Résultat du test :
Auteur : Babass
Date : 22 août16, 06:33
Message : Je voulais savoir si Jesus Christ a vraiment dit a la femme qui devait etre lapidé " vas et ne peche plus " et si Jesus avait vraiment dit aux teneurs de pierres "Que celui qui n a jamais peché jette la premiere pierre ?
Ce recit est il authentique ou pas ? Merci a vous

Auteur : Giova
Date : 22 août16, 06:50
Message : Bonjour
Je te donne mon avis,
C'est ce qu'on peut voir dans la bible, donc oui ça c'est réellement bien passé.
Pourquoi doutes tu ?
Auteur : kevver
Date : 22 août16, 06:55
Message : Babass a écrit :Je voulais savoir si Jesus Christ a vraiment dit a la femme qui devait etre lapidé " vas et ne peche plus " et si Jesus avait vraiment dit aux teneurs de pierres "Que celui qui n a jamais peché jette la premiere pierre ?
Ce recit est il authentique ou pas ? Merci a vous

Pour ma part , on ne peut vraiment savoir réellement ce qu'il en est... Tellement d'ajouts dans les manuscrits , de modifications etc etc ...
Certains versets ne sont pas pris en compte comme le baptême de l'ethiopien ....
Bref tout dépends de ta conception Bible "parole de Dieu / divinement inspirée et
protégée au fil des siècles" ou pas...
Mais puisque on n'a même pas les écrits originaux , permet moi de douter de cette hypothèse

Auteur : indian
Date : 22 août16, 07:26
Message : Babass a écrit :Je voulais savoir si Jesus Christ a vraiment dit a la femme qui devait etre lapidé " vas et ne peche plus " et si Jesus avait vraiment dit aux teneurs de pierres "Que celui qui n a jamais peché jette la premiere pierre ?
Ce recit est il authentique ou pas ? Merci a vous

Comme je n'y étais pas, je ne pourrais pas statuer avec certitude... du réel , historique ou pas.
Mais en tant que leçon...

Chapeau.
C'est ce que j'enseigne aussi à mes enfants.
En fait, je trouve que ce récit nous permet de nous mettre face à nous même. Face à notre propre miroir. Nous permettant de voir notre propre poutre, plutôt que la paille du voisin.
Auteur : claudem
Date : 22 août16, 08:02
Message : Babass a écrit :Je voulais savoir si Jesus Christ a vraiment dit a la femme qui devait etre lapidé " vas et ne peche plus " et si Jesus avait vraiment dit aux teneurs de pierres "Que celui qui n a jamais peché jette la premiere pierre ?
Ce recit est il authentique ou pas ? Merci a vous

