Résultat du test :

Auteur : Franck Barron
Date : 30 sept.15, 11:01
Message : Le ressentie peut être plaisant, déplaisant ou neutre, c'est son attachement qui provoque la souffrance, la forme s'attache à la corporalité et les rapports que nous avons à notre corps, les perceptions peuvent être bénéfiques, mauvaises ou indéterminés et s'attachent aux états de conscience que l'on peut expérimenté, la connaissance s'attache à l'idée de savoir ou de ne pas savoir, les formations volitionnelle s'attachent aux concepts qui nous font croire à une dualité.
Hors le fait de ne pas croire que nous sommes indivisible de notre mental et de nos 5 sens est cause de souffrance, tous ces agrégats sont de nature non individuelle, ne pas les reconnaître comme tel est cause de souffrance, commencé à s'en rendre compte est le chemin vers l'éveil, le fait de croire à leur absence de permanence cause de leur absence d'individualité est le premier pas.
Un exemple de souffrance, vous dites à une personne que le message de Siddhartha a disparu qu'il est presque impossible de comprendre ce qu'il dit aujourd'hui,  au fil du temps par dissolution du sens de base de la langue d'origine et par les déformations successives de l'interprétation de ce qu'il a dit. Vous voyez que la personne vous croit, et a de la souffrance dans son regard de savoir cela. c'est la souffrance crée par un des cinq agrégats, la connaissance. De ne pas comprendre nous pouvons éprouvé aussi de la souffrance.
Nous pouvons crée de la souffrance aussi par les formations volitionnelles, ce qui nait de notre inconscient, nous pensons que ? est le meilleur président, chaque fois que l'on dit du mal de lui nous éprouvons de la souffrance, parce que nous sommes attachés à notre jugement, notre inconscient qui juge et nous fait souffrir. De discriminer crée aussi de la souffrance.
Si nous sommes attachés à notre manque d'apparence, ou à notre apparence nous souffrons.
Même si nous mangeons quelque chose, par le ressentie nous pouvons éprouver de la souffrance parce que nous sommes attachés à la bouffe, et le fait de ne plus en manger nous éprouvons de la souffrance, ou de trop manger aussi.
Nos absences de perception crée de la souffrance, un excès de perception en crée aussi, un aveugle peut souffrir de ne pas voir parce qu'il s'attache a ce manque, s’étourdir a écouter de la musique.
Nous souffrons tous sur les mêmes choses, mais ce qu'il faut comprendre, c'est que nous sommes tous formés de ces 5 agrégats et c'est ce qui nous fait souffrir.

Il s'agit du message original, je n'apprécie pas trop la plaisanterie

"il y a une chaîne toujours récurrente de causalité qui ne peut être niée en aucune circonstance, et c'est pourquoi nous ne pouvons parler de quoi que ce soit qui en vienne à une fin de cessation"
Sutra de l'Avatar du Lakanvatara.
C'est la doctrine des scientistes, qui ni la notion de karma, de libre arbitre, de notre liberté d'agir, de progrès, de changement. Ils voient les choses de manière linéaire, quelque chose né forcement de quelque chose, il ne comprenne pas que les causes n'ont aucune origine, les causes et les conséquence ne peuvent pas cessé selon eux,
leur fausse imagination a pour principal de leur faire croire à la matérialité et permanence de leur concept sans origine. Ils inventent des liens logiques qui les maintiennent dans la souffrance de la permanence du moi.
 Il n'y a qu'en math que les choses s'accomplissent pareil, en étant la même chose, dans les mêmes conditions, la réalité et aucun être vivant n’obéit à ce principe, l'impermanence montre que les choses se produisent, pas qu'elles ont une matérialité, et statistiquement on ne peut produire que des probabilités, en science on reproduit le résultat, parce qu'on limite le périmètre de l'expérience à ce que l'on mesure, mais ce n'est pas le cas au niveau quantique ou les choses sont indéterminables, la logique crée ainsi des liens qui n'existent pas sur des choses sans permanence, sans matérialité, dans le même cas, dans les sciences de l'esprit.
Auteur : jeudi
Date : 13 nov.16, 03:52
Message : "Qui parmi vous n’a pas entendu dire que la vie est une école ?…

Si vous aviez vraiment compris ce que cela signifie, devant chaque nouvelle difficulté vous accepteriez d’avoir là de nouveaux exercices à faire, et vous diriez : « Ah ! Voilà encore une occasion de progresser ! » Et après avoir surmonté cette difficulté, vous vous réjouiriez comme l’étudiant qui a été reçu à un examen.

