Soeur Marguerite Slim, directrice de l’hôpital Saint Louis d’Alep raconte : “Violence, barbarie, massacre, tortures, décapitations, crimes odieux, viols, exécutions, vols, séquestrations, kidnappings… hommes, femmes, enfants, de toutes religions sont atteints dans leur dignité, privés du nécessaire pour survivre, dérobés du futur et réduits à une vie de réfugiés ou de déplacés.”
“De rage, un barbare lance le bébé contre un mur. ‘J’ai cru mourir avec Razzan’, dit sa mère en revivant le moment, encore sous le choc. La petite a survécu. Par quel miracle ? Ficelée comme une momie dans son berceau, Razzan est immobile, en état de catalepsie depuis plus d’un an.”
Le père Jacques vit à Qaryatayn. Un soir, des hommes masqués pénètrent dans son monastère. Ils jettent le père Jacques et Boutros Hanna dans le coffre de leur voiture. Il y restera 4 jours. Il connaîtra la violence de la captivité, les privations, les menaces, la flagellation, la simulation d’égorgement. 84 jours après, il sera libéré.
“D’autres témoignages sont plus précis. Ils parlent de barbus vainqueurs qui viennent se servir et choisissent les plus belles, les plus jeunes, parfois des fillettes. Quand les femmes souillées par plusieurs miliciens reviennent dans la cave, elles réapparaissent dévastées, muettes, prostrées : ‘Il fallait les encourager à ne pas se laisser mourir, à revivre, à relever la tête, à penser à leurs proches. Mais même cela était trop douloureux.’ “
Auteur : indian1indian1 Date : 13 avr.17, 07:00 Message : Daesh imite la version omeyades de l'Islam, celle de la Bête califale.
Injustice, InHumanisme, Immonde.
En rien la justice de Muhamed.
Qui voulez vous tromper? vous même?
Auteur : Citizenkan Date : 13 avr.17, 07:32 Message :
Soeur Marguerite Slim, directrice de l’hôpital Saint Louis d’Alep raconte : “Violence, barbarie, massacre, tortures, décapitations, crimes odieux, viols, exécutions, vols, séquestrations, kidnappings… hommes, femmes, enfants, de toutes religions sont atteints dans leur dignité, privés du nécessaire pour survivre, dérobés du futur et réduits à une vie de réfugiés ou de déplacés.”
“De rage, un barbare lance le bébé contre un mur. ‘J’ai cru mourir avec Razzan’, dit sa mère en revivant le moment, encore sous le choc. La petite a survécu. Par quel miracle ? Ficelée comme une momie dans son berceau, Razzan est immobile, en état de catalepsie depuis plus d’un an.”
Le père Jacques vit à Qaryatayn. Un soir, des hommes masqués pénètrent dans son monastère. Ils jettent le père Jacques et Boutros Hanna dans le coffre de leur voiture. Il y restera 4 jours. Il connaîtra la violence de la captivité, les privations, les menaces, la flagellation, la simulation d’égorgement. 84 jours après, il sera libéré.
“D’autres témoignages sont plus précis. Ils parlent de barbus vainqueurs qui viennent se servir et choisissent les plus belles, les plus jeunes, parfois des fillettes. Quand les femmes souillées par plusieurs miliciens reviennent dans la cave, elles réapparaissent dévastées, muettes, prostrées : ‘Il fallait les encourager à ne pas se laisser mourir, à revivre, à relever la tête, à penser à leurs proches. Mais même cela était trop douloureux.’ “
Non, ils imitent Robespierre à la tête des jacobins :
La République de la Terreur
Pour reprendre la fameuse formule de Saint-Just, le sinistre « archange de la Terreur » : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
Robespierre, qui a de quoi rendre pâle les zombies de DAESH, le bourreau de la liberté, théorise, au nom des Lumières, le terrorisme, la tyrannie, et la barbarie : « Cette sévérité n’est redoutable que pour les conspirateurs, que pour les ennemis de la liberté. »
Le mode de raisonnement de l’incorruptible restait le même qu’à l’époque du procès de Louis XVI. Le 28 décembre 1792, Robespierre avait déclaré : « Citoyens, la dernière preuve de dévouement que les représentants doivent à la patrie, c’est d’immoler ces premiers mouvements de la sensibilité naturelle au salut d’un grand peuple et de l’humanité opprimée ! Citoyens, la sensibilité qui sacrifie l’innocence au crime est une sensibilité cruelle, la clémence qui compose avec la tyrannie est barbare. »
Comme le déclare Danton : « soyons terribles pour dispenser le peuple de l’être ». L’argument est toujours repris par les historiens : la Terreur légale a permis d’encadrer la violence et donc éviter une violence plus grande encore. « Il est temps d’épouvanter tous les conspirateurs » déclare le club des Jacobins dans son adresse à la Convention le 5 septembre 1793.
Dès l’été 1793, la Terreur occupe une place déterminante dans l’activité gouvernementale, confiée aux deux comités, le Comité de Salut Public et le Comité de Sûreté générale. La loi du 17 septembre donne du suspect une définition des plus vagues …
La volonté des historiens français d’expliquer (on n’ose plus justifier depuis longtemps), de replacer dans le contexte, d’éviter les anachronismes (avec les totalitarismes du XXe siècle) fait chaud au cœur, mais témoigne de l’embarras…
Le représentant en mission (membre de la Convention) est le levier de la Terreur en province : il a pleins pouvoirs pour instituer sur place tribunaux ou cours martiales extraordinaires chargés d’accélérer la répression, sans parler d’exécutions collectives : à Lyon, Fouché utilise la mitraille, trouvant la guillotine trop lente ; à Nantes, Carrier pratique les fameuses noyades dans la Loire…
C’est désormais la « Grande Terreur » alors même que la république a triomphé de ses ennemis extérieurs et intérieurs. « Les têtes tombent comme des ardoises » note Fouquier-Tinville.