La version entière du livre d'Urantia:
3. La femme surprise en adultère
162:3.1 (1792.5) Ce fut durant cette visite à Jérusalem que Jésus s’occupa du cas d’une femme de mauvaise réputation, amenée en sa présence par les accusateurs de cette femme et par des ennemis du Maitre. Le récit déformé que vous possédez de cet épisode laisse entendre que cette femme avait été amenée devant Jésus par les scribes et les pharisiens, et que Jésus les traita comme s’il voulait faire ressortir que ces chefs religieux des Juifs auraient pu eux-mêmes avoir été coupables d’immoralité. Or, Jésus savait bien que ces scribes et ces pharisiens étaient bien spirituellement aveugles et intellectuellement remplis de préjugés par leur fidélité à la tradition, mais qu’ils devaient être comptés parmi les hommes les plus complètement moraux de cette époque et de cette génération.
162:3.2 (1793.1) Voici, en réalité, comment les choses se sont passées. De bonne heure le troisième matin de la fête, tandis que Jésus approchait du temple, vint à sa rencontre un groupe de mercenaires du sanhédrin qui trainaient avec eux une femme. Lorsqu’ils croisèrent Jésus, le porte-parole du groupe dit : « Maitre, cette femme a été surprise en adultère – en flagrant délit. Or, la loi de Moïse ordonne qu’une telle femme soit lapidée. D’après toi, que devons-nous faire d’elle ? »
162:3.3 (1793.2) Le plan des ennemis de Jésus était le suivant : S’il entérinait la loi de Moïse ordonnant que la pécheresse se reconnaissant coupable soit lapidée, ils impliqueraient le Maitre dans des difficultés avec les dirigeants romains, qui avaient refusé aux Juifs le droit d’infliger la peine de mort sans l’approbation d’un tribunal romain. Si Jésus interdisait de lapider la femme, ils l’accuseraient devant le sanhédrin de se placer au-dessus de Moïse et de la loi juive. S’il gardait le silence, ils l’accuseraient de lâcheté. Mais le Maitre prit la situation en mains de telle manière que le complot s’écroula sous le propre poids de sa vilénie.
162:3.4 (1793.3) Cette femme, jadis avenante, était la femme d’un habitant de bas étage de Nazareth, qui avait causé des difficultés à Jésus durant toute sa jeunesse. Après avoir épousé cette femme, il la força honteusement à gagner la vie du ménage en faisant commerce de son corps. Il était venu à la fête des Tabernacles à Jérusalem pour que sa femme puisse y prostituer ses charmes physiques afin d’en tirer un profit financier. Il avait conclu un accord avec les mercenaires des dirigeants juifs pour trahir ainsi sa propre femme dans le commerce de son vice. Ces mercenaires venaient donc avec la femme et son complice dans l’adultère, afin de prendre Jésus au piège en lui faisant émettre une opinion qu’ils pourraient ensuite utiliser contre lui s’il était arrêté.
162:3.5 (1793.4) Promenant son regard au-dessus de l’attroupement, Jésus vit le mari debout derrière les autres. Il savait de quel genre d’homme il s’agissait et perçut qu’il était intéressé dans cette méprisable opération. Jésus commença par contourner l’attroupement pour s’approcher de ce mari dégénéré, puis il écrivit sur le sable quelques mots qui le firent partir précipitamment. Il revint ensuite devant la femme et écrivit de nouveau sur le sol un message destiné à ses prétendus accusateurs. Quand ils eurent lu les mots du Maitre, eux aussi s’en allèrent un par un. Quand le Maitre eut écrit une troisième fois sur le sable, le complice de la femme partit à son tour, de sorte qu’au moment où le Maitre se releva en ayant fini d’écrire, il ne vit plus que la femme debout et seule devant lui. Il lui dit : « Femme, où sont tes accusateurs ? N’est-il resté personne pour te lapider ? » La femme leva les yeux et répondit : « Personne, mon Seigneur. » Alors Jésus dit : « Je connais ton cas, et je ne te condamne pas non plus. Va ton chemin en paix. » Et cette femme, nommée Hildana, abandonna son mari pervers pour se joindre aux disciples du royaume.
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... p-result-0 Auteur : Babass
Date : 22 août16, 08:12
Message : Merci pour vos reponses .Si ce faits est reel il reflete bien la sagesse du Christ .
Ce n est pas que je doutes mais plusieurs Chretien pensse que c est un ajouts tardif .
Mais quelle sagesse !
Auteur : indian
Date : 22 août16, 08:18
Message : Babass a écrit :Merci pour vos reponses .Si ce faits est reel il reflete bien la sagesse du Christ .
Ce n est pas que je doutes mais plusieurs Chretien pensse que c est un ajouts tardif .
Mais quelle sagesse !
Et si c'était tout de même un ajout tardif?
Que penseriez vous de cette leçon?
Auteur : Babass
Date : 22 août16, 08:21
Message : Je te dirais dommage que cela ne vienne pas du Christ , mais cela reste tres sage .
Auteur : indian
Date : 22 août16, 09:06
Message : Babass a écrit :Je te dirais dommage que cela ne vienne pas du Christ , mais cela reste tres sage .
Dommage? qu'est-ce qui serait dommage, pourquoi?