Un sage ne peut pas rester indifférent aux plaintes de ceux qui viennent lui confier leurs déceptions et leurs souffrances. Mais il est obligé de constater que leur mal vient tout d’abord de leur ignorance de cette vérité première : nous sommes tous venus sur la terre pour étudier, nous exercer.

La plupart sont persuadés qu’ils ne sont là que pour connaître la facilité, le confort, les richesses, l’amour des autres, comme si cela leur était naturellement dû.

Eh non, tout cela n’est pas dans les projets de l’Intelligence cosmique. L’Intelligence cosmique veut que les humains soient heureux, mais elle a fait les choses de telle sorte qu’ils ne trouveront le bonheur qu’en développant leur nature supérieure. Or, la nature supérieure ne se développe pas dans le confort et la facilité."

Omraam Mikhaël Aïvanhov
Auteur : Kar Anetasaur
Date : 07 févr.17, 22:23
Message : La souffrance est inhérente à la vie. Il faut l'accepter
Auteur : Coeur de Loi
Date : 08 févr.17, 00:03
Message : Bouddha a dit :
"Je n'enseigne qu'une seule chose, qu'est ce que la souffrance et comment s'en libérer."

Hommage aux Bouddhas et aux Êtres d'éveils leurs vrais disciples.
Auteur : Navam
Date : 08 févr.17, 03:31
Message :
Coeur de Loi a écrit :Bouddha a dit :
"Je n'enseigne qu'une seule chose, qu'est ce que la souffrance et comment s'en libérer."

Hommage aux Bouddhas et aux Êtres d'éveils leurs vrais disciples.
Encore une incohérence de plus ... C'est ça quand on pioche à gauche et à droite en faisant du new-âge ...
Ce qu'enseigne Bouddha est contraire à la vision de la Bible sur la souffrance.

Comment se libérer soi-même de la souffrance alors qu'il n'y a que Dieu qui puisse le faire ? :non:

Comment se libérer de la souffrance alors que la Bible dit que le disciple souffre et que cela est inévitable ?

- Le malheur ne sort pas de la poussière, et la souffrance ne germe pas du sol; l’homme naît pour souffrir, comme l’étincelle pour voler.  (Job 5:6-7)
L'homme naît pour souffrir et toi tu crois t'en libérer tout seul ? Il faut choisir entre Bouddha et Jésus ...
D'ailleurs c'est ce que dit la suite :
- Pour moi, j’aurais recours à Dieu, et c’est à Dieu que j’exposerais ma cause. Il fait des choses grandes et insondables, des merveilles sans nombre; Il répand la pluie sur la terre, et envoie l’eau sur les campagnes; Il relève les humbles, et délivre les affligés;  (Job 5:8-11)
Tu comprends là ? J'aurais recours à Dieu et non pas à Bouddha et ses enseignements ... Pensant me délivrer moi-même ...

- Le malheur atteint souvent le juste, mais l’Eternel l’en délivre toujours.(psaumes 34:19)
C'est donc l'Eternel qui délivre et non pas toi-même ...

Si l'homme souffre c'est parceque Dieu le veut et qu'il y a un apprentissage à retenir à travers cette souffrance.
- Souviens-toi de tout le chemin que l’Eternel, ton Dieu, t’a fait faire pendant ces quarante années dans le désert, afin de l’humilier et de t’éprouver, pour savoir quelles étaient les dispositions de ton coeur et si tu garderais ou non ses commandements. Il t’a humilié, il t’a fait souffrir de la faim, et il t’a nourri de la manne, que tu ne connaissais pas et que n’avaient pas connue tes pères, afin de t’apprendre que l’homme ne vit pas de pain seulement, mais que l’homme vit de tout ce qui sort de la bouche de l’Eternel.  (Deutéronome 8:2-3)

Si Dieu te fait souffrir c'est parcequ'il t'aime et toi tu veux te libérer de cette souffrance ? ...
- Reconnais en ton coeur que l’Eternel, ton Dieu, te châtie comme un homme châtie son enfant.  (Deutéronome 8:5)

Quelque soit la cause de souffrance, il n'y a que Dieu qui puisse la soulager ...
- Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.(Matthieu 11:28)
- le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement,  (2 Pierre 2:9)
- Mais Dieu sauve le malheureux dans sa misère, et c’est par la souffrance qu’il l’avertit. (Job 36:15)

C'est par la souffrance que Dieu permet à l'homme d'être sauvé ... Et toi tu veux t'en libérer ?