Auteur : indian1indian1 Date : 13 avr.17, 07:35 Message : Quand l'histoire se répète sous une autre forme... mais avec le même fond
Auteur : Citizenkan Date : 13 avr.17, 07:52 Message :
indian1indian1 a écrit :Quand l'histoire se répète sous une autre forme... mais avec le même fond
Oui, en voici un autre exemple :
« Le roi est captif au Temple et l'élite du clergé français en exil ou à l'Abbaye. Le canon tonnait sur le Pont-Neuf et des écriteaux menaçants proclamaient la Patrie en danger. Alors des hommes inconnus organisèrent le massacre. Un personnage hideux, gigantesque, à longue barbe, était partout où il y avait des prêtres à égorger. « Tiens, leur disait-il avec un ricanement sauvage, voilà pour les Albigeois et les Vaudois ! « VOILA POUR LES TEMPLIERS. Voilà pour la Saint-Barthélemy. Voilà pour les proscrits des Cévennes! »
Et il frappait avec rage, et il frappait avec le sabre, avec le couperet, avec la massue. Les armes se brisaient et se renouvelaient dans ses mains ; il était rouge de sang de la tête aux pieds, sa barbe en était toute collée, et il jurait avec des blasphèmes épouvantables qu'il ne la laverait qu'avec du sang.
D'autres épisodes sont aussi troublants, notamment avec Napoléon la fierté du peuple :
Le 22 juillet, Napoléon Bonaparte — alors âgé de 28 ans — occupe la ville du Caire où il canonne la grande mosquée sunnite d’al-Azhar et décapite quotidiennement des musulmans qui participaient à la résistance. Les têtes furent ensuite présentées dans les rues de la ville devant une foule terrorisée.
Dans son compte rendu des massacres de l’armée napoléonienne en Égypte, Mahmoud Shâkir raconte comment les colons détruisirent de nombreuses mosquées et pillèrent les maisons avec une cruauté inouïe [11]. Jaloux de l’hygiène et de la propreté des musulmans, les Français vont jusqu’à détruire les toilettes des mosquées [12]. Le récit historique finement détaillé du sheikh égyptien relate que les premières victimes de la barbarie française furent les étudiants d’al-Azhar :
« Dans sa répression, Napoléon agissait avec une dureté impitoyable, il perpétra un carnage et égorgea hommes et femmes. Après avoir fait couler le sang à profusion, il fit serment de ne pas s’arrêter là et il tint sa promesse. À chaque lever de soleil, il immolait cinq ou six personnes en les décapitant. Il ordonna alors d’exhiber leur têtes dans les rues du Caire. Ces cinq ou six victimes étaient bel et bien des étudiants de l’université d’al-Azhar [13] où s’organisait la résistance. »
Mahmoud Shâkir, « Risâla Fi al-Tarîq ila Thaqâfatina » p. 104
Dans une lettre adressée aux chefs d’armée datant de juillet 1798, Napoléon considérait que les décapitations furent le seul moyen pour assujettir les musulmans : « C’est le seul moyen pour asservir ce peuple, il faut que nous prenions soin à désarmer la population locale dans sa totalité. » « Târîkh al-Haraka al-Qawmiya », p. 283
Tout Égyptien qui se fit surprendre avec une arme fut exécuté sur place. Le désarmement de la population égyptienne se déroula sans aucune considération pour les coutumes musulmanes ni leurs sentiments. L’objectif colonial de « civiliser » les autres selon les principes de liberté, égalité et fraternité n’a jamais eu lieu et la « Mission civilisatrice » fit place à la démence coloniale de Napoléon.
« L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord. »
– Napoléon
Auteur : indian1indian1 Date : 13 avr.17, 07:59 Message : Nous pourrions aussi reprendre l'histoire des 10 dynasties les plus bestiales qui ont marqué l'islam (débutant avec les Bani-Ummayads) et les côtés le plus sombres de l'histoire de certains chiismes musulmans...
pour la gloire de qui chaque foi?
Auteur : Citizenkan Date : 13 avr.17, 08:08 Message :
indian1indian1 a écrit :Nous pourrions aussi reprendre l'histoire des 10 dynasties les plus bestiales qui ont marqué l'islam (débutant avec les Bani-Ummayads) et les côtés le plus sombres de l'histoire de certains chiismes musulmans...
pour la gloire de qui chaque foi?
Il faudrait alors ouvrir un thread pour cela, je continue avec un aperçu sur les jacobins :
La Révolution française en particulier représente une application violente de la philosophie des Lumières, notamment lors de la brève période de pouvoir des Jacobins. Le désir de rationalité révolutionnaire se coupe du rationalisme dit « spirituel » de Descartes, jusqu'à conduire à une tentative d’éradiquer l’Église et le christianisme dans son ensemble. Ainsi, la Convention nationale change le calendrier, système de mesure du temps, et le système monétaire, tout en plaçant l’idée d’égalité, sociale et économique, au plus haut point des priorités de l’État.