Auteur : Arké
Date : 22 août16, 09:12
Message : Sachant que le Coran valide l'Evangile, sachant que le livre des Bahais valide l'Evangile, je te dirai Bastien, que ce passage est véridique.
Fraternellement.
Auteur : Babass
Date : 23 août16, 01:48
Message : indian a écrit :
Dommage? qu'est-ce qui serait dommage, pourquoi?

Parce que le fait de savoir que cela viendrais du Christ me réconforte par rapport a mon ressenti a son egard . Et c est tres courageux

Auteur : indian
Date : 23 août16, 01:54
Message : Babass a écrit :Dommage? qu'est-ce qui serait dommage, pourquoi?
Parce que le fait de savoir que cela viendrais du Christ me réconforte par rapport a mon ressenti a son egard . Et c est tres courageux

J'ai le même égard, le même regard sur Jésus-Christ.
Si c'est un fait réel, j'aimerais bien. Et tant mieux
Si ce ne l'est pas...ben tant pis,
je vais tout de même continuer à considérer que cette idées me fait plein de sens.
En fait, j'en ai même fait l'expérience dans la vie (de l'histoire ci haut) , et j'ai confiance dans les résultats que cette manière de faire et d'être permet...
Ht
David
Auteur : Etoiles Célestes
Date : 24 août16, 11:59
Message : Babass a écrit :Je voulais savoir si Jesus Christ a vraiment dit a la femme qui devait etre lapidé " vas et ne peche plus " et si Jesus avait vraiment dit aux teneurs de pierres "Que celui qui n a jamais peché jette la premiere pierre ?
Ce recit est il authentique ou pas ? Merci a vous