Bon j'arrête là car il y a beaucoup de passages dans la Bible sur les causes de la souffrance et sur le fait que c'est une volonté de Dieu et que seul lui peut libérer de cette souffrance.

Donc tu vois, encore une preuve que tu fais du new-âge en prenant ce qui t'arrange entre le bouddhisme et le christianisme.

Au plaisir ! :Bye:
Auteur : Coeur de Loi
Date : 08 févr.17, 04:02
Message : Je ne peux pas faire du new age puisque je ne mélange pas les 2, je pense moi que ce n'est pas contradictoire.

Pour moi c'est 2 disciplines différences, ce n'est pas contradictoire tout comme les maths ne contredisent pas l'histoire.
Auteur : Navam
Date : 08 févr.17, 04:47
Message :
Coeur de Loi a écrit :Je ne peux pas faire du new age puisque je ne mélange pas les 2, je pense moi que ce n'est pas contradictoire.

Pour moi c'est 2 disciplines différences, ce n'est pas contradictoire tout comme les maths ne contredisent pas l'histoire.
Je viens de te prouver que c'est contradictoire ...

Les deux apportent des solutions sur la souffrance ! Elles parlent donc du même sujet avec des solutions différentes ... Chose que n'as pas voulu voir ou plutôt que tu préfères ne pas voir ...

Les maths parlent de Math et l'histoire de l'histoire. Et donc n'ont pas le même sujet ...

Tu racontes vraiment n'importe quoi décidément ...

Alors explique moi en quoi les solutions apportées par Bouddha sont elles compatibles avec celles de la Bible que je rigole un peu ...

Je vais attendre longtemps ...
Auteur : Coeur de Loi
Date : 08 févr.17, 05:11
Message : Ben c'est simple, le Bouddha demande un comportement éthique, hors Dieu jugera les actes aussi.

Donc même s'il ne connait pas Dieu, le bouddhiste aura un avantage à sa bonne conduite lors du jugement, il sera moins puni et plus récompensé, donc moins de souffrance.

Car Dieu apporte une solution définitive, le Bouddha apporte une solution provisoire pour que de vie en vie il se rapproche du paradis, par l'éthique, la méditation, etc...
Auteur : Navam
Date : 08 févr.17, 06:01
Message : Mdrr !
Et donc Jésus ne demande pas un comportement éthique ? ... De mieux en mieux ... À piocher à droite et à gauche on s'emmêle les pédales hein. ;)
Quand on ne sait pas quoi dire on invente des choses pour se complaire et surtout essayer de sauver les apparences ...
Libérer de la souffrance ne signifie pas provisoirement ...

Bref laisse tomber je ne veux pas te déranger plus que ça dans ta dissonance ... ;)
Auteur : jeudi
Date : 15 avr.17, 10:37
Message :
deTox a écrit :La souffrance est inhérente à la vie. Il faut l'accepter
La souffrance est un choix.. On peut l'éviter en regardant nos épreuves sous un autres angles. Des tas de gens ayant de tristes épreuves à passer ont su trouver de la joie en changeant leur regard sur ce qu'il leur arrive et acceptent.

A partir du moment où l'on accepte ce qui ne peut être changé, on enlève de la souffrance à la souffrance
Lorsque l'on refuse les choses devant nous qui ne peuvent être changées, on rajoute de la souffrance à la souffrance
Auteur : Coeur de Loi
Date : 15 avr.17, 22:37
Message :
Coeur de Loi a écrit :Bouddha a dit :
"Je n'enseigne qu'une seule chose, qu'est ce que la souffrance et comment s'en libérer."
Oui, le monde est souffrance, même au paradis il reste de la souffrance, car c'est le Samsara : le cycle des morts et des renaissances, de l'enfer, la Terre et au paradis selon les mérites.
Le Bouddha enseigne le Nirvana, l'au delà des peines, l'au dela du Samsara, qui permet de ne plus renaitre, de ne plus souffrir, c'est là le but à atteindre.