Ce socle idéologique qui relie les jacobins aux philosophes des Lumières est aussi, voire plus puissant que celui qui relie les djihadistes aux quiétistes.
Les jacobins, d’anciens « dormants »
C’est désormais la Grande Terreur.
« Les têtes tombent comme des ardoises » note Fouquier-Tinville.
Les Jacobins et leur idéologie se confondent avec la Terreur et la dictature de Salut Public (de 1793 au printemps 1794). C’est en partie cette adéquation entre jacobinisme et dictature de Salut Public qui a entretenu la légende jacobine après la disparition du Club lors de la réaction thermidorienne. Aux XIXe et XXe siècles, jacobinisme est synonyme de dictature révolutionnaire, dictature de la liberté.
Leurs idées sont modérées au départ, en effet les membres de la Société préconisent une monarchie constitutionnelle libérale, mais non démocratique (les Jacobins sont tous des citoyens actifs, des bourgeois qui paient une cotisation élevée : 24 francs). Leurs positions, cependant, ont tendance à se durcir par la suite fin 1790 début 1791.
Le 22 septembre 1792, la Société des Amis de la constitution s’était auparavant débaptisée solennellement et avait décidé de se nommer « Société des Jacobins amis de la liberté et de l'égalité ». Le Club des Jacobins ainsi ressaisi joue un rôle d’opposition à la majorité de la Convention (Girondins, Modérés). Les Jacobins ont pu dominer politiquement le pays seulement parce qu’ils avaient une idéologie qui se calquait aux besoins du moment.
Politiquement, ce sont des démocrates, ils comprennent la nécessité d’une révolution politique destinée à assurer à tous les hommes un régime, dont la charte s’inscrit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen et que résume le slogan Liberté-Égalité-Fraternité (la notion de fraternité n'apparaissant toutefois qu'en 1848). En 1789, les Jacobins étaient monarchistes, en 1793 ils sont devenus des républicains fervents. Le Club est toujours à l’avant-garde politique même si le personnel politique jacobin change. Les Jacobins de l’An II ont pour référence Rousseau, Du contrat social et l’idée de démocratie directe. Socialement, ils demeurent des démocrates bourgeois respectueux de la propriété (même en l’An II, leur composition sociale restera essentiellement bourgeoise et artisanale). Ils désirent par-dessus tout l’établissement de la petite propriété, ils refusent la loi agraire, mais ils condamnent tout autant la très grande propriété regardée comme étant un facteur d’oppression. Ils sont ardemment patriotes, ils observent un culte fervent à la Patrie inséparable de la liberté que l’on doit défendre si elle est attaquée.
La doctrine jacobine implique une volonté de sacrifice individuel à des principes qui dépassent pour le bien de tous l’intérêt de chacun. « Être jacobin » demeure être un homme à principe, prêt à sacrifier son bonheur et sa vie même au triomphe des idées politiques et sociales que proclame la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, et au Salut de la Patrie. Gaston Martin considère les Jacobins comme des fanatiques qui ont admis la nécessité pour vaincre du « despotisme de la liberté ».
Ainsi, ibn Taïmiya est une référence djihadiste au même titre que Rousseau est une référence Jacobine !
Prosper Poullet, Les institutions françaises de 1795 à 1814, Paris, Plon-Nourrit, 1907, 975 p. (lire en ligne [archive]), p. 223.
D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi
donc tout va bien
pourvu que ça dure
Auteur : indian1indian1 Date : 16 avr.17, 14:20 Message :
Nihil a écrit :
D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi
donc tout va bien
pourvu que ça dure
On nom d'un sentiment de supériorité vis à vis l'autre
Auteur : Citizenkan Date : 16 avr.17, 23:17 Message :
Nihil a écrit :
D'un côté nous avons des égyptiens qui massacre d'autres égyptiens au nom d'allah
de l'autre des français qui ont massacré d'autre français au nom de qui, au nom de quoi
donc tout va bien
pourvu que ça dure
Les proches avec lesquels ont est plus exigeant, sont les plus souvent les premières victimes de la violence, ne serait-ce que pour des raisons matérielles toutes simples de proximité...
N'oublions pas que les musulmans sont les premières victimes de DAESH !
Un algérien intégriste fait l’apologie de la violence religieuse
« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité. » (Lactance)
A l'égard du paganisme et des païens, l'attitude d'Augustin – qui n’a rien à envier à l’horrible Robespierre, et devant qui se courbent tels des enfants de cœur les plus ignobles sanguinaires de DAESH – ne comporte aucune ambiguïté. Il trouve absolument naturelles les mesures prises contre eux ; il approuve pleinement la législation de Théodose, par laquelle les sanctions préconisées contre les païens pouvaient aller jusqu'à la mort. Il est probable que tous les chrétiens de son temps partageaient son avis (cette allégation n’engage que son auteur). Écrivant au rogatiste Vincentius, Augustin s'écrie : « Quel est celui d'entre nous, quel est celui d'entre vous qui ne loue les lois promulguées par les empereurs contre les sacrifices des païens ? » La même année, il écrit à Olympius : « II faut que les ennemis de l'Église sachent que les lois envoyées en Afrique pour la destruction des idoles et la correction des hérétiques ont été promulguées par la volonté de l'Empereur très pieux et très fidèle ».