Bonsoir mon ami.
Ce récit de la femme adultère ne figure pas dans les plus anciens manuscrits que nous possédons (copie),
ce qui ne veut pas dire qu'il n'était pas présent dans l'original de Jean, puisque l'original de Jean n'existe plus.
Il aurait été omis puis réintroduit après...
Certains affirment qu'il n'a jamais été présent dans l'original même de Jean mais qu'il faisait partie de la tradition orale et que les faits qu'il décrit sont authentiques.
Cependant une chose est sûr, la doctrine qu'il révèle colle parfaitement avec ce que le Christ a toujours enseigné: le pardon des péchés et la repentance.
Auteur : claudem
Date : 25 août16, 09:31
Message : L'entretien avec Nicodème version livre d'Urantia:
L’entretien avec Nicodème
142:6.1 (1601.6) Un soir, chez Flavius, un certain Nicodème vint voir Jésus ; il était un membre riche et assez âgé du sanhédrin juif. Il avait beaucoup entendu parler des enseignements du Galiléen, si bien qu’il alla, un jour, l’écouter pendant qu’il enseignait dans les cours du temple. Il aurait voulu aller souvent écouter les leçons de Jésus, mais il craignait d’être vu parmi les auditeurs assistant à son enseignement. En effet, les dirigeants des Juifs étaient déjà tellement en désaccord avec Jésus que nul membre du sanhédrin n’aurait accepté d’être identifié ouvertement d’une manière quelconque avec lui. En conséquence, Nicodème avait pris des dispositions avec André pour voir Jésus en privé et, précisément ce soir-là, après la tombée de la nuit. Pierre, Jacques et Jean se trouvaient dans le jardin de Flavius lorsque l’entretien commença, mais plus tard ils entrèrent tous dans la maison, où le discours se poursuivit.
142:6.2 (1602.1) En recevant Nicodème, Jésus ne fit pas montre d’une déférence spéciale. En parlant avec lui, il ne fit ni compromis ni tentative indue de persuasion. Le Maitre n’essaya pas de repousser son interlocuteur recherchant le secret, et ne fut pas sarcastique. Dans tous ses rapports avec le distingué visiteur, Jésus fut calme, grave et digne. Nicodème n’était pas délégué officiellement par le sanhédrin ; il venait voir Jésus essentiellement à cause du sincère intérêt qu’il portait personnellement à l’enseignement du Maitre.
142:6.3 (1602.2) Après avoir été présenté par Flavius, Nicodème dit : « Rabbi, nous savons que tu es un instructeur envoyé par Dieu, car nul homme ne pourrait enseigner de la sorte si Dieu n’était pas avec lui. Je désirerais en savoir plus long sur tes enseignements au sujet du royaume à venir. »
142:6.4 (1602.3) Jésus répondit à Nicodème : « En vérité, en vérité, je te dis, Nicodème, qu’à moins d’être né d’en haut, un homme ne peut voir le royaume de Dieu. » Alors Nicodème répondit : « Mais comment un homme peut-il naitre de nouveau quand il est vieux ? Il ne peut entrer une seconde fois dans le sein de sa mère pour renaitre. »
142:6.5 (1602.4) Jésus dit : « Néanmoins, je te déclare qu’à moins de naitre de l’esprit, un homme ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’esprit est esprit. Ne t’étonne pas que j’aie dit qu’il fallait naitre d’en haut. Quand le vent souffle, tu entends le bruissement des feuilles, mais tu ne vois pas le vent – ni d’où il vient ni où il va – et il en est ainsi pour quiconque est né de l’esprit. Avec les yeux de la chair, on peut apercevoir les manifestations de l’esprit, mais on ne peut effectivement discerner l’esprit. »
142:6.6 (1602.5) Nicodème répondit : « Mais je ne comprends pas – comment cela peut-il être ? » Jésus dit : « Est-il possible que tu sois un éducateur d’Israël et que tu ignores tout cela ? Ceux qui connaissent les réalités de l’esprit ont donc le devoir de révéler ces choses à ceux qui discernent seulement les manifestations du monde matériel. Mais nous croiras-tu si nous te parlons des vérités célestes ? As-tu le courage, Nicodème, de croire en quelqu’un qui est descendu du ciel, au Fils de l’Homme lui-même ? »
142:6.7 (1602.6) Nicodème dit alors : « Mais comment puis-je commencer à saisir cet esprit qui doit me recréer en me préparant à entrer dans le royaume ? » Jésus répondit : « L’esprit du Père qui est aux cieux demeure déjà en toi. Si tu veux te laisser conduire par cet esprit d’en haut, tu commenceras très bientôt à voir avec les yeux de l’esprit ; ensuite, si tu choisis de tout cœur la gouverne de l’esprit, tu naitras d’esprit, car le dessein unique de ta vie sera de faire la volonté de ton Père qui est aux cieux. En te trouvant ainsi né de l’esprit et heureux dans le royaume de Dieu, tu commenceras à produire, dans la vie quotidienne, les abondants fruits de l’esprit. »
142:6.8 (1602.7) Nicodème était entièrement sincère. Il fut profondément impressionné, mais repartit désorienté. Il était un homme accompli quant au développement de soi, à la maitrise de soi, et même quant aux hautes qualités morales. Il était raffiné, égocentrique et altruiste, mais il ne savait pas comment soumettre sa volonté à celle du divin Père, comme un petit enfant accepte de se soumettre aux directives d’un père terrestre sage et aimant, et devenir ainsi en réalité un fils de Dieu, un héritier progressif du royaume éternel.
142:6.9 (1603.1) Mais Nicodème rassembla assez de foi pour prendre possession du royaume. Il protesta timidement lorsque ses collègues du sanhédrin cherchèrent à condamner Jésus sans l’entendre. Plus tard, avec Joseph d’Arimathie, il reconnut audacieusement sa foi et réclama le corps de Jésus, même au moment où la plupart des disciples avaient fui, terrorisés, la scène des souffrances et de la mort finale de leur Maitre.
http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... p-result-0 Auteur : Babass
Date : 26 août16, 21:38
Message : Etoiles Célestes a écrit :
Bonsoir mon ami.
Ce récit de la femme adultère ne figure pas dans les plus anciens manuscrits que nous possédons (copie),
ce qui ne veut pas dire qu'il n'était pas présent dans l'original de Jean, puisque l'original de Jean n'existe plus.
Il aurait été omis puis réintroduit après...
Certains affirment qu'il n'a jamais été présent dans l'original même de Jean mais qu'il faisait partie de la tradition orale et que les faits qu'il décrit sont authentiques.
Cependant une chose est sûr, la doctrine qu'il révèle colle parfaitement avec ce que le Christ a toujours enseigné: le pardon des péchés et la repentance.
Merci d avoir donné ton avis sur le sujet .Effectivement cela est bien a l image du Christ et de son message !
J ai invité un ami attends athée a lire quelque paraboles du Christ . Il m a dit " c est du tres haut niveau!" et oui ! Que Dieu te protege mon ami