"Je vais là où la mort meurt et où l'agonie agonise" Bouddha

http://www.forum-religion.org/spiritual ... 28722.html
Auteur : jeudi
Date : 15 avr.17, 22:55
Message : Le bonheur c'est un état d'esprit, il apparaît quand on arrête le jugement (les pensées toxiques, l'imagination) et que l'on choisit de ne pas tenir compte de ce qui s'est passé mais de ne tenir compte que de ce qui arrive dans le présent. (ça évite les croyances, les préjugés et les malentendus ).

Nous passons notre temps à penser à la place des autres... D'imaginer ce que l'autre pense de nous. Et ça nous rend malheureux. Les autres qui font de même...imaginez un peu la vie que nous nous créons les uns les autres... un monde d'illusion et de souffrance...
Auteur : Coeur de Loi
Date : 16 avr.17, 00:26
Message : Il y a une marge de manoeuvre par l'esprit mais c'est très limité.
Le véritable salut et bonheur se trouve dans le Nirvana, au delà du cycle : naissance, maladie, vieillesse et mort.

L'illusion c'est de croire qu'on peut être heureux dans le monde si seulement on avait le truc qui rend heureux... c'est ça l'illusion !
Auteur : jeudi
Date : 16 avr.17, 09:57
Message :
Coeur de Loi a écrit :Il y a une marge de manoeuvre par l'esprit mais c'est très limité.
Le véritable salut et bonheur se trouve dans le Nirvana, au delà du cycle : naissance, maladie, vieillesse et mort.

L'illusion c'est de croire qu'on peut être heureux dans le monde si seulement on avait le truc qui rend heureux... c'est ça l'illusion !
Le truc c'est d'arrêter de juger et d'être dans l'illusion.. La vérité se trouve dans le présent. Dans le présent n'existe que ce qui est, donc tout est réel... C'est d'ailleurs le seul instant qui l'est... Notre bonheur dépend du regard que l'on pose sur les choses... Ca s'apprend...
Auteur : indian1indian1
Date : 18 avr.17, 04:23
Message :
jeudi a écrit :Le truc c'est d'arrêter de juger et d'être dans l'illusion.. La vérité se trouve dans le présent. Dans le présent n'existe que ce qui est, donc tout est réel... C'est d'ailleurs le seul instant qui l'est... Notre bonheur dépend du regard que l'on pose sur les choses... Ca s'apprend...

yep,
ca s'apprend... soit de prendre conscience des effets que nous sommes comme causes.
Cette impermanence, cette renaissance, karmique, suites logiques de tous les instants.
Auteur : Inti
Date : 21 avr.17, 12:23
Message : La connaissance rend heureux. L'obscurantisme rend malheureusement malheureux. Un clair obscur confortable pour les hypersensibles à lumière. :hum: :hi:
Auteur : yacoub
Date : 22 avr.17, 04:42
Message : Il y a connaissances et connaissances les grands savants de l'islam sont des abrutis
Auteur : jeudi
Date : 22 avr.17, 09:53
Message : La connaissance c'est la connaissance. ..
Auteur : Franck Barron
Date : 21 août17, 07:32
Message : Voilà qui précise mieux ce que j'explique :

Quatre nobles vérités

-Tous ce que nous expérimentons est impermanent, la connaissance, le ressentie, les perceptions, la corporalité, les formations mentales.
-Tous les êtres vivants subissent l'insatisfaction, la souffrance à cause de cela.
- La croyance que les phénomènes existent de façon isolés et autonomes sont causes de souffrance, ainsi que le désir et l'aversion.
-La quatrième noble vérité est celle du chemin menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est

Le « noble sentier octuple » : vision correcte, pensée correcte, parole correcte, action correcte, profession correcte, effort correct, attention correcte et méditation correcte