Saint Augustin invoque froidement le cas d'un païen pris en flagrant délit de sacrifice et condamné à mort : « Quant à leurs sacrifices, ils sont condamnés sous peine de mort. Supposé donc que tel païen soit surpris en un flagrant délit de ce genre, le regarderez-vous comme un martyr, parce qu'on lui aura fait l'application des châtiments que les lois infligent à cette superstition qu'il prenait pour un culte pieux ? Un chrétien, quel qu'il soit, n'acceptera jamais cette dénomination ».
Citons encore le texte suivant, car il contient deux thèmes que nous retrouverons dans les polémiques anti-donatistes de saint Augustin : « On a cru devoir éditer des ordonnances contre les païens, ou plutôt pour les païens, s'ils veulent être sages. De même en effet qu'en rencontrant des enfants sans raison qui jouent à la boue et se souillent les mains, le maître prend un visage sévère, leur fait tomber la boue des mains et leur donne un livre, ainsi Dieu a voulu se servir des princes qui lui sont soumis pour jeter la terreur dans l'âme de ces grands enfants, les déterminer à jeter la boue et à faire quelque chose de sérieux »
Pour Julien, « l'expérience lui avait appris qu'il n'y a pas de fauves plus dangereux pour les hommes que ne le sont souvent les chrétiens pour leurs coreligionnaires »[1]
Les Donatistes crient à la persécution, mais il n'y a pas eu de persécution, il y a eu simplement vengeance, châtiment divin. Optât se repose facilement sur la volonté de Dieu : « Vous dites que les artisans de l'unité furent méchants : ce fut peut-être avec la volonté de Dieu... ». Le massacre ne déplaît pas toujours à Dieu. Moïse n'a-t-il pas fait exécuter des milliers d'hommes ? Phinéès n'a-t-il pas été récompensé par Dieu ?
Il suffira de citer quelques passages d'œuvres datant de 400 à 402 pour montrer qu'à ce moment, saint Augustin est partisan de la législation impériale et acquis, contrairement à ce qu'on affirme souvent, à son application effective.
Voici, dans le Contra ep. Parmeniani, 1, 13 : « Quels châtiments, après tout, pourraient donc leur paraître injustes, alors qu'ils les subissent à la suite du jugement suprême de Dieu, qui, par de tels châtiments, les avertit de se garder du feu éternel, alors que ces châtiments sont mérités par la gravité de leurs crimes et appliqués par la sagesse des puissances de la terre ? Qu'ils prouvent d'abord qu'ils ne sont ni hérétiques, ni schismatiques ; alors du moins, ils pourront crier avec fureur à l'indignité des châtiments qui les frappent », et un peu plus bas, un des textes les plus terribles d'Augustin, I, 14 : « Du reste, tout ce bruit que l'on fait autour des châtiments qu'ils subissent ne vient-il pas uniquement de ce que la multitude des hommes place son cœur, non pas dans son cœur, mais dans ses yeux ? Que du sang vienne à couler d'une chair mortelle, on frémit à cet aspect. Et si les âmes, privées de la paix de Jésus-Christ et séparées de sa communion, meurent dans le sacrilège de l'hérésie ou du schisme, parce que rien ne frappe les yeux, personne ne pleure ».
Et dans le Contra litt. Petiliani, entre autres passages, II, 43 : « S'il est prouvé que cette séparation soit un crime, ne vous étonnez plus que Dieu ne manque pas de ministres pour vous flageller ; et la persécution que vous subissez n'est point notre œuvre propre, mais, selon la parole de l'Ecriture, la conséquence nécessaire de vos œuvres ».
« De même, vous nous objectez d'habitude que nous vous persécutons par les puissances de la terre. Sur ce point, je ne veux pas discuter la question de savoir ce que vous, vous méritez pour la cruauté d'un tel sacrilège, ni combien la mansuétude chrétienne nous rend modérés... ». C'est déjà, en 399, le langage qu'il tiendra constamment plus tard, il insistera toujours sur ce thème : la persécution adoucie par la charité.
C'est par amour, par charité qu'il faut les faire souffrir ; les souffrances qu'on leur impose de la sorte sont des bagatelles à côté des châtiments éternels qui les attendent infailliblement dans la vie future s'ils ne se convertissent pas. La même charité qui le pousse à exhorter, à harceler les non-catholiques, à leur proposer des discussions le pousse également, si l'apostolat ne réussit pas, à recourir à des méthodes plus fortes.
Augustin ne fait ainsi qu'exprimer le raisonnement même de Dieu : « Si donc, dans sa miséricorde, Dieu nous avertit maintenant par l'organe des puissances humaines, c'est afin de n'avoir pas à nous frapper au dernier jour, et de ne pas laisser aux orgueilleux (la triste ressource) de se vanter de leur condamnation »
Bien entendu, puisque les catholiques sont seuls à détenir la vérité, seuls ils ont le droit de recourir à une certaine violence.
« Et dans quelle irritation ne vous jetterais-je pas si je vous obligeais à négliger les plaintes de ceux qui souffrent pour ne vous occuper que des intentions de ceux qui sévissent contre les coupables ? ». Id. II, 217
C'est l'argument : « II ne faut pas regarder si l'on force, mais à quoi l'on force »[2] : « Nous n'attirons personne par violence, nous ne tuons pas nos ennemis, mais tout ce que nous faisons à votre égard, quoique ce soit malgré vous, nous le faisons cependant par charité, pour que vous vous corrigiez de votre plein gré, et que, corrigés, vous ayez la vie » ; Contra Cresconium, IV, 56 : « Je veux encore vous forcer à avouer qu'il peut arriver que des hommes religieux persécutent des sacrilèges, que des hommes pieux persécutent des impies, non pas pour le plaisir de nuire, mais dans le but unique et nécessaire de pourvoir (à leur salut) ».
Quand on lui demande ce qu'il fait du libre arbitre, Augustin proteste. On ne force personne à la foi. Seulement, la tribulation fait réfléchir celui qui souffre, elle fait disparaître la perfidia ; après quoi, l'adhésion à la vraie foi devient sincère, spontanée. « La contrainte extérieure fera naître à l'intérieur la bonne volonté. »
Mais ailleurs, Augustin fait bon marché du libre arbitre, dans le Contra Gaudentium notamment : « Gardez-vous de courir vous-mêmes à votre perte éternelle en soutenant que le libre arbitre doit vous être laissé ici-bas par les hommes pour que vous puissiez offenser Dieu. » L'hérésie est un crime contre Dieu, contre la vrai Église ; c'est au fond le pire crime qui soit. Il est donc absolument naturel que les lois l'interdisent et prévoient le châtiment des coupables.
« Avouez donc — vous y êtes déjà obligé — que la question n'est pas de savoir ce que tel homme a souffert, mais pourquoi il a souffert. »
« Et cependant, quelle persécution a-t-il donc à souffrir, ce frère qui nous a été présenté ? J'avoue hautement qu'il n'en est pas de plus glorieuse. M'accuse qui voudra ; toujours est-il que je me flatte de cette persécution... Si c'est en toute justice que je poursuis celui qui commet la détraction occulte contre son prochain, n'ai-je pas à combien plus forte raison le droit de poursuivre celui qui blasphème publiquement contre l'Église ?... Quoi donc ! Je ne poursuivrais pas celui qui blasphème l'Église ? Je le persécuterai, car je suis membre de l'Église, je le persécuterai, car je suis enfant de l'Église... Ils ont arraché un des nôtres pour le précipiter dans la mort spirituelle, et il nous serait défendu de les arracher à l'erreur pour les placer sur le chemin du salut ? »
La force est un bien quand elle est au service de la vérité, quand elle empêche ou châtie l'erreur. Les empereurs chrétiens ont donc entièrement raison d'y recourir.
« Ne te laisse pas émouvoir par les supplices et les châtiments infligés aux malfaiteurs, aux sacrilèges, aux ennemis de la paix, aux adversaires de la vérité. Ce n'est pas en effet pour la vérité que meurent ces sectaires ; ils meurent plutôt pour empêcher qu'on annonce la vérité, qu'on prêche la vérité, qu'on s'attache à la vérité ; pour empêcher qu'on aime l'unité, qu'on embrasse la charité et qu'on parvienne à posséder l'éternité. Que leur cause est affreuse. Aussi leurs souffrances sont-elles sans mérite. »
Le catholique, possédant la vérité, est objectivement supérieur au schismatique, à l'hérétique, au païen, qui sont dans l'erreur. Ne nous étonnons donc pas de lire que le catholique peut contraindre le donatiste comme le médecin violente son patient, comme un père peut battre un fils indiscipliné, comme le premier venu immobilise et lie un frénétique, comme on doit empêcher des enfants de jouer avec des serpents et même les battre pour les corriger, comme on retire d'un puits, même malgré lui quelqu'un qui s'y précipite, comme un berger a le droit de ramener ses brebis, même par la violence. « Les frénétiques ne veulent pas qu'on les lie, les léthargiques ne veulent pas qu'on les stimule ; pourtant, le zèle de la charité persévère à corriger le frénétique, à stimuler le léthargique, à les aimer tous deux. Tous deux sont molestés, mais tous deux sont aimés ; tous deux s'indignent, pendant qu'ils sont malades, qu'on les moleste, mais tous deux, une fois guéris, sont reconnaissants. »
Le sanguin Augustin inspire l’Inquisition du Moyen-âge qui ne se s'encombrera pas de la compréhension métaphorique du texte, et qui manquera de délicatesse platonicienne : « Pour redresser un bâton, on l'approche du feu ; que la douleur serve également à te redresser ; cette douleur est loin d'être encore la flamme éternelle ; elle est comme la chaleur du foyer qui doit faire disparaître les virtuosités de ton cœur, t'avertir, te corriger... Ouvre-le (le livre saint) et reconnais que tu as gardé de quoi te faire brûler. »
Ammien Marcellin, XXII, 5, 2 sq. Cf. J. Bidez, Vie de l'Empereur Julien, p. 228.
Bayle répond, p. 84 : « Et moi, je dis à mes Lecteurs, qu'ils voient présentement, je m'assure, qu'il ne faut pas regarder à quoi l'on force, en cas de Religion, mais si l'on force ; et que, dès que l'on force, on fait une très vilaine Action et très opposée au génie de toute Religion et spécialement à l'Évangile »
Auteur : indian1indian1 Date : 17 avr.17, 01:37 Message :
Citizenkan a écrit :
N'oublions pas que les musulmans sont les premières victimes de DAESH !
tres tres important.
Auteur : Seleucide Date : 17 avr.17, 01:45 Message :
Citizenkan a écrit :Pour reprendre la fameuse formule de Saint-Just, le sinistre « archange de la Terreur » : « pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».
Pour reprendre le fameux hadith du prophète : « j'ai vaincu par la terreur ».
Auteur : Citizenkan Date : 17 avr.17, 01:50 Message :
Seleucide a écrit :
Pour reprendre le fameux hadith du prophète : « j'ai vaincu par la terreur ».
Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
En attendant :
La violence dans la Bible
Un chercheur s’est amusé à recenser les versets Bibliques glorifiant la violence, et, à sa grande surprise arriva au nombre faramineux de 917,[1] en voici quelques échantillons :
Abraham, l’Ami de Dieu, fit la guerre, prit du butin (Genèse 14) et eut plusieurs concubines ;
Jacob pratiqua la ruse (la taqya) pour voler la bénédiction de son frère (Genèse 27), était polygame, eut plusieurs femmes et concubines, fit la guerre (Genèse 48, 22), et, l’effronté, affronta Dieu en combat singulier ! (Genèse 32) ;
Les fils de Jacob pratiquèrent également la ruse afin de massacrer ceux qui avaient violé leur sœur Dina, firent la guerre, prirent du butin et des captives de guerre, les fameuses « esclaves sexuelles » (Genèse 34) ;
Moise ordonna aux enfants d’Israël de dépouiller et de voler les Égyptiens avant l’Exode (Exode 3 : 21-22, Exode 11, 2-3, Exode 12 : 35-36) ; Il fit exécuter 3000 juifs qui avaient idolâtré le Veau D’Or (Exode 32 : 27-28) ; Il fit lapider ceux qui avaient profané le Nom de Dieu (Exode 24 : 14), de même que ceux qui avaient violé le Sabbat (Nombres 15 : 32-36) ; Il fit exécuter 24 000 juifs qui avaient couché avec des femmes païennes (Nombres 25 : 9) ; Il avait une armée de plus de 600 000 soldats à la tête de laquelle : « Moise jetait l’effroi et la terreur sur ses ennemis » (Dt 2 : 25) ; 603 550 soldats lors du premier recensement (Nombres 1 : 46) et plus que 601 730 lors du second (Nombres 26) : Qu’a-t-il fait avec tous ces soldats ? Il a commencé des guerres d’extermination radicales. Moise combattit donc les Cananéens et les extermina (Nombres 21), il chassa et extermina les Amorites de leurs pays (Nombres 21 : 24-31) et le texte précise bien qu’il ne restait « pas un seul survivant », il tua hommes, femmes et enfants (Dt 2 : 32-35) et garda le butin ; Il attaqua le roi du Bashân et extermina hommes, femmes et enfants de 60 villes fortifiées et d’un très grands nombre de villages, seul le bétail fut gardé comme butin de guerre (Dt 3 : 2-7) ; Il extermina ensuite les Madianites avec 12 000 hommes. Il fit tuer tous les mâles adultes, il incendia toutes leurs villes et après que ses combattants lui eurent ramené le butin (c’est-à-dire les petits garçons, les femmes), il se fâcha, ordonna qu’on tua tous les bébés mâles ainsi que les femmes non vierges et de ne garder que les filles vierges ; Le texte dit que celles qui survécurent étaient 32 000 petites filles qui furent partagés entre les israélites en tant que captives de guerre ! (Nombres 31)[2] ; Moise aurait donc fait périr durant sa campagne militaire contre les madianites au minimum 100 000 personnes au Nom de Dieu ; Moise donna l’exemple à Josué et lui dit qu’il devra faire exactement pareil de l’autre côté du Jourdain dans la terre promise par Dieu à Abraham (Dt 3 : 21 et 28), c’est-à-dire qu’il devra anéantir jusqu’au dernier les sept peuples dits maudits (Nb 27 : 18-23, Dt 12 : 2 et Dt 31 : 7-8) ;
Josué, l’élu de Dieu, commet des génocides incroyables. Il part à la conquête de Jéricho, tue hommes, femmes, enfants, vieillards et incendie toute la ville (Jos 6 : 20-21), seule la prostituée Rahab et sa famille sont épargnés ! Il attaqua ensuite la ville d’Aïe avec 30 000 soldats en pratiquant la ruse en tant de guerre (Josué 8 : 4-9). Il fait tuer au Nom de Dieu hommes, femmes, enfants, prends du butin et incendie toute la ville. Total des victimes de Josué sous la bénédiction de Dieu : 12 000 victimes (Jos 8 : 25) ! Il attaqua ensuite les villes de Maqqéda, Livna, Lakish, Guezar, Eglon, Hébron, Dévir, tout le pays et à chaque fois le même procédé : tous les habitants sont passés au fil de l’épée (Hommes, femmes, enfants). Tout le monde est exterminé au nom du Dieu d’Israël. Il fit cela avec 31 villes et partagea comme butin tout le territoire avec les tribus d’Israël !
Moise apporta une loi (Exode 21) qui contient environ des dizaines de sentence de peine de morts, même contre les animaux ; une loi qui codifie l’esclavage, qu’un homme peut vendre sa propre fille, qui légifère la polygamie, qui inclut des châtiments corporels, une loi qui légifère sur le butin, les « esclaves sexuelles » et les captives de guerre ; une loi qui ordonne de faire passer au fil de l’épée tous les mâles d’une nation qui refuse de se rendre ; une loi qui autorise de châtier par le feu (Lv 20, 14) ; une loi qui ne donne le droit à l’héritage à la femme que si elle n’a pas de frères (Nombres 27 : 8-11), et qui instaure que les vœux de la femme sont soumis au bon vouloir de l’homme (Nombres 30) ;
Le prophète Elisée a maudit 42 enfants qui le traitaient de « chauve », le Dieu de la Bible répondit à son invocation en envoyant deux ours déchirer ces enfants insolents ! (2 Rois 2 : 23-24) ;
Samson a aussi commis une attaque kamikaze, un attentat-suicide approuvée par Dieu et qui fit plus de 3000 milliers de morts (Juges 16 : 23-30) ;
David tua Goliath et lui trancha la tête (1 Sam 17 : 51) de même qu’il tua les meurtriers du fils de Saül, et mutila leurs corps en leur coupant les mains et les pieds (2 Sam 4 : 12) ; David a commis une véritable Shoah dans la Bible, il extermina totalement les Ammonites en les découpant avec des scies, des herses et des haches et les fit jeter dans des fours à brique ! (1 Ch 20 : 3, 2 Sam 12 : 31) ; David extermina 22 000 Syriens et il asservit le reste en leur faisant payer l’impôt de capitation/la jizya (2 Samuel 8 : 5-6), il extermina de même 18 000 Edomites et les assujettis en leur faisant payer la jizya (2 Samuel 8 : 13-14), plus tard, il massacra également 40 000 Syriens (2 Samuel 10 : 18) ; David fit sournoisement assassiner l’un de ses chefs des armées, le général Uri afin de commettre l’adultère avec sa femme Bath-Schéba (2 Sam : 11) transgressant ainsi trois des plus grands commandements de la Torah (tu ne tueras pas, tu ne commettras point d’adultère et tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain) ! Pourquoi Dieu ne l’a-t-il pas châtié par la peine de mort ? David tua 200 Philistins, mutila leurs corps, coupa leur prépuce pour les remettre au Roi Saül afin qu’il lui donne sa fille Mical pour femme (1 Samuel 18 : 27). Quelle étrange dot pour un mariage ! La Bible nous dit dans 1 Rois 15 : 5 que « David avait fait ce qui est droit aux yeux de l'Éternel, et il ne s'était détourné d'aucun de ses commandements pendant toute sa vie, excepté dans l'affaire d'Urie, le Héthien. » À part l’histoire de l’adultère, tous les massacres de David étaient droits aux yeux de l’Eternel !
Le Prophète Elie n’est pas en reste puisqu’il égorgea les 450 prêtres de Baal (1 Rois 18, 19 et 40).
Tous ces massacres ne doivent pas nous étonner car nous lisons dans la Bible : « Maudit soit celui qui fait avec négligence l’œuvre de l’Eternel, maudit soit celui qui éloigne son épée du carnage » (Jérémie 48 : 10). Comment peut-il en être autrement alors que l’auteur de l’épitre aux hébreux affirme au chapitre 11 que David, Samson, Samuel et les prophètes furent justifiés par leur foi et non par leurs actes, qu’ils pratiquèrent la justice et qu’ils furent vaillants à la guerre ! (Hébreux 11 : 32-34)
Nous apprenons également dans le Nouveau Testament, dans le livre des Actes des Apôtres que le Saint Esprit acheva Ananias ainsi que sa femme parce qu’ils n’avaient pas donné tout l’argent de la vente de leur propre terrain à Pierre (Actes 5 : 1-11) ! Le texte appelle cela « prodige et miracle ».
Tous ces « bons fruits » se trouvent dans la Bible et donc sont approuvé par Jésus-Christ qui est venu accomplir et non pour abolir les lois et les prophètes ! (Mt 5 : 17).
Le très réputé commentaire protestant de la Bible annoté nous dit qu’elles avaient moins de 12 ans ! Quoi qu’il en soit, s’il ne reste que 32 000 survivantes, on ne peut qu’imaginer l’ampleur du carnage.
Citizenkan a écrit :Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
Pas la peine, l'histoire avec un grand H raconte les guerres de l'Islam.
La violence dans la Bible
1 - La violence dans l'ancien testament n'est jamais gratuite, il est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.
2 - Tout ce que tu cites n'est plus d'actualité, nous sommes sous une nouvelle alliance.
Alliance scellée par le sang du Christ sur la croix.
Tu aimeras ton prochain comme toi même.
Faites du bien à ceux qui vous persécutent, cela te dit quelque chose?
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 01:05 Message :
Etoiles Célestes a écrit :Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
Pas la peine, l'histoire avec un grand H raconte les guerres de l'Islam.
]La violence dans la Bible
1 - La violence dans l'ancien testament n'est jamais gratuite, il est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.
2 - Tout ce que tu cites n'est plus d'actualité, nous sommes sous une nouvelle alliance.
Alliance scellée par le sang du Christ sur la croix.
Tu aimeras ton prochain comme toi même.
Faites du bien à ceux qui vous persécutent, cela te dit quelque chose?
Parlez vous de l'Historie de l'islam à partir de l'a 666? (l'histoire de la Bête)?
La violence dans le Qur'an n'est jamais gratuite, elle est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.
Voudriez vous que nous laissions faire L'État Islamique? en leur tendant l'Épée la plus tranchante qui soit, La parole, la Bible ou l'autre jour
Que faites vous de la toute nouvelle alliance?
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 01:46 Message :
Etoiles Célestes a écrit :
1 - La violence dans l'ancien testament n'est jamais gratuite, il est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.
2 - Tout ce que tu cites n'est plus d'actualité, nous sommes sous une nouvelle alliance.
Alliance scellée par le sang du Christ sur la croix.
Tu aimeras ton prochain comme toi même.
Faites du bien à ceux qui vous persécutent, cela te dit quelque chose?
La religion médiane entre l’excellence et la justice
Ibn Taïmiya souligne qu’il existe trois sortes de Loi céleste : une loi basée sur l’excellence, une loi basée sur la justice, et une loi qui réunit à la fois l’excellence et la justice dans le sens où elle ordonne la justice et recommande l’excellence (à un niveau moindre). En ce sens, le Coran offre la Loi la plus complète possible, car il réunit la justice et l’excellence.
Nous ne contestons pas que Moïse (u) ait pu ordonner la justice et recommander l’excellence à l’instar du Messie. Quant à prétendre que Jésus ordonnait l’excellence et qu’il interdisait à l’opprimé de se faire justice ou que Mûsâ ne prônait pas la charité, c’est se méprendre au sujet des différentes missions prophétiques. Nous pouvons avancer en revanche que la Thora est essentiellement basée sur la justice, à l’inverse de l’Évangile qui axe son message sur l’excellence.
Le Coran pour sa part a la particularité de proposer une harmonie parfaite entre ces deux notions (ou encore de les utiliser à leur paroxysme ndt.). Quant à l’Injîl, il ne propose pas une Législation autonome, il n’y est pas question des notions de l’Unicité, de la création du monde, ou encore des aventures des prophètes avec leurs différents peuples. Il se contente pour ces notions-là de renvoyer la plupart du temps à la Thora. Néanmoins, le Messie a proscrit certaines interdictions de l’Ancien Testament et prône notamment la vertu, la clémence vis-à-vis de l’injuste, l’endurance face aux nuisances, l’abstinence dans ce bas monde ; il s’est servi de paraboles pour expliquer ces notions. Le Nouveau Testament se distingue en gros de la Thora à travers les vertus qu’il encourage, l’ascétisme qu’il recommande, et certaines proscriptions des interdictions dont étaient frappés les adeptes du Livre avant lui.
Cependant, le Coran n’a rien à lui envier de ce côté-là ; il est même plus enrichissant. Il n’y a pas un savoir utile ni une œuvre pieuse que la Thora, l’Évangile ou la prophétie en général propose sans qu’il n’en fasse autant, voire mieux. Celui-ci se distingue toutefois par des enseignements qui sont inexistants dans les livres anciens. La Thora penche plus vers la rigueur et la dureté tandis que l’évangile penche plutôt vers la douceur et la tolérance. Le Coran pour sa part se trouve au juste milieu en réunissant ces deux qualités à la fois comme le formule le Verset : (Ainsi, Nous avons fait de vous une communauté médiane afin que vous soyez des témoins à l’encontre les hommes). Le Seigneur décrit la communauté du Prophète (r) de la façon suivante : (Mohammed le Messager d’Allah et ceux qui le suivent sont durs envers les mécréants et charitables entre eux). Il a dit également : (Allah viendra alors avec un peuple qu’Il aime et qui L’aiment ; humbles envers les croyants et fiers envers les infidèles).
Ainsi, le Prophète de l’Islam (r) qui est le meilleur et le plus parfait d’entre tous était à la fois le Prophète de la Miséricorde et le Prophète de la guerre.[4] En cela, il est plus parfait que celui qui inclinerait plus soit vers la dureté soit vers la douceur. Pour expliquer cette prépondérance et cette répartition des sentiments dont se distingue chaque communauté, une certaine hypothèse assume que les juifs vivaient sous la domination et la persécution de Pharaon. Face à cet état d’esclavage et d’humiliation, il leur fut légiféré la colère afin de se défendre et pour les rendre plus courageux, mais ces derniers n’ont pas répondu à l’ordre de Moïse lorsqu’il leur ordonna d’entrer en terre de Canaan[5] sous prétexte qu’elle était habitée par des géants.[6] (…)
Cependant, après qu’Allah leur ai offert le triomphe, le pouvoir fut emparé par des rois à la fleur de l’âge qui firent régner la tyrannie à la manière de Pharaon. La mission de ‘Îsâ offrait de nouvelles dispositions ; celle-ci fut basée essentiellement sur l’indulgence, la vertu, et la douceur pour remédier à l’esprit dur et tyrannique dont les juifs s’étaient investis. Dès lors, les adeptes de la nouvelle religion étaient tellement doux qu’ils sombrèrent dans le laxisme ; ils ont ainsi renoncé à répandre la morale (ordonner le bien et interdire le mal) et à la « Guerre Sainte » ; ils ne voulaient même plus appliquer la justice entre eux et les peines corporelles. Les plus pieux d’entre eux se retiraient dans des monastères. Or, si les chrétiens sont laxistes quant il s’agit d’appliquer les lois de Dieu, ils sont obscurantistes quant il s’agit de suivre leurs autorités religieuses, de dominer, et de s’accaparer les richesses des hommes comme en témoignent les épisodes noirs qui traversent leur histoire…
Si les premiers chrétiens furent persécutés, quand ils eurent le pouvoir – à l’image de leur premier Empereur qui imposa par le glaive la religion qui lui fut dictée au Concile de Nicée, et qui fit massacrer ses opposants parmi