives . T'as vu ça ou ?C'est n'importe quoi . De même ne pas en parler n'amène rien de négatif . Je comprends mieux au regard de ses interprétations absurdes pourquoi tu parles de superstition .
Si je te suis si j'arrrête de pratiquer je vai en enfer lol

Auteur : algol-x
Date : 29 sept.17, 07:46
Message : Le mot "SECTE" a eu une connotation alarmiste dès sa création. La plupart des gens pensent que les sectes sont sombres et sinistres. Nous ne nous attendons pas qu'une secte soit amicale et normale en apparence. Nous pensons que les recruteurs d'une secte utilisent la force ou des techniques diaboliques pour gagner des recrues. Nous ne nous attendons pas à être conquis, peu à peu, grâce à des attentions apparentes, en faisant appel à notre idéalisme ou à de "grands rêves" plutôt que d'être emmené à penser de façon critique sur le groupe.
Étant ouvert d'esprit, nous n'avons aucune raison de douter de ce que le groupe dit de lui-même, et nous sommes habituellement disposés à suspendre notre scepticisme par politesse si nous n'en avons aucune raison. Ce que les membres de la SGI disent sur leur groupe, toutefois, n'est pas toujours conforme à la réalité. La SGI affirme être une organisation de paix qui s'oppose à l'autoritarisme, accueille toutes les personnes et enseigne aux gens à pratiquer le bouddhisme afin qu'ils puissent devenir heureux.
Ils sont peu susceptibles de mentionner que la SGI est un organisation "religieuse" multi milliardaire qui refuse de divulguer ses rapports financiers, que ce soit aux membres ou aux bailleurs de fonds qui demandent des informations. Que les membres n'ont aucun droit de vote, aucune procédure de règlement interne des griefs, et aucun mot à dire sur la politique menée par leur propre organisation.
Les recrues potentielles et les nouveaux membres devraient savoir que la SGI a publiquement condamné et a calomnié des membres SGI qui ont exprimé des critiques constructives sur la SGI en organisant des discussions publique. Le "Groupe de Réexamen Indépendant” a été menacé d'une action judiciaire. La SGI a manifesté sa volonté et sa capacité d' écraser la contestation et les dissidences parmi ses membres. Quant aux non-membres ou aux anciens membres qui critiquent la SGI ceux ci sont stigmatisés comme des ennemis.
Le Bouddhisme de Nichiren est une religion ou il y a des douzaines de temples différents et d'organisations au sein desquelles des gens apprennent, enseignent et pratiquent. La Soka Gakkai, d'autre part, est une secte qui utilise cette religion comme une couverture et une justification pour accumuler richesse et pouvoir politique.
Les membres ne reçoivent rien en échange si ce n'est une vue dénaturée du Bouddhisme Nichiren, qui va de pair, avec de la manipulation émotionnelle, des peurs superstitieuses, et la conviction que leur adhésion à la SGI leur donne une mission spéciale dans la vie, ainsi que la croyance que tout ceux qui les critiquent sont des démons ennemis du bouddhisme.
source:
http://forum.doctissimo.fr/psy [...] 2202_1.htm
Auteur : algol-x
Date : 05 oct.17, 00:25
Message : La SGI vous pousse à penser que vous pouvez changer n'importe quoi dans votre vie par la puissance de votre pratique - peu importe qu'elle soit impossible. Cela semble encourageant et autonomisant dans un premier temps. Mais ensuite, après avoir pratiqué et encore pratiqué, recherché « les conseils » de vos dirigeants, travaillé dur pour l'organisation fait tout ce que vos dirigeants vous disent de faire et que vous n'avez toujours pas atteindre votre objectif, alors vous faites quoi?
Il y a de cela quelques années, j'ai été encouragé à « montrer ma foi, » et à pratiquer pour qu'un proche soit guéri du diabète de type I. Eh bien, j'ai pratiqué, pratiqué et encore pratiqué et devinez quoi, elle l'a encore. Alors on m'a dit que ma foi n'était pas assez forte, que j'avais chanté avec des doutes. Que j'avais tiré ma famille et ma communauté de foi vers le bas.
Puis j'ai réfléchi davantage. Les gens chantent et prient pour beaucoup de choses. La belle mère de Lotus pratiquait surement pour que son mari arrête de boire. Pendant la guerre, les gens des deux côtés chantent et prient pour la victoire. Il y a eu de nombreux dirigeants SGI gravement malades ainsi que des membres qui ont bénéficié de la pratique de nombreux autres membres et ces personnes sont toutes mortes ! Certaines choses sont tout simplement impossibles, peu importe comment vous chantez, priez ou souhaitez. Dire aux gens que leurs malheurs ne s'arrêtent pas parce que "vous n'avez pas assez pratiqué », ou « vous ne pratiquez pas avec la bonne attitude," est juste ignorant et cruel. Vous n'avez aucun moyen de savoir comment était leur attitude et combien d'heures de pratiques il faut pour guérir le diabète, l'alcoolisme ou le cancer? Vingt heures, une centaine d'heures, cinq cents heures?
Puisqu' Ikeda est, selon la SGI, le bouddhiste parfait, peut-être qu'il devrait publiquement pratiquer pour des choses impossibles, comme la phase terminale de maladies ou pour que le moyen orient soit en paix. Je veux dire, c'est le super Mentor ! Comment pourrait-il avoir une mauvaise attitude et pas assez de foi ? Et s'il réussit, pensez combien de nouveaux convertis la SGI obtiendrait, ainsi que le renforcement de la foi de ceux qui sont déjà membres ! Imaginez la publicité merveilleuse que cela ferait pour la SGI.
Concernant ma famille, l'attitude la plus réaliste, et la plus responsable est de dire que, oui ma fille a le diabète, c'est injuste, mais c'est comme ça. Vous ferez tout votre possible pour l'aider à gérer cette maladie, afin qu'elle puisse avoir une vie saine, active et productive. Vous vous tiendrez informés sur la maladie et les nouveaux progrès dans son traitement. Vous pourrez soutenir l'éducation et la recherche sur le diabète afin qu'un jour il puisse y avoir un remède ou du moins des avancées qui le rendent plus facile à vivre. Cela, pour moi, est beaucoup plus productif que d'encourager sa famille à ce fantasme que si nous pouvons simplement pratiquer assez (et avec la bonne attitude, bien sûr!), notre fille sera guérie comme par magie du diabète.
Quand je peux penser de cette façon, je me sens plus libre et en paix. Je ne me bas plus contre moi-même, parce que je ne peux pas réaliser l'impossible. Au lieu de cela, je me concentre sur la réalité et ce que je peux faire. Essayer de faire l'impossible est très stressant! Est ce qu'Ikeda et les autres dirigeants, s'inquiètent si vous êtes stressé, ou si vous vous sentez coupable, lorsque votre pratique pour des choses impossibles ne fonctionne pas ? Bien sûr que non le plus stressé vous serez, le plus vous pratiquerez, demanderez leur avis et travaillerez pour l'organisation. Dans une vaine tentative de soulager le stress dans lequel ils vous auront mis ! Quel cercle vicieux ! Comment n'ai-je pu ne pas voir cela avant ? Les gens peuvent courir et courir pendant des années, comme un hamster dans sa roue d'exercice. Courrir jusqu'au point d'épuisement et n'arrivez nulle part!
source:
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... 344_34.htm Auteur : Yvon
Date : 05 oct.17, 06:27
Message : Doctissimo une sacrée référence

Auteur : algol-x
Date : 06 oct.17, 01:39
Message : Effectivement, il n'y a aucune preuve que pratiquer permet de réaliser l'impossible. C'est comme la nouvelle pensée ça ne marche pas, c'est un piège. Comme ça ne marche pas, les gens continuent à venir pour recevoir une "guidance".
C'est un cercle vicieux qui aliène les gens à un groupe, parfois pour la vie. C'est par certain coté semblable à la christian science, par ce biais, vous devenez pris au piège mentalement .
Si vous réussissez, c'est du fait de votre pratique.
Si vous échouez, c'est que vous ne pratiquez pas assez dur. Vous n'avez qu'à pratiquer plus et plus durement !
(il s'agit d'une technique très courante, utilisée par de nombreux gourous)
Je peux vous garantir qu Ikeda connait 1000 fois cela mieux que vous ou moi, il revendique 13 millions de membres, ce qui est probablement exagéré, mais ils ont beaucoup de membres.
Ainsi, le contrôle des millions de personnes n'est pas facile, mais Ikeda sait comment le faire très bien.
Personne ne peut le prouver, mais vous pouvez parier votre dernier dollar que Ikeda ne pratique pas en privé. Il peut le faire en public, mais il n'y a aucune chance qu'il le fasse en privé. Il sait que pratiquer ne fait pas vraiment quoi que ce soit.
Ikeda est un homme d'action, c'est un combattant pour son groupe. Jules César pratiquait il ?
Honnêtement, c'est très clair, il utilise les idées bouddhistes comme un vernis, un moyen d'endormir et gérer ses millions d'adeptes. C'est comme ça que l'empereur romain Constantin utilisait le christianisme, n'oubliez pas l'« opium du peuple ». Les détenteurs du pouvoir au sommet connaissent tous ça. Le bouddhisme classique n'a rien à voir avec ce genre de choses.
La SGI est clairement une organisation internationale structurée pour gérer de grandes masses de gens. Devinez qui en est le pape empereur auto-proclamé ?
Il est triste que le membre moyen agisse comme un hamster en train de faire tourner sa roue pour qu'Ikeda soit plus riche d'heure en heure. Il s'agit probablement d'un multi-milliardaire.
source:
http://forum.doctissimo.fr/psy [...] tm#t199196
Auteur : algol-x
Date : 07 oct.17, 16:23
Message : Les membres de la SGI passent souvent beaucoup de temps a répéter leur mantra et à travailler pour la sgi. Comment les dirigeants vont les amener à le faire s'il n'y a pas un "avantage", ou "une expérience?" Je pense que cela amène les gens à interpréter des coïncidences à travers ce filtre. C'est une bonne chose qui s'est passé? C'est parce que je pratique. C'est une mauvaise ? Je n'ai pas assez pratiqué. Je n'ai pas applaudi assez fort quand ils ont montré la vidéo le président Ikeda.
Une femme que je connaissais a donné son témoignage lors d'une réunion: elle était sans emploi et a finalement trouvé un bon travail, et tout cela était dû selon elle a plusieurs heures de pratique par jour. Eh bien, oui, mais elle a également passé plusieurs heures par jour à la recherche d'un emploi - fait des appels, envoyé des CV, vu des entreprises et parlé à des gens qui parlerait d'elle. En plus elle avait la bonne formation pour les emplois qu'elle voulait, cela lui a permis d'obtenir son emploi. Mais non, elle a insisté, c'était le chant (la pratique). J'ai entendu tellement d'histoires comme ça dans mes années au sein de la SGI !
Les gens veulent juste croire que leur vie a changé et que c'est seulement à cause de leur implication dans la SGI. Les membres anciens que je connaissais n'arrêtait pas de dire que leur pratique du bouddhisme SGI les avait tellement changé. Je connaissais certains d'entre eux depuis dix ou quinze ans. Peut-être que quelque chose m'échappe, mais je n'ai vu que peu ou pas de changements chez eux au cours des ans. Ils avaient toujours les mêmes personnalités, qu'ils soient colériques ou même paresseux, le même travail, santé, finance, relations ou problèmes familiaux !
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t198412 Auteur : Yvon
Date : 25 oct.17, 18:27
Message : Comme souvent l'arrêt de pratique , d'Algol x et des 3/4 d'arrêts de pratiquants est dû à un manque d'étude . Rentrant parfois en conflit avec des d'autres pratiquants se basant uniquement sur leur ressentit émotionnel et non sur l'enseignement de Nichiren ou les dailogues du Président Ikéda où encore sur le Sûtra du Lotus de Shakyamuni . Les pratiquants finissent par abandonner .
Auteur : algol-x
Date : 26 oct.17, 00:08
Message : Yvon a écrit :Doctissimo une sacrée référence

La référence indiquée par le traducteur est le forum Rickross qui n'est plus accessible, on retrouvera les témoignages cités et bien d'autres sur le site "Cult Education Institute"
https://forum.culteducation.com/read.php?5,87661

Auteur : algol-x
Date : 27 oct.17, 02:41
Message : La rencontre
Je suis entrée dans la Soka Gakkai en 2001. Ce fut une rencontre comme tant d’autres. Un jour, attristée par un échec très important pour mon avenir, un collègue affligé de ma détresse m’expliqua comment lui aussi avait traversé des difficultés, et qu’il connaissait une solution qui pouvait m’aider. D’une nature très méfiante, j’ai tout de suite expliqué que je ne croyais en aucune religion et serais difficile à convaincre. De fait, personne ne m’a mis de pression, on m’a rassurée en me disant que j’avais raison, que l’on n’était jamais trop prudent et qu’avec le temps et mes différentes expériences, la croyance en l’efficacité de la pratique viendrait d’elle-même. Ce fut le cas. Ils m’ont suffisamment mise en confiance pour que peu à peu, je me laisse persuader que toutes les bonnes choses qui se produisaient dans ma vie venaient de ma croyance, donc de ma foi.
Dans le groupe
Insidieusement, j’en suis arrivée à ne plus penser par moi-même, je ne vivais plus qu’à travers ce bouddhisme. Toutes mes relations devinrent faussées, j’interprétais selon la Loi quelquefois en bien mais le plus souvent en mal. Personne ne m’imposa un rythme de pratique, mais il était fortement conseillé de suivre celui des aînés –plus anciens dans la pratique- afin de montrer son investissement.Nous avions une réunion de discussion tous les quinze jours, chez un (ou une) aîné, où tous les pratiquants d’un même chapitre se retrouvaient. Une fois par mois nous avions en plus une réunion selon notre situation personnelle (jeune fille ou jeune homme pour les célibataires, homme ou femme pour les personnes mariées, divorcées, veuves…). Il faut y ajouter tout ce qui était activité organisée par les différents chapitres d’une même région, où il était plus que de bon ton de se montrer, toujours pour manifester notre motivation dans la pratique. En effet, les aînés ne manquaient pas de nous rappeler tous les bienfaits que nous allions engranger pour avoir fait l’effort de donner de notre temps « si précieux » pour faire acte de présence. Sans compter toutes les pratiques quotidiennes du matin et du soir, devant l’objet de culte , et la récitation du mantra « nam myoho renge kyo » le plus possible (on nous lançait le défi d’en réciter un million par an, ce dans quoi je me suis enfermée pendant 2 ans). Cette pratique était souvent accompagnée, le soir, par une aînée. Cet accompagnement pouvait se répéter plusieurs fois par semaine selon les difficultés rencontrées.
Je vais plus mal
De ce fait, je perdis pied, mes relations professionnelles se sont dégradées. Ne gérant les situations qu’en fonction de ma pratique et selon l’enseignement de mes aînés, les réponses ne se trouvaient donc pas adaptées aux situations vécues, je perdis le sommeil. « Mes amis bouddhistes » me poussèrent à prier davantage, avec plus de ferveur, pour transformer ce qui n’allait pas dans ma vie et entraînait « la perte de mon sommeil » ; on m’orienta à pratiquer pour trouver les meilleurs médecins dans les meilleures conditions. Je suis entrée en contact avec une psychiatre qui ne comprenait rien à mes difficultés. Les séances à son cabinet étaient une véritable torture psychique qui ne faisait qu’aggraver la situation, mais complètement culpabilisée, je pensais que tout était de ma faute, que je ne priais pas comme il fallait et ne croyais pas sincèrement, d’où le manque de résultats. Mon médecin traitant, qui ne me connaissait que depuis quelque mois, ne maîtrisait pas la situation. Il tenta à plusieurs reprises de prendre contact avec cette psychiatre pour lui passer la main dans le traitement de mes insomnies, mais la psychiatre refusa ne souhaitant pas qu’il y ait d’interférence médicamenteuse entre elle et moi. Mon médecin enchaîna différents médicaments qui s’ajoutèrent les uns aux autres, différents anxiolytiques, neuroleptiques, antidépresseurs, somnifères, etc. Bien entendu le tout sans résultat. Peu à peu je sombrais dans une dépression des plus graves avec tentatives de suicides quasi quotidiennes, alcoolisme, anorexie et boulimie en alternance.
Après quelques mobilisations des aînés venant me soutenir, ils répondirent de moins en moins à mes sollicitations, on m’incita à ne plus venir aux réunions de discussions, je me sentais peu à peu abandonnée de tous. Cela dura un an, j’étais en arrêt maladie. Les responsables continuèrent à me culpabiliser, me disant que ma foi n’était pas sincère, que je doutais des bienfaits de la Loi, d’où l’aggravation de ma situation. On m’expliqua que j’avais un si mauvais karma que je devais payer dans cette vie tout le mal que j’avais fait dans les autres. Ils me dirent que transformer mon karma maintenant était une grande chance, que traverser toutes ces épreuves me ferait bénéficier dans une prochaine vie de tous les bienfaits accumulés grâce à tous ces combats que je menais.
La sortie
Jusqu’au jour où, suite à une énième tentative de suicide où j’ai frôlé la mort, je décidai d’arrêter d’aller voir la psychiatre, de stopper tous les médicaments et je pris de la distance avec la Soka Gakkai. Je reprenais conscience de moi-même et analysais l’attitude des membres qui prônaient l’union dans l’adversité, la solidarité quand un membre du groupe était en difficulté, mais ne me manifestaient aucun soutien. Au bout d’un an d’arrêt maladie, je perdis mon travail pour inaptitude à mon poste. Je me suis retrouvée au chômage. Je constatais la fausseté de leur parole, je réalisais que la pratique assidue n’améliorait en rien ma situation, alors je décidai d’arrêter toute pratique car je réalisais que j’étais en train de détruire ma vie.
Comme par miracle, de nouveau une forte mobilisation ressurgit, mais ma décision était prise. Lorsque l’on quitte la Soka Gakkai il faut restituer son objet de culte, ce qui se fait ordinairement lors d’une cérémonie. Les conditions de cette cérémonie ne pouvant jamais être réunies, c’est une maladresse d’un des membres qui me donna l’opportunité de rendre mon objet de culte, ce que je fis promptement. Nous étions fin 2005.
La sanction fut immédiate, plus de nouvelle de personne, sauf 6 mois plus tard, une responsable de Paris me relança par téléphone un soir à 22h45 : ce dernier acte m’a convaincue définitivement que j’avais pris la bonne décision. Du jour au lendemain, nous nous retrouvâmes seuls avec mon mari, car évidemment nous avions perdu tous nos amis d’avant, puis tous les bouddhistes du groupe disparurent à leur tour alors que nous n’avions plus qu’eux. Tout était de nouveau à reconstruire, les amis, le travail et retrouver notre confiance. Ma vie privée fut terriblement éprouvée par ce parcours. Il me fallut cependant plus d’un an pour me retrouver psychologiquement, et presque 2 ans pour reprendre suffisamment confiance en moi et être apte à reprendre une activité professionnelle.
Magazine "Bulles" N°26
Auteur : Yvon
Date : 27 oct.17, 04:39
Message : 
Auteur : algol-x
Date : 27 oct.17, 10:06
Message : Quand j'ai rencontré la Soka Gakkai, il m'a semblé qu'un groupe de personnes essayaient d’établir l'harmonie et la paix dans le monde. "Sur le développement de l'enseignement correct pour développer la paix de la terre"! Mais rien de tel n’existe dans un monde de problèmes complexes alimentés par le terrorisme, la guerre et l'exploitation de l’homme par l’homme. Un groupe de bouddhistes répétant un mantra et travaillant pour un monde meilleur; c'est séduisant pour des jeunes qui essaient de trouver une certaine valeur à des vies fragmentées.
J’étais donc attiré par la philosophie de la Soka Gakkai. Du jour au lendemain, je me suis senti comme un grand missionnaire, qui fait partie d'une entreprise sans précédent sur cette terre, qui sauvera finalement l'humanité de ses divers dilemmes et de sa misère. Mon estime de soi est allé très haut. Je ne me souciais de rien, comme les choses banales que nous faisons pour survivre dans ce monde. J'étais un héros. Ikeda Sensei était le plus beau cadeau que l'humanité ait jamais eu. Je suis un bodhisattva éternel de la terre, dont le seul but est d'éradiquer la souffrance et la misère de la terre. Et qui fait cela en ce moment sur la terre? Seulement Soka Gakkai.
Donc tout ce qui contrecarrait l'idée positive que je me faisais de de Soka Gakkai était mauvais, ceux-là ne pouvaient plus être mes amis, ma famille, ma littérature, ma religion, mon dieu etc. Puis ma vie pris un tour de plus en plus négatif, meeting après meeting, visites de pratiquants chez eux, rencontre de membres après rencontre de membres. Travail après travail pour la Soka Gakkai. Comme je pensais faire le travail le plus noble du monde, je me sentais en droit de tout ignorer, ma famille, ma carrière, mes amis, mes loisirs, mes passe-temps, mes passions ... Ma seule passion était Gakkai et sa croissance. J'ai été félicité pour mon dévouement. Choyé par les dirigeants et suis devenu très populaire dans l'organisation. "N'attendez pas de bons moments, prenez les mauvais comme une occasion de grandir". À un moment donné, j'étais complètement vide, que devrais-je faire de ma vie s'il n'y avait pas de Soka Gakkai? Mes amis et ma famille étaient inquiets pour moi. Mais j'étais tellement impliqué dedans, que personne ne pouvait rien pour moi. Ils m'ont juste laissé partir ...
8/9 ans ont passé .. Je n'avais aucune croissance personnelle dans ma vie. J'échouais continuellement dans mon travail comme si ma priorité était le seul devenir de Gakkai. Ikeda gagnant plus de 300 doctorats sans aller à l'université m'a fait réfléchir, je peux faire de grandes choses même sans une bonne éducation. Si tu travailles pour Kosen rufu, le Gohonzon t'accordera tout. J'étais toujours sur la corde raide financièrement. J'avais l'habitude d'essayer d'économiser de l'argent pour mes activités. Si vous devenez un leader, vous devez acheter beaucoup de livres et assister à de nombreuses réunions, certaines dans des villes différentes, ce qui coute énormément d'argent pour une partie de la jeunesse. Certains sont toujours endettés. Comme je l’étais moi même devenu. Pendant ce temps Ikeda Sensei a cru de plus en plus, plus de 300 doctorats sont devenus 400+.
Mon expérience et mes responsabilités dans l'organisation ont grandi de plus en plus. Mais rien n'a changé dans ma vie. J'empruntais toujours de l'argent à mes amis et à ma famille pour remplir mes responsabilités de Gakkai. Après avoir perdu la moitié de mes amis et transformé l'autre moitié en ennemi, j'ai réalisé que l'homme que nous adorons comme un demi Dieu, comme le plus grand mentor de l'humanité, a violé des femmes, fait des choses désagréables pour acquérir du pouvoir et de la richesse, principalement en jouant sur la peur et les émotions des gens ordinaires.
Vous voulez atteindre un statut de Bouddha dans le monde contemporain ? Toda Sensei avait dit, Soka Gakkai est plus précieux que ma vie elle-même. J'ai toujours soutenu cela. À ce moment-là ne le savais pas, mais Gakkai utilise seulement ses membres pour obtenir de l'argent et pour promouvoir la marque Ikeda dans le monde afin qu'il reste toujours une figure légendaire dans l'histoire. Hélas .. Les nazis ont tué des millions sur la lumière du jour. Maintenant Soka Gakkai tue les âmes des gens à la lumière du jour au nom de Kosen rufu dans le monde entier. Des millions et des millions de personnes sont tombées dans ce piège et tombent toujours. Il a pris les vies de beaucoup de jeunes, et continue de les prendre ... Ne les tuant pas physiquement, mais psychologiquement. Leur lavant le cerveau, pour qu'ils puissent travailler pour Ikeda tout au long de leur vie ou dépensant pour lui leur argent durement gagné. Cela m’a pris ma jeunesse. Pour être honnête, après tant d'années passées à Gakkai, maintenant je suis dans un état de choc et de traumatisme sur la façon dont je vais diriger ma vie. J'ai des pensées suicidaires. Si vous êtes un jeune ou que vos parents pratiquent, faites attention! Vérifiez les faits avant de plonger dans cette organisation monstrueuse.
Le point central de toute la philosophie et des conseils de Soka Gakkai ou quoi que ce soit est toujours Ikeda Sensei. Alors que dans le bouddhisme, c'est la loi qui est suprême. "Soyez une île pour vous" étaient les derniers mots du Bouddha. Pas celles d’un soi-disant mentor. Toutes les expériences et témoignages dans Soka Gakkai sont basés sur le nombre d'individus qu’une personne pourrait introduire ou recruter dans l'organisation. Ou combien d'argent il / elle a donné, après quoi il / elle a eu une manne d'avantages. Ceci est un message silencieux envoyé à tout le monde; faire un don et recruter des gens. Plus les gens viennent, plus les livres d'Ikeda seront vendus, plus il y a de dons. * Les hauts dirigeants fonctionnent de manière robotique et secrète, car ce sont des figures importantes. Les membres ont très peu de connaissances sur le sort de Sensei. Quel salaire les hauts dirigeants obtiennent. Seul le staff le plus important entourant Ikeda est un personnel rémunéré. Payez avec empressement pour leur apporter plus d'argent. La foi a très peu à voir avec tout cela. * Ils utilisent toujours la musique ou la culture pour capter l'émotion des membres. Après une session musicale ou culturelle agréable et enjoué, tout ce qui vous est dit semble correct. Seul Ikeda peut écrire des livres qu’il vendra ensuite à travers Gakkai . Personne d'autre ne peut le faire. Parce que c'est son culte.
vous ne pouvez pas poser de questions sur le fonctionnement de l'organisation. Les membres sont juste des moutons. Tout ce qui vient d'en haut, doit être suivi. Il nomme les gens à la direction, qui peuvent avoir du temps et de l’argent pour eux. La foi est juste un mot.
Quitter Soka Gakkai est plus désastreux que la bombe nucléaire. C'est comme ça que le départ de l'organisation est vendu aux membres. Ne quittez jamais la Soka Gakkai ! Tout au long de votre vie, travaillez gratuitement et donnez-nous de l'argent régulièrement. Et dites à vos enfants de le faire à leur tour.
La jeunesse et la division future sont ce qu’il y a de plus précieux pour eux, car ils sont faciles à manipuler. Ils sont les revenus pour le futur. Il faut les formater quand ils sont malléables ! Les jeunes filles ou les ywds sont habitués à chanter et à danser en continu sur les chansons de Gakkai avant les événements importants pour élever l'esprit des membres. Bravo les filles pour votre dévotion à Ikeda Sensei…
Et il y a tellement de choses que je continuerai d'ajouter si je m’en souviens. J'ai écrit cela seulement pour informer les jeunes, et les inciter a se méfier afin de ne pas tomber dans ce piège. Beaucoup de gens du commun se sont sacrifiés pour satisfaire des egos monstrueux dans l'histoire. Ikeda en est un, vivant ou déjà mort, personne ne le sait.
https://www.reddit.com/r/sgiwh [...] ka_gakkai/
Auteur : Yvon
Date : 27 oct.17, 18:13
Message : suite:

