Résultat du test :

Auteur : J'm'interroge
Date : 19 oct.21, 23:26
Message : .

1) La vie est bien faite, certains l'apprendront à leurs dépens.

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Auteur : Pollux
Date : 20 oct.21, 03:52
Message : Comprenne qui pourra ...
Auteur : Inti
Date : 20 oct.21, 08:29
Message : :thinking-face:
Auteur : J'm'interroge
Date : 21 oct.21, 08:55
Message : .
2) Ce qui (ou celui qui) ne s'accorde pas avec les principes universels (Tao) va à sa perte.

3) Le Sage n'a pas d'inquiétude, il est par nature confiant.

4) Le sage n'a pas d'émotion disharmonieuse ou déplacée.

5) Le sage ne s'attriste de rien.

6) La nature humaine non pervertie est Sagesse.

7) Les pervers le sont par choix. Ils sont ignorants certes de la Sagesse, il ne la connaissent ni ne la reconnaissent, mais ils le sont en conscience et en connaissance. Ils courent et œuvrent à leur perte.

8) La société des Sages c'est le Royaume de Dieu dont parle Jésus, ce sont les terres pures des boddhisattvas, ce sont les mondes d'en haut des chamans et voyants.

9) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération.

10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.

11) Il est possible de changer de cap, sauf que les pervers ne le veulent pas. C'est ainsi que le Bien triomphe.

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12) Il n'y a pas de liberté collective sans liberté individuelle.

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13) Dieu : un être intelligent en connexion avec le vivant biologique et matrice structurelle et Source des esprits, lesquels en sont des structures terminales, des sous-unités fonctionnelles, autonomisées et auto-délibératives.

14) L'homme est une association d'un Esprit avec un corps biologique d'une espèce propre à permettre cette association.

15) À chaque esprit une conscience.

16) Il en existe une quasi infinité, toute distinctes, comme tout esprit est distinct de tout autre.

17) Il n'existe pas de conscience universelle, ceci dit : il y a bien une intelligence universelle, c'est l'intelligence de ce que je nomme La Source et qui est aussi l'intelligence de La Nature.

18) L'évolution des espèces est le fruit d'une prospective.

19) Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies.

20) Toute évolution est assimilable à un processus cognitif.

21) L'homme n'est ni le produit final, ni un produit final. Mais il est une nécessité organique dans la symbiose universelle entre la Source et les univers ou La Nature en un sens plus large.

22) Les esprits sont des centres périphériques, les centres périphériques de La Source. Ils en sont des organes terminaux.

23) Nous sommes des centres en ce que nous sommes en partie autonomisés. La raison de cela : l'avantage que représente le partage des tâches et l'autodétermination plurielle.

24) Le partage des tâches est un principe universel, l'autodétermination plurielle (ou répartie) aussi.

25) La coopération, laquelle est à distinguer de la collaboration, est une nécessité vitale. La participation est une réalité structurelle.

26) L'union différencie.

27) Un autre principe universel encore : les convergences et divergences selon affinités.

28) L'esprit n'est pas immortel par nature, mais potentiellement, par maintenance, quand les conditions sont remplies.

29) Il n'y a pas de souvenir sans un esprit pour leur donner une réalité consciente. Le souvenir d'une personne n'est pas la personne.

30) Les esprits sont invisibles, car ce sont des structures en soi. Un esprit c'est le hard qui permet le soft des contenus conscients.

31) Les corps astraux ou ce dont on parle en employant ces termes, ne sont en réalité rien d'autre que des contenus conscients, des apparences.
Autrement dit : ce ne sont pas des réalités matérielles ou objectives.
Ce ne sont pas les esprits en eux-mêmes, même s'ils rendent ou représentent dans notre champ de conscience des esprits avec lesquels nous sommes en contact, tels qu'ils se manifestent à nous ou tels que nous nous les représentons.

32) On peut voir une manifestation d'un esprit, mais pas un esprit en lui-même.

33) Les esprits sont invisibles dans le sens qu'il ne peuvent pas apparaître en tant que ce qu'ils sont : des structures de la réalité fondamentale.

34) Tout ne se passe pas dans le cerveau.

35) Le vrai médium c'est La Source elle-même.

36) C'est par elle que se font en réalité les communications et connexions entre esprits.

37) Les rêves sont un état modifié de conscience, mais leur contenus sont essentiellement produits par le cerveau.

38) Les manifestations d'esprits avec lesquels nous sommes en contact par La Source peuvent se présenter de façon très diverses, elles peuvent prendre des formes différentes.
Ce pourra être par exemple simplement un souvenir d'une personne qui s'imposera sans l'avoir recherché, des rencontres en rêve, des voix entendues dans d'autres contextes que les rêves, des présences, etc..

39) Il faut voir qu'en état de conscience ordinaire il y a un filtre supplémentaire, celui de notre imaginaire propre.

40) Généralement, les apparitions remarquées et remarquables se font dans un état modifié de conscience permettant un plus grand accès à La Source et un plus grand flux d'informations entrant, voir l'ouverture d'autres canaux.

41) En l'état ordinaire pour nous, en association corporelle telle que la nôtre, la communication entre esprits par Le biais de La Source, est empêchée. Elle est permise parfois par une action de La Source, si autorisations spéciales délivrées par des instances régulatrices de La Source elle-même.

42) Il y a bien sûr une inhibition culturelle en plus de la naturelle en partie acquise, pour nous humains de la Terre de l'espèce homo sapiens.

43) Il y a deux grands types de médiumnité différents, passant par des canaux différents :

- Les ères de notre cerveau qui gèrent la faculté prospective subconsciente, reçoivent des inputs de La Source. Certains médiums le sont, par une capacité qu'ils ont de façon innée ou après l'avoir intentionnellement développée, celle d'interroger leur subconscient ainsi informé ou leur réactions corporelles involontaires résultantes.

- Mais il y a un autre type de médiumnité, lequel est possible par une semi déconnexion de l'esprit du médium d'avec son corps associé. Ainsi son esprit retrouve un accès accru à La Source et à ses fonctionnalités alors débridées.
(Débridées, car désinhibées, sachant que ce qui les inhibe principalement, c'est la connexion esprit-corporalité biologique physique elle-même.)

44) Enfin, il faut voir qu'en dehors de la relation cerveau-esprit, le contenu d'un cadre virtuel d'expériences partagées est produit et géré par la Source elle-même, mettant en relation de communication des esprits entre eux. C'est un cadre d'expérience partagé, il s'agit d'une réalité virtuelle. J'insiste sur ce point.

45) Il s'agit d'une réalité virtuelle, laquelle est en partie reproduction à partir d'expériences ordinaires et non ordinaires en associations corporelles de groupes d'esprits liés, s'inspirant donc opportunément en partie aussi de leur imaginaires propres et collectifs culturels.

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Ajouté 1 heure 2 minutes 36 secondes après :
Pollux a écrit : 20 oct.21, 03:52 Comprenne qui pourra ...
Tout-à-fait.

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Ajouté 20 heures 50 minutes 39 secondes après :

46) Le mal est un anti-principe. Autrement dit : c'est un principe inversé, une déviation.

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Auteur : ronronladouceur
Date : 21 oct.21, 09:37
Message : Je n'ose pas trop commenter l'une ou l'autre de tes assertions vu que chacune d'elle mérite au moins un certain temps de silence, un arrêt dans le temps permettant un certain recul, le temps au moins d'y réfléchir...

Je me disais aussi que chacune pouvait avoir une certaine histoire et de ce fait, ne souffrirait pas un regard trop rapide... En ce sens, la première idée qui m'est venue ne rendrait tout probablement pas justice à la profondeur de réflexion derrière...

Avais-tu une intention particulière, des attentes par rapport à ce fil?
Auteur : J'm'interroge
Date : 21 oct.21, 10:17
Message :
ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 09:37 Je n'ose pas trop commenter l'une ou l'autre de tes assertions vu que chacune d'elle mérite au moins un certain temps de silence, un arrêt dans le temps permettant un certain recul, le temps au moins d'y réfléchir...

Je me disais aussi que chacune pouvait avoir une certaine histoire et de ce fait, ne souffrirait pas un regard trop rapide... En ce sens, la première idée qui m'est venue ne rendrait tout probablement pas justice à la profondeur de réflexion derrière...

Avais-tu une intention particulière, des attentes par rapport à ce fil?
Bonjour ronronladouceur,

Ces assertions ont en effet une histoire, car elle sont tirées d'une compréhension résultante d'un long cheminement intellectuel relativement à une quête de nature quant à elle spirituelle. Il ne s'agit pas ici de fournir une argumentation ou d'en faire un système.
Comme le titre que j'ai choisi l'indique : il s'agit de pensées que je me retourne à moi-même pour mon usage personnel, mais puisque c'est aussi un partage, en effet je les exprime ici, je m'invite à prendre note d'éventuelles remarques, à les considérer et à y répondre, comme aux questions que ces pensées soulèveraient chez qui s'y attarderaient et m'en ferait part.

Quelle est cette première idée qui t'es venue ?

Ça m'intéresserait de la connaître.

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Ajouté 6 minutes 26 secondes après :

47) Heureusement qu'il n'y a pas besoin d'être supérieurement intelligent pour comprendre une situation donnée engageant sa vie. Il suffit en effet d'être bien tourné et d'avoir de l'intuition.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 21 oct.21, 10:38
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 10:17 Bonjour ronronladouceur,

Ces assertions ont en effet une histoire, car elle sont tirées d'une compréhension résultante d'un long cheminement intellectuel relativement à une quête de nature quant à elle spirituelle. Il ne s'agit pas ici de fournir une argumentation ou d'en faire un système.
Comme le titre que j'ai choisi l'indique : il s'agit de pensées que je me retourne à moi-même pour mon usage personnel, mais puisque c'est aussi un partage, en effet je les exprime ici, je m'invite à prendre note d'éventuelles remarques, à les considérer et à y répondre, comme aux questions que ces pensées soulèveraient chez qui s'y attarderaient et m'en ferait part.

Quelle est cette première idée qui t'es venue ?