Auteur : Etoiles Célestes
Date : 30 août16, 10:15
Message : Babass a écrit :J ai invité un ami attends athée a lire quelque paraboles du Christ . Il m a dit " c est du tres haut niveau!" et oui !
C'est beau
Tu as lu le passage du fils prodige, c'est l'histoire qui me touche le plus.
Luc 15:11
Il (Jésus) dit encore : Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien.
Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux.
Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.
Étant rentré en lui-même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes mercenaires.
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.
Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ;
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses.
Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était.
Ce serviteur lui dit : Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras.
Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer.
Mais il répondit à son père : Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis.
Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras !
Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi ;
mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort
et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé.
Que Dieu te protege mon ami

De même mon ami!

Auteur : Babass
Date : 03 sept.16, 00:43
Message : C est tres beau !

Auteur : indian
Date : 03 sept.16, 00:49
Message : Etoiles Célestes a écrit :
C'est beau
Tu as lu le passage du fils prodige, c'est l'histoire qui me touche le plus.
Luc 15:11
Il (Jésus) dit encore : Un homme avait deux fils.
Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien.
Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche.
Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin.
Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux.
Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.
Étant rentré en lui-même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim !
Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi,
je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes mercenaires.
Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa.
Le fils lui dit : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils.
Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds.
Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ;
car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir.
Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses.
Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était.
Ce serviteur lui dit : Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras.
Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer.
Mais il répondit à son père : Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres,
et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis.
Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras !
Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi ;
mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort
et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé.
De même mon ami!

Merci Étoiles Céleste
Un Grand Cru.

Auteur : Boemboy
Date : 11 oct.16, 22:28
Message : Babass a écrit :
Merci d avoir donné ton avis sur le sujet .Effectivement cela est bien a l image du Christ et de son message !
J ai invité un ami attends athée a lire quelque paraboles du Christ . Il m a dit " c est du tres haut niveau!" et oui ! Que Dieu te protege mon ami

Les évangiles rapportent des scènes attribuées au Christ qui illustrent les principes d'une nouvelle religion. Il est absolument regrettable que si peu de gens les applique.
Que la scène de la lapidation de la pêcheresse soit authentique ou non n'a aucune importance à mes yeux. Elle est cohérente avec le reste du comportement préconisé.
S'il y avait eu plus de véritables chrétiens et moins de catholiques en France depuis l'arrivée du christianisme, la société française serait un vrai paradis

Auteur : indian
Date : 12 oct.16, 07:35
Message : Boemboy a écrit :
S'il y avait eu plus de véritables chrétiens et moins de catholiques en France depuis l'arrivée du christianisme, la société française serait un vrai paradis

Suffit pas de se dire chrétien

. ..faut être amour aussi avant tout pour l'être
Auteur : Saint Glinglin
Date : 12 oct.16, 08:02
Message : Un véritable chrétien est un moine.
Nombre de messages affichés : 21