Auteur : algol-x
Date : 28 oct.17, 06:02
Message : Ce dont les gens doivent être conscients, c'est que les groupes de personnes qui exploitent les vulnérabilités des autres pour gagner de plus en plus de membres pour leur organisation ne sont pas des amis. Leur association avec vous dépend entièrement du fait que vous ayez le même système de croyance qu'eux, et si vous arrivez à le dépasser (cela arrive), vous serez complètement occulté.
J'ai vu cela encore et encore et encore, dans toutes les religions intolérantes. Sache juste que, pour toutes ces années que tu as consacrées à l'une de ces croyances intolérantes, comme la SGI, si tu pars, tu pars sans rien. Vous auriez pu vous faire des amis ailleurs pendant ces années, des amitiés basées sur beaucoup de choses que vous avez en commun, mais qui ne dépendent pas entièrement de ces croyances; des amitiés où les divergences d'opinion favorisent une conversation animée et des liens plus profonds, alors que vous continuez à vous aimer malgré des points de vue différents. Ces relations durent. Les gens autour de vous ont ce genre d'amitié, souvent avec un groupe étendu et varié d'amis.
Les cultes intolérants ont des mécanismes pour isoler leurs membres. La langue particulière, le calendrier des activités, les exhortations que le groupe dont ils sont membres est absolument le meilleur, le plus important, le groupe IDEAL dans le monde entier, sur lequel repose quasiment le destin du monde. Leur enseignement est la seule vérité qui peut sauver les gens, toutes les religions intolérantes sont en accord sur ce seul point "Elles sont les seules à être justes et correcte."Les relations dans les religion intolérantes ne durent pas quand vous les quittez.
Dans les sectes telles que la SGI, les opinions conflictuelles ne sont pas permises (les fidèles apprennent assez vite que l'accord est loué et encouragé, tandis que le désaccord est accueilli avec des froncements de sourcils et des désagréments voir pire). Une façade d'amitié heureuse est promue, et ceux qui échouent à adopter cette façade se trouvent vite marginalisés et délaissés. À moins que vous ne fassiez ce que les dirigeants de la secte veulent, si vous n'avez aucune utilité pour eux vous serez d'abord encouragé, ensuite réprimandé, puis censuré, et finalement rejeté. J'aurais dû m'en rendre compte quand, après 5 ans, je suis parti. Le seul membre de SGI qui voulait rester en contact avec moi essayait juste de me vendre des trucs.
https://www.reddit.com/r/sgiwh [...] ely_to_be/
Auteur : Yvon
Date : 28 oct.17, 21:18
Message : Tout le contraire de ce que j'ai connu en 33 ans de pratique . Deplus il est interdit de faire du "buisseness " entre pratiquant .
Auteur : algol-x
Date : 29 oct.17, 00:46
Message : Les membres de Gakkai incitent au conflit par leur pratique de hobobarai, une mesure qui incluait l'élimination des objets et des instruments liés à des croyances autres que celle de la Soka Gakkai dans la maison des nouveaux convertis. À l'époque de Toda, les nouveaux convertis avaient l'obligation de brûler les talismans shintoïstes, les autels bouddhistes et leurs images, les bibles chrétiennes et même le mandala émis par les sectes rivales de Nichiren.
Un résultat du "hobobarai" dans les premières décennies de l'expansion de Soka Gakkai fut la destruction par des convertis à la Soka Gakkai de milliers de mandalas, de talismans et d'autres objets anciens qui constituaient le riche héritage de la pratique bouddhiste. Cette destruction massive a infligé d'énormes dommages à l'héritage culturel du Japon en effaçant essentiellement des siècles d'histoire bouddhiste au niveau local (conversations avec Nakao Takashi, éminent érudit du bouddhisme Nichiren, été 2008).
Soka Gakkai a diminué les exigences de hobobarai ces dernières années. Le groupe n'a plus besoin que les nouveaux convertis brûlent des objets de religions rivales, alors que les membres des années Toda et Ikeda avaient l'interdiction de participer à des festivals sponsorisés par des sanctuaires shintoïstes (matsuri) ou de visiter des sites religieux célèbres, Soka Gakka interprète cela maintenant comme des activités « culturelles » plutôt que religieuses et permet à ses membres d'y participer tant qu'ils s'abstiennent de prier des divinités non orthodoxes ou des images bouddhistes.
Nous avons déjà discuté ici de l'insistance de la Soka Gakkai sur le "hobobarai" ou la destruction d'objets d'autres religions. Je me souviens d'un chef d'unité de division masculine (à l'époque où il y avait un niveau inférieur au chef de groupe, qui était chef d'unité) racontant comment sa mère lui avait donné un collier avec une sorte de symbolisme chrétien avant qu'il rejoigne ce pseudo-bouddhisme, et comment il s'était senti obligé de s'en débarrasser. Mais il ne pouvait pas supporter de le jeter, alors quand il était de retour à la maison, il le cacha dans le fond du tiroir de sa mère. N'est-ce pas triste que des gens gentils, consciencieux, sensibles, réfléchis soient poussés à de tels comportements par un culte comme Soka Gakkai / SGI?
Remarquez aussi que l'on trouve ceci dans les 26 Admonitions de Nikko, considéré comme un fondateur à côté de Nichiren : Les croyants laïcs devraient être strictement interdits de visiter les temples et sanctuaires [hérétiques]. De plus, les prêtres ne devraient pas visiter les temples ou les sanctuaires calomnieux, qui sont habités par des démons, ne serait-ce que pour jeter un coup d'œil alentour. Le faire serait une pitoyable violation [du bouddhisme de Daishonin.] Ce n'est pas mon point de vue personnel; elle dérive entièrement des sutras [de Shakyamuni] et des écrits de Nichiren Daishonin"
Il n'y a aucune ambiguïté ! Pas le moindre!! Je n'ai jamais pratiqué nulle part où il y avait un temple bouddhiste, jusqu'à ce que je déménage à So. CA, il y a un temple Nembutsu à proximité, qui a un festival d'obon (été) très populaire ou beaucoup de gens vont, avec un groupe de tambour taiko (tambour japonais ndlr) et les seuls cours de langue japonaise en ville (beaucoup d'expatriés japonais, y compris les membres SGI, y inscrivaient leurs enfants). Eh bien, depuis que j'ai étudié, je savais qu'aller dans les temples hérétiques était strictement interdit (voir ci-dessus), alors j'ai demandé à mon Jt. Terr. chapitre leader (Women division) des informations à ce sujet - et elle a dit qu'il était bon d'y aller! "Amusez-vous bien!" Après j'ai eu une expatriée japonaise une Women leader qui voulait que je m'en sépare.
Elle est morte deux semaines après m'avoir dit que je devais me débarrasser de mes Nichiren Shu gohonzons (que je considère comme des œuvres d'art) et ne pouvait pas expliquer pourquoi cette action extrême était nécessaire. disant juste que je devais pratiquer jusqu' à être d'accord avec elle.
Auteur : Yvon
Date : 29 oct.17, 01:26
Message : C'est sûr on mélange pas les torchons et les serviettes . Ceci dit c'est propres au Japon .
j'ai connu une pratiquante qui était au départ trés catholique, elle à donc décidé de pratiquer devant le christ et le gohonzon mis l'un à coté de l'autre. Elle faisait donc 2 pratiques à chaque fois l'une catho , l'autre bouddhiste .
Puis finallement petit à petit elle s'est éloigné du christ et à gardé le gohonzon , qui pour elle était bien mieux efficace au niveau de l'énergie vitale et de la résolution de ses difficultés .
Auteur : algol-x
Date : 29 oct.17, 07:11
Message : Cette pratique s'est progressivement enroulée autour de moi comme un serpent autour de ma colonne vertébrale, donc impossible de s'en rendre compte sur le moment. On te promet que si tu pratiques, il va t'arriver des choses merveilleuses, et que tu va accumuler un nombre incalculable de bienfaits.
Là, je vais te parler d'un point de vue ésotérique (pour le point de vue endoctrinement, je vais en parler dans le prochain paragraphe). Concrètement, cette pratique n'apporte que malheur et t'enfonces petit à petit dans la merde. À cause de cette pratique, je me suis fait renverser par une voiture, j'ai eu des problèmes d'argent, mes impôts locaux ont doublé alors que mes revenus n'ont pas bougé (ni mon appart, en sachant que je suis le seul de mon entourage à qui c'est arrivé), j'ai eu des hémorroïdes, mes relations avec mes parents et mon petit frère sont devenues catastrophiques, j'ai pris énormément de poids alors qu'avant il était parfaitement stable, etc... Et comme par hasard, depuis que j'ai arrêté cette pratique, tous les problèmes cités plus haut sont en train de se résoudre.
Pour le côté establishment/endoctrinement, leur méthode est TRÈS efficace, ils utilisent une méthode de faux cul, par exemple: "tu peux faire comme tu veux, chacun est totalement libre, MAIS ce serait mieux si tu faisais comme ça". Ils ne font pas payer les activités et autres réunions de discussions (zad dans leur jargon), ils te prêtent leurs bouquins, etc, mais tu es subtilement et de manière régulière encouragé à acheter les bouquins du gourou Ikéda et à t'abonner aux revues (Cap sur la paix, Valeurs Humaines). On t'encourage constamment à faire Shakubuku (transmettre le bouddhisme aux autres selon eux), pour accumuler de la bonne fortune, mais en se renseignant sur le net (je parle japonais, donc je peux confirmer que c'est une vraie traduction), on s'aperçoit que "shakubuku" signifie "Briser et soumettre". En zad, on t'incite à raconter tes "expériences", mais en fait, c'est pour endoctriner les gens et leur montrer à quel point la SGI est supérieure à toute autre organisation. On rabâche aussi très souvent que les autres formes de bouddhisme sont des hérésies (surtout le zen et le tibétain, alors qu'ayant pratiqué ces deux formes de bouddhisme, j'ai constaté après mûre réflexion qu'elles sont bien mieux que cette "organisation".
Ils ont tout prévu afin d'éteindre toute flammèche de doute: les "3 obstacles 4 démons". Si quelque chose ou quelqu'un t'éloigne de la secte, c'est un des 3 obstacles ou des 4 démons qui utilise cette chose ou personne, afin de mettre ta foi à l'épreuve et te faire arrêter de pratiquer. Ils ont la réponse à toutes tes moindres questions et doutes (même si souvent, c'est vague et que ça ne répond en rien à ta question). Et tu as un responsable qui t'appelle et qui vient chez toi pour pratiquer avec toi chaque mois, afin de s'assurer que tu restes bien dans la secte. Et ils pensent que c'est absolument "NÉCESSAIRE" de venir chez la personne afin de "comprendre ce qu'elle vit", car "tu ne peux saisir le cœur de quelqu'un qu'en venant chez lui". En fait, chez toi, tu te sens en sécurité, du coup, ils peuvent te faire avaler n'importe quoi beaucoup plus facilement que si tu les rencontrais en dehors de chez toi.
Au fait, avant toute activité ou réunion, ils pratiquent leur mantra maléfique (ça s'appelle daimoku) et récitent des extraits du Soutra du Lotus (ça s'appelle gongyo) pendant minimum une demie heure, comme ça, ton esprit est bien malléable et manipulable, et on peut te manipuler très facilement.
Daimoku, c'est tous simplement répéter le mantra "Nam Myoho Rènngué Kyo" en boucle. T'en as certains qui le font pendant plusieurs heures par jour. Le minimum recommandé (même si officiellement, ils prétendent que chacun est libre de pratiquer le temps qu'il veut) est environ une heure par jour (en comptant gongyo: la récitation d'extraits du sutra du lotus)
Et s'ils t'arrive des emmerdes, ce qui pour une personne normale signifie: "leur truc ne marche pas, la preuve", eh bien ils te félicitent et se réjouissent qu'il t'arrive des emmerdes (ils appellent ça des obstacles, voir les 3 obstacles 4 démons cités plus haut, j'ai mis le lien vers leur site), car c'est la preuve que tu pratiques la religion correcte, que tu progresses, et que tu vas bientôt recevoir d'énooooormes bienfaits. Je les attends toujours les bienfaits...
Ils prétendent aussi que quand tu fais du bénévolat pour eux en faisant les activité Soka (pour les hommes), Byakuren/lotus blanc (pour les femmes) et keibi (pour les hommes seulement), tu accumules une bonne fortune incommensurable (que j'attends toujours...).
Les Soka ouvrent les portes et saluent les membres en souriant comme des imbéciles, les byakuren/lotus blanc font pareil, mais en plus, font les bonniches en s'occupant des stands bouffe et boisson, et en apportant à boire aux membres. Les Keibi, ce sont des hommes à tout faire: ils doivent faire le ménage, répondre au téléphone, s'occuper du son et du projo, ouvrir les portes, les fermer, allumer et éteindre les lumières, etc...
En plus, ils doivent tous (les bénévoles) porter un uniforme qu'ils doivent acheter par leur propres moyens, sinon, "c'est pas bien". Ils sont tous en costard cravate, mais il y a des codes vestimentaire pour chaque catégorie: les soka ont une veste et un pantalon bleu/noir, chemise blanche et cravate rouge, les keibi, tout pareil, sauf qu'ils s'habillent tout en blanc (sauf pour la cravate qui est toujours rouge), les byakuren/lotus blanc (qui sont uniquement des femmes) s'habillent pareil que le soka mais en version féminine: jupe/pantalon noir/bleu, chemise blanche, foulard rouge autour du cou, veste bleue/noire. À noter le manque cruel d'originalité dans ces uniformes, puisque pompés sur ceux des lycéens/lycéennes au Japon.
Les keibi doivent se lever à 6H du mat' (5H pour ceux qui ouvrent le portail), et finissent leur journée à 22H. Et ce, pendant une semaine. On nourrit les keibi et on les loge, mais c'est tout, le trajet vers le centre de Trets est à leur charge, sauf s'ils viennent en train, à ce moment-là, à la deuxième fois qu'ils viennent leur trajet est remboursé. Les Soka et les byakuren, eux, doivent tout payer de leur poche (alors que, je le rappelle, ils sont bénévoles): environ 200€ pour 3 jours de séminaires (dont 2 nuits), sachant qu'il faut payer un supplément pour avoir droit à un peu de vin et que la bouffe est aussi dégueulasse que dans une cantine de collège/lycée, + le trajet aller-retour. Le "chef cuisinier" japonais (qui en fait réchauffe des plats de cuisine centrale au micro onde) est tellement un [ATTENTION Censuré dsl] qu'il a refusé presque tout le temps de me donner du vin au repas (alors que c'était le soir, et que les keibi y ont droit) quand je faisais keibi. Je crois qu'il m'en a donné une mini-carafe une seule fois (sachant qu'on est 6 keibi).
Les personnes qui organisent le séminaire et s'occupent des conférences sont elles aussi bénévoles et doivent tout payer de leur poche. Et surtout, en séminaire, le plus important, c'est les "expériences" que les gens racontent au micro. Expériences qui, bien sûr ont été sélectionnées attentivement par les cadres de la secte des mois avant. Elles servent à motiver les pratiquants et à les maintenir dans la secte en leur faisant croire que leur mantra est le truc le plus efficace de la terre. Plus une expérience est émouvante, mieux c'est. Le but étant de manipuler les gens efficacement en jouant sur leurs émotions. Sans oublier les vidéos de propagandes qui montrent à quel point "Sensei", le gourou est un homme génial, courageux et gentil. Ils chantent aussi des chansons de propagande de la secte qui n'ont rien à envier aux chorales soviétiques (mais dont le style est exactement le même). Et il y a le spectacle le dernier soir, fait par les membres. C'est horrible: ils chantent faux, et ils utilisent les trucs commerciaux les plus bisounours et mainstream qui passent à la radio en trafiquant les paroles à leur sauce.
Ils se font passer pour une religion rationnelle tout en tenant des propos qui ne le sont pas. D'ailleurs, leur gourou passe son temps à rencontrer des dirigeants politiques et religieux, et autres célébrités, mais pas une seule fois, il n'est allé rencontrer un dirigeant religieux bouddhiste, PAS UNE SEULE FOIS. Et quand je leur ai demandé pourquoi, il n'ont rien trouvé à répondre à part: les autres mouvements bouddhistes sont des hérétiques qui nous haïssent, qui ne pratiquent pas la religion correcte et qui ne veulent que notre destruction. D'ailleurs, ils rappellent très souvent qu'ils sont persécutés par tout le monde et que c'est la preuve qu'ils pratiquent la religion correcte
("loi correcte" dans leurs termes).
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t203023 Auteur : Yvon
Date : 29 oct.17, 07:51
Message : je connais l'auteur est un vrai malade .
Auteur : algol-x
Date : 31 oct.17, 09:08
Message : Des constats issus d'une longue expérience
J'ai connu la Soka Gakkai qui se dénommait alors "Nichiren Shoshu Française" en 1975, et aussitôt j'ai commencé à réciter le mantra Nam Myoho Rengue Kyo. En 1988 j'ai adhéré et reçu un premier gohonzon - le mandala objet de culte de la SGI.
La Nichiren Shoshu Française est devenue la Soka Gakkai France (1991) puis l'Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren (2007).
Entre 1990 et 2006, j'ai activement occupé de nombreuses responsabilités bouddhiques. J'ai bénéficié gratuitement de l'entrainement dans la pratique et l'étude en collaborant aux groupes Soka puis Montechristo, chargés de l'accueil des participants aux activités dans les bâtiments de l'organisation.
J'ai étudié la doctrine en lisant toutes les publications éditées en français depuis le début des années 1960. J'ai exploré et observé l'organisation de très près, en côtoyant "dans l'ombre", c'est à dire discrètement, les pratiquants ordinaires et les responsables officiels français et européens .
Mes connaissances de la SGI sont issues d'une très longue étude sociologique à l'intérieur même de cette école bouddhique, autant que d'études philosophiques bouddhiques équivalentes à un niveau Doctorat, mais elles résultent aussi de très riches et complexes expériences personnelles. Je suis très satisfait des bénéfices inépuisables que je tire de cette formation et de ces recherches.
Maitre Souverain & Parent
La question vitale aujourd'hui est d'identifier la nature réelle de ces gurus et autres guides spirituels qui pullulent dans le Nouvel Âge. Sont-ils, sont-elles, des personnes qui accomplissent un rôle d'éveilleur, de guide vers l'éveil par soi-même ou qui aliènent à leur personnalité charismatique des êtres en quête d'un refuge, d'une église, d'une figure parentale substitutive, d'une idéologie prête à l'emploi, d'un modèle de souverain idéal ?
J'ai appris longuement auprès du maitre bouddhique de la SGI : Daïsaku Ikeda. Tout en l'observant attentivement j'ai étudié l'évolution de ses disciples et de son école philosophique. Son Ego réunit ces deux tendances d'éveilleur et d'aliénateur. Grâce à quoi il a rigoureusement formaté la structure relationnelle de son organisation autant que les comportements de ses élèves.
La Soka Gakkai Internationale : creuset de la relation maitre et disciples
Maitre Ikeda enseigne une philosophie morale fondée sur des principes spirituels (sûtra du Lotus) qui ont évolués sur plus de deux mille ans à travers l'espace culturel extrême oriental, en les adaptant à la civilisation contemporaine mondialisée, tout en respectant l'esprit originel de ses fondateurs (Shakyamuni, Tien Tai, Nichiren).
Dans le contexte de l'époque où il a commencé son "ministère", Daisaku Ikeda était intrinsèquement conditionné par les contraintes et les impératifs sociologiques, politiques et économiques d'un Japon à peine sorti du moyen âge et de la défaite - Hiroshima.
L'idéologie de base de la Soka Gakkai est fondée sur des principes de conditionnements sociaux et culturels spécifiquement japonais. Ils sont à la base de la structure de l'organisation religieuse exportée durant les 50 dernières années de la propagation mondiale de la doctrine bouddhique de Nichiren.
Le conditionnement mental des nouveaux disciples au sein des organisations nationales de la SGI à travers le monde est conçu et réalisé avec l'aval et le soutien des dirigeants locaux, qui souscrivent entièrement au modèle idéologique d'origine.
Ces bases politiques et religieuses imprègnent et déterminent toujours toutes les modalités de fonctionnement de la SGI, dont la doctrine interne dit qu'elle est le seul creuset véritable de la relation maitre et disciple, indissociable de toute pratique de l'enseignement bouddhiste...
Une Église Conventionnelle
Dénommer secte le mouvement spirituel de la SGI - et de l'ACSBN sa branche française "indépendante" - équivaut à le définir comme dangereux. Toutes les mouvances religieuses se font taxer de sectes à un moment de leur histoire...
La Soka Gakkai est l'émanation d'une religion déjà établie qui s'est regroupée autour d'un maître à penser. Elle propage comme beaucoup d'Églises une morale bourgeoise conventionnelle en accord avec les us et coutumes les plus traditionnels. Elle incite chacun de ses adeptes à mener une existence de bon citoyen, à appliquer strictement les lois en vigueur dans le pays, à respecter l'ordre social républicain établi, et à y contribuer dans le cadre et l'application de ses règles, de ses droits et de ses devoirs.
Gouvernance Interne
Par contre, ce que beaucoup de détracteurs de la SGI et de l'ACSBN semblent ignorer, c'est la nature de l'idéologie morale et politique qui fonde la gouvernance interne de cette organisation.
Quelques exemples dans le désordre... Les directeurs et directrices, ou responsables officiels au niveau national, chargés de l'administration religieuse, financière, administrative et juridique sont cooptés et nommés après consultation du président de la Soka Gakkai Internationale Daïsaku Ikeda ou par le biais de ses représentants.
Les ministres du culte chargés des cérémonies des mariage et des décès, les responsables bouddhiques chargés au niveau local de la propagation de la doctrine, de l'animation des groupes de croyants et des encouragements dans la foi se cooptent entre eux sur la base du mérite moral.
Les responsables locaux comme les pratiquants ordinaires de cette association cultuelle n'ont strictement aucun statut légal, ni droit de regard, ni de participation dans la gestion de l'ACSBN. Ils sont des croyants qui participent à des réunions et des séminaires, mais pas aux choix et aux orientations de l'organisation.
Ils peuvent donner de l'argent, mais ce n'est pas obligatoire. Il n'existe plus aucune pression morale incitant à faire des dons. Même si au cours de l'histoire de la Soka Gakai en France, le don financier a été assimilé à un acte de foi permettant de transformer son propre rapport à l'argent et à la prospérité. Et bien que parfois certains responsables bouddhiques officiels, dépourvus d'une intelligence évoluée et animés d'intentions spirituelles douteuses, ont lourdement insisté sur la nécessité de contribuer financièrement au fonctionnement de l'association.
Les Églises connaissent toutes ces dérives. Cependant, les comptes de l'organisation française ne sont pas publiés et les dirigeants se refusent à les rendre publiques. Malgré les nombreuses demandes parfois assez incisives et insistantes de ses pratiquants dépourvus du statut officiel d'adhérents donc sans recours légaux possibles.
La totalité des décisions concernant l'évolution de l'ACSBN et de ses activités, comme les restructurations inhérentes à toute organisation qui se développe, les orientations générales annuelles, les implications dans la vie sociale et culturelle française, les choix des sujets liés à l'étude, à leurs publications, comme les thèmes des séminaires, ne sont pas débattus et choisis par tous les croyants mais par les instances décisionnaires nationales, européennes ou internationales.
La démocratie du cœur est le fondement de l'idéologie de la SGI. La démocratie participative y est prohibée officiellement. La politique de gouvernance archaïque de leur association cultuelle induit qu'aucun changement de politique interne n'est envisagé par les diverses directions nationales et internationales du mouvement.
Voie d'Évolution ou de Dévolution ?
Les bouddhistes de cette institution religieuse recherchent la maitrise à conduire leur existence vers le bonheur, le bien être mental et physique, l'abondance, la joie, etc. Une majorité abordent cette pratique comme une voie d'évolution intérieure. Car, comme tout un chacun, dans les faits de la vie quotidienne, ils oscillent entre névrose et psychose plus ou moins consciemment.
Leur culture judéo-chrétienne influence leur approche de la spiritualité. Ce qui ne résorbe pas l'inconscience de leur état. Leurs troubles et souffrances sont accentuées par le dogmatisme chronique - souvent honteux et inavouable - véhiculé au sein des réunions de prières et de discussion auxquelles ils participent.
C'est une réalité que n'importe qui, avec un peu de discernement et de lucidité, peut constater en lisant leurs publications, en écoutant leurs discours, en fréquentant leurs groupes. Beaucoup de textes et discours officiels, comme ceux des pratiquants ordinaires, utilisent souvent des jargons exotiques empruntant des termes à la langue japonaise et au corpus doctrinal bouddhiste sans les adapter correctement aux mentalités religieuses occidentales.
L'étude de leurs publications sur une période de trente ans (1975/2005) montre l'absence d'une mise à jour intellectuelle complète de leurs doctrines, et l'usage d'une sémantique obsolète dans leur enseignement des idées et rituels. Les références scientifiques sont souvent conservatrices et ignorent bien des découverte les plus contemporaines dans les divers domaines du savoir. Lesquelles avancées apportent pourtant un éclairage, parfois très précis, et donc une meilleure compréhension aux théories antiques de la philosophie orientale.
Les modèles culturels de la doctrine elle même sont anachroniques, par exemple : les cérémonies religieuses du mariage et des défunts calquées sur le rituel japonais, ou encore de nombreuses règles morales et sociales issues du confucianisme.
Donc, alors qu'ils recherchaient à évoluer individuellement, ces croyants, grâce à la culture religieuse japonaise, se sont orientés vers des modes de pensées et de comportements sociaux normatifs tout à fait respectables sous bien des aspects. Alors évolution ou dévolution ?
Ponts entre Bouddhisme et Penseurs Cosmopolites
Et pourtant Maitre Ikeda transmet des concepts occidentaux, les comparant avec la pensée orientale. Il soumet à l'intelligence des hypothèses philosophiques tirées de textes de penseurs cosmopolites qui invitent à la controverse intérieure, à la réflexion, à l'évolution du langage, à l'élaboration d'une pensée originale et personnelle.
De nombreux discours de Daisaku Ikeda sont traversés d'une véritable critique de la pensée unique qui gangrène sa propre organisation à l'image de la société internationale. Les références philosophiques et historiques qu'il cite, sont le point de départ à des propositions pour faire évoluer les mentalités individuelles et conduire chacun(e) à prendre ses responsabilités de citoyen du monde dans les affaires de son propre pays, de sa propre communauté.
Troisième Civilisation ?
Si cette ouverture idéelle est favorable à l'évolution de la conscience individuelle des bouddhistes de la Soka Gakkai, elle est simultanément noyée par une morale sociale conservatrice rigoureusement incontestable durant les réunions et séminaires. Ce type de dirigisme génère une vraie dichotomie spirituelle entre les dirigeants de l'Organisation Religieuse et ses pratiquants au statut informel.
L'idéologie sociale et politique de la SGI est défavorable à la naissance en son sein d'un mouvement intellectuel propice à l'imagination, à la conception, à la création d'un Autre Monde, d'une Alternative qui remet complètement en question le modèle mondial actuel. Les prises de positions originales et innovantes du maitre restent limitées à la seule lecture de ses discours.
L'émergence de penseurs individuels tout aussi originaux au cœur même des assemblées officielles est impossible, à moins d'engager une polémique cultivée, un débat intelligent, une controverse constructive sur tous les grands sujets de société. L'idée d'un pareil forum interne est formellement bannie par les principes mêmes de fonctionnement des relations dans la SGI.
La philosophie bouddhique est unificatrice. Elle s'applique à toutes les grandes questions du devenir de la civilisation, placées dans une perspective d'écologie humaine en harmonie avec la terre, à tous les sujets concernent l'individu et l'humanité toute entière : relations sociales, économies solidaires, technologies, production industrielle, environnement, agriculture, alimentation, etc.
La pratique de la religion de la Soka Gakkai vise à la création de valeurs de respect global de la vie, qui conduisent à l'émergence du concept d'une Troisième Civilisation inspirée par les paradigmes bouddhiques relus et actualisés à la lumière de l'esprit visionnaire de Daisaku Ikeda.
Cette Troisième Civilisation reste une théorie hybride et démagogique, car elle ne fait ni l'objet d'une mise en application à l'intérieur même de l'ensemble des structures de la SGI, ni dans ses activités quotidiennes. Cette incohérence perdurera tant que la base populaire des pratiquants ordinaires est exclue de la gouvernance globale de l'institution.
Les Pratiques Cultuelles
Si Daïsaku Ikeda a des qualités intellectuelles et une érudition remarquables, ainsi qu'un talent de créateur et de dirigeant d'une ONG agissant dans presque tous les secteurs d'activités sociaux culturels et économiques, son Ego est tout autant extraordinaire.
L'organisation et son maitre à penser occupent une fonction centrale et incontournable dans la pratique cultuelle. Le culte de la personnalité qu'il a su imaginer et cultiver n'a rien d'exceptionnel. Tous les grands chefs religieux font de même.
Cependant, par rapport à l'idéal bouddhique de bienveillance et d'humilité, une telle attitude est déviante, immorale, erronée. L'emprise affective qu'il a réussi à créer, et qui répond aux besoins de ses disciples, est incohérente dans le contexte de l'enseignement des processus d'évolution spirituelle bouddhique.
Ainsi, à la pratique centrale de la méditation par la récitation du mantra devant le mandala, s'est ajoutée la pratique - indispensable et indissociable - de l'engagement dans les activités de l'organisation et celle de la relation maitre et disciple. En soi c'est tout à fait naturel dans le cursus d'une école religieuse. Mais dans la SGI l'organisation et le maitre sont devenus des objets de culte fondamentaux et incontournables à part entière.
Est-ce pervers ? En partie. Le côté obscur inhérent à tout être se manifeste chez n'importe qui. Et puis ce qu'il faut bien comprendre, c'est que la cohésion et le maintient de l'ossature organisationnelle internationale nécessite une manipulation subtile de tous ces concepts si complexes de la pensée bouddhique.
Réunions de Discussions
Les réunions de discussions forment le noyau de l'étude et de la propagation. Les séminaires et autres groupes de rencontres en sont les affluents.
Le discours y est strictement canalisé vers la seule doctrine "orthodoxe", en rapport avec la vie quotidienne des pratiquants, selon une grille d'orientations sociétales consensuelles profondément implantées dans les mentalités par les instances dirigeantes de l'ACSBN. De nombreux sujets importants sont exclus de l'étude et du dialogue au sein de chacun de ces groupes officiellement constitués.
L'ensemble de toutes les questions sur la vie sont traitées depuis toujours par la pensée bouddhique. Elles ont été évaluées et ont fait l'objet d'applications nombreuses à travers les siècles. Les étudier et les transformer fait partie des réelles prérogatives des communautés et organisations qui se réclament des véritables traditions bouddhiques.
Ce qui résulte de cette "auto censure" bien orchestrée dans l'ACSBN et la SGI, c'est que l'expression d'idées politiques au sens large est refusée. Comme celles concernant la vie quotidienne du quartier ou de la commune où agissent et sont impliqués les participants à ces réunions de discussions. Alors qu'ils sont sensés, en tant qu'adeptes, contribuer à l'exercice de la justice et de la démocratie locale.
Il n'est pas permis de diffuser des information sur des alternatives professionnelles et financières différentes et autres que celles qui respectent la ligne républicaine promulguée par l'état, les instances politiques majoritaires, les grands médias, ou les personnalités "politiquement correctes" citées par le maitre, et approchées lors des rencontres officielles de la diplomatie de la SGI.
Pas plus qu'il n'y a pas de discours sur la sexualité et toutes ses problématiques, ni sur les dysfonctionnements de la santé et les possibilités de guérisons offertes par les diverses médecines et thérapies contemporaines... Ce sont des aspects de l'existence qui ne sont pas traités. Ils touchent à des choix et des orientations individuelles qui remettent en cause la "neutralité" de l'ACSBN.
Il en est de même pour l'analyse critique et une polémique constructive philosophique concernant la recherche communautaire de nouveaux paradigmes de gouvernance intellectuelle, administrative et financière de l'ACSBN.
Ces thèmes sont tous historiquement impossibles à mettre en place dans les relations intellectuelles entre les pratiquants de la Soka Gakkai en France pendant leurs réunions officielles d'études et de transmissions.
Si les responsables de la doctrine de la SGI laissaient le champ libre à l'émergence d'une pensée originale indépendante fondée sur l'éveil inspiré par les textes fondateurs, alors toute l'institution finirait par, sinon disparaître, mais certainement se désagréger et se fragmenter...
L'individualisme, l'individuation et le détachement par rapport aux directives de la figure parentale du maitre, est nocive pour un mouvement religieux qui subit une certaine concurrence, et dont la croissance du nombre de ses affiliés stagne depuis la fin des années 1990 (10000 à 20000 participants aux réunions de discussions mensuelles en moyenne) d'autant que régulièrement beaucoup de personnes s'éloignent de l'ACSBN, et ce dès l'origine, du temps de la Nichiren Shoshu Française au début des années 1960.
Révolution Humaine & Psychothérapie
La SGI occulte une partie des idées thérapeutiques méta psychiques inhérentes aux pratiques magico-religieuses des traditions du bouddhisme qui fonde sa doctrine, et qui sont pourtant bien à l'œuvre durant la récitation du mantra Nam Myoho Rengue Kyo. Et alors qu'elles sont décrites dans les textes syncrétistes du sûtra du Lotus et de Nichiren Daishonin.
Même si Maitre Ikeda aborde certains de ces points, les solutions et les explications proposées restent génériques. Dans les traductions françaises de ses discours n'apparaissent aucun parti pris, ni choix, ni orientation thérapeutique.
La pratique du culte du mantra devant le mandala semble se suffire à elle même malgré la reconnaissance de l'existence de nombreux troubles psychologiques naturels, mais aussi inhérents à la pratique de la Révolution Humaine elle même.
Dans toute la longue histoire du bouddhisme les sciences médicales ont occupées une place importante dans la pratique quotidienne des moines et des laïcs qui ont été à l'origine de nombreux progrès. Et ce grâce aux échanges avec les chercheurs d'autres cultures via les routes commerciales notamment.
Une des grandes leçon du bouddhisme c'est que le syncrétisme intellectuel et scientifique est à l'origine de toutes les applications usuelles pratiques, matérielles ou spirituelles, de la vie quotidienne.
Les responsables officiels actuels de l'étude de la SGI rejettent avec sévérité les autres écoles bouddhistes et celles issues des alternatives spirituelles développées depuis les années 1960.
Comme par exemple, les bouddhistes tibétains qui ont développé des connaissances empiriques et des techniques à leurs principes thérapeutiques depuis des temps immémoriaux.
Les dirigeants de la SGI ont choisi d'ignorer très officiellement toutes les découvertes dans le domaine de psychologie et de la psychothérapie. Celles qui sont issues des recherches inspirées par la philosophie orientale et les avancées scientifiques conventionnelles, et qui ont été vulgarisées par de nombreuses écoles ou méthodes thérapeutiques holistiques américaines, européennes et asiatiques
Responsables Bouddhiques & Aide à la Personne
La Révolution Humaine de la SGI est un processus de transmutation profonde de l'inconscient, de l'ego et de la conscience qui provoque les perturbations normales inhérentes à ce type de processus méta psychique. Ce qui nécessite évidemment un accompagnement psychologique, une aide à la personne, par des personnes ayant une formation et des compétences.
Les "responsables bouddhiques officiels" n'en reçoivent aucune de ce type. Ils sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
La méthode d'accompagnement et d'aide consiste à donner des "conseils" - ou directives dans la foi - toujours basés sur les discours de Maitre Ikeda, ainsi que les Lettres et Traités de Nichiren écrits dans le contexte de la société japonaise du XIII ème siècle.
Ces "directives" cherchent à encourager dans sa croyance le pratiquant qui ne parvient plus à faire face ni à ses problématiques intimes, ni à ses blocages inconscients. Le discours de "l'ainé" qui conseille est inspiré par la morale et la doctrine de Nichiren Daïshonin et par les commentaires qu'en a fait Daïsaku Ikeda.
Frustrations & Souffrances
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
Cependant, là où ils se trouvent réellement c'est à un croisement avec des pancartes indiquant diverses destinations. Ils sont tous les yeux rivés face à l'une d'entre elles où ils lisent : c'est là. Alors qu'il y est écrit : c'est par là… Et c'est bien ce qu'en substance explique toute la philosophie bouddhique, quand elle parle d'illusions associées à l'Ego.
Le domaine "supérieur" de l'Éveil se situe "au niveau" de la Conscience Universelle qui transcende et est reliée à la Conscience Individuelle. En clair : l'individu s'entraine à devenir maitre des pulsons incontrôlables de son Ego et son inconscient, et non à en être l'esclave et la victime. Un des aspects de l'Éveil consiste à mettre respectueusement à son service les fonctions de son inconscient, de contribuer à sa croissance dans une perspective d'unité intérieure du conscient avec l'inconscient.
Aliénation & Libération Spirituelle dans les Églises du Nouvel Âge
Mais la SGI n'est pas unique et seule dans ce cas de figure. Toutes les églises, institutions spirituelles, organisations para-religieuses et structures de développement personnel ont pour "fond de commerce" de rassembler, d'endoctriner, de manipuler celles et ceux qui acceptent de s'y engager librement dans l'espoir d'être initiés pour atteindre une élévation spirituelle et la libération de leurs souffrances.
Mais aucune ne détient la solution : la vérité universelle. La pluralité, l'ouverture, intellectuelle, morale, éthique est la base de la recherche de l'information et de son traitement : de l'expérience de l'évolution humaine. Sans quoi la cécité, la stagnation et la dévolution s'installent. L'histoire des religions et philosophies est explicite à ce sujet.
Soumission & Domination
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
Leur incompréhension se renforce d'autant plus qu'ils cultivent inconsciemment leurs tendances les plus insidieuses à la soumission et à la domination relationnelle entre cadets et ainés, dans le contexte de la structure de la SGI… Alors qu'ils sont animés d'un sincère désir de bien faire, et d'accomplir un rôle positif en participant au développement de l'organisation à laquelle ils se sont volontairement ralliés.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels. Tout comme penser et agir au travers d'un code, d'une grille doctrinale, altère l'individualité qui s'aliène à des schémas moraux… Il en résulte un déséquilibre, une dénaturation et des perturbations de la globalité de l'être et de son environnement.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie. Ils ignorent qu'elles sont interdépendantes tout au long des étapes de leur existence.
Mais ils en sont seuls responsables, c'est leur choix et leur expérience.
Choisir son camp !
J'ai largement profité de toutes ces études et expériences dans la SGI. Je m'y suis formé à une compréhension de l'ensemble des phénomènes humains.
Est arrivé un jour où comme dans un cursus universitaire il faut poursuivre sa route et devenir un acteur et un créateur dans le Monde. De plus, vous l'avez bien compris, la fréquentation d'un tel égrégore idéologique et religieux aussi malsain finit par être nuisible. Mais il en est de même avec beaucoup d'autres groupes et organisations idéologiques. Ainsi j'ai tracé la route vers des horizons plus prometteurs…
Sans avoir besoin d'être bouddhiste, ce qui peut se retenir du sûtra du Lotus, c'est que la bienveillance commence d'abord vis-à-vis de soi même.
C'est en grandissant, en s'épanouissant harmonieusement et sereinement que l'être influence favorablement le Monde. L'état de vie d'un humain se répercute dans toute la biosphère. La maitrise liée à l'éveil conduit à savoir distinguer les options salutaires pour son existence : à choisir son camp ! Celui de la néguentropie plutôt que de l'entropie !
Dans les textes bouddhiques l'accent est mis sur l'entrainement à transmuter les poisons en élixirs – l'auto guérison. D'abord cesser de s'empoisonner, ensuite se purifier, puis se nourrir d'aliments pour l'esprit et le corps contribuant à la régénération globale de l'être, à la force vitale, à la créativité spirituelle et intellectuelle.
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t161328 Auteur : algol-x
Date : 02 nov.17, 05:59
Message : Je ne suis restée que trois ans et je savais à la fin de la première année que partirai. J'avais étudié d'autres traditions bouddhistes et je pouvais sentir les aspects incorrects. Peu de mention de Shakyamuni, aucun mot sur les quatre nobles vérités ou le chemin octuple, aucune contribution au reste de la communauté, juste Ikeda (aaaah!) et la Nichiren Shoshu (sifflement!), Et une mine défaite quand j'ai interrogé les dirigeants locaux, un vieil alcoolique amer qui pensait honnêtement qu'il était la réincarnation de l'amant secret d'Emily Dickinson (Mais bon, quand vous avez scandé une absurdité devant une photocopie écrite en pattes de mouches, qui suis-je pour l’appeler un fou?) et une sorcière sénile qui utilisait une association comme un moyen de faire shakubuku en direction de personnes originaires du tiers monde à chaque réunion.
J'ai essayé de rester et de m'efforcer croire. J'ai vraiment essayé. Alors que je m'exaspérais de plus en plus et que je passais plus de temps à pratiquer pour « changer mon karma et augmenter ma foi », ma vie personnelle et mon statut financier se sont effondrés. J'ai parcouru des kilomètres pour aller chercher des gens et les emmener à des réunions, espérant qu’ils nous rejoindraient. Quelques-uns l’ont fait. La plupart étaient visiblement embarrassés. La question la plus fréquente après une réunion était "Qui est ce type, Ikeda dont ils parlent continuellement?"
Puis est venu ce jour. Je ramenais mon mari de l'hôpital lorsque la sorcière sénile mentionnée ci-dessus m'a appelé pour me réprimander pour avoir posé trop de questions lors des réunions, me disant que si j'avais pratiqué d’avantage et m’étais moins interrogé, mon mari n'aurait pas eu de cancer. C'était la dernière portion de conneries. J'ai mis mon gohonzon dans un sac en plastique, j'ai écrit une lettre de démission au siège national et je l'ai déposée chez un chef de district.
Silence. Pas un mot de l'un d'eux. De l'amitié, hein? Depuis, je suis étonné du changement dans ma vie. J'ai du temps et de l'énergie pour prendre soin de moi. Je suis sur la bonne voie financièrement, et mon mari est en rémission depuis deux ans. Tant pis pour tous les maux qui allaient m'arriver si jamais je partais. Surtout, je réalise maintenant que je peux changer ma destinée avec mes pensées, mes mots et mes actions. Pas de vaudou. Pas de "loi mystique". Juste moi, et vivre ma vie. Je n'ai eu aucune meilleure ou moins bonne chance que quiconque. À quel point cela est cool? Les personnes que j'ai présentées à la SGI sont parties dans l'année qui a suivi mon départ. Ils vont bien, aussi. Si vous y êtes encore et pensez à sortir, faites-le! Vous n'avez rien à perdre, seulement de faux amis, une manipulation émotionnelle et financière, et beaucoup de maux de tête. Je suis une preuve vivante.
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] years_out/
Auteur : algol-x
Date : 13 nov.17, 03:40
Message : Je me souviens avoir pratiqué comme un fou pour faire face à une situation financière en n'ayant strictement aucun résultat. C'était douloureux et frustrant, et les gens ne cessaient de me demander si je pratiquai assez ou de manière cohérente. C'est drôle, puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je récitai le mantra pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais en plus une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre pour la pratique et rejoindre tosos.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami de la soka m'a dit que la raison pour laquelle ils harcelaient les gens pour qu'ils reviennent, était relative aux malheurs ou aux suicides prophétisés par la SGI concernant ceux qui font défection. Amusant dans ce cas, que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre.
Je suis aussi fatigué du terme « mystique » chaque fois que quelque choses semblent bien se passer durant la journée. La psychologie a montré que lorsque nous agissons pour réussir quelque chose et pensons celui ci possible, cela arrive plus facilement. Nous n'avons absolument pas besoin d'un mantra ou d'un mandala pour ça. C'est nous qui augmentons nos probabilités de faire mieux.
Il y a tellement de choses que je pourrais dire, mais je vais en rester là pour l'instant...
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] years_out/
Auteur : algol-x
Date : 14 nov.17, 05:08
Message : Ils vous demanderont d'essayer par vous-même, généralement pour une période donnée, mais faites attention - faire N'IMPORTE QUOI d'une manière régulière en voulant y croire, augmente la probabilité que cela devienne une habitude !
Au cours de cette période d'essai, ils vous encourageront également à vous immerger dans la SGI, d' aller aux diverses réunions, de parler avec les dirigeants, de lire les publications, etc..
Vous aurez des leaders désireux de venir vous voir a votre domicile. Tout le monde sera gentil avec vous, bien sûr, intéressé et rempli d'éloges par chacun de vos pets !
L'objectif, dont ils ne sont probablement pas conscients, est de vous rendre accro, d'amener le SGI loin dans votre subconscient (la formation d'une habitude) et votre espace social. Ce qui fait qu' au moment où aura eu lieu la fin de la période d'essai, vous serez prêt à oublier tout ce pourquoi vous avez pratiqué sans rien obtenir.
Il y aura aussi toujours des membres et des leaders, prêts à vous expliquer que la raison pour laquelle vous N'AVEZ rien obtenu, vient de ce que vous n'avez pas assez pratiqué, ou que vous n'avez pas assez lu les conseils de Sensei, ni ne lui avez écrit de lettres (vraiment!). Ou n'avez pas passé assez de temps à répéter le mantra, etc. Vous voyez, il y a une multitude de façons de vous maintenir dépendant de la SGI;
https://www.reddit.com/r/sgiwh [...] _not_work/
Auteur : algol-x
Date : 15 nov.17, 17:16
Message : Chaque fois que le message d'une institution religieuse est davantage centré sur son merveilleux leader ou guru que que sur le chemin spirituel lui-même, il vaut mieux s'en s'éloigner.
Vous irez bien plus loin dans vos vie, si vous quittez SGI. Ce qui vous donnera la capacité et les moyens d'influencer plus efficacement la société pour son amélioration. Quitter la SGI sera meilleur pour votre santé globale, à la fois mentale et physique. Tant que vous resterez à la SGI, tous vos espoirs idéalistes, vos impulsions de volontariat et vos envies charitables seront rapidement happées et utilisées pour rendre Ikeda toujours plus riche et puissant.
Pensez- vous que la « paix mondiale » se déploiera, en faisant d'une personne égoïste et centrée sur elle, votre nouveau Jésus?
Combien de personnes avez-vous pu persuader de rejoindre votre culte idiot? C'est un défi, n'est-ce pas? Je suppose que vous en avez convaincu quelque part autour de ZERO et aucune quantité de récitation d' un sortilège magique appelé daimoku ne fait en fait, la moindre différence.
Le « grand » objectif d'Ikeda était de convertir seulement 1% de la population des autres pays à son culte; dans aucun pays, il ne s'est approché de ce but pathétiquement modeste.
Il y a plus de 40 ans, les analystes prédisaient que la SGI ne grandirait plus. En 1967, Ikeda lui-même admettait que la « phase de croissance de la Soka Gakkai était terminée ». Et une décennie plus tard, des chercheurs indépendants ont confirmé cette observation.
En fait, la SGI a diminué de façon spectaculaire. Donc, les gens ne veulent pas adorer Ikeda comme un nouveau messie
Mais nos rangs, les rangs des anciens membres de la SGI, sont eux tout a fait en croissance et ce sans que nous ayons besoin de faire quoi que ce soit...!
https://www.reddit.com/r/sgiwh [...] g_the_sgi/
Auteur : algol-x
Date : 17 nov.17, 06:49
Message : Bonjour à tous
Je voulais partager mon expérience, j'ai été membre, pendant 7 ans. J'ai finalement quitté SGI et Nichiren Shoshu en 1986. J'ai été membre à la fois à Boston, à Montréal et à Québec, au Canada, où j'ai vécu pendant deux ans.
Je vais faire court: toute pratique spirituelle qui encourage la quantité par rapport à la qualité, est mal orientée. À l'époque, j'avais un sérieux problème de hanche et j'avais renoncé à ma bourse de ballet et je vivais de l'aide sociale. Un type m'a abordé un jour: "Salut, as-tu déjà entendu parler de Nam Myoho Renge Kyo?", j'aurais dû continuer mon chemin! Le fait est que j'étais athée et que j'avais été élevé dans un autre culte - l'Église catholique - mais je m'intéressais toujours au bouddhisme et pensais que ces gens disaient vrai.
Je ne pense pas que adeptes aux États-Unis soient réellement conscients que ce qu'ils font. La NSA leur a promis des résultats miraculeux: voitures, argent, amoureux, emplois, concerts d'art, contrats d'enregistrement: il n'est pas étonnant que plusieurs musiciens, auteurs, artistes, danseurs, peintres, etc., soient membres à travers le monde.
L'autre façon dont ils contrôlaient les gens était la pression des condisciples. Le meilleur moyen de le faire est d'amener les jeunes, fraîchement sortis du collège, ouverts aux nouvelles idées, soucieux de la planète et désireux d'améliorer leur vie. SGI est gérée comme une campagne publicitaire. Ils ont envoyé leurs membres à toute heures dans des universités locales comme l'Université de Boston, Harvard et le MIT.
Séparer les gens est un comportement sectaire, il aide ceux qui sont au pouvoir à maintenir l'ordre et le contrôle. Ils ont simplement mis les garçons avec les garçons et les filles avec les filles. Puis ils ont organisé les garçons de deux manières, artistique: brass band; physique: gymnastique. Puis ils ont envoyé les garçons faire leurs activités. À l'extérieur, cela semblait être une chose positive. Mais en groupe, les "jeunes hommes" sont soumis aux différents aléas psychologiques de la pression du groupe et de leurs condisciples, alors nous étions tous en compétition les uns contre les autres. Les filles faisaient leur truc, habillées de jupes et de chemises de lavande exotiques - parlaient de sexisme!
Ils utilisaient aussi la culpabilisation afin de vous forcer à faire des choses en vous faisant honte. Des mots et des phrases, et un dialogue comme, Oh! allez! vous pouvez le faire! Pensez positif! "Tout ce genre de charabia "new âge", il m'a fallu sept longues années, mais finalement je suis partie.
Ils aimaient vraiment que les "jeunes hommes" sortent et fassent des choses ensemble, cela semblait renforcer le comportement du groupe - et quand ils faisaient ça, ça voulait aussi dire qu'il y en avait maintenant quatre, cinq, ou six personnes vous faisant face, vous "encourageant"(c'est le mot qu'ils aiment utiliser) à faire des choses que vous ne vouliez PAS faire!
La goutte d'eau était quand ils ont essayé de me faire acheter les magazines mensuels, de vrais torchons, il n'y avait rien sur le bouddhisme dans ces revues! J'ai résisté, mais comme j'étais dans ma vingtaine et que je ne savais pas vraiment ce qu'est le bouddhisme, je les croyais. C'était mon erreur.
Nichiren Daishonin croyait que Japon était frappé de calamités naturelles comme les tremblements de terre et autres désastres parce que les dieux étaient mécontents de ce que les Japonais pratiquaient! Il croyait en la théologie de la fin des temps Le fait est qu'il a été emprisonné et banni dans une île parce qu'il est allé dire à tous les autres bouddhistes que ce qu'ils faisaient était faux! C'est le seul groupe soi-disant bouddhiste qui fait ce genre de choses! Le fait est que c'est totalement à l'encontre les pratiques bouddhistes!
SGI et NSA ne parlent pas des vœux dans le bouddhisme, par exemple de ne pas prendre la vie ou de prononcer les autres vœux des laïcs, et la plupart des bouddhistes prennent les vœux. Et je ne parle pas de vœux monastiques ici, je veux dire juste les vœux des laïcs
En outre, ils n'ont aucune idée de ce qu'est l'illumination, et ils ne discutent jamais des questions très importantes qui sont au cœur des enseignements du Bouddha, qui incluent l'illumination, la vacuité, la non-dualité, et il leur serait difficile de donner des explications. Ils font régulièrement bouillir des homards, mangent des moules et vont à la pêche. Maintenant, il n'y a pas de vœux qui dit que vous ne pouvez pas manger de la viande si vous êtes bouddhiste, mais il y a des engagements de ne pas tuer les animaux.
J'ai arrêté la danse en 1984 parce que j'avais une maladie de la hanche (cela ne vas pas mieux aujourd'hui, parce que j'ai aussi une pathologie discale dégénérative, mais je fais de mon mieux) j'ai été malade pendant un an et ces problèmes m'avaient rendu plus vulnérable à un groupe comme eux. Alors que je les tiens responsables de ce qui s'est passé, mais moi aussi je suis responsable, peut-être encore plus qu'eux.
J'ai quitté l'organisation en 1986, j'ai compris combien ils étaient sectaires et et fermés.
En 2002, j'ai prononcé des vœux dans un monastère tibétain en Inde. Un an plus tard, j'ai envoyé un courriel à un ancien membre du NSC au Canada pour lui faire part de mes vœux. Il m'a envoyé le courriel le plus haineux et le plus cinglant que j'aie jamais reçu de quiconque. Et ce type était mon très bon ami pendant de nombreuses années. J'étais choqué et blessé.
Cela m'a pris quelques semaines, mais j'ai réalisé que ce n'était pas mon ami. Mon ami était un homme brillant qui aimait la littérature, était gentil, avait un excellent travail en tant que rédacteur en chef dans une grande entreprise d'enseignement supérieur, et ce n'était pas mon ami.
Il avait été endoctriné et était toujours membre du NSC. SGI a enseigné aux membres que les moines japonais étaient des hommes mauvais et manipulateurs qui pensaient qu'ils étaient au-dessus de tout le monde. Je doute que cela soit vrai, parce que dans toutes les écoles bouddhistes, on apprend à respecter les moines, les moniales, les prêtres, non pas parce qu'ils sont meilleurs, mais parce qu'ils ont fait le vœu d'aider les gens et d'agir comme représentants du message d'illumination du Bouddha.
Je dois encore faire attention, peut-être que je fais trop attention. Je suis quelqu'un avec des capacités mais j'ai nié ces capacités. Aujourd'hui, j'apprends l'autoguérison et je continue à pratiquer le bouddhisme tibétain, mais je questionne toujours mes amis, mes professeurs.
Dans le monde «new-age», il y a beaucoup de charlatans, il faut faire attention. Cela dit, je pense qu'il est sain de garder l'esprit ouvert, et de ne pas mettre tous ceux qui pourraient avoir une compétence intuitive que tout le monde n'a pas, comme des idiots ou des charlatans. Pour moi, participer au monde signifie trouver un équilibre entre ouverture et prudence. Ne pas faire confiance à qui que ce soit, à un groupe, à un enseignant, etc., est tout aussi dommageable que d'être totalement ouvert à tous. Être bien!
https://forum.culteducation.com/read.php?5,87661 Auteur : algol-x
Date : 18 nov.17, 12:40
Message : Bonjour, je m'appelle Sam et je lis ce forum depuis l'année dernière. J'ai été membre de la SGI pendant 15 ans mais depuis quelques années je commençais à remettre en question le fait que 80% du contenu des magazines de la SGI portaient sur Ikeda, des photos de lui serrant la main de personnalités, son interprétation des enseignements de Nichiren. Ensuite, il fallait toujours réciter davantage le mantra, assister à plus de réunions. "Si vous voulez vraiment changer votre vie, priez avec plus de détermination, vous n'assistez pas assez aux activités SGI... bla, bla, bla".
Il y a quelques semaines, mon chef de district m'a conseillé de commencer à assister à deux réunions par semaine au lieu d'une. Lorsque j'ai mentionné que cela signifierait que je devrais assister à ces réunions pendant mes jours de congé, ce qui signifiait que je n'aurais pas de jour pour moi, il m'a répondu: « Si vous voulez changer votre vie c'est ce que vous devez faire.
J'ai remarqué récemment que je me sentais légèrement déprimé et sérieusement frustré quand il s'agissait de réciter ce mantra. J'ai trouvé des avantages à pratiquer ce mantra, mais mon environnement n'a pas changé. Je crois que le scander tranquillement seul, est une forme de méditation - d'où les bénéfices. Je crois aussi que lorsque j'ai pratiqué, j'ai ressenti mon être Supérieur ou Soi Bouddha. Je peux le ressentir.
Mais comme une machine à vœux? Non. Et c'est là que « je suis en échec, rien n'a changé même si j'ai pratiqué, pratiqué et encore pratiqué ».
Quand mon mariage s'est rompu, mon chef de district m'a dit que c'était à cause de tous mes pratiques et que cela allait contribué à mon bonheur. Eh bien pas vraiment. Je suis content que je sois sorti d'un mariage malheureux mais je suis fauché (payant pour tout sur un seul salaire), je suis seul, trop traumatisé pour refaire des rencontres (c'était une mauvaise séparation) et tout ce que je fais, c'est de travailler.
Quoi qu'il en soit; j'ai envoyé un courriel à mon chef de district pour l'informer que je pensais à (en précisant bien les mots "penser à" ) quitter la SGI parce que je craignais que cela devienne davantage centré d sur sur Ikeda que sur les enseignements de Nichiren ou de Shakyamuni. Et que je ne pensais pas qu'une « religion » ou une foi devait exiger que je m'épuise pour prouver à quel point je voulais changer ma vie.
Savez-vous ce qui arrive quand vous critiquez la SGI et Ikeda?
Maintenant, je le sais. Vous recevez une réponse qui est carrément méchante et juste un peu effrayante!
Apparemment je suis manipulé par mon obscurité fondamentale qui me fait parler en mal d'Ikeda, lequel est tellement merveilleux qu'il a amassé 300 diplômes honorifiques et que si SGI était une escroquerie cela signifierait "qu'il" (mon chef de district) serait un idiot qui se serait trompé durant 30 ans et comme évidemment cela ne pouvait être le cas, le [ATTENTION Censuré dsl] manipulé devait être moi, Ok ?
Donc je pensais quitter éventuellement la SGI. Mais après cette réponse, je suis définitivement parti. Lorsque j'ai envoyéun mail en retour disant qu'il n'était pas très bouddhiste de laisser entendre que je suis un [ATTENTION Censuré dsl] illusionné. J'ai alors reçu un courriel d'une seule phrase me demandant si je voulais être retiré de la liste de notification. WTF ?? !!
Maintenant, j'étais dans cette communauté bouddhiste depuis 15 ans. Ca en faisait un point de référence fort. Vous pensez peut etre que je tomberais ensuite en état de choc et de peur, me demandant quelles calamités m'arriveraient. Mais étrangement, je n'ai presque pas peur. Je me sens presque libre en fait. Comme si le poids de la culpabilité et de la frustration commençait à disparaître.
Je n'ai plus à me sentir coupable de ne pas parler à d'autres personnes de la SGI. Je ne me sens pas coupable de ne pas réciter de prières tous les jours. Je n'ai pas besoin de cacher cette impression d'une araignée que j'ai quand je regarde les photos d'Ikeda. Je n'ai pas besoin de me sentir comme un raté parce que ma vie n'est pas assez fantastique pour me lever et partager mon expérience, du style : "une fois mon mariage rompu, j'étais seul et effrayé mais j'ai rencontré cette personne incroyable et maintenant nous vivons heureux désormais et je fais tellement de $$$$ que je n'ai plus qu'à travailler à temps partiel et le reste du temps nous faisons des voyages aux Bahamas et la vie est devenue merveilleuse ".
Maintenant, je réalise qu'il n'y a pas de formule magique. La vie est la vie et vous apprenez à la gérer au mieux, apprenez d'elle, afin de la vivre pleinement. Puis-je encore chanter des mantras? je ne sais pas. Cela fait seulement une semaine que j'ai quitté la SGI.
Je suis tellement soulagé que ce forum existe. Sinon, Je ne sais pas vers qui j'aurai pu me tourner pour savoir qui comprendrait ce que je ressens. Merci.
https://forum.culteducation.co [...] 1,page=741
Auteur : algol-x
Date : 20 nov.17, 10:21
Message : J'ai commencé à chanter (psalmodier le "mantra") en 1979. La personne qui m'a présenté était une femme sophistiquée, instruite, trilingue, que je connaissais depuis quelques années avant de devenir membre de la SGI. Après avoir commencé à chanter, je croyais que je pouvais voir une différence dans son comportement et je voulais savoir ce qui l'avait provoquée. Elle m'a parlé de chanter et j'ai commencé immédiatement.
Je suis à peu près certain que j'ai chanté tous les jours depuis lors jusqu'à il y a 4 jours quand j'ai finalement pu reconnaître toutes mes appréhensions sur le SGI et admettre en même temps que le SGI EST UN CULTE. C'était mon tournant. Mes deux Gohonzons (Okatagi Tokubetsu et Omamori) sont maintenant enveloppés dans un colis et renvoyés au SGI par courrier aujourd'hui.
Quand j'ai dit à ma sœur au téléphone mardi que je quittais la SGI et que j'avais cessé de chanter, elle était presque incrédule et a dit qu'elle pouvait sentir ses épaules se détendre! Être dans le SGI depuis si longtemps a été très stressant. La goutte d'eau c'était il y a quelques semaines, quand on m'a demandé de donner une conférence à notre chapitre sur le thème « Favoriser les successeurs ».
Je trouvais cela profondément dérangeant parce que les documents sur lesquels je devais me baser n'étaient que de la propagande déformée. Il n'y avait presque aucune référence aux principes bouddhistes. C'était le 27 août. Le jour suivant, j'ai fondu en larmes parce que je me sentais tellement en conflit et, dès lors, j'ai finalement pu laisser la réalité de ce que je pense de la SGI prévaloir, et prendre la décision de partir.
Heureusement, je ne suis pas quelqu'un qui a mis tout le reste en attente pour être un SGI-er à temps plein et j'ai une vie très pleine et agréable. J'ai aussi le soutien d'une famille merveilleuse et de nombreux bons amis - dont certains étaient également dans la SGI et dont le départ du culte avant le mien m'a stimulé et m'a aidé à m'échapper.
Je souffre d'insomnie depuis très longtemps et aussi de sentiments de panique. Hier, j'ai reçu un message d'un membre de la SGI disant qu'elle avait donné mon numéro de téléphone à quelqu'un qui était intéressé à pratiquer et j'ai immédiatement ressenti de la panique dans mon plexus solaire. Je me sens désorienté, mais c'est probablement prévisible après tant d'années passées dans des choses si pernicieuses et fausses.
Merci pour ce forum où je peux exprimer ces sentiments.
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] _38_years/
Auteur : algol-x
Date : 21 nov.17, 10:30
Message : J'ai passé sept ans à ne pas prendre une seule décision ou à faire face à un défi sans chanter. Un problème m'envoyait vers mon gohonzon, demandant de l'aide; une embellie m'enverrait dans la même direction, chantant avec gratitude.
J'ai échoué à réaliser que j'étais la force unique qui pouvait résoudre un problème ou avait créé un résultat positif dans quelque chose. Que c'était moi qui créais ma vie et remettais toute la gratitude ou l'inquiétude à un parchemin inutile de papier xerox suspendu dans une boîte en bois.
Une fois que j'ai accepté que ma vie n'était pas différente ou plus spéciale que celle de quelqu'un d'autre, mes yeux se sont rapidement ouverts à quelle farce je m'étais si activement engagée. L'idée que je n'avais pris aucune responsabilité pour ce qui se passait dans ma vie était un peu horrifiant.
Dix mois après avoir cessé de chanter, mon contrat pour un poste que j'aimais vraiment a pris fin. Quand je l'ai découvert, je suis rentré chez moi et j'ai commencé à contacter d'autres sociétés de conseil et à chercher du travail. J'ai commencé à faire des ajustements dans mes finances pour réduire mes dépenses et j'ai commencé à planifier la façon dont j'allais aller de l'avant. Ce n'est que quelques semaines plus tard que j'ai réalisé qu'il ne m'était même pas arrivé de chanter - je m'occupais des affaires et faisais toutes les choses pratiques que je devais faire, et je n'avais pas eu à quémander une sagesse externe pour le faire.
Maintenant c'est ce que j'appelle une victoire !
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] _freedoms/
Auteur : algol-x
Date : 21 nov.17, 13:13
Message : Le fond du problème avec la SGI est que leur « formule qui apporte le succès » est plutôt la formule qui mène à l'échec. L'énergie et le travail que vous consacrez à remplir les objectifs de SGI, même si vous ne participez qu'à une activité, même si c'est seulement préparez des explications de "Nam myoho renge kyo" lors d'une réunion de discussion, même si vous faites gongyo 15 minutes deux fois par jour, puis scandez le mantra pendant 1/2 heure par jour. Rien de tout cela ne se traduira pour vous, par une amélioration dans le monde réel.
Vous ne deviendrez pas plus qualifié ou compétent au travail, vous n'ajouterez rien sur votre CV qui puisse vous permettre d'obtenir un meilleur travail. Vous ne verrez pas ou ne passerez pas davantage de temps avec vos vrais amis. Votre famille souffrira probablement de votre négligence a leur égard, dû a votre égocentrisme. Vous ne développerez pas une meilleure forme ou une meilleure condition cardiovasculaire (regardez à quel point Ikeda est en mauvaise santé!). Vous n'obtenez rien à la SGI. Absolument rien.
Une fois que vous aurez quitté la SGI, vous aurez BEAUCOUP de temps pour l'utiliser au mieux. Vous serez plus concentré sur son travail, peut-être développerez vous un nouveau projet ou entamerez vous un formation pour avoir un nouveau diplôme, afin d être promu et augmenté. Vous pourrez vous promener ou aller à la salle de gym, voir des films (seul ou avec des amis), enfin rattraper l'excellente émission télévisée dont tout le monde parle (Game of Throoooones!) afin que vous ayez des choses en commun avec autrui (C'est une base pour construire des amitiés).
Vous pourrez vous engager dans un nouveau hobbie, ce dont vous n'avez jamais eu le temps a cause des diverses activités (quelqu'un ici maintenant pilote et vole dans des avions, deux passe-temps pour lesquels il n'avait pas le temps avant). De même que de mieux s'occuper de sa famille et de ses amis. La SGI ne commande pas impérieusement aux gens de se séparer de leur famille ou de vos amis comme dans une caricature de secte.
A la place, les membres de SGI sont progressivement amenés à croire que les seuls amis qui ont véritablement à cœur leurs intérêts sont leurs « amis » au sein de la SGI, que les amis extérieurs ont de « mauvaises influences » qui les empêchent de maximiser le bénéfice de leur engagement.
Peu à peu, parce que le membre SGI devient de moins en moins disponible, ces amitiés s'estompent. Et la famille? SGI ne dit pas aux gens de les éviter, mais les membres de SGI deviennent trop pris pour passer beaucoup de temps avec leur famille. Comme une grande partie des membres de la SGI vivent loin de la famille et où ils ont grandi, ils deviennent simplement trop occupé par l'organisation pour rentrer chez eux.
-Vous avez cette merveilleuse occasion d'approfondir votre foi lors de la prochaine conférence du CCFN!
-Mais c'est mon seul temps de vacances - j'allais rentrer à la maison pour voir mes parents!
-Vous pouvez les voir n'importe quand - c'est une occasion unique!
C'est à peu près ce qui m'est arrivé - ma relation avec ma mère était déjà tendue et difficile, la SGI m'a donné une excuse pour être encore plus distante. Cela n'a pas aidé notre relation.
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] periences/
Auteur : algol-x
Date : 23 nov.17, 00:40
Message : D'après ce que j'ai pu constater, la « preuve réelle » (obtention due a la pratique ndlr) obtenue par des pratiquants SGI était en fait inférieure à la « preuve réelle » atteinte par ceux qui ont arrêté de pratiquer ou par une cohorte gens qui n'ont jamais pratiqué.
Par exemple, prenez n'importe quel groupe de 150 jeunes hommes très motivés. On s'attendrait à ce qu'au moins 10 ou 20 % d'entre eux arrivent à réaliser leurs buts avec la foi et la pratique de SGI, mais probablement moins de cinq pour cent ont réalisé leurs rêves. Quel qu'en soit le nombre ou le peu de personnes, c'est difficilement une preuve universelle...
En fin de compte, a moins d'être influencé par la façon agressive et la force de conviction que les pratiquants mettent pour vous convaincre on ne trouve aucune preuve réelle dans le "bouddhisme" de la SGI,.
http://community.beliefnet.com [...] okke?pg=27
Auteur : algol-x
Date : 24 nov.17, 01:07
Message : Aujourd'hui je viens de vivre une expérience intéressante et glauque à la fois. J'ai assisté à "un séminaire" de la Soka Gakkai. Officiellement il s'agit d'une école bouddhique. En France, elle a l'image d'une secte. Mon sentiment, après une journée passée avec eux, c'est une secte !!
Je m'explique en commençant par le début. Yamazaki-san m'a proposé de venir assister à une "discutions" sur le bouddhisme. Il me l'a proposé car il s'est que j'ai étudié le bouddhisme à la fac. Je lui dis bien sûr car j'étais curieux de savoir de quoi, il en retournait. Je tiens à précisé que j'avais appris quelques jours avant qu'il faisait parti de la Soka Gakkai donc je savais où je mettais les pieds.
Aujourd'hui nous nous sommes retrouvés et ensemble nous sommes allés dans les locaux de l'organisation. Il y avait Yamazaki-san, un ami à lui qui s'est avéré être son "senpai" (ainé), Masako une des filles du staff, Sarah et moi-même. Quand nous sommes arrivés j'ai eu l'impression d'être chez des yakusa. Il flottait une ambiance corporative et un peu inquiétante à la fois, avec par exemple des types devant les locaux en train de fumer et les grosses berlines proche de l'entrée...
Nous avons été reçu comme des invités de marque avec le thé et les petits gâteaux. Nous avons accédé à la salle de "réunion" par l'ascenseur et non le simple escalier utilisé les autres personnes. Tout a été fait pour se sentir bien accueilli et comme chez des amis !
Et puis le "show" a commencé. Nous avons eu droit tout d'abord à une petite vidéo montrant le témoignage d'une jeune fille terrassée par la maladie mais qui a réussi à s'en sortir grâce à la prière :"Namu Myoho Renge Kyo" (il s'agit du mantra issu de la branche Nichiren du bouddhisme et récupéré par la secte qui se veut issu de ce mouvement) et à la Soka Gakkai. Et pour éviter toutes critiques, la deuxième partie du documentaire raconte l'histoire d'un médecin qui a aidé sa petite fille à sortir de sa maladie (une leucémie je crois mais je n'en suis pas sûr) grâce à ce même mantra récité plusieurs fois par jour. Mettre avant l'histoire du médecin est très fourbe car cela prouve que même un homme de science peut se dévouer à la bonne parole.
Une fois, la vidéo fini on a eu droit au début d'une chanteuse "prometteuse" qui vient de sortir son disque (grâce à la Soka Gakkai mais faut pas le dire ça fait trop corporatiste). Elle nous parle son expérience, de sa vie et comment la Soka Gakkai a réussi à la sauver alors qu'elle était au plus bas (si ça fait pas secte ça !!!). Puis elle a poussé la chansonnette. Et arrive le tour de Yamazaki-san, nous avons eu droit là encore à son expérience et comment "l'organisation" l'a aidé dans sa vie et lui permis à remonter la pente quand il était en bas.Puis ce fut fini, point de discutions sur le bouddhisme où je ne sais quelle chose de ce genre.
Les gens ou adeptes, c'est selon, se sont regroupés en cercle par terre à discuter de leurs expériences et des bienfaits procurés depuis leur adhésion. Nous avons rejoint un groupe qui était en train de "prouver" les bienfaits de la Soka Gakkai à deux déçus du christianisme...
Plus d'une heure plus tard, notre petit groupe de départ, moins Sarah partie pour un autre rendez-vous, sommes allés déjeuner...enfin il était tout de même 16 heures ! C'est une fois arrivée au restaurant que le prosélytisme actif voir agressif à commencer pendant plus de deux heures les deux VRP ont essayé de convaincre Masako et moi qu'il fallait les rejoindre, le tout par de très mais très longs monologues mélangeant expériences, conseils ,commentaires et autres anecdotes en tout genre. Et là où se fut agressif s'est quand le pote à Yamazaki a sorti les fiches d'inscription, en papier glacé pour faire bonne impression, et le stylo pour les remplir au moment du dessert.
Ensuite à eu lieu une longue discutions entre eux deux et Masako quand ils ont compris qu'ils ne tireraient rien de moi ! Après plus d'une demi-heure de conversation à bâtons rompus, ils n'ont récolté que son nom sur la fiche. Puis nous sommes partis du restaurant et je suis rentré chez moi.
En plus de ça plusieurs détails m'ont fait comprendre que j'avais affaire à une secte plutôt qu'à une soi-disant organisation laïque bouddhiste. On trouve tout d'abord un certain culte de la personnalité en la présence du président Mr.Ikeda. à chaque fois, c'est Mr.Ikeda a fait ça ou ça. Il œuvre pour la paix dans le monde. Il a rencontré Nelson Mandela, le Dr. Kissinger et toutes les grandes figures internationales qui luttent pour la paix dans le monde (c'est pour l'image). On trouve des dessins à son effigie dans les locaux. Les membres l'appellent Ikeda-sensei (titre de respect utilisé généralement pour les professeurs ou les profession médicales ou à toute personne de grand savoir)...
Ils mettent tellement en avant les bienfaits et les bonnes choses qu'apporte "l'organisation" au Japon et au Monde entier que s'en en devient1) dérangeant et 2) cela donne l'impression qu'elle cherche absolument à se blanchir. Ils cherchent vraiment à endoctriner les gens à grand moyen de livres, de réunions, de récits d'expérience, de discours... Il en sort une impression bizarre car à chaque fois l'adepte, lors de ces récits, ne retient que les bonnes choses arrivées depuis son entrée et les malheurs qu'il connaissait avant son entrée...
Autre point le fait d'avoir repris le bulletin d'inscription quand ils ont compris que je ne remplierais rien. S'il n'avait rien à cacher ou à se reprocher, j'aurais encore ce papier à l'heure actuelle. Ou encore la petite phrase que j'ai trouvé super déplacé et de mauvais goût au moment de se quitter :"Ima kara kazoku desu !" : "A partir de maintenant, nous sommes une famille !". Ce qui sous entend qu'avant j'étais un pauvre orphelin désœuvré sans but ni repaire à la merci des méchants messieurs qui me veulent du mal !!
Dernier détail dérangeant fut le petit collier qu'ils avaient tout les deux et qui représentait le "Daigohonzon" (il s'agit de la calligraphie de la formule du "Namu Myoho Renge Kyo" faite par Nichiren) en miniature. Quand je leur ai posé la question à savoir ce qu'étais ce collier, ils m'ont répondu et ont rajouté qu'il m'en serait offert un, spécialement pour moi, si je m'inscrit. Dernier point quand ils ont compris qu'avec moi c'était mort, ils ont mis la surmultipliée avec Masako. Ce qui pour une "organisation" qui se veut laïque et libre, fait plutôt douteux et sectaire...
Donc voici ma première et dernière journée avec la Soka Gakkai. Cela fut intéressant du point de vue de la manipulation des esprits. Il est assez simple d'arriver à faire ce que l'on veut à une personne qui se trouve dans le dénuement ou la solitude la plus totale. Le tout sans violence et avec de petites phrases assassines: "Maintenant, nous sommes une famille", "Vient goûter au bonheur", "Nous ne voulons que la paix dans le monde (et ton argent) !"...
Donc à tous méfiance !!!
http://nihonfever.canalblog.co [...] #c73264458
Auteur : algol-x
Date : 25 nov.17, 23:37
Message : L'un des sentiments les plus forts que j'ai éprouvés après avoir quitté SGI était la honte. Comment j'avais pu être aussi stupide? Comment j'avais pu être si crédule?
Heureusement, j'ai pu trouver un groupe de soutien solide. ils ont pu me donner suffisamment d'informations pour me faire réaliser que je n'étais ni l'un ni l'autre.
Les sectes comme la SGI sont prédatrices. Ils ont une grande expertise dans l'identification des personnes vulnérables, qui traversent une période difficile dans leur vie et sont ouvertes à recevoir un peu de ce qui serait perçu comme de l'aide pour s'aider eux-mêmes. Selon toute vraisemblance, vous avez eu toute latitude pour exprimer votre scepticisme et votre doute, et le membre qui vous tendait la main aurait dit quelque chose comme suit:
"Je sais que cela semble difficile à avaler, mais je peux vous dire que cette pratique fonctionne, j'avais mes doutes pour commencer, je vais vous dire quoi - si vous chantez pendant 60/90 minutes et vous ne voyez pas de changements positifs dans votre vie, j'abandonne la pratique. "
Comment pouvez-vous refuser cela? Cela semble être une personne assez intelligente et ils sont prêts à mettre leur pratique en jeu - vous avez même l'idée que si cela ne fonctionne pas pour vous, cette personne verra que ça ne marche pas, et qu'ils vont s'en éloigner après toutes ces années!
Et, qu'est-ce que c'est que 20-30-40 minutes par jour que vous restiez inquiet de toute façon, et rien d'autre que vous avez essayé n'a semblé fonctionner. Vraiment. Qu'avez-vous à perdre?
Nos cerveaux sont essentiellement des ordinateurs biologiques. Ils ne peuvent traiter que les informations qu'ils reçoivent; jamais entendu l'expression GIGO? Computerese old-school pour Garbage In Garbage Out. Quand vous recevez des informations qui sont fausses, et à l'insu de vous-même ainsi que votre ami SGI un peu de reprogrammation a eu lieu. Vous avez été encouragé à suspendre votre sens critique et vous avez accepté de le faire.
Vous êtes amorcé à ce stade. Il ne faut pas très longtemps pour ancrer une habitude (90 jours est le temps estimé, mais cela peut arriver beaucoup plus rapidement dans certaines circonstances). Ce qui s'est également passé, c'est que vous vous êtes ouvert au biais de confirmation - vous devenez beaucoup plus attentif aux informations / événements qui confirment ce que vous voulez croire (qui accélère le processus de renforcement des habitudes avec une affirmation positive). Les événements ordinaires, comme avoir une série de feux verts lorsque vous êtes en retard, ou trouver une place de parking deviendront des démonstrations que ce truc chantant fonctionne. Si vous obtenez une augmentation au travail, trouvez une nouvelle âme soeur. . . ceux-ci vous confirmeront subtilement (ou pas si subtilement) que les chants fonctionnent. Tu as influencé l'univers. Vous avez rendu l'impossible possible. Peu importe que ces événements se soient produits de toute façon - il devient impossible de le voir ainsi. Vous apprendrez rapidement à attribuer tout ce qui est positif à votre nouvelle pratique, et si quelque chose ne fonctionne pas, vous chanterez plus.
Et vous rencontrerez des gens merveilleux qui vous aiment, qui vous louent et vous encouragent. Vous aurez un cercle immédiat d'amis qui partagent vos objectifs de paix dans le monde, sauver l'humanité et vous apprendrez rapidement leur nova-langue qui deviendra bientôt la langue dans laquelle vous penserez et parlerez; vos vieux amis pré-sectes sont gentils et tout, mais ils ne comprennent plus ce que vous êtes en train de faire. Et vous avez toutes ces super activités avec vos nouveaux amis. . . ils sont précieux et dignes, parce qu'ils soutiennent tous les efforts de kosen rufu.
Et si vous avez un problème, vous avez des leaders aimables et compréhensifs qui prendront le temps de s'asseoir avec vous et d'écouter vos problèmes. Ils te donneront de bons conseils. Que ce soit le même conseil à chaque fois (chanter plus, faire plus, donner plus, développer cette relation cœur-à-cœur avec sensei) prend tout son sens. . . C'est parce que vous n'êtes pas assez bon pour que votre vie n'ait pas toujours de sens.
Félicitations mon ami. Vous êtes dans un culte. Vous avez été habilement manipulé et reprogrammé par des gens qui ont été manipulés et reprogrammés par d'autres. Ils sont sincères parce qu'ils ont appris à croire chaque chose que leur chef leur dit.
Et ne te sens pas stupide non plus. Les sectes ne se préoccupent pas de remplir leurs objectifs (et leurs portefeuilles) avec les adeptes, mais ce qu'ils aiment vraiment, ce sont des gens qui ont réussis, les meilleurs représentants de culte! Ils ont plus de contacts dans leurs communautés (plus de membres potentiels avec des portefeuilles), ils ont plus de revenus et, si rien d'autre, ils peuvent être pointés lors d'une réunion et quelqu'un peut dire: "regardez untel! Ils ont une carrière / relation réussie, et tout cela est dû à cette merveilleuse pratique!
D'une certaine manière, être recruté est un peu comme un compliment pervers.
Tout cela étant dit, s'il vous plaît, soyez gentil et pardonnez-vous et réalisez que vous avez pris la meilleure décision possible, basée sur l'information que vous aviez à l'époque. Personne ne fait un mauvais choix à dessein...
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... /no_shame/ Auteur : algol-x
Date : 27 nov.17, 00:20
Message : Au Kansas, j'ai rencontré une femme qui était membre de longue date. Je crois qu'elle vivait au Colorado. En route pour une activité de SGI, dans un virage, approchant d'une intersection, un conducteur sa percuté sa voiture.
À la suite de cet accident, son crâne a été fracturé à sept endroits. Compte tenu de tous les enseignements (gosho) sur la façon dont "ceux qui calomnient le Sûtra du Lotus auront la tête brisée en sept morceaux" (c'est écrit sur le gohonzon, même si c'est pas bouddhiste !!), elle était angoissée de ce qu'elle avait dû faire dans une vie précédente.
En outre, sa mâchoire inférieure était devenue poreuse comme de la craie et devait être retirée. Elle a été remplacée par une de ses côtes. L'endroit où la côte avait été enlevée l'irritait continuellement.
Elle était très belle avant, cet épisode a complètement changé son apparence. Elle a poursuivi le conducteurs en justice, le tribunal a statué qu'elle allait bien (elle avait été juste choquée), et qu'il n'y avait aucun moyen que l'accident, ai pu causer tout cela.
Elle a fait appel et a reperdu.
Elle m'a dit que lors de la visite d'une délégation de visiteurs du Kansai (province Japonaise); elle a rencontré l'un d'eux pour une directive. Elle lui a raconté son histoire, il a sursauté. "Tu as tellement mal et pas un sou ???"
Pendant tout ce temps, elle était dans un état tel qu'elle ne pouvait que pratiquer et participer à quelques activités. Même ainsi, elle essayait toujours de faire shakubuku à chaque personne qu'elle rencontrait ! Elle récitait des mantra 12 heures ou plus par jour.
Le dernier appel a échoué. Aucune indemnité, rien. Elle est souvent alitée. Tout cela a cause d'un simple accrochage sur le chemin d'une activité SGI.
https://www.reddit.com/r/sgiwh [...] _not_work/
Auteur : algol-x
Date : 28 nov.17, 01:14
Message : soumis par infinitégratitude il y a 1 mois
Il y a quelques jours, j'ai finalement eu l'une des conversations téléphoniques que je redoutais, par rapport à mon départ de la SGI. Quand j'ai entendu la voix familière au bout du fil, je me suis immédiatement senti un peu tendu et j'ai momentanément gardé pour moi ce que je pensais : il était peu probable que cette personne, que je surnommerai Gakkai Bot (GAKKAI BOT: programme automatique), connaissais déjà ma "défection". Après l'avoir entendu quelques minutes fulminer et se plaindre, je savais que le moment était venu de renverser la table. Voici à peu près comment ça s'est passé:
Gakkai Bot: Je suis tombé sur x dans le bus l'autre jour.
Moi: Ah mouais?
Gakkai Bot: Oui. Lorsque je lui ai demandé ce qu'elle avait fait de son Gohonzon. Elle m'a dit qu'elle l'avait donné! Je ne pouvais pas le croire! Elle n'a aucune gratitude! Quand je lui ai demandé à qui elle l'avait donné, elle m'a dit qu'elle ne s'en souvenait pas!
Moi: OK. Avant d'aller plus loin, je veux juste vous dire que je ne pratique plus et que j'ai quitté le SGI. [un blanc au bout du fil pendant quelques secondes!]
Gakkai Bot: Que veux-tu dire, par tu as quitté le SGI?
Moi: Je veux dire que j'ai renvoyé mes deux Gohonzons à la SGI et que je ne pratique plus. C'est fini pour moi.
Gakkai Bot: Je suis complètement abasourdi ! Je ne peux pas y croire ! Qu'est-il arrivé?
Moi: Je me sens mal à l'aise à propos de certaines choses depuis longtemps. Récemment, j'ai dû donner une conférence et il n'y avait presque aucun contenu « bouddhiste » dans les matériaux préparatoires. D'un autre côté, il y avait d'innombrables références au président Ikeda et à la Soka Gakkai. Ce n'est pas ce à quoi j'ai adhéré il y a presque 38 ans, quand au moins je pouvais sentir que je m'impliquais dans quelque chose de plus spirituel. J'avais l'habitude d'apprécier l'étude des Gosho et ainsi de suite. Ce n'est plus que de la propagande, dépourvue de tout aspect spirituel.
Gakkai Bot: La SGI n'a pas changé du tout! Nous étudions toujours des concepts comme les Dix Mondes. Vous êtes comme Y (quelqu'un qui a quitté l'organisation il y a quelques années).
Moi: Eh bien, vous n'avez qu'à faire une recherche par mot pour les mots clés dans la documentation émanant de SGI pour vérifier ce fait. Aussi, X avait tous les droits de donner son Gohonzon. C'était à elle de choisir.
Gakkai Bot: Mais j'ai dépensé de l'argent et du temps pour elle! Je l'ai convoquée et lui ai donné un bouquet de fleurs et je lui ai dit qu'elle devait garder son Gohonzon ou le retourner à SGI. Elle n'a fait preuve d'aucune gratitude ou respect ! Elle est allée complètement à l'encontre de ce que je lui ai demandé, elle est très superficielle !
Moi: Hmm. Tout d'abord X n'a jamais vraiment voulu recevoir de Gohonzon. Elle a subit des pressions e chose que, je j'ai vu par moi-même, au cours de mon amitié avec elle pendants ces 10 dernières années, elle n'a jamais vraiment été intéressée par une implication significative au sein de la SGI, c'était visible pour quiconque. Pour autant que je sache, elle ne pratiquait pas à chez elle et ne se rendait aux réunions qu'occasionnellement. Elle n'a même jamais PRÉTENDU s'y intéresser vraiment ! Alors, pourquoi devait-elle considérer le Gohonzon comme quelque chose de particulièrement précieux ou d'important? Et pourquoi aurait-elle du suivre VOTRE conseil plutôt que d'en faire ce qu'elle avait envie de son propre chef ? Ce qu'elle fait avec SON Gohonzon ne vous regarde pas du tout!
Gakkai Bot: Mais je l'ai rencontrée après qu'elle soit venue à une conférence publique donc elle était fondamentalement mon shakubuku! J'ai passé du temps avec elle qui s'avère être un gâchis.
Moi: J'ai passé des heures avec des gens à la SGI où l'on pouvait dire que le temps était « gaspillé » parce qu'ils ne sont jamais devenus des membres contribuant de manière significative à l'organisation. C'est juste comme cela que ça se passe.
Gakkai Bot: Quoi qu'il en soit. A propos de ta situation. Ta sœur était toujours opposé (à nous) ainsi que ton beau-frère.
Moi: Ma famille n'a absolument rien à voir avec ma décision. Bien que je dois avouer qu'ils soient heureux que je sois finalement parti. (J'ai eux deux bouquets de fleurs qui m'ont été envoyés pour me dire ça!)
Gakkai Bot: J'ai l'impression que tu es très isolée depuis que tu t'es éloigné. Tu n'as pas eu autant de personnes autour de toi qui auraient pu te soutenir. (Une bénédiction, diront certains ! Il avait maintenant de la peine à cacher le tremblement de sa voix. -Z. était 'sorti' pendant 10 ans et il est ensuite revenu, tu pourras toujours revenir !
Moi: je n'ai pas l'intention de revenir.
Gakkai Bot: Je ne sais pas trop quoi dire, du moment que tu es contente. Tu fais toujours partie de notre famille SGI en ce qui me concerne. Tu est toujours adorable. Tu as toujours été si utile. Et tu en sais tellement sur le bouddhisme!
Moi: Eh bien, c'est très gentil de ta part, mais tout cela appartient à une autre époque, une autre vie. Je dois partir maintenant.
Gakkai Bot: OK.
Moi: Salut!
Gakkai Bot: Au revoir!
Cet appel téléphonique marque une étape importante dans ma séparation d'avec la SGI. La personne avec qui j'ai eu cette conversation est la personne la plus pressante et la plus insistante que j'ai jamais rencontrée à la fois en et en dehors de la SGI !
J'ai trouvé incroyable qu'elle ne puisse comprendre mes raisons de partir et a dû se chercher d'autres manière d'expliquer ma décision: c'était ma famille, je vivais trop loin d'un réseau de soutien, etc. me suggérant que je pourrais toujours changer d'avis et revenir à l'amour de la SGI (sarcasme) !!!
Le recours à la flatterie est aussi habile mais également totalement évident, comme si ça m'intéressait désormais de savoir quelque chose sur le 'bouddhisme' (c'est à dire la version déformée de la SGI) maintenant que j'ai réussi à m'en évader.
Jeudi, je suis sorti avec un groupe d'amis de mon cours du soir d'italien. Nous avons passé une bonne soirée ensemble. Il semblerait que j'ai une nouvelle « tribu » et je suis très, très heureux avec eux.
Je vais aller en Sicile avec quelques uns d'entre eux en avril.
https://www.reddit.com/r/ExSGISurviveTh ... _thriving/ Auteur : algol-x
Date : 02 déc.17, 09:26
Message : 6 ans à l'intérieur, 35 ans à l'extérieur.
(self.SGIcultRecoveryRoom)
soumis il y a 3 jours par Crystal_Sunshine
Bonjour à tous, je m'appelle Crystal_Sunshine et j’ai étais membre de la Nichiren Shoshu of America (NSA) de la fin des années 1970 au début des années 80. À peine sorti de l'école secondaire, je travaillais à un poste temporaire de nuit et j'ai été shakabuké (converti) par le chauffeur d'autobus qui m'emmenait tous les soirs chez ma mère. Ma première relation amoureuse venait de se terminer. Avant que je réalise quoique ce soit, j'assistais à quelque chose de particulier appelé Sorties de la Division des Jeunes Filles, et presque du jour au lendemain j'avais un tas de nouveaux amis! Mais étaient-ils des amis? Ils sont par contre vite devenu des copains.
Mon téléphone sonnait sans arrêt avec des messages urgents et sérieux de réunions auxquelles je devais assister. Tout était tellement important. Lors de ma première réunion de district, j'ai rencontré encore plus de monde. J'ai aimé le chef de district immédiatement. Il est devenu très utile pour moi plus tard, il m’a beaucoup aidé et je penserai toujours à lui affectueusement. La pratique semblait bizarre. N'ayant pas une facilité naturelle pour les langues, j'ai lutté avec la récitation du gongyo. C'était tellement monotone et prenait tellement de temps à faire. On m'a donné des conseils fermes pour me lever à 4h du matin pour faire le gongyo et marcher quelques kilomètres pour aller travailler. C'était fatiguant. Et je changeais aussi, prêchant mes collègues de travail et sortant de ma routine pour débattre avec les gens, en particulier les chrétiens.
"La Société" (j'oubliais que je l’appelais ainsi!) devint l'endroit où se trouvaient mes amis, et je sortais seulement avec les garçons du YMD (division des jeunes hommes). J'ai perdu tous les amis que je m’étais fait dans mon enfance et à l'école. Un par un, ils ont baissé les bras en signe de dégoût à l'égard de cette nouvelle personnalité désagréable. Il y avait une partie de moi qui se sentait triste et coupable, mais il me semblait plus naturel et facile de rester avec mes relations de la NSA.
Nous avons eu beaucoup de moments amusants, profonds et sympas Pendant deux ans au moins, j'ai senti que ma vie s’était définitivement améliorée en étant dans ce groupe et je surmontais ma nature intérieure paresseuse. Mais je devenais perturbé et en conflit. Pourquoi? J'ai essayé de comprendre mais je n’arrivai pas a trouver de solution a ses émotions changeantes. Les raisons étaient là devant mon visage mais je ne pouvais les regarder en face. Je me souviens d'avoir fait une promenade le long de la plage avec l'une des membres les plus sympathiques, essayant de parler de ce qui était dans mon cœur sans vraiment révéler la source de ma peine. Elle a juste fini à la fin par être troublée par mon langage évasif.
La vérité est que je me sentais inerte "comme un morceau de viande". J’avais eu un aperçu de l’intérieur de l'hypocrisie des dirigeants. Mais dans une mesure désespérée pour garder ma foi, je me suis embarqué dans un pèlerinage au Sho Hondo. Ce fut le démarrage de ma propre hypocrisie, quand j'essayais de continuer à chanter et à encourager les autres à le faire alors que je devenais de plus en plus cynique et me moquais de la juxtaposition de la culture japonaise à des valeurs occidentales. Et, juste pour clarifier pour ceux qui ont l'expérience de cette époque et dans ma région (Pacific Northwest), Brad Nixon a eu une ENORME influence sur notre territoire. Le YMD et beaucoup dans le MD l'ont idolâtré. Fait intéressant, les femmes ne l'ont pas idolâtré, malgré son succès auprès des dames. Je ne le blâme pas entièrement; il y avait une sorte de culture laxiste continue. Les problèmes de drogue et d'alcool, les avortements, les liens clandestins entre des membres et les dirigeants --- il est passé du parti central à éclopé en quelques années. Ceux d'entre nous qui essayaient encore de s'améliorer devinrent de plus en plus découragés. Les dirigeants ont commencé à être remplacés les après les autres.
Il n'y a jamais eu de discussions et encore moins d'engagement à aider l'environnement. Et une organisation de ce calibre aurait pu faire quelque chose de significatif pour aider ses semblables? Le silence sur ce point m'a dérangé depuis le début jusqu’à à la fin de ma pratique formelle, je n’avais plus d’indulgence et plus de foi. J'ai vu une membre abusée de WD (division des femmes) blâmée pour cet abus et son misérable de mari a été acclamé comme un exemple brillant de foi solide.
J'ai assisté à des funérailles étranges et je n'ai pas assisté aux autres parce que ces gens n'avaient pas autant d’importance dans le groupe et honnêtement, la mort n’était jamais vraiment traitée. Ça ressemblait plus à quelque chose qui survient si tu es mauvais. Je n'ai pas été invité au mariage de mon leader YWD et de l'homme qui a un moment donné avait été choisi pour m'épouser. Ça blesse.
J'ai commencé à voir clairement le fonctionnement hiérarchique À la fin, j’ai préféré éliminer d’un coup tout cela plutôt que de partir proprement. Pendant quelques années, j'ai toléré les visites à domicile et les longs appels téléphoniques de femmes que j'avais l'habitude de considérer comme des amis proches. Mais une fois que j'avais goûté à la liberté ... il n'y avait plus de retour possible.
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... _recovery/ Auteur : Shonin
Date : 03 déc.17, 22:31
Message : Hé oui... tu prouves bien ici de l'utilité d'un héritage diversifié comprenant plusieurs enseignements, différent.
Ce qu'elle ne dit pas, oublie de se rappeler, ou ce que tu as coupé peut-être, c'est ce que les 6 années que cette femme a choisit de vivre dans la Soka Amérique (bien plus ouverte que dans n'importe quel pays d'ailleurs) lui ont apportées lorsqu'elle s'y est rendu d'elle même, sans couteau sous la gorge ou pression familiale ou de la société.
A sa remarque concernant "des discussions autour de l'impact écologique et actions" je lui répondrais que la Soka n'est justement pas un lieu où "je-tu-il" va te dire quoi faire. Tu es profondément libre. Au regard de la Loi de cause et effet, des causes que tu plantes dans ta propre vie. Ainsi, la Soka enseigne à chacun comment être en paix au niveau mondial, en commençant par être en paix dans sa vie, sa famille, son travail, etc. Se polir soi-même, en étant reconnaissant. Je vais revenir sur ce point, mais pour finir de démentir le plus grotesque de ses propos médisant envers des personnes qui manifestement lui ont ouvert leur porte et leur coeur, à ce que je lis de son 'discours' , la Soka Gakkaï a déposée à l'Onu des propositions sur l'environnement - comme elle le fait chaque année depuis plus de 20 ans - et qui ont été retenues.
(RE)PRENDRE LA RESPONSABILITÉ DE SA VIE - DE SON BONHEUR - NE PLUS REJETER LA FAUTE VERS L’EXTÉRIEUR.
La reconnaissance et la hiérarchie...................................
sujet délicat -pour ne pas dire difficile- pour chacun d'entre nous, et peu importe la sphère, où l'on fonctionne ainsi, ensemble.
Je discute beaucoup de religion avec mes amis musulmans de France et d'Afrique. Pour eux la vie est simple, puisque les rôles sont définis et non discutables. Le point de la reconnaissance revient régulièrement dans ma bouche. J'ai du mal à saisir comment on peut respecter l'invisible au point de négliger le vivant, c'est à dire les gens que l'on côtoient, et leur bonheur.
Faire preuve de reconnaissance, pour les nouveaux membres de la Soka Gakkaï, semble encore plus difficile à accepter que de faire face à son égo lors de la méditation. Face à soi-même.
Deux grande raisons pour lesquels les gens n'arrivent pas à méditer le Sûtra du Lotus et quitte la Soka Gakkaï alors qu'ils souhaitaient y apprendre des choses sur eux-même.
Cela exige du courage. Nous ne sommes plus dans le fictif, on entre dans la "vrai vie" , le vrai dilemme à résoudre : vivre en paix avec les autres.
Voilà le cœur, et challenge dont il est question.
Je n'ai pas parlé de perfection. Nous sommes humains avant tout.
Être responsable, dans le concept bouddhique, ce n'est pas une hiérarchie autoritaire et verticale comme dans une entreprise moderne par exemple, malgré que les gens reproduisent plus souvent le pire de ce qui les ont formés au cours de leur vies, que le meilleur.
Être responsable bouddhiquement, c'est être au service d'une personne qui a besoin. On pourrait parler de transmission. De service.
Mes réponses sur une "page" qui "agresse" une magnifique philosophie de vie, n'est donc pas dû à mon égo mais à l'envie d'éclaircir les choses qui se présentent pour cela, et uniquement pour cela, une fois que l'on fait le trie de ce qu'il y a à jeter dans l'argumentaire.
La relation de maître et disciple est un concept complexe à comprendre. Il s'expérimente.
Pour vous dire qu'en soit, quiconque, donc vous également, peut-être maître et disciple tour à tour.
Nichiren enseigne que c'est le coeur le plus important.
Nos sociétés nous obligent, en vu de nous dépasser, à faire des choses coûte que coûte.
Il semble évident que d'employer la reconnaissance (et que dire de la gratitude..) n'est pas chose innée.
Bien à toi.
Nam MyoHo Rengé Kyo (-Par soi-même-)
<3
Auteur : algol-x
Date : 04 déc.17, 05:39
Message : Posted by: tsukimoto ()
Date: February 24, 2014 06:45AM
Mon ancien amie membre de SGI a tendance à l'anxiété et à la dépression, tout comme moi. Les personnes déprimées et anxieuses sont des cibles pour les membres de SGI qui cherchent à prosélyter quelqu'un (faire Shakabuku).
Si vous vous sentez désespéré, vous ferez tout pour vous sentir mieux. Dans un premier temps," le bombardement d'amour" que les invités reçoivent, leur propos comme quoique vous pouvez chanter et obtenir n'importe quoi, et les effets de chanter sur le cerveau et le système nerveux.
Tout cela peut vous donner l'impression que vous avez vraiment changé quelque chose. Avec le temps, il faut peut-être plus de chants pour avoir le même niveau. Peut-être est-il difficile de vous avouer que vous mettez tout ce temps dans les activités de chants (réciter le mantra) et SGI, et que la vie n'est vraiment pas meilleure.
Si vous recevez des conseils, on vous dira ce que le chef de X a dit: Vous ne chantez pas assez, ou avec suffisamment de détermination, vous ne faites pas assez d'activités SGI. Ainsi, en plus de l'anxiété et de la dépression que vous éprouvez déjà, vous avez l'impression d'avoir échoué. Alors vous essayez plus fort - et cela devient un véritable cercle vicieux qui aspire les gens pendant des années.
Mon ancien amie, comme beaucoup de femmes SGI que je connaissais, a parlé à plusieurs reprises de vouloir être en couple. Pourtant, ces femmes passaient tellement de temps à chanter et à faire des activités SGI. Quand ont-ils eu le temps de rencontrer quelqu'un ou de développer une relation?
Il n'y a pas beaucoup de membres de SGI dans ma région, donc les chances de trouver de l'amour avec un autre membre local de SGI n'étaient pas très bonnes. Et, de façon réaliste, combien de membres non membres de l'ISG pourraient accepter le temps que ces femmes SGI ont passé à chanter et à participer aux activités SGI?
Les gens peuvent perdre tant d'années, tant de temps, à SGI
https://forum.culteducation.com/read.ph ... 1,page=716 Auteur : algol-x
Date : 06 déc.17, 00:04
Message : Blanche Kizno 02/18/2014
Je suis parti depuis 4 ans maintenant, presque exactement, et j'en ressens toujours l’impact. Vous savez comment votre esprit se concentre sur quelque chose ? Je me suis entrainé à réciter le mantra dans mon esprit et je me sens toujours en défaut quand ça revient. Je l’interrompt, mais je n’y ai rien substitué, donc je suppose que ce n'est pas une surprise que ça persiste. J'ai inséré la récitation dans mes pensées pour remplacer l'endoctrinement chrétien, les hymnes. L'une des raisons pour lesquelles ces groupes scandent des chants et des récitations, c'est parce que ceux ci tournent ensuite dans les esprits - pensez aux spots publicitaires dont vous vous souvenez de votre enfance. POURQUOI vous souviendriez-vous de cela, et pas d’autres choses ?? Mais cela fonctionne. C'est le pouvoir de la musique et du rythme.
J'ai lu le même article, et cela correspond très bien à la SGI. La collecte de fonds agressive; la flatterie, la peur, la culpabilité; et les exhortations répétées à ne jamais quitter l'organisation. Que le vrai bonheur ne peut se trouver que dans l’orbite de l'organisation. Vous devez être un satellite, en d'autres termes - la position du soleil a déjà été prise. Par Ikeda.
Encouragement quotidien de Daisaku Ikeda, le mardi 8 juillet 2014
"Si nous voyageons dans l'orbite de" la foi égale la vie quotidienne , toutes nos prières recevront certainement une réponse."
Vraiment? Par magie? Cela signifie que si nous n'obtenons pas quelque chose pour lequel nous prions sincèrement, cela signifie que nous n'avons pas la "bonne orbite". Nous commettons une erreur en d'autres termes. Et le hamster court toujours plus vite dans sa roue ...
Matilda Buck, ancienne responsable des femmes de SGI-USA
"Il est donc important que nous sauvegardions ce précieux mouvement par notre soutien financier, afin que nous puissions nous rassembler, communiquer les uns avec les autres et construire une organisation unie et efficace."
Tariq Hasan, SGI-USA Men's Leader
"J'étais un étudiant diplômé pauvre vivant d’un semestre à l’autre, ne sachant pas si je pouvais réellement me permettre de terminer mes études supérieures. Malgré cela, je me souviens distinctement debout au coin d'une rue à Berkeley, en Californie, avec mon chef de section SGI-USA, qui m’a dit: "Je pense qu'il est temps pour vous de commencer à penser à faire une contribution financière mensuelle à l'organisation pour créer de la bonne fortune pour votre vie. Ayez la détermination de continuer, peu importe la difficulté de votre situation."
J'ai décidé de commencer à contribuer chaque mois à notre organisation et je n'ai pas arrêté depuis. Exactement comme il l'a dit, cet acte d'offrande est devenu la source d’une grande fortune.
Environ un an plus tard, le SGI-USA a annoncé qu'il accepterait des contributions pour construire le Centre Culturel Mondial. À ce moment-là, j'étais tellement fatigué de vivre dans la pauvreté. Comme nous n'avions pas d'assurance, ma femme a dû quitter l'hôpital le jour de la naissance de notre premier enfant. Nous avons déterminé que nous devions faire quelque chose pour surmonter nos difficultés financières. Nous avons décidé de prendre tout l'argent que nous avions réussi à économiser pour les frais de scolarité du semestre suivant, qui n'était pas assez suffisant de toute façon, et nous y avons contribué avec une grande fierté, afin qu'au moins une porte dans le bâtiment puisse être achetée grâce à nos efforts.
Je crois que c'est cette détermination qui nous a permis de surmonter tous les obstacles, de payer mes frais de scolarité pour les prochaines années et de créer une immense fortune pour notre famille.
"Donner jusqu'à ce que ça pique" en d'autres termes. Et après ils proclament "le bouddhisme c'est le bon sens" ! Dans le roman historique The New Human Revolution, le président Ikeda écrit:
Les offrandes et les contributions financières que l'organisation a sollicitées étaient exclusivement pour accomplir le mandat de Nichiren Daishonin de propager largement la loi mystique. Il n'y avait donc pas de plus grande offrande, plus de bien, certainement pas de plus grand bénéfice (vol.4).
"Considérant l'histoire de la transmission du bouddhisme Nichiren jusqu'à nos jours, il est clair que la SGI est la seule organisation qui a hérité et qui exécute correctement les enseignements de Nichiren Daishonin et son vœu de créer un monde pacifique. comme Nichiren a enseigné, partager cette grande philosophie avec leurs familles et amis, et montrer la preuve réelle de son pouvoir dans leur vie quotidienne."
http://www.sgi-usa.org/memberresources/ ... istory.pdf
Considérant que Nichiren a souscrit à un modèle fasciste, dans lequel toutes les autres sectes du bouddhisme étaient censées être éradiquées par le gouvernement, à travers un programme suggéré par Nichiren, d'exécutions, de restrictions interdisant tous les dons et de démolition de tous les temples. Ce vœu de créer un monde pacifique est totalement factice !
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments Auteur : Shonin
Date : 06 déc.17, 23:25
Message : [quote="algol-x"]Blanche Kizno 02/18/2014
Je suis parti depuis 4 ans maintenant, presque exactement, et j'en ressens toujours l’impact. Vous savez comment votre esprit se concentre sur quelque chose ? Je me suis entrainé à réciter le mantra dans mon esprit et je me sens toujours en défaut quand ça revient. Je l’interrompt, mais je n’y ai rien substitué, donc je suppose que ce n'est pas une surprise que ça persiste. J'ai inséré la récitation dans mes pensées pour remplacer l'endoctrinement chrétien, les hymnes. L'une des raisons pour lesquelles ces groupes scandent des chants et des récitations, c'est parce que ceux ci tournent ensuite dans les esprits - pensez aux spots publicitaires dont vous vous souvenez de votre enfance. POURQUOI vous souviendriez-vous de cela, et pas d’autres choses ?? Mais cela fonctionne. C'est le pouvoir de la musique et du rythme.
> J'aime beaucoup cette expérience alors merci pour ce partage.
Il est clair que certain défauts culturelle persiste je dirais. Mais aucunes excuses, ni vérité contraire à donner, là.
La pensée positive et "mécanisme" du coeur et de ll'esprit sont très fortement présent c'est certain

!
Je te site : (témoignage d'ancien adepte) : Ils sont peu susceptibles de mentionner que la SGI est un organisation "religieuse" multi milliardaire qui refuse de divulguer ses rapports financiers, que ce soit aux membres ou aux bailleurs de fonds qui demandent des informations. Que les membres n'ont aucun droit de vote, aucune procédure de règlement interne des griefs, et aucun mot à dire sur la politique menée par leur propre organisation. >>>>>>> C EST FAUX , tout simplement .
La SGI informe et finance l'organisation. La vente de produits -librairie, chapelet-- et la générosité d'un homme qui n'est pas PROPRIETAIRE (le président honoraire) , présente les comptes et factures sur demande. Personne n'est endormi. C'est une organisation internationale.
Auteur : algol-x
Date : 07 déc.17, 00:20
Message : lambchopsuey
13 décembre 2013 à 13h53
J’ai participé à quelques discussions sur le bouddhisme de Nichiren sur Reddit le mois dernier. Un membre du culte qu'est la secte Nichiren aux Etats-Unis SGI-USA, a utilisé son statut de modérateur de reddit pour m’écarter de la discussion. Tout ce que j'ai pu dire sur mes 20 ans et plus d'expériences dans le SGI-USA, a été transformé en "Mensonges et campagne de dénigrement".
Quand ensuite j'ai publié des extraits des propres publications de SGI-USA démontrant que ce que j'avais raconté était la vérité, il m'a fait bannir pour que plus personne ne puisse lire ces preuves. Pendant ce temps, il publie des déclarations élogieuses sur la merveilleuse ouverture, la démocratie et l'esprit égalitaire du culte, qui sont toutes complètement fausses.
Bien que je comprenne qu’il prenne ses désirs pour la réalité, vu comment il pousse des gens à s'identifier à un culte contestable et vouloir le blanchir comme quelque chose de noble et d'élevé, est malhonnête et sournois, sachant que ces fausses déclaration sont faites pour tromper et emmener toujours plus de gens à se joindre à eux. C'est un comportement sectaire typique qui démontre qu'il y a quelque chose d'assez faux dans le bouddhisme de Nichiren tel qu'il a été répandu aux Etats-Unis.
La façon dont le SGI, à la suite de son excommunication par son organisme de tutelle la Nichiren Shoshu en 1991, a promu Daisaku Ikeda comme centre d’intérêt principal pour tous les gens est franchement choquante, et une violation évidente de la doctrine qui consiste à "suivre la loi, pas la personne", pour laquelle la SGI ne porte qu' un intérêt de pure forme. Le fait que Nichiren lui-même était si discutable signifie que toute religion basée sur ses enseignements sera, au mieux, d'une valeur très relative.
Les membres de la secte déclarent que ce que Nichiren écrit est particulièrement formidable et répètent encore et toujours que ses excès n'était rien de plus qu’un "langage vigoureux" et de la "rhétorique" si vous voulez, ou bien écrit dans le "style de l'époque", et que par là, il était tout simplement ............. (remplissez les pointillés avec un éloge agréable à entendre)
J'apprécie beaucoup que vous présentiez les faits tels qu'ils sont. Bien sûr, les membres de la secte ne seront pas capables de le tolérer et vous attaqueront à la place de manifester de l'intérêt pour la vérité. Une secte est comme une secte après tout.
http://theendlessfurther.com/nichiren-t ... st-terror/ Auteur : Karlo
Date : 07 déc.17, 00:54
Message : Clairement, c'est aussi à cause de ta manière de t'exprimer que tes critiques ne seront pas entendues par les adeptes de la SG.
Auteur : algol-x
Date : 07 déc.17, 03:15
Message : Karlo a écrit :Clairement, c'est aussi à cause de ta manière de t'exprimer que tes critiques ne seront pas entendues par les adeptes de la SG.
Ma manière de m'exprimer est celle qui me convient, et c'est le principal, d'autre part, il ne dépend pas de moi que les témoignages d'ex adeptes que je publie ici, ne soient pris ou pas en compte par les membres.
Bien à vous,

Auteur : Karlo
Date : 07 déc.17, 04:21
Message : Tant mieux si ca te convient. Mais il est un peu absurde de te plaindre ensuite d'être mal reçu par ceux que tes témoignages sont supposés aider.
Auteur : algol-x
Date : 07 déc.17, 04:45
Message : Karlo a écrit :Tant mieux si ca te convient. Mais il est un peu absurde de te plaindre ensuite d'être mal reçu par ceux que tes témoignages sont supposés aider.
Il me semble que vous vous avancez un peu trop au niveau de vos suppositions, ce qui de fait n'a aucune importance.
Bien à vous,

Auteur : ultrafiltre2
Date : 07 déc.17, 04:55
Message : algo-x a bien raison
moi ce que j'aime bien dans la dialectique marxiste c'est son aspect couteau suisse
mais eux aussi ils la pratique sauf que chez eux c'est fascinant comment ils font ça alors forcément on fera rien si on leur parle en 'langage machine(
Auteur : algol-x
Date : 07 déc.17, 05:13
Message : Mary 03/05/2014
Je ne pense pas que la peur et l'obscurité soient si éloignés. Les sectes réussissent parce qu'elles ont appris à contrôler les émotions et nos réponses aux évènements grâce à un système de récompenses et de peurs. Je pense qu'il est assez évident de dire que lorsque que nous avons commencé à pratiquer, nous avons vu ce que nous pensions être des résultats presque immédiats; C'est ce que l'on appelle "le biais de confirmation" plus simplement, nous privilégions l'information qui confirme ce que nous voulons croire.
Nous avons pratiqué, nous avons vu un résultat favorable, hourra ! pour la "loi mystique". Nous nous étions également entourés de nos nouveaux amis qui nous félicitaient et nous réaffirmaient que notre pratique était ce qui nous avait donné ce résultat.
Cela ne prend pas beaucoup de temps (60-90 jours) pour que ce biais soit verrouillé, ce qui est le temps nécessaire pour qu'une habitude s’installe. Avant que vous n’en comprenez le mécanisme, vous pensez "oh, Je suis tellement content d'avoir pratiqué ce matin, sinon j'aurais pu être dans cet accident sur le chemin du travail" ou "Je savais que quelque chose de mal se passerait parce que je n'ai pas pratiqué ce matin et regarde - j'ai un pneu à plat."
C’est comme cela que je voyais les choses, et n'avais pourtant jamais considéré ainsi les accidents que j’avais évité ou tous les pneus à plat que je n'avais pas eu, avant d'avoir entendu parler de la sgi et de nmrk. En d'autres termes, je liais chaque événement de ma vie au fait de pratiquer ou ne pas pratiquer. J’avais complètement oublié l'idée qu'il s'agissait simplement d'événements de la vie. Les bonnes et les mauvaises choses arrivent à tout le monde. Les gens ont des événements positifs et négatifs durant leur vie, il y a de la joie et du chagrin pour nous tous, que nous pratiquions ou pas. C'est juste la vie.
Mais la sgi modifie notre façon de penser, et nous ne pouvons plus imaginer que cette pratique n'influence pas nos vies quotidiennes. La Sgi insiste sur le fait qu'elle encourage l'autonomie et la responsabilité personnelle, mais réfléchissez à cela. Combien de fois vous at-on dit de compter sur la loi mystique, le gohonzon, le shoten zenjin, vos dirigeants ou le président Ikeda. Tout va bien? c'est parce que que vous suivez les règles, tout va mal? A ce moment la culpabilité se déplace vers vous et vos lacunes. C’est cruel.
Quand je suis parti en mai dernier, j'avais aussi de la peur. Mais ma vie a été belle - il y a eu des hauts, il y a eu des bas, mais c'est comme ça qu'est la vie. Mais mes victoires ont été les miennes, et j'ai pu les reconnaître comme des accomplissements dont je peux m’attribuer le seul mérite; tous les échecs sont soit des impondérables qui se produisent ou la conséquences de mauvaises décisions que j'ai pu prendre. S'asseoir devant une boîte et pratiquer devant ne les arrangera pas, mais moi, je prendrai des mesures pour le faire !
Je ne vais pas vous dire que tout a été parfait depuis que je suis parti - l'une des choses les plus difficiles a été de perdre des gens dans ma vie. J'ai eu des choses laides, vicieuses, qui m'ont été dites par des femmes que je croyais de vraies et chères amies, apparemment, elles ne pouvaient être mes amies que si je partageais les mêmes illusions qu’elles. C'est facile maintenant pour moi de me dire qu'elles ne m'aimaient pas pour ce que j’étais, ça me faisait mal à l'époque. Mais j'ai trouvé une amitié en dehors de la sgi, qui est beaucoup plus sincère et ne dépend pas de ce que je pratique ou non.
Si vous continuez à vous promener ici (ce forum) ou à vous rendre sur rickross (ou les deux!), Vous constaterez qu'il y a beaucoup de gens qui ont réussi à quitter le sgi et qui ont mené ensuite une vie meilleure et plus heureuse; nous avons appris (et continuons à apprendre) tant de choses sur la sgi qui confirment à maintes reprises que c'est un culte dangereux. Ils ne demanderont pas aux membres de commettre un meurtre ou un suicide, mais ils continueront d’exiger de vous la loyauté et la soumission absolues.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_de_confirmation
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments Auteur : Shonin
Date : 07 déc.17, 22:46
Message : et oui...c'est culturelle tout ça.
couteau suisse aussi^^
Je pars du principe que chacun est libre , de penser de croire, de prier, ou ne pas prier.
J'ai une mère féministe qui a dû affronter sa fille à l'âge de neuf ans lorsque je lui ai annoncé que je souhaitais me baptiser.
Depuis elle s'adresse à la Soka Gakkaï (création de valeur en français) en tant que secte. Autant dire que je suis rodée
Je pratique le ûtra du Lotus car l'enseignement me parle telle une source familière, que j'aurai pu inventer. Ce qui est pompeux de le dire... mais si naturelle à vivre ! L'aspect mystique et ésotérique du bouddhisme -ou devrais-je dire de la Soka seulement?- n'est pas comprise et admise par tous, d'autre se trouveront plus alaise face à un dieu mystifié qui les consoles, d'autres face à leur peur ou amputer de leur liberté de choix et de ressentir.................................................................................................
Chacun de nous est profondément libre.
Ce que j'aime dans cet enseignement c'est aussi la manière de voir et d'aborder les relations dites, sociales.
"Le Roi-Démon du sixième-ciel" est un chapitre exhaustif en la matière. *
Le connaissez-vous ?
Ainsi, la vie retrouve son relief,
les relations retrouve leur pointure,
les actions menées retrouvent tout leur sens.
Vivre n'en revient plus à "perdre" du temps.
Si demain, l'humain aborde la vie sous son grand jour,
au regard d'une harmonie certaine,
Je n'aurai plus de raison de mesurer un temps donné à RÉCITER Nam Myoho Rengé Kyo

Auteur : algol-x
Date : 08 déc.17, 02:03
Message : directives de Tsuji:
Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort..
Un des pièges de Gakkai ! A l'épreuve de la réalité, ça ne tient pas, mais avec les rabâchages, l'influence de l'environnement, les biais...
Auteur : algol-x
Date : 10 déc.17, 05:32
Message : Publié par: tsukimoto ()
Date: 04 Décembre 2008 07:31
Dans les années quatre-vingt, la SGI était dans sa phase maniaque. Des activités tous les soirs de la semaine, une intense pression pour faire shakabuku, c'est-à-dire aller à la rencontre d' inconnus dans la rue et leur demander s'ils connaissaient Nam myoho renge kyo, avec des quotas pour le nombre de shakabukus que vous étiez censé obtenir. Beaucoup de membres semblaient hyper-endoctrinés, et si ce rythme effréné avait continué, je ne pense pas que je serais resté aussi longtemps que je l'ai fait.
Les choses se sont calmées un peu à la fin des années quatre-vingt, et j'ai vraiment apprécié certaines parties de ma pratique. J'aimais pratiquer, et lire certains textes du Gosho et du Sutra du Lotus, et j'ai apprécié certaines des activités. Beaucoup de membres et de dirigeants avaient l'air très gentils, bien que j'ai découvert plus tard que la gentillesse disparaissait assez rapidement si on les interrogeait ou si on ne les approuvait pas.
Je me sentais déchirée parfois, entre aimer certains aspects de la pratique et être dérangé par les nombreux travers de l'organisation. Puis, toute la question de la scission de SGI avec la Nichiren Shoshu. Je me suis retrouvée à me questionner encore plus et de me sentir plus moins à l'aise avec mes condisciples. Quelque chose n'allait pas, ça venait de moi ou d'eux ? Je me le demandais souvent. Il y avait des périodes où je n'allais pas aux réunions du tout, et alors cela me manquait et je revenais pendant un moment, jusqu'à ce que je sois à nouveau fatiguée et que j'arrêtais d'y aller. Dans les dernières années de ma pratique, je revenais de moins en moins. C'est comme la chanson "Dois-je rester ou devrais-je aller?" Je ne pouvais pas décider.
En 2006, j'ai eu une urgence médicale, une appendicite un week-end de vacances. Mon médecin m'a dit que j'avais besoin de quelqu'un pour me conduire aux urgences dès que possible. Ma famille ne vivant pas dans ma ville et beaucoup de mes amis étant absents, me sentant de plus en plus mal et ne trouvant personne à la maison. J'avais si peur! Le médecin a dit que je n'avais pas besoin d'ambulance, donc je ne voulais pas appeler les urgences.
J'ai finalement atteint certains membres du SGI. Ils n'avaient pas de jeunes enfants, ils n'avaient pas l'intention de partir pour le week-end de vacances, et ils ne travaillaient pas ce week-end et ils ne pouvaient toujours pas prendre la peine de m'aider! L'une des femmes, une dirigeante depuis de nombreuses années, a dit: "Ce n'est pas pratique pour moi de vous aider aujourd'hui". Je ne pouvais pas croire ça! Je ne pouvais tout simplement pas le croire! J'ai appelé un taxi, je suis allé aux urgences, j'ai fait un scanner et on m'a diagnostiqué une appendicite. A l'hôpital ils m'ont opéré d'urgence. Évidemment j'ai survécu, mais pas ma tolérance pour la SGI ! Peut-être que le chirurgien l'a enlevé avec mon appendice!
Après l'opération, je me suis senti reconnaissant d'être en vie. Plus tard j'ai pensé aux actions de mes soi-disant amis, et j'étais juste outrée et choquée. Ces gens me connaissaient depuis des années, m'ont souvent dit combien ils m'aimaient, parlaient sans cesse à des réunions sur l'importance d'ouvrir nos cœurs aux autres. Ce sont mes voisins, des gens sans affiliation religieuse particulière qui m'ont aidé.
Il y avait tellement de choses qui m'avaient dérangé à propos de SGI au fil des ans: la sur-audition d'Ikeda, la haine envers les autres écoles du bouddhisme, la "pensée magique": pratiquer est la réponse à tout, quitter ou critiquer SGI et vous aurez de la malchance, et aussi la manière dont on vous répond si vous interrogez vos dirigeants. Je ne suis donc pas partie en raison de leur refus de m'aider, c'était la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, je crois que la dernière chose qui m'a retenue dans cette organisation, c'était croire que les membres étaient gentils, Je voulais tellement y croire, quand je me suis rendue compte de la réalité, c'était plus facile de partir. Donc, vraiment, je dois considérer l'appendicite et la réponse insensible des membres comme une bénédiction déguisée! Cela m'a forcé à voir ce que j'aurais dû voir plus tôt, et à faire ce que j'avais à faire, partir, et ne pas regarder en arrière. Quand vous voyez enfin la vérité, il y a de la liberté ! L'appendicite m'a aussi fait réaliser à quel point la vie est précieuse, elle peut se terminer soudainement, quand on s'y attend le moins. Après la chirurgie, j'ai réalisé que je ne voulais plus perdre ma vie en suivant les idées de quelqu'un d'autre sur ce que je devais faire.
Une de ces personnes qui a refusé de m'aider a laissé un message sur mon répondeur quelques mois plus tard, le message: si je voulais participer à une réunion hebdomadaire spéciale pour pratiquer en faveur du désarmement nucléaire. J'ai ri et supprimé le message. C'était tellement fou! Sauvez le monde et laissez l'ami mourir sur le sol de la cuisine! Ces adultes d'âge moyen m'ont rappelé certains enfants que je connaissais! Ces enfants parlent de nettoyer le monde et d'arrêter la pollution, et ils laissent tomber leurs emballages de bonbons et de gomme partout dans le parc ! Et quand je dis: "Vous savez, si vous voulez nettoyer le monde commencez par cette partie du parc!" Ils ont eu l'air tellement surpris. Ah ! Ils adorent l'idée d'avoir une mission grandiose, qui sauve le monde, ça leur donne tellement d'importance. Mes voisins ont été surpris quand je les ai remerciés de m'avoir aidé pendant mon rétablissement, l'un d'eux a dit: "Oh, n'importe qui aiderait un voisin ou un ami malade."
Eh bien, non, pas tout le monde Mais je pense que c'est la différence entre eux et mes soi-disant amis SGI. Mes voisins n'ont pas besoin d'être des sauveurs du monde, Ils ne parlent pas tout le temps à propos de leur compassion et de leur spiritualité, ils font ce qui doit être fait, sans les "oh, comme nous sommes merveilleux!" que vous entendez constamment dans SGI. Mes voisins sont matures, certains de mes anciens amis SGI ne le seront probablement jamais. Toute cette expérience m'a vraiment fait comprendre qu'être dans un culte pendant des années peut amener une personne à suivre quelqu'un d'autre, rêver de grands rêves, tout en étant désemparé et insensible aux gens autour de soi
https://forum.culteducation.com/read.php?5,87661,page=2 Auteur : algol-x
Date : 11 déc.17, 23:56
Message : Ce que nous voyons là, c'est la croyance de celui qui pense que l'on peut "obtenir quelque chose en échange de rien", qui a remplacé l'effort de "se consacrer au processus de devenir un être humain décent" des enseignements bouddhistes antérieurs.
Actuellement, tout ces gens pensent obtenir un salut ou une illumination instantanée, juste en ayant la "foi", et sans efforts. C' est un point commun que je vois (avec les religions du livre). C'est identique aux croyances de ceux qui sont certains que l'achat d'un billet de loterie va les propulser vers la richesse instantanée.
La Soka Gakkai développe complètement cette pensée magique:
"Comment pouvons-nous vivre heureux dans ce monde et profiter de la vie? Si quelqu'un dit qu'il aime la vie sans être riche et même quand il est malade - il est un menteur. Nous devons avoir de l'argent et de la vigueur physique, et tout ce dont nous avons besoin, c'est de la force de vie. C'est ce que nous ne pouvons pas obtenir par seulement l'épargne ou par de simples efforts. Vous ne pouvez pas l'obtenir à moins de vénérer un gohonzon. Il peut être irrévérencieux d'utiliser cette forme de discours, mais un gohonzon est une machine qui vous rend heureux... Comment utiliser cette machine? Vous menez cinq séances de prière le matin et trois séances le soir et shakubuku (convertissez) dix personnes. Faisons de l'argent et construisons la santé et jouissons de la vie avant de mourir!" Josei Toda deuxième président de la Soka Gakkai
Il n'y a aucune chance que faire du gongyo (pratique), du chant (mantra) ou du shakubuku fasse venir n'importe quel travail. C'est une vision purement magique. Quelque chose arrive en échange de rien de concret, et ce type de croyance imprègne TOUS les cultes intolérants.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ecome_the/ Auteur : algol-x
Date : 14 déc.17, 01:46
Message : Blanche Quizno03/11/2014 12:06pm
Je viens de me rendre compte que j'avais un étrange blocage, alors que je peux facilement dire que la SGI est un culte (secte en anglais), et je reconnais que j'ai été membre de la SGI pendant plus de 20 ans. Ce n'est qu'hier que j'ai dit à quelqu'un que je connaissais dans la vie réelle. « j'étais un membre d'un culte » et « j'appartenais à un culte »
Maintenant que je viens d'écrire cela, l'expression « j'avais l'habitude d'appartenir à une secte » est terrifiante - Ce n'est pas seulement que j'étais membre, c'était qu'ils me détenaient. Un esclave appartient à son maître. C'est l'aspect négatif de l'appartenance. Vous pouvez "appartenir" à un ensemble qui vous accueille et vous accepte comme faisant partie du groupe (c'est le positif), mais quand vous appartenez, quelque chose vous possède.
C'était à l'un des meilleurs amis de mon fils, que nous considérons à l'égal d'un membre de notre famille depuis ces 5 dernières années. Lui et son frère sont rentrés dans nos vies quelques mois après que je me sois séparé de SGI, donc ils n'ont aucune expérience avec l'autel dans le salon, les réunions, ou le chant loufoque.
Quand je lui ai dit ça, il m'a regardé avec une expression que je ne lui avais jamais connu, comme si je venais juste de m'enlever un ma sque et de lui montrer que j'étais, Jason Sudekeis ou John Malkovich en dessous. (Je suis une femme) Il m'a connu capable, de soutien, d'aventures - chaque été depuis 3 ans, lui et son frère viennent faire un grand voyage avec nous. Ils sont tout le temps avec nous, ce sont quasiment des membres de la famille.
Il m'a regardé comme si je venais juste de lui révéler quelque chose qui modifiait profondément son regard sur moi, comme « j'ai tué des gens pour de l'argent » ou « j' ai été une danseuse exotique » ou quelque chose comme ça.
Nous devons faire passer le mot afin que la remarque « j'appartenais à une secte » ne soit pas considérée comme un aveu de faiblesse, d'incapacité mentale et de jugement particulièrement mauvais. Il y a tellement de cultes ici, souvent déguisés sous des en-têtes culturellement approuvés", et tant de gens qui s'en sont séparés qui ne comprennent toujours pas pourquoi ils ont ainsi délirés. Ils se promènent, choqués, se demandant ce qui ne va pas chez eux. Le problème est que les sectes volent sous les radars et endommagent les gens sans que leurs victimes se rendent vraiment bien compte de ce qui s'est passé.
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments Auteur : algol-x
Date : 15 déc.17, 02:26
Message : Publié par: Luz ()
Date: 26 juin 2012 03:08
Salut !
Je tiens à remercier ce forum, il m'a été très utile. Parce que quand il est temps de quitter cette organisation, vous pouvez vous sentir seul et effrayé.
J'ai commencé à pratiquer il y a 8 ans, parce que j'étais dans une situation désespérée. J'ai toujours eu des doutes surtout sur le mythe Ikeda, le fait que leaders n'avaient pas vraiment un esprit d'ouverture par rapport à des questions sur "la loi" en répondant: "pratiquez, vous comprendrez"
Le fait est que j'ai pratiqué dans 4 pays très différents et j'ai toujours pensé que je pratiquerais pour toujours. Les gens étaient assez gentils dans certaines réunions et j'ai vraiment cru que je pourrais changer ma vie avec cette pratique.
Il y a six mois, je suis arrivé en France, puis j'ai découvert dans SGI tout ce que je déteste à propos des gens. Fondamentalement, ils pratiquaient depuis plus de 20 ans, ils étaient négatifs et ils avaient tous un grand ennemi à combattre!
Je me rends compte à quel point ils étaient perdus et endoctrinés . J'ai essayé de comprendre et de commencer à m'interroger: "ce bouddhisme fonctionne-t-il vraiment?" La réponse dans le cas contraire était invariablement: "on ne comprenait pas le cœur de Sensei". Ou bien on pratiquait mal, bien sûr, toujours une bonne excuse.
Puis j'ai commencé à regarder ma vie et ces 8 dernières années, toutes ces heures de daimokus (mantra) pour les buts qui ne se sont jamais concrétisés. je pensais que le Gohonzon (le mandala) m'avais mis dans ces conditions de vie pour m'améliorer et j'ai dû me battre sans faire de stratégie personnelle (c'est le petit ego d'après SGI), un jour les résultats viendraient.
Je suis vraiment fatiguée mais j'ai peur d'arrêter. Mon mari est un scientifique et il était toujours respectueux mais sceptique. Nous avons beaucoup parlé et je comprends maintenant que j'ai perdu le contrôle de ma vie, laissant toutes les décisions importantes à "la stratégie du Gohonzon et du sutra du lotus". J'étais dans une profonde dépression . Maintenant, je veux juste aller de l'avant mais je suis toujours avec cette m.... , beaucoup de pensées angoissantes me hantent, l'impression que les gens que j'aime vont mourir et que je vais devenir misérable.
Juste en écrivant ce message, je me sens moins seule dans cette décision, je sais que je ne peux pas parler librement avec les quelques amis que j'ai dans la SGI. Ils ne comprendraient pas. Deux d'entre eux m'ont déjà dit que je ne serai jamais heureuse si j'arrête.
J'ai peur, mais je veux me sentir libre par rapport à ces sentiments.
https://forum.culteducation.com/read.php?5,96125 Auteur : algol-x
Date : 17 déc.17, 04:38
Message : soumis il y a 2 heures par infinitegratitude
Il y a quelques jours, le deuxième des deux appels téléphoniques que je redoutais de recevoir à la suite de mon "évasion" de la SGI a eu lieu. Il était de quelqu'un que je connaissais à Londres depuis plusieurs années et c'est un membre de SGI hardcore.
Elle avait appris que j'avais quitté l'organisation, la personne à laquelle je fais référence sur ce site sous le nom de GB (Gakkai Bot) il y a quelques semaines et j'avais donc eu le temps de préparer un scénario.
Pour les besoins de ce poste, je me référerai à cette deuxième personne comme Mission: Kosen-rufu! (MK). Après quelques plaisanteries d'introduction, elle a soudainement adopté un ton très sombre en arrivant à la vraie raison pour laquelle qu'elle avait appelé (et ce n'était certainement pas pour mon bien-être). C'est à peu près comment ça s'est passé:
-MK: J'ai entendu que vous avez cessé de pratiquer.
-Moi: Oui. C'est vrai.
-MK: Eh bien, j'ai été très surprise.
-Moi: Je me suis arrêté il y a quelques mois.
-MK:(avec un son de larmes retenues dans sa voix) Mais pourquoi vous ne me l'avez pas dit?
-Moi: Parce que je n'ai pas ressenti le besoin de téléphoner à qui que ce soit pour dire « j'ai arrêté de pratiquer » Si je parlais à quelqu'un DE TOUTE FAÇON et que j'avais eu envie de le mentionner dans une conversation, alors je l'aurais fait.
-MK: Mais avez-vous eu des doutes pendant un certain temps?
-Moi: Oui. Et j'ai essayé d'expliquer de façon raisonnable à GB pourquoi je décidais que j'en avais absolument assez. J'avais perdu tout sentiment de connexion à la pratique et l'intensité du culte d'Ikeda m'avait presque achevé. Cependant, GB a été très impoli avec moi au téléphone et n'acceptait pas mes explications. Elle a continué à essayer d'insister sur le fait que je devais avoir été influencé par ma sœur ou mon beau-frère qui n'étaient jamais de grands fans de la SGI. Ou qu'être isolé en ne résidant plus dans une région métropolitaine avait eu un effet négatif sur ma foi.
-MK: Je ne pensais pas que vous seriez affectée par l'opinion des autres. Vous êtes trop têtue pour ça. Mais c'est ce que je pense: vous avez eu une grande responsabilité en étant un chef de district plus ou moins seule depuis quatre ans, et vous avez été coupée parce que vous ne vivez plus à Londres. J'ai toujours dit de moi-même que je ne pourrais jamais m'entraîner en dehors de Londres parce qu'il n'y aurait pas assez de soutien! Donc vous avez eu beaucoup de choses à gérer par vous-même et je pense que vous venez de vous brûler.
-Moi: Vraiment?
-MK: Oui. Est-il vrai que vous avez renvoyé votre Gohonzon?
-Moi: Oui.
-MK: Eh bien, ça va. Cela n'a pas d'importance. Vous pouvez toujours en obtenir un autre. Je pense vraiment que vous avez eu un lourd fardeau et maintenant vous êtes épuisé et vous avez juste besoin d'une pause.
-Moi: Je ne ressens aucun désir de revenir.
-MK: Peut-être pas pour le moment parce que vous souffrez de burn-out.
-Moi: Je suis partie parce que je ne veux plus faire partie de la SGI. Au fait, vous rendez-vous compte que Daisaku Ikeda est probablement déjà mort?
-MK:
Sensei est vivant!
-Moi: Comment le savez-vous?
-MK: Il est vivant! En tout cas, merci d'avoir pris mon appel. Je vous ai toujours beaucoup apprécié et vous êtes très douée pour expliquer le bouddhisme aux gens. C'est un grand talent que vous avez. GB vous met réellement sur un piédestal.
-Moi: J
e ne veux pas être mise sur un piédestal. Tout ce que je veux, c'est une vie ordinaire pleine de choses que j'aime faire.
-MK: Bien sûr, c'est important. L'équilibre est très important. Mais le problème est que vous êtes épuisée par les activités de SGI et vous avez simplement besoin d'une pause pour pouvoir recommencer et avoir une vie normale qui inclura aussi toutes les autres choses que vous voulez faire. S'il vous plaît rester en contact. Profitez de votre pause!
Quelques heures après cette conversation, je suis entré dans une fureur absolue: COMMENT OSENT-ILS M'ASSURER DE CONNAÎTRE MON CŒUR MIEUX QUE MOI- MÊME !
La bonne nouvelle est qu'il y a des centaines de kilomètres entre moi et GB et MK et je n'ai plus jamais besoin de les revoir...
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _believed/ Auteur : algol-x
Date : 18 déc.17, 11:57
Message : VIA SOKA
17 juin 2016
ANONIMO MILANESE:
"Vous passez 13 ans dans une organisation où vous pensez que vous pouvez ignorer les choses que vous n'aimez pas, les étiquetant comme secondaires. J'ai pensé: d'accord, il y a des gens dogmatiques, fermés, mais je ne suis pas comme ça. Oui, il y a un parti politique au Japon, mais nous ne l'accepterions jamais ici. Oui, ils changent l'objet du culte selon la commodité, peut-être que le premier était aussi un faux, peut-être même l'actuel, ce qui compte « est en nous ».
Oui, ils parlent toujours d'Ikéda, ils l'adorent comme une idole, ils prétendent qu'il est actif et lucide, mais il a disparu de la scène depuis des années. Ils vous disent que si vous voulez, vous pouvez "changer" l'organisation, en réalité, ils vous isolent. De vrais amis (Je les ai toujours) ils vous soutiennent mais ils ont peur d'être arrogant ou accumuler des causes négatives, de sorte qu'ils le font en silence et un peu caché. Puis vient le jour où vous ne pouvez plus le supporter, et partez.
Puis il peut vous arriver, comme cela m'est arrivé, de commencer à avoir des difficultés, réelles, au travail, au niveau santé, vous êtes malade, et vous pensez que peut-être vous avez fait quelque chose de mal. Vous pensez que vous aviez tort de critiquer, d'avoir offensé la sensibilité et la pureté de la croyance des autres, et que pour cette raison la « vie » se retourne contre vous.
Mettre en pratique ce que vous avez toujours pensé rationnellement, et le lier avec une religion et vérifier sa validité selon la réalisation d'objectifs, est une superstition et un esclavage opposé au Bouddhisme.
Je n'ai pas choisi cette voie et ma vie d'aujourd'hui redevient libre, vraie, inconditionnelle. Je gagne et perds, comme tout être humain, j'ai surmonté des difficultés comme tout être humain, tôt ou tard, c'est le cas, mais j'ai transpiré et souffert. En dehors de quelques amis merveilleux, les membres ils sont proches de vous seulement si vous revenez. Ils sont empoisonnés par le chantage superstitieux comme vous l'étiez. Ils ont peur de perdre des objectifs, des liens d'amitié, le sens d'appartenance et d'identité.
J'ai remarqué que ce que je ressentais en moi, en quittant l'organisation, c'était de la peur.
Avec toute ma culture et mon sens de l'équilibre, j'avais absorbé pendant des années les tabous, les superstitions et le chantage toujours devoir être reconnaissant envers ce monsieur Ikéda et son organisation, comme s'il était le seul salut du monde.
Aujourd'hui je me sens libre! Je me sens libre d'accepter tout le clair-obscur de la la vie sans avoir à établir un planning, avec des heures de pratique superstitieuse et le prosélytisme comme sauveur du monde. Aussi libre de vivre le présent sans planifier les "victoires" anxiogènes propres à Soka Gakkai. Je programme, j'ai des désirs, comme tout être humain, mais je ne pratique pas de religions. Je peux même essayer de m’améliorer sans attendre de prix en retour, sinon la joie de vivre."
Source: Soka Detox - Facebook
https://docs.wixstatic.com/ugd/885ddd_1 ... 0f395c.pdf Auteur : Shonin
Date : 19 déc.17, 00:42
Message : Il n'y a que la Soka Gakkaï qui combat le mal. En réalité, c'est la véritable organisation bouddhique qui succède à l'esprit de Shakyamuni.
Shakyamuni a dit " Rejetez le mal comme on rejette un déchet."
Une sagesse extrême fait toujours surgir des sentiments de jalousie par réaction... Cependant rien n'est plus injuste que la jalousie.
https://www.youtube.com/watch?v=K_aurjEhl2Q
Bonne journée Alcov-x

Auteur : zeste de savoir
Date : 19 déc.17, 04:45
Message : La preuve actuelle...
J'ai tout fait. TOUT.
Rien n’a marché. Je voyais aussi des gens autour de moi chanter de manière continue, en désespoir de cause - mourir de cancer, prier pour qu'un enfant estropié soit rétabli et en parfaite santé contre toute attente, que de l'argent apparaisse comme par magie, etc.
ils étaient épuisés, jusqu’à ce qu'ils abandonnent et à contrecœur commencent le processus d'accepter la réalité telle qu'elle était, n'ayant pas réussi à la plier à leur volonté.
Je sais et c’est un fait, que cette pratique ne marche pas.
https://taitenwisdom.weebly.co [...] n#comments
Auteur : algol-x
Date : 19 déc.17, 09:16
Message : j'ai rencontré la Soka Gakkai par l'intermédiaire d'un membre de ma famille très proche, et j'ai été invité à assister à l'une des réunions bimensuelles (zadankai). Lors de ces réunions, nous récitions daimoku, Gongyo, les membres nous racontaient leurs expériences personnelles de pratique et aussi la "philosophie" proposée par l'organisation, nous avons également étudié les écrits de Nichiren, Ikeda et des articles qui apparaissent dans le magazine SG "New Renaissance".
Euphorie générale, sourires imprimés sur les visages, "expériences de vie" racontées comme une "preuve" que cette pratique fonctionne, avec des personnes qui, dans certains cas, en parlent de manière exaltée ou délirante, louant le "maître Ikeda" et ainsi de suite.
On me dit que le but de leur philosophie est d'être heureux. Pour être ainsi, j'ai dû commencer à réciter le soi-disant daimoku, une heure par jour, matin et soir, et faire gongyo. Non seulement cela, mais également en agissant. j'ai dû me fixer des objectifs, et après 10 jours d'après eux j'aurais une réponse. Donc, j'ai récité cette formule pour obtenir des "résultats". Ils m'ont dit alors que dans leur religion, contrairement aux autres, il y a la "preuve concrète", c'est-à-dire que que j'aurais la réponse à mes vœux dans le temps fixé. En effet, une personne m'a dit que, à un moment où il avait besoin d'une somme d'argent, et grâce aux daimoku (mantra) il l'avait obtenu.
Effectivement, quelque chose était arrivé, mais ce ne fut pas quelque chose de si improbable ou incroyable, cependant c'était assez matériel pour faire taire mes doutes et ma perplexité sur cette "doctrine".
Parlons-nous d'une philosophie de la vie ou d'un rituel magique? Je m'attendais à ce qu'il y ait un chemin dans lequel la philosophie bouddhique a été profondément expliquée à partir des origines, et à la place on m'a offert une sorte de "formule magique" qui résoudrait mes problèmes et me rendrait heureuse. on me dit qu'il est pas nécessaire de comprendre la signification de "nam Myoho Renge Kyo" ou de Gongyo pour leur efficacité et cela parce c'est une "chose mystique englobant tout l'univers" et on ne pouvait comprendre qu'en voyant ses effets, il n’était pas possible de donner une explication rationnelle mais il fallait avoir la foi.
Est-ce du vrai bouddhisme, ou un artifice pour attirer les gens, surtout ceux en difficultés, qui souffrent et ont des problèmes, leur donnant cette promesse illusoire de pouvoir les résoudre? N'était-ce pas la même chose qui promettait le sorcier Do Nascimento avec Wanna Marchi?
Mais cette phrase a-t-elle ce pouvoir?, la réponse est NON !! Dans la vie, les événements et les changements se produisent tout le temps, et ils n'apparaissent pas plus chez une douzaine de personnes qui pratiquent dans un groupe. Si vous agissez tous les jours, il est trop facile de ramener à la pratique le fruit de vos actions. Mais dans mon cas, dans les périodes où j'ai agi et je n'ai pas pratiqué n'a rien changé !!! En fait, les plus belles choses me sont arrivées quand j'ai arrêté d'agir. Et je me sentais beaucoup mieux intérieurement, c'était comme si je m'étais libéré d'un poids qui m'oppressait, et j'ai ressenti un énorme soulagement.
la tendance générale est de réciter très rapidement le daimoku et le gongyo, de cette façon vous ne réalisez même pas ce que vous faites mais essayez de garder un rythme agité en vous conformant aux autres, et l'effet n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié, donnant ainsi l'impression d'une expérience mystique, parce que vous perdez le contrôle sur ce que vous faites, et ceci est fortement contraire au concept fondamental de la philosophie bouddhiste qui favorise la conscience.
Le dalaï-lama lui-même dit qu'en récitant un mantra, il est bon de penser à sa signification, puisque le sens des syllabes, quel que soit le mantra, le domaine est vaste . En récitant un mantra à la vitesse de la lumière, vous n'avez même pas le temps de réfléchir à ce que vous faites. Et toute cette frénésie d'agir, si elle est exercée pendant des heures et des jours, à mon avis fait plus de mal que de bien.
Une autre contradiction que j'ai trouvée est la suivante: le responsable, pour promouvoir la validité de leurs enseignements, différencient leur "bouddhisme" des autres religions et surtout du catholicisme, disant que le bouddhisme n'a ni obligations ni interdictions, faisant croire que cette doctrine permet une liberté absolue, sans commandements et surtout sans le concept de péché. Mais il est dit aussi que vous devez pratiquer Gongyo matin et soir et faire au moins une heure daimokus par jour et que cela peut alors apporter des bienfaits, mais cela contredit les propos ci-dessus. Les pratiquants du fait de suivre ces directives, sont incités à augmenter les heures de pratique si les choses ne vont pas comme prévues.
Sans oublier que même si nous ne remarquons pas, ils introduisent un concept similaire au péché déguisé en "cause négative", invitant alors à réciter plus de mantras pour "transformer le karma négatif" causé par "les oppositions à la loi" faites non seulement dans cette vie, mais aussi dans les vies précédentes. Cela induit une sorte de "superstition", masquant un "terrorisme psychologique" qui semble avoir pour but d'empêcher toute contestation de la doctrine ou de l'organisation, prophétisant un avenir de disgrâces à ceux qui le feront. Nous sommes au XXIe siècle, je pensais que ces croyances médiévales avaient disparues.
On dit qu'une maison qui "héberge" un Gohonzon sera protégée, Il faut aussi dire qu'il y a des gens qui pratiquent des années, mais ils n'ont rien résolu dans leur vie. Et il est facile dans ces cas de dire qu'ils n'ont pas correctement pratiqué, qu'ils n'ont pas eu assez de foi et et ainsi de suite, comme le font habituellement les responsables. Qu'ajoutent-ils alors? Que pour obtenir les résultats, vous devez également étudier! Étudier signifie lire le Gosho de Nichiren, les livres d'Ikeda ou les articles des magazines de l'organisation. Mais comment pouvez-vous me faire croire que si je lis la page d'un livre le lendemain je trouverai du travail ou que je vais gagner à la loterie? Aberrant !
Les responsables proposent aussi de faire des "activités", c'est également un moyen d'avoir des "bienfait". En quoi consistent les "activité"? présenter un sujet dans les réunions, en tant que modérateur, ouvrir la porte de la maison où la réunion a lieu aux participants, offrant un verre à ceux qui en ont besoin, de communiquer des statistiques sur la participation, (tout est surveillé! le nombre de personnes qui ont participé aux réunions de toute l'Italie, et parmi eux combien membres, de sympathisants ou de débutants), également annoncer les prochaines, réunions et faire en sorte d'y amener des gens, faire partie du chœur, faire du nettoyage (!) dans le kaikan (les temples du SG) et ainsi de suite. Je crois que même l'église ne fait pas nettoyer pas les planchers aux fidèles, et ce ne sont que des exemples, la liste pourrait être longue!
https://nosokagakkai.blogspot.fr/2012/0 ... akkai.html Auteur : Shonin
Date : 20 déc.17, 10:11
Message : [
EDIT]
Tu as cette chance de pouvoir te faire ton propre avis à présent. Sur ce site. Ne la rate pas !
Bon je dois t'avouer que tes écrits -comme ceux de vic- je ne les décortique plus autant, qu'à moitié, voir pas du tout... mais tu ne m'en voudras pas, je répond à tes attentes considérés.
Dans la mesure où tu sembles davantage d'acharner sur ce sujet sans ne poser aucune question claire.
Il est facile d'admettre que la vie offre des imperfections pour toute chose alors, pourquoi en serait-il autrement concernant la Soka Gakkaï ?
Réponds-moi.
Si cette organisation te gêne, personnellement, exprimes-toi alors clairement.
Si l'organisation ni ne te correspond, ni ne t'interesse, libre à toi de nourrir ton quotidien de lecture qui t'enrichisse sans perdre de temps.
Et si tu estimes que le bouddhisme de Nichiren ne doit pas apparaître sur ce forum, ou que nous ne sommes pas en mesure d'agir correctement comme disciple de Nichiren et encore plus envers toi, il est important de discuter des 'vrai' 'problème' nous réunissant ici.
Voilà..
c'est tout ce que j'aimerai te faire entendre Algol-x.
Car toutes les réponses aux diffamations citées dans tes revues, t'ont été donnés. Il ne manque rien à comprendre, pour celui qui y tient.
Bonne soirée.
Auteur : algol-x
Date : 20 déc.17, 17:31
Message : wisetaiten il y a 1 an
En tant que membres de SGI, nous étions conditionnés à considérer comme suspects tous ceux qui critiquaient l'organisation. Puisque l'organisation était parfaite à tous points de vue, si des gens se prononçaient contre, c'est qu'ils devaient avoir un agenda personnel.
Ils étaient des membres du Temple qui essayaient de séduire d'innocents gakkiens avec leur machinations. C'étaient des ennemis du sutra du lotus déterminés à détruire l' organisation qui en fait la meilleure promotion.
Des gens mentalement malades parce qu'ils ne comprennent pas à quel point l'organisation est merveilleuse et n'ont pas pris le temps d'essayer de vérifier comment ce groupe est le chemin vers le vrai bonheur. Ou mon favori: ils sont jaloux parce qu'ils ne sont pas membres.
Même des groupes internes à SGI, comme l'IRG, qui avait été encouragé par l'organisation elle-même à identifier des domaines à améliorer a été vilipendé, lorsqu'ils ont dressé une liste assez complète et l'ont présenté aux dirigeants.
Non ! la Soka Gakkai International (et tous ses affiliés) sont parfaits ! et tous ceux qui trouvent que quelque chose ne va pas ne font que tromper et fourvoyer les gens...
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _offender/ Auteur : algol-x
Date : 21 déc.17, 18:03
Message : La nuit dernière, j'ai fait un rêve que ma mère et moi déménagions des meubles de notre maison. Nous avons décidé de faire une pause, devant la porte d'entrée.
Soudainement, tous les membres et les dirigeants de SGI que j'ai connus sont entrés par la porte ouverte, un à la fois. Et puis ils ont commencé une fête dans ma maison et ont fait comme si ils étaient très heureux de me voir.
Puis un vieux chef de WD de mon ancienne réunion a apporté un Gohonzon qui avait déjà été enterré dans un butsudan dans ma maison. Elle l'a placé sur la table de la cuisine et a dit "Maintenant vous devez retourner à SGI!"
J'ai couru jusqu'à ma chambre, (la porte de derrière aurait été un choix bien meilleur, sacrés cauchemars !) pour m'éloigner de la foule. Ils ont couru après moi et m'ont coincé dans ma chambre. Ils m'ont ensuite traîné hors de ma chambre, hors de ma maison et m'ont poussé dans une fourgonnette.
Et puis je me suis réveillé, Dieu merci!
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ng_to_sgi/ Auteur : Shonin
Date : 22 déc.17, 03:07
Message : zeste de savoir a écrit :La preuve actuelle...
J'ai tout fait. TOUT.
Je sais et c’est un fait, que cette pratique ne marche pas.
https://taitenwisdom.weebly.co [...] n#comments
Bonjour et bien venu...
De quelle pratique parlez-vous?
vous êtes preuve, oui. mais de quoi...
c'est la question que je vous pose ici

Je n'attend pas un remerciement pour l'accueil, mais au moins un minimum de considération, au delà de l'égo.
Au delà de l'égo, nous sommes égaux.
#Sûtra du Lotus - Byakuren - Fleur - Nichiren.
https://www.google.fr/search?q=byakuren ... ZFxkXow6M: Auteur : zeste de savoir
Date : 22 déc.17, 06:05
Message : je parle de votre pratique, ce n'est pas compliqué a comprendre !
la preuve actuelle que vous essayez de vendre est l'idée que le mantra fonctionne, et que cela peut être constaté !
Voici la réponse, de quelqu'un qui a passé plus de 20 ans de votre organisation et en a été leader au US.
La preuve actuelle...
J'ai tout fait. TOUT.
Rien n’a marché. Je voyais aussi des gens autour de moi chanter de manière continue, en désespoir de cause - mourir de cancer, prier pour qu'un enfant estropié soit rétabli et en parfaite santé contre toute attente, que de l'argent apparaisse comme par magie, etc.
ils étaient épuisés, jusqu’à ce qu'ils abandonnent et à contrecœur commencent le processus d'accepter la réalité telle qu'elle était, n'ayant pas réussi à la plier à leur volonté.
Je sais et c’est un fait, que cette pratique ne marche pas.
https://taitenwisdom.weebly.co [...] n#comments
autres...
D'après ce que j'ai pu constater, la « preuve réelle » (obtention due a la pratique ndlr) obtenue par des pratiquants SGI était en fait inférieure à la « preuve réelle » atteinte par ceux qui ont arrêté de pratiquer ou par une cohorte gens qui n'ont jamais pratiqué.
Par exemple, prenez n'importe quel groupe de 150 jeunes hommes très motivés. On s'attendrait à ce qu'au moins 10 ou 20 % d'entre eux arrivent à réaliser leurs buts avec la foi et la pratique de SGI, mais probablement moins de cinq pour cent ont réalisé leurs rêves. Quel qu'en soit le nombre ou le peu de personnes, c'est difficilement une preuve universelle...
En fin de compte, a moins d'être influencé par la façon agressive et la force de conviction que les pratiquants mettent pour vous convaincre on ne trouve aucune preuve réelle dans le "bouddhisme" de la SGI,.
http://community.beliefnet.com [...] okke?pg=27
(self.SGIcultRecoveryRoom)
soumis il y a 3 ans par wisetaiten
J'ai passé sept ans à ne pas prendre une seule décision ou à faire face à un défi sans pratiquer. Un revers dans ma vie m'envoyait vers mon gohonzon (mandala), demandant de l'aide, une embellie me renvoyait devant, pour le remercier.
J'échouai à réaliser que j'étais la seule force qui pouvait résoudre un problème ou créer une issue positive de quelque chose. Que c'était moi qui créais ma vie et que je ne faisais que projeter de la gratitude ou de l' inquiétude sur un parchemin inutile en papier Xerox, suspendu dans une boîte de bois.
Une fois que j'ai accepté que ma vie n'était pas différente ou plus spéciale que celle de quelqu'un d'autre, mes yeux se sont rapidement réveillés de la farce dans laquelle j'étais si activement engagée. L'idée que je ne m'étais pas senti responsable pour ce qui m'étais arrivé dans la vie était assez horrifiante.
Dix mois après avoir cessé de pratiquer, mon contrat pour un poste que j'aimais beaucoup a pris fin. Quand je l'ai su, je suis rentré chez moi et j'ai commencé à contacter d'autres sociétés de conseil et à chercher du travail. J'ai fais des ajustements dans mes finances pour réduire mes dépenses et j'ai planifié la façon dont j'allais continuer à aller de l'avant. Ce n'est que quelques semaines plus tard que j'ai réalisé qu'il ne m'était plus arrivé de réciter ce mantra. Je m'occupais de mes affaires et faisais simplement toutes les choses pratiques que je devais faire, et je n'avais pas eu à quémander une sagesse externe pour le faire.
Aujourd'hui, c'est ce que j'appelle une victoire.. !
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] _freedoms/
Auteur : algol-x
Date : 23 déc.17, 03:23
Message : Shonin a écrit : "toutes les réponses aux diffamations citées dans tes revues, t'ont été donnés. Il ne manque rien à comprendre, pour celui qui y tient."
Vous me demandez quelle sont mes motivations d'intervenir sur ce forum et c'est assez drôle ! je passe sur les civilités à mon endroit, et la confusion que vous entretenez entre sujet et intervenant. Concernant
"les réponses aux diffamations citées dans mes revues, qui m'auraient été données" comme vous dites, sont sans références ou sourcées "réponses Soka" ou Soka machin", j'en conclu que vos informations ne sont pas de provenances diverses, donc d'une validité contestable.
-Une autre expérience d'un ex-membre:
jojaroyd ()
Date: 01 avril 2009 23h30
Je me souviens que l'année dernière, je suis allé à une conférence du CCFN quatre jours fin juin début juillet. C'était une réunion de la division des étudiants. La FNCC est le Centre Nature et Culture de Floride, un lieu où les membres de la SGI participent à un séminaire pendant quatre jours.
Quoi qu'il en soit, nous avons eu une énorme session sur Soka Spirit. Ils ont montré une vidéo de la manifestation à l'extérieur du bâtiment de Columbia ou la Nichiren Shu tenait une réunion. C'était plutôt bizarre. La première partie de la vidéo montrait des membres de la SGI, tenant des affiches (impossible à lire, c'était en japonais) devant la chambre d'hôtel où logeait le grand prêtre de la Nichiren Shu, Nichinyo Hayase. Il est sorti et il y a eu un echange verbal. Les membres du SGI ont continué à demander à avoir une discussion avec lui, encore et encore, et Nichinyo a continué à dire qu'il ne parlerait pas aux membres de la SGI. Les adeptes de la SGI n'étaient pas vraiment très agressifs c'était quand même effarant qu'ils fassent ça et que la vidéo enregistre la scène. Voulaient-ils vraiment discuter, ou s'attendaient-ils à ce qu'il accepte leur invitation, pourquoi les enregistreraient-ils? C'était présomptueux et intrusif !
Le vidéo-clip suivant a été pris le lendemain, les membres de la SGI se trouvaient à l'extérieur de l'édifice Columbia pour protester. Ils approchaient les membres de la Nichiren Shu et essayaient de leur parler, deux leaders de la Nichiren Shu ont réagit avec colère. Les membres de SGI vendaient leur copie du gosho, racontant aux membres de Nichiren Shu ou aux passants qui ne participaient même pas à la réunion, que leur traduction des textes de Nichiren était plus exacte que celle de la Nichiren Shu qui en avait fait une traduction fausse. Je pense que je que ça devait être vraiment étrange pour des gens qui ne connaissaient rien de la SGI ou de Nichiren Shu. Ils ont interrogés les membres de Nichiren Shu au moment où ils quittaient la réunion. Chaque fois qu'ils ont essayé de parler à un de leur membre, les adeptes de la Nichiren Shu réagissaient vivement.
Des deux côtés ils semblaient assez jeunes dans l'ensemble . Pendant la session du CCFN, a été également distribué le dépliant que les membres du SGI distribuaient lors de cette manifestation. ça ressemblait à un tabloïd flippant, avec pour sujet les prêtres de la secte Nichren Shu. Assez trash, ils prétendaient que les prêtres de la Nichiren Shu utilisaient les services de strip-teaseuses au Brésil.
Après la session, nous avons tous été divisés en petits groupes pour parler de ce que nous avions vu. Dans groupe dans lequel j'étais, un type a exprimé ses opinions "Qu'est-ce que c'est ce cinéma! Pourquoi ne pouvions-nous pas les laisser tranquille? Ce texte est trop radical!" Il a été recadré car il a dénoncé la position de la SGI pour laquelle il NE DEVRAIT PAS y avoir de sentiments non agressifs vis à vis de la Nichiren Shu. Tout cela parce que Nichiren a dit que si vous voyez quelqu'un calomnier "la loi" vous devez le rectifier, ou bien vous calomniez la loi vous-même ! Je me suis rangé à l'opinion générale, même si intérieurement j'étais d'accord avec ce type qui parlait. Je me sentais trop sous pression. Vraiment aspiré. Heureusement, c'est fini maintenant.
Il y avait aussi un gros toso à Chicago ce jour-là. Apparemment, la secte Nichiren Shu avait une grande réunion à leur temple de Chicago, et les membres du SGI ont décidé d'organiser une grande réunion et une session de mantra pour prier afin que leur réunion soit un échec. Les membres de la SGI, psalmodièrent des mantras contre les leaders Nichiren Shu qui étaient "méchants et corrompus", et ont pratiqué pour le succès de la réunion de la SGI de Chicago, et je sais aussi que ces réunions se tenaient toutes en même temps à travers le pays.
Really now !
https://forum.culteducation.com/read.ph ... #msg-87776 Auteur : algol-x
Date : 24 déc.17, 11:11
Message : soumis il y a 5 mois par franny1949
J'ai été malade pendant plus d'un mois. Après avoir vu deux médecins, je suis toujours aux prises avec cela. A rejoint la SGI en 1973 et pratique tous les jours. Je crois au Gohonzon, au pouvoir de la pratique, et j'aime lire le Gosho.
Un chef de chapitre local a téléphoné pour voir comment je progressais avec ma maladie. Quand j'ai rapporté que j'avais peu confiance dans l'opinion des responsables et que je luttais toujours contre mes problèmes de santé: elle a commencé à élever la voix et à crier après moi, elle m'a déclaré deux fois «VOUS AVEZ UNE FOI FAIBLE! » ; quand je lui ai dit que je pratiquais silencieusement à cause de l'essoufflement, elle m'a répondu: «C'EST VOTRE OBSCURITÉ FONDAMENTALE!» et puis dire: « je ne vous entend pas dire que vous êtes déterminée à surmonter cela !»
J'ai vu cette stratégie appliquée au cours des années, une fois à mon fils, qui était né dans la pratique et était si sincère - probablement le meilleur membre de la Division des Jeunes Hommes qu'ils auraient pu souhaiter. Il y eut un grand «chef» qui le réprimandait de ne pas faire assez d'activités, etc. Eh bien, c'était la fin de la pratique de mon fils. Il a continué à pratiquer, mais n'a plus jamais assisté à une activité SGI.
L'étrange contradiction est que dans leurs publications, les conseils qu'ils donnent à leurs dirigeants sont souvent les suivants: «Les dirigeants ne doivent pas se placer au-dessus des autres et ils ne devraient jamais mépriser les gens, se disant eux-mêmes spéciaux». En outre, «Il est particulièrement important que vous, en tant que dirigeants, louiez et encouragez vos collègues, ne perdez jamais votre sang-froid et ne grondez pas ou ne réprimandez pas les gens» (Extrait du Living Buddhism, août 2017.)
Voici un exemple parfait des contradictions flagrantes qui existent dans l'organisation SGI antidémocratique avec leur hiérarchie de soi-disant «leaders» non élus, qui sont autorisés à dispenser régulièrement des «conseils» et des «encouragements».
Cette «orientation» de «leader» était le contraire complet d'encourageant. Au contraire, cela m'a encore plus éloigné de cette organisation qui, pendant des années, ne me faisait plus confiance. Finalement, cela a renforcé mon opinion (même si j'ai toujours l'intention de pratiquer et d'étudier les écrits de Nichiren Daishonin) que le SGI est un culte angoissant. Si vous voulez des encouragements, mon conseil est juste de lire le Gosho et de pratiquer. Si vous êtes chanceux si vous pouvez trouver une personne dans l'organisation en laquelle vous avez confiance, et ressentir cela vient du cœur, pas complètement endoctriné, faisant autorité et jugement. Je ne crois pas que quiconque a le droit de juger la pratique d'une autre personne comme forte ou faible - ce n'est pas du bouddhisme !!
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _guidance/ Auteur : algol-x
Date : 25 déc.17, 05:20
Message : julesdorais il y a 1 an
J'ai eu plus d'un mauvais rêve, mais toute mon expérience avec l'org était comme un rêve obscur. Je suis allé à la Fncc deux fois et quand je revenais en Californie en un voyage, j'appréciais «la vie sur le Mississippi» de Twain, un classique, à mi-chemin des pages, j'avais une épiphanie, ou quelque chose du genre, et je ne pouvais m'empêcher de pleurer, le livre atteignait une zone étrange et mélancolique, mais c'était lié à mes quatre jours au «campus».
Je devais avoir l'air d'un oiseau très étrange pour la passagère à côté de moi. Ça a duré une heure, ou deux, comme si un barrage émotionnel avait éclaté. Mais il y avait une expérience racontée au cours des choses au centre, par un ancien ymd, qui a pu avoir eu un impact subconscient.
il a parlé d'une convention Hawaï il y a longtemps, où il y avait eu une grande confusion de signaux, un malentendu entre un «cadre» de groupe soka et sensei, le grand pubah. En quelque sorte sensei voulait seulement un verre d'eau, mais eux pensaient que c'était de l'eau de mer. Ils ont dû passer par cette grande épreuve, s'éclaboussant et se battant à travers le ressac, etc., seulement pour se rendre compte que c'était simplement un verre d'eau ordinaire!
je pense que cela révèle le facteur d'abus mental, de la matrice maître/disciple, comme un tyran romain causant toute cette peine et toute angoisse sur un désir ridicule et mesquin. Je me suis rendu compte que la sgi était pas authentique ou humaniste, juste une façade de convivialité, visant à dorer de gloire artificielle une idole unique, intouchable, iconique, un retour à la plus païenne de religions, à la réflexion, c'est même pas une religion! juste un magicien d'oz, derrière le rideau de la philosophie, et des livres pour remplir un gratte-ciel ... mmmm ....
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ng_to_sgi/ Auteur : Shonin
Date : 25 déc.17, 09:30
Message : [Les membres ne doivent pas être prit pour sujet de discussion]
Auteur : algol-x
Date : 25 déc.17, 09:55
Message : BlancheFromage il y a 3 ans
"le Sûtra du Lotus est suprême" - lors de mes décennies d'expérience au sein de SGI, ce concept a été utilisé continuellement pour assurer les membres qu'ils n'avaient pas besoin de prêter attention à d'autres sutras, enseignements ou autres sectes du bouddhisme.
Nichiren était vénéneux dans sa condamnation de toutes les autres écoles du bouddhisme, et « le Sûtra du Lotus est suprême » est utilisé, en pratique, pour défendre le comportement non-bouddhiste de Nichiren.
C'étais pour le bienfait des gens, voyez-vous, que Nichiren a attaqué toutes les autres sectes du bouddhisme et a imploré le gouvernement de les tuer tous, parce que « le Sûtra du Lotus est suprême » et que ces autres sectes, par leur existence même, « attaquaient » le Sutra suprême du Lotus...!
Il n'y a pas de concept de « vivre et laisser vivre » pour Nichiren.
Le message clé est que la bouddhéité - une condition du bonheur absolu, de la liberté de la peur et de toutes les illusions - est inhérente à la vie. Le développement de cet état de vie intérieur permet soit disant à tous de surmonter les problèmes et de vivre une vie remplie et active, engagée avec les autres et avec la société. Plutôt que de souligner l'impermanence et la nécessité conséquente d'éliminer les désirs et les attachements terrestres, le Sûtra du Lotus affirme que la réalité de la nature de Bouddha est déjà là et inhérente a la vie.
Parce qu'il ne met pas l'accent sur l'élimination des attachements et des délires, selon les règles du bouddhisme, il ne peut pas conduire les gens à l'illumination. Selon les règles du bouddhisme, beaucoup de souffrance provient de l'illusion qu'il y a des identités fixes, un « soi » qui sépare l'un de tout le reste.
Personnellement, j'ai trouvé que tout ce concept de « pratiquez pour tout ce que vous voulez » était pernicieux, car il ne servait qu'à renforcer les désirs et à me laisser dans un état de ... Comment dire, avez-vous déjà lu ce livre, « The Phantom Tollbooth "?
Je l'ai lu il y a des années. L'un des seuls détails dont je me souviens est que, comme le magicien d'Oz, le protagoniste traverse différents endroits et rencontre des gens qui font des choses étranges. Dans une scène, il rencontre un groupe de personnes qui mangent de la soupe. C'est une soupe telle, qu'à chaque bouchée, vous devenez plus dépendant et affamé. C'est comme ça que pratiquer toujours davantage pour des choses qui n'ont néanmoins pas eu lieu a fonctionné pour moi. J'ai développé la vision faussée de la réalité que je pouvais tirer des ficelles et diriger les choses en pratiquant.
Cela sonne limite maladie mentale, n'est-ce pas?
Pourtant, c'est la conséquence de l'ensemble des différentes injonctions que l'on entend lors des réunions, « les désirs terrestres sont l'illumination » ! « pratiquez pour tout ce que vous voulez », ou encore « cette pratique fonctionne » !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... t_as_such/ Auteur : Shonin
Date : 25 déc.17, 09:59
Message : [HS]
Auteur : algol-x
Date : 26 déc.17, 09:06
Message : soumis il y a 1 jour par JohnRJay
Eh bien, le numéro de janvier 2018 de "bouddhisme vivant" est sorti. Il est entièrement consacré à "Célébrer le 90e anniversaire du président Ikeda".
Attends quoi? Il est toujours en vie?
Donc la première page est le message mensuel d' ... Ikeda.
L'article suivant, "bon a savoir" aborde des questions, ainsi qu'une citation sur le bonheur de ... Ikeda.
"Fondamental" est le suivant, qui est et extrait d'un article de ... Ikeda.
L'article suivant est une histoire sur l'Académie de la Sagesse d'IKEDA. Il s'agit de "Protéger le mentor et ses enseignements".
Ensuite, dans Réflexions sur un anniversaire, il y a un groupe de "célébrités" de la SGI qui s'extasie sur comment est le merveilleux Ikeda. Les seuls noms que j'ai reconnus étaient Herbie Hancock et le Dr Carter (de l'infâme Gandhi, exposition King & Ikeda).
L'article suivant est un essai de ... vous l'avez deviné, Ikeda, intitulé "se renouveler soi même chaque jour".
Puis il y a l'éternel article "Favoriser la jeunesse" et un autre article intitulé "sagesse et force" avec des photos d'Ikeda adulé par les foules.
Viennent ensuite "la Diplomatie citoyenne" cette fois avec des photos d'Ikeda avec plusieurs leaders politiques.
Vient ensuite une expérience intitulée "Construire une famille Soka". Au moins, pensais-je, cela pourrait être un article qui n'inclut pas les louanges à Ikeda. FAUX! L'auteur attribue son intérêt renouvelé pour SGI à la révolution humaine et aux conseils d'Ikeda.
Ensuite, la série de conférences d'Ikeda avec plus de photos d'Ikeda.
Le magazine se termine par un extrait de La Nouvelle Révolution Humaine ("histoire de la" SGI revue et corrigée par Ikeda) et un tas d'œuvres rassemblées par Ikeda.
Ce type n'est pas vénéré et ce n'est certainement pas une secte !
Alors ... Est-ce que tout le monde a fait des plans pour célébrer les 90 ans d'Ikedaism?
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _birthday/ Auteur : algol-x
Date : 27 déc.17, 09:32
Message : Publié par: Spartacus ()
Date: 19 février 2014 09h14
L'une des choses qui m'a vraiment touché et tiré de l'article [
www.freedomofmind.com] a été le traitement en profondeur du SSPT induit par le culte. Je soupçonne depuis longtemps que je pourrais souffrir d'un certain degré de stress post-traumatique de mes expériences SGcult, en particulier de mes 3 ans en tant que leader. Avant de lire cet article, j'avais très peur de mentionner le syndrome de stress post-traumatique, parce que je ne l'avais pas développé dans une zone de guerre ou autre. Mais maintenant, je vois que la possibilité de souffrir du SSPT de mon expérience de culte particulièrement intense est non seulement possible, mais très probable.
Dans les années soixante-dix, je n'avais jamais entendu parler du SSPT. Mais j'ai toujours su que j'avais souffert à travers une crise d'identité très intense, favorisée par le fait de me perdre complètement dans le rôle de leader sénior. En général, même les membres d'hier et d'aujourd'hui ne comprennent toujours pas comment le fait d'être absorbé par l'organisation peut être traumatisant et dangereux. J'ai rarement parlé de ma crise d'identité liée au culte, principalement parce que la plupart des gens ne comprenaient pas ou ne prenaient pas mon histoire au sérieux.
Pourtant, là, dans l'article, j'ai trouvé exemple après exemple ce qui me prouve à quel point mon évaluation était exacte.
J'étais contrôlé à plusieurs niveaux.
Contrôle sexuel - Je devais maintenir une abstinence sexuelle totale (les anciens se souviendront du péché redouté de "sansho goma").
Contrôle de l'apparence - garder les cheveux courts et pas de poils sur visage - porter des vêtements blancs, un uniforme et un bonnet TCD (soka-han), des uniformes de fanfare, un costume et un chapeau tozan, des chemises de cérémonie, et ainsi de suite.
Contrôle du comportement - affichage des modes faciaux et vocaux qui agissent comme un réflexe conditionné sur les membres.
Contrôle mental - psalmodier pendant des heures interminables le mantra.
Contrôle émotionnel- supplanter mon père perdu avec Ikeda comme figure paternelle (et maître), et ma relation de mère séparée avec mon chef aîné comme ma «mère dans la foi».
Contrôle par la peur - la peur constante de ce qui se passerait si je faisais taiten (quitter l'org.)
contrôle des désirs - implanter l'idée / le désir d'être un leader supérieur, tout en alimentant l'égo, et bien sûr, en utilisant mon espoir de promotion à l'échelle du leadership pour détruire à la fois ma volonté et mon identité personnelle en tant qu'individu.
https://forum.culteducation.com/read.ph ... 1,page=715 Auteur : Shonin
Date : 28 déc.17, 04:37
Message : [HS]
Auteur : algol-x
Date : 28 déc.17, 05:24
Message : soumis il y a 1 jour par buddh-ish
J'ai lu et relu ce forum au cours des derniers jours. J'ai grandi dans la SGI-USA, mes parents se sont rencontrés dans les années 70, je suis resté inactif pendant plusieurs années et commençais à sentir que j'avais besoin de mettre fin officiellement à mon association. Tout ce que j'ai lu ici renforce ce sentiment.
J'étais dans des zones plus rurales pendant la plus grande partie de ma vie, donc j'ai pu éviter certaines des règles et une organisation trop stricte. Quand j'étais chef, dans une zone rurale, il y avait des gens avec qui je travaillais (avec beaucoup de drame bien sûr, mais il y a au moins deux personnes auxquelles je voudrais vraiment parler à nouveau). Nous avons pris l'idée que nous servions les membres au sérieux. Nous nous sommes assurés que les gens avaient de la nourriture et autre. je voulais faire quelque chose de plus, et je ne comprenais pas pourquoi nous ne faisions pas plus.
Ce qui a m'a réellement encouragé c'était était la lecture de l'IRG, Le groupe formé par un certain nombre de membres de longue date de SGI qui essayaient de demander des réformes assez simples. En tant que leader, j'ai eu au moins une occasion, en public, où j'ai soulevé des concepts et des questions similaires, quand un vice-président japonais, Untel, était en visite. Il a semblé écouter attentivement (probablement parce que j'étais un leader de YWD et c'était censé être un moment où il voulait des retours de notre part) et j'ai même pu lui donner mon adresse e-mail pour ce qu'il a promis serait une réponse réfléchie . (Alerte spoiler, aucune réponse n'a jamais été matérialisée).
A peu près à la même époque, j'ai été nommé à la direction (surtout parce que j'étais un JDJ qui se montrait constamment). Je me souviens avoir demandé à mon nouveau leader du JDJ pourquoi le chef est suggéré et nommé plutôt qu'élu. Elle a dit que c'était pour s'assurer que les dirigeants «comprennent l'importance du mentor-disciple». Eh bien, après cette déclaration, je suis sûr que ça ne va pas faire ressortir le fait que je n'étais pas vraiment convaincu. Dans les réunions, je disais parfois que je me débattais avec le concept mais j'ai toujours déclaré qu'Ikeda était mon mentor, donc ça ne posait pas de problèmes vis à vis des autres membres. Je suppose que j'ai toujours eu un bon sens de l'auto-préservation.
Je savais que la SGI n'était pas vraiment ma tasse de thé depuis longtemps, mais p....., maintenant je vois tout à fond une toute nouvelle perspective.
J'ai lutté avec mon identité de «bouddhiste» pendant un moment, et au moins actuellement je sais que je peux encore comprendre cette partie de moi-même sans avoir à l inclure dans le SGI comme une partie de cette identité.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... see_why_i/ Auteur : algol-x
Date : 29 déc.17, 07:39
Message : Publié par: quiet one ()
Date: 09 Août 2009 04:29
Je voudrais partager certaines de mes expériences avec des «directives» - des dirigeants nommés qui disent aux gens ce qu'ils doivent faire ou penser, sans formation, juste parce qu'ils ont été nommés dirigeants de SGI.
Il y a quelques années, il y avait une membre de mon district. C'était une membre fidèle et active. Elle avait une petite sœur de 19 ans, une belle fille, qui assistait à des réunions et pratiquait à quelques-unes. Sa sœur avait été principalement élevée aux États-Unis. Leur père a décidé qu'il était temps pour elle de se marier, alors il a arrangé un mariage pour elle avec un jeune qui vivait dans une autre ville. La fille était très "américanisée" et ne voulait pas participer à un mariage arrangé! Elle était allée dans des écoles publiques américaines et avait un petit ami américain.
Parce qu'elle résistait, des conseils lui ont été donnés. J'ai entendu ces conseils parce que cela a eu lieu chez moi. Les conseils ont été donnés par une leader japonaise respectée. Elle a dit à cette jeune fille que les mariages arrangés étaient préférables aux mariages basés sur l'amour, la camaraderie, etc. Elle a donné l'exemple d'elle et de sa sœur au Japon. La sœur a eu un mariage arrangé, qui s'est avéré être un grand mariage de longue durée. Son propre mariage n'a pas été arrangé. Elle a épousé un militaire américain, est venue aux États-Unis et a finalement divorcé. Elle a encouragé la fille à faire comme son père le souhaitait.
Je suis allé au mariage. C'était une réception somptueuse! La mariée portait beaucoup de belles robes, comme c'était la coutume. Le marié était un beau jeune homme. La mariée et le marié avaient l'air tristes et se regardaient à peine pendant la fête.
Le mariage a duré deux jours! La mariée s'est enfuie avec son petit ami américain!
Comment la leader japonaise a-t-elle pu dire à une jeune fille de 19 ans (trop jeune) d'épouser un garçon qu'elle connaissait à peine et n'aimait pas, au nom de la direction de SGI!
Il y a plusieurs années, j'ai cherché des conseils (ce que j'ai rarement fait). Quand ma fille avait deux ans, j'ai commencé à essayer d'avoir un autre bébé. Mais je ne pouvais pas tomber enceinte! Pendant 3 ans j'ai essayé, frustré et triste. Mais finalement c'est arrivé! Puis, dans ma huitième semaine, j'ai commencé à saigner. Je suis allé chez le médecin, mais ils ne pouvaient pas arrêter ce qui se passait. Après quelques jours de saignements abondants, je savais que la grossesse était terminée.
J'ai appelé mon chef de section de division des femmes. C'était une grande dame, que j'aimais beaucoup. Je lui ai dit en larmes ce qui se passait. Elle m'a dit que ce n'était pas grave. Elle m'a dit de ne pas être "sentimentale" à ce sujet. Je me souviens qu'elle a continué à utiliser le mot «sentimentale», et m'a réprimandé pour trop m'occuper de moi-même, j'avais juste besoin de pratiquer plus, de faire plus d'activités et de continuer ma vie. Comment a-t-elle pu avoir cette attitude? Ma famille et moi étions en deuil.
Un autre conseil que j'ai entendu était lors d'une réunion, il y a environ 1 ou 2 ans. Un grand leader était présent et répondait aux questions. Un membre de longue date a demandé pourquoi ses enfants et ses petits-enfants ne pratiquaient pas. Elle pratiquait beaucoup pour eux, depuis des années, mais eux ne voulaient toujours pas pratiquer!
Avant que le leader donne sa réponse, j'ai réfléchi à la façon dont je répondrais à une telle question. Je dirais: «vos enfants sont des adultes, ils peuvent faire tout ce qu'ils veulent, vous leur avez montré le bouddhisme, et maintenant ils peuvent l'accepter s'ils le veulent, c'est leur décision, ils sont adultes». Mais ce n'est pas la réponse que la chef a donné! Elle a dit que les enfants du membre avaient vraiment besoin de pratiquer que l'adepte devrait pratiquer encore plus et faire plus d'activités pour que ses enfants pratiquent, ce qui arrivera éventuellement si elle se consacre encore plus à SGI!
https://forum.culteducation.com/read.ph ... 61,page=31 Auteur : algol-x
Date : 09 janv.18, 11:16
Message : soumis il y a 4 jours * par katmommy
Comment dépasser la peur de ne plus pratiquer !
Quelques mots a propos de moi : je suis né et j'ai grandi au sein de la SGI avec des parents très dévoués qui se sont toujours exercé pour "la loi". Nos vies ont évolué autour du calendrier SGI. Bien que je pense être réellement une personne humaniste qui veut la paix mondiale, la culture de SGI ne résonne plus chez moi. J'étais un leader très actif qui était responsable d'une tonne de membres et en burn out assez rapidement.
Au-delà de me sentir épuisé, je ne pouvais pas supporter le fait que presque tous les responsables que je connaissais commençaient à se ressembler au bout d'un moment. Ils avaient tous la même voix, les mêmes expressions, les mêmes tics, et ils passaient leur vie à assister à des réunions. Je comprends que c'est ce à quoi ils se sont entraînés à faire, mais je n'aimais pas qu’avoir ma propre vie en dehors des réunions soit désapprouvé.
Il m'est aussi devenu de plus en plus difficile d'expliquer le rôle du président Ikeda aux gens car je sentais que les conseils de "maitre à disciple" étaient exagérés. J'ai finalement démissionné en tant que leader et j'ai perdu ainsi des amis. Ensuite, j'ai refusé d’autres offres de leadership, ce qui m'a fait me sentir encore plus comme un mouton noir, comme si j'étais un « cas spécial » que les autres leaders devaient régler.
Il semblait que peu importe que je partage mon feedback, plus le feedback de membres que je soutenais quand ils disaient qu'il y avait trop de réunions et pas assez de soutien, ces préoccupations étaient systématiquement ignorées. Et puis, je ne suis pas fan de la façon dont TOUT doit ressembler à une « bataille » (toutes les dates, se préparer à des activités à grande échelle où moins vous dormez, plus vous êtes « sincère »). C'est trop épuisant des gens discrets comme nous.
Quoi qu'il en soit, je suis beaucoup plus heureux depuis que je me suis en retrait de l'org depuis il y a presque 2 ans. Je ne vais plus aux réunions mais je récite régulièrement le sutra par peur. C'est tellement enraciné en moi que si je ne pratique pas, je pense "perdre la bonne fortune". Çà a été très difficile pour pour moi de juste arrêter de payer mes contributions mensuelles par peur de gâcher mon karma financier.
Comment avez-vous surmonté la peur d'avoir besoin d'un pouvoir , d'un sentiment de protection externe chaque jour ? Je sais que les gens dans le monde réel le font et vivent très bien, mais c'est quand même effrayant pour moi.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _chanting/ Auteur : zeste de savoir
Date : 12 janv.18, 03:23
Message : merci pour ces retours !

Auteur : algol-x
Date : 12 janv.18, 03:26
Message : Raya posté le 09/01/2018 à 18:06:34
Bonjour,
Je suis étudiante et j’ai 22 ans. Cela fait 3 mois que j’ai commencé à pratiquer avec des adhérents de la Soka Gakkai mais je me suis dis que je mettrai toujours un pied dedans et un pied dehors, on ne sait jamais.. finalement ma pratique s’est intensifiée pendant une période mais trop de choses m’ont dérangée. La différence avec « pratiquants » et « non pratiquants », l’intolérance que j’ai pus percevoir lors de la lecture des textes bouddhiques « la seule voie pour atteindre la boddhéité » et d’autres choses.
La chose qui m’a le plus dérangé c’est quand les gens pratiquent en pensant que ça va arranger tout leurs problèmes, ils ne s’appuient plus que sur ça. Pour avoir un travail, un appartement .. et du coup ils pratiquent pour la vie de tout les jours pour du « matériel » or je ne retrouve pas l’esprit du Bouddhisme dans cette pratique.
En fait je lis, étudie, et médite (bouddhisme zen et Tibétain) depuis 3 ans et un jour des personnes de la Soka Gakkai m’ont dit que les méditants de ces types de bouddhisme devenait « fou » était atteint de « folie » au bout de plusieurs années.. (j’avoue que ça m’a fait un peu peur.. mais je n’ai pas arrêté la méditation bien longtemps).
Fort heureusement je n’ai pas encore reçu le Gohonzon, donc je pense que je vais m’éloigner petit à petit de la Soka Gakkai. Je me suis rendu compte que j’avais vite tendance à consacrer plus de temps aux « amis » de la SG qu’à mes vrai amis.
Je vous remercie pour ces témoignages car c’est aussi grâce à vous que je viens prendre ce soir la décision de quitter cette secte (ça me fait un peu de peine d’ailleurs d’avoir fait partie de ce genre d’organisation)
Merci et bonne continuation à vous
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t204598 Auteur : algol-x
Date : 13 janv.18, 00:39
Message : wisetaiten il y a 1 an
En tant que membres de SGI, nous étions conditionnés à considérer comme suspects tous ceux qui critiquaient l'organisation.
Puisque l'organisation était parfaite à tous points de vue, si des gens se prononçaient contre, c'est qu'ils devaient avoir un agenda personnel. Ils étaient des membres du Temple qui essayaient de séduire d'innocents gakkaiens avec leur machinations. C'étaient des ennemis du sutra du lotus déterminés à détruire l' organisation qui en fait la meilleure promotion. Des gens mentalement malades parce qu'ils ne comprennent pas à quel point l'organisation est merveilleuse et n'ont pas pris le temps d'essayer de vérifier comment ce groupe est le chemin vers le vrai bonheur. Ou (mon favori), ils sont jaloux parce qu'ils ne sont pas membres.
Même des groupes internes à SGI, comme l'IRG, qui avait été encouragé par l'organisation elle-même à identifier des domaines à améliorer a été vilipendé, lorsqu'ils ont dressé une liste assez complète et l'ont présenté aux dirigeants.
Non ! la Soka Gakkai International (et tous ses affiliés) sont parfaits ! et tous ceux qui trouvent que quelque chose ne va pas ne font que tromper et fourvoyer les gens...
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _offender/ Auteur : algol-x
Date : 13 janv.18, 12:02
Message : soumis il y a 14 jours par kwanruoshan
J'ai eu un cauchemar intéressant où la SGI n'arrêterait pas de me bombarder avec leurs conneries World Tribune et Living Buddhism. Ça n'arrêtait pas d'arriver et j'étais juste bouleversée et effrayée par le rêve. Autre que cela, certains événements aléatoires:
J'ai reçu un message vocal ridiculement long à propos d'un événement jeunesse de SGI. comme j'ai déjà retourné le SGI gohonzon. je pensais qu'ils m'enlèveraient de leurs listes de contacts. Peut-être que je devrais envoyer une lettre à leur bureau à CA comme blanche à mentionné et demander qu'ils me retirent complètement. J'ai également envisagé de leur dire directement d'arrêter de me contacter ou je vais déposer pour harcèlement. Peut-être un peu extrême cependant.
A part ça, j'ai parlé à une amie toujours dans la SGI (qui sait que j'ai démissionné) la semaine dernière. Je lui ai dit que je supprimais les personnes toxiques de ma vie et que j'apprenais à ne pas m'en soucier. Ce que je reçois alors c'est une explication sur la compassion, comme quoi il fallait pratiquer pour leur bonheur. Euh, merci ? En apprenant à ne pas m'en soucier, c'était un acte de compassion envers moi-même. Il semble que malgré tous leurs discours sur le dialogue, les membres sont de piètres auditeurs. Je n'ai toujours pas le cœur de dire à la dame d'arrêter de m'envoyer des calendriers de réunions de district. Je lui dis juste que c'est gentil qu'ils me mettent au courant des choses.
J'ai aussi un peu ignoré (pas intentionnellement) une amie SGI qui m'a demandé de pratiquer avec elle tous les mardis soirs à distance. Cela m'a toujours paru étrange et bizarre de savoir pourquoi elle m'a demandé de faire ça avec elle. Les séances devaient durer une heure, mais je finissais toujours par faire cinq minutes, puis je passais à autre chose. Je me souviens d'une conversation où je lui ai dit que même si je ne pouvais pas contrôler la météo, j'étais le capitaine de mon propre navire, elle m'a répondu qu'avec la pratique, j'avais le pouvoir de la contrôler ! C'est peut être mieux que je ne fasse pas d'effort pour lui parler.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ightmares/ Auteur : algol-x
Date : 16 janv.18, 01:50
Message : Le SGI-USA a émis plus d'un million de Gohonzons. Maintenant, ses membres actifs sont environ dans les 35 000. Cela signifie qu'environ un million de personnes ont essayé le chant, le parchemin et le mentor magique de la SGI puis sont ensuite partis, laissant tout tomber comme on le fait d'une mauvaise habitude.
Où sont-elles ? Que font-elles ? Elles n'ont certainement pas l'impression d'avoir perdu quoi que ce soit d'intéressant en quittant la SGI ! Elles sont tout simplement parties et n'ont jamais regardé en arrière! Elles ne sont jamais revenues ! Si elles s'étaient rendu compte qu'elles avaient bêtement abandonnée quelque chose d'incroyablement important (comme tous les dirigeants de SGI le prétendent), elles reviendraient ! Mais elles ne l'ont jamais fait !
Quelque chose que vous pourrez remarquez c’est que les membres et les dirigeants de la SGI ne nous demanderont jamais pourquoi nous sommes partis. Même quand ils vous le demandent, ils ne retiennent pas vos explication. Ils inventent leur explication à votre départ et ce n'est jamais celle que vous avez exprimé. Ils ne se soucient pas de la raison réelle, parce qu'ils préfèrent la version fantaisiste qu'ils ont concocté. Cela leur permet de VOUS blâmer d'être partis au lieu d'avoir à faire face au fait qu'il y a peut-être quelque chose qui ne va pas dans la SGI et que vous aviez de bonnes raisons de partir.
Il y a eu plusieurs exemples récent de ce genre de non-écoute et d’improvisation de raisons (cf le site américain) C’est pourquoi nous avons dû commencer ce sous forum de subreddit. Vous le savez -peut être, les membres de SGI dans reddit nous ont rendu absolument impossible la participation aux sujets de reddit. Un en particulier, garyp714, est un mod sur un site de poésie, et a apparemment assez de poids avec les autres mods pour faire bannir toutes nos IP.
Nous avons réalisé que la seule façon de réussir à avoir et à pouvoir proposer de l'information en ligne était de créer notre propre site et de le verrouiller contre les trolls SGI. Nous avons été accusés d'être mentalement malade, possédés par des démons, "jaloux", accablés par les ténèbres fondamentales, des outils du Temple de la Nichiren Shoshu, des gens haineux et menteurs, méchants et même très très méchants (ce que les fidèles de SGI ressentent tous, Trop désolé) tout cela parce que nous ne vénérons pas leur mentor pulpeux.
La culture de la Soka Gakkai est de détruire ceux qui la quittent, ce qu’Ikeda a toujours fait.
J'aimerais pouvoir vous dire que les personnes que vous considérez comme des amis pendant que vous êtes dans la SGI resteront vos amis une fois que vous serez parti. Je voudrais pouvoir vous dire qu'ils comprendront vos raisons, compatiront, et reconnaîtront que ce n'était pas un bon choix pour vous , que vous deviez vraiment partir, que c'était le seul plan d'action correct pour vous. J'aimerais pouvoir vous dire que n'importe qui dira : « Vous faites ce qu'il faut ».
Laissez-moi rire...!
Une fois que vous partez, vous serez devenu un "ennemi". Je crains qu'il n'y ait aucun moyen de contourner le problème, à moins de rester un membre en règle de la SGI, vous serez l'objet de commérages, d'obsessions, de calomnies, et de critiques de votre personnalité.
C'est ainsi que fonctionnent les organisations intolérantes, et elles fonctionnent TOUJOURS de cette façon. Soit vous êtes avec elle, soit vous êtes CONTRE elle. C'est toujours ELLE d’abord, jamais VOUS en premier !
Auteur : zeste de savoir
Date : 23 janv.18, 04:56
Message : soumis il y a 3 mois * par Bookgirl30
J'étais "un bébé de fortune" mais je suis parti de SGI une fois devenu adulte, la personne de ma famille qui pratiquait est mort.
En tant qu'enfant, je n'ai pas de bons souvenirs de membre, d'événements, mais plutôt beaucoup d'inconfort, de jugement et de critiques.
J'ai lutté dans ma vie et je suis finalement retournée à SGI il y a quelques années. Mon intention était d'être membre et d'améliorer ma vie en pratiquant
le responsable a cependant senti que j'étais la bonne personne pour devenir chef de district. Je leur ai expliqué que je ne l'étais pas et j'ai donné des exemples afin de leur expliquer pourquoi je n'avais pas le temps, la personnalité, l'état de vie, etc. Ils m'ont interpellé en disant que cette responsabilité améliorerait ma vie et que je devais l'accepter et J'ai accepté.
À partir de là, ils m'ont fixé de nouveaux "défis" et "objectifs. Encore une fois ils ignoraient ce que j'avais dit. J'étais épuisée, manquant des choses importantes dans ma vie, ne parvenant pas à étudier pour l'école, incapable de me reposer après le travail.
Finalement, j'ai parlé à un membre plus expérimenté et il a vu que je ne me sentais pas d'avoir plus de responsabilités, mais il pensait que je serais dans le futur. Même après que j'ai exprimé ne jamais vouloir être dans les fonctions de responsable, ni m'élever à des niveaux plus élevés.
Le crash final était un événement auquel ils s'attendaient après que j'eu exprimé mon extrême malaise au point de presque pleurer. J'ai continué à dire non et ils ont continué à contrer avec cette idée que le "défi" venait de l'univers et avait à voir avec mon karma.
Dans les 10 années où j'ai été absent de la pratique, j'ai étudié les quatre nobles vérités et le noble octuple sentier . Personne ne peut vous parler de votre karma, personne ne peut vous dire quels doivent être vos "défis"! À ce moment, je me suis rendu compte qu'ils avaient des plans pour moi et utilisaient les conceptions de la SGI sur le karma, les défis et la "bonne fortune" pour me forcer à suivre leur chemin .
Je leur ai dit que je démissionnais et de ne pas me contacter par e-mail.
J'ai un peu peur maintenant. Je me sens mal à l'aise, même ma pratiquer me semble squattée par Ikéda, Je n'ai jamais aimé Ikeda même quand je n'étais qu'une enfant et je sens qu'il est partout dans ma pratique. C'est presque comme si je me sentais violée...
Source :
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... truggling/ 
Auteur : algol-x
Date : 25 janv.18, 23:07
Message : soumis il y a une heure par Catlady1201
J'ai publié un article il y a environ une semaine expliquant comment je me suis impliqué avec ce "groupe religieux" et comment j'essayais de faire savoir au chef que je n'étais pas intéressé à participer. Donc, après avoir reçu quelques conseils de personnes sur ce forum, j'ai décidé de lui envoyer un texto et d'être direct. J'ai dit que j'étais désolé, mais que mon mari et moi-même ne voulions pas participer à la SGI, merci pour l'opportunité mais nous voulions pratiquer à notre manière. Elle n'a pas répondu, alors j'ai pensé qu'elle m'avait compris .
Mais aujourd'hui, elle m'a envoyé un texto et voici comment la conversation s'est déroulée.
Jill: "Bonjour Venisha et Jessie! Comment ça va? Je voulais juste vous informer de la prochaine réunion de notre chapitre se tiendra le dimanche 28 février à 15h au Centre bouddhiste SGI-USA à Philadelphie. Si vous aimez vous joindre, je pourrais demander à des membres de votre région de vous aider à vous y rendre. Faites-moi savoir si vous êtes disponible, merci beaucoup! "
Moi: Hey Jill, comme je l'avais dit dans mon dernier texte, Jessie et moi avons parlé et nous ne sommes pas intéressés par la forme de bouddhisme de votre groupe. Pas de manque de respect envers votre religion, mais nous pratiquons d'une manière très différente et aucun de nous ne se sent de s'engager à quelque chose qui ne résonne pas à 100% avec nous. Cela étant dit, nous vous envoyons, ainsi qu'aux autres membres, une vibration positive que votre pratique et vos vies aillent bien. Namaste, Jill.
Jill: D'accord merci de me le faire savoir. J'ai reçu votre dernier texte. Je pensais que vous seriez peut-être intéressé par une autre réunion avant de prendre votre décision finale. Je le ferai savoir à Kinsey parce que je lui demande de vous contacter pour vous inviter à la prochaine réunion. J'aimerais pouvoir partager avec vous une expérience qui vous aiderait à mieux comprendre les miracles que le chant avait apportés dans ma vie. Au début de ma pratique, je n'étais pas à 100% mais j'ai quand même reçu de nombreux bienfaits malgré mon incrédulité, c'est à quel point cette religion est puissante! Est-ce que ça va si je m'arrête un instant pour prendre mon magazine et peut-être que nous pourrions parler davantage de sgi. Faites le moi savoir parce que j'ai besoin de mon bouddhisme vivant. vous pouvez garder les autres livres que je vous ai donné.
Moi: Je suis d'accord que le bouddhisme est une religion très puissante et merveilleuse. J'ai juste l'impression que le sgi est très limité quant aux parties du bouddhisme qu'il pratique réellement. Le vrai bouddhisme utilise la méditation silencieuse, la pleine conscience, le yoga, les quatre nobles vérités, le noble octuple sentier, et plus encore. Bien que les mantras fassent partie du bouddhisme, il n'y a pas que ça. Et en plus de cela, il y a beaucoup plus de choses que vous pourriez pratiquer en plus de votre dévotion au sutra du lotus, qui est un enseignement de nichiren que certains bouddhistes trouvent contradictoire avec l'enseignement de gautama. À propos de votre magazine Je ne sais pas où il est, mais si je le trouve, je vous le ferai savoir et je le mettrai dans votre boîte aux lettres pour que vous le récupériez.
Jill: On dirait que vous avez des questions et j'aurais aimé être plus capable de répondre. Je pense que si vous étudiez plus la SGI sur le site web et que vous venez à quelques réunions de plus et rencontrer quelqu'un qui peut expliquer mieux que moi, vous pouvez résoudre vos doutes. Pensez-y un peu plus. D'accord? C'est une merveilleuse opportunité qui vous est offerte et je ne voudrais pas que vous la manquiez. Faites-moi savoir si vous pouvez trouver le magazine. J'ai découvert après que je vous l'ai donné que j'ai besoin d'un peu de matériel pour une conférence d'étude que j'assiste le week-end prochain en Floride (voyager est un énorme avantage de faire partie de sgi). Merci pour tout!!!
Je n'ai pas répondu parce que je suis fatigué d'essayer de parler à cette dame, elle a fondamentalement ignoré tout ce que je dis et continue à essayer de me faire participer à son groupe. Je voulais juste poster ceci pour partager comment ces gens essayent continuellement de me persuader d'assister à une autre réunion.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... etermined/ Auteur : zeste de savoir
Date : 28 janv.18, 10:21
Message : Très vivants tous ces témoignages récents d'anciens pratiquants.
Vu le nombre de vues, j'ai l'impression qu'ils sont pas mal suivis !
thks

Auteur : algol-x
Date : 30 janv.18, 00:37
Message : Sage ment Posté le 02/09/2011 à 10:28:27
Cela est peut être drôle, mais ce qui ne l'est pas c'est de perdre la faculté de discernement entre la réalité et le fantasme illusoire qui nourrit les mouvements sectaires. Quelle ironie; croyant transformer le "poison" social ou interpersonnel en "élixir", ces adeptes s'empoisonnent l'existence en pensant s'apporter des solutions a travers une pseudo karma-thérapie.
si cela vous apporte un support utile pour trouver un équilibre, c est bien ! mais cela prouve bien qu'il y a un déséquilibre préalable. C'est humain, mais il y a certainement d autres possibilités que de s'aliéner, voire de renforcer ses psycho-névroses.
La seule chose qui "apparaisse" c'est l'adhésion a un fantasme groupal où chacun trouve sa place valorisante pour mener a bien l’idéologie du "maitre", débordant de bienveillance pour les bébés lions qui remplissent les comptes bancaires... à l'étranger bien sur !
Mais là je prend peut être le risque d'un procès pour diffamation ou d être censuré ? vive la liberté d expression et de critiques, totalement interdites dans ces mouvements à pensée unique ! normal ... vous avez les vérités vraies et "définitives" , les autres sont dans l'erreur ou dans des croyances "erronées", pas vrai ?! c'est beau la spiritualité !
je pense surtout que les personnes qui se retrouvent dans ces mouvements devraient être invitées a comprendre sérieusement pourquoi elles en ont besoin, c'est cela l’accès à l'épanouissement réel ...
http://forum.doctissimo.fr/forum2.php?c ... =0#t182868
-- 18 Fév 2018, 15:21 --
Témoignage d'un ex-responsable de Soka Gakkai France
Publié le 18 février 2018
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Mr Alain Sakhnowsky est un ancien responsable du groupe Montechristo de la SGF. Je l'ai côtoyé régulièrement quand je faisais les activités avec ce groupe qui avait pour fonction d'assurer l'accueil des adhérents lors des réunions dans les centres cultuels. Pour qu'il ai été nommé à cette importante responsabilité il fallait qu'il soit parfaitement loyal à l'organisation, qu'il se soit laissé, volontairement, complètement endoctriné et embrigadé : comme tous les autres.
Voici son point de vue le 13 août 2010
{j'avais déjà quitté SGF depuis 5 ans]
Bien sûr que la Soka G est une secte et qui plus est dangereuse ! Je peux en parler, j'y suis resté naïvement pendant 30 ans en pensant contribuer à la paix mondiale ! Franchement, ils ne manquent pas d'air !
Si vous avez l'occasion d'aller faire un tour au centre "Opéra" (qui n'existe plus, il est dans le XIIIème arrondissement de Paris), et de voir les vidéos qui viennent du Japon avec les discours démago de celui que l'on nomme "sensei", avec d'un côté les hommes habillés en blanc et portant une cravate, de l'autre les femmes et leurs uniformes style tailleurs et la même fleur sur la veste, et on écoute religieusement ce "sensei" (maître) qui cite des phrases clés des plus grands auteurs français, russes, etc. Comme s'il les avait trouvées tout seul ! Et dans la salle, ici, en France, on applaudit, on crie "banzaÏ", on croit devenir plus sage, on repart gonflé à bloc en se disant qu'on a compris la vie, et le soir même, on s'abrutit de "daïmoku" (mantra) et on oublie ses soucis !
Et tout va bien tant qu'on ne fait pas de vague ! Mais attention ! On vous attend au tournant, si vous faites des vagues, il n'est plus question de bienveillance, de compassion, de sourires des responsables japonais !
En fait,si vous voulez faire partie de la Soka G et être bien vu, il faut :
-Être un mouton,
-Ne pas trop réfléchir,
-Emmener un max de gens prêts à faire comme vous,
-Raconter votre vie en l'enjolivant un peu, et en précisant bien, que tout va bien grâce à la récitation du mantra transmis par la SG,
-Être Disponible !!!!!
Et, on vous dit de ne pas négliger votre famille, mais à côté on vous propose des activités auxquelles vous devez aller, surtout si vous êtes responsable ! Je pourrais en parler des heures !!!!
Auteur : zeste de savoir
Date : 19 févr.18, 04:52
Message : Ah oui...
Tous ces "festivals de la culture" - chaque année, une autre grande Affaire, que ce soit un défilé une performance, une conférence ou un spectacle ou quoi que ce soit d’autre. Cela exige des heures et des heures de pratique et de préparation, et ainsi de suite. Cela coûte généralement BEAUCOUP d'argent; et à la fin, vous vous vous dites "Super! On y est arrivé" et puis le PROCHAIN grand évènement est annoncé et c’est le retour du hamster sur sa roue, cavalant toujours et ne gagnant jamais rien.
Un ancien YWD le décrit comme ceci:
Immergée dans la NSA (SGI), Mary a négligé le reste de sa vie. Elle a arrêté de pratiquer le violon parce qu'elle n'avait pas le temps de le faire (elle avait étudié pour devenir musicienne classique). Elle a peu vu ses parents et oublié leurs anniversaires. Elle a perdu une relation de six ans avec un homme qu'elle aimait et n'a ressenti aucune douleur. "Pour moi, c'était comme une feuille qui tombe d'un arbre à l'automne."
Le rythme effréné d’activités a miné sa santé, elle a ensuite commencé à avoir des étourdissements dans le métro au début des années 1988. Assurée par son chef de la NSA (SGI) que ce n’était pas grave, elle a redoublé dans ses efforts de shakubuku (conversion) en février.
Le 1er mars, elle s'est effondrée, avec ce qui a été diagnostiqué plus tard comme hypoglycémie et une glande surrénale épuisée.
Ses parents l'ont ramenée chez elle et ils ont invité d'anciens membres de la NSA (SGI) à lui parler. Elle est reconnaissante de ces conseils et de ce soutien, dit-elle, parce que les membres qui sortent seuls et qui ne reçoivent aucune aide demeurent souvent confus et déprimés.
Aujourd'hui, elle est en bonne santé et étudie la musique à l'école d'études supérieures. "Vous pensez, pendant que vous êtes à la NSA (SGI), que les gens de l'extérieur ont une vie ennuyeuse", dit-elle. "Vous vous avez une passion exaltante. »
Mais quel est le résultat ? Vous entrez à 20, et si vous sortez à 30, vous voyez ensuite ce que vous avez manqué.
La partie la plus difficile à propos de la sortie est de réaliser: «J'aurais du faire cela il y a cinq ans.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ka_gakkai/ Auteur : algol-x
Date : 19 févr.18, 05:10
Message : Publié le 18 février 2018
0 commentaire
Mr Alain Sakhnowsky est un ancien responsable du groupe Montechristo de la SGF. Je l'ai côtoyé régulièrement quand je faisais les activités avec ce groupe qui avait pour fonction d'assurer l'accueil des adhérents lors des réunions dans les centres cultuels. Pour qu'il ai été nommé à cette importante responsabilité il fallait qu'il soit parfaitement loyal à l'organisation, qu'il se soit laissé, volontairement, complètement endoctriné et embrigadé : comme tous les autres.
Voici son point de vue le 13 août 2010
(j'avais déjà quitté SGF depuis 5 ans)
"Bien sûr que la Soka Gakkai est un "cult" et qui plus est dangereux! Je peux en parler, j'y suis resté naïvement pendant 30 ans en pensant contribuer à la paix mondiale ! Franchement, ils ne manquent pas d'air !
Si vous avez l'occasion d'aller faire un tour au centre "Opéra" (qui n'existe plus, il est dans le XIIIème arrondissement de Paris), et de voir les vidéos qui viennent du Japon avec les discours démago de celui que l'on nomme "sensei", avec d'un côté les hommes habillés en blanc et portant une cravate, de l'autre les femmes et leurs uniformes style tailleurs et la même fleur sur la veste, et on écoute religieusement ce "sensei" (maître) qui cite des phrases clés des plus grands auteurs français, russes, etc. Comme s'il les avait trouvées tout seul ! Et dans la salle, ici, en France, on applaudit, on crie "banzaÏ", on croit devenir plus sage, on repart gonflé à bloc en se disant qu'on a compris la vie, et le soir même, on s'abrutit de "daïmoku" (mantra) et on oublie ses soucis !
Et tout va bien tant qu'on ne fait pas de vague ! Mais attention ! On vous attend au tournant, si vous faites des vagues, il n'est plus question de bienveillance, de compassion, de sourires des responsables japonais !
En fait,si vous voulez faire partie de la Soka Gakkai et être bien vu, il faut :
-Être un mouton,
-Ne pas trop réfléchir,
-Emmener un max de gens prêts à faire comme vous,
-Raconter votre vie en l'enjolivant un peu, et en précisant bien, que tout va bien grâce à la récitation du mantra transmis par la SG,
-Être Disponible !!!!!
Et, on vous dit de ne pas négliger votre famille, mais à côté on vous propose des activités auxquelles vous devez aller, surtout si vous êtes responsable ! Je pourrais en parler des heures !!!!"
http://blog.doctissimo.fr/soka-gakkai-n ... 66743.html Auteur : zeste de savoir
Date : 28 févr.18, 10:44
Message : Une Famille de Grands Pratiquants de la Soka Gakkai Japon
Un petit reportage sur mon passage en 2009 chez les membres de Soka Gakkai au japon. Mon point de vue n'a qu'une valeur informative n'étant pas spécialiste, ni mystique...
J'ai passé quelques mois au Japon et j'ai séjourné dans une famille de grands pratiquants de la Soka Gakkai, ceux de la première heure. J'ai constaté qu'au Japon aussi la SGI a la vie dure contrairement à ce que l'on croit, je vais au Japon depuis 2003 tous les ans plus ou moins longtemps. Je n'ai jamais vu dans les médias d'articles sur la secte et le chef, alors que les manifestations shinto et d'autres bouddhismes y sont parfois présentées, sauf dans le journal de la SG mais qui n'est disponible que par abonnement, cette famille le reçoit tous les jours en quatre exemplaires - pour chacun des membres - pourquoi quatre ?
Pour ce qui est de l'image que reflète cette famille et leurs amis, je n'ai pas été vraiment convaincue, leur vie n'est pas vraiment heureuse. Et elle semble moins heureuse que celle de l'oncle qui s'est débarrassé de Soka Gakkai et travaille pour lui et sa famille : ils voyagent, ils sortent, ils profitent de la vie. Dans cette famille ils travaillent dur pour un petit salaire. Ils sont employés dans des filiales de l'association pour l'entretient des locaux ou la distribution des médias. Le peu de soirs disponibles pour eux-mêmes ils vont le passer au temple. Ils ont un jour de repos par semaine durant lequel ils ne font rien de constructif. Passant leur temps entre le travail et l'organisation. L'actualité ils ne la voient qu'à travers le journal de la Soka Gakkai, finalement ils ne connaissent pas grand chose de la vie. Alors qu'ils veulent que le monde aille mieux, ils ne voyaient même pas les SDF sans aide de leur quartier, par exemple.
Questions joie et santé aussi ce n'est pas réjouissant non plus, dépressions, maladie cardiaque pour l'un, et pour l'autre grave accident de voiture avec ses deux enfants non attachés, heureusement les séquelles sont limitées (des fractures) ils ont passé entre un et trois mois à l'hôpital chacun, mais les enfants de 3 et 5 ans ont des problèmes physiologiques persistant...
Le temple Soka Gakkai, soit dit en passant, n'est pas super accueillant : sécurité souriante aux abords, et à l'entrée fouille des sacs (pour récupérer les appareils pouvant prendre des photos et des vidéos), et inscription des noms. Je ne comprends pas assez bien pour capter l'idée du discours mais il ne doit pas être divulgué. En fin de prière tout le monde sort tête baissée, sourire de rigueur mais dispersion rapide, pas très conviviale et assez choquant. Et malgré leur soi-disant tolérance envers les autres religions, ils m'ont toujours laissée rentrer seule dans les temples shinto, bouddhistes ou églises, même si c'est très jolie - surtout les femmes du groupe qui semblent avoir peur de s'approcher d'un torii, un enfant m'a dit que si on y rentre on peut pourrir son karma - drôle de démonstration. Un torii est un portail à l’entrée d’un sanctuaire shintoïste, il séparer l’enceinte sacrée de l’environnement profane.
Finalement tout ça ne semble pas leur apporter beaucoup d'avantages car ils ont une vie moyenne comme n'importe qui, sauf qu'ils se créent des difficultés supplémentaires, jouant même un peu les martyrs, s'obligeant à assister à des réunions, à psalmodier matin et soir la même petite phrase – ce qui me rappelle un peu la pratique que j'utilisais enfant pour me bourrer le crâne de tables de multiplications.
Quand je demande à un japonais lambda son avis, malgré sa retenue, il fait toujours un petit signe de tête genre « si tu leurs dis non, ils te laissent tranquille ». Il y a eu plusieurs scandales plus ou moins faux qui donnent à Soka Gakkai une réputation plutôt moyenne. A mon retour en France, à une réunion de la SGF, on m'avait fait un discours sur les bienfaits de la pratique, la joie immédiate en résultant, la paix ressenti par un jeune divorcé qui, finalement, était dépressif. J'ai bien essayé de comprendre leur intérêt mais mon pragmatisme n'y a pas trouvé d'avantage, mais plutôt et surtout une bonne dose d'aliénation mentale.
Pour aider l'entourage social ou l'humanité mieux vaut rentrer directement dans une association humanitaire. Pour soi-même il n'y a pas de formule passe partout. Mais je ne vais pas m'étaler davantage, ni faire de commentaire, c'était juste une observation d'une non convertie.
Auteur : algol-x
Date : 08 mars18, 10:54
Message : "Different reactions from SGI members after I'm OUT!"
soumis il y a 1 jour * par infinitegratitude
" J'ai quitté la SGI pour diverses raisons, parmi lesquelles j'avais perdu tout lien avec le Gohonzon, je ne voyais pas l'utilité de réciter un mantra quand on pouvait vivre la vie de manière tout à fait adéquate sans le faire, et j'avais horreur du manque de transparence de l'organisation, mon opinion ultime était que je ne pouvais nier que le SGI était un "culte".
Depuis mon départ en septembre de l'année dernière, j'ai reçu diverses réponses de membres de la SGI. J'ai été complètement rejetée par certains d'entre eux, d'autres ont essayé de miner ma décision en tentant de me convaincre qu'il devait y avoir une raison que je ne connaissais pas et qui m'avait obligé à le faire (l'explication ennuyeuse et rebattue de 'négativité'), d'autres m'ont nerveusement interrogé sur mes raisons, ça a inspiré un couple, et ils ont quittés la SGI. Ensuite, il y a eu quelques très bons amis qui étaient prêts à me parler longuement de ma décision. Ces deux personnes m'ont avoué que récemment, elles avaient des doutes sur l'organisation mais ont choisi pour le moment d'y rester.
Il y a quelques mois, j'ai dit à l'une de ces amies qu'elle était la bienvenue pour utiliser ma maison comme point de chute lorsqu'elle rendait visite à sa fille qui a récemment commencé à fréquenter l'université près de chez moi. J'ai fait cette offre avant que je quitte le SGI mais, après mon départ, je lui ai dit qu'elle était toujours la bienvenue à condition de faire gongyo très tranquillement dans sa chambre. Je ne peux plus supporter le son de la pratique. Elle est arrivée vendredi après-midi et nous avons parlé presque sans arrêt pendant 6 heures. En fait, nous étions si immergées dans la conversation que j'ai oublié de mettre de l'eau dans l'une des casseroles et ne comprenais pas pourquoi les légumes ne fumaient pas!
J'ai résolu de lui dire ma vérité tout en honorant le fait qu'elle est encore de l'autre côté de la barrière. C'était bien de pouvoir vraiment exprimer certains de ces sentiments à un autre être humain en personne parce que je ne connais personne dans ma région qui a quitté SGI, cela signifie que j'ai parfois trouvé dans la vie post-SGI un peu de solitude à ce niveau. D'une manière ou d'une autre, ce n'est pas tout à fait pareil d'essayer de parler de ces problèmes avec quelqu'un qui n'a jamais été dans un culte.
Le dimanche matin, mon amie s'est levé beaucoup plus tard que moi et semblait toujours très fatiguée. Je me demandais pourquoi. Elle m'a dit qu'elle ne s'était endormie que plusieurs heures après son coucher car elle était sur Internet à la recherche d'informations qui étayaient certaines des choses que j'avais dites. Elle m'a dit qu'elle avait rencontré des "opposants" sur un site, ou j'ai posté de manière prolifique. Elle a dit qu'elle avait lu certains de mes messages. Certains d'entre eux sont très accablants pour le SGI, ce qui ne me dérange absolument pas.
Elle est retournée à Londres cet après-midi. Quand elle est rentrée, elle a écrit: «Salut XXXXX! Merci beaucoup pour un moment vraiment agréable. C'était tellement bon de vous voir et de vous rattraper. Nous aurions pu continuer à parler et à parler - un signe de notre véritable amitié, que j'apprécie beaucoup ! Je suis contente que vous ayez pu partager vos sentiments à propos du SGI. Vous avez été incroyablement courageuse en suivant votre cœur et en lâchant prise après 38 ans. J'espère que vous serez en mesure d'aller de l'avant et que les choses continuent de se calmer et quetout revienne à la normale- j'en suis sûre! Merci encore chère XXXXX - prenez soin de vous, et serons bientôt en contact. Beaucoup d'amour O xxx ".
A part sa décision de dénoncer le SGI, je ne pense pas que j'aurais pu demander un meilleur résultat!
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... er_im_out/ Auteur : Shonin
Date : 09 mars18, 22:46
Message : Bonjour à Tous !!
En cliquant sur "follow-me" en bas de ce lien, vous aurez un aperçu RÉEL et actualisé, du mouvement pour la Paix : Soka Gakkaï !!
http://www.instagram.com/wygm316/
Bien à vous

Auteur : zeste de savoir
Date : 10 mars18, 09:09
Message : Plus les gens comprennent la réalité, moins ils ont besoin d'explications surnaturelles pour les phénomènes.
Il faut que vous soyez un IDIOT complet pour chanter une phrase magique ou mystique pour guérir une jambe cassée au lieu d'aller à l'urgence pour obtenir des soins médicaux appropriés ! Malheureusement, trop de membres du SGI comptent superstitieusement sur leur pratique de mantra au lieu de chercher des soins médicaux appropriés, ce qui entraîne des taux de mortalité inutilement plus élevés. Je l'ai vu moi-même avec cette femme - je l'ai vraiment aimée, à qui on avait diagnostiqué un cancer de l'estomac. Je lui ai demandé des informations sur son traitement, et elle m’a dit qu'elle allait le traiter elle-même avec la "naturopathie" et les thérapies "holistique" ….!….L’ Homéopathie ?? De toute façon, elle est morte peu de temps après - je me suis toujours demandé si les médecins lui avaient dit qu'il n'y avait aucun intérêt à la chimiothérapie ou à la radiothérapie, ou si elle rejetait simplement les médicaments en faveur de la mort.
Voici cependant ce que NICHIREN a dit !
Avec la foi, le daimoku (chant magique) pourrait guérir n'importe quelle maladie! Il est tout à fait possible, banal même, que des gens soient totalement CONVAINCUS que quelque chose d’aussi ridicule est réel
C'était le cas avec Nichiren. Il s‘est sérieusement trompé, et pourtant des gens le considèrent comme une sorte de «sage» quand il avait tort à peu près sur tout !
Quand j'ai prié pour ma mère, non seulement sa maladie a été guérie, mais sa vie s'est prolongée de quatre ans. Nichiren
De telles maladies ne peuvent être guéries que par le bon remède du Sûtra du Lotus du Bouddha Shakyamuni, comme l'explique le Sûtra lui-même. Nichiren
A propos de Gohonzon, Nichiren Daishonin a dit dans une lettre à Nichinyogoze, une femme croyante, comme suit: "Vous devriez avoir une foi ferme dans ce Mandala (Collection de Bénédictions, à savoir, Gohonzon). Nam-myoho-renge-kyo est comme le rugissement d'un lion, aucune maladie ne peut résister à son pouvoir. Nichiren
Comme le dit aussi Ikeda ! Il y en a peut-être qui ne nous écouteront pas quand nous leur dirons que toutes les maladies peuvent être soignées par le Gohonzon …
TODA a dit que le le mantra pourrait ramener les morts à la vie !!!
"Il est parfois possible de ressusciter les morts par la prière. »
Donc, si elle évitait la médecine moderne en faveur de superstitions, la religion qu’elle s’était choisie l'encourageait fortement à le faire.
Ceci illustre le danger de ces systèmes de croyances basés sur des «enseignements».
L'ignorance peut être un bonheur, mais ce n'est certainement pas sain! Je ne peux pas penser à un seul exemple où l'approche de l'ignorance fonctionne mieux que l'approche avec de l'information et des connaissances.
C'est le but de l'éducation de fournir cette compréhension de la réalité, et les meilleures sources sont naturellement, les plus récentes.
Quand les gens n'ont pas d'informations, ils se contentent de faire n’importe quoi et il est TRÈS improbable qu'ils aient la chance de trouver la bonne explication. En fait, j'irais jusqu'à affirmer que cela ne s'est jamais produit. Allez-y et prouvez-moi que je me trompe. Toutes les religions considèrent leur origine ancienne comme une preuve de respectabilité, de validité et de fiabilité. La tradition est sur valorisée quand il s'agit d'évaluer la valeur d'une religion.
Le problème est que ceci mène à cette idée que l’on peut trouver dans l'ère pré-scientifique, pré-industrielle une manière magique ou mystique d’avoir les solutions aux problèmes, ainsi nous ne devons plus penser, tout est simple, tout ce que les gens ont à faire est de suivre les recommandations et de faire ce qu'on leur dit.
Erf…
A cause de ce comportement , ils acceptent ce genre d'absurdité de la part de Nichiren et sont sommes sensés être impressionnés par une sagesse supposée profonde comme celle-ci !
La fonction du feu est de brûler et de donner de la lumière. La fonction de l'eau est de laver la saleté. Les vents emportent la poussière et insufflent la vie aux plantes, aux animaux et aux êtres humains. La terre produit les herbes et les arbres, et le ciel fournit l'humidité nourrissante. Les cinq personnages de Myoho Renge Kyo sont aussi comme ça. Nichiren
Oui, les gens, c'est clairement le temps du théâtre non-Sequitur !! C'est un raisonnement totalement primitif et des plus enfantin fruit d’une absence complète de savoir et d’informations ! Mais on s'attend à ce que les fidèles considèrent es anciennes remarques confuses comme une sagesse profonde juste parce que NICHIREN l'a écrit ! Il n'y a absolument aucune connexion entre les syllabes magiques et n'importe quoi dans la réalité. C'est le genre d'absurdité superstitieuse qui se traduit par des états de transe et d’auto-hypnose. parce que cela n'a pas de sens, les gens se détournent de leur esprit rationnel et l'acceptent comme «profond» mystique ou transcendantale.
Ils s’arrêtent d'essayer de comprendre et opteront plutôt pour un sentiment glamour de présence sublime, l'extase de se sentir en contact avec des secrets et des vérités ésotériques, trouvant la carte du trésor secret, obtenant le code secret, apprenant le Poignée de main secrète, c’est notre vieil ami l'endorphine Les toxicomanes sont des toxicomanes, en d'autres termes.Tous les cultes veulent que leurs membres soient des enfants et malléables.I ls veulent que leurs membres croient tout ce qu'on leur dit, comme les petits enfants, et qu ils soient obéissants. C’est ainsi que’Ikéda et la SGI veutlent que ses membres se considèrent :
Rien qu'un petit enfant,. Toujours ébloui par une figure d'autorité comme Nichiren ou Ikeda Toujours beaucoup plus grande que lui !
Faire tout ce qu'on vous dit. C’est le résultat qu’ keda cherche:
http://1.bp.blogspot.com/-HLMYa1K_-eA/U ... _Kreft.jpg
Des larbins, tellement heureux d'avoir l’opportunité de nettoyer les toilettes de Sensei!
Si seulement chaque personne religieuse se demandait pourquoi nous devrions accepter que quelqu'un d'une culture infiniment plus primitive, d’un temps archaïque et moins instruite que vous, devrait en quelque sorte être une source valable pour les vérités essentielles de la vie. Je pense que la réponse viendrait aurait quelque chose à voir avec l'identité de la personne qu'ils idolâtrent.
Dans le cas du christianisme, c'est parce que leur "jesus" est Dieu Incarné.
Dans la Nichiren Shoshu, c'est parce que Nichiren était «le vrai Bouddha».
Une fois que vous avez identifié une personne comme l'autorité ultime pour tous les temps, il ne reste plus qu'à accepter sans question tout ce qu'elle affirme et à la suivre sans aucun doute.
C'est le problème avec toutes les religions du monde, vous remarquerez. Sauf pour la Scientologie, qui est tout simplement étrange

Sauf que, avec la Scientologie, ils ont un vieux mort qu'ils suivent aveuglément - L. Ron Hubbard - donc c'est exactement la même chose que tout le reste à cet égard. † - chaque fois qu'une religion se présente à vous comme "vrai" avec un "V" majuscule, ils sont en train de conneries. Ils essaient de se différencier de tout le reste, impliquant que les autres sont "Faux" (avec un "F" majuscule), et essayent de vous faire accepter cela même s'ils n'offrent aucune preuve que c'est le cas. Fuyez cela rapidement !
Auteur : algol-x
Date : 13 mars18, 18:48
Message : "Il faut essayer d'être tolérant et comme dans toutes religions, c'est surtout le degré d'intégrisme des pratiquants qui compte.
Mais bon, pour ma part, j'ai eu la malchance de ne rencontrer que des personnes intégristes hyper-pratiquantes qui m'en donnent une mauvaise image.
En France, j'ai assisté à plusieurs réunions: un groupe de personnes qui pour se motiver à pratiquer disent ce qu'ils ont réussi de bien grâce à la prière (Réciter en japonais, car on ne traduit pas, une formule magique très courte à répéter des dizaines voir centaine de fois, pour bien se bourrer le crâne à mon sens et bien loin de l'image de méditant qui recherche la pleine conscience que j’imagine du bouddhisme japonais Zen.
Ensuite, ils se mêlent bien à la population pour essayer de convertir de nouvelles personnes les invitants à leurs réunions. Ils essayent gentiment, mais très lourdement de te convertir pour devenir le "maître" ou le "champion" de ta vie, car c'est une pratique "qui marche" (et toi le pratiquant, raconte moi ta vie de champion: ta femme t'a quitté avec vos enfants, car ils ne comprenaient pas ton implication dans la Soka Gakkai, à suivi, une longue dépression: bravo! et toi à côté, pareil ?)
Donc j'ai rencontré plutôt des gens gentils mais paumés, qui raclent autour d'eux pour faire venir de futurs d'adeptes, mais le dialogue est limités puisqu'ils sont la "vraie religion" comme ils m'ont souvent dit car les autres: bouddhisme, christianisme, etc... sont dans l'erreur (mince, je croyais que la majorité des religions cherchaient à l'origine à nous rassurer, pour la joie, l'amour et la paix et finalement non, il n'y a qu'eux qui œuvre pour la paix !?)
Aussi, pour se donner de l'importance, ils ont fait une vidéo où l'on voit ce que Gandhi a fait ; Martin Luther-King en comparant à l'œuvre de leur chef bien-aimé Ikeda que je ne connaissais absolument pas avant et même après plusieurs voyages au japon je ne l'avais jamais vu même en photo (sauf chez des "pratiquants" ou sur leur journal quotidien où il est sur chaque page). Donc ils voulaient comparer les actions d'Ikeda à celle de Gandhi ou mère Teresa, pourtant, je n'ai vu que des photos de lui en magnifiques costumes, dans de beaux salons à la manière d'un politicien, mais non dans des bidonvilles..."
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t202238 Auteur : Shonin
Date : 14 mars18, 01:28
Message : salut algol-x . . . "En France, j'ai assisté à plusieurs réunions: un groupe de personnes qui pour se motiver à pratiquer disent ce qu'ils ont réussi de bien grâce à la prière (Réciter en japonais, car on ne traduit pas, une formule magique très courte à répéter des dizaines voir centaine de fois, pour bien se bourrer le crâne à mon sens et bien loin de l'image de méditant qui recherche la pleine conscience que j’imagine du bouddhisme japonais Zen."
Déjà, ces propos montre bien l'incohérence entre "imaginaire" et incompréhension d'une doctrine traversant les âges : personne ne contredit le fait de s'interesser à une pratique ou bien à une autre, que ce soit le Zen, ou que ce soit l'Islam ou l'Eglise, comme c'est souvent le cas.
Cette rubrique "témoignage(s?)" est à la fois utile et à la fois délicate, lorsque tu relates l'expérience d'un absent , en citant ses propos revendicatoire de manière expressive, vivante. Comment répondre à un absent ?
oui je sais....tu n'as rien compris à mes propos. Comme d'hab

Auteur : algol-x
Date : 14 mars18, 01:35
Message : L'un des objectifs de ces deux sites (celui-ci et / r / SGIWhistleblowers) est de servir de "rapports de consommateurs" pour SGI.
Bien sûr, les sites et les membres de SGI vous diront à quel point c'est merveilleux. Mais pouvez-vous vraiment faire confiance aux argumentaires de vente et au marketing d'une entreprise pour avoir une perspective juste et équilibrée? Ou allez-vous vérifier en ligne sur les différents sites d'information, comme Yelp ou d' autres? C'est comme quand je pensais à acheter des produits de soins capillaires "Wen", quand j'ai commencé à explorer les commentaires en ligne de gens qui les avaient utilisés et disaient STOP "n'essayez pas, les cheveux tombent" ! J'aurais essayé s'il y avait le moindre risque! Maintenant, la FDA s'est impliquée. Apparemment, il n'y a pas de fumée sans feu !
Dès que les gens réalisent que SGI est un culte, ils s'enfuient. Ils ne viennent plus. Les seules personnes que vous voyez dans les activités de SGI sont celles qui ne réalisent pas ce que c'est, alors vous n'obtiendrez de leur part que la perspective pro-organisation. Les anciens membres de la SGI ne viennent pas aux réunions, donc vous n'allez jamais avoir l'occasion d'entendre LEUR VERSION de l'histoire, JAMAIS dans une activité ou une réunion SGI.
C'est pourquoi nous sommes ici. Nous fournissons l'AUTRE côté de l'histoire - les récits de tout ce qui peut (et a) mal tourné pour eux suite à leur adhésion à SGI, afin que les gens qui se renseignent sur la SGI ou qui se sentent malheureux en tant que membres puissent avoir une idée de ce que d'autres ont vécu.
Donc, votre expérience est précieuse, c'est un autre point de vue à ajouter comme témoignage. N'hésitez pas à écrire sur tout ce que vous y avez vécu !
https://www.reddit.com/r/SGIcu [...] years_out/
Auteur : zeste de savoir
Date : 19 mars18, 05:30
Message : superbeef1973 [S] il y a 11 mois *
Merci beaucoup pour les conseils! Je suis impressionné par tout ces soutiens ici. J'apprécie vraiment!
C'est drôle de regarder l'histoire de SGI sous d'autres angles. Pendant toute ma vie, je n'ai vu qu'un seul côté - le manipulateur - et, à cause de cela, la première fois que je suis tombé sur la «laide réalité» sur sensei et la SGI, je ne pouvais pas la croire. Il est difficile d'ouvrir son esprit et d'accepter que les choses ne soient pas belles et pures comme on me l’a appris.
Les membres ici au Brésil ont pleuré, certains se sont même évanouis (littéralement) de stress et de nervosité quand ils ont découvert que sensei ne viendrait pas au Brésil en 1974.
Savoir que nous étions tous manipulés et avons pleuré comme des idiots est grotesque. Et ce Saito est toujours loué à ce jour - j'ai entendu ma mère parler très bien de lui. C'est triste.
Malheureusement, m'occuper de moi n'a jamais fonctionné pour moi, parce que ma mère me disait toujours que «nous pouvons tout faire». De cette façon, j'ai perdu mes week-ends en assistant à cinq réunions en un seul jour (au moins), groupe horizontal, visites, et il y avait à peine assez de temps pour voir mon fiancé ou étudier. Quand j'étais capable d'accomplir tout cela, je rentrais à la maison épuisé, avec un sentiment de «victoire», de «bénéfice acquis par le gohonzon».
Quand je ne pouvais pas, je pleurais et me sentais vaincu.
Hier, après des années de vie dans cette prison, j'ai décidé de partir une fois pour toutes. J'ai enregistré un message vocal et l'ai envoyé à ma famille (qui était en réunions, évidemment) en disant que je ne voulais plus être un membre de Gakkai. Comme j'avais peur de leur réaction, j'ai emballé des valises et je suis allé à la maison de mon fiancé. Je voulais donner le temps à chacun de réfléchir avant de lui parler, pour ne pas détruire notre relation familiale sur le sujet du religieux. Mais la réaction de ma mère était inattendue pour moi. Elle est venue à la porte de la maison de mon fiancé, le visage en pleure, voulant me parler. Elle m'a dit que la Soka Gakkai n'était pas si importante pour elle, que ma famille n'aurait pas mal réagi si je leur avais dit en personne, et m'a reproché d'avoir quitté la maison, me disant que je m’étais «enfui». Elle n'a pas écouté un traitre mot quand je lui ai parlé de mes craintes d'être condamné, si j’abordai ce sujet.
Je me suis senti très indigné, parce que et ce n'était pas seulement qu’un soupçon, et savais que sa réaction ne serait pas très pacifique. Il y a quelque temps, je lui ai dit que je ne voulais pas de leadership et que cela avait provoqué chez elle un stress majeur. Autrefois, quand quelqu'un me disait qu'il ne voulait plus être membre de SGI, je paniquais moi-même! Je faisais n'importe quoi pour que la personne ne quitte pas l'organisation, et la maudissait par derrière. Si c'était mon comportement normal, comment ma mère qui a toujours été beaucoup plus fanatique que moi, pourrait-elle réagir positivement sachant que sa fille ne voulait plus suivre le sensei et l'organisation qu'elle aime ?
"Tout ce que je suis, je le dois à la Soka Gakkai" était la première chose qu'elle m’a dite quand elle est entrée. Je me demandai comment elle pourrait réagir différemment, comme elle le prétendait. Alors je lui ai dit que je voulais donner le temps à tout le monde de réfléchir à cette décision (qui changerait certainement le cours de nos vies) et c'est pourquoi je m’étais mis en retrait chez mon fiancé pour un moment de réflexion.
À la fin, cet échange ne s'est pas bien terminée. Nous avons commencé à discuter et elle est sortie de la porte en jetant le gohonzon, disant que sa vie n'avait plus de sens et qu'elle criait qu'elle se tuerait. C'était assez effrayant, la situation était totalement hors de mon contrôle et je ne savais plus quoi faire.
Elle est vivante et va bien, autant que possible. Mon frère a dit qu'il comprenait mon point, mais je me méfie qu'il n'essaie pas de me manipuler pour revenir, ou qu' il interprète cela comme quelque chose qui «devrait arriver» comme un défi, puisqu'il est l'un des gens qui vont au kenshukai sans précédent de 200 jeunes brésiliens en août. Vous avez probablement entendu parler de ça.
De toute façon, je ne pouvais pas marcher dans la "voie du milieu" dans ces circonstances. Ces derniers mois, il m’était très difficile de prétendre avoir la foi. Faire semblant en parlant aux enfants du "mentor" Ikeda, faire semblant pendant les visites, faire semblant lors des réunions de leadership au sujet de shakubuku et du «cœur de sensei correspondant», etc. J'ai toujours peur de tout cela. J'ai encore à communiquer cette nouvelle à beaucoup de gens, et je suis sûr que je recevrai encore beaucoup de critiques, de visites et de jugements. Mais finalement, je me sens libre de faire ce que je veux et comme je le veux, sans me sentir coupable ou avoir peur. Je ne peux plus attendre pour commencer mes projets et travailler sur mon propre développement, ainsi que de me faire de vrais amis.
Je vous remercie.
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https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... gi_and_is/ Auteur : algol-x
Date : 22 mars18, 02:09
Message : Bonjour, je dois commencer à dire que l'anglais n'est pas ma langue maternelle alors pardonnez-moi si quelque chose ne va pas.
Je souffre d'une dépression très sévère et il y a quelques mois j'ai rencontré un type qui est membre de la SGI. Il m'a dit qu'il était bouddhiste. j'ai toujours voulu étudier et pratiquer le bouddhisme, mais je n'ai jamais su comment commencer ni où.
J'ai toujours eu un très profond intérêt pour le bouddhisme tibétain, mais je ne savais pas qu'il y avait beaucoup, beaucoup d'écoles (Theravada, Mahayana, etc.). Je suis allé à une réunion complètement ignorant de tout ce qui concerne le bouddhisme et je me suis dit "ok, la meilleure chose est d'y aller avec un esprit ouvert et un cœur et apprendre du fond de mon ignorance".
Les gens là-bas sont incroyables, mais j'ai toujours senti qu'ils étaient trop "insistants". Je n'ai pas encore reçu le gohonzon, parce que je vis avec ma mère et qu'elle est une chrétienne très traditionnelle, je ne voulais pas apporter quelque chose d'une autre religion dans sa maison. J'ai expliqué cela à mon ami mais il voulait quand même persuader à ma mère, ce que j'ai trouvé un peu fort. Et depuis le premier jour, ce qui m'a le plus dérangé, c'est l'adulation de Daisaku Ikeda et quand ils essaient de convaincre que vous ne pouvez pas être dépressif si vous êtes membre.
En disant ça, j'aimais chanter, j'aimais la façon dont ça me faisait sentir. Je sais aussi que le bouddhisme de Nichiren est une religion très ancienne et je pense qu'elle a de très bonnes qualités, et je pense toujours que les bonnes choses ne peuvent pas être perdues parce qu'une organisation s'occupe mal des enseignements.
Quoi qu'il en soit, depuis la semaine dernière, je suis en conflit. Les gens de l'organisation me cherchent partout, je leur ai dit que je dois rester un peu seul parce que j'ai des problèmes personnels à résoudre, mais ils ne me laissent pas tranquille du tout. Je suis complètement déçu parce que c'est complètement différent de ce que j'attendais du bouddhisme, je ne ressens aucune paix intérieure !!!
Quoi qu'il en soit, j'ai vu des gens pratiquer le bouddhisme Nichiren de façon indépendante. Je voulais demander si quelqu'un ici fait cela, comment sont les rituels? Je voulais toujours essayer mais je voulais éjecter SGI et Ikeda de ma vie.
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... _opinions/ Auteur : zeste de savoir
Date : 22 mars18, 04:52
Message : Il y a toujours au moins deux niveaux dans une secte - le «cercle intérieur» et le «cercle extérieur». Ceux dans le cercle extérieur peuvent avoir une très belle expérience avec une secte, pour une raison quelconque, ils ne sont pas choisis pour être admis dans le cercle intime, et, par conséquent, pour eux, le culte n'est guère qu'un club social avec peut-être un peu plus d'entraide que, disons, un club de jardinage.
C'est quand on est admis dans le cercle intérieur qu'on commence à voir la réalité cachée derrière un joli masque pour la consommation publique. Il y a plus de règles, plus de règlements, plus d'attentes, et plus de demandes pour ceux qui sont dans ce cercle intérieur - c'est le coût pour être dans ce cercle. Quand les gens sortent et essaient de raconter ce «cercle intime» avec d'autres qui ne l'ont jamais été au-delà du «cercle extérieur», leurs témoignages seront rejetés, refusés, et ils seront eux-mêmes calomniés et condamnés, à partir d'une combinaison de "Eh bien, ce n'était pas MON expérience et évidemment vous mentez" et "Pourquoi devrais-je vous écouter? VOUS QUI AVEZ TRAHI !" Et nous savons tous que seules des personnes vraiment horribles et terribles quitteraient cette merveilleuse organisation familiale, la seule organisation dans le monde travaillant pour la paix mondiale. «
Il y a une discussion de l'expérience interne-externe dans un cadre de culte
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... eadership/
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... _opinions/ Auteur : Cal
Date : 23 mars18, 22:34
Message : Je me suis déjà inscrit à la base pour témoigner contre la Sokka Gakkai. Je n'aime pas trop les débats religieux mais je confirme que la Soka Gakkaï est une secte.
De mon point de vue, les personnes qui défendent la Sokka automatiquement, doivent encore faire partie de leur groupe. (Je sais qu'ils vont me répondre, "mais non, ce n'est pas une secte, encore un intolérant et bla bla bla !"), je ne prendrais même plus la peine de répondre aux gens qui défendent la Soka. Je suis resté à la Sokka Gakkai jusqu'en 2017, donc 5 ans.
Je raconte mon témoignage :
En 2012, je me fais un "ami" lors d'une soirée. Très rapidement, il m'emmène à une de leurs réunions, et ce qui ressemblait au bonheur d'un groupe, s'est transformé en traumatisme.
On fait des sorties, des soirées. Mais, avec beaucoup de temps, j'ai constaté que quelque chose clochait.
J'avais déjà des situations difficiles à l'époque et je suis tout étonné de rencontrer ce groupe super sympa et super souriant à l'écoute de mes problèmes. Même si je ne suis pas bouddhiste, j'allais volontiers assister à leurs réunions (pour les écouter, pas pour participer, mais je me contentais de parler après leur pratique, je ne la faisais pas, me contentant de les regarder) à quel point tout le monde était heureux, depuis qu'ils ont découvert la Soka. Ils sont basés par quartiers, ils vont chez les uns et chez les autres, entre eux.
Ils commencent déjà à me passer quelques livres. Honnêtement, je n'en ai lu qu'un seul. Au début, c'est tranquille : je leur dis que je ne suis pas intéressé par leur croyance, bien que je la respecte.
Ils m'invitent chez eux à Noël, pour mes anniversaires. Ils m'ont même invité en voyage, mais c'était uniquement pour qu'un membre reçoive son Gohonzon.
Un malaise commence à se créer : les nouveaux "ami(e)s" que je me suis fait dans la Sokka, sont TOUS des membres de la Sokka, ou des personnes qui découvrent le groupe ! Au début, je ne m'en rends absolument pas compte. A une de leurs réunions, quand j'étais concentré sur mes propres croyances, mon "ami" me glisse entre les mains leur petit livret et me fait suivre du doigt le texte alors que je n'ai rien demandé.
Une amie que je connais en dehors du groupe de la secte commence à constater mon comportement bizarre. Me considérant catholique et étant baptisé catholique, je lui dis tout naturellement que j'aimerais bien être bouddhiste aussi, que le groupe me dit que je peux faire les deux... alors que je rappelle qu'à la base, je ne suis même pas bouddhiste.
Le déclic s'est fait progressivement : alors que jusqu'à présent, ça n'arrivait pas et que je les invitais toujours, à un de mes anniversaires, les membres du groupe ont insisté pour que je fasse ma soirée avec eux, alors que j'avais déjà réservé le restaurant ailleurs. J'ai dû carrément annuler la réservation et mes ami(e)s extérieurs ne sont donc pas venus.
Des insinuations suivent : on me dit que je devrais essayer de pratiquer au moins une semaine, trois mois, juste pour essayer, que ça n'engageait à rien. Je réponds toujours invariablement "c'est gentil, mais non, c'est gentil, mais non, et après, ça a été un NON bien ferme. Certains proposaient même de pratiquer un peu chez moi. Alors que je les croyais très ouverts, on me dit "Si tu vas bien, c'est grâce à la pratique ! Tu ne vas pas bien ? Alors pratique !" Systématiquement.
Et ça a pris des tournures franchement dingues, je m'en souviens encore, ça m'a marqué. Je croise un membre qui me dit qu'il n'est pas heureux alors qu'il est pratiquant, mais qu'il ne veut pas quitter le groupe, pour ne pas se retrouver seul, que eux seuls le comprenne. Je recevais parfois par SMS des extraits de leurs livres, alors que j'avais déjà dis que je n'étais pas intéressé. Un autre membre me parle sans arrêt de la pratique, fou de joie. Quand je lui dis que j'allais voir des amis extérieurs, sa réponse, automatique et excitée : "Tu vas voir des pratiquants ?"
A un moment, j'ai cru que je perdais la tête. Je me couchais, je pensais à leurs récitations de mantras, je rêvais de leurs mantras, (Le Nam Myo) je me levais, je pensais à leurs mantras, ça devenait un véritable cauchemar psychologique. En boucle dans ma tête comme ça !

Et j'ai fini par réagir, ça a frôlé le surréalisme ! Je croise des membres qui me disent qu'ils ont évités des accidents grâce à la pratique, qu'une femme tombait enceinte grâce à la pratique, qu'un d'entre eux avait eu une formation, parce que la veille, il a pratiqué. Leurs pratiques faisait tout, ça devenait grotesque. Un membre m'a même dit que j'avais eu mon appartement grâce à eux, alors qu'à l'époque, je ne les connaissais même pas encore ! Je devenais sarcastique en disant "mais quelle générosité !"
A une réunion, on m'a demandé ce que j'en pensais, j'ai piqué une crise et je suis parti comme ça, en leur disant que ça fait 5 ans que je leur dis que je ne veux pas être pratiquant et qu'ils n'entendent absolument rien. Après, évidemment, les réactions ont été que je ne les comprenais pas, que je n'étais pas tolérant, etc, même le premier qui m'a invité à la première réunion a dit qu'il avait manqué de vigilance et qu'il en était vraiment désolé. Il a fallu que je quitte le groupe pour qu'il m'écrive cela...
Je suis même allé voir un psychologue qui a enfoncé la situation, en disant que si j'avais été dans le groupe, c'est parce que je l'avais voulu, que j'étais responsable de ce qui m'arrivait. J'ai arrêté toute thérapie, et à part quelques rares cas, j'ai trouvé un meilleur soutien avec mes ami(e)s en dehors de la secte.
Même il y a deux semaines, un membre m'a recontacté, et j'ai dû bloquer son numéro de téléphone. De la bonne trentaine "d'ami(e)s" que je croyais m'être fait à la Sokka Gakkai, je suis resté ami avec un seul, qui a quitté le groupe lui aussi, mais avant moi, parce qu'il n'a jamais cru "au bonheur de la Sokka".
C'est une secte dangereuse et leurs pratiques virent à l'obsession du prosélytisme. Ils utilisent même des grands mots comme "La révolution humaine". Et après, ils rejettent la faute sur vous. Et vous vous retrouvez seul à essayer de vous reconstruire.
Je me suis senti trahi, utilisé. Il est intéressant de noter que, quand je suis parti de la Sokka parce que je n'étais pas d'accord avec eux, je n'ai plus eu aucune nouvelles. Mes soi-disant "amis" sur 5 ans (sauf bien sûr celui qui est heureusement sorti aussi) sont devenus invisibles du jour au lendemain, parce que je ne partageais pas leurs opinions.
C'est du lavage de cerveau pur et simple. Je perdais mon identité.
Restez simplement prudents avec la Sokka Gakkai. Et j'ai découvert tous ces témoignages sur Internet après ma sortie. Je les ai même montré à un pratiquant qui n'a pas voulu me croire, et qui est resté dedans, alors j'ai laissé tomber.
Ils sont incroyablement butés. Quand on dit "non" une fois, n'importe qui devrait être capable de l'entendre.
Je vous souhaite de rester vigilants. Gardez courage quoi qu'il arrive.

Auteur : algol-x
Date : 24 mars18, 18:23
Message : Hello !
J’observe ce forum depuis décembre (à peu près depuis le moment où j'ai commencé a ressentir mon alarme intérieur), j'ai récemment décidé de quitter l'organisation et je voulais juste vous dire merci pour l'information et les expériences que vous partagez ici en nous connectant avec ceux qui ont déjà vécu cette expérience. Je n’ai commencé cette coupure que depuis quelques semaines, mais je me sens déjà soulagé. Et avant même d'avoir informé le groupe de cette décision, j’ai l'impression que je ne serais jamais de retour.
Bien que n'étant pas strictement un bébé de fortune (enfant né dans un couple de pratiquants), j'ai grandi dans la pratique dès mon jeune âge. Heureusement, ma famille est d’un niveau supérieur et assez réaliste, ils m'ont encouragé à prendre congé, alors je leur suis reconnaissant pour cela. J'ai commencé ma propre pratique dans la vingtaine à une époque où il y avait beaucoup de changements et de bouleversements dans ma vie, et je me suis rapidement trouvé dans le "love bombing" comme vous le dites - je me souviens d'en avoir eu peur au début mais finalement c'est devenu toute ma vie; J’ai été chef de district, chef de section, chef spirituel de Soka, et j'ai fini par couper avec beaucoup d'amis parce que j’étais dans cette idée que j'étais beaucoup plus évolué qu'eux . Ça a duré environ 4 ans avant que je ne commence à me sentir épuisé, et vers 2012 quand la SGI a traversé une réorganisation, j'en ai profité pour quitter le leadership puis je n'étais plus aussi impliqué dans les années suivantes.
Ce qui m'a fait commencer à décider de quitter la SGI a été une succession d’ événements - je ne pratiquais plus activement depuis 2012, mais ma vie continuait à bouger, j'ai fini par trouver un bon travail, obtenir une promotion à ce poste, trouvé un bel appartement dans un marché du logement saturé, puis au printemps de l'année dernière jusqu'à Janvier de cette année, j'ai eu une chaîne d'événements qui transforme la vie comme de lire un tas d’ouvrages de développement personnel, de remises en question, d’évaluation de mes relations. À cause de cela, j'ai commencé à ouvrir les yeux et à être plus en phase avec mes émotions, avec qui j’étais et cela m'a fait voir que je m’étais auto persuadé que toute la rhétorique de la SGI / Ikeda était la mienne. J'avais permis à certains des dirigeants ou des membres de me dire pendant des années que mes hésitations et résistance à Ikeda (sentiments de rejet, intuitions) étaient simplement une fonction diabolique, et cela me faisait mal au ventre quand je m'en rendais compte. On pourrait (et ils ont essayé) d’attribuer tous les avantages que j'avais venaient de mes années de «formation» YWD rigoureuse, ou de mon statut de «bébé de fortune», et je le croyais - mais je sais désormais que c'est parce que j'ai travaillé et recherché à me développer personnellement et professionnellement.
À ma grande surprise, j'ai reçu des messages de soutien lorsque j'ai expliqué ma décision de faire une pause, mais on peut s'attendre à une désapprobation de certaines personnes qui auraient probablement été pire si je disais que je partais plutôt que de ralentir. Lire certaines de vos expériences ici est vraiment déchirant et je suis désolé pour certaines des choses que vous avez dû endurer, mais pas surpris car je sais comment cette culture peut être - j'ai enduré beaucoup de comportements similaires que seulement avec le recul je peux maintenant voir comme inacceptable. En fin de compte, j'ai eu la chance d'avoir des personnes à l'esprit ouvert qui m'ont soutenu dans mon voyage, même si je sais que ce n'était pas le résultat auquel ils s'attendaient. Maintenant que je vois plus clairement cela me brise le cœur de savoir qu'il doit y avoir beaucoup de gens coincés dans un tel cycle de croyance comme j’ai pu l’être moi-même, ne pouvant pas trouver leur propre chemin, et vivre leurs propres sentiments et opinions.
Maintenant, je me demande quoi faire de mon Gohonzon. Une partie de moi aime avoir un autel, et j'aime toujours chanter, mais ça ne me semble plus être la même chose et je ressens le besoin de le changer. Je pensais à mettre en place un autel de mes choses préférées, en créant un endroit où je pourrais juste contempler et respirer et méditer / chanter / tout ce que je veux faire qui n'a pas d'étiquette spécifique. Est-ce que l'un de vous a fait ça?
Merci encore pour le partage de vos expériences et de consacrer du temps à la compilation d'une si grande ressource (d’informations)
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... say_hello/ Auteur : Ichinen29
Date : 24 mars18, 23:06
Message : Tout cela est effectivement terrible,....Aucun constat de ce genre pour moi, et chaque fois que j'ai eu des choses à dire , je les ai exprimé librement(responsables ou pas), je me suis positionné rapidement:"je n'ai aps de chefs et je suis responsable de ma propre vie"..j'en ai envoyé paître quelques uns et je suis à la lettre la formule du gosho "suivre la Loi et non la personne,...j'ai compris que chacun 'responsables ou pas ) fait sa révolution humaine et ne juge personne, m'occupant de mes moutons et ça se passe très bien ainsi,...toujours vérifier par soi-même et ne pas créer de dépendance ni à un Maître ni à aucune personne,...étudier afin d'avoir une compréhension juste, se reposer quand on en a besoin et participer aux réunions si on le souhaite...je n'ai jamais vécu de prosélytisme forcené et partage facilement ce bouddhisme, je suis intervenu chaque fois qu'il m'a semblé qu'il fallait le faire face à des comportements douteux ( en parler au consistoire notamment) et j'ai même viré deux responsable de chez moi une fois (sans remettre en cause l'enseignement) car il s'agissait de leurs propos personnels...Nous créons nous même notre environnement et les relations que nous nouons avec lui...le bouddhisme est en accord avec la raison et notre Maître nous encourage en ce sens,...les comportements fanatiques sont vite recadrés et déjà du temps de Toda, les échanges étaient virulents...il suffit de lire le journal de sensei et la révolution humaine pour s'en rendre compte,...entre les gens qui utilisait l'organisation, et les comportements réprimables....le président Ikeda qui était encore un jeune homme exprime souvent sa désapprobation avec ces "responsables " douteux...si tout était déjà parfait en ce monde, le Bouddha n'y enseignerait pas,...pour beaucoup l'obscurité est profonde...et chacun est confronté à son propre karma...il faut avoir l'honnêteté de se regarder, de réfléchir objectivement et de décider de la meilleure attitude ou action à avoir et à mener...
Auteur : algol-x
Date : 24 mars18, 23:53
Message : C'est votre façon d'arranger la réalité afin qu'elle ne rentre pas en conflit avec la doxa gakkaienne .

Auteur : Yvon
Date : 24 mars18, 23:59
Message : Ichinen29 a écrit :Tout cela est effectivement terrible,....Aucun constat de ce genre pour moi, et chaque fois que j'ai eu des choses à dire , je les ai exprimé librement(responsables ou pas), je me suis positionné rapidement:"je n'ai aps de chefs et je suis responsable de ma propre vie"..j'en ai envoyé paître quelques uns et je suis à la lettre la formule du gosho "suivre la Loi et non la personne,...j'ai compris que chacun 'responsables ou pas ) fait sa révolution humaine et ne juge personne, m'occupant de mes moutons et ça se passe très bien ainsi,...toujours vérifier par soi-même et ne pas créer de dépendance ni à un Maître ni à aucune personne,...étudier afin d'avoir une compréhension juste, se reposer quand on en a besoin et participer aux réunions si on le souhaite...je n'ai jamais vécu de prosélytisme forcené et partage facilement ce bouddhisme, je suis intervenu chaque fois qu'il m'a semblé qu'il fallait le faire face à des comportements douteux ( en parler au consistoire notamment) et j'ai même viré deux responsable de chez moi une fois (sans remettre en cause l'enseignement) car il s'agissait de leurs propos personnels...Nous créons nous même notre environnement et les relations que nous nouons avec lui...le bouddhisme est en accord avec la raison et notre Maître nous encourage en ce sens,...les comportements fanatiques sont vite recadrés et déjà du temps de Toda, les échanges étaient virulents...il suffit de lire le journal de sensei et la révolution humaine pour s'en rendre compte,...entre les gens qui utilisait l'organisation, et les comportements réprimables....le président Ikeda qui était encore un jeune homme exprime souvent sa désapprobation avec ces "responsables " douteux...si tout était déjà parfait en ce monde, le Bouddha n'y enseignerait pas,...pour beaucoup l'obscurité est profonde...et chacun est confronté à son propre karma...il faut avoir l'honnêteté de se regarder, de réfléchir objectivement et de décider de la meilleure attitude ou action à avoir et à mener...
Je partage tout à fait cet avis . Les gens arrêtes de pratiquer , par manque d'étude , parcequ'il suive la personne et non l'enseignement , par orgueil .
quand il y a la mort brutale d'un pratiquant .
Auteur : algol-x
Date : 25 mars18, 00:15
Message : Yvon a écrit :Je partage tout à fait cet avis . Les gens arrêtes de pratiquer , par manque d'étude , parcequ'il suive la personne et non l'enseignement , par orgueil .quand il y a la mort brutale d'un pratiquant .
Vous récitez votre leçon. C'est a mon sens relatif aux directives données par Gakkai qui ont un effet délétère, une parmi d'autres:
"Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort..."
Pour certains, c'est la prise de conscience d'arrêter de se mettre dans de grands états de tension, préjudiciables à leur équilibre, d'autres personne, plus fragiles, font des heures de mantra, modifient leur traitement médical et c'est le drame !
Auteur : Yvon
Date : 25 mars18, 00:30
Message : Le bouddhisme c'est la sagesse , quand on est malade on va voir un médecin et on suit son ordonnance .
Nichiren lui même s'est fait soigné par un de ses disciple samourai versé dans la médecine Shijo Kingo .
Auteur : algol-x
Date : 25 mars18, 00:57
Message : Yvon a écrit :"Le bouddhisme c'est la sagesse , quand on est malade on va voir un médecin et on suit son ordonnance .Nichiren lui même s'est fait soigné par un de ses disciple samourai versé dans la médecine Shijo Kingo ."
Vous ne connaissez du bouddhisme qu'une de ses déviation, quand à se soigner encore faut-il encore percevoir le malaise qui est souvent inconsciemment nié !
Merci de ne pas parasiter ce fil ! La propagande Soka Gakkai c'est ici :
mahayana/temoignage-t59003.html

Auteur : Yvon
Date : 25 mars18, 00:59
Message : L'hopital qui se moque de la charité

Auteur : algol-x
Date : 25 mars18, 01:27
Message : Le leadership autoritaire, la tromperie et le contrôle destructif de l'esprit sont les principaux ingrédients d'un culte, et SGI rentre dans ce cadre. Cela peut sembler une affirmation peu aimable ou injuste, mais je vais l'étayer par des exemples et des explications. SGI est un culte.
Est-ce que je dis que les membres de SGI sont une bande de zombies endoctrinés? Non! Si le contrôle de l'esprit était si caricatural etsi évident, ce ne serait pas un problème. Les croyances et peurs intériorisées ne sont généralement pas faciles à perçevoir, mais elles ont néanmoins une énorme influence sur le comportement et les émotions d'une personne.
Est-ce que je dis que les membres de la SGI sont des gens horribles, stupides ou consciemment manipulateurs? Non pas du tout. Certaines des personnes les plus merveilleuses, intelligentes et sincères que j'ai jamais rencontrées sont des membres de SGI. C'est en raison de notre sincérité et de notre idéalisme, peut-être, que nous avons accepté sans réserve la "formation" qui nous a rendus dépendants de la Soka Gakkai, et nous avons fidèlement transmis cette formation aux autres.
Je ne pense pas que la plupart des membres du SGI essaient délibérément de blesser quelqu'un. C'est plutôt comme si nous transmettons un virus parce que nous n'avons aucune idée que nous avons été "infectés".
Vous remarquerez que je dis "nous". Je m'inclus. J'ai rejoint SGI il y a presque 14 ans. J'ai travaillé pour la SGI en tant que propagandiste payée - d'abord en tant que rédacteur pour le World Tribune et plus récemment en tant que "fantôme" freelance pour Middleway Press de SGI-USA. SGI est sur mon CV professionnel. J'ai défendu le SGI en version imprimée. J'ai essayé d'expliquer les accusations portées par des amis, des membres de ma famille et des inconnus que SGI est une secte. J'ai essayé de me convaincre que SGI pourrait un jour changer.
Mais les cultes comme la SGI ne changent que dans le sens où elles deviennent plus sophistiquées ou peut-être plus subtiles dans leurs fonctionnements. Ils peuvent enlever la photo d'Ikeda du mur dans la pièce de Gohonzon, et arrêter d'obliger les membres à porter des uniformes blancs - ils peuvent ressembler moins à un culte de style cartoon. Mais le but reste le même: faire croire aux membres qu'ils vont souffrir sans le groupe, et quel que soit le bonheur et le succès qu'ils ont, c'est attribuable au groupe, et ils doivent tout au groupe. Ce n'est pas le bouddhisme Nichiren - c'est SGI-isme, et c'est précisément ce qui fait de SGI un culte.
Les membres de SGI déclarent fièrement: "Je suis à la SGI", malgré le fait que les membres n'ont aucun droit de vote, aucun contrôle sur les politiques et finances de la SGI, aucune procédure de règlement des différends, etc. Les membres ont assumé la responsabilité personnelle totale d'une organisation dans laquelle ils n'ont aucun contrôle. Alors, quand je critique le SGI, je sais que beaucoup de membres du SGI vont avoir l'impression que je les attaque personnellement et qu'ils me répondront par des attaques personnelles.
Mais ce n'est pas une question de personnalités. Il s'agit de prendre conscience des méthodes et du contenu de l'endoctrinement de culte SGI.
Il y a beaucoup de membres de SGI qui refuseront de lire ce que j'ai à dire. Ça me va. Beaucoup vont rejeter mes opinions comme "négativité" ou "se plaindre". Mais il y a probablement quelques personnes qui sont prêtes à lire ceci. Il m'a fallu beaucoup de temps pour arriver à l'endroit où je pourrais même l'écrire. Si ce que je dis résonne en vous - si vous dites: "Oui, exactement, c'est vrai pour moi!" - Alors c'est cool. Si vous pensez que je suis une m...., c'est cool aussi.
Pendant de nombreuses années, j'ai été membre d'un culte. J'ai consacré mon argent, temps et talent à la perpétuation d'un culte. J'ai été un apologiste de culte, menant d'autres personnes dans le culte. Pas plus. Personne ne se joint à un culte
"SGI est une secte" Non, certainement pas ", dirais-je à mes amis et à mes proches." Ai-je l'air du genre de personne qui serait dans un culte? "
Non, certainement pas, on t'ils dû concéder. J'étais assez intelligent et éduqué, assez bien nanti, et issu d'une famille aimante et stable. J'avais un travail, et des amis. "Je sais que cela peut sembler un culte à certains égards", dirais-je aux gens. "Mais ce n'est pas le cas.
Personne ne m'avait kidnappé et forcé à rejoindre SGI. Au contraire, j'étais volontairement persuadé. J'ai entendu le chant du mantra bouddhiste Nichiren lors d'une réunion à Los Angeles. J'ai aimé le son et j'ai été intrigué par la pratique. Je voulais en savoir plus sur la philosophie. Les membres de la SGI ont été prompts à m'informer que le mantra et la pratique étaient sous leur direction, et qu'ils étaient seuls chargés du devoir de dire à toute l'humanité sur le bouddhisme de ramener la paix dans le monde. Je ne m'intéressais pas vraiment au prosélytisme ou à la paix dans le monde. Je voulais juste chanter (pratiquer)
Mes nouveaux amis m'ont dit qu'il n'y avait pas de vrai bouddhisme en dehors de SGI. Je les ai cru. Je ne savais pas mieux. Je ne savais rien des enseignements de Nichiren. De plus, les membres étaient complètement sincères, amicaux et compétents. Ils parlaient une langue que je voulais apprendre - "faire la révolution humaine" et "shakubuku". Les membres de la SGI semblaient convaincus qu'ils avaient une mission spéciale dans la vie. Ils étaient aussi très durs avec eux-mêmes, parlant de comment ils devaient surmonter leur arrogance, ou disant qu'ils étaient trop stupides pour comprendre une leçon bouddhiste cruciale, alors ils devaient "remplacer la foi par la sagesse." se référaient à la sagesse de leur "aînés dans la foi" comme ils ont appelé leurs dirigeants. Et ils parlaient tous de "Sensei", le président de la SGI, Daisaku Ikeda, même si la plupart ne l'avaient jamais rencontré. J'ai aimé presque tous ceux que j'ai rencontrés à la SGI, et je le fais toujours. Je n'avais aucune raison de douter de ce qu'ils me disaient. Ils relayaient ce qu'ils avaient entendu dire par d'autres personnes aussi sérieuses et sincères. Je leur faisais confiance, tout comme ils avaient fait confiance à leurs aînés dans la foi. Cela m'a blessé quand les gens ont appelé le culte de SGI, même en plaisantant. "SGI était un culte, peut-être, à l'époque où les membres portaient des uniformes et recrutaient agressivement des gens", expliquais-je. "Mais tout ça a changé. Nous n'adorons pas le président Ikeda. Nous apprenons de lui et essayons de l'imiter. De plus, ma vie s'est améliorée depuis que j'ai rejoint SGI. Le président Ikeda parle toujours de la liberté et de l'importance de l'individu. J'ai beaucoup appris de lui à propos de se lever et de parler. Dans SGI, les allégations de culte sont généralement rejetées comme des fantasmes paranoïaques amusants fabriqués par des gens qui sont jaloux de SGI ou intolérants à la pluralité religieuse, ou qui "ne comprennent tout simplement pas". J'ai entendu les membres de SGI dire avec fierté que le fait d'être appelé "cultie" par un étranger est un signe d'honneur, et qu'ils se sentent encore plus impliqués dans le groupe. Mais ça m'a vraiment dérangé. Mon frère et moi avons eu une discussion bruyante à ce sujet une fois, ce qui m'a vraiment énervé. Nous avons délibérément évité le sujet lors de futures réunions de famille. Cependant, je ne comprenais pas pourquoi il ne me soutenait pas davantage. Mes leaders SGI m'ont encouragé à "chanter pour lui". Comme si il était celui qui avait besoin d'avoir une idée. Rétrospectivement, je pense que j'étais fâché parce que j'avais peur. Non seulement j'ai peur que mon frère ait raison et je me trompe peut-être, mais j'ai peur de quelque chose de plus fondamental et de plus menaçant que je ne pouvais pas articuler. Je savais que quelque chose me faisait très mal, mais je ne savais pas quoi ni pourquoi. Je sentais que j'étais en danger d'une manière ou d'une autre. Les membres du SGI sont programmés pour croire (que nous en soyons conscients ou non) que nous souffrirons si nous nous retrouvons en travers de la SGI. Seuls les lâches, les faibles et les corrupteurs quittent volontairement la SGI, nous dit-on. Nous sommes convaincus que l'exactitude de notre pratique bouddhiste dépend de notre appartenance à la SGI, même si cette affiliation est vague ou sporadique. Être un membre absent pendant quelques mois, c'est bien, mais quitter SGI va inviter la colère de tous les dieux bouddhistes et nos vies ne deviendront que misère.
Durant mes années en tant que membre de SGI et en tant que rédacteur de BuddhaJones.com, j'ai observé la peur extrême et la superstition que les membres de SGI ressentent vis-à-vis de leur propre organisation. Beaucoup m'écrivent pour me parler de quelque chose de "merdique" qui leur est arrivé dans la SGI, mais ils me supplient de ne pas publier leur lettre, ou de la poster sous un nom d'emprunt - et certains me demandent de ne pas dire à d'autres qu'ils consultent ce site Internet. Ils ont peur d'avoir des ennuis avec SGI, d'être évités, d'avoir le malheur pleuvoir sur eux parce qu'ils ont osé déplaire à "l'org". Une des raisons pour lesquelles je dis que SGI est un culte est parce qu'elle instille chez les membres cet crainte irrationnelle qu'ils aient des problèmes s'ils ne restent pas membres. Ce n'est pas comme si un leader disait: "OK, maintenant nous allons vous endoctriner avec la peur et des croyances irrationnelles." Au lieu de cela, nous sommes endoctrinés avec ce que signifie "être un noble soldat de Soka": Vous êtes adepte de la SGI. Si vous n'êtes pas satisfait de SGI, vous devez travailler plus fort pour l'améliorer.
Quitter la SGI équivaut à essayer d'échapper à votre karma, ce qui ne peut pas être fait. Les gens qui abandonnent sont des traîtres illusoires. Ceux qui trahissent les SGI trahissent Nichiren. Ils feront l'expérience de la rétribution. Ceux qui partent reviennent vers la SGI pour demander pardon ... Il n'y a rien dans les enseignements de Nichiren pour soutenir l'idée que la pratique correcte dépend du respect ou de l'engagement envers une corporation religieuse particulière. C'est une absurdité totale, à moins qu'un groupe de personnes en qui tu as confiance te répète à plusieurs reprises que c'est absolument vrai, et que tu chantes de tout ton cœur pour intérioriser la leçon. J'ai ressenti une anxiété et une incertitude écrasantes. Je parlais avec des amis qui essayaient aussi de partir (et quelques-uns qui étaient déjà partis) et nous parlions pendant des heures. Nous avons passé des mois à essayer de trouver des excuses et des explications pour expliquer pourquoi nous devions rester dans SGI, même en sachant ce que nous savions sur les finances de l'organisation, les mensonges et le fondamentalisme néfaste. Nous ne voulions quitter notre pratique ou à rejoindre un autre groupe Nichiren, nous voulions juste arrêter de donner notre approbation tacite à SGI.
Il y en a beaucoup dans SGI, qui se moquent de la notion de contrôle de l'esprit. Ils haussent les épaules et disent que chaque religion instille une certaine dose de peur chez ses pratiquants. Même Nichiren a eu ses moments de feu et de soufre. Oui, dans une certaine mesure. Mais je parle d'endoctriner les gens avec une peur qui profite à la corporation religieuse plutôt qu'à la pratiquante - une peur qui n'est pas instructive ou utile, mais qui est destructrice et manipulatrice. Par contraste, j'avais été un catholique confirmé pour plus que dix ans avant que je décide de rejoindre SGI, mais je n'ai jamais pensé au Pape. Je suis passé à une religion que je sentais mieux pour moi. En revanche, quitter le SGI était difficile et terrifiant. Il m'a fallu des années de chants, des mois de discussions et un jour de lecture des livres de Steven Hassan pour comprendre pourquoi. Dans Combat Cult Mind Control, Hassan relaye une citation anonyme qui dit tout: "Personne ne se joint à un culte. Ils ne font que reporter la décision de partir". "l'adepte endoctriné" peut être en désaccord avec mon utilisation du mot" culte "pour décrire SGI parce qu'ils le considèrent comme inutilement péjoratif. Ils sont à l'aise de dire que SGI a des "aspects de type culte", mais le qualifier de culte va trop loin. C'est un peu comme si on disait: "On dirait un canard et un charlatan mais ce n'est pas un canard."
Beaucoup de ces membres sont les mêmes qui expriment leur consternation face au refus apparent de SGI de devenir moins sectaire. Ils ne comprennent pas pourquoi les dirigeants et les membres de SGI autorisent "délibérément" l'organisation à maintenir le secret financier, adulent Daisaku Ikeda et diabolisent obsessionnellement les prêtres de Nichiren Shoshu. À mon avis, reconnaître que SGI est une secte aide à expliquer beaucoup de choses. Les cultes exercent un contrôle caractéristique sur le comportement des membres et l'information que les membres reçoivent sur le culte, ainsi que sur les pensées et les émotions des membres. C'est ce que l'on appelle le modèle "BITE" de l'influence de la secte: Comportement, Information, Pensée, Émotion.
Jusque vers 1990, les dirigeants de la SGI disaient aux gays de chanter pour être hétéro. On a dit aux hommes de se raser la barbe et la moustache s'ils voulaient être de bons membres. Les membres portaient des uniformes. En d'autres termes, le comportement était ouvertement contrôlé dans SGI. Mais l'organisation n'est plus aussi évidente dans son influence sur le comportement des membres. Les membres reçoivent toujours des "conseils personnels" des dirigeants et apprennent à se comporter gentiment, à s'abonner aux publications, recruter de nouveaux membres et participer à autant d'activités SGI que possible. créer de la bonne fortune. Et, bien sûr, SGI incite les gens à s'asseoir et à chanter deux fois par jour. Mais si c'est le contrôle du comportement, certains peuvent prétendre que c'est finalement bénin parce que le chant est incontestablement toujours une bonne chose. Au lieu de faire en sorte que les membres suivent des règles strictes de comportement, SGI influence les pensées et les émotions des membres, ce qui à son tour influence le comportement.
Par exemple, de nombreux membres du SGI ont peur de visiter un temple Nichiren Shoshu ou Nichiren Shu parce qu'on leur a dit que les temples sont infestés de démons et de calomniateurs. Cela sert à empêcher les membres de trouver une alternative à SGI ou de découvrir des informations de première main sur d'autres sectes. Avec cette seule phobie, SGI peut contrôler à la fois le comportement et l'information. Dans les sectes, il y a un phénomène commun connu sous le nom de "pensée figée", une réponse apprise aux informations et aux idées qui menacent ou contredisent les enseignements du groupe sont rejeté en tant que négativité. Au moment où nous entendons la critique, nous l'étiquetons "négativité" ou "colère et nous l'arrêtons immédiatement ou cessons d'écouter.
Si un membre ne peut pas maintenir une attitude joyeuse et reconnaissante à l'égard de SGI, cette personne a une "remontée de karma", un obstacle à son bonheur qu'elle doit surmonter pour être à nouveau positive et enjouée. Il faut être positif et joyeux pour "tirer des bénéfices" de la psalmodie - ou de la sagesse conventionnelle de la SGI. Notre conditionnement pour "avoir l'air heureux" est-elle un exemple d'arrêt de la pensée? Je suppose que c'est discutable, mais c'est comme ça que je l'ai vu: faire en sorte que les membres réduisent leurs propres facultés critiques. Alternativement, quand quelqu'un a un problème avec quelque chose dans SGI, nous disons: "pratiquons pour lui." si nous critiquons et pensons les choses de travers, nous sommes invités à chanter. Chanter est une pratique merveilleuse, certainement. Mais quand le chant est utilisé comme un "remède" à la liberté de pensée et d'investigation - ou est utilisé pour rationaliser les tromperies du groupe (ou pour les faire oublier pour l'instant), le chant devient une technique de réflexion. dans SGI est assez évident, je pense. Voici comment ça se passe: Vous commencez à chanter et vous l'aimez. Les membres, les dirigeants et les publications ne cessent de vous dire que SGI est le seul endroit légitime pour votre pratique bouddhiste, la meilleure sangha certifiée par Nichiren. Vous êtes "encouragé" à lire la publication de SGI.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ember_the/ Auteur : Ichinen29
Date : 25 mars18, 09:03
Message : Jamais vu de prosélytisme aussi fanatique depuis 24 ans que je pratique,...seulement des gens attentionnés les uns envers les autres...
Auteur : algol-x
Date : 25 mars18, 09:24
Message : Le processus d'endoctrinement du culte et de la thérapie de masse peut impliquer des inductions répétées d'états de conscience semblables à ceux de la transe similaires à l'hypnose. Le contrôle de l'environnement (milieu), la manipulation sociale, l'isolement et l'utilisation de techniques de changement de conscience prescrites (par exemple répéter, méditer ou prier) sont quelques-unes des méthodes utilisées pour produire ces états altérés de conscience. - De la manipulation de l'expérience spirituelle: l'hypnose non éthique dans les cultes destructeurs -
Quand les gens quittent un culte, ils éprouvent généralement un «trou » - ils sont habitués à passer beaucoup de temps à faire ces pratiques, rituels, assister à des réunions, etc. Une fois qu'ils quittent le culte, ils ont beaucoup de temps sur leurs mains - et beaucoup de gens se sentent très mal à l'aise avec cela.
Imaginez que vous venez de perdre votre emploi. Demain matin, vous vous réveillerez probablement à l'heure habituelle - mais quoi maintenant? Il n'y a pas de travail à préparer, pas de raison de se dépêcher de se rendre au travail. Bien sûr, vous devrez commencer à répondre aux annonces d'emploi ou essayer de trouver un nouvel emploi, mais ceci est un exemple du «trou» laissé dans la psyché d'une personne quand quelque chose consommant est retiré.
Pour cette raison, parce que les personnes qui ont quitté le SIG sont si vulnérables en raison de ce «trou », nous ne pouvons ni ne pouvons recommander une autre religion, un autre groupe ou une autre pratique. Ce serait contraire à l'éthique - nous profiterions de votre vulnérabilité tout autant que les prédateurs de SGI qui saisissent l'occasion de se jeter sur les gens vulnérable.
Ce que je peux faire est de vous recommander de penser aux choses que vous avez aimées faire mais que vous n'avez pas eu le temps d'avant. Revenez au "vous" que vous étiez avant de vous impliquer avec SGI. Vous avez le temps pour ces choses maintenant!
que diriez-vous d'une marche quotidienne de 30 minutes à une heure, si votre médecin vous dit que c'est acceptable pour vous? Vous serez en meilleure forme, aurez de l'air frais et aurez beaucoup de temps pour réfléchir!
Si vous commencez à vous sentir anxieux et que vous avez envie de chanter, peut-être que vous pourriez essayer une méditation de respiration. C'est quelque chose pour combler ce vide, mais ce n'est pas une dépendance comme le chant SGI. Tout ce que vous faites est de commencer à prendre des respirations très profondes et lentes, en vous concentrant sur la sensation et le bruit de chaque inspiration, en ressentant comment cela remplit vos poumons, en faisant gonfler vos côtes; puis écoutez et ressentez l'exhalation. Concentrez-vous exclusivement sur le son et le sentiment de cette respiration. Vous pouvez le faire aussi
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... giusa_but/ Auteur : Ichinen29
Date : 25 mars18, 21:18
Message : j'ai pratiqué le yoga et vipassana quand j'étais jeune...RIEN 0 VOIR AVEC LA PUISSANCE D E l'éveil obtenu avec daimoku...dans vos post vous ignorer totalement la base de notre Foi qui est bien l'exérience de la bouddhéité dans notre vie, oh combien surpassant toutes les allégations et fidèle avec la description du Bouddha....C à d plongeant dans un niveau de conscience dont vous ne soupçonné pas la portée et la ...beauté...
Auteur : algol-x
Date : 25 mars18, 21:50
Message : kwanruoshan il y a 1 mois
"Je me souviens avoir pratiqué comme un fou pour faire face à une situation financière en n'ayant strictement aucun résultat. C'était douloureux et frustrant, et les gens ne cessaient de me demander si je pratiquai assez ou de manière cohérente. C'est drôle, puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je récitai le mantra pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais en plus une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre pour la pratique et rejoindre tosos.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami de la soka m'a dit que la raison pour laquelle ils harcelaient les gens pour qu'ils reviennent, était relative aux malheurs ou aux suicides prophétisés par la SGI concernant ceux qui font défection. Amusant dans ce cas, que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre.
Je suis aussi fatigué du terme « mystique » chaque fois que quelque choses semblent bien se passer durant la journée. La psychologie a montré que lorsque nous agissons pour réussir quelque chose et pensons celui ci possible, cela arrive plus facilement. Nous n'avons absolument pas besoin d'un mantra ou d'un mandala pour ça. C'est nous qui augmentons nos probabilités de faire mieux. Il y a tellement de choses que je pourrais dire, mais je vais en rester là pour l'instant..."
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... years_out/ Auteur : Ichinen29
Date : 25 mars18, 23:39
Message : Absolument,...ce mantra est destiné à ouvrir notre neuvième conscience et à révèler notre bouddhéité,....les bienfaits sont des effets manifestes de notre bonne fortune et de l'état de bouddha se manifestant dans l'environnement,...les amalgames par manque d'étude sont hélas fréquentes, d'où les activités mise en place à cet effet...le bouddhisme est en accord avec la raison et notamment la psychologie...
Auteur : algol-x
Date : 26 mars18, 00:43
Message : j'ai rencontré la Soka Gakkai par l'intermédiaire d'un membre de ma famille très proche, et j'ai été invité à assister à l'une des réunions bimensuelles (zadankai). Lors de ces réunions, nous récitions daimoku, Gongyo, les membres nous racontaient leurs expériences personnelles de pratique et aussi la "philosophie" proposée par l'organisation, nous avons également étudié les écrits de Nichiren, Ikeda et des articles qui apparaissent dans le magazine SG "New Renaissance".
Euphorie générale, sourires imprimés sur les visages, "expériences de vie" racontées comme une "preuve" que cette pratique fonctionne, avec des personnes qui, dans certains cas, en parlent de manière exaltée ou délirante, louant le "maître Ikeda" et ainsi de suite.
On me dit que le but de leur philosophie est d'être heureux. Pour être ainsi, j'ai dû commencer à réciter le soi-disant daimoku, une heure par jour, matin et soir, et faire gongyo. Non seulement cela, mais également en agissant. j'ai dû me fixer des objectifs, et après 10 jours d'après eux j'aurais une réponse. Donc, j'ai récité cette formule pour obtenir des "résultats". Ils m'ont dit alors que dans leur religion, contrairement aux autres, il y a la "preuve concrète", c'est-à-dire que que j'aurais la réponse à mes vœux dans le temps fixé. En effet, une personne m'a dit que, à un moment où il avait besoin d'une somme d'argent, et grâce aux daimoku (mantra) il l'avait obtenu.
Effectivement, quelque chose était arrivé, mais ce ne fut pas quelque chose de si improbable ou incroyable, cependant c'était assez matériel pour faire taire mes doutes et ma perplexité sur cette "doctrine".
Parlons-nous d'une philosophie de la vie ou d'un rituel magique? Je m'attendais à ce qu'il y ait un chemin dans lequel la philosophie bouddhique a été profondément expliquée à partir des origines, et à la place on m'a offert une sorte de "formule magique" qui résoudrait mes problèmes et me rendrait heureuse. on me dit qu'il est pas nécessaire de comprendre la signification de "nam Myoho Renge Kyo" ou de Gongyo pour leur efficacité et cela parce c'est une "chose mystique englobant tout l'univers" et on ne pouvait comprendre qu'en voyant ses effets, il n’était pas possible de donner une explication rationnelle mais il fallait avoir la foi.
Est-ce du vrai bouddhisme, ou un artifice pour attirer les gens, surtout ceux en difficultés, qui souffrent et ont des problèmes, leur donnant cette promesse illusoire de pouvoir les résoudre? N'était-ce pas la même chose qui promettait le sorcier Do Nascimento avec Wanna Marchi?
Mais cette phrase a-t-elle ce pouvoir?, la réponse est NON !! Dans la vie, les événements et les changements se produisent tout le temps, et ils n'apparaissent pas plus chez une douzaine de personnes qui pratiquent dans un groupe. Si vous agissez tous les jours, il est trop facile de ramener à la pratique le fruit de vos actions. Mais dans mon cas, dans les périodes où j'ai agi et je n'ai pas pratiqué n'a rien changé !!! En fait, les plus belles choses me sont arrivées quand j'ai arrêté d'agir. Et je me sentais beaucoup mieux intérieurement, c'était comme si je m'étais libéré d'un poids qui m'oppressait, et j'ai ressenti un énorme soulagement.
la tendance générale est de réciter très rapidement le daimoku et le gongyo, de cette façon vous ne réalisez même pas ce que vous faites mais essayez de garder un rythme agité en vous conformant aux autres, et l'effet n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié, donnant ainsi l'impression d'une expérience mystique, parce que vous perdez le contrôle sur ce que vous faites, et ceci est fortement contraire au concept fondamental de la philosophie bouddhiste qui favorise la conscience.
Le dalaï-lama lui-même dit qu'en récitant un mantra, il est bon de penser à sa signification, puisque le sens des syllabes, quel que soit le mantra, le domaine est . En récitant un mantra à la vitesse de la lumière, vous n'avez même pas le temps de réfléchir à ce que vous faites. Et toute cette frénésie d'agir, si elle est exercée pendant des heures et des jours, à mon avis fait plus de mal que de bien.
Une autre contradiction que j'ai trouvée est la suivante: le responsable, pour promouvoir la validité de leurs enseignements, différencient leur "bouddhisme" des autres religions et surtout du catholicisme, disant que le bouddhisme n'a ni obligations ni interdictions, faisant croire que cette doctrine permet une liberté absolue, sans commandements et surtout sans le concept de péché. Mais il est dit aussi que vous devez pratiquer Gongyo matin et soir et faire au moins une heure daimokus par jour et que cela peut alors apporter des bienfaits, mais cela contredit les propos ci-dessus. Les pratiquants du fait de suivre ces directives, sont incités à augmenter les heures de pratique si les choses ne vont pas comme prévues.
Sans oublier que même si nous ne remarquons pas, ils introduisent un concept similaire au péché déguisé en "cause négative", invitant alors à réciter plus de mantras pour "transformer le karma négatif" causé par "les oppositions à la loi" faites non seulement dans cette vie, mais aussi dans les vies précédentes. Cela induit une sorte de "superstition", masquant un "terrorisme psychologique" qui semble avoir pour but d'empêcher toute contestation de la doctrine ou de l'organisation, prophétisant un avenir de disgrâces à ceux qui le feront. Nous sommes au XXIe siècle, je pensais que ces croyances médiévales avaient disparues.
On dit qu'une maison qui "héberge" un Gohonzon sera protégée, Il faut aussi dire qu'il y a des gens qui pratiquent des années, mais ils n'ont rien résolu dans leur vie. Et il est facile dans ces cas de dire qu'ils n'ont pas correctement pratiqué, qu'ils n'ont pas eu assez de foi et et ainsi de suite, comme le font habituellement les responsables. Qu'ajoutent-ils alors? Que pour obtenir les résultats, vous devez également étudier! Étudier signifie lire le Gosho de Nichiren, les livres d'Ikeda ou les articles des magazines de l'organisation. Mais comment pouvez-vous me faire croire que si je lis la page d'un livre le lendemain je trouverai du travail ou que je vais gagner à la loterie? Aberrant !
Les responsables proposent aussi de faire des "activités", c'est également un moyen d'avoir des "bienfait". En quoi consistent les "activité"? présenter un sujet dans les réunions, en tant que modérateur, ouvrir la porte de la maison où la réunion a lieu aux participants, offrant un verre à ceux qui en ont besoin, de communiquer des statistiques sur la participation, (tout est surveillé! le nombre de personnes qui ont participé aux réunions de toute l'Italie, et parmi eux combien membres, de sympathisants ou de débutants), également annoncer les prochaines, réunions et faire en sorte d'y amener des gens, faire partie du chœur, faire du nettoyage (!) dans le kaikan (les temples du SG) et ainsi de suite. Je crois que même l'église ne fait pas nettoyer pas les planchers aux fidèles, et ce ne sont que des exemples, la liste pourrait être longue!
https://nosokagakkai.blogspot.fr/2012/0 ... akkai.html Auteur : Ichinen29
Date : 26 mars18, 04:56
Message : Simple expression des doutes ou conceptions erronées de cette personne,...manque d'étude en effet et de pratique,...Interprétation du sens des activités librement consenties,...moi-même je fais partie du groupe de protection parce que je l'ai décidé (1 fois par trimestre) et je puis témoigner des bienfaits acquis par cette activité...
Aucun argument dans votre post,...n'importe qui peut exprimer des doutes et cela n'a pas valeur de vérité,...simple subjectivité...
Auteur : algol-x
Date : 26 mars18, 06:37
Message : La rencontre
Je suis entrée dans la Soka Gakkai en 2001. Ce fut une rencontre comme tant d’autres. Un jour, attristée par un échec très important pour mon avenir, un collègue affligé de ma détresse m’expliqua comment lui aussi avait traversé des difficultés, et qu’il connaissait une solution qui pouvait m’aider. D’une nature très méfiante, j’ai tout de suite expliqué que je ne croyais en aucune religion et serais difficile à convaincre. De fait, personne ne m’a mis de pression, on m’a rassurée en me disant que j’avais raison, que l’on n’était jamais trop prudent et qu’avec le temps et mes différentes expériences, la croyance en l’efficacité de la pratique viendrait d’elle-même.Ce fut le cas. Ils m’ont suffisamment mise en confiance pour que peu à peu, je me laisse persuader que toutes les bonnes choses qui se produisaient dans ma vie venaient de ma croyance, donc de ma foi.
Dans le groupe
Insidieusement, j’en suis arrivée à ne plus penser par moi-même, je ne vivais plus qu’à travers ce bouddhisme. Toutes mes relations devinrent faussées, j’interprétais selon la Loi quelquefois en bien mais le plus souvent en mal. Personne ne m’imposa un rythme de pratique, mais il était fortement conseillé de suivre celui des aînés –plus anciens dans la pratique- afin de montrer son investissement.
Nous avions une réunion de discussion tous les quinze jours, chez un (ou une) aîné, où tous les pratiquants d’un même chapitre se retrouvaient. Une fois par mois nous avions en plus une réunion selon notre situation personnelle (jeune fille ou jeune homme pour les célibataires, homme ou femme pour les personnes mariées, divorcées, veuves…). Il faut y ajouter tout ce qui était activité organisée par les différents chapitres d’une même région, où il était plus que de bon ton de se montrer, toujours pour manifester notre motivation dans la pratique. En effet, les aînés ne manquaient pas de nous rappeler tous les bienfaits que nous allions engranger pour avoir fait l’effort de donner de notre temps « si précieux » pour faire acte de présence. Sans compter toutes les pratiques quotidiennes du matin et du soir, devant l’objet de culte , et la récitation du mantra « nam myoho renge kyo » le plus possible (on nous lançait le défi d’en réciter un million par an, ce dans quoi je me suis enfermée pendant 2 ans).Cette pratique était souvent accompagnée, le soir, par une aînée. Cet accompagnement pouvait se répéter plusieurs fois par semaine selon les difficultés rencontrées.
Je vais plus mal
De ce fait, je perdis pied, mes relations professionnelles se sont dégradées. Ne gérant les situations qu’en fonction de ma pratique et selon l’enseignement de mes aînés, les réponses ne se trouvaient donc pas adaptées aux situations vécues, je perdis le sommeil.
« Mes amis bouddhistes » me poussèrent à prier davantage, avec plus de ferveur, pour transformer ce qui n’allait pas dans ma vie et entraînait « la perte de mon sommeil » ; on m’orienta à pratiquer pour trouver les meilleurs médecins dans les meilleures conditions.
Je suis entrée en contact avec une psychiatre qui ne comprenait rien à mes difficultés. Les séances à son cabinet étaient une véritable torture psychique qui ne faisait qu’aggraver la situation, mais complètement culpabilisée, je pensais que tout était de ma faute, que je ne priais pas comme il fallait et ne croyais pas sincèrement, d’où le manque de résultats. Mon médecin traitant, qui ne me connaissait que depuis quelque mois, ne maîtrisait pas la situation. Il tenta à plusieurs reprises de prendre contact avec cette psychiatre pour lui passer la main dans le traitement de mes insomnies, mais la psychiatre refusa ne souhaitant pas qu’il y ait d’interférence médicamenteuse entre elle et moi. Mon médecin enchaîna différents médicaments qui s’ajoutèrent les uns aux autres, différents anxiolytiques, neuroleptiques, antidépresseurs, somnifères, etc. Bien entendu le tout sans résultat. Peu à peu je sombrais dans une dépression des plus graves avec tentatives de suicides quasi quotidiennes, alcoolisme, anorexie et boulimie en alternance.
Après quelques mobilisations des aînés venant me soutenir, ils répondirent de moins en moins à mes sollicitations, on m’incita à ne plus venir aux réunions de discussions, je me sentais peu à peu abandonnée de tous. Cela dura un an, j’étais en arrêt maladie. Les responsables continuèrent à me culpabiliser, me disant que ma foi n’était pas sincère, que je doutais des bienfaits de la Loi, d’où l’aggravation de ma situation. On m’expliqua que j’avais un si mauvais karma que je devais payer dans cette vie tout le mal que j’avais fait dans les autres. Ils me dirent que transformer mon karma maintenant était une grande chance, que traverser toutes ces épreuves me ferait bénéficier dans une prochaine vie de tous les bienfaits accumulés grâce à tous ces combats que je menais.
La sortie
Jusqu’au jour où, suite à une énième tentative de suicide où j’ai frôlé la mort, je décidai d’arrêter d’aller voir la psychiatre, de stopper tous les médicaments et je pris de la distance avec la Soka Gakkai.
Je reprenais conscience de moi-même et analysais l’attitude des membres qui prônaient l’union dans l’adversité, la solidarité quand un membre du groupe était en difficulté, mais ne me manifestaient aucun soutien. Au bout d’un an d’arrêt maladie, je perdis mon travail pour inaptitude à mon poste. Je me suis retrouvée au chômage. Je constatais la fausseté de leur parole, je réalisais que la pratique assidue n’améliorait en rien ma situation, alors je décidai d’arrêter toute pratique car je réalisais que j’étais en train de détruire ma vie.
Comme par miracle, de nouveau une forte mobilisation ressurgit, mais ma décision était prise. Lorsque l’on quitte la Soka Gakkai il faut restituer son objet de culte, ce qui se fait ordinairement lors d’une cérémonie. Les conditions de cette cérémonie ne pouvant jamais être réunies, c’est une maladresse d’un des membres qui me donna l’opportunité de rendre mon objet de culte, ce que je fis promptement. Nous étions fin 2005.
La sanction fut immédiate, plus de nouvelle de personne, sauf 6 mois plus tard, une responsable de Paris me relança par téléphone un soir à 22h45 : ce dernier acte m’a convaincue définitivement que j’avais pris la bonne décision.
Du jour au lendemain, nous nous retrouvâmes seuls avec mon mari, car évidemment nous avions perdu tous nos amis d’avant, puis tous les bouddhistes du groupe disparurent à leur tour alors que nous n’avions plus qu’eux. Tout était de nouveau à reconstruire, les amis, le travail et retrouver notre confiance.
Ma vie privée fut terriblement éprouvée par ce parcours. Il me fallut cependant plus d’un an pour me retrouver psychologiquement, et presque 2 ans pour reprendre suffisamment confiance en moi et être apte à reprendre une activité professionnelle.
Magazine "Bulles" N°26
Auteur : Yvon
Date : 26 mars18, 07:07
Message : Oui expérience qui aurait pu arriver sans la Soka Gakkai . Des dépressifs qui sorte de la dépression y'en a tous les jours . (Heureusement)
Auteur : zeste de savoir
Date : 26 mars18, 07:37
Message : Yvon a écrit :Oui expérience qui aurait pu arriver sans la Soka Gakkai . Des dépressifs qui sorte de la dépression y'en a tous les jours . (Heureusement)
Pas forcément, et la plupart expliquent bien pourquoi ! Il suffit de les lire pour comprendre !
Sinon, il y a un post pour vous éviter de troller, qui s 'appelle :
"Soka gakkaï Commentaire sur le témoignage d'anciens adeptes"
Allez faire les guignolots dessus !
j'ai rencontré la Soka Gakkai par l'intermédiaire d'un membre de ma famille très proche, et j'ai été invité à assister à l'une des réunions bimensuelles (zadankai). Lors de ces réunions, nous récitions daimoku, Gongyo, les membres nous racontaient leurs expériences personnelles de pratique et aussi la "philosophie" proposée par l'organisation, nous avons également étudié les écrits de Nichiren, Ikeda et des articles qui apparaissent dans le magazine SG "New Renaissance".
Euphorie générale, sourires imprimés sur les visages, "expériences de vie" racontées comme une "preuve" que cette pratique fonctionne, avec des personnes qui, dans certains cas, en parlent de manière exaltée ou délirante, louant le "maître Ikeda" et ainsi de suite.
On me dit que le but de leur philosophie est d'être heureux. Pour être ainsi, j'ai dû commencer à réciter le soi-disant daimoku, une heure par jour, matin et soir, et faire gongyo. Non seulement cela, mais également en agissant. j'ai dû me fixer des objectifs, et après 10 jours d'après eux j'aurais une réponse. Donc, j'ai récité cette formule pour obtenir des "résultats". Ils m'ont dit alors que dans leur religion, contrairement aux autres, il y a la "preuve concrète", c'est-à-dire que que j'aurais la réponse à mes vœux dans le temps fixé. En effet, une personne m'a dit que, à un moment où il avait besoin d'une somme d'argent, et grâce aux daimoku (mantra) il l'avait obtenu.
Effectivement, quelque chose était arrivé, mais ce ne fut pas quelque chose de si improbable ou incroyable, cependant c'était assez matériel pour faire taire mes doutes et ma perplexité sur cette "doctrine".
Parlons-nous d'une philosophie de la vie ou d'un rituel magique? Je m'attendais à ce qu'il y ait un chemin dans lequel la philosophie bouddhique a été profondément expliquée à partir des origines, et à la place on m'a offert une sorte de "formule magique" qui résoudrait mes problèmes et me rendrait heureuse. on me dit qu'il est pas nécessaire de comprendre la signification de "nam Myoho Renge Kyo" ou de Gongyo pour leur efficacité et cela parce c'est une "chose mystique englobant tout l'univers" et on ne pouvait comprendre qu'en voyant ses effets, il n’était pas possible de donner une explication rationnelle mais il fallait avoir la foi.
Est-ce du vrai bouddhisme, ou un artifice pour attirer les gens, surtout ceux en difficultés, qui souffrent et ont des problèmes, leur donnant cette promesse illusoire de pouvoir les résoudre? N'était-ce pas la même chose qui promettait le sorcier Do Nascimento avec Wanna Marchi?
Mais cette phrase a-t-elle ce pouvoir?, la réponse est NON !! Dans la vie, les événements et les changements se produisent tout le temps, et ils n'apparaissent pas plus chez une douzaine de personnes qui pratiquent dans un groupe. Si vous agissez tous les jours, il est trop facile de ramener à la pratique le fruit de vos actions. Mais dans mon cas, dans les périodes où j'ai agi et je n'ai pas pratiqué n'a rien changé !!! En fait, les plus belles choses me sont arrivées quand j'ai arrêté d'agir. Et je me sentais beaucoup mieux intérieurement, c'était comme si je m'étais libéré d'un poids qui m'oppressait, et j'ai ressenti un énorme soulagement.
la tendance générale est de réciter très rapidement le daimoku et le gongyo, de cette façon vous ne réalisez même pas ce que vous faites mais essayez de garder un rythme agité en vous conformant aux autres, et l'effet n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié, donnant ainsi l'impression d'une expérience mystique, parce que vous perdez le contrôle sur ce que vous faites, et ceci est fortement contraire au concept fondamental de la philosophie bouddhiste qui favorise la conscience.
Le dalaï-lama lui-même dit qu'en récitant un mantra, il est bon de penser à sa signification, puisque le sens des syllabes, quel que soit le mantra, le domaine est . En récitant un mantra à la vitesse de la lumière, vous n'avez même pas le temps de réfléchir à ce que vous faites. Et toute cette frénésie d'agir, si elle est exercée pendant des heures et des jours, à mon avis fait plus de mal que de bien.
Une autre contradiction que j'ai trouvée est la suivante: le responsable, pour promouvoir la validité de leurs enseignements, différencient leur "bouddhisme" des autres religions et surtout du catholicisme, disant que le bouddhisme n'a ni obligations ni interdictions, faisant croire que cette doctrine permet une liberté absolue, sans commandements et surtout sans le concept de péché. Mais il est dit aussi que vous devez pratiquer Gongyo matin et soir et faire au moins une heure daimokus par jour et que cela peut alors apporter des bienfaits, mais cela contredit les propos ci-dessus. Les pratiquants du fait de suivre ces directives, sont incités à augmenter les heures de pratique si les choses ne vont pas comme prévues.
Sans oublier que même si nous ne remarquons pas, ils introduisent un concept similaire au péché déguisé en "cause négative", invitant alors à réciter plus de mantras pour "transformer le karma négatif" causé par "les oppositions à la loi" faites non seulement dans cette vie, mais aussi dans les vies précédentes. Cela induit une sorte de "superstition", masquant un "terrorisme psychologique" qui semble avoir pour but d'empêcher toute contestation de la doctrine ou de l'organisation, prophétisant un avenir de disgrâces à ceux qui le feront. Nous sommes au XXIe siècle, je pensais que ces croyances médiévales avaient disparues.
On dit qu'une maison qui "héberge" un Gohonzon sera protégée, Il faut aussi dire qu'il y a des gens qui pratiquent des années, mais ils n'ont rien résolu dans leur vie. Et il est facile dans ces cas de dire qu'ils n'ont pas correctement pratiqué, qu'ils n'ont pas eu assez de foi et et ainsi de suite, comme le font habituellement les responsables. Qu'ajoutent-ils alors? Que pour obtenir les résultats, vous devez également étudier! Étudier signifie lire le Gosho de Nichiren, les livres d'Ikeda ou les articles des magazines de l'organisation. Mais comment pouvez-vous me faire croire que si je lis la page d'un livre le lendemain je trouverai du travail ou que je vais gagner à la loterie? Aberrant !
Les responsables proposent aussi de faire des "activités", c'est également un moyen d'avoir des "bienfait". En quoi consistent les "activité"? présenter un sujet dans les réunions, en tant que modérateur, ouvrir la porte de la maison où la réunion a lieu aux participants, offrant un verre à ceux qui en ont besoin, de communiquer des statistiques sur la participation, (tout est surveillé! le nombre de personnes qui ont participé aux réunions de toute l'Italie, et parmi eux combien membres, de sympathisants ou de débutants), également annoncer les prochaines, réunions et faire en sorte d'y amener des gens, faire partie du chœur, faire du nettoyage (!) dans le kaikan (les temples du SG) et ainsi de suite. Je crois que même l'église ne fait pas nettoyer pas les planchers aux fidèles, et ce ne sont que des exemples, la liste pourrait être longue!
https://nosokagakkai.blogspot. [...] akkai.html Auteur : Yvon
Date : 26 mars18, 07:48
Message : Beaucoup de manque d'étude et de sentimentalisme exarcébé dans ces témoignages .
On suit la personne et non l'enseignement .
Auteur : algol-x
Date : 26 mars18, 09:10
Message : Yvon a écrit :Beaucoup de manque d'étude et de sentimentalisme exarcébé dans ces témoignages .
On suit la personne et non l'enseignement .
Amabilités d'Ichinen29 comme d'habitude, et dénégations répétitives d'Yvon qui fait son diagnostic sur le dos d'une ex-membre !

Auteur : Yvon
Date : 26 mars18, 09:12
Message : Et oui c'est un constat récurent , ce fut votre cas aussi , vous avez écouté les personne et non le bon sens , sans compter votre manque d'étude abyssal
Auteur : algol-x
Date : 26 mars18, 09:22
Message : Yvon a écrit :Et oui c'est un constat récurent , ce fut votre cas aussi , vous avez écouté les personne et non le bon sens , sans compter votre manque d'étude abyssal
Mythomanie, affabulation, orgueil démesuré, quand à l'affirmation d'un manque d'étude "abyssal" c'est comique pour quelqu'un même pas fichu de faire un résumé de quelques ligne, par contre vous produisez à profusion une multitude de copiés-collés sans aucunes références, bravo !
--------------------------------------------------------------------------------------------------
La SGI vous pousse à penser que vous pouvez changer n'importe quoi dans votre vie par la puissance de votre pratique - peu importe qu'elle soit impossible. Cela semble encourageant et autonomisant dans un premier temps. Mais ensuite, après avoir pratiqué et encore pratiqué, recherché « les conseils » de vos dirigeants, travaillé dur pour l'organisation fait tout ce que vos dirigeants vous disent de faire et que vous n'avez toujours pas atteindre votre objectif, alors vous faites quoi?
Il y a de cela quelques années, j'ai été encouragé à « montrer ma foi, » et à pratiquer pour qu'un proche soit guéri du diabète de type I. Eh bien, j'ai pratiqué, pratiqué et encore pratiqué et devinez quoi, elle l'a encore. Alors on m'a dit que ma foi n'était pas assez forte, que j'avais chanté avec des doutes. Que j'avais tiré ma famille et ma communauté de foi vers le bas.
Puis j'ai réfléchi davantage. Les gens chantent et prient pour beaucoup de choses. La belle mère de Lotus pratiquait surement pour que son mari arrête de boire. Pendant la guerre, les gens des deux côtés chantent et prient pour la victoire. Il y a eu de nombreux dirigeants SGI gravement malades ainsi que des membres qui ont bénéficié de la pratique de nombreux autres membres et ces personnes sont toutes mortes ! Certaines choses sont tout simplement impossibles, peu importe comment vous chantez, priez ou souhaitez. Dire aux gens que leurs malheurs ne s'arrêtent pas parce que "vous n'avez pas assez pratiqué », ou « vous ne pratiquez pas avec la bonne attitude," est juste ignorant et cruel. Vous n'avez aucun moyen de savoir comment était leur attitude et combien d'heures de pratiques il faut pour guérir le diabète, l'alcoolisme ou le cancer? Vingt heures, une centaine d'heures, cinq cents heures?
Puisqu' Ikeda est, selon la SGI, le bouddhiste parfait, peut-être qu'il devrait publiquement pratiquer pour des choses impossibles, comme la phase terminale de maladies ou pour que le moyen orient soit en paix. Je veux dire, c'est le super Mentor ! Comment pourrait-il avoir une mauvaise attitude et pas assez de foi ? Et s'il réussit, pensez combien de nouveaux convertis la SGI obtiendrait, ainsi que le renforcement de la foi de ceux qui sont déjà membres ! Imaginez la publicité merveilleuse que cela ferait pour la SGI.
Concernant ma famille, l'attitude la plus réaliste, et la plus responsable est de dire que, oui ma fille a le diabète, c'est injuste, mais c'est comme ça. Vous ferez tout votre possible pour l'aider à gérer cette maladie, afin qu'elle puisse avoir une vie saine, active et productive. Vous vous tiendrez informés sur la maladie et les nouveaux progrès dans son traitement. Vous pourrez soutenir l'éducation et la recherche sur le diabète afin qu'un jour il puisse y avoir un remède ou du moins des avancées qui le rendent plus facile à vivre. Cela, pour moi, est beaucoup plus productif que d'encourager sa famille à ce fantasme que si nous pouvons simplement pratiquer assez (et avec la bonne attitude, bien sûr!), notre fille sera guérie comme par magie du diabète.
Quand je peux penser de cette façon, je me sens plus libre et en paix. Je ne me bas plus contre moi-même, parce que je ne peux pas réaliser l'impossible. Au lieu de cela, je me concentre sur la réalité et ce que je peux faire. Essayer de faire l'impossible est très stressant! Est ce qu'Ikeda et les autres dirigeants, s'inquiètent si vous êtes stressé, ou si vous vous sentez coupable, lorsque votre pratique pour des choses impossibles ne fonctionne pas ? Bien sûr que non le plus stressé vous serez, le plus vous pratiquerez, demanderez leur avis et travaillerez pour l'organisation. Dans une vaine tentative de soulager le stress dans lequel ils vous auront mis ! Quel cercle vicieux ! Comment n'ai-je pu ne pas voir cela avant ? Les gens peuvent courir et courir pendant des années, comme un hamster dans sa roue d'exercice. Courir jusqu'au point d'épuisement et n'arrivez nulle part!
http://blog.doctissimo.fr/temoignage-so ... 52029.html Auteur : zeste de savoir
Date : 26 mars18, 09:25
Message : Yvon a écrit :Et oui c'est un constat récurent , ce fut votre cas aussi , vous avez écouté les personne et non le bon sens , sans compter votre manque d'étude abyssal
Hors sujet et trollage habituel.
Il y a un post intitulé "commentaires des témoignages d'ancien adeptes"
pour vous servir de défouloir !

Auteur : Ichinen29
Date : 26 mars18, 10:37
Message : Le but de la pratique c'est d'atteindre l'éveil, les épreuves sont des stimulants pour renforcer notre foi,...ce n'est as une baguette magique mais une pratique de"révolution humaine",....devenir de meilleurs êtres humain, exercer notre état de boddhisattvas, se débarrasser de nos illusions, changer le bonheur temporaire en bonheur absolu...et la pratique influence effectivement notre environnement positivement,...je le constate chaque jour.
Auteur : algol-x
Date : 26 mars18, 13:23
Message : "Je ne suis restée que trois ans et je savais à la fin de la première année que partirai. J'avais étudié d'autres traditions bouddhistes et je pouvais sentir les aspects incorrects. Peu de mention de Shakyamuni, aucun mot sur les quatre nobles vérités ou le chemin octuple, aucune contribution au reste de la communauté, juste Ikeda (aaaah!) et la Nichiren Shoshu (sifflements!). Et ma mine déconfite quand j'ai interrogé les dirigeants locaux, un vieil alcoolique amer qui pensait honnêtement qu'il était la réincarnation de l'amant secret d'Emily Dickinson (Mais bon, quand vous avez scandé une absurdité devant une photocopie écrite en pattes de mouches, qui suis-je pour l’appeler un fou?) et une sorcière sénile qui utilisait une association comme un moyen de faire shakubuku en direction de personnes immigrées, à chaque réunion.
J'ai essayé de rester et de m'efforcer de croire. J'ai vraiment essayé. Alors que je m'exaspérais de plus en plus et que je passais plus de temps à pratiquer pour "changer mon karma" et "augmenter ma foi" , ma vie personnelle et ma situation financière se sont effondrés. J'ai parcouru des kilomètres pour aller chercher des gens et les emmener à des réunions, espérant qu’ils nous rejoindraient. Quelques-uns l’ont fait. La plupart étaient visiblement embarrassés. La question la plus fréquente après une réunion était "Qui est ce type, Ikeda dont ils parlent continuellement?"
Puis est venu ce jour. Je ramenais mon mari de l'hôpital lorsque la sorcière sénile mentionnée ci-dessus m'a appelé pour me réprimander pour avoir posé trop de questions lors des réunions, me disant que si j'avais pratiqué d’avantage et m’étais moins interrogé, mon mari n'aurait pas eu de cancer. C'était la dernière part de conneries. J'ai mis mon gohonzon dans un sac en plastique, j'ai écrit une lettre de démission au siège national et je l'ai déposée chez un chef de district.
Silence. Pas un mot de l'un d'eux. De l'amitié, hein? Depuis, je suis étonné du changement dans ma vie. J'ai du temps et de l'énergie pour prendre soin de moi. Je suis sur la bonne voie financièrement, et mon mari est en rémission depuis deux ans. Tant pis pour tous les maux qui allaient m'arriver si jamais je partais. Surtout, je réalise maintenant que je peux changer ma destinée avec mes pensées, mes mots et mes actions. Pas de vaudou. Pas de "loi mystique". Juste moi, et vivre ma vie. Je n'ai eu aucune meilleure ou moins bonne chance que quiconque. À quel point cela est cool? Les personnes que j'ai présentées à la SGI sont parties dans l'année qui a suivi mon départ. Ils vont bien, aussi. Si vous y êtes encore et pensez à sortir, faites-le! Vous n'avez rien à perdre, seulement de faux amis, une manipulation émotionnelle et financière, et beaucoup de maux de tête. Je suis une preuve vivante."
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... years_out/

Auteur : zeste de savoir
Date : 30 mars18, 06:13
Message : Cal a écrit :Je me suis déjà inscrit à la base pour témoigner contre la Sokka Gakkai. Je n'aime pas trop les débats religieux mais je confirme que la Soka Gakkaï est une secte.
De mon point de vue, les personnes qui défendent la Sokka automatiquement, doivent encore faire partie de leur groupe. (Je sais qu'ils vont me répondre, "mais non, ce n'est pas une secte, encore un intolérant et bla bla bla !"), je ne prendrais même plus la peine de répondre aux gens qui défendent la Soka. Je suis resté à la Sokka Gakkai jusqu'en 2017, donc 5 ans.
Je raconte mon témoignage :
En 2012, je me fais un "ami" lors d'une soirée. Très rapidement, il m'emmène à une de leurs réunions, et ce qui ressemblait au bonheur d'un groupe, s'est transformé en traumatisme.
On fait des sorties, des soirées. Mais, avec beaucoup de temps, j'ai constaté que quelque chose clochait.
J'avais déjà des situations difficiles à l'époque et je suis tout étonné de rencontrer ce groupe super sympa et super souriant à l'écoute de mes problèmes. Même si je ne suis pas bouddhiste, j'allais volontiers assister à leurs réunions (pour les écouter, pas pour participer, mais je me contentais de parler après leur pratique, je ne la faisais pas, me contentant de les regarder) à quel point tout le monde était heureux, depuis qu'ils ont découvert la Soka. Ils sont basés par quartiers, ils vont chez les uns et chez les autres, entre eux.
Ils commencent déjà à me passer quelques livres. Honnêtement, je n'en ai lu qu'un seul. Au début, c'est tranquille : je leur dis que je ne suis pas intéressé par leur croyance, bien que je la respecte.
Ils m'invitent chez eux à Noël, pour mes anniversaires. Ils m'ont même invité en voyage, mais c'était uniquement pour qu'un membre reçoive son Gohonzon.
Un malaise commence à se créer : les nouveaux "ami(e)s" que je me suis fait dans la Sokka, sont TOUS des membres de la Sokka, ou des personnes qui découvrent le groupe ! Au début, je ne m'en rends absolument pas compte. A une de leurs réunions, quand j'étais concentré sur mes propres croyances, mon "ami" me glisse entre les mains leur petit livret et me fait suivre du doigt le texte alors que je n'ai rien demandé.
Une amie que je connais en dehors du groupe de la secte commence à constater mon comportement bizarre. Me considérant catholique et étant baptisé catholique, je lui dis tout naturellement que j'aimerais bien être bouddhiste aussi, que le groupe me dit que je peux faire les deux... alors que je rappelle qu'à la base, je ne suis même pas bouddhiste.
Le déclic s'est fait progressivement : alors que jusqu'à présent, ça n'arrivait pas et que je les invitais toujours, à un de mes anniversaires, les membres du groupe ont insisté pour que je fasse ma soirée avec eux, alors que j'avais déjà réservé le restaurant ailleurs. J'ai dû carrément annuler la réservation et mes ami(e)s extérieurs ne sont donc pas venus.
Des insinuations suivent : on me dit que je devrais essayer de pratiquer au moins une semaine, trois mois, juste pour essayer, que ça n'engageait à rien. Je réponds toujours invariablement "c'est gentil, mais non, c'est gentil, mais non, et après, ça a été un NON bien ferme. Certains proposaient même de pratiquer un peu chez moi. Alors que je les croyais très ouverts, on me dit "Si tu vas bien, c'est grâce à la pratique ! Tu ne vas pas bien ? Alors pratique !" Systématiquement.
Et ça a pris des tournures franchement dingues, je m'en souviens encore, ça m'a marqué. Je croise un membre qui me dit qu'il n'est pas heureux alors qu'il est pratiquant, mais qu'il ne veut pas quitter le groupe, pour ne pas se retrouver seul, que eux seuls le comprenne. Je recevais parfois par SMS des extraits de leurs livres, alors que j'avais déjà dis que je n'étais pas intéressé. Un autre membre me parle sans arrêt de la pratique, fou de joie. Quand je lui dis que j'allais voir des amis extérieurs, sa réponse, automatique et excitée : "Tu vas voir des pratiquants ?"
A un moment, j'ai cru que je perdais la tête. Je me couchais, je pensais à leurs récitations de mantras, je rêvais de leurs mantras, (Le Nam Myo) je me levais, je pensais à leurs mantras, ça devenait un véritable cauchemar psychologique. En boucle dans ma tête comme ça !

Et j'ai fini par réagir, ça a frôlé le surréalisme ! Je croise des membres qui me disent qu'ils ont évités des accidents grâce à la pratique, qu'une femme tombait enceinte grâce à la pratique, qu'un d'entre eux avait eu une formation, parce que la veille, il a pratiqué. Leurs pratiques faisait tout, ça devenait grotesque. Un membre m'a même dit que j'avais eu mon appartement grâce à eux, alors qu'à l'époque, je ne les connaissais même pas encore ! Je devenais sarcastique en disant "mais quelle générosité !"
A une réunion, on m'a demandé ce que j'en pensais, j'ai piqué une crise et je suis parti comme ça, en leur disant que ça fait 5 ans que je leur dis que je ne veux pas être pratiquant et qu'ils n'entendent absolument rien. Après, évidemment, les réactions ont été que je ne les comprenais pas, que je n'étais pas tolérant, etc, même le premier qui m'a invité à la première réunion a dit qu'il avait manqué de vigilance et qu'il en était vraiment désolé. Il a fallu que je quitte le groupe pour qu'il m'écrive cela...
Je suis même allé voir un psychologue qui a enfoncé la situation, en disant que si j'avais été dans le groupe, c'est parce que je l'avais voulu, que j'étais responsable de ce qui m'arrivait. J'ai arrêté toute thérapie, et à part quelques rares cas, j'ai trouvé un meilleur soutien avec mes ami(e)s en dehors de la secte.
Même il y a deux semaines, un membre m'a recontacté, et j'ai dû bloquer son numéro de téléphone. De la bonne trentaine "d'ami(e)s" que je croyais m'être fait à la Sokka Gakkai, je suis resté ami avec un seul, qui a quitté le groupe lui aussi, mais avant moi, parce qu'il n'a jamais cru "au bonheur de la Sokka".
C'est une secte dangereuse et leurs pratiques virent à l'obsession du prosélytisme. Ils utilisent même des grands mots comme "La révolution humaine". Et après, ils rejettent la faute sur vous. Et vous vous retrouvez seul à essayer de vous reconstruire.
Je me suis senti trahi, utilisé. Il est intéressant de noter que, quand je suis parti de la Sokka parce que je n'étais pas d'accord avec eux, je n'ai plus eu aucune nouvelles. Mes soi-disant "amis" sur 5 ans (sauf bien sûr celui qui est heureusement sorti aussi) sont devenus invisibles du jour au lendemain, parce que je ne partageais pas leurs opinions.
C'est du lavage de cerveau pur et simple. Je perdais mon identité.
Restez simplement prudents avec la Sokka Gakkai. Et j'ai découvert tous ces témoignages sur Internet après ma sortie. Je les ai même montré à un pratiquant qui n'a pas voulu me croire, et qui est resté dedans, alors j'ai laissé tomber.
Ils sont incroyablement butés. Quand on dit "non" une fois, n'importe qui devrait être capable de l'entendre.
Je vous souhaite de rester vigilants. Gardez courage quoi qu'il arrive.

Bienvenu sur ce forum "samsarique", et merci pour votre témoignage !

Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 05:42
Message : Comme le disait algol a juste titre, il y a dans cette organisation des gens sympathiques, ouverts, intéressants etc etc etc...Et je n'ai jamais dit le contraire non plus.
D'autre part je ne réduit pas le Nichirénisme a ce que gakkai en a fait, c'est un courant et des pratiques qui visent a l'éveil et au fonctionnement harmonieux du corps et de l'esprit.
Ce que je dénonce ici c'est la réalité, bien moins souriante, des intentions d'ikeda et de la soka-gakkai.
Mon témoignage se fonde aussi sur mon vécu. Je connais gakkai depuis l'âge de 5 ans, j'ai été très actif dans cette organisation durant presque 10 ans, j'étais sincère et j'ai également rencontré des personnes avec qui je suis ami et ces liens d'amitiés sont fort encore aujourd'hui.
Gakkai met beaucoup d'énergie a faire briller sa vitrine, ce n'est donc pas en passant au centre chercher ta compagne ou en assistant a une fin de réunion que tu peux percevoir le mécanisme pervers a l'œuvre dans cette organisation...Et comme moi tu peut même passer dix ans sans le voir, enfin si, tu le vois, mais tu occulte aussitôt, tu gomme, tu impute aux travers des êtres humains, tu évite de regarder...
D'autres parts tu sait que ikeda est le maître incontesté et incontestable dans cette organisation, que pense tu a titre personnel des écrits que j'ai cités plus haut ? N'ont ils pas toutes les caractéristiques propres aux discours sectaires ?
Ces messages d'ikeda servent a créer une emprise forte sur les membres...Une des clé de cette emprise consiste a faire croire a l'adepte que le développement de sa vie va de paire avec celui de l'organisation. Une fois que ce mécanisme est assimilé par l'adepte, ikeda et gakkai, ont alors tout pouvoir sur lui. Les menaces d'ikeda a l'égard de ceux qui critiquent ou quittent soka-gakkai ont pour but de faire taire tout esprit critique, engendrent des peurs, peurs des graves "rétributions négatives" qui s'abattront sur ceux qui arrêtent de pratiquer ou pire encore sur ceux qui osent critiquer ikeda et la soka. Même si parfois cette peur n'est pas consciente, elle existe...
Les écrits d'ikeda que j'ai postés sur ce topic parlent d'eux-mêmes et servent a révéler qu'ikeda n'a rien d'un bouddhiste et encore moins d'un maître, c'est un escroc notoire qui utilise l'enseignement de la Nichiren-shoshu a des fins de pouvoir mafieux, commercial et politique...Le reste n'est qu'une vitrine.
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... 23#t111127 Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 06:15
Message : Ca me rappelle ces tabloïd à Trois balles,...genre "Police",..du genre une blonde platine dévore son chien tout cru,...ou,...après dix ans passé dans un congélateur, on la découvre enfin saine et sauve,...!....hahahah!!!
Auteur : zeste de savoir
Date : 31 mars18, 06:42
Message : Dans les sectes, il y a un phénomène commun connu sous le nom de "pensée figée", une réponse apprise aux informations et aux idées qui menacent ou contredisent les enseignements du groupe sont rejeté en tant que négativité. Au moment où nous entendons la critique, nous l'étiquetons "négativité" ou "colère et nous l'arrêtons immédiatement ou cessons d'écouter.
L'argument du tabloïd c'est pour autre chose, cher Ichinen, vous vous mélangez les pinceaux dans les réponses toutes faites !
Ici ce sont de vrais témoignages, pas de pseudo preuves actuelles pour adeptes ayant besoin de se rassurer !

Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 07:03
Message : Vos "témoignages" ne reflète que l'expérience et le karma de ceux qui les exprime...(dit sans jugement)...cela ne reflète en aucun cas la réalité de notre enseignement et celle de Gakkai...les relents sectaires que vous y insufflez ne correspondent ni à ma propre expérience (24 ans), ni à la réalité...que des personnes dérivent cela peut arriver, amis le consistoire est le garant des bonnes pratiques et reste vigilant sur tout comportement déviant...Les milliers (llions) de témoignages positifs viennent infirmez vos allégations, la meilleure preuve restant notre expérience quotidienne et ce que nous vérifions nous même dans ce quotidien...Quoique vous pourrez en dire!
Auteur : zeste de savoir
Date : 31 mars18, 07:29
Message : J'ai tout fait. TOUT.
Rien n’a marché. Je voyais aussi des gens autour de moi chanter de manière continue, en désespoir de cause - mourir de cancer, prier pour qu'un enfant estropié soit rétabli et en parfaite santé contre toute attente, que de l'argent apparaisse comme par magie, etc.
ils étaient épuisés, jusqu’à ce qu'ils abandonnent et à contrecœur commencent le processus d'accepter la réalité telle qu'elle était, n'ayant pas réussi à la plier à leur volonté.
Je sais et c’est un fait, que cette pratique ne marche pas.

Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 08:12
Message : C'est bien ça le kudoku,..accepter la réalité telle qu'elle est ...on n'essaye pas de changer l'extérieur amis , par le changement intérieur l'environnement se transforme,...'(révolution humaine)..On appelle cette pratique "acceptation joyeuse"...on ne plie pas la réalité à sa volonté , on fusionne avec en tant que bouddha dans notre pratique..."Rechercher la boddhéité en dehors de soi c'est être comme chercher son foie en dehors du singe..."...on peut en effet s'épuiser comme ça...
Auteur : zeste de savoir
Date : 31 mars18, 08:18
Message : D'après ce que j'ai pu constater, la « preuve réelle » (obtention due a la pratique ndlr) obtenue par des pratiquants SGI était en fait inférieure à la « preuve réelle » atteinte par ceux qui ont arrêté de pratiquer ou par une cohorte gens qui n'ont jamais pratiqué.
Par exemple, prenez n'importe quel groupe de 150 jeunes hommes très motivés. On s'attendrait à ce qu'au moins 10 ou 20 % d'entre eux arrivent à réaliser leurs buts avec la foi et la pratique de SGI, mais probablement moins de cinq pour cent ont réalisé leurs rêves. Quel qu'en soit le nombre ou le peu de personnes, c'est difficilement une preuve universelle...
En fin de compte, a moins d'être influencé par la façon agressive et la force de conviction que les pratiquants mettent pour vous convaincre on ne trouve aucune preuve réelle dans le "bouddhisme" de la SGI,.
http://community.beliefnet.com [...] okke?pg=27
Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 13:19
Message : Sauf que le véritable bienfaits (par ces moyens habiles) est l'atteinte de l'éveil insurpassable!...c'est bien pour cela que je continue...Si on attends uniquement des bienfaits (bonheur temporaire) on reste frustré de quelque chose,...et chaque jour qui passe nous mesurons (du point de vue de l'éveil) l'incroyable bonheur d'être en vie et appréhendons par "l'oeil du bouddha" ce monde dans son véritable(incroyable) aspect...bien loin de la psychologie et des statistiques...(le joyau enveloppé dans le chignon du bouddha) LA VIE....!
Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 14:17
Message : C'est avec regret que je dois dénoncer cette pratique et ces rituels .
c'est la première fois que je m 'exprime à ce propos après 15 ans de pratique intensive, j'ai perdu beaucoup d'amis a cause de cette pratique tout simplement parce que je n arrêtais pas d'essayer de les convaincre de pratiquer : je n ai pas écouté leur nature profonde , on me disais que je devais prier pour leur bonheur, pour toucher leur état de bouddha , ce qui n a jamais marché bien sur !
j'ai pratiqué pour être heureux , bénéficier de conditions favorables et rien ! je n ai eu que des problèmes qui n ont fait que s'accumuler : les responsables me disaient : plus tu as de problèmes, cela signifie que tu es sur la bonne voie: plus tu galères, plus tu es proche du bonheur !
le bouddha ne dit-il pas que la pratique bouddhique ne résouts pas les problèmes !
alors à quoi ça sert de pratiquer si on est toujours malheureux ? il y aurait trop a dire. J ai arrêté point barre ! et je ne retomberai pas dans le délire de me dire que le fait d arrêter la pratique me fera tomber dans l'enfer des souffrances incessantes tôt ou tard !
j'en pleure de tristesse d 'avoir été manipulé à ce point !
A tous ceux qui continuent , si vous voulez vraiment œuvrer pour la paix , arrêtez de prier toute la journée , arrêtez vos spectacles à la fin des séminaires, arrêtez de vouloir convaincre quiconque en disant que nam myoho renge kyo est l 'unique moyen d 'être heureux .. soyez plus ouvert et acceptez les autres religions comme d'autres moyens d'être heureux .
Concernant le président ikeda, ses propos sont peuvent paraitre intéressant , mais il ne souhaite pas la vraie paix mondiale mais le développement de l' organisation basé sur la récitation du soi disant mantra pour la paix mondiale, nuance !
http://forum.doctissimo.fr/psychologie/ ... tm#t162201 Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 21:26
Message : Visiblement un défaut d'étude,...Il faut suivre la Loi et non la personne,...le fait que vous ayez fait apparaître votre karma est la preuve que cette pratique fonctionne,...c'est un principe de base...On fait apparaître notre karma pour faire notre révolution humaine; 15 ans c'st à la fois beaucoup et très peu...Je pratique depuis 1994 et ce n'est que maintenant au bout de 24 ans , que j'explore vraiment la Terre de Bouddha, en ayant pu apprécier dès le début les effets bénéfiques de la pratique et la portée de l'enseignement grâce à une étude approfondie du Gosho notamment...Si on abandonne en chemin, on ne verra pas la "lune se lever sur Kamakura..."
...Il n'y a pas de "victimes" en ce monde Saha,...chacun reçoit les rétributions en fonction de sa causalité propre...personne n'est obligé de pratiquer quoique ce soit...! Le président Ikeda a toujours affirmé que la SOka n'était rien sans les membres , et de "chérir" chaque personne...Le Grand Voeu est basé sur le Trésor du Coeur!...Vous pouvez inventer ou publier tous les témoignages que vous voudrez, le socle de l'enseignement et la réalité du mouvement Soka n'ont rien à voir avec cette vision subjective propre à chaque personne en cause. L'enseignement est clair et précis, Nichiren ou Sensei définissent la pratique du bouddhisme tel qu'elle doit être faite...persévérance, foi, étude, pratique,...et tout ira bien!...Vos allégations de pseudo endoctrinement ne sont pas des arguments et insulte chaque pratiquant sincèrement engagé dans cette voie noble!...Nier la réalité de l'éveil de Nichiren ou celui de ses disciples n'est que pur déni ou une forme de négationnisme de ce bouddhisme authentique....Cela ne remet rien en cause, preuves factuelles a l'appui!
Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 21:33
Message : abus de votre mantra ? intéressant !
Ces élucubrations éclairent à bien des égards la nature et l'intensité de l'endoctrinement. Les "bienfaits matériels" que promet votre "organisation" ne se matérialisant pas et pour cause, vous les compensez par un alibi pseudo religieux, qui laisse transparaitre un égotisme envahissant.

Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 21:40
Message : ..Pratique et,...action,...bien entendu...on n'est pas dans un délire magique!...Rien à voir avec l'auto persuasion,...trop d'évènements factuels a l'appui et surtout le changement d'état de vie.....boddhéité...ça vous rassure de définir cette pratique de façon péjorative, c'est juste du déni!...Mettez ce bouddhisme à l'épreuve nous exhorte Nichiren daishonin,...Shakyamuni s'était mis à dos les brahmanes et les ascètes qui avaient pratiqué les austérités avec lui...il y a ceux qui renoncent et ceux qui font confiance!...S'éveiller ou ne pas s'éveiller, là est la question!...Normal qu'il y ai des obstacles jeune "padawan"!...
Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 21:46
Message : Les membres de la SGI passent souvent beaucoup de temps a répéter leur mantra et à travailler pour la SGI. Comment les dirigeants vont les amener à le faire s'il n'y a pas un "avantage", ou "une expérience?" Je pense que cela amène les gens à interpréter des coïncidences à travers ce filtre. C'est une bonne chose qui s'est passé? C'est parce que je pratique. C'est une mauvaise ? Je n'ai pas assez pratiqué. Je n'ai pas applaudi assez fort quand ils ont montré la vidéo le président Ikeda.
Une femme que je connaissais a donné son témoignage lors d'une réunion: elle était sans emploi et a finalement trouvé un bon travail, et tout cela était dû selon elle a plusieurs heures de pratique par jour. Eh bien, oui, mais elle a également passé plusieurs heures par jour à la recherche d'un emploi - fait des appels, envoyé des CV, vu des entreprises et parler à des gens qui parlerait d'elle. En plus elle avait la bonne formation pour les emplois qu'elle voulait, cela lui a permis d'obtenir son emploi. Mais non, elle a insisté, c'était le chant (la pratique). J'ai entendu tellement d'histoires comme ça dans mes années au sein de la SGI !
Les gens veulent juste croire que leur vie a changé et que c'est seulement à cause de leur implication dans la SGI. Les membres anciens que je connaissais n'arrêtait pas de dire que leur pratique du bouddhisme SGI les avait tellement changés. Je connaissais certains d'entre eux depuis dix ou quinze ans. Peut-être que quelque chose m'échappe, mais je n'ai vu que peu ou pas de changements chez eux au cours des ans. Ils avaient toujours les mêmes personnalités, qu'ils soient colériques ou même paresseux, le même travail, santé, finance, relations ou problèmes familiaux !
http://forum.doctissimo.fr/psy [...] tm#t198412
Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 22:17
Message : ...Quelque chose vous échappe!....
Auteur : zeste de savoir
Date : 01 avr.18, 06:18
Message : algol-x a écrit :Les membres de la SGI passent souvent beaucoup de temps a répéter leur mantra et à travailler pour la SGI. Comment les dirigeants vont les amener à le faire s'il n'y a pas un "avantage", ou "une expérience?" Je pense que cela amène les gens à interpréter des coïncidences à travers ce filtre. C'est une bonne chose qui s'est passé? C'est parce que je pratique. C'est une mauvaise ? Je n'ai pas assez pratiqué. Je n'ai pas applaudi assez fort quand ils ont montré la vidéo le président Ikeda.
Une femme que je connaissais a donné son témoignage lors d'une réunion: elle était sans emploi et a finalement trouvé un bon travail, et tout cela était dû selon elle a plusieurs heures de pratique par jour. Eh bien, oui, mais elle a également passé plusieurs heures par jour à la recherche d'un emploi - fait des appels, envoyé des CV, vu des entreprises et parler à des gens qui parlerait d'elle. En plus elle avait la bonne formation pour les emplois qu'elle voulait, cela lui a permis d'obtenir son emploi. Mais non, elle a insisté, c'était le chant (la pratique). J'ai entendu tellement d'histoires comme ça dans mes années au sein de la SGI !
Les gens veulent juste croire que leur vie a changé et que c'est seulement à cause de leur implication dans la SGI. Les membres anciens que je connaissais n'arrêtait pas de dire que leur pratique du bouddhisme SGI les avait tellement changés. Je connaissais certains d'entre eux depuis dix ou quinze ans. Peut-être que quelque chose m'échappe, mais je n'ai vu que peu ou pas de changements chez eux au cours des ans. Ils avaient toujours les mêmes personnalités, qu'ils soient colériques ou même paresseux, le même travail, santé, finance, relations ou problèmes familiaux !
http://forum.doctissimo.fr/psy [...] tm#t198412
Lol ca me rappelle Shonin et sa "preuve actuelle", à part qu'ici, la personne a compris comment l'auto conditionnement marchait !

Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 01:23
Message : Les "expériences de vie" dans la Soka Gakkai, sont le fruit d'une manipulation qui consiste à ce que l'adepte soit gratifié, reconnu par le groupe quand il interprète les évènements de sa vie selon la grille de lecture propre à Gakkai et qui conforte ses rêves, ses espoirs. Un simple reliquat de remboursement sécu peut-être perçu comme un "kudoku" c'est à dire un résultat attribué à la pratique.
La pratique ne change pas grand chose , sinon qu'elle modifie le sens que l'individu appose sur la réalité, les "résultats" excédants jamais au mieux l'effet placebo.
Un des danger de cette déréalisation est de rendre les personnes crédules, et vulnérables face à des situations qu'elles auraient pu gérer de façon avisée et prudente.
J'ai connu une pratiquante divorcée, qui était persuadée que grâce à la pratique elle avait rencontré un nouveau compagnon, et avec les yeux de l'amour, elle prenait pour de originalité chez lui, ce qui aurait pu être identifié comme des troubles du comportement.
Ce type s'est révélé être un violeur qui a abusé pendant des années de sa fille . Un jour il s'est présenté à l'improviste chez moi (j’étais responsable de zad), c'était un mercredi matin. Que se serait-t-il passé ans à l'époque, si ma fille avait été présente ce jour là et moi absent !
Il y avait eu pourtant un précédent: au cour d'une pratique un dimanche matin, se retrouvant momentanément seul avec une jeune femme, il entrepris de l'agresser! Fort heureusement le retour de l'hôte des lieux mit un terme à cette tentative, ce dernier préférant étouffer l'affaire...
Le type en question à été condamné à 20 ans de prison !
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 03:33
Message : C'est quoi le rapport avec la SG ?
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 03:56
Message : Yvon a écrit :C'est quoi le rapport avec la SG ?
Ca semble rendre pas mal de gens dérangés, mais à lire certaines réponses qui sont faites par des intervenants ici, ont peut postuler aussi qu'ils l'étaient probablement
déjà en partie avant. Le fait de croire au mantra, et qu'il va régler leurs problèmes existentiels ou autres, ne fait qu'accentuer leurs problèmes !
Bonjour à tous,
Une de mes amies est depuis plusieurs anées adeptes de la sokka gakkaï. l'an dernier, elle n'en parlait que peu, allait à quelques réunions, etc.. Mais j'ai l'impression que sa pratique prend de plus en plus de place dans sa vie et qu'elle devient folle. Elle ne parle plus que de ça, elle ne travaille plus, reste enfermée chez elle à pleurer et prier, elle n'a plus d'argent, plus de voiture, n'a pas payé son loyer depuis des mois, n'ouvre même plus son courrier... Elle ne fait que répéter que sa foi va la sauver, qu'il lui sufit de garder la foi et tout s'arrangera, et que maintenant qu'elle avait régles ses problèmes, résolu son kharma selon elle, elle est persuadée que tout va changer tout seul. Je ne peux rien lui dire, car elle se braque rapidement ; lorsque je la vois, elle ne parle presque plus que de ça, elle me lit des textes, et elle veut "convertir" (selon ses propos) tout le monde, elle dit que c'est là sa "mission". Je me fais vraiment du souci pour elle, et je ne sais plus quoi faire. Je respecte sa foi et ses principes, après tout qui suis-je pour juger ou savoir quoi que ce soit, mais il me semble que pour améliorer sa vie, il faut se mettre en quête de solution, elle me dit que sa foi a elle seule suffit. On n'a plus aucune conversation, elle monologue, sans arrêt, elle sait tout, s'énerve des qu'on ne va pas dans son sens, et je commence à perdre patience. Elle semble ne plus supporter d'accepter que je ne veuille pas y rentrer, elle me dit toujours lorsque je lui parle d'un problème "seule la prière pourrait t'aider".
Elle n'est plus la même, moins de joie de vivre, de conversation, de centres d'intéret. Elle s'est mise en tête qu'un homme était l'homme de sa vie, qu'ils allaient se marier, elle dit que sa prière la ramène toujours à lui, elle voit des signes partout, et elle le harcèle, et lui vient de se fiancer à une autre. Elle est persuadée que si, mais qu'il ne le sait pas encore avoué. C'est tou ce à suoi elle se raccroche : sa "secte" comme elle le dit elle même (humour) et cet homme; je ne sais plus quoi faire; à vrai dire elle commence à me faire peur. Dès que je la contredis, elle s'énerve. elle est désagréable. Cela ne ressemble plus à de l'amitié, mais je connais son coeur, je l'aime et je refuse de la laisser regarder sombrer. Auriez-vous des conseils à m'apporter? Je ne sais plus comment lui parler, elle est complètement fermée sur ses idées, la communication ne passe plus, il n'y a pas de débats, pas d'échange possible, elle s'exaspere, comme si je disais des stupidités.
LAy45za Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 04:05
Message : C'est pas propre à la Soka Gakkai des adeptes dérangés . D'ailleurs il est fortement conseillé de ne pas transmettre la Loi à des personnes ayant des troubles psychologiques .
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 04:21
Message : Avec des leaders incompétents dans ces domaines, il y a peu de chance qu'ils refusent qui que ce soit !
Responsables Bouddhiques & Aide à la Personne
La Révolution Humaine de la SGI est un processus de transmutation profonde de l'inconscient, de l'ego et de la conscience qui provoque les perturbations normales inhérentes à ce type de processus méta psychique. Ce qui nécessite évidemment un accompagnement psychologique, une aide à la personne, par des personnes ayant une formation et des compétences.
Les "responsables bouddhiques officiels" n'en reçoivent aucune de ce type. Ils sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
La méthode d'accompagnement et d'aide consiste à donner des "conseils" - ou directives dans la foi - toujours basés sur les discours de Maitre Ikeda, ainsi que les Lettres et Traités de Nichiren écrits dans le contexte de la société japonaise du XIII ème siècle.
Ces "directives" cherchent à encourager dans sa croyance le pratiquant qui ne parvient plus à faire face ni à ses problématiques intimes, ni à ses blocages inconscients. Le discours de "l'ainé" qui conseille est inspiré par la morale et la doctrine de Nichiren Daïshonin et par les commentaires qu'en a fait Daïsaku Ikeda.
Frustrations & Souffrances
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
Cependant, là où ils se trouvent réellement c'est à un croisement avec des pancartes indiquant diverses destinations. Ils sont tous les yeux rivés face à l'une d'entre elles où ils lisent : c'est là. Alors qu'il y est écrit : c'est par là… Et c'est bien ce qu'en substance explique toute la philosophie bouddhique, quand elle parle d'illusions associées à l'Ego.
Le domaine "supérieur" de l'Éveil se situe "au niveau" de la Conscience Universelle qui transcende et est reliée à la Conscience Individuelle. En clair : l'individu s'entraine à devenir maitre des pulsons incontrôlables de son Ego et son inconscient, et non à en être l'esclave et la victime. Un des aspects de l'Éveil consiste à mettre respectueusement à son service les fonctions de son inconscient, de contribuer à sa croissance dans une perspective d'unité intérieure du conscient avec l'inconscient.
Aliénation & Libération Spirituelle dans les Églises du Nouvel Âge
Mais la SGI n'est pas unique et seule dans ce cas de figure. Toutes les églises, institutions spirituelles, organisations para-religieuses et structures de développement personnel ont pour "fond de commerce" de rassembler, d'endoctriner, de manipuler celles et ceux qui acceptent de s'y engager librement dans l'espoir d'être initiés pour atteindre une élévation spirituelle et la libération de leurs souffrances.
Mais aucune ne détient la solution : la vérité universelle. La pluralité, l'ouverture, intellectuelle, morale, éthique est la base de la recherche de l'information et de son traitement : de l'expérience de l'évolution humaine. Sans quoi la cécité, la stagnation et la dévolution s'installent. L'histoire des religions et philosophies est explicite à ce sujet.
Soumission & Domination
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
Leur incompréhension se renforce d'autant plus qu'ils cultivent inconsciemment leurs tendances les plus insidieuses à la soumission et à la domination relationnelle entre cadets et ainés, dans le contexte de la structure de la SGI… Alors qu'ils sont animés d'un sincère désir de bien faire, et d'accomplir un rôle positif en participant au développement de l'organisation à laquelle ils se sont volontairement ralliés.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels. Tout comme penser et agir au travers d'un code, d'une grille doctrinale, altère l'individualité qui s'aliène à des schémas moraux… Il en résulte un déséquilibre, une dénaturation et des perturbations de la globalité de l'être et de son environnement.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie. Ils ignorent qu'elles sont interdépendantes tout au long des étapes de leur existence.
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 05:01
Message : Source doctissimo c'est dire le niveau pathologique .
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 05:21
Message : Yvon a écrit :C'est pas propre à la Soka Gakkai des adeptes dérangés . D'ailleurs il est fortement conseillé de ne pas transmettre la Loi à des personnes ayant des troubles psychologiques .
Prévalence des troubles psychiques:
https://e-psychiatrie.fr/sante-mentale- ... sychiques/
J'ajouterais que cela fait beaucoup de monde, ensuite au vu du niveau de connaissances du membre moyen en la matière comment faites vous pour faire la différence entre des individus "sains" (ce qui est une vue de l'esprit) et les individus "fragiles", la doxa de la Soka Gakkai peut provoquer des troubles chez pas mal beaucoup d'individus avec ses pratiques mantriques excessives et les directives de ses dirigeants:
"Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort..." (!!!)

:
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 05:59
Message : Sujet déjà traité encore une fois .
Le bouddhisme de Nichiren c'est le bon sens . Si on est malade il faut voir un bon médecin et prendre les médicaments qui convient .
Nichiren lui même se faisait soigner par un des ses disciple versé en médecine.
Il dit aussi à une de ses disciple malade :
"Si vous ne voulez pas prendre réèlement soin de vous, il sera trés difficile de guérir de votre maladie ; un seul jour de vie vaut plus que tous les trésors de l'univers , aussi devez vous d'abord faire preuve d'une foi sincére et d'une grande sagesse "
Ecrit :" Sur la possibilité de prolonger sa vie "
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 06:14
Message : La pratique étant réputée avoir un pouvoir absolu, que l'on pourrait capter proportionnellement à sa foi, les adeptes, persuadés de résoudre ainsi leurs problèmes, s'imposent d'interminables séances de récitations du mantra, dont les conséquences peuvent êtres redoutables pour les plus fragiles...
Il ne s'agit pas d'actes dévotionnels anodins, mais du martèlement d'une formule, récitée pendant parfois des heures, et à même de provoquer une sérieuse déstabilisation des individus. Certains complètements hystérisés se réclament de la vérité absolue, Ils libérent leurs pulsions agressives, vis à vis des membres dont la conviction est jugée trop faible, et veulent les rectifier...
La Soka Gakkai diabolise et tente de discréditer tout ce qui est un tant soit peu critique par rapport à son idéologie, dont la véritable nature serait plutôt d'essence stalinienne que bouddhique, avec son culte rendu au leader, sa langue de bois, ainsi qu'un souverain mépris de la liberté d'expression...
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 06:18
Message : Yvon a écrit :Sujet déjà traité encore une fois .
Le bouddhisme de Nichiren c'est le bon sens . Si on est malade il faut voir un bon médecin et prendre les médicaments qui convient .
Nichiren lui même se faisait soigner par un des ses disciple versé en médecine.
Il dit aussi à une de ses disciple malade :
"Si vous ne voulez pas prendre réèlement soin de vous, il sera trés difficile de guérir de votre maladie ; un seul jour de vie vaut plus que tous les trésors de l'univers , aussi devez vous d'abord faire preuve d'une foi sincére et d'une grande sagesse "
Ecrit :" Sur la possibilité de prolonger sa vie "
La preuve que vous avez tord !
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 06:41
Message : Yvon a écrit :Source doctissimo c'est dire le niveau pathologique .
Tiens, vous connaissez !
Les "responsables bouddhiques officiels" sont psychologiquement incompétents, donc potentiellement dangereux. Leur névrose ou leur psychose est évidente pour celles et ceux qui les fréquentent régulièrement durant de nombreuses années, et qui savent écouter et observer autant le langage oral que corporel... La persistance et la récurrence de leurs troubles jamais guéris sont les symptômes de leur incapacité à guider "l'autre" vers la guérison.
Ainsi, aucune référence à des techniques psychothérapeutiques philosophiquement proches du bouddhisme ne peut être proposée officiellement aux croyants perturbés, ou dans une impasse, et auxquels les responsables bouddhiques ne peuvent pas offrir de réponses. Encore faudrait-il que ces responsables suivent une psychothérapie et s'engagent dans une étude approfondie de la question...
Cet enseignement religieux de la SGI, partiel et déphasé, empêche ses adeptes de penser tout à fait par eux mêmes. Ils ne réalisent pas ce qu'est leur propre état de bouddha. Ils ne peuvent pas en prendre conscience. Au lieu de s'éveiller, ils stagnent dans leurs frustrations et s'étiolent tristement avec leurs croyances limitées, dans la dépendance aux préceptes du maitre à penser et de l'organisation.
Aveuglés par leur besoin d'idolâtrie ils considèrent le maitre à penser et l'enseignement comme la destination qu'ils cherchaient à atteindre, ils sont convaincus être parvenus là où ils voulaient arriver.
J'ai longuement côtoyé quotidiennement ces pratiquant de l'ACSBN. Après dix, vingt, trente années de pratiques et d'activités ils semblent égarés, désorientés, dans maints zones de leur existence. Une certaine immobilité s'instaure. Ils ne progressent plus sur le chemin de l'Éveil.
Il en résulte que leur psychorigidité et leur mal être endémique deviennent répulsifs et perturbants. C'est flagrant quand ils cherchent à expliquer exhaustivement les tenants et aboutissants de la doctrine et de l'organisation. Leur foi est incohérente, en décalage avec l'état de leur vie. Les contradictions de leur discours mettent en évidence leur faible niveau d'étude bouddhique.
L'obédience à une idéologie a toujours conditionnée une attitude mentale proche du fanatisme. Cela conduit à l'abrutissement la personnalité qui s'y est soumise et qui obéit à ses modèles de comportements sociaux et culturels.
J'ai souvent observé chez ces croyant qui vivent dans la sphère d'influence de l'école de la SGI et adhèrent au culte du maitre à penser, que leurs différentes formes de dépendance à la doctrine, au groupe, au dirigeant, sont accompagnées de troubles psychologiques dégénératifs variés. Beaucoup sont concernés. Mais très rares sont ceux qui envisagent la pratique spirituelle comme intimement reliée à celle d'une psychothérapie.
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:18
Message : Et ben on a pas finir d'en lire des conneries sur la SG , c'est édifiant ! Le catalyseur de bien des phantasmes !
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 08:10
Message : Yvon a écrit :Et ben on a pas finir d'en lire des conneries sur la SG , c'est édifiant ! Le catalyseur de bien des phantasmes !
Et lire les "conneries" de votre "organisation" semble remplir votre esprit, qui n'apparait pas contenir grand chose d'autre

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 08:41
Message : Mais voyons la Soka Gakkai à part vous ça interesse qui ici ?
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 09:16
Message : Yvon a écrit :Mais voyons la Soka Gakkai à part vous ça interesse qui ici ?
Consultez donc un moteur de recherche !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 15:04
Message : Bonjour,
Je vais commencer par me présenter : j’ai 30 ans, non pratiquant et profondément athé. Je suis marié avec une pratiquante engagée qui pratique depuis plus de 15 ans ayant des responsabilités au sein de la SGK. Je me suis d’ailleurs marié dans une cérémonie bouddhique (après le civil bien sur). Si j’ai accepté le mariage bouddhique c’est simplement parce que je partage les mêmes valeurs prônées par cette philosophie et qu’en aucun cas, je n’ai du être converti, ni signer quoi que ce soit et encore moins dû pratiquer durant la cérémonie. Je le répète, je ne suis pas pratiquant ni croyant. Je n’ai pas cette « foi ».
Depuis bientôt quatre ans que j’ai rencontré mon épouse et c’est donc aussi la première fois que j’ai entendu parler du bouddhisme de nichiren. Elle m’en a parlé parce que moi j’étais curieux et dans son discours jamais elle ne tentait de me convaincre que sa croyance était LA verité mais bien la sienne et ce discours n’a toujours pas changé en 4 ans, elle respecte ma pensée comme je respecte sa croyance. Ma femme a bien entendu des amis pratiquants mais une de ses meilleures amies ne l’est pas(elle n’est pas une amie d’enfance, je veux dire par là qu’elles se sont rencontrés alors qu’elle pratiquait depuis de nombres années) D’ailleurs mon épouse a en très peu de temps créer un contact d’amitié fort avec mes amis qui pour la plupart sont tous comme moi, athés, ne se préoccupant pas de religion ou de philosophie. Je n’ai donc assisté à aucune forme de sectarisme que ce soit avec elle ou avec ses amis pratiquants. D’ailleurs entre nous, nous ne parlons bouddhisme que si c’est moi qui en parle. J’ai assister à quelques réunions (activités) et oui, j’ai entendu des personnes racontées que ça n’allait pas, qui parlaient des défaites plutôt que de victoire et les gens présent tentaient de les réconforter, il est vrai à travers des préceptes bouddhistes et c’est assez logique puisque ce sont des réunions dans un cadre défini, celui d’une même croyance. Ceux qui sont présent à ces réunions ne sont pas là pour remplacer les amis ou les parents, ils sont là pour encourager une démarche commune : celle de partager, de propager des valeurs pour la paix dans le monde et dans leur philosophie ça commence par soi.
Une organisation religieuse ou philosophique n’est pas une agora où l’on vient dans l’idée qu’on va se faire des amis ou trouver l’être chèr(e).Ca peut bien évidemment arriver mais ça ne pas peut être la motivation première…on ne pourra alors qu’être déçu.
Il y a une grande différence entre les 4 religions et leurs différents courants que nous connaissons tous (chretien-musulmane-judaisme -bouddhisme tibetain et indou) et la sokka ou autres organisations religieuse)les principales sont maintenant devenu culturel, toute personne née en europe a une éducation judéo-chrétienne, on l’amène à croire en dieu mais grâce à la laïcité de chaque pays, on nous offre le recul nécessaire pour y croire ou non. Adherer à la sokka, c’est tout d’abord une recherche personnel puisqu’elle ne nous est pas imposée d’emblée.
Maintenant, pour avoir de nouveaux adhérents, la SGK doit pouvoir nous séduire et sa « séduction » est le sutra du lotus et sa pratique. C’est là qu’on arrive dans le domaine de la « foi » Les pratiquants qui disent qu’il faut pratiquer pour s’éveiller, s’améliorer chaque jour, puiser en soi l’énergie qu’on possède ont raison dans la mesure où c’est leur croyance. De quel droit irais je leur dire qu’ils ont tort, un chretien a-t-il tort de prier Dieu ? les juifs ont-ils tort de ne pas travailler le vendredi ? etc…Ils pourraient très bien douté par moment mais ce n’est pas une obligation, beaucoup sont convaincus et n’ont jamais de raisons de douter.
Maintenant beaucoup diront que ceux qui sont convaincus ont été manipulés. Et c’est un fait, certaines organisations appelés plus communément « secte » ont manipulé des personnes fragiles et leur faisant couper tout leur lien avec leur famille et en leur enlevant toute identité. CE N’EST PAS LE CAS DE LA SGK.
La sgk est une organisation et doit donc s’organiser comme telle. Une organisation sans hiérarchie, sans responsable de secteur est indiscutablement vouée à l’échec. On ne peut donc pas lui faire le reproche de s’organiser.
Aussi, ma cérémonie bouddhique ne nous a pas coûté un centime, aucune quête n’a été demandée.
Enfin,Un bon nombre de gens pratiquent en dilettante sont toujours les bienvenu au centre sans qu’on les poussent à devoir en faire plus. Leur choix est respecté. Je tiens à dire aussi que lorsque qlq va mal, un pratiquant peut aussi bien dire que voir un psy peut être utile.
Cette philosophie d’avère souvent concrète avec cette part de foi à laquelle on croit ou non.
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 16:00
Message : Notre troll récent a amené une question à certains de nos esprits. Il a littéralement dit qu'il n'a pas admiré l'organisation - ici, permettez-moi de le citer:
"LOL Je n'admire définitivement pas le SGI."
Il a dit "LOL", alors nous savons qu'il le veut bien, bien que chacun de ses messages dégoulinent d'une sueur d'éloges, d'estime et d'émerveillement devant la grandeur de la mission de "l'organisation". Donc, s'il faut le croire, pourquoi ne ferait-il pas partie d'une organisation qu'il considère si bien? Lui, ou quelqu'un d'autre qui obtiennent un bonus spirituel quand ils la contemplent ?
c' est évidemment un menteur (et pas un très bon), mais qu'en est-il des autres animaux de compagnie SGI, ceux qui vénèrent les principes et la mission de SGI, mais n'ont pas signé ? De toute évidence, ils sont érudits, car ce n'est que leur propre décision qui les a tenus à l'écart de la catastrophe.
Au fil des ans, j'ai rencontré des membres qui étaient si abimés qu'ils ont du mal à fonctionner dans le monde réel; SGI n'est pas exactement pointilleuse sur qui elle prend en tant que membre. Tant que vous avez 35 $ pour "faire un don" pour votre gohonzon, leur seul autre souci est que vous soyez vivant et que vous puissiez rester assez longtemps en position semi-verticale pour passer à travers un gongyo rapide.
Si vous croyez vraiment en la mission d'une organisation, si vous avez une bonne opinion du travail que vous percevez, vous la rejoindrez - surtout quand c'est si facile, relativement peu coûteux et qu'il n'y a pas d'obstacles pour vous empêcher d'adhérer. Quiconque chante ces louanges mais n'en est pas membre est le pire des hypocrites ou bien un individu abusé ! Quiconque est un membre et ment à ce sujet est soit un lâche ou ne croit pas tout à fait aussi fort que vous le pensez !
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... eslaw_why/

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 16:14
Message : Non simplement un témoignage objectif , ca vous change n'est ce pas ?
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 16:18
Message : Yvon a écrit :Non simplement un témoignage objectif
Déjà répondu !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 16:24
Message : Oui c'est assez délirant , on retrouve toujours les mêmes causes et mêmes phantasmes paranoïaques.

Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 16:35
Message : Yvon a écrit :Oui c'est assez délirant , on retrouve toujours les mêmes causes et mêmes phantasmes paranoïaques.

Yvon se prends pour un psy !

Auteur : zeste de savoir
Date : 05 avr.18, 03:45
Message : Posté le 29/05/2008 à 09:47:09
Je me souviens encore du regard d'une pratiquante, atteinte d'un cancer, dans un état désespéré, quand elle a compris que ce n'était que des mensonges, qu'elle avait été abusée, et qu'elle allait mourir...
Les adeptes de Gakkai, n'ont pas plus de rémissions que les autres malades, c'est à dire environ un cas sur 10 000 en phase terminale, et que l'on ne connais pas les causes de ces rémissions, sinon qu'elles ne sont pas relatives aux ressouces mentales de l'individu...
J'ai connu trois membres de Gakkai, qui ont eu un cancer, et aucun ne s'en est tiré, peut-être en raison d'une détection tardive de la maladie...
Auteur : Yvon
Date : 05 avr.18, 05:51
Message : La mort fait partie de la vie .
Etre pratiquant ne rend pas immortel

preuve qu'il n'y a pas de magie et de miracle . On meurt tous de quelque chose , l'important n'est pas de savoir de quoi on meurt mais dans quel état de vie. Paisible ou pas , dans l'état de bouddha ou pas .
C'est notre dernier état de vie qui déterminera notre prochaine vie .
Auteur : algol-x
Date : 05 avr.18, 06:37
Message : Yvon a écrit :La mort fait partie de la vie .Etre pratiquant ne rend pas immortel

preuve qu'il n'y a pas de magie et de miracle . On meurt tous de quelque chose , l'important n'est pas de savoir de quoi on meurt mais dans quel état de vie. Paisible ou pas , dans l'état de bouddha ou pas . C'est notre dernier état de vie qui déterminera notre prochaine vie
Ça vous fait rigoler, moi pas ! Au regard des directives de la Soka Gakkai, crédibilisée par les adeptes enthousiastes dans les réunions, on peut appréhender le niveau de l'escroquerie ! et avec ses dénégations d'Yvon, le double langage de Gakkai !
Lorsque nous pouvons faire surgir le Nam-myoho-renge-kyo qui est à l’intérieur de nous, deux choses se passent : la première est que nous pouvons guérir n’importe qu’elle maladie, en d’autres mots cela agit comme un médicament. En général les médicaments prescrits agissent pour guérir un malaise bien précis ou un problème physique. Que nous ayons un mal de tête, un cancer ou des crises d’asthme, Nam-myoho-renge-kyo guérit tout. Le Sûtra que nous récitons dit que c’est le plus grand des médicaments ; l’autre pouvoir de daimoku lorsqu’il apparaît à l’intérieur de nous, est d’agir comme un aimant qui attire le bonheur. Dans le Gosho, Nichiren Daishonin dit : "Ceux qui croient en ce Sûtra s’attireront la bonne fortune de dix mille lieues à la ronde". Si nous désirons de l’argent, nous pouvons pratiquer pour cela, si nous n’avons pas de travail, la pratique nous conduira vers une nouvelle occupation ou un nouveau travail. Si nous désirons nous marier, nous trouverons un partenaire. Nous pouvons appeler chaque désir en récitant Nam-myoho-renge-kyo. Plus nous aurons de joie et de confiance, plus "l'aimant" deviendra fort... Auteur : Yvon
Date : 05 avr.18, 07:22
Message : C'est quoi votre source ?
Auteur : Ichinen29
Date : 05 avr.18, 07:30
Message : Opposition pathologique,....je crois qu'il ne reste que l'euthanasie dans ce cas désespéré?...sic!
Auteur : algol-x
Date : 05 avr.18, 07:36
Message : Yvon a écrit :C'est quoi votre source ?
C'est ce que j'ai vécu ! la personne 38 ans, était "kumicho" (responsable de sous-groupe) dans la zadankai (réunion de discussion) dont j'étais responsable et je l'ai accompagné le temps que j'ai pu !
Auteur : Yvon
Date : 05 avr.18, 07:56
Message : En 34 ans de pratique je n'ai jamais entendu ni lû ce genre de propos absurde .
C'est là ou intervient l'étude , la sagesse , suivre la loi et non la personne . Moi je préfère largement le SDL , les conseils de Nichiren.
C'est sur que si vous avez gobé ces paroles sans vous poser de questions et sans références solide , vous êtes une brebis bien naïve .
En 34 ans de pratique je suis tombé malade mais j'ai pratiqué , j'ai vu de bons médecins , j'ai eu de bon remèdes et j'ai guéri.
J'ai rencontré la femme qui me convenait au bout de 12 ans de pratique et j'ai 3 enfants en bonne santé . 1 s'est fait baptisé 1 a pratiqué light pendant 2 ans et le dernier rien .
Le bouddhisme c'est le bon sens .
Auteur : algol-x
Date : 05 avr.18, 08:13
Message : quand j'étais membre de Gakkai, tout mes postes à responsabilité m'ont persuadé à quel point j'étais important et accompli. J'avais une mission glorieuse pour sauver le monde je pouvais obtenir des avantages que d'autres personnes n'avaient pas!!
Le bouddhisme Nichiren est une religion, et il existe des dizaines de temples et d'organisations différentes dans lesquels les gens apprennent, enseignent et pratiquent cette religion. Soka Gakkai, d'autre part, est un culte qui utilise cette religion comme une couverture et une justification pour l'accumulation de la richesse, le pouvoir politique. Les membres ne reçoivent rien en retour, sauf une vision déformée du bouddhisme Nichiren, la pression des pairs, la manipulation émotionnelle, l'endoctrinement, des phobies, une croyance erronée selon laquelle l'appartenance à la SGI leur donne une mission spéciale dans la vie et un talent pour diaboliser tous les «ennemis du bouddhisme».
"Nous accomplissons une mission importante, donc même si les gens sont blessés par nos activités, tout ira pour le mieux à la fin."
Matilda Buck dit:
«Il serait tragique que même une seule personne ait trouvé le grand moyen de produire la bouddhéité, seulement pour combattre les ennemis de la Soka Gakkai, être détourné vers un autre chemin, apparemment similaire, qui est incapable de conduire cet individu à son bonheur le plus profond. » C'est l'essence de la tentative de l'organisation d'enchaîner les membres au mode de vie Gakkai.
Le groupe est élitiste, revendiquant un statut spécial et exalté pour lui-même, ses dirigeants et ses membres (par exemple, le leader est considéré comme le Messie l'éternel mentor, un être spécial, un avatar - ou le groupe et / ou le leader sont en mission spéciale pour sauver l'humanité, le groupe a une mentalité polarisée entre eux et les non membres, ce qui peut provoquer des conflits avec la société dans son ensemble.
SGI enseigne une version du bouddhisme de Nichiren, mais c'est une interprétation qui renforce la conviction que les membres de SGI sont en quelque sorte «choisis» pour sauver le monde, et que leur système de croyances est la religion unique, vraie et correcte pour tous les temps.
"Tous les membres de la division jeunesse sont des Bodhisattvas de la Terre qui ont pour mission de façonner un nouvel âge, mais vous, les membres de la division étudiante, qui avez suivi une formation académique avant de vous lancer dans la société, ont un rôle particulièrement important à jouer. J'espère que vous deviendrez la nouvelle colonne vertébrale de la Soka Gakkai, de grands leaders dans tous les domaines, au Japon, des hommes et des femmes d'une capacité exceptionnelle qui contribueront grandement au monde. "
Gagner par la foi en tant que "Héros du monde" SGI
" Vous avez une mission infiniment grande. Mais le résultat de votre vie sera complètement différent, selon que vous pouvez ou non reconnaître votre chance d'avoir une mission aussi profonde". Ikeda
Il est temps que quelqu'un prenne en main la tâche de répondre à la question du vieux Tomoji et aux questions de beaucoup comme lui au Japon et en Amérique et dans le monde qui s'inquiètent du pouvoir grandissant de Soka Gakkai, la secte religieuse qui non seulement menace de prendre le contrôle du Japon, mais revendique également une mission pour sauver le monde.
Pouah. Le lissage ... l'orgueil ... ça brûle ...
Nous avons été amenés à croire que, si nous quittions SGI, nos vies allaient directement dans les chiottes, nous n'éprouverions que des pertes, et nous serions si misérables que nous viendrions ramper vers SGI, en demandant pardon. .
Ikeda dit:
"Personne qui a quitté notre organisation n'a atteint le bonheur."
Toda:
"Pas une seule personne qui ne croit pas au vrai Bouddhisme aujourd'hui peut se dire heureuse, bien que dans leur obscénité, beaucoup pensent qu'ils sont contents."
Lors d'une rencontre Soka Spirit à Los Angeles, j'ai entendu le leader national de SGI-USA, Greg Martin, dire que les gens qui ne chantent pas ne peuvent tout simplement pas expérimenter le bonheur. Grotesque !
J'ai été membre de la SGI pendant un peu plus de 20 ans, et même si j'ai vu beaucoup de gens "disparaître", je n'ai jamais vu un seul "revenir ramper". Et je sais pertinemment que je ne le ferai jamais non plus !
https://www.reddit.com/r/ExSGISurviveTh ... sgi_would/ Auteur : Ichinen29
Date : 06 avr.18, 00:55
Message : Vous êtes visiblement passé à côté du sens de la pratique,de l'enseignement et de l'organisation,...dommage...
Auteur : zeste de savoir
Date : 06 avr.18, 04:14
Message : algol-x a écrit :Soka Gakkai, d'autre part, est un culte qui utilise cette religion comme une couverture et une justification pour l'accumulation de la richesse, le pouvoir politique. Les membres ne reçoivent rien en retour, sauf une vision déformée du bouddhisme Nichiren, la pression des pairs, la manipulation émotionnelle, l'endoctrinement, des phobies,
une croyance erronée selon laquelle l'appartenance à la SGI leur donne une mission spéciale dans la vie et un talent pour diaboliser tous les «ennemis du bouddhisme».
"Nous accomplissons une mission importante, donc même si les gens sont blessés par nos activités, tout ira pour le mieux à la fin."
Matilda Buck dit:
«Il serait tragique que même une seule personne ait trouvé le grand moyen de produire la bouddhéité, seulement pour combattre les ennemis de la Soka Gakkai, être détourné vers un autre chemin, apparemment similaire, qui est incapable de conduire cet individu à son bonheur le plus profond. » C'est l'essence de la tentative de l'organisation d'enchaîner les membres au mode de vie Gakkai.
SGI enseigne une version du bouddhisme de Nichiren, mais c'est une interprétation qui renforce la conviction que les membres de SGI sont en quelque sorte «choisis» pour sauver le monde, et que leur système de croyances est la religion unique, vraie et correcte pour tous les temps.
"Tous les membres de la division jeunesse sont des Bodhisattvas de la Terre qui ont pour mission de façonner un nouvel âge, mais vous, les membres de la division étudiante, qui avez suivi une formation académique avant de vous lancer dans la société, ont un rôle particulièrement important à jouer. J'espère que vous deviendrez la nouvelle colonne vertébrale de la Soka Gakkai, de grands leaders dans tous les domaines, au Japon, des hommes et des femmes d'une capacité exceptionnelle qui contribueront grandement au monde. "
J'ai été membre de la SGI pendant un peu plus de 20 ans, et même si j'ai vu beaucoup de gens "disparaître", je n'ai jamais vu un seul "revenir ramper". Et je sais pertinemment que je ne le ferai jamais non plus !
https://www.reddit.com/r/ExSGISurviveTh ... sgi_would/
Beau témoignage et tellement en phase avec ce que l'on peut constater ! Merci !

Auteur : algol-x
Date : 22 avr.18, 06:23
Message : Je me souviens de membres du SGI qui disaient qu'il n'y avait pas de sentiment de culpabilité dans le bouddhisme parce qu’il n’y avait pas de concept de Dieu: et donc qu’aucune entité ne vous «observait». Cependant, cela n'a aucun sens quand on vous dit que vous êtes responsable de tout ce qui vous arrive.
Si fondamentalement tout est «de votre faute», à mon avis, cela laisse autant de place à la culpabilité. Juste pour augmenter la confusion, ils mettent aussi en avant l’idée de «ganken ogo», qui signifie «accepter volontaire d'un karma difficile», dont le but est de «prouver la puissance du Gohonzon» - En surmontant un karma difficile par la pratique, nous sommes a nouveau fermement revenus sur le territoire de la dissonance cognitive.
Êtes-vous un lâche, un pécheur qui a commis tellement de mauvaises actions dans vos vies antérieures que votre vie est indescriptiblement difficile ou êtes-vous un noble Bodhisattva (saint bouddhiste) surgit de la Terre, qui a opté pour s’incarner dans cette période difficile pour valider les enseignements délirants de Nichiren? Une fois de plus, les membres de la SGI reçoivent leur invitation à devenir délirants.
De plus, si vous accordez du crédit au concept de la Loi Mystique, vous acceptez que tout ce que vous faites soit "enregistré" quelque part. Donc, cela ne fait pas une grande différence si vous acceptez la notion de Dieu ou celle de la loi mystique. La Loi Mystique est essentiellement Dieu sans voyeurisme de celui-ci…
Bien que le «bouddhisme» de Nichiren Daishonin (à peu près aussi bouddhiste que le pape peut l’être) propose à la fois la théorie que «Vous êtes le résultat de votre horrible karma ! et la théorie et que «vous avez choisi ce karma pour montrer au monde à quel point le mantra magique est efficace lorsqu’il est pratiqué devant le mandala magique», je me souviens très bien de l’attaque d’ arthrite rhumatoïde qui m'a clouée dans un fauteuil roulant après quelques années. C’était durant la première d'entre elles qu'un des membres japonais se permis de me tapoter la tête, me faisant sentir encore plus mal, en me disant "Je ne sais pas ce que vous avez fait, mais vous avez dû faire quelque chose de grave." Donc étant une ancienne pécheresse diabolique, je MERITAIS d’ avoir une maladie dégénérative très douloureuse et incurable… Quand vous déconstruisez le Nichirenisme jusqu'à ses éléments de base, ce n'est rien d'autre qu’une forme de sadisme.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... _examples/ Auteur : Yvon
Date : 22 avr.18, 08:25
Message : Que c'est drôle

Auteur : zeste de savoir
Date : 22 avr.18, 09:16
Message : Le plus drôle, ce sont surtout vos efforts pour les déprécier !
LOL - Trets. Nous nous sentions comme des privilégiés d'avoir suivi ces cours, lesquels n'étaient rien d'autre que des sessions intensives de lavage de cerveau. Je me souviens qu'ils conseillaient d'être très prudents sur le chemin du retour parce que nous serions «ouverts» à être dupés ou influencés par des étrangers alors que nous étions dans un tel état de vie élevé (ha ha) suite à ce passage. Il ne m'est jamais venu à l'esprit à ce moment, que nous avions précisément été mis en état d'être endoctrinés et manipulés par le SGI à l'occasion de cette session.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ideo_here/

Auteur : Yvon
Date : 22 avr.18, 12:42
Message : De mieux en mieux

Auteur : zeste de savoir
Date : 22 avr.18, 20:10
Message :
zeste de savoir a écrit :
LOL - Trets. Nous nous sentions comme des privilégiés d'avoir suivi ces cours, lesquels n'étaient rien d'autre que des sessions intensives de lavage de cerveau. Je me souviens qu'ils conseillaient d'être très prudents sur le chemin du retour parce que nous serions «ouverts» à être dupés ou influencés par des étrangers alors que nous étions dans un tel état de vie élevé (ha ha) suite à ce passage. Il ne m'est jamais venu à l'esprit à ce moment, que nous avions précisément été mis en état d'être endoctrinés et manipulés par le SGI à l'occasion de cette session.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ideo_here/

Observation intéressante - c'est un des effets de l'état de transe. Il peut être provoqué par quelque chose d'aussi simple que la répétition par cœur d'une pratique soit disant magique; le plus long gongyo était un excellent véhicule pour bercer l'esprit hors du mode de pensée critique et en mode hochant-la tête a tout. Il est certain qu'une expérience de «cours» intensif (qui incluait probablement une certaine privation de sommeil) contribuait à un état de suggestion durable.
c'est peut être une des raisons pour lesquelles les chiffres de SGI ont été si mauvais ces derniers temps? Parce qu'ils raccourcissent le gongyo, maintenant ils génèrent moins d'obéissance catatonique !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ideo_here/ Auteur : vic
Date : 22 avr.18, 21:04
Message : Observation intéressante - c'est un des effets de l'état de transe. Il peut être provoqué par quelque chose d'aussi simple que la répétition par cœur d'une pratique soit disant magique; le plus long gongyo était un excellent véhicule pour bercer l'esprit hors du mode de pensée critique et en mode hochant-la tête a tout. Il est certain qu'une expérience de «cours» intensif (qui incluait probablement une certaine privation de sommeil) contribuait à un état de suggestion durable.
c'est peut être une des raisons pour lesquelles les chiffres de SGI ont été si mauvais ces derniers temps? Parce qu'ils raccourcissent le gongyo, maintenant ils génèrent moins d'obéissance catatonique !
Pour moi la soka gakkaï fonctionne comme de
l'hypnose collective .
Par exemple on va t'emmener dans tout un tas
de suggestions mentales sur les pouvoirs de ce mantra et on va mettre en scène les anciens membres pour qu'ils racontent leur expérience avec ce mantra .
On sait également que dans le phénomène d'hypnose, en plus de l'importance de la suggestion il faut disons un catalyseur , qui peut être la voix d'une personne que l'on doit suivre ou un objet sur lequel on se concentre comme un pendule qui oscille ou une répétition en boucle d'un chant ou d'une même phrase .
Tout cela amène une transe hypnotique .
La personne ne pourra pas facilement se rendre compte que c'est un phénomène d"hypnose et qu'elle est manipulée d'autant que la mise en scène est graduelle et progressive et comme pour une hypnose ordinaire la personne va ressentir ce qui a été suggéré par induction .
En hypnose si il fait un froid glacial et qu'on suggère à la personne sous hypnose qu'il fait une chaleur caniculaire , cette chaleur caniculaire sera effectivement ressentie par cette personne .
Personnellement je ne nie pas les ressenti d'effets fabuleux du mantra dont les adeptes témoignent .
Je dis simplement que ce mantra n'a rien du tout de magique , et qu'il n'y a aucune énergie à l'intérieur et que ce ressenti est uniquement due à la suggestion mentale à laquelle l'adepte a été soumis . Mais l'hypnose ça fonctionne , mais vous n'avez pas besoin de ce mantra pour utiliser l'hypnose , ça peut être n'importe quel autre support . Le problème c'est que dans la soka gakkaï ce mantra est un prétexte pour manipuler la personne vers un gourou de la secte , en l'occurence IKeda et on fait basculer l'adepte dans une soumission aveugle et à d'autres idées très louches de haine envers les pratiquants des autres écoles .
Il est très important de se rendre compte que ce genre de méthode utilisée par la soka gakkaï n'a plus rien à voir avec du bouddhisme , puisqu'à la base bouddha enseignait la pleine conscience notamment à travers la méditation samatha et vipassana , pratiques qui évidemment ont disparu dans l'enseignement de la soka Gakkaï au profit d'une méthode d"hypnose collective et pour cause .....
Mais pour que cela puisse se faire il leur a fallu manipuler l'interprétation d'un Soutra , le soutra du lotus afin de justifier de la méthode de Nichiren afin de prétendre qu'elle est la seule vraie méthode d'enseignement de Bouddha et que les autres enseignements sont caducs ou faux ou inférieurs .
Auteur : Yvon
Date : 23 avr.18, 08:07
Message : Ah le délire phantasmagorique ! tu m'en dira tant !

Auteur : zeste de savoir
Date : 23 avr.18, 08:53
Message : vic a écrit :
Pour moi la soka gakkaï fonctionne comme de l'hypnose collective .
Par exemple on va t'emmener dans tout un tas de suggestions mentales sur les pouvoirs de ce mantra et on va mettre en scène les anciens membres pour qu'ils racontent leur expérience avec ce mantra .
On sait également que dans le phénomène d'hypnose, en plus de l'importance de la suggestion il faut disons un catalyseur , qui peut être la voix d'une personne que l'on doit suivre ou un objet sur lequel on se concentre comme un pendule qui oscille ou une répétition en boucle d'un chant ou d'une même phrase .
Tout cela amène une transe hypnotique .
La personne ne pourra pas facilement se rendre compte que c'est un phénomène d"hypnose et qu'elle est manipulée d'autant que la mise en scène est graduelle et progressive et comme pour une hypnose ordinaire la personne va ressentir ce qui a été suggéré par induction .
En hypnose si il fait un froid glacial et qu'on suggère à la personne sous hypnose qu'il fait une chaleur caniculaire , cette chaleur caniculaire sera effectivement ressentie par cette personne .
Personnellement je ne nie pas les ressenti d'effets fabuleux du mantra dont les adeptes témoignent .
Je dis simplement que ce mantra n'a rien du tout de magique , et qu'il n'y a aucune énergie à l'intérieur et que ce ressenti est uniquement due à la suggestion mentale à laquelle l'adepte a été soumis . Mais l'hypnose ça fonctionne , mais vous n'avez pas besoin de ce mantra pour utiliser l'hypnose , ça peut être n'importe quel autre support . Le problème c'est que dans la soka gakkaï ce mantra est un prétexte pour manipuler la personne vers un gourou de la secte , en l'occurence IKeda et on fait basculer l'adepte dans une soumission aveugle et à d'autres idées très louches de haine envers les pratiquants des autres écoles .
Il est très important de se rendre compte que ce genre de méthode utilisée par la soka gakkaï n'a plus rien à voir avec du bouddhisme , puisqu'à la base bouddha enseignait la pleine conscience notamment à travers la méditation samatha et vipassana , pratiques qui évidemment ont disparu dans l'enseignement de la soka Gakkaï au profit d'une méthode d"hypnose collective et pour cause .....
Mais pour que cela puisse se faire il leur a fallu manipuler l'interprétation d'un Soutra , le soutra du lotus afin de justifier de la méthode de Nichiren afin de prétendre qu'elle est la seule vraie méthode d'enseignement de Bouddha et que les autres enseignements sont caducs ou faux ou inférieurs .
Bourrage de crâne et déni pour le reste ! C'est largement suffisant pour conditionner un esprit moyen à vie !
Que ce soit dans ce groupe soi disant bouddhiste ou dans n'importe quelle secte ou religion à prétention universelle !

Auteur : Yvon
Date : 27 avr.18, 09:25
Message : [Edit]
Auteur : algol-x
Date : 28 avr.18, 23:11
Message : vic a écrit :Pour moi la soka gakkaï fonctionne comme de l'hypnose collective .
Par exemple on va t'emmener dans tout un tas de suggestions mentales sur les pouvoirs de ce mantra et on va mettre en scène les anciens membres pour qu'ils racontent leur expérience avec ce mantra .
On sait également que dans le phénomène d'hypnose, en plus de l'importance de la suggestion il faut disons un catalyseur , qui peut être la voix d'une personne que l'on doit suivre ou un objet sur lequel on se concentre comme un pendule qui oscille ou une répétition en boucle d'un chant ou d'une même phrase .Tout cela amène une transe hypnotique .
La personne ne pourra pas facilement se rendre compte que c'est un phénomène d"hypnose et qu'elle est manipulée d'autant que la mise en scène est graduelle et progressive et comme pour une hypnose ordinaire la personne va ressentir ce qui a été suggéré par induction .
En hypnose si il fait un froid glacial et qu'on suggère à la personne sous hypnose qu'il fait une chaleur caniculaire , cette chaleur caniculaire sera effectivement ressentie par cette personne .
Personnellement je ne nie pas les ressenti d'effets fabuleux du mantra dont les adeptes témoignent .
Je dis simplement que ce mantra n'a rien du tout de magique , et qu'il n'y a aucune énergie à l'intérieur et que ce ressenti est uniquement due à la suggestion mentale à laquelle l'adepte a été soumis . Mais l'hypnose ça fonctionne , mais vous n'avez pas besoin de ce mantra pour utiliser l'hypnose , ça peut être n'importe quel autre support . Le problème c'est que dans la soka gakkaï ce mantra est un prétexte pour manipuler la personne vers un gourou de la secte , en l'occurence IKeda et on fait basculer l'adepte dans une soumission aveugle et à d'autres idées très louches de haine envers les pratiquants des autres écoles .
Il est très important de se rendre compte que ce genre de méthode utilisée par la soka gakkaï n'a plus rien à voir avec du bouddhisme , puisqu'à la base bouddha enseignait la pleine conscience notamment à travers la méditation samatha et vipassana , pratiques qui évidemment ont disparu dans l'enseignement de la soka Gakkaï au profit d'une méthode d"hypnose collective et pour cause .....
Mais pour que cela puisse se faire il leur a fallu manipuler l'interprétation d'un Soutra , le soutra du lotus afin de justifier de la méthode de Nichiren afin de prétendre qu'elle est la seule vraie méthode d'enseignement de Bouddha et que les autres enseignements sont caducs ou faux ou inférieurs .
zeste de savoir a écrit : Bourrage de crâne et déni pour le reste ! C'est largement suffisant pour conditionner un esprit moyen à vie !
Que ce soit dans ce groupe soi disant bouddhiste ou dans n'importe quelle secte ou religion à prétention universelle !

Ce qui est flippant, c'est quand on s’aperçoit, parfois longtemps après le départ de la SGI, de ce qui a été intégré subliminalement, on comprends que l'on a été abusé, et victime d'un véritable viol psychique !

Auteur : Yvon
Date : 29 avr.18, 00:03
Message : on ne peut rien contre les cons comme Algol , question de surnombre

Auteur : algol-x
Date : 29 avr.18, 06:07
Message : Yvon a écrit :on ne peut rien contre les cons comme Algol , question de surnombre
Rectification: outre votre auto-victimisation, vous ne pouvez rien contre la liberté d'expression, les choses finissent toujours par se savoir (cf. le mythe du roi Midas) ! les grossièretés que vous proférez en guise d'arguments ne démontrent que vos propres limitations, ! merci de la démonstration !
Bien à vous !

Auteur : Yvon
Date : 29 avr.18, 06:12
Message : [Edit]
Auteur : algol-x
Date : 29 avr.18, 06:28
Message : Message effacé par mes soins !

Auteur : Yvon
Date : 29 avr.18, 07:43
Message : [Edit]
Auteur : algol-x
Date : 29 avr.18, 09:55
Message : Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ?context=3 Auteur : Yvon
Date : 30 avr.18, 02:00
Message : Toujours du trés grand mensonge
Auteur : zeste de savoir
Date : 30 avr.18, 02:50
Message : algol-x a écrit :Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ?context=3
Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...

Auteur : algol-x
Date : 30 avr.18, 06:29
Message : algol-x a écrit :Je me souviens que j'ai pratiqué à fond pour faire face à une situation financière difficile sans résultats. C'était douloureux et frustrant, et les membres ne cessaient de me demander si je pratiquais assez ou de manière cohérente. C'est curieux, ont-ils dit , puisque je faisais gongyo deux fois par jour et que je pratiquait pendant des heures. On m'a aussi dit de faire plus d'activités. Super, puisque je prenais une heure et demie pour aller au centre-ville de Chicago au centre SGI.
Quand j'ai quitté le SGI, un ami adepte m'a dit la raison pour laquelle ils harcèlent les gens pour qu'ils reviennent. Il m'a dit quelque chose à propos des gens qui ont des malheurs ou qui se suicident . Bizarre que l'ami d'un ami se soit suicidé alors qu'il était encore membre !
Je suis aussi fatigué du terme «mystique» chaque fois que les choses semblent se passer en douceur pendant une journée. La psychologie a montré que lorsque nous établissons des intentions de succès et agissons, le succès arrive, pas besoin d'un mandala ou d'un mantra. C'est nous qui augmentons nos possibilités de faire mieux.
Nous avons avec ma mère, pratiqué pendant des heures et des heures tous les jours. Je dormais sur une chaise comme elle. Nos vies ne se sont jamais améliorées, pas d'un seul centimètre. Des choses pénibles nous sont arrivée , aucun membre n'a voulu nous aider et on a blâmée ma mère sous le prétexte qu'elle n’étudiait pas suffisamment ou quelle ne participait pas assez aux réunions.
Dans les réunions j'étais déprimée parce que nos vies semblaient nulles et que la pratique mantrique n'était pas efficace. Je pensais juste que c'était mon quartier et déménagé à des milliers de kilomètres de là et je pensais que ce serait différent, mais la vie est intrinsèquement injuste et pleine de souffrance. Nous allons de l'avant avec des événements aléatoires combinés avec un travail acharné, Je ne connais pas d'autre moyen, la pensée positive m'aide à faire face aux échecs, mais cela n'amène certainement pas le succès.
Mais cependant je vais mieux, j'ai des moments aléatoires où je pense à réciter le mantra mais je ne le fais pas..
https://www.reddit.com/r/SGIcultRecover ... ?context=3
zeste de savoir a écrit :Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...
Certes ! la dialectique des organisations totalitaire se ressemblent, en ex-urss les opposants étaient internés en HP, la soka gakkai les traitent de malades mentaux !

Auteur : zeste de savoir
Date : 30 avr.18, 08:01
Message : zeste de savoir a écrit :Merci pour ces témoignages d'anciens membres, la réaction qu'ils suscitent rappelle celle des communistes dans les années 50, quand certain(e)s sont revenus d'URSS disant que ce n'était pas le paradis annoncé. Les militants les plus acharnés, leurs sont tombés dessus pour les insulter et les accuser de tout les maux, trahison, mensonge, dépression, délire, problème psychiques...
algol-x a écrit :
Certes ! la dialectique des organisations totalitaire se ressemblent, en ex-urss les opposants étaient internés en HP, la soka gakkai les traitent de malades mentaux !

Les structures totalitaires ont tendance à attirer le même genre d'individus qui finissent par générer les mêmes comportements !

Auteur : zeste de savoir
Date : 13 mai18, 04:12
Message : Comment je suis finalement devenu "Taitan" :
J'étais un nouveau venu à Los Angeles en 1985 - j’étais parti de New York pour étudier la musique et jouer dans des groupes de rock. Je n'avais rien, je ne possédais rien. Aucun argent, aucune propriété, j’étais parti du collège pour déménager là-bas et me débrouiller par moi meme.
Je n'avais aucune famille ou amitié là-bas. J'étais complètement seul dans une grande ville à l'âge de 20 ans.
(C'est l'état vulnérable typique de ceux qui rejoignent SGI, rarement les personnes en bonne santé avec des liens sociaux forts.)
Donc, après avoir reçu mon gohonzon au Temple de Los Angeles en 1986, et l'encouragement que non seulement cela m'aiderait à survivre et m'apporter ce dont j'avais besoin, cela pourrait aussi «faire de mes rêves une réalité». Avec ces choses à l'esprit, j'ai commencé un voyage de près de 3 ans de pratique difficile.
La SGI est devenu à peu près toute ma vie sociale, et ma "famille". J'ai fait tout ce qu'il fallait pour, et ce pour plusieurs raisons, mais le fait d'avoir simplement des contacts humains et de faire partie d'un lieu où je pouvais aller et avoir des relations sociales y était pour beaucoup.
Mais surtout ... des choses se sont passées quand j'ai pratiqué et parlé aux gens. Des choses inhabituelles. Synchronicités.
Oui, je vois maintenant les vérités évidentes de la "rationalisation en arrière" et du "biais cognitif" (SI quelque chose de bien se passe, c'est parce que vous avez pratiqué ... SI cela n'arrive pas ou quelque chose de douloureux arrive parce que c'est votre karma "OU" vous le faites dans le mauvais sens "). Ces distorsions cognitives font partie de la nature humaine et sont inévitables ...
Cependant, je suis et ai toujours été hyper vigilant à ne pas croire en B.S, et en esprit critique comme un scientifique: j'ai plongé profondément dans la pratique pour la tester. S'il y avait quelque chose, j'étais sacrément déterminé à le savoir, indépendamment de toute organisation.
Donc, des choses sont arrivées. Parfois c'était bizarre, parfois hilarant, parfois douloureux, parfois profond, et toujours profondément lié aux problèmes de ma vie concernant la société, les gens, les émotions, l'argent, l'amour. Et donc j'ai continué.
Au fil du temps, j'ai commencé à remettre en question toutes les choses dont vous et d'autres avez parlé dans ce fil. La pression constante pour se conformer et à faire de plus en plus d"activités", et le manque de considération pour mes propres besoins personnels et d'avoir une vie en dehors de SGI. La pression constante pour se conformer à la structure organisationnelle, leur façon de penser, leur façon de percevoir la réalité.
Les personnes que j'ai côtoyées dans l'organisation, que j'ai appelées "drones organisationnels": utilisaient toujours « le discours particulier à la SGI" et "le maniérisme SGI". En communiquant avec eux, je revenais de plus en plus avec l'impression d'avoir affaire à des automates. Une de ces choses que vous voyez dans l'exposition présidentielle à Disney.
Comme si à un moment précis, ils avaient complètement cessé de penser par eux-mêmes et de développer une personnalité indépendante ... ou ils n'étaient jamais assez forts pour commencer à avoir un véritable "esprit de recherche" ou découvrir qui ils étaient uniques. Cela m'a vraiment dérangé. Parce que cela a été et a toujours été l'une de mes bêtes noires (SOYEZ-VOUS et ne soyez pas faux), parce que je peux sentir instinctivement l'hypocrisie à un km.
Mais j'avais mes propres problèmes avec l'argent, des filles, et d'autres choses et ... j'avais ces expériences personnelles ... et donc comme une carotte sur un bâton, la pratique était toujours là, créant l'espoir que je plantais les causes de changer ma vie à un niveau très profond. Et donc j'ai continué à courir après cette carotte malgré mes doutes.
Les plus assidus dans la pratique me connaissaient personnellement, connaissaient mes doutes, les acceptaient comme naturels, me donnaient un feedback sur les choses que je vivais (« La chose la plus importante est ton lien avec le Gohonzon: continue de chanter et de faire du shaka-buku et tu réussiras, tu verras ") ... ils m'ont donné des encouragements qui s'appliquaient à ma situation et cela m'a aussi permis de continuer.
Vers 1987 ou 1988, il y a eu un grand voyage à Seattle. J'étais un AMJ (Division des jeunes hommes), et ils nous préparaient à partir. Mais j'étais fauchéé. A l'époque je vivais à West LA dans une maison avec 5 autres personnes - non membres - et un jeune, Larry,qui était membre - mais le reste était des étudiants etc - et c'était une maison de fous, une maison de fête, des colocataires emménageant et partant chaque semaine. J'ai oublié qui était sur le bail ou même si nous en avions un.
Nous avons eu le projet de faire un show où nous faisions une pyramide humaine sur des patins à roulettes. Apparemment nous cherchions à battre le record du monde en faisant cela, lol.
Parce que je suis un grand gars (plus de 1,80), cela m'a mis au niveau inférieur avec les autres grands. Je portais les patins, avec un panneau sur l'épaule que tous les autres niveaux pouvaient supporter. Et donc nous ferions ces activités un week-end, où nous serions traînés hors du lit à 5 heures du matin !
"Défiez votre négativité! C'est une bonne cause pour Kosen Rufuuuu !!!!" arg!) c'est à dire, allez quelque part, pratiquer, faire de la gymnastique en grands groupes tôt le matin, puis nous tuer au soleil alors que les gars grimpaient sur les planches (avaient-ils une assurance lol? Je n'en ai aucune idée).
Et tout le long du chemin, je leur ai dis que j’étais fauché. Et ils continuaient de me dire que je plantais la cause qui me permettrai de sortir de ma situation financière actuelle. Que c’était le cas, parce que c'était lié à la pratique de travailler avec d'autres pour changer le karma du monde, que cela influencerait directement ma situation personnelle. Ils semblaient assez sûrs d'eux-mêmes. Alors j'ai continué à y croire.
Quand le temps est venu de payer pour le billet d'avion et le coût du voyage (qui était d'environ 400 $ je crois) - j'ai atteint le stade où je devais prendre une décision. J'avais déjà investi tout ce temps de sang de sueur et de larmes dans cette activité folle. J'avais vraiment, vraiment de sérieux problèmes avec l'argent et aussi avec ma vie quotidienne. Je pouvais soit :
A) Faire la chose responsable et payer mon loyer, ou
B) Faire confiance à la pratique ... et espérer un miracle.
J'ai reçu des conseils de tout le monde. Mes dirigeants de district, les chefs de section, les hauts dirigeants ... ils ont tous dit la même chose. "Allez-y, cela va changer votre karma!"
Alors je leur ai donné l'argent et je m'envolais pour Seattle …
... et ainsi, vers la fin de l'été de (1988?) j'ai remis tout mon salaire - tout l'argent que j'avais au monde - la somme d'environ 400 - 500 $ ou plus - à mes chefs de chapitre et nous nous sommes tous retrouvés prêts pour monter à bord d'un avion afin de participer à cette grande réunion commémorant "une chose ou une autre à voir avec la paix dans le monde" à Seattle.
À l'époque, je vivais à Brentwood, à West Los Angeles, près de Wilshire et de Brentwood Ave, à environ un kilomètre et demi du centre communautaire de Santa Monica. Je vivais dans cette maison avec une rotation de personnages, des étudiants et des jeunes au hasard qui avaient répondu à l'annonce pour l'endroit, seul un de mes colocataires était un membre aussi, Larry qui est aussi allé à Seattle avec nous si je me souviens bien.
Je travaillais pour un fleuriste de la ville de Brentwood en haut de la colline de notre place à l'époque, livrant des bouquets tout autour du West Side de Los Angeles. J'ai pris congé du boulot et j'ai pris l'avion pour Seattle avec les autres membres pendant quelques jours.
Le voyage réel était entièrement au service de l'organisation; Je ne me souviens pas de grand choses à part le voyage en ville depuis l'aéroport, voyant Seattle et le Space Needle à travers le brouillard et la pluie de la fenêtre du bus sur le chemin ... une chambre d'hôtel où ils nous ont servi un déjeuner emballé dans des boîtes de papier (je pense qu’il s’agissait d'un sandwich sur du pain blanc, une pomme, peut-être quelques frites, etc.).
Ce n'était pas vraiment un voyage d’agrément. Je n'ai jamais vu ou connu de Seattle autre chose que ce voyage en bus, l'hôtel, le centre de convention, et le retour vers Los Angeles de la même façon. Je me souviens avoir été vraiment fatigué par tout ce stress à cette époque ... et de m'inquiéter de ce qui allait m’ arriver à mon retour.
Alors, nous avons fait cette énorme pyramide sur le plancher d'un immense centre de congrès devant des milliers de membres. Tout ce dont je me souviens de ce moment, c'est une grande pièce obscure avec un éclairage de scène autour de nous et des acclamations, et moi debout sur le bas d'une pyramide, avec au dessus environ 3000 livres de gars debout sur des patins à roulettes; Tout ce poids sur mes bras et mes épaules (et me répétant) « reste concentré, reste concentré, tiens le coup et assure-toi que personne ne tombe ... ce sera finit dans une seconde, tiens encore le coup !" lol
Et c'est tout. Nous sommes rentrés ensuite à la maison. Et durant tout le chemin du retour dans l'avion, je me demandais ce que je devinerai quand je reviendrais ...
D'où le miracle allait-il provenir? Où allais-je trouver le loyer? Est-ce que j'allais avoir assez à manger? Qu'est-ce qui allait se passer ....?
Le bouddhisme et l'ensemble de la machinerie SGI m'avaient convaincu que je serais protégé par le Shoten Zenzin et que la loi naturelle ferait en sorte que tout se passe en ma faveur à la fin. Mais cela mettait à l'épreuve le bon sens ordinaire bien au-delà ce que pouvait penser une personne ordinaire raisonnablement intelligente.
Eh bien ... je suis rentré à Los Angeles et ...
Je n'ai pas eu d’agent pour payer le loyer... Je n'avais pas d'argent pour manger ou faire quoi que ce soit jusqu'à ce que je reçoive mon prochain salaire, lequel était environ une semaine plus tard.
Mais ... Je pourrais survivre d'une façon ou d'une autre: ils pourraient attendre un peu pour le loyer, et j'avais des amis ou des colocataires et d'une manière ou d'une autre je pourrais avoir assez à manger.
Mais ce fut bien pire que ça. D'une manière ou d'une autre ... l'instant était tel que tout le monde dans cette maison où je vivais - pour une raison ou une autre - était en train de partir ce mois-ci. Celui-ci était transféré dans une nouvelle école; celui-là avait trouvé un nouvel endroit ailleurs; cet autre était de retour à la maison avec les parents ... environ 5 autres personnes ... partis.
Et m’avaient quitté. Sans argent pour le loyer et sans argent pour trouver un nouvel endroit où vivre. Avec toute ma famille de l'autre côté du pays, et pas d’amis depuis longtemps à Los Angeles qui m'hébergeraient...
Je n'avais pas d'endroit où aller.
A 23 ans: tout d'un coup j'étais sans abri à Los Angeles.
Et la SGI était à peu près tout ce que j'avais. Comment ont-ils répondu?
[... arghhh ... à suivre!]
[je continue mon expérience - partie III]
C'était à la fin de l'été 1987 quand je suis retourné à Los Angeles après un week-end à Seattle avec le YMD de la NSA pour ce grand rassemblement de convention / célébration / promo que nous avons fait. Et le bon sens vous dirait, qu'après avoir donné presque chaque centime à la NSA et la SGI pour le voyage ... avec le loyer dû ... et tous mes colocataires (timing, loi de Murphys) quittant simultanément notre maison ..... que je n'aurais rien quand je suis revenu. Et bien sûr, c'est exactement ce qui est arrivé. Il n'y a eu aucun miracle de l'univers pour me protéger de ma propre crédulité dans ces circonstances. Et il n'y a pas eu non plus de changement soudain miraculeux dans l'égoïsme inhérent, le manque de compassion et l'irresponsabilité de la nature humaine - en vertu du fait que les dirigeants qui m'encourageaient et qui me poussaient à partir faisaient partie de cette organisation depuis longtemps et ne me donnaient que des conseils qui étaient fermement contre le bon sens.
J'étais sans-abri. Je n'avais nulle part où aller, vraiment. Et pendant les jours d'urgence immédiate et le chaos qui ont suivi mon retour, je n’étais plus qu'un jeune psychologiquement et émotionnellement paniqué par tout cela. Et bien c’est gens m’ont tous tourné le dos, ces gens avec qui j'avais passés 2-3 années de ma vie, avec ma "famille" de district qui m'avait accueilli dans leurs maisons, m'encourageaient à chanter, faire gongyo, shaka-buku, me sortir du lit à 4 heures du matin pour aller à des activités, m'ont conduit à des réunions dans toute la ville, m’ont appelé pendant les moments où j'avais des doutes sur la pratique pour de longues conversations, discuté avec moi, aidé quand j'essayais de commencer cette pratique ... Ces gens qui étaient une partie intime de ma vie, qui étaient mes amis les plus proches et mes confidents à bien des égards .. mon district local ... ces gens se sont évaporés comme des couards quand ils ont été confrontés à la réalité de ce qui m'est arrivé. A ce moment, comme je le disais je travaillais comme aide-vendeur et livreur pour un fleuriste sur la route de Brentwood. Alors, ayant nulle part où aller, et sans en parler à mon patron (parce que j'étais gêné par ma situation) ... J'ai utilisé le camion de livraison pour emballer les petits objets de ma maison et les mettre au sous-sol du magasin. Puis je me suis faufilé dans le minuscule sous-sol du fleuriste par la porte arrière pour y dormir durant la nuit. Le sol était en béton et dur. J'ai utilisé une lampe de poche pour lire des trucs au hasard - les romans de Stephen King (je lis "IT" dans ce sous-sol LOL), des vieux World Tribunes, une copie du Gosho. Puis je me levais pendant des jours, je me promenais autour du bâtiment et je rentrais travailler - gagner de l'argent - et survivre un autre jour. Un matin, je me souviens que mon patron ouvrit brusquement la porte et entra dans le sous-sol, me voyant sur le sol ... me regarda, puis sorti en ne disant rien. Il n'était pas trop content de tout ça, mais je pense que fondamentalement c’était un type bien qui a réalisé que je ne nuisais à personne, et voulait juste avoir une chance pour survivre. Les membres de mon district savaient ce qui se passait ... mais n’avaient rien de plus aidant pour moi que de me dire "Ceci est votre karma, pratiquez plus" ou "Faites votre révolution humaine" et autres platitudes. Je n'ai jamais entendu, de quiconque: "Est-ce que ça va" ou "Je suis désolé de ce qui vous est arrivé ... Y a-t-il quelque chose que je puisse faire?" "Hé je connais quelqu'un qui a besoin d'aide à sa boite, vous pouvez gagner de l'argent là-bas pour vous sortir de cette situation "Personne ne m'a apporté de la nourriture. Personne ne m'a donné de conseils pratiques qui me soient utiles, ou est sorti de sa routine pour me ramener et m'emmener à leur maison, ou se sont simplement assis là et m'ont écouté comme un ami qui se soucieraitt de moi pendant cette crise. Seul, les mêmes vieilles platitudes de la SGI sur le karma et la révolution humaine, etc. ... ou ils m'évitaient de manière visible aux réunions parce qu'ils ne savaient pas quoi dire. Il n'y avait aucune compassion, d'aide et d'amour de la part de ces gens. Autre que ... une seule: une fille, une JMJ dans la pratique - autour de mon âge ... nous avons commencé à passer du temps ensemble et nous avons fini par nous brancher - j'ai commencé à rester chez elle et à déménager du sous-sol - et elle est devenu ma petite amie durant les deux prochaines années. Donc, nous sommes tombés amoureux et elle m'a aidé ... CONTRE la politique NSA et SGI (nous étions tous deux membres dans le même district). Et de cette façon je me suis sorti de cette situation. Peu après mon retour de Seattle je suis devenu "taitan". Pourquoi ne l’aurai je pas fait ? les masques étaient tombées, ces gens m'avaient abandonné. Ils n'étaient pas ma "famille". Ils n'étaient pas mes "amis" comme on me laissait croire habituellement. C'était juste des gens avec qui j'ai fait des trucs, que j’ai payé pour soutenir leurs activités, à qui j’ai donné mon énergie et mon temps libre pour soutenir ce qu’ils faisaient. Mais ils se moquaient de moi et de mon bien-être. Après avoir essayé pendant un certain temps de me faire revenir, ils ont fini par abandonner quand je les ai constamment appelés sur leur BS Cet argent pour Seattle aurait payé un acompte pour un nouvel endroit. Ils m'ont encouragé à faire une croix sur leur activité, quand je suis revenu à Los Angeles et qu’ ils m'ont abandonné quand j'étais sans-abri. Fin de l'histoire. Ils n'avaient aucune excuse, alors ils m'ont laissé partir. Au cours de ma dernière année à Los Angeles, je ne me souviens pas d'avoir eu de contact avec aucun d'entre eux. Une fois que je suis devenu taï-tan, ils ont disparu et je n'ai plus jamais entendu parler d’eux.
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ed_sgiusa/ Auteur : Ichinen29
Date : 14 mai18, 00:08
Message : Cette "expérience "est en effet navrante,...En ce qui me concerne et parce que je pratique en fonction de l'enseignement et non des personnes (suivre la Loi et non la personne")...je continue encore aujourd'hui,...il y a en effet (comme dans le monde) des comportements aberrants partout, bouddhisme ou non,...si je me base sur ces personnes, j'arrête immédiatement, mais parce que mon choix est personnel et ne dépend de personne je suis libre,...notamment de dire leur 4 vérités à quelques uns. Les 3 présidents de la Soka ne se sont jamais gêné de réprimandé vertement les mauvais comportement de mauvais responsables...Tout le monde fait sa révolution humaine dans la soka et il convient de toujours faire le point sur ses motivations personnelles (Foi ,Etude, Pratique)...Lisez bien le Gosho,..Nichiren insiste sur le fait qu'il n'est nullement responsable si nous n'avons pas de bienfaits,...il nous donne un enseignement, à nous de le mettre en pratique)...c'est sûr, ce n'est pas évident...
Auteur : zeste de savoir
Date : 14 mai18, 03:34
Message : Non ce n'est pas une exception, puisque vous etes conditionné à penser que vous aurez une retour karmique positif avec tous ces dons !
Le fait est qu'une fois l'argent donné, la sgi ne vous doit rien, et le jour ou vous réveillerez et bien vous vous réveillerez !
Blanche Kizno 02/18/2014
Je suis parti depuis 4 ans maintenant, presque exactement, et j'en ressens toujours l’impact. Vous savez comment votre esprit se concentre sur quelque chose ? Je me suis entrainé à réciter le mantra dans mon esprit et je me sens toujours en défaut quand ça revient. Je l’interrompt, mais je n’y ai rien substitué, donc je suppose que ce n'est pas une surprise que ça persiste. J'ai inséré la récitation dans mes pensées pour remplacer l'endoctrinement chrétien, les hymnes. L'une des raisons pour lesquelles ces groupes scandent des chants et des récitations, c'est parce que ceux ci tournent ensuite dans les esprits - pensez aux spots publicitaires dont vous vous souvenez de votre enfance. POURQUOI vous souviendriez-vous de cela, et pas d’autres choses ?? Mais cela fonctionne. C'est le pouvoir de la musique et du rythme.
J'ai lu le même article, et cela correspond très bien à la SGI. La collecte de fonds agressive; la flatterie, la peur, la culpabilité; et les exhortations répétées à ne jamais quitter l'organisation. Que le vrai bonheur ne peut se trouver que dans l’orbite de l'organisation. Vous devez être un satellite, en d'autres termes - la position du soleil a déjà été prise. Par Ikeda.
"Si nous voyageons dans l'orbite de" la foi égale la vie quotidienne ", toutes nos prières recevront certainement une réponse." - Encouragement quotidien de Daisaku Ikeda, le mardi 8 juillet 2014
Erf, vraiment? Par magie? Cela signifie que si nous n'obtenons pas quelque chose pour lequel nous prions sincèrement, cela signifie que nous n'avons pas la « bonne orbite ». Nous commettons une erreur en d'autres termes. Et le hamster court toujours plus vite dans sa roue ...
"Il est donc important que nous sauvegardions ce précieux mouvement par notre soutien financier, afin que nous puissions nous rassembler, communiquer les uns avec les autres et construire une organisation unie et efficace." - Matilda Buck, ancienne responsable des femmes de SGI-USA
« J'étais un étudiant diplômé pauvre vivant d’un semestre à l’autre, ne sachant pas si je pouvais réellement me permettre de terminer mes études supérieures. Malgré cela, je me souviens distinctement debout au coin d'une rue à Berkeley, en Californie, avec mon chef de section SGI-USA, qui m’a dit: "Je pense qu'il est temps pour vous de commencer à penser à faire une contribution financière mensuelle à l'organisation pour créer de la bonne fortune pour votre vie. Ayez la détermination de continuer, peu importe la difficulté de votre situation."
J'ai décidé de commencer à contribuer chaque mois à notre organisation et je n'ai pas arrêté depuis. Exactement comme il l'a dit, cet acte d'offrande est devenu la source d’une grande fortune.
Environ un an plus tard, le SGI-USA a annoncé qu'il accepterait des contributions pour construire le Centre Culturel Mondial. À ce moment-là, j'étais tellement fatigué de vivre dans la pauvreté. Comme nous n'avions pas d'assurance, ma femme a dû quitter l'hôpital le jour de la naissance de notre premier enfant. Nous avons déterminé que nous devions faire quelque chose pour surmonter nos difficultés financières. Nous avons décidé de prendre tout l'argent que nous avions réussi à économiser pour les frais de scolarité du semestre suivant, qui n'était pas assez suffisant de toute façon, et nous y avons contribué avec une grande fierté, afin qu'au moins une porte dans le bâtiment puisse être achetée grâce à nos efforts.
Je crois que c'est cette détermination qui nous a permis de surmonter tous les obstacles, de payer mes frais de scolarité pour les prochaines années et de créer une immense fortune pour notre famille. »- Tariq Hasan, SGI-USA Men's Leader
Yuh-huh. "Donner jusqu'à ce que ça pique", en d'autres termes.
C'est ça "le bouddhisme est le bon sens" ...
"Rappelant ces premiers jours dans le roman historique The New Human Revolution, le président Ikeda écrit:" Les offrandes et les contributions financières que l'organisation a sollicitées étaient exclusivement pour accomplir le mandat de Nichiren Daishonin de propager largement la loi mystique. Il n'y avait donc pas de plus grande offrande, plus de bien, certainement pas de plus grand bénéfice »(vol.4).
"Considérant l'histoire de la transmission du bouddhisme Nichiren jusqu'à nos jours, il est clair que la SGI est la seule organisation qui a hérité et qui exécute correctement les enseignements de Nichiren Daishonin et son vœu de créer un monde pacifique. comme Nichiren a enseigné, partager cette grande philosophie avec leurs familles et amis, et montrer la preuve réelle de son pouvoir dans leur vie quotidienne. " - http://www.sgi-usa.org/studyan [...] istory.pdf
Considérant que Nichiren a souscrit à un modèle fasciste, dans lequel toutes les autres sectes du bouddhisme étaient censées être éradiquées par le gouvernement, à travers un programme suggéré par Nichiren, d'exécutions, de restrictions interdisant tous les dons et de démolition de tous les temples.
Ce vœu de créer un monde pacifique "est totalement factice !"
https://taitenwisdom.weebly.com/blog/in ... n#comments Auteur : Theryca
Date : 19 juil.21, 02:29
Message : Traduction par Theryca :
Que fait Ikeda dans sa cachette depuis qu’on l’a vu pour la dernière fois en avril 2010 ?
Je suis tombé sur ce rapport, de 2011 - selon cette source :
Ikeda est en fauteuil roulant en raison d’un infarctus du cerveau (l’obstruction de l’approvisionnement en sang à un organe ou à une région de tissu, généralement par un thrombus ou une embolie, causant la mort locale du tissu ; infarctus : une zone localisée de tissu mort (nécrose) résultant de l’obstruction de l’approvisionnement en sang à cette partie, esp par une embolie, aussi appelé infarctus.)
En raison de complications liées au diabète, ses pieds ont dû être amputés. Ça expliquerait pourquoi Ikeda est assis sur toutes ses photos.
Démence avancée.
C’est un vrai problème pour le Soka Gakkai, étant donné le grand nombre de fois où Ikéda a martelé ce qui arrive à la toute fin de notre vie, et que les effets des causes que nous avons posées deviennent finalement manifestes . Dans la culture japonaise, la démence et la maladie d’Alzheimer sont comptées comme "des têtes brisées en sept morceaux", ce qui est la punition pour avoir calomnié le Soutra du Lotus. Ikeda et sa Soka Gakkai auraient fait une danse de la victoire si des moines de la Nichiren Shoshu avaient été diagnostiqués avec une démence ou Alzheimer, et ils auraient proclamé ceci bruyamment comme preuve de leur calomnie et de leur injustice grotesque. Mais maintenant, la chaussure est à l'autre pied, pour ainsi dire.
Donc ils ont gardé Ikeda hors de vue et tous ces auteurs fantômes sont occupés à produire des articles et des interviews ou quoi que ce soit, tous attribués à Ikeda. Alors que selon l'évidence, ce n’est pas son propre travail.
De plus :
Infarctus cérébral à DEUX endroits dans le cerveau.
Ne peut pas marcher.
Comportement bizarre et violent et bruits étranges.
Incapacité de reconnaître les infirmières ou les visiteurs.
Incapacité de communiquer avec les infirmières ou les visiteurs.
Des difficultés de mastication ont entraîné l’insertion d’un tube d’alimentation.
Il faut quatre à cinq personnes pour l’aider à sortir de son fauteuil roulant pour le transporter jusqu'au bain.
Ikéda porte une robe de chambre pour faciliter les changements de couches.
On suppose que, lorsque Ikeda mourra, il n’y aura pas de visionnement ou de funérailles publiques ; ce sera une affaire familiale privée.
( Traduction de l'anglais depuis la source suivante :
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ce_he_was/ )
Auteur : Yvon37
Date : 05 sept.21, 04:09
Message : Article de 2010 provenant de :
(traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011).
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/
L'école Fuji est Ostile au président Ikéda . Cet article est complètement mensongé . J'ai un ami qui a rencontré le président Ikeda en 2014 en parfaite santé .
Personnelement j'ai vu une vidéo du président Ikeda à Trest en séminaire en 2015 .
Décidément les emnemis du président Ikeda ne savent plus quoi inventer pour le dénigrer
Auteur : muugi
Date : 20 mars22, 04:23
Message : Bonjour, en faisant des recherche sur le mantra nam myoho regé kyo voici ce que j'ai pu lire, c'est original ! Voir le copié collé sous l'adresse du site
https://anandapostbouddha.wixsite.com/w ... A9r%C3%A9s)
Ce mantra a été propagé en France, depuis le début des années 1960, par deux organisations religieuses japonaises transnationales (monastique et laïque) affirmant détenir l'orthodoxie de l'enseignement essentiel du sutra du lotus et la mission universaliste d'enseigner ses valeurs pour la paix dans le monde. Ce sont d'authentiques Sociétés d’économie religieuse, oscillant entre conservatisme moral et modernisme pragmatique, bureaucratiques et hiérarchiques, dirigées par une oligarchie masculine (alors que la majorité des adeptes et constituée de femmes), et un peu ostracisées par certaines institutions bouddhiques françaises, malgré les différents contacts souvent initiés.
Elles sont finalement devenues schismatiques l'une vis-à-vis de l'autre à cause de conflits d'intérêts provoqués par leurs propensions respectives à développer leurs pouvoirs d'influences sur le marché du religieux, et par les profits économiques produits par leurs diverses activités de service au Japon (pompes funèbres, transport des pèlerins, presse).
À quoi s'ajoute le caractère arrogant et totalitaire de leurs deux dirigeants. Le patriarche monastique (décédé depuis) s'était toujours opposé au président (retiré des affaires pour cause de sénilité et d'impotence depuis 2005) de l'organisation laïque la plus importante (10 millions d'adhérents) qui désirait diriger la confédération laïque des autres écoles pratiquant le mantra selon des doctrines différentes, afin de les contrôler et de les convertir à sa philosophie morale. Et de plus, bien que son organisation laïque offrit de colossales donations financières aux moines (des centaines de milliards de yen sur 40 ans), ceux-ci ont préféré l'excommunier (1991) pour tenter de récupérer directement cette manne économique.
L'émergence en France de ces deux organisations religieuses japonaises a fait l'objet d'incompréhensions et de controverses idéologiques, provoquées par des dérives 'sectaires' exaltées de certains convertis, induites par : leur ignorance des philosophies orientales et l'absence de curiosité noétique ; leurs carences intellectuelles naturelles accentuées par la propagande officielle très doctrinaire ; l'égotisme et les agissements directifs d'adeptes en quête de statut social (et de pouvoir).
Si des tentatives de corrections des mœurs ont permis un certain assainissement déontologique, la mentalité du groupe reste imprégnée de ces différentes traces 'sectaires'. Il en résulte des relations hiérarchiques relativement formalistes, une psycho-rigidité récurrente chez de nombreux pratiquants, des raisonnement obtus et des savoirs culturels limités, une tendance courante à se conformer à la doxa sociale politiquement correcte de la Société laïque d'économie religieuse.
Suite à des calomnies et diffamations, la Société laïque d’économie religieuse se défie de possibles intrusions de non convertis cherchant à s'informer sur ses pratiques 'politiques' internes et leurs contradictions sous-jacentes. Ce qui induit une forme de méfiance, un repli mesuré à l'égard des médias, la nécessité d'un filtrage des nouveaux venus dans ses activités associatives, par crainte de pénétration de chercheurs trop curieux, d'esprits libres et contradicteurs, ou d'individus malveillants... D'où une culture de la communication interne et institutionnelle marquée du sceau du secret. À quoi, pour un regard extérieur critique, se juxtaposent les ambitions mondialistes originelles de la Société laïque d'économie religieuse, de par son statut d'ONG (UNESCO, ONU, Union Européenne, Réseau d'Universités Internationales, Publications multilingues, Lobbying, Missions Diplomatiques). Et, au Japon, son pouvoir d'influencer les forces politiques (avec son propre parti politique 'indépendant' de l'organisation religieuse laïque) et financières (gestion de son capital par Mitsubishi Bank) concomitant à un rôle sociétal ambiguë : son implication est tout à fait avérée dans des collusions politiques, économiques, industrielles (sources diplomatiques françaises). En 2013 après 30 ans de lobbying pondéré elle est reçue et reconnue officiellement par le Vatican.
Cette complexité culturelle sociopolitique lui a valu, depuis l'origine en France, la fuite de dizaines de milliers de convertis ne s'y retrouvant plus dans leurs propres aspirations bouddhiques, et dubitatifs à l'égard de l'idéologie dominante de type 'petite bourgeoise', consumériste et néo-libérale, scientiste et matérialiste, comme des idéaux officiels hostiles aux alternatives culturelles non-conformistes innovantes pourtant cohérentes avec l'utopie civilisationnelle bouddhique (alter mondialiste). Les dirigeants n'ont jamais toléré les expressions démocratiques contradictoires car toute orientation procède prioritairement de la sagesse du président. Cette sécession de convertis souvent cultivés, a aussi pour cause le malaise provoqué par la pédagogie doctrinale simpliste et infantilisante ; comme par le rejet officiel de réflexions différentes de l’exégèse institutionnelle, de réflexions originales 'trop personnelles' inspirées par la méditation d'idées et de principes bouddhiques. De surcroît, chez les dissidents très expérimentés et évolués philosophiquement, se révèle une dissonance intellectuelle face à l'amplitude de la vénération officielle du dogme cultuel des 3 trésors, qu'ils considèrent particulièrement prégnant, et facteur d'un état latent de servitude volontaire (inconsciente) des convertis dans leur relation à la Société laïque d'économie religieuse, a contrario de l'idéal originel prônant la libération des souffrances causées par des croyances assujettissantes. Cette servitude (l'engagement associatif zélé) est justifiée par le concept vertueux d'altruisme opposé à l'individualisme… par le fait que s'impliquer 'corps et âme dans l'organisation' est la voie pour révolutionner son ego, approcher l'état de bodhisattva, réaliser le vœux du maître.
Les 3 trésors : 1er) le dharma sous la forme d'un mandala : l'objet de culte fondamental, et par conséquence d'obédience à : 2ème) la sangha ou l'organisation laïque d'économie religieuse, la seule pouvant sauver l'Humanité de la dégénérescence ; 3ème) le bouddha prédicateur de l'orthodoxie (aujourd'hui : le président, le maître moral, de la Société laïque d'économie religieuse). Les trois conditionnent les actes de foi quotidiens essentiels : la piété au mandala alliance sacrée à l'orthodoxie ; l'obédience pour la vie à la sangha, sinon point d'illumination (l'état de bouddha ou la boddhéité) ; la relation exclusive au président maître absolu du vrai bouddhisme.
Selon ces témoignages recueillis auprès d'ex-convertis, ceci révèle que l'institutionnalisation de la spiritualité bouddhique fabrique chez les adeptes des aliénations mentales à des orientations doctrinales antagonistes à leur Éveil, tout autant qu'à celui de l'Humanité. Ceci expose l'impérative nécessité d'une délivrance de toute espèce de servitude volontaire. Et, par conséquent, d'opter pour un apprenti-sage par soi-même, libre de tout attachement à 'la personne' et à 'la loi', afin d'expérimenter l'interdépendance et la coopération avec le Monde, La Nature et Le Kosmos, directement connecté à Sa Conscience Originelle, comme le propose la sagesse bouddhique originelle.
Auteur : Fukyô
Date : 26 mars22, 20:35
Message : Hé bien, je vois que les "vieilles lunes" ont toujours cours ici....

Auteur : Mélie
Date : 15 mai22, 03:11
Message : Bonjour,
Après avoir lu quelqu'uns de vos commentaires sur La Saka Gakkai et le Bouddhisme de Nichiren Daishonin ainsi que le President Mr Daisaku Ikeda, je souhaiterais vous apporter quelques lumières dont il semble que vous ayez besoin afin de mieux comprendre ce qu'il se passe pour vous.
C'est très simple en fait !
Je pratique ce bouddhisme depuis 20 ans, mais j'ai abandonné la pratique et les réunions de discussions pendant quelques années, déçue par les pratiquants ! Commençant à calomnier les pratiquants de la SGI et leur comportement que je trouvais parfois en dehors des enseignements. J'ai commencé à développer une forte colère , rejetant et critiquant les écrits bouddhiques. Mais avec le temps et les conséquences de mes actes, les rétributions, ça nul peut y échapper croyant ou pas, c'est la loi de la causalité et elle existe bien, j'ai engendré des catastrophes dans ma vie. Je me suis posée beaucoup de questions avec un esprit de recherche assidu. Voilà la suite : Après avoir repris et pratiqué pour la guérison de la maladie de mon mari, et demandé la victoire, il est mort ! J'ai alors craché sur le Butsudan, insulté l'univers et le Gohonzon !, je me suis dis que j'allais mettre fin à mes jours car sans lui la vie est impossible tant nous étions liés ! Un pratiquant m'a donné ce message : Alors je suis tombé sur ceci :
Les quatre démons
Le terme “démon”, selon la conception bouddhique, ne désigne pas un être surnaturel, mais tout ce qui a pour fonction de diminuer, saper ou détruire la vie. Pour un pratiquant bouddhiste, c’est ce qui anéantit sa foi et lui barre le chemin de la bouddhéité.
Le premier (on-ma) est l’entrave des cinq agrégats1, provoquée par les perturbations des fonctions physiques et mentales d’une personne.
Le deuxième (bonnô-ma) est l’entrave qui provient des désirs terrestres.
Le troisième (shi-ma) est l’entrave engendrée par la mort. En effet, celle-ci peut interrompre brusquement la progression d’un pratiquant ou bien troubler les autres et les faire douter.
Le quatrième (tenshi-ma) est l’entrave du “roi démon du sixième ciel”, le plus puissant et le plus redoutable. Ce “démon” personnifie l’appétit de pouvoir, la manipulation, le fait de se servir des autres à ses propres fins égoïstes. Il se manifeste chez ceux qui détiennent le pouvoir et l’utilise pour persécuter les pratiquants bouddhistes.
! J'ai fini par comprendre que la vraie victoire était la guérison de sa vie ! Il a complètement transformer son karma ! Puis, je me suis rendue compte qu'après la visite d'un hussier nous demandant de dégager de la maison pour cause aux fins de vent, nous avons trouvé un appartement dans les trois semaines, extrêmement difficile à trouver dans le quartier, à deux pas dans la même rue c'est ce que nous voulions. Ainsi lors du déménagement, cela à été bien plus facile face à la souffrance de vie causée par cette épreuve de la maladie à gérer et un soulagement pour lui, car il savait que je ne serais pas à la rue. J'ai compris ce bienfait par la suite. Et oui le Bouddhisme est difficile à sonder, il faut étudier, et pratiquer sinon vous ne comprendrez rien du tout et vous tournerez en rond. Dans l'attente, d'intégrer mon nouveau logement, je suis restée chez ma mère, pratiquante et conseillère bouddhique, elle m'a tiré vers le haut, et trouvé comme par "magie" tout les écrits répondant aux moindres de mes questions et les raisons de ma colère ainsi que la non compréhension de la Loi.
Lorsque l'on rencontre et accepte de réciter Nam Myo Ho renge Kyo, en récitant ce mandala, c'est déjà que l'on est en relation avec la Loi Merveilleuse du Sûtra du Lotus ! Il n'y a pas de hasard dans cette vie ! Vous le savez tous ! - Nichiren dit bien, ce Sûtra est resté longtemps secret, Nichiren nous l'a révélé. sachez que Le bouddhisme du mahayana définitif n'est pas chose facile à sonder ! Pour ce faire nous devons constamment aller chercher au fond de nous cette tour aux trésors et pratiquer afin de faire jaillir la lumière. Renforcer notre foi et avoir cette foi profonde, sinon voilà le résultat , les démons l'emporterons et vous entrainerons dans les mauvaises voies. N'attendez pas des autres, tout viens de nous ! Lorsque vous êtes confrontés à des personnes pratiquantes qui semblent mal se comporter, au lieu de les juger ou les calomnier, vous devriez priez pour elles. "Suivre la LOI et non la personne" Nichiren nous dit ceci et ce n'est pas pour rien la preuve. Vous parlez beaucoup des comportements, etc...Mais quel est le vôtre face à ceci ? Interrogez-vous sur votre mission en ce monde et pourquoi vous êtes là et pourquoi vous avez rencontrer la Loi ? Atteindre la Bouddhéïté n'est pas chose facile. Sinon on ne serait pas là. La vie est un combat auquel shakyamuni nous apporte des réponses. Nous sommes que des êtres humains avec nos travers nos défauts, mais nous possédons l'état de bouddha et la possibilité de transformer notre karma même immuable !
De nombreuses écoles bouddhiques ont enseigné que l’illumination n’est accessible qu’au terme d’un processus laborieux d’une durée inimaginable qui s’étend, en fait, sur plusieurs vies. Or, l’enseignement du Sûtra du Lotus, que l’on reconnaît comme l’enseignement suprême de Shakyamuni, est diamétralement opposé à cela. Il explique en effet que la bouddhéité est déjà présente dans toutes les formes de vie et qu’elle n’est pas un quelconque « ingrédient » mystique ou spirituel, mais bien la véritable entité de la vie elle-même. Le Sûtra du Lotus enseigne l’égalité de tous les êtres humains et affirme que même la vie d’une personne apparemment dominée par le mal contient le joyau brut de la nature de bouddha. Personne ne peut nous conférer l’illumination; chacun de nous doit la réaliser lui-même.
Une fois que nous avons pris conscience de l’existence de notre nature de bouddha, il nous reste à nous y éveiller, ou à la « polir ». Dans le bouddhisme de Nichiren, ce processus s’effectue par la dévotion à la « loi de la vie », contenue dans le Sûtra du Lotus. Cette loi de la vie est Nam Myoho Renge Kyo, l’essence du Sûtra du Lotus. La récitation de Nam Myoho Renge Kyo est la méthode par laquelle nous faisons se manifester la force vitale et la sagesse de la nature de bouddha en nous. Mais pour certaines personnes , il faut du temps dans la compréhension du processus... Parce que nous nous laissons balloter par les évènements extérieurs. Ne cherchons pas à changer les autres, c'est nous qui changeons car tout vient de nous !
Il vous faut lire les enseignements et pratiquer pour les comprendre mais surtout aller chercher au fond de nous cette état de bouddha !
Chers amis, ne vous laissez pas entraîner par les démons qui ferons tout pour vous saper! C'est normal que vous réagissiez ainsi, ils vous testent !
Les réponses aux questions, sont dans tous les livres de la SGI et de Nichiren ! C'est pour cela qu'il faut lire, étudier et pratiquer sans relâche ni jamais abandonner, comme on nous le dit : "sinon, les démons l'emporterons".
Je prie pour vous afin que vous retrouviez la lumière et la sagesse , et que vous fassiez jaillir votre état de bouddha et votre mission de bodhisattva sortie de la terre, vous n'êtes pas là pour rien ! S'il vous plaît, méditez là-dessus. En vous remerciant.
Prenez soins tous de vous !
Merci.
Auteur : Jacky
Date : 18 mars23, 22:41
Message : Bonjour a toutes et a tous.
J'ai lu avec attention les messages des anciens pratiquants et je vous en remercie. C'est instructif et intéressant.
Pour ma part je pratique depuis 1986, j'ai quitté l'organisation mais je continue de faire 1 heure de pratique minimum tous les jours.
Je vais vous donner les grandes lignes de mon expérience de vie et de pratique.
J'ai commencé à pratiquer pour prouver qu'une phrase ne pourrait pas changer ma vie. Effectivement rien n'a vraiment changé mais je sentais que la pratique activé quelque chose a l'intérieur de moi et ça je ne pouvais pas le nier.
Ma première expérience significative est arrivé quand j'ai voulu créer ma société. Il s'agissait de faire sponsorisé des travaux d'aménagement forestiers pour éviter des incendies de forets.
Tout le monde me disait (pratiquants et non pratiquants) que c'était un super projet mais malgré tout mes efforts, après 2 années. je me suis retrouvé sans un sou, désespéré et bien sur le projet n'a jamais abouti. Je ne comprenais pas. Je pensais qu'il suffisait d’être sincère et déterminé pour réaliser ses buts. Puis j'ai rencontré un professeur en management qui m'a expliqué que certes le projet était intéressant mais j'avais échoué car je n'avais pas tenu compte de la réalité. Ce fut une bonne claque pour moi car le Bouddha ne dit-il pas que l'éveillé comprend les affaires de ce monde.
Ensuite j'ai décidé de me lancer dans un nouveau défi, celui d'avoir un diplôme universitaire alors que je n'avais aucun diplôme. J'ai été passer un examen d'admission difficile a la FAC de Nanterre et j'ai été reçu. Encore fallait-il trouver les 2400 euros de frais de scolarités alors que je vivais avec 20 euros par mois. J'ai expliqué ma situation au directeur de la FAC et il m'a répondu qu'a la FAC on ne fait pas la charité. J'ai donc pris un nouveau job dans la marketing et j'ai travaillé avec une pratiquante qui m'a dit que demain je pourrais retourner a la FAC suivre mes études. Je lui est dit que c’était impossible et que je ne pourrais jamais trouver les 2400 euros. Mais finalement le directeur m'a rappelé pour me proposer un deal en donnant des cours a des étudiants en informatique. Et 1 année après j'ai obtenu ma licence.
J'en profite pour remercier Marie et Stéphane, Jean-Marie et Christiane, Fadila, des pratiquants qui m'ont donné de la nourriture pendant toute cette année d'étude car je vivais toujours avec 20 euros par mois. Et également le curé du village qui m'a aidé a payer l'électricité.
Puis j'ai eu mon premier job après la licence et je suis passé de 20 euros a 3300 euros par mois.
En 2002 nous avons organisés une exposition King Ikeda Gandhi. Nous avons loué une grande salle a Boulogne-Billancourt et le responsable qui a loué la salle a donné pour motif 'l'anniversaire d'une copine japonaise' A l'époque j'étais en procès avec une société informatique qui n'avait accusé d'avoir insulté des clients dans le cadre mon travail. Pour organiser l'exposition nous étions environ 25 membres et lors d'une réunion de préparation, j'ai annoncé que je ne participerai jamais a une activité basée sur le mensonge. Et sur les 25 personnes présentes, seulement mon amie Conchita m'a suivi et nous avons quittés immédiatement l'activité. 2 semaines après on m'a rappelé pour me dire que c'était ok pour donner le vrai motif de la location. Comme c'est moi qui devait installé les photos dans la salle, je suis allé voir la dame qui nous avait louée la salle avec toutes les planches en compagnie du responsable qui avait menti. Elle a dit que ça avait rien a voir avec un anniversaire et chose étonnante, elle connaissait la famille du Général de la Villardière. Elle est venue le dimanche de l'exposition qui fut une grande réussite et nous a félicité pour notre travail.
Le lendemain, lundi, j'ai gagné mon procès avec la société informatique après 3 ans d'une bataille difficile et j'ai reçu un chèque de 18 000 euros. Bon le fisc et l'avocat en on pris la moitié, mais l'important c'était de gagner.
10 années après, j'ai eu un grave accident de moto. Une voiture a grillé le stop juste au moment ou j'arrivais. Bilan double fracture de rate, hémorragie interne, foie endommagé. J'ai été admis dans un premier hôpital mais il n'ont pas voulu me garder car les blessures étaient trop complexes. Donc je me suis retrouvé a la Salpêtrière. Normalement avec une fracture de rate ils enlèvent la rate, mais la je suis tombé sur un professeur qui a dit qu'on allait attendre pour voir comment ça allait évolué et finalement 1 année après, j'étais sur pied sans aucune séquelle. C'est la que je me suis dit que si ne n'étais pas mort, c'est que peut être comme les autres, j'avais une mission a accomplir. Ce qui est sur, c'est que je remercie le ciel et les divinités bouddhiques tous les jours, que moi et ma famille nous soyons entier et en bonne santé ce qui est pour moi le vrai cadeau de la vie.
Une autre chose me traquasse depuis longtemps, c'est que perd mes cheveux. Mais après 30 ans de combat, j'ai enfin trouvé le bon mélange huile de ricin et huile de coco et finalement mais cheveux ont repoussés ce qui normalement est impossible a mon age. Et c'est la ou je veux en venir c'est de rendre l'impossible possible. Tout dépend de nous et pas des responsables ou des autres. Les responsables qui disent ' c'est ton karma' sont des cons. N'ayons pas de regrets. Décidons et continuons a lutter pour ce que nous croyons bon pour nous et pour les autres.
Le damoiku pour moi c'est comme une pelle. On peut toujours continuer a creuser avec ses mains, mais ça fait plus mal et ça prend plus de temps.
Pour terminer 2 phrases d'encouragement parmi d'autres que vous pourrez trouver à l'adresse
https://www.sokaglobal.org/resources/da ... ch-19.html
- Nous ne sommes pas vaincus par l'adversité mais par la perte de la volonté de lutter. Aussi dévasté que vous puissiez vous sentir, tant que vous avez la volonté de vous battre, vous pouvez sûrement triompher.
- La pire erreur que vous puissiez faire est de vous abandonner et d'arrêter de vous remettre en question par peur de l'échec. Continuez d'avancer en gardant un œil sur l'avenir, en vous disant : « Je commence à partir d'aujourd'hui ! "Je vais recommencer à zéro à partir de maintenant, à partir de ce moment même!"
Auteur : Arké
Date : 08 nov.23, 07:14
Message : Mélie a écrit : 15 mai22, 03:11
Bonjour,
Après avoir lu quelqu'uns de vos commentaires sur La Saka Gakkai et le Bouddhisme de Nichiren Daishonin ainsi que le President Mr Daisaku Ikeda, je souhaiterais vous apporter quelques lumières dont il semble que vous ayez besoin afin de mieux comprendre ce qu'il se passe pour vous.
C'est très simple en fait !
Je pratique ce bouddhisme depuis 20 ans, mais j'ai abandonné la pratique et les réunions de discussions pendant quelques années, déçue par les pratiquants ! Commençant à calomnier les pratiquants de la SGI et leur comportement que je trouvais parfois en dehors des enseignements. J'ai commencé à développer une forte colère , rejetant et critiquant les écrits bouddhiques. Mais avec le temps et les conséquences de mes actes, les rétributions, ça nul peut y échapper croyant ou pas, c'est la loi de la causalité et elle existe bien, j'ai engendré des catastrophes dans ma vie. Je me suis posée beaucoup de questions avec un esprit de recherche assidu. Voilà la suite : Après avoir repris et pratiqué pour la guérison de la maladie de mon mari, et demandé la victoire, il est mort ! J'ai alors craché sur le Butsudan, insulté l'univers et le Gohonzon !, je me suis dis que j'allais mettre fin à mes jours car sans lui la vie est impossible tant nous étions liés ! Un pratiquant m'a donné ce message : Alors je suis tombé sur ceci :
Les quatre démons
Le terme “démon”, selon la conception bouddhique, ne désigne pas un être surnaturel, mais tout ce qui a pour fonction de diminuer, saper ou détruire la vie. Pour un pratiquant bouddhiste, c’est ce qui anéantit sa foi et lui barre le chemin de la bouddhéité.
Le premier (on-ma) est l’entrave des cinq agrégats1, provoquée par les perturbations des fonctions physiques et mentales d’une personne.
Le deuxième (bonnô-ma) est l’entrave qui provient des désirs terrestres.
Le troisième (shi-ma) est l’entrave engendrée par la mort. En effet, celle-ci peut interrompre brusquement la progression d’un pratiquant ou bien troubler les autres et les faire douter.
Le quatrième (tenshi-ma) est l’entrave du “roi démon du sixième ciel”, le plus puissant et le plus redoutable. Ce “démon” personnifie l’appétit de pouvoir, la manipulation, le fait de se servir des autres à ses propres fins égoïstes. Il se manifeste chez ceux qui détiennent le pouvoir et l’utilise pour persécuter les pratiquants bouddhistes.
!
J'ai fini par comprendre que la vraie victoire était la guérison de sa vie ! Il a complètement transformer son karma ! Puis, je me suis rendue compte qu'après la visite d'un hussier nous demandant de dégager de la maison pour cause aux fins de vent, nous avons trouvé un appartement dans les trois semaines, extrêmement difficile à trouver dans le quartier, à deux pas dans la même rue c'est ce que nous voulions. Ainsi lors du déménagement, cela à été bien plus facile face à la souffrance de vie causée par cette épreuve de la maladie à gérer et un soulagement pour lui, car il savait que je ne serais pas à la rue. J'ai compris ce bienfait par la suite. Et oui le Bouddhisme est difficile à sonder, il faut étudier, et pratiquer sinon vous ne comprendrez rien du tout et vous tournerez en rond. Dans l'attente, d'intégrer mon nouveau logement, je suis restée chez ma mère, pratiquante et conseillère bouddhique, elle m'a tiré vers le haut, et trouvé comme par "magie" tout les écrits répondant aux moindres de mes questions et les raisons de ma colère ainsi que la non compréhension de la Loi.
Lorsque l'on rencontre et accepte de réciter Nam Myo Ho renge Kyo, en récitant ce mandala, c'est déjà que l'on est en relation avec la Loi Merveilleuse du Sûtra du Lotus ! Il n'y a pas de hasard dans cette vie ! Vous le savez tous ! - Nichiren dit bien, ce Sûtra est resté longtemps secret, Nichiren nous l'a révélé. sachez que Le bouddhisme du mahayana définitif n'est pas chose facile à sonder ! Pour ce faire nous devons constamment aller chercher au fond de nous cette tour aux trésors et pratiquer afin de faire jaillir la lumière. Renforcer notre foi et avoir cette foi profonde, sinon voilà le résultat , les démons l'emporterons et vous entrainerons dans les mauvaises voies. N'attendez pas des autres, tout viens de nous ! Lorsque vous êtes confrontés à des personnes pratiquantes qui semblent mal se comporter, au lieu de les juger ou les calomnier, vous devriez priez pour elles. "
Suivre la LOI et non la personne" Nichiren nous dit ceci et ce n'est pas pour rien la preuve. Vous parlez beaucoup des comportements, etc...Mais quel est le vôtre face à ceci ? Interrogez-vous sur votre mission en ce monde et pourquoi vous êtes là et pourquoi vous avez rencontrer la Loi ? Atteindre la Bouddhéïté n'est pas chose facile. Sinon on ne serait pas là. La vie est un combat auquel shakyamuni nous apporte des réponses. Nous sommes que des êtres humains avec nos travers nos défauts, mais nous possédons l'état de bouddha et la possibilité de transformer notre karma même immuable !
De nombreuses écoles bouddhiques ont enseigné que l’illumination n’est accessible qu’au terme d’un processus laborieux d’une durée inimaginable qui s’étend, en fait, sur plusieurs vies. Or, l’enseignement du Sûtra du Lotus, que l’on reconnaît comme l’enseignement suprême de Shakyamuni, est diamétralement opposé à cela. Il explique en effet que la bouddhéité est déjà présente dans toutes les formes de vie et qu’elle n’est pas un quelconque « ingrédient » mystique ou spirituel, mais bien la véritable entité de la vie elle-même. Le Sûtra du Lotus enseigne l’égalité de tous les êtres humains et affirme que même la vie d’une personne apparemment dominée par le mal contient le joyau brut de la nature de bouddha. Personne ne peut nous conférer l’illumination;
chacun de nous doit la réaliser lui-même.
Une fois que nous avons pris conscience de l’existence de notre nature de bouddha, il nous reste à nous y éveiller, ou à la « polir ». Dans le bouddhisme de Nichiren, ce processus s’effectue par la dévotion à la « loi de la vie », contenue dans le Sûtra du Lotus. Cette loi de la vie est Nam Myoho Renge Kyo, l’essence du Sûtra du Lotus. La récitation de Nam Myoho Renge Kyo est la méthode par laquelle nous faisons se manifester la force vitale et la sagesse de la nature de bouddha en nous. Mais pour certaines personnes , il faut du temps dans la compréhension du processus... Parce que nous nous laissons balloter par les évènements extérieurs.
Ne cherchons pas à changer les autres, c'est nous qui changeons car tout vient de nous !
Il vous faut lire les enseignements et pratiquer pour les comprendre mais surtout aller chercher au fond de nous cette état de bouddha !
Chers amis, ne vous laissez pas entraîner par les démons qui ferons tout pour vous saper! C'est normal que vous réagissiez ainsi, ils vous testent !
Les réponses aux questions, sont dans tous les livres de la SGI et de Nichiren ! C'est pour cela qu'il faut lire, étudier et pratiquer sans relâche ni jamais abandonner, comme on nous le dit : "sinon, les démons l'emporterons".
Je prie pour vous afin que vous retrouviez la lumière et la sagesse , et que vous fassiez jaillir votre état de bouddha et votre mission de bodhisattva sortie de la terre, vous n'êtes pas là pour rien ! S'il vous plaît, méditez là-dessus. En vous remerciant.
Prenez soins tous de vous !
Merci.
Bonjour Mélie
je connais une personne qui a 40 ans de SGI, il pratique tous les jours pendant 1 heure minimum.
C'est une personne serviable mais très froide, n'aimant pas les animaux ni la compagnie des hommes.
malgré des années de pratique, il est très dépressif et se moque allègrement du physique des gens, sans parler du reste de son éducation déplorable en public !
Alors évidemment je ne vais pas faire d'un cas une généralité car chez de soi-disant chrétiens on a aussi de sacrés phénomènes ! Mais voila, la SGI ne fait pas plus de miracles que les autres religions.
Elle n'est pas meilleure qu'une autre c'est juste une question d'attirance.
Cependant j'apprécie beaucoup que le Bouddha annonce être le père de ce monde, cherchant en tout temps à guérir ses enfants à l'esprit égaré. Cela est tout à fait conforme avec le christianisme.
Puissions nous tous prier pour que les humains se comportent de façon agréable avec tous les êtres vivants.
Amen
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