Ça m'intéresserait de la connaître.
J'ai fait une première lecture rapide et certaines de tes assertions m'ont plus particulièrement interpellé... Comme je te l'exprimais dans mon message précédent, j'ai décidé de prendre du recul peut-être par respect de l'histoire qui pouvait entourer l'une ou l'autre... Comme toi, j'ai quelques pensées qui sont le fruit de plusieurs années de réflexion et qui relèvent d'un aboutissement, à l'image d'un fruit mûr tombant du ciel en son temps...

J'ai eu quelque plaisir à m'attarder à la première surtout que Pollux lui ajoutait un certain halo de mystère avec son commentaire : 'Comprenne qui pourra'... J'avais d'ailleurs préparé la réponse que voici...
J'm'interroge a écrit : 19 oct.21, 23:26 .
1) La vie est bien faite, certains l'apprendront à leurs dépens.
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Pollux a écrit : 20 oct.21, 03:52 Comprenne qui pourra ...
à leurs dépens : par une expérience fâcheuse ou coûteuse (trouvé sur internet)...

Et donc : La vie est ainsi faite [bien faite] que si tu ne la respectes pas, tu pourrais en subir les conséquences.

Ça m'a rappelé un slogan par rapport à l'alcool : ''La modération a bien meilleur goût''...

- Je pourrai revenir sur d'autres assertions à un autre moment...
Auteur : J'm'interroge
Date : 21 oct.21, 11:36
Message :
ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 10:38 Et donc : La vie est ainsi faite [bien faite] que si tu ne la respectes pas, tu pourrais en subir les conséquences.
Oui. L'on ne fait pas ce qu'on veut sans conséquence.

ronronladouceur a écrit : 21 oct.21, 10:38 - Je pourrai revenir sur d'autres assertions à un autre moment...
Je t'y convie.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 22 oct.21, 03:04
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 11:36 9) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération
Pourquoi imprudent?

À première vue, je me demande... Il me semble qu'il faudrait savoir ce qu'il en est de la mort pour le comprendre ainsi...

Je peux en effet poser l'hypothèse que la mort n'est pas véritablement la fin mais une étape, celle qui consiste à simplement quitter une enveloppe pour se découvrir un autre corps... Se découvrant alors véritablement soi-même, comment cela ne pourrait-il pas être une libération?

Et donc, j'aurais besoin que tu m'expliques...
Auteur : J'm'interroge
Date : 22 oct.21, 08:26
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 11:36 9) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération
ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 03:04 Pourquoi imprudent?
Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.

ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 03:04 À première vue, je me demande... Il me semble qu'il faudrait savoir ce qu'il en est de la mort pour le comprendre ainsi...
Oui. Pour ça il faut en avoir été informé ou l'avoir éprouvé soi-même.

ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 03:04 Je peux en effet poser l'hypothèse que la mort n'est pas véritablement la fin mais une étape, celle qui consiste à simplement quitter une enveloppe pour se découvrir un autre corps... Se découvrant alors véritablement soi-même, comment cela ne pourrait-il pas être une libération?

Et donc, j'aurais besoin que tu m'expliques...
Rapidement alors :

La mort est le terme d'une vie biologique, celle d'une entité biologique, mais elle a aussi une contrepartie spirituelle. Spirituelle dans le sens où, pour ce qui nous concerne personnellement en tant qu'esprit : la mort physique est un terme à son association avec la corporalité biologique avec laquelle il était en relation.

À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.
Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.
Ce qui change pour lui, de son point de vue, c'est ce que j'ai évoqué dans d'autres points numérotés.

S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.
Il ne s'agirait pas dans ce cas d'une corporéité biologique et physique, dans le sens que cette apparence de corporéité, puisqu'il s'agirait bien d'apparence de, ne correspondrait pas à une réalité matérielle, contrairement à nos corporéités biologiques et physiques telles que nous les connaissons actuellement, qui elles sont bien des réalités fondamentales structurelles en soi de nature biologique et physique.

Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.

Une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...
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Auteur : ronronladouceur
Date : 22 oct.21, 11:01
Message :
J'm'interroge a écrit : 22 oct.21, 08:26 Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.
Il faut alors que cette croyance soit le fait de la personne qui réfléchit en ce sens. Et il m'apparaît que ce n'est pas le cas de tout le monde. J'avais lu l'assertion en comprenant le fait général (contestable) alors que ton explication fait état de cas particuliers.
À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.
Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.
D'accord. Il s'agit peut-être d'une représentation qui, pour soi, s'efface au profit d'une autre plus subtile... Je suis pas trop certain, là...
S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.

Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.
Pour ne pas se perdre de vue trop rapidement et ainsi assurer une transition en douceur. Peut-être...
Une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...
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J'en comprends 'en esprit', mais selon certains repères représentationnels...
Auteur : J'm'interroge
Date : 22 oct.21, 11:35
Message :
J'm'interroge a écrit : 22 oct.21, 08:26 Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.
ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 Il faut alors que cette croyance soit le fait de la personne qui réfléchit en ce sens. Et il m'apparaît que ce n'est pas le cas de tout le monde. J'avais lu l'assertion en comprenant le fait général (contestable) alors que ton explication fait état de cas particuliers.
Les cas particuliers peuvent être nombreux voir très fréquents et même majoritaire ou le contraire, selon l'adhésion générale aux principes universels.

Il existe une forme de justice naturelle.

À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.
Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.
ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 D'accord. Il s'agit peut-être d'une représentation qui, pour soi, s'efface au profit d'une autre plus subtile... Je suis pas trop certain, là...
L'on se représentent les choses comme l'on peut, selon sa compréhension et son imaginaire.

Il se peut même que ces représentations soient les plus parlantes en l'état de notre compréhension et capacité à nous imaginer ce qu'il en est.

S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.

Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.
ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 Pour ne pas se perdre de vue trop rapidement et ainsi assurer une transition en douceur. Peut-être...
Peut-être et peut-être même sûrement, si se représenter ou être représenté ainsi par une corporéité, n'est pas une finalité ou s'il y a mieux.

Une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...
ronronladouceur a écrit : 22 oct.21, 11:01 J'en comprends 'en esprit', mais selon certains repères représentationnels...
C'est normal.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 23 oct.21, 11:06
Message : https://www.forum-religion.org/viewtopi ... 4#p1403314

Ajouté 1 heure 14 minutes 38 secondes après :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
Dans la mesure où ce bien est relatif à soi...
11) Il est possible de changer de cap, sauf que les pervers ne le veulent pas. C'est ainsi que le Bien triomphe.
J'aime bien cette façon un peu paradoxale de présenter les choses et qui surprend...

Me rappelle cette parole du dieu de Walsch : « Dieu est si grand que personne ne peut le manquer...»
Auteur : J'm'interroge
Date : 23 oct.21, 11:26
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
ronronladouceur a écrit : 23 oct.21, 11:06 Dans la mesure où ce bien est relatif à soi...
Pourrais-tu préciser ta pensée STP ?

J'm'interroge a écrit :11) Il est possible de changer de cap, sauf que les pervers ne le veulent pas. C'est ainsi que le Bien triomphe.
ronronladouceur a écrit : 23 oct.21, 11:06 J'aime bien cette façon un peu paradoxale de présenter les choses et qui surprend...

Me rappelle cette parole du dieu de Walsch : « Dieu est si grand que personne ne peut le manquer...»
Justement.. Il est si grand et certains si petits, que ces derniers ne voient de Lui que leur petit atome individualiste...


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48) La Source n'est pas un Mythe, c'est le support structurel de l'intelligence universelle en relation symbiotique avec les formes de vie biologiques et c'est la matrice des esprits.

49) La Source favorise les solutions compatibles avec un maximum de degrés de libertés, autrement dit : elle favorise les organisations inter-individuelles et spirituelles transversales, et par conséquent : la division en cellules auto-délibératives échangeant de l'information entre elles.

50) Elle répartit ses ressources cognitives en sous-unités fonctionnelles autonomisées, auto-délibératives : les esprits.
(C'est l'inverse de ce que veut faire nos "élites"...)

51) Tout doit suivre son cours. La Source est habituée.
C'est juste que certains passages sont difficiles.
Les solutions existent déjà.
Disons que nous passons par une turbulence.
Certains parleront d'une tribulation.

52) Il est toutefois bon de ne pas être dupes des intentions de ces gens qui prétendent agir pour notre bien en tentant d'exercer un contrôle absolu sur nos vies et nos pensées, et de développer une certaine lucidité sur ce qui ce joue présentement.
(Nous n'avons pas vocation à être leurs objets, ni de devenir de petits robots à leur service, obéissant machinalement à leur directives ou ayant été programmés pour le faire.)

53) La racine de l'esprit c'est La Source. L'esprit est quant à lui la cause du mental, lequel est conscience.

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54) En dialectique c'est : une définition en compréhension (soit un concept) pour un mot et un mot pour une définition en compréhension (soit pour un concept), avec des définitions (concepts) non contradictoires entre elles.

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55) La mémoire n'est pas une faculté intelligente. Mais il n'y a pas de mémoire indépendamment d'une intelligence.

56) La mémoire est-elle la faculté de stocker des informations ? -----> Non ! Ça, c'est ce qu'on appelle à proprement parler : la mémorisation.

57) Un souvenir n'est pas une mémoire.

58) Le mental n'est pas une mémoire, mais une conscience.

59) Un souvenir est toujours mental, c'est une conscience.

60) Mémoire et mémorisation sont deux choses distinctes.

61) Une mémoire est un support de stockage d'informations.

62) Les gens confondent à peut près tout... Ils confondent entre autres choses : mémoires, souvenirs et traces...

63) Un souvenir est un contenu conscient se rapportant à un contenu mémoriel tiré d'une mémoire.

64) Quant aux "mémoires" écrites de quelqu'un, pour parler de recueils de transcriptions de souvenirs. Il s'agit bien de supports de stockage d'informations (ici, ces supports sont des notes personnelles).

65) Des gravures ou des écritures étant des types de supports de stockage d'informations, ce sont des mémoires.

66) Il existe des opérations intelligentes qui ne recourent pas à des mémoires.

67) Une trace n'est pas une mémoire, sauf si cette dernière est un signe ou un ensemble de signes dont la fonction est de stocker une information.
(Un fossile par exemple, n'est pas une mémoire en ce sens. C'est une trace qui n'est pas une mémoire.)

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68) Une chronologie illustre toujours des étapes cognitives.

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70) Comment peut-on penser pouvoir comprendre quoi que ce soit à partir de définitions incohérentes entre elles, en dehors du fait qu'elles sont contradictoires et en quoi ?

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71) Les gens confondent aussi souvent simplicité et propos dé.biles, euh.. je veux dire : propos simplistes...

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72) Une cause de A, c'est pour une observation donnée A, ce ce qui permet d'observer A, sans quoi l'on ne l'observerait pas.

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73) Un changement d'état ça n'existe pas. Un état ne se change pas en un autre état. L'on différencie des états d'autres états, ce n'est pas pour ça que des états se changeraient en d'autres états.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 23 oct.21, 12:25
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 10) Que ce soit en connaissance ou non, nous nous positionnons individuellement et personnellement par rapport au Bien.
Dans la mesure où ce bien est relatif à soi...
J'm'interroge a écrit : 23 oct.21, 11:26 Pourrais-tu préciser ta pensée STP ?
Un bien pour une personne pourrait bien être un mal pour une autre. Par exemple, je ne sais pas si un voleur volant un autre voleur voit ça comme un mal... (Je fais le lien avec ton assertion no 52 après avoir écrit mon message)...

Dans l'adage : ''Si tu fais le mal, fais-le bien.'' Pour un croyant ce mal (sexe en dehors du mariage...) correspond à un bien pour celui qui y trouve son plaisir. De même pour les homosexuels : dignes de mort aux yeux de dieu (mal) alors qu'ils sont vus tout autrement par d'autres...

Le père qui frappe son fils lui dit que c'est pour son bien... L'enfant, lui, le vit mal...

Un enfant qui a appris à tuer comme acte légitime voit-il son geste comme mal dès lors que son acte est récompensé? Et les ceinturés de bombes qui croient qu'ils se mériteront le ciel? Et les parents fiers? Les meurtres d'honneur?

L'abattage hallal est considéré comme mal par une certaine population... Mais évidemment bien par une autre...

Dans les génocides, par exemple? Les actes de vengeance? Les tours jumelles en 2001 pour les assaillants?
Auteur : J'm'interroge
Date : 24 oct.21, 10:45
Message : .
Je ne parlais pas du bien selon ce qu'il nous semble ou selon ce que décrètent plus ou moins arbitrairement telles ou telles cultures dans leurs codes moraux.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 24 oct.21, 11:59
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 18) L'évolution des espèces est le fruit d'une prospective.
Je dirais que tel est le cas si vous vous projetez dans le passé. Mais du présent, je dirais qu'il est question de rétrospective. Pour appuyer ceci, je dirais que l'on ne peut prévoir telle ou telle évolution à partir du présent...
20) Toute évolution est assimilable à un processus cognitif.
J'entends qu'il pourrait y voir une ligne directrice, un plan, une orientation... Donc vous y assimileriez le principe anthropique?
Auteur : J'm'interroge
Date : 25 oct.21, 00:32
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:55 18) L'évolution des espèces est le fruit d'une prospective.
ronronladouceur a écrit : 24 oct.21, 11:59 Je dirais que tel est le cas si vous vous projetez dans le passé. Mais du présent, je dirais qu'il est question de rétrospective. Pour appuyer ceci, je dirais que l'on ne peut prévoir telle ou telle évolution à partir du présent...
C'est à lire et à comprendre en lien avec le point suivant :

19) Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies.

Ce que tu dis est intéressant, mais je ne me place pas tout-à-fait dans cet angle d'approche.

Ce que je dis c'est que devant plusieurs possibilités réelles, l'une est suivie. L'on s'imagine que celle suivie l'est au hasard. Exemple : un photon est émis il peut dans certaines conditions précises être capté ici ou là avec une probabilité déterminée tout ce qu'il y a de plus fiable : ici avec une probabilité de 25 % et là avec une probabilité de 75%.
Quand on fait l'expérience et la répète, c'est bien cette proba que l'on vérifie à la longue dans ces conditions. Et donc, si l'on fait le pari que le photon arrivera là plutôt qu'ici, l'on aura 75% de chance de le gagner. Ceci dit : le photon pourra très bien néanmoins être capté ici. Or, qu'est-ce qui détermine qu'il est capté ici et non là ? Certains diront le hasard...
En réalité ce n'est pas le hasard ni une indétermination, mais un choix.
Ce n'est certes pas un choix que ferait le photon ceci dit.
Je m'explique : ce qui est observé dans le champ de conscience d'un observateur est déterminé dans et par ce contexte d'observation dans lequel l'observateur est partie prenante.
En réalité, le photon est capté une fois ici et quatre fois là, mais une seule fois ici ou là dans le cadre d'observation de l'expérimentateur qui en fait l'expérience.

Ainsi, à chaque nœud de bifurcation possible, autant de situations possibles sont en présence, chacune existante en soi. Certaines divergent de plus en plus, de nœud de bifurcation possible en nœud de bifurcation possible, alors que d'autres convergent parfois, plus ou moins, par certains aspects.
Mais un observateur n'expérimente qu'un seul chemin parmi tous ces possibles.

Il s'agit déjà de celui qui a mené à son existence, autrement dit : celui qui permet un tel observateur, chemin qu'il poursuit ensuite en tant que tel.

Alors certains s'imagineront peut-être qu'il y a autant d'expérimentateurs et de situations expérimentées se scindant, qu'il y a de situations ou configurations possibles compatibles avec cet observateur dans toutes ses variantes possibles, mais c'est une erreur selon moi. Il n'y a selon moi qu'un seul chemin de configuration qui est expérimenté et suivi, soit celui qui s'accorde le mieux avec les choix et l'orientation de l'expérimentateur lui-même.

J'ai dit que ce chemin est choisit. Il l'est en effet, dans le sens que c'est celui qui est expérimenté, soit ce qui est précisément choisit parmi toutes ses configuration possibles d'expérimentations par lui, mais pas seulement choisit par lui toutefois, nous y reviendrons peut-être.
(En effet, il y a aussi la dimension collective qui joue, car il y a autant d'expérimentateurs que d'esprits, dimension par conséquent qui influent notamment sur ce qui fait l'expérience de chacun, ce qui nous emmène encore plus loin..)

20) Toute évolution est assimilable à un processus cognitif.
ronronladouceur a écrit : 24 oct.21, 11:59 J'entends qu'il pourrait y voir une ligne directrice, un plan, une orientation... Donc vous y assimileriez le principe anthropique?
Il y a parmi toutes les configurations possibles et chemins entre elles, un chemin qui aboutit à des configurations finales différentes, plus ou moins intéressantes, riches, harmonieuses.

19) Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies *.
(* note : J'aurais peut-être dû dire : prévalent.)

Ceci dit, elles sont bien choisies en ce sens que j'ai précisé dans mes explications complémentaires.

Alors non, il n'y a pas de plan, mais des lignes suivies, choisies, prévalentes. C'est en ce sens que j'ai parlé de prospective.

C'est de la prospective et c'est un peu similaire à la manière par laquelle une colonie de fourmis placée à l'entrée d'un labyrinthe trouve le chemin vers sortie. C'est de la prospective.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 25 oct.21, 03:22
Message :
J'm'interroge a écrit : 25 oct.21, 00:32 C'est à lire et à comprendre en lien avec le point suivant :

19) Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies.

- Ce que je dis c'est que devant plusieurs possibilités réelles, l'une est suivie. L'on s'imagine que celle suivie l'est au hasard.

- Or, qu'est-ce qui détermine qu'il est capté ici et non là ? Certains diront le hasard...
En réalité ce n'est pas le hasard ni une indétermination, mais un choix.

- Je m'explique : ce qui est observé dans le champ de conscience d'un observateur est déterminé dans et par ce contexte d'observation dans lequel l'observateur est partie prenante.
En réalité, le photon est capté une fois ici et quatre fois là, mais une seule fois ici ou là dans le cadre d'observation de l'expérimentateur qui en fait l'expérience.

- Il n'y a selon moi qu'un seul chemin de configuration qui est expérimenté et suivi, soit celui qui s'accorde le mieux avec les choix et l'orientation de l'expérimentateur lui-même.

- il y a aussi la dimension collective qui joue, car il y a autant d'expérimentateurs que d'esprits, dimension par conséquent qui influent notamment sur ce qui fait l'expérience de chacun
Cela me donne à penser que l'observation est déterminante quant au résultat.

Non seulement, mais s'il n'y a pas observation, peut-on affirmer qu'il y a même phénomène?
Auteur : J'm'interroge
Date : 25 oct.21, 06:40
Message : .

74) En dehors des contenus conscients il n'y a qu'une trame de possibilités en soi, sachant que les contenus conscients sont eux mêmes des structures de possibilités en soi au sein de cette trame.

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Auteur : ronronladouceur
Date : 25 oct.21, 07:20
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:5515) À chaque esprit une conscience.

16) Il en existe une quasi infinité, toute distinctes, comme tout esprit est distinct de tout autre.

17) Il n'existe pas de conscience universelle, ceci dit : il y a bien une intelligence universelle, c'est l'intelligence de ce que je nomme La Source et qui est aussi l'intelligence de La Nature.
M'inspire...

- À tout existant ou étant, une conscience.

- On ne peut s'attendre à ce qu'on animal ait une conscience humaine. Quoi que...

- La conscience est une. Quant à ses manifestations, elles sont multiples...

- De même pour l'intelligence dans chacune de ses manifestations?
Auteur : J'm'interroge
Date : 26 oct.21, 06:57
Message :
J'm'interroge a écrit : 21 oct.21, 08:5515) À chaque esprit une conscience.

16) Il en existe une quasi infinité, toute distinctes, comme tout esprit est distinct de tout autre.

17) Il n'existe pas de conscience universelle, ceci dit : il y a bien une intelligence universelle, c'est l'intelligence de ce que je nomme La Source et qui est aussi l'intelligence de La Nature.
ronronladouceur a écrit : 25 oct.21, 07:20 M'inspire...

- À tout existant ou étant, une conscience. (1)

- On ne peut s'attendre à ce qu'on animal ait une conscience humaine. Quoi que... (2)

- La conscience est une. Quant à ses manifestations, elles sont multiples... (3)

- De même pour l'intelligence dans chacune de ses manifestations? (4)
(1) : Je ne le pense pas.

Ce qui est vrai c'est : À tout esprit, une conscience.

[Une entité biologique en elle-même par exemple, sans un esprit associé (ou qui lui est lié d'une manière ou d'une autre, directement ou indirectement), n'est consciente de rien, aucune dimension mentale ne lui est liée.]


(2) : Un animal n'a forcément pas de conscience humaine.

Ceci dit, une dimension mentale, autrement dit : une conscience, est-elle associée aux animaux ?

Réponse : oui, s'ils ont parmi leurs structures biologiques et physiques cérébrales de quoi permettre une association avec un esprit.


(3) : Une conscience n'est qu'un ensemble de contenus mentaux, lesquels correspondent à des fins de traitements instantanés par un esprit, est qui sont engrammés dans une mémoire extérieure aux esprits. J'y reviendrai peut-être.

La conscience n'est donc pas une, il y a bien autant de consciences que d'esprits, une conscience propre à chacun d'eux, si par conscience l'on nomme également le support mémoriel où sont engrammés les contenus conscients.


(4) : L'intelligence universelle est une, car unifiée, bien que très répartie dans ses sous-structures semi-autonomisées : esprits et autres instances de La Source, lesquels sont en interrelations.
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Auteur : J'm'interroge
Date : 31 oct.21, 01:26
Message : .
75) Rien n'est égal à part en mathématiques.

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76) Religion et spiritualité sont deux choses bien distinctes. La religion s'est souvent avérée être une neutralisation culturelle de la spiritualité, par une forme programmation mentale.

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77) Faire confiance à son intuition, à son intelligence et à la nature.

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78) Nous sommes avant tout des esprits, il ne faudrait pas l'oublier.

79) Il existe différents collectifs d'esprits en La Source...

80) La plupart des gens n'ont aucune idée de ce qu'est l'esprit et par conséquent ils ignorent que l'homme n'est pas que sa composante corporelle.

81) Une connexion à La Source ne se ressent pas, mais l'on peut en ressentir ses effets.

82) Sans connexion à La Source j'en aurais aussi conclu à son existence, si j'avais pu avoir sans cela tous les éléments dont j'ai disposé. Mais peut-être que pour ça il fallait que je sois guidé dans mes recherches par ma connexion à La Source.

83) La découverte scientifique de l'existence de La Source, c'est sans doute comme celle de l'électricité, on y arrive obligatoirement à un certain stade de la recherche.

84) Chez nous (homo sapiens actuels de la Terre) la connexion biologique à La Source se trouve dans une ère cérébrale qui échange avec elle, lui envoie et reçoit d'Elle à un niveau inconscient.

Pour ce qui est de la connexion biologique pré-conscientes à l'esprit, c'est dans une autre ère cérébrale qu'elle se fait.

Quant à (aux) la (ou les) connexion(s) de l'esprit aux instances autres de La Source, dont il est lui-même une sous-unité fonctionnelles, ce n'est pas au niveau du cerveau que ça à lieu, mais au sein de la Source elle-même.

85) La Source est extrêmement organisée. Elle est globalement beaucoup plus structurée en moyenne que que notre espace physique.

86) Il n'y a pas plus de hiérarchisation entre ses strates fonctionnelles et instances, qu'entre nos couches et ères cérébrales. Chacune de ses parties exerce une régulation ou un contrôle sur les autres.

87) Son organisation est en arborescences et boucles, un peu comme un réseau de neurones ou de mycélium mais pas dans un espace 3D, mais 5D (ou +).

88) Les esprits sont traités par les instances régulatrices de La Source en conséquence de leurs positionnements et des inflexions opérées.

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89) La mort biologique est un bienfait, dont il ne faut pas avoir peur. Elle fait partie de la Vie. L'accepter permet de mieux vivre.

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90) L'amour du mal, même s'il y a ignorance du Bien, est perversion.

91) L'amour du Bien ou la haine du mal est justice.

92) La religion n'est pas un guide fiable.

93) Certains diront que le bien et le mal sont relatifs. C'est en partie vrai. Mais ce n'est pas une question d'opinion.

94) Le Bien c'est la pensée, la parole et l'œuvre justes et profitables aux autres comme à soi.

95) Ici, en cette condition, nous cohabitons avec toutes sortes d'individus, mais c'est provisoire.

96) Un pervers c'est un être qui choisit délibérément le mal en connaissance de cause. C'est une catégorie d'individus que Platon n'a pas identifié, lui qui a déclaré que "Nul n'est méchant volontairement". Il se trompait.

97) Le choix du mal est permis, mais il n'est pas équivalent à celui du bien : ses conséquences ne sont pas les mêmes.

98) Le bien n'est pas ce que l'on décide quoi que l'on décide.

99) En soi fondamentalement, ni le mal ni le Bien n'existent. Mais le fait que ni le mal ni le Bien n'existent en soi, n'implique en aucune manière que l'un et l'autre se réduisent à notions arbitraires.

100) Le Bien c'est le maximum de degré de liberté et donc de diversités, et l'ensemble des choix qui y conduisent.

101) Le Bien c'est le maximum possible de diversité dans ce qui peut coexister.

102) Si ma liberté empiète sur celle d'un autre, c'est mal. Si pour ne pas empiéter sur celle d'un autre, je dois restreindre la mienne, c'est mal aussi.

103) Ne pas empiéter sur la liberté d'un autre sans restreindre la sienne, c'est librement choisir le Bien.

104) Il ne s'agit pas de restreindre sa liberté, mais de faire les bons choix. C'est d'un plein exercice de sa liberté dont il s'agit, non d'une restriction.

105) La liberté est la possibilité de choisir entre plusieurs options.

106) Selon les choix faits, les possibilités de choix restants peuvent très vite se restreindre.

107) Ne pas choisir c'est laisser d'autres choisir à sa place au risque de perdre sa liberté.

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108) Les molécules d'ADN par le fait qu'elles existent en grands nombres de copies identiques (mêmes séquences et même groupes de chromosomes ou de chromatides) sont en résonnance de formes.

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109) Un principe ce n'est pas quelque chose d'arbitraire.

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110) Il n'y a pas de vérité absolue, mais il y a des vérités universelles.

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111) "Le réglage fin" de l'univers est une conclusion biaisée, ne tenant pas compte de la multitude des univers possibles en soi.

112) Il y a bien un au-delà de l'horizon physique.

113) L'état initial de notre univer correspond à une configuration parmi une quasi infinité d'autres, sans liens mécaniques.

114) Ce qui différentie les univers entre eux, leurs constantes physiques ainsi que leur évolutions dans le temps et par conséquent leurs aspects, autrement dit : ce que nous observerions si nous pouvions nous y rendre corporellement, c'est essentiellement le ratio entre leur excès de matière ou d'antimatière primordiale par rapport à l'autre composante du couple avant annihilation *.
(* note : sauf dans le cas limite où ce ratio est ∞, auquel cas la courbure de cet univers serait infinie également, le rendant semblable à quelque chose comme une étoile à neutrons au delà de sa masse critique, mais sans délimitations !)

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115) Avant de prouver l'existence de Dieu il faut déjà pouvoir prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit.

116) L'esprit participant de chaines de causalité, émergeant de celles-ci et les alimentant, il ne peut guère s'en extraire pour déterminer sa propre origine, s'il en est une.

117) L'intelligence universelle n'est pas source de tout, elle se forme en interrelation et interdépendance avec les formes vies biologiques, modelant ces dernières comme ces dernières la modèlent. Elle est cependant bien La Source des esprits qui émergent en son sein de cette influence mutuelle et par les avantages fonctionnels que représentent le fait de répartir ses fonctions délibératives et cognitives en sous-unités semi-autonomes.

118) Tout se structure en interdépendance, l'intelligence universelle elle-même, comme les formes de vies biologiques et peut-être autres, avec lesquelles elle est en rapport partout dans les univers. L'intelligence universelle informée de ce qui se produit ici et là, avec sa participation et ses inflexions, est susceptible d'informer en retour et d'infléchir ce qui se produit ailleurs.

119) À savoir aussi que la Source est capable de rétroactions à travers le temps.

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120)
- Au sujet de la matière et l'énergie, ce sont des concepts plutôt flous, évolutifs et révisables.
- L'énergie en physique n'est rien d'autre qu'un quantificateur, non une réalité supposément fondamentale.
- Quant à la matière, ce serait quoi fondamentalement ? Les physiciens sont bien incapables de répondre à cette question.
De quoi serait-elle faite ? De petites boules solides ? D'ondes de probabilité réduites ou non ? De déformations de l'espace-temps ? D'autre chose encore ? De quoi ?
Ils s'imaginent bien des choses ces scientifiques, c'est au point qu'ils en perdent leur latin...

121) En physique, il n'y a que des équations mettant en rapport des variables quantifiables par des mesures, qui ont quelque chose de pertinent en attendant de les remplacer par d'autres plus complètes.
(Je ne parle bien sur pas des équations rafistolées de paramètres ad hoc, ce qui en laisse très peu.)

122) Un changement d'état ça n'existe pas. Un état ne se change pas en un autre état. L'on différencie des états d'autres états, ce n'est pas pour ça que des états se changeraient en d'autres états.

123) Les états qui nous sont accessibles sont des configurations conscientes (des perceptions et des représentations), autrement dit : des contenus conscients mentaux. Toujours.
Le reste est inférences, spéculations et langage.

124) Les états dont nous parlons se ramènent donc toujours pour nous à des états conscients, mentaux, il s'agit de configurations statiques de qualia, formées et liées entre elles par l'esprit.

125) La réalité en soi support de la cognition est elle-même une structure statique, non de probabilités, mais de configurations de possibilités en soi liées entre elles par des rapports de proximité structurelles.

126) C'est une dynamique statique qui n'a pas lieu dans une temporalité, ce qui évoque l'idée d'instantanéité. Ceci se déroulant dans un présent, à la verticale, pour ainsi dire, ce qui remet en question cette conception linéaire : passé, présent, futur.

Je ne parlerais pas de simultanéité, mais plutôt d'instantanéité pour ce qui est des traitements de l'information par les structures cognitives (ou computationnelles) des esprits et de leur matrice La Source, en rappelant que celle-ci et ses sous-unités fonctionnelles les esprits, ne sont pas structurées au sein de la réalité fondamentale dans la même couche (si je puis dire), que celle où les structures dites "matérielles" de notre univers physique ont leur trame, dont nos cerveaux qui quant à eux traitent l'information avec délais dans leur temporalité propre, linéaire, différente de celle de La Source, qui se fait sans délais, instantanément comme je le disais, et à la différence d'eux : de manière non linéaire, hors du temps si je peux dire.

Ceci signifie que la Source peut à un certain niveau traiter des informations provenant de différentes temporalités, en différents instants ou points de leur linéarité, d'en dehors, instantanément, sans délais.

Ceci ne se fait pas dans le temps, si par là l'on entend que ce traitement de l'information nécessiterait un temps pour se faire.

127) L'esprit n'est ni structuré ni localisé dans le cerveau, mais en relation avec ce dernier, étant informé par lui et l'informant en retour.

128) De notre point de vue, tout se fait maintenant avec notre participation libre, mais en réalité, fondamentalement tout est déjà "fait" ou "tracé" de toute Eternité, y compris nos actes libres posés par nous.

129) Rien n'a été décidé à l'origine, puisqu'en réalité : n'y a pas d'origine à la trame des possibles en soi, mutuellement dépendants, il ne peut pas y en avoir, ni de fin, ni de changement, ni rien d'extérieur.

130) Il n'y a pas de hasard, il n'y a (fondamentalement) qu'une trame de possibilités en soi mutuellement dépendantes.

131) L'intelligence universelle résulte de la nécessité aussi. Etant possible en soi, elle ne peut pas ne pas être.

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132) L'on ne fait pas ce qu'on veut sans conséquence.

133) Ce serait bien imprudent de croire que la mort est pour tous une libération. Ce serait bien imprudent dans le sens que cette croyance conduit à une attitude insouciante et ainsi à ne pas évaluer comme il se doit les conséquences de ses actes et positionnements, lesquels ne sont pas sans quelques conséquences pour la suite.

134) La mort est le terme d'une vie biologique, celle d'une entité biologique, mais elle a aussi une contrepartie spirituelle. Spirituelle dans le sens où, pour ce qui nous concerne personnellement en tant qu'esprit : la mort physique est un terme à son association avec la corporalité biologique avec laquelle il était en relation.

135) À proprement parler l'esprit ne "quitte" pas le corps, déjà parce qu'il a jamais été "incorporé" comme nous pouvons le concevoir où plutôt l'imaginer faussement.

Un esprit n'est jamais "incorporé", ni donc "décorporé". Il n'"entre" pas un moment dans un corps, ni n'en "sort" à un autre.
Il ne le "quitte" donc pas à la mort physique pour se "rendre" en un autre lieu ailleurs, l'esprit ne "quitte" jamais sa matrice spirituelle, il reste un élément fonctionnel de La Source, qu'il soit en association corporelle biologique et physique ou non.

Ce qui change pour lui, de son point de vue, c'est ce que j'ai évoqué dans d'autres points numérotés.

136) S'il lui est conférée une autre existence corporelle hors association corporelle biologique, ce serait alors dans le cadre d'une réalité virtuelle partagée, simulée, générée par La Source elle-même, inspirée des vécus en associations corporelles biologiques.
Il ne s'agirait pas dans ce cas d'une corporéité biologique et physique, dans le sens que cette apparence de corporéité, puisqu'il s'agirait bien d'apparence de, ne correspondrait pas à une réalité matérielle, contrairement à nos corporéités biologiques et physiques telles que nous les connaissons actuellement, qui elles sont bien des réalités fondamentales structurelles en soi de nature biologique et physique.

Ce serait, dis-je : des apparences de corporéités servant essentiellement de représentations de soi, mais pas seulement tels que nous nous percevons nous-mêmes, mais aussi peut-être tels que la Source nous voit, si l'on peut dire ainsi.

137) La mort serait-elle une libération ? Une libération de certaines limites corporelles biologiques certainement, mais une libération des conséquences de ses choix et positionnements en association corporelle biologique, peut-être pas... Il est possible que certaines conduites, actes, choix et positionnements lors de notre vie présente nous suivent, voire nous conduise à expérimenter un cadre virtuel adapté en conséquence...

138) L'on se représentent les choses comme l'on peut, selon sa compréhension et son imaginaire.

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139) Dieu est si grand et certains si petits, que ces derniers ne voient de Lui que leur petit atome individualiste...

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140) Je ne parle pas du bien selon ce qu'il nous semble ou selon ce que décrètent plus ou moins arbitrairement telles ou telles cultures dans leurs codes moraux.

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141) Le point 18) : "18) L'évolution des espèces est le fruit d'une prospective", est à lire et à comprendre en lien avec le point suivant : "19) Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies."

142) Ce que je dis c'est que devant plusieurs possibilités réelles, l'une est suivie. L'on s'imagine que celle suivie l'est au hasard. Exemple : un photon est émis il peut dans certaines conditions précises être capté ici ou là avec une probabilité déterminée tout ce qu'il y a de plus fiable : ici avec une probabilité de 25 % et là avec une probabilité de 75%.
Quand on fait l'expérience et la répète, c'est bien cette proba que l'on vérifie à la longue dans ces conditions. Et donc, si l'on fait le pari que le photon arrivera là plutôt qu'ici, l'on aura 75% de chance de le gagner. Ceci dit : le photon pourra très bien néanmoins être capté ici. Or, qu'est-ce qui détermine qu'il est capté ici et non là ? Certains diront le hasard...
En réalité ce n'est pas le hasard ni une indétermination, mais un choix.
Ce n'est certes pas un choix que ferait le photon ceci dit.
Je m'explique : ce qui est observé dans le champ de conscience d'un observateur est déterminé dans et par ce contexte d'observation dans lequel l'observateur est partie prenante.
En réalité, le photon est capté une fois ici et quatre fois là, mais une seule fois ici ou là dans le cadre d'observation de l'expérimentateur qui en fait l'expérience.

143) Ainsi, à chaque nœud de bifurcation possible, autant de situations possibles sont en présence, chacune existante en soi. Certaines divergent de plus en plus, de nœud de bifurcation possible en nœud de bifurcation possible, alors que d'autres convergent parfois, plus ou moins, par certains aspects.
Mais un observateur n'expérimente qu'un seul chemin parmi tous ces possibles.

Il s'agit déjà de celui qui a mené à son existence, autrement dit : celui qui permet un tel observateur, chemin qu'il poursuit ensuite en tant que tel.

144) Alors certains s'imagineront peut-être qu'il y a autant d'expérimentateurs et de situations expérimentées se scindant, qu'il y a de situations ou configurations possibles compatibles avec cet observateur dans toutes ses variantes possibles, mais c'est une erreur selon moi. Il n'y a selon moi qu'un seul chemin de configuration qui est expérimenté et suivi, soit celui qui s'accorde le mieux avec les choix et l'orientation de l'expérimentateur lui-même.

145) J'ai dit que ce chemin est choisit. Il l'est en effet, dans le sens que c'est celui qui est expérimenté, soit ce qui est précisément choisit parmi toutes ses configuration possibles d'expérimentations par lui, mais pas seulement choisit par lui toutefois, nous y reviendrons peut-être.
(En effet, il y a aussi la dimension collective qui joue, car il y a autant d'expérimentateurs que d'esprits, dimension par conséquent qui influent notamment sur ce qui fait l'expérience de chacun, ce qui nous emmène encore plus loin..)

146) Il y a parmi toutes les configurations possibles et chemins entre elles, un chemin qui aboutit à des configurations finales différentes, plus ou moins intéressantes, riches, harmonieuses.

147) Je disais au point 19) : "Parmi toutes les voies possibles celles qui aboutissent à une plus grande diversité et exemplations, sont celles qui sont choisies *."
(* note : J'aurais peut-être dû dire : prévalent.)

Ceci dit, elles sont bien choisies en ce sens que j'ai précisé dans mes explications complémentaires.

148) Alors non, il n'y a pas de plan, mais des lignes suivies, choisies, prévalentes. C'est en ce sens que j'ai parlé de prospective.

C'est de la prospective et c'est un peu similaire à la manière par laquelle une colonie de fourmis placée à l'entrée d'un labyrinthe trouve le chemin vers sortie. C'est de la prospective.

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149) Je ne pense pas qu'il y a à tout existant ou étant, une conscience associée.

Ce qui est vrai c'est : À tout esprit, une conscience.

[Une entité biologique en elle-même par exemple, sans un esprit associé (ou qui lui est lié d'une manière ou d'une autre, directement ou indirectement), n'est consciente de rien, aucune dimension mentale ne lui est liée.]

150) Un animal n'a forcément pas de conscience humaine.

Ceci dit, une dimension mentale, autrement dit : une conscience, est-elle associée aux animaux ?

Réponse : oui, s'ils ont parmi leurs structures biologiques et physiques cérébrales de quoi permettre une association avec un esprit.

151) Une conscience n'est qu'un ensemble de contenus mentaux, lesquels correspondent à des fins de traitements instantanés par un esprit, est qui sont engrammés dans une mémoire extérieure aux esprits.

152) La conscience n'est donc pas une, il y a bien autant de consciences que d'esprits, une conscience propre à chacun d'eux, si par conscience l'on nomme également le support mémoriel où sont engrammés les contenus conscients.

153) L'intelligence universelle est une, car unifiée, bien que très répartie dans ses sous-structures semi-autonomisées : esprits et autres instances de La Source, lesquels sont en interrelations.

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154) La conscience est aussi en lien avec un esprit, lui-même en lien avec un corps apte à permettre cette association corps-esprit.

155) La conscience comme toute autre chose phénoménale, est conditionnée, produite, existe en interdépendance. Ainsi, en effet, l'on ne peut pas poser qu'elle ait une existence propre ou qu'elle aurait une origine, un début ou un terme.

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156) Sur l'évolution au sens large et le fait qu'il y a bien une génèse de formes complexes dans une richesse d'interrelations qui peut se constater, c'est non seulement compatible avec, mais c'est déductible de la compréhension et des formulations bouddhistes, sans qu'il soit nécessaire de poser un point de départ.

157) Les faits révélateurs d'une évolution interrogent plus sur le phénomène de convergence que sur la question des origines. Si Dieu il y a, il est bien plus à chercher en direction des convergences et des symbioses, autrement dit : du coté des finalités, que de celui des supposées origines.

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158) En fait ceux qui vivent une EMI disent que ça dépasse tout ce qu'ils peuvent décrire.
Donc ceux qui se mettent à croient en Dieu après ce type d'expérience essaient plus ou moins de trouver un terme qui peut coller avec leur expérience et comme ils n'en trouvent pas d'adéquats parmi les termes usuels, ils se replient sur des notions empreintées aux religions, sans pour autant y trouver de correspondances fortes.

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159) L'âme existe bien, il ne faudrait pas la confondre avec le "sens du moi" individualiste ou le concept de "soi indépendant" ou celui d' "existence indépendante" ou "autonome", lesquels sont erronés.

160) L'âme c'est l'esprit personnifié, or l'esprit est bien une réalité, interdépendante comme les autres, bien qu'il n'est pas le corps ni s'y trouve localisé.

161) La conscience est un contenu informatif mental, lié à un esprit qui le génère.

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162) Qui parle d'un rien qui accoucherait de quelque chose ?

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163) Les notions de bien et de mal sont en lien avec l'appréhension des finalités, et ça c'est de la compétence de l'esprit.

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164) Il ne faut pas confondre ce dont il est question quand on parle de ce qui existe "en soi" avec ce qui existerait par soi, isolément de manière autonome.

165) L' "en soi" désigne ce qui existe hors de notre champ de conscience bien que de manière non séparée, ainsi que la conscience elle-même.
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Auteur : 'mazalée'
Date : 31 oct.21, 19:46
Message :
Jmi a écrit :130) Il n'y a pas de hasard, il n'y a (fondamentalement) qu'une trame de possibilités en soi mutuellement dépendants
Sur ce sujet j'ai une petite question.

Cette trame des possibles elle existe physiquement ou c'est une vue de l'esprit ?
Auteur : J'm'interroge
Date : 01 nov.21, 14:51
Message :
Jmi a écrit :130) Il n'y a pas de hasard, il n'y a (fondamentalement) qu'une trame de possibilités en soi mutuellement dépendantes
'mazalée' a écrit : 31 oct.21, 19:46 Sur ce sujet j'ai une petite question.

Cette trame des possibles elle existe physiquement ou c'est une vue de l'esprit ?
"La trame de possibilités en soi mutuellement dépendantes" existe réellement, de la même manière qu'existent réellement ce que les physiciens nomment "variables cachées", lesquelles ne peuvent être que "non locales" comme ils disent, mais qu'ils seraient sans doute plus avisés de nommer "paramètres cachés en soi".

Cette trame n'est pas "physique" dans le sens de ce qui peut être observé ou mesuré ou constituer les données de bases exploitables dans cette science du même nom.

Ce n'est pas une vue de l'esprit, mais l'expression : "la trame de possibilités en soi mutuellement dépendantes", laquelle n'est cependant qu'une désignation conceptuelle, est ceci dit particulièrement adéquate selon moi.
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Auteur : 'mazalée'
Date : 01 nov.21, 19:42
Message : Merci.

J'imagine que les variables cachées servent aux physiciens dans leurs calculs... le champs des possibilités sert-il les physiciens ou devrait il servir les physiciens dans leurs calculs ou bien cela ne sert pas à calculer à quoi que ce soit ?
Auteur : J'm'interroge
Date : 01 nov.21, 23:06
Message :
'mazalée' a écrit : 01 nov.21, 19:42 Merci.

J'imagine que les variables cachées servent aux physiciens dans leurs calculs...
Un peu, mais de manière peu concluante pour le moment, puisque nos théoriciens n'en ont pas encore formulé de modèles satisfaisants.

Notre physique actuelle ne permet que de savoir 2 choses à leur sujets :

1) L'on ne peut pas exclure leur existence, sans quoi l'on aboutirait nécessairement à une contradiction, une aporie ou un paradoxe.

et

2) Leur existence n'est pas objective dans le sens qu'elles ne sont pas localisables : en effet, elles ne peuvent pas être conçues comme étant ici plutôt que là, ni donc en en un temps plutôt qu'en un autre, ce qui implique nécessairement qu'elles structurent l'observable positionnable dans une représentation spatio-temporelle, sans être elles-mêmes, ni positionnables, ni même observables ou mesurables.

'mazalée' a écrit : 01 nov.21, 19:42 le champs des possibilités sert-il les physiciens ou devrait il servir les physiciens dans leurs calculs ou bien cela ne sert pas à calculer à quoi que ce soit ?
Je viens de répondre en partie. Je complète en ajoutant que c'est par ou grâce à lui que tout calcul en tant qu'opération computationnelle ou cognitive possibles est faisable.

Ici, j'insiste encore sur le fait que malgré tous les efforts de ceux de nos scientifiques théoriciens qui y travaillent, un modèle théorique du champ des possibles en soi" permettant d'en tirer des prévisions observationnelles inédites, n'a pas encore été développé.
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Auteur : 'mazalée'
Date : 02 nov.21, 00:19
Message :
J'm'interroge a écrit : 01 nov.21, 23:06

Ici, j'insiste encore sur le fait que malgré tous les efforts de ceux de nos scientifiques théoriciens qui y travaillent, un modèle théorique du champ des possibles en soi" permettant d'en tirer des prévisions observationnelles inédites, n'a pas encore été développé.
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Tu veux dire que l'étude du champs des possibles pourrait prévoir des événements ?
Auteur : J'm'interroge
Date : 02 nov.21, 02:02
Message :
'mazalée' a écrit : 02 nov.21, 00:19 Tu veux dire que l'étude du champs des possibles pourrait prévoir des événements ?
Oui, l'étude d'un modèle théorique satisfaisant à son sujet, pourrait permettre de prévoir des évènements, des propriétés inédites et les conditions qu'il faut réaliser pour les constater. Tout à fait.
(Les sciences physiques avancées ET reposent toutes sur de tels modèles.)
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Auteur : ronronladouceur
Date : 02 nov.21, 04:19
Message :
J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 .

77) Faire confiance à son intuition, à son intelligence et à la nature.
Oui.
83) La découverte scientifique de l'existence de La Source, c'est sans doute comme celle de l'électricité, on y arrive obligatoirement à un certain stade de la recherche.
La marche du monde, le fait que ce qui est est en acte, donne à penser qu'une énergie est à l'œuvre.
92) La religion n'est pas un guide fiable.
À qui le dites-vous?!
99) En soi fondamentalement, ni le mal ni le Bien n'existent. Mais le fait que ni le mal ni le Bien n'existent en soi, n'implique en aucune manière que l'un et l'autre se réduisent à notions arbitraires.
D'où l'idée que l'homme est le décideur du sens.
102) Si ma liberté empiète sur celle d'un autre, c'est mal. Si pour ne pas empiéter sur celle d'un autre, je dois restreindre la mienne, c'est mal aussi.
103) Ne pas empiéter sur la liberté d'un autre sans restreindre la sienne, c'est librement choisir le Bien.
104) Il ne s'agit pas de restreindre sa liberté, mais de faire les bons choix. C'est d'un plein exercice de sa liberté dont il s'agit, non d'une restriction.
Considérant l'idée que l'on récolte ce que l'on sème, il n'est pas nécessairement mal de faire des compromis. En appeler à la loi de compensation autorégulatrice d'équilibre...
105) La liberté est la possibilité de choisir entre plusieurs options.
106) Selon les choix faits, les possibilités de choix restants peuvent très vite se restreindre.
Y a-t-il une telle liberté qui permettrait de ne pas la définir en fonction du choix? Par exemple, une pure intuition qui n'emprunterait pas une voie à croisements, comme si on n'avait pas le choix devant plusieurs possibilités, une sorte d'impératif sans que l'on se sente lésé en quoi que ce soit?
107) Ne pas choisir c'est laisser d'autres choisir à sa place au risque de perdre sa liberté.
Il y a aussi le choix de refuser de choisir. Ce qui n'empêchera pas que l'un des termes du choix puisse être compris comme choix.
110) Il n'y a pas de vérité absolue, mais il y a des vérités universelles.
Il y a dans la croyance l'inclusif de son caractère absolu. Comme quoi l'absolu ne donne pas à penser qu'il en jouirait ou en souffrirait. C'est pourquoi des croyances contraires se côtoient allègrement dans la contradiction...

Comme déjà dit, l'homme est le décideur du sens.
111) "Le réglage fin" de l'univers est une conclusion biaisée, ne tenant pas compte de la multitude des univers possibles en soi.
L'un n'empêche pas nécessairement l'autre puisque notre univers le donne à penser.
112) Il y a bien un au-delà de l'horizon physique.
Ma vision s'accommode mieux de l'à-perte-de-vue...
115) Avant de prouver l'existence de Dieu il faut déjà pouvoir prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit.
Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est l'évidence même. Évidemment, puisqu'on ne peut prouver l'absolu.
116) L'esprit participant de chaines de causalité, émergeant de celles-ci et les alimentant, il ne peut guère s'en extraire pour déterminer sa propre origine, s'il en est une.
Difficulté à la prémisse...

Vous écriviez pourtant : 115) Avant de prouver l'existence de Dieu il faut déjà pouvoir prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit.
Auteur : J'm'interroge
Date : 03 nov.21, 00:10
Message :
J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 83) La découverte scientifique de l'existence de La Source, c'est sans doute comme celle de l'électricité, on y arrive obligatoirement à un certain stade de la recherche.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 La marche du monde, le fait que ce qui est est en acte, donne à penser qu'une énergie est à l'œuvre.
Pas une énergie, il s'agit d'une intelligence.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 99) En soi fondamentalement, ni le mal ni le Bien n'existent. Mais le fait que ni le mal ni le Bien n'existent en soi, n'implique en aucune manière que l'un et l'autre se réduisent à notions arbitraires.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 D'où l'idée que l'homme est le décideur du sens.
Non justement. Pas entièrement. Si l'homme décide en partie de la direction qu'il prend et est le décideur pour ce dont il décide, il ne décide pas de ce qui bien ou mal. Le Bien et le mal ne se réduisant pas à des notion arbitraires, comme je le disais.

La primarité du nombre 101 n'existe pas en soi fondamentalement, ceci dit ce n'est pas l'homme qui décide si 101 est un nombre premier ou non, ce n'est pas arbitraire. Il en va de même pour le Bien et le mal.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 102) Si ma liberté empiète sur celle d'un autre, c'est mal. Si pour ne pas empiéter sur celle d'un autre, je dois restreindre la mienne, c'est mal aussi.
103) Ne pas empiéter sur la liberté d'un autre sans restreindre la sienne, c'est librement choisir le Bien.
104) Il ne s'agit pas de restreindre sa liberté, mais de faire les bons choix. C'est d'un plein exercice de sa liberté dont il s'agit, non d'une restriction.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Considérant l'idée que l'on récolte ce que l'on sème, il n'est pas nécessairement mal de faire des compromis.
Si le compromis ne nuit à personne, ni à l'une des parties ni à un tiers, dans ce cas un compromis peut être un bien. Il ne faut jamais oublier le ou les tiers, il y en a toujours au moins un.

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 En appeler à la loi de compensation autorégulatrice d'équilibre...
Comment formulerais-tu cette loi ?

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 105) La liberté est la possibilité de choisir entre plusieurs options.
106) Selon les choix faits, les possibilités de choix restants peuvent très vite se restreindre.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Y a-t-il une telle liberté qui permettrait de ne pas la définir en fonction du choix?
Selon moi non. Il n'y pas de liberté hors de situations où différents choix sont possibles.

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Par exemple, une pure intuition qui n'emprunterait pas une voie à croisements, comme si on n'avait pas le choix devant plusieurs possibilités, une sorte d'impératif sans que l'on se sente lésé en quoi que ce soit?
Si c'est impératif et qu'il n'y a pas de possibilité d'y résister, ce n'est pas une liberté.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 107) Ne pas choisir c'est laisser d'autres choisir à sa place au risque de perdre sa liberté.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Il y a aussi le choix de refuser de choisir. Ce qui n'empêchera pas que l'un des termes du choix puisse être compris comme choix.
Tu pourrais développer STP ? Car je n'ai pas compris ce que tu veux dire.

Refuser de choisir c'est le choix de laissez d'autres choisir à sa place. C'est un refus libre d'exercer sa liberté. C'est un renoncement.

C'est comme ça que l'on transfert sa souveraineté, et c'est ainsi que l'on devient responsable des conséquences du choix des autres.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 110) Il n'y a pas de vérité absolue, mais il y a des vérités universelles.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Il y a dans la croyance l'inclusif de son caractère absolu. Comme quoi l'absolu ne donne pas à penser qu'il en jouirait ou en souffrirait. C'est pourquoi des croyances contraires se côtoient allègrement dans la contradiction...
Je n'ai pas compris.

L'absolu dans tout les cas ne jouit ni ne souffre.

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Comme déjà dit, l'homme est le décideur du sens.
Il est décideur de la direction qu'il prend.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 111) "Le réglage fin" de l'univers est une conclusion biaisée, ne tenant pas compte de la multitude des univers possibles en soi.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 L'un n'empêche pas nécessairement l'autre puisque notre univers le donne à penser.
S'il le donne à penser, c'est par un biais de raisonnement. Il n'y a pas de réglage des paramètres initiaux, ils sont l'expression d'une possibilité parmi d'autres.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 112) Il y a bien un au-delà de l'horizon physique.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Ma vision s'accommode mieux de l'à-perte-de-vue...
Ça revient un peu au même, dans le sens que la vue ne porte pas plus loin que là jusqu'où elle porte.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 115) Avant de prouver l'existence de Dieu il faut déjà pouvoir prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est l'évidence même. Évidemment, puisqu'on ne peut prouver l'absolu.
L'absolu c'est l'absolu, c'est un concept défini, Dieu personne n'en donne une définition claire...

Parler de Dieu comme de l'absolu ne définit pas Dieu, mais l'absolu.

J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26 116) L'esprit participant de chaines de causalité, émergeant de celles-ci et les alimentant, il ne peut guère s'en extraire pour déterminer sa propre origine, s'il en est une.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Difficulté à la prémisse...

Vous écriviez pourtant : 115) Avant de prouver l'existence de Dieu il faut déjà pouvoir prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit.
Il n'y a aucune contradiction.

L'origine de l'esprit ou son cadre structurel c'est une chose, le fait que le cerveau n'en est pas le siège en est une autre.

Prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit est à notre portée et ne présente pas de difficultés particulières, selon moi il y a même déjà des données expérimentales qui le prouvent.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 03 nov.21, 06:53
Message :
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 En appeler à la loi de compensation autorégulatrice d'équilibre...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10 Comment formulerais-tu cette loi ?
Un vide créé par une perte permettra à autre chose de se présenter...
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Y a-t-il une telle liberté qui permettrait de ne pas la définir en fonction du choix? Par exemple, une pure intuition qui n'emprunterait pas une voie à croisements, comme si on n'avait pas le choix devant plusieurs possibilités, une sorte d'impératif sans que l'on se sente lésé en quoi que ce soit?
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10Selon moi non. Il n'y pas de liberté hors de situations où différents choix sont possibles.
Si c'est impératif et qu'il n'y a pas de possibilité d'y résister, ce n'est pas une liberté.
Vous laissiez entendre que le choix va toujours pour le bien (si j'ai bien compris. Mais n'y a-t-il pas des choix pour le mal en toute connaissance de cause - par exemple quelqu'un se fera sauter au mépris de sa propre vie tout? Mon commentaire ici vaut aussi pour la relativité ou l'arbitraire quant à la considération du bien et du mal...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10 Refuser de choisir c'est le choix de laissez d'autres choisir à sa place. C'est un refus libre d'exercer sa liberté. C'est un renoncement.
Pas nécessairement..

Je me souviens d'une femme qui avait manifesté son désir de coucher avec moi. Je lui ai indiqué que je ne voulais pas considérer sa requête comme un choix, comme si elle ne m'avait jamais posé la question... Elle me mettait en face d'un choix? Mais avais-je le choix de cette situation? N'étant donc pas libre au point de départ, comment pouvais-je être libre d'un choix?

Elle n'a pas eu à choisir à ma place. Mais j'imagine qu'on peut trouver des exemples de situations vous donnant raison.

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 Ma vision s'accommode mieux de l'à-perte-de-vue...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10Ça revient un peu au même, dans le sens que la vue ne porte pas plus loin que là jusqu'où elle porte.
Je parlais de l'œil de l'esprit...
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est l'évidence même. Évidemment, puisqu'on ne peut prouver l'absolu.
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10L'absolu c'est l'absolu, c'est un concept défini, Dieu personne n'en donne une définition claire...
Parler de Dieu comme de l'absolu ne définit pas Dieu, mais l'absolu.
L’absolu en tant que tel transcende probablement toute définition. Personnellement je le définis comme ce-sans-quoi-rien-ne-serait... Dieu peut aussi répondre à cette définition...
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10L'origine de l'esprit ou son cadre structurel c'est une chose, le fait que le cerveau n'en est pas le siège en est une autre.

Prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit est à notre portée et ne présente pas de difficultés particulières, selon moi il y a même déjà des données expérimentales qui le prouvent.
Je ne crois pas que nous en soyons là...
Auteur : J'm'interroge
Date : 05 nov.21, 02:01
Message :
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19 En appeler à la loi de compensation autorégulatrice d'équilibre...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10 Comment formulerais-tu cette loi ?
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 Un vide créé par une perte permettra à autre chose de se présenter...
Ok, je saisis mieux l'idée.

Il existe effectivement un principe de compensation.

J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10Il n'y pas de liberté hors de situations où différents choix sont possibles.
Si c'est impératif et qu'il n'y a pas de possibilité d'y résister, ce n'est pas une liberté.
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 Vous laissiez entendre que le choix va toujours pour le bien (si j'ai bien compris. Mais n'y a-t-il pas des choix pour le mal en toute connaissance de cause - par exemple quelqu'un se fera sauter au mépris de sa propre vie tout? Mon commentaire ici vaut aussi pour la relativité ou l'arbitraire quant à la considération du bien et du mal...
Il n'y a pas d'opposition entre le fait qu'il est possible de choisir le mal en connaissance de cause et le fait que tout concours néanmoins au Bien, notamment en réaction à ce mal, sachant que des choix sont faits par d'autres en réactions des mauvais choix des uns et qu'il existe de nombreux "mécanismes" de régulations et de compensations. S'il y bien a relativité, en revanche il n'y a rien d'arbitraire en ce qu'un mal en est un quand c'en est un, que ce n'est donc pas un bien, ni en ce qu'un bien en est un quand c'en est un, et que ce n'est donc pas un mal.

Un mal pour un bien ou un bien pour un mal ça n'existe pas en dehors d'une façon de parler. Soit c'est un mal, soit c'est un bien, soit c'est indécidable. Mais, un mal peut toujours être pris à tort pour un bien et inversement. Comme un mal ou un bien peuvent toujours être pris à tort pour un indécidable et inversement.

J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10 Refuser de choisir c'est le choix de laissez d'autres choisir à sa place. C'est un refus libre d'exercer sa liberté. C'est un renoncement.
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 Pas nécessairement..

Je me souviens d'une femme qui avait manifesté son désir de coucher avec moi. Je lui ai indiqué que je ne voulais pas considérer sa requête comme un choix, comme si elle ne m'avait jamais posé la question... Elle me mettait en face d'un choix? Mais avais-je le choix de cette situation? N'étant donc pas libre au point de départ, comment pouvais-je être libre d'un choix?

Elle n'a pas eu à choisir à ma place. Mais j'imagine qu'on peut trouver des exemples de situations vous donnant raison.
Examinons cet exemple que tu donnes :

- Pour ce qui te concernait :

Tu étais bien devant un choix, celui d'accepter ou de refuser ses avances, tu as choisi. Cet exemple n'illustre pas une situation où tu n'aurais pas fais ou n'eu a faire un choix.

- Pour ce qui la concernait :

Elle t'a laissé choisir, tu as choisi pour elle.

Le fait que tu n'aies pas considéré sa requête comme t'invitant à faire un choix, t'a bien mis devant un choix. Tu n'as pas refusé de choisir, tu as fait ton choix. Et même s'il était déjà fait, sa requête t'a permis de le confirmer.

ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 Je parlais de l'œil de l'esprit...
?

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est l'évidence même. Évidemment, puisqu'on ne peut prouver l'absolu.
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10L'absolu c'est l'absolu, c'est un concept défini, Dieu personne n'en donne une définition claire...
Parler de Dieu comme de l'absolu ne définit pas Dieu, mais l'absolu.
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 L’absolu en tant que tel transcende probablement toute définition. Personnellement je le définis comme ce-sans-quoi-rien-ne-serait... Dieu peut aussi répondre à cette définition...
Je ne suis pas d'accord, car :

Dans l'absolu, absolument tout est indispensable à tout et indissociable de tout le reste.

J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10L'origine de l'esprit ou son cadre structurel c'est une chose, le fait que le cerveau n'en est pas le siège en est une autre.

Prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit est à notre portée et ne présente pas de difficultés particulières, selon moi il y a même déjà des données expérimentales qui le prouvent.
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53 Je ne crois pas que nous en soyons là...
Et pourtant si, notamment avec la plausibilité démontrée (à plus de 5-sigma) de la précognition inconscience, celle-ci se caractérisant par des réactions corporelles involontaires en réaction à un stress émotionnel lequel ne s'est pas encore produit et avant que l'élément déclencheur de ce stress ne se produise.

C'est tellement troublant que ça a fait que certains méthodologistes ont réagit en remettant en question la preuve par P-value.
Autrement dit : pour les expériences sur la précognition inconsciente dont je parle, celles-ci ont montré que la probabilité que ce soit dû au hasard est inférieure à 1 chance sur 3,5 millions !
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Auteur : ronronladouceur
Date : 05 nov.21, 03:43
Message :
J'm'interroge a écrit : 05 nov.21, 02:01 Un mal pour un bien ou un bien pour un mal ça n'existe pas en dehors d'une façon de parler. Soit c'est un mal, soit c'est un bien, soit c'est indécidable. Mais, un mal peut toujours être pris à tort pour un bien et inversement. Comme un mal ou un bien peuvent toujours être pris à tort pour un indécidable et inversement.
Le bien, le mal n'existerait pas en soi. Selon ce qu'en dit dieu dans Conversation avec dieu, la question est plutôt liée à ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas compte tenu d'un certain but.
Elle t'a laissé choisir, tu as choisi pour elle.
Examinons cet exemple que tu donnes :

- Pour ce qui te concernait :

Tu étais bien devant un choix, celui d'accepter ou de refuser ses avances, tu as choisi. Cet exemple n'illustre pas une situation où tu n'aurais pas fais ou n'eu a faire un choix.

- Pour ce qui la concernait :
Le fait que tu n'aies pas considéré sa requête comme t'invitant à faire un choix, t'a bien mis devant un choix. Tu n'as pas refusé de choisir, tu as fait ton choix. Et même s'il était déjà fait, sa requête t'a permis de le confirmer.


Je n'ai pas choisi pour elle... Son choix à elle était implicite : elle voulait coucher avec moi...
J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26112) Il y a bien un au-delà de l'horizon physique.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Ma vision s'accommode mieux de l'à-perte-de-vue...
J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26Ça revient un peu au même, dans le sens que la vue ne porte pas plus loin que là jusqu'où elle porte.
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Je parlais de l'œil de l'esprit...
J'm'interroge a écrit : 31 oct.21, 01:26?
L'imagination (l'esprit) porte plus loin...

En réfléchissant justement à la limite lointaine, j'en suis arrivé à une vision-compréhension... Je l'ai traduite dans la formule: ''Rapprocher l'éloignement si près que les limites s'estompent peu à peu... Encore plus près... Et cligne de l'œil l'incommensurable''...
ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est l'évidence même. Évidemment, puisqu'on ne peut prouver l'absolu.
ronronladouceur a écrit : L’absolu en tant que tel transcende probablement toute définition. Personnellement je le définis comme ce-sans-quoi-rien-ne-serait... Dieu peut aussi répondre à cette définition...
J'm'interroge a écrit : 05 nov.21, 02:01- Dans l'absolu, absolument tout est indispensable à tout et indissociable de tout le reste.
-L'absolu c'est l'absolu, c'est un concept défini, Dieu personne n'en donne une définition claire...
Parler de Dieu comme de l'absolu ne définit pas Dieu, mais l'absolu.
- Je ne suis pas d'accord, car : Dans l'absolu, absolument tout est indispensable à tout et indissociable de tout le reste.
Chacun peut y aller de sa définition de dieu. Quant à affirmer que c'est là sa définition absolue...

Je fonde l'absolu dans l'idée que rien ne naît de rien et qu'il a toujours fallu quelque chose, quoi que cela soit. Je comprends aussi que l'impossibilité de prouver dieu dit quelque chose de dieu, en définit un aspect, si vous voulez (sans que je prétende en faire le tour). L'impossibilité de prouver dieu peut aussi me dire de lui qu'il répond à l'idée d'''évidence même''... D'où cet autre pensée pour moi-même (merci pour l'idée) : ''Le défaut de voir tient-il au fait qu'on en a plein la vue?...

Et je suis certes d'accord avec vous lorsque vous écrivez ''Dans l'absolu, absolument tout est indispensable à tout et indissociable de tout le reste.''

Je reviendrai pour la suite...
Auteur : J'm'interroge
Date : 05 nov.21, 08:45
Message :
J'm'interroge a écrit : 05 nov.21, 02:01 Un mal pour un bien ou un bien pour un mal ça n'existe pas en dehors d'une façon de parler. Soit c'est un mal, soit c'est un bien, soit c'est indécidable. Mais, un mal peut toujours être pris à tort pour un bien et inversement. Comme un mal ou un bien peuvent toujours être pris à tort pour un indécidable et inversement.
ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 03:43 Le bien, le mal n'existerait pas en soi. Selon ce qu'en dit dieu dans Conversation avec dieu, la question est plutôt liée à ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas compte tenu d'un certain but.
Oui, je l'ai dit aussi, le bien et le mal n'existent pas en soi, ils existent relativement aux finalités, lesquelles passent par des objectifs et des choix.

Ceci dit tu sembles plutôt parler d'efficacité et d'efficience...

ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 03:43 Je n'ai pas choisi pour elle... Son choix à elle était implicite : elle voulait coucher avec moi...
Tu confonds choix et désirs.

En te posant la question elle t'a laissé décider. Elle n'avait sans doute pas choisi ou eu la possibilité de te contraindre...

Le choix qu'elle a fait c'était de te poser la question.

ronronladouceur a écrit : 02 nov.21, 04:19Il n'y a pas de preuve possible à l'existence de dieu, c'est Chacun peut y aller de sa définition de dieu. Quant à affirmer que c'est là sa définition absolue...
Ça n'existe pas. Une définition absolue n'est pas possible.

Tu veux sans doute parler d'une définition ultime ?

ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 03:43 L'impossibilité de prouver dieu peut aussi me dire de lui qu'il répond à l'idée d'''évidence même''... D'où cet autre pensée pour moi-même
L'évidence même c'est l'évidence même, ce n'est pas un concept. Ce n'est ni un concept de Dieu, ni un autre concept.

ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 03:43 (merci pour l'idée) : ''Le défaut de voir tient-il au fait qu'on en a plein la vue?...
Nous ne voyons que ce que nous sommes capables de voir.

ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 03:43 Et je suis certes d'accord avec vous lorsque vous écrivez ''Dans l'absolu, absolument tout est indispensable à tout et indissociable de tout le reste.''
Je vais la rajouter celle-là.
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Auteur : ronronladouceur
Date : 05 nov.21, 09:32
Message : Suite...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10L'origine de l'esprit ou son cadre structurel c'est une chose, le fait que le cerveau n'en est pas le siège en est une autre.
Prouver que le cerveau n'est pas le siège de l'esprit est à notre portée et ne présente pas de difficultés particulières, selon moi il y a même déjà des données expérimentales qui le prouvent.
ronronladouceur a écrit : 03 nov.21, 06:53Je ne crois pas que nous en soyons là...
J'm'interroge a écrit : 03 nov.21, 00:10Et pourtant si, notamment avec la plausibilité démontrée (à plus de 5-sigma) de la précognition inconscience, celle-ci se caractérisant par des réactions corporelles involontaires en réaction à un stress émotionnel lequel ne s'est pas encore produit et avant que l'élément déclencheur de ce stress ne se produise.

C'est tellement troublant que ça a fait que certains méthodologistes ont réagit en remettant en question la preuve par P-value.
Autrement dit : pour les expériences sur la précognition inconsciente dont je parle, celles-ci ont montré que la probabilité que ce soit dû au hasard est inférieure à 1 chance sur 3,5 millions !
Ça me rappelle les commentaires de certains médias quant à la réaction des animaux peu avant le tsunami de Sumatra en 2004. (mythe ou réalité?)... Me vient à l’esprit l’image de filaments invisibles ou encore d’une grille (Kreyon) où tout bougerait en interaction (grosso modo). À ce compte-là, heureux filtre qui fait en sorte que nous ne recevions pas tout en bloc...

Quant à la conscience hors du cerveau, je partage cette idée, quoi je ne pense pas, encore une fois, que nous en soyons là. Mais explorant un peu cette idée, cela pourrait-il signifier que le cerveau serait dans la conscience plutôt que le contraire, et partant ainsi que le monde? Une autre question demeurerait quant à la localisation de ladite conscience...

À moins d’indication contraire, les travaux du réputé neurologue belge Steven Laureys ne permettent pas encore de l’affirmer.
Auteur : J'm'interroge
Date : 05 nov.21, 23:02
Message :
ronronladouceur a écrit : 05 nov.21, 09:32 À ce compte-là, heureux filtre qui fait en sorte que nous ne recevions pas tout en bloc...
Ça ne serait pas gérable. C'est pourquoi il y a répartition et partage des tâches.
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