Nibbana

A cause d'une baisse de luminosité saisonnière parce que je perçois je souffre à travers le sens de la vue, je m'identifie a ce que je vois, je souffre parce que je m'identifie a quelque chose d'impermanent, la baisse de luminosité. La connaissance est impermanente, l'attente, l'ignorance, et la souffrance que cela provoque, l'impermanence du su, de ne pas savoir ce qui va arriver, ou de pas connaitre de quoi il s'agit. Mon corps aussi est impermanent, coupable d'avoir créer une attache et de souffrir du mal être de mon apparence en créant un soi. L'impermanence aussi par l'agrégat du ressenti, l'attachement a ce qui est plaisant ou déplaisant, quelqu'un qui s'attache a la nourriture en souffre par rapport à quelqu'un qui se contente simplement de manger et ne crée aucun mal être en ne s'identifiant pas à ce qu'il mange. J'aime ou je déteste des choses qui me font souffrir car je projette mon mal être en l'identifiant à moi même, je crée des formations mentales qui n'ont pas de soi et vouloir en définir un est cause de la souffrance car c'est vouloir créer une permanence qui est une création de l'esprit. La volition même qui implique un je est une des principales base de la souffrance, crée des concepts qui nous rattache a une identification, alors que tous ce que l'on identifie à soi-même est cause de souffrance, car on s'identifie a quelque choses d'impermanent qui n'a pas de soi, comme souffrir du concept de la faute d'orthographe au seul faite dans voir une.

S'approprier un je est la plus grande des erreurs, le sage sait qu'il n'existe aucune barrière entre les agrégats, et ne s’approprie pas au caractère transitoire de son ressenti, de ce qu'il perçoit, de la manière dont son inconscient incrimine ou discrimine, de savoir ou de ne pas savoir, de sa propre apparence physique, ne s'attache pas en créant l'illusion du caractère permanent des agrégats, car il sait que c'est cause de souffrance.

Un exemple de souffrance, vous dites à une personne que le message d'un éveillé a disparu qu'il est presque impossible de comprendre ce qu'il dit aujourd'hui, au fil du temps par dissolution du sens de base de la langue d'origine et par les déformations successives de l'interprétation de ce qu'il a dit. Vous voyez que la personne vous croit, et a de la souffrance dans son regard de savoir cela, c'est la souffrance crée par un des cinq agrégats, la connaissance. De ne pas savoir nous pouvons éprouver aussi de la souffrance, Il ne sait pas à quelle heure sera le rendez vous, il s'angoisse pour cela. Nous pouvons créer de la souffrance aussi par les formations volitionnelles, ce qui naît de notre inconscient, nous pensons que Chirac est le meilleur président, chaque fois que l'on dit du mal de lui nous éprouvons de la souffrance, parce que nous sommes attachés à notre jugement, notre inconscient qui juge et nous fait souffrir. De discriminer crée aussi de la souffrance. Une personne s’insupporte de voir des fautes d'orthographes, que ce soi un problème ou pas, qu'il est raison ou tord, il a des écoulements mentaux que son jugement lui procure, il a des vagues de tristesses et ne parvient pas à garder son calme, parce qu'il s'attache à des concepts. Si nous sommes attachés à notre manque d'apparence, ou à notre apparence nous souffrons, seul agrégat physique. Ainsi une personne est coquette, elle se juge tellement en fonction de son apparence qu'elle souffre de cette soumission. Même si nous mangeons quelque chose, par le ressenti nous pouvons éprouver de la souffrance parce que nous sommes attachés à la bouffe, et le fait de ne plus en manger nous éprouvons de la souffrance, ou de trop manger aussi. Une autre personne se sent pas bien parce qu'il n'a pas fait sa séance de yoga hebdomadaire. Nos absences de perceptions créent de la souffrance, un excès de perceptions en créent aussi, un aveugle peut souffrir de ne pas voir parce qu'il s'attache a ce manque. Ainsi nous sommes tous formés de ces cinq agrégats.
Le ressentie peut être plaisant, déplaisant ou neutre, c'est son attachement qui provoque la souffrance, la forme s'attache à la corporalité et les rapports que nous avons à notre corps, les perceptions peuvent être bénéfiques, mauvaises ou indéterminés et s'attachent aux états de consciences que l'on peut expérimenter, la connaissance s'attache à l'idée de savoir ou de ne pas savoir, les formations volitionnelles s'attachent aux concepts qui nous font croire à une dualité.

Tous ces actes contre nature procurent des perturbations mentales à travers les 5 sens et le mental, une juste pensée, vision, action par une parole et un moyen d'existence juste, en s'établissant dans l'effort, la concentration, l'attention, juste, par une parfaite compréhension des cinq agrégats mènent à l'éveil.

Parole juste : Ne pas bavarder sur internet dans la futilité, la mythomanie, l'imposture, comme sur nombre de forum bouddhiste.
Action juste : Ne pas propager de fausse parole ou inexact, au même endroit que précédemment.
Moyen d'existence juste : Qui ne porte pas atteinte aux êtres
Vision juste : Avoir une compréhension juste des phénomènes.
Pensée juste : Être libéré d'avidité, de haine, d'ignorance.
Effort juste : Vaincre ce qui est défavorable et d'entreprendre ce qui est favorable
Concentration Juste : Évité les perturbations mentales pour s'établir dans la voie
Attention juste : Attention à nos phénomènes mentaux à travers nos cinq sens et le mental

Nous percevons à travers notre regard, notre touché, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.
Nous ressentons à travers notre regard, notre touché, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.
Nous connaissons à travers notre regard, notre touché, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.
Nous nous attachons à notre corps à travers, notre regard, notre touché, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.
Nous expérimentons les formations mentales, à travers à travers, notre regard, notre touché, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Il ne faut pas confondre sagesse émise avec sagesse reçue, la sagesse est d'accepter les émotions sans si attacher, pas de les repousser ou de les garder en soi, les émotions ne se contrôlent pas. Méditer sert à regarder passer ses flux mentaux sans si attacher, on peut s'attacher a son corps, à son ressentie, a ses perceptions, a sa pensée, à sa connaissance. S'attacher a sa pensée, c'est s'attacher a des concepts. Une pensée n'est pas de deux, un corps n'est pas de deux, aucun agrégat n'est de deux, la somme des agrégats n'est pas de deux, nous ne sommes pas de deux.

Ce que nous percevons à travers notre regard n'est pas de soi.
Ce que nous percevons à travers notre touché n'est pas de soi.
Ce que nous percevons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.
Ce que nous percevons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.
Ce que nous percevons à travers nos oreilles n'est pas de soi.
Ce que nous percevons à travers notre mental n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers notre regard n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers notre touché n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers nos oreilles n'est pas de soi.
Ce que nous ressentons à travers notre mental n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers notre regard n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers notre touché n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers nos oreilles n'est pas de soi.
Ce que nous connaissons à travers notre mental n'est pas de soi.
Notre attachement à notre corps à travers le regard n'est pas de soi
Notre attachement à notre corps à travers le touché n'est pas de soi
Notre attachement à notre corps à travers le sens olfactif n'est pas de soi
Notre attachement à notre corps à travers le sens gustatif n'est pas de soi.
Notre attachement à notre corps à travers les oreilles n'est pas de soi.
Notre attachement à notre corps à travers le mental n'est pas de soi.
Nos pensées à travers notre regard (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.
Nos pensées à travers le touché (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.
Nos pensées à travers le sens olfactif (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.
Nos pensées à travers le sens gustatif (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.
Nos pensées à travers les oreilles (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.
Nos pensées à travers le mental (nos formations mentales que l'on se crée) n'est pas de soi.

Hors le fait de ne pas croire que nous sommes indivisibles de notre mental et de nos cinq sens est cause de souffrance, tous ces agrégats sont de natures non individuelles, ne pas les reconnaître comme tels est cause de souffrance, commencer à s'en rendre compte est le chemin vers l'éveil, le fait de croire à leurs absences de permanences cause de leurs absences d'individualité est le premier pas pour comprendre que le je n'existe pas, car il n'existe pas une essence de l'être humain indépendante.
Auteur : jeudi
Date : 25 août17, 23:00
Message : Nous passons la plupart de notre temps à imaginer les choses au lieu de les vivre...
Auteur : Franck Barron
Date : 29 août17, 22:48
Message : Vous confondez la mondanité de qui que ce soi avec la sagesse.
Siddhartha a su se débarrasser du futile de la vie quotidienne, avec un bol et deux robes, pour revenir aux choses essentielles, on ne va pas vous va vous vendre une chose qui n'existe plus.
Auteur : jeudi
Date : 31 août17, 05:53
Message : La chose essentielle c'est celle que l'on vit en cette seconde... car seule cette seconde est réelle. Le reste ne l'est pas... avant c'était, après ce sera donc ça n'existe pas...
Auteur : pierrem333
Date : 31 août17, 06:07
Message :
jeudi a écrit :La chose essentielle c'est celle que l'on vit en cette seconde... car seule cette seconde est réelle. Le reste ne l'est pas... avant c'était, après ce sera donc ça n'existe pas...
Et ont pourrait dire que si ton passé immédiat la seconde :coeur: qui suit te rend heureux c'est parce-que tu touche le plan de Dieu :coeur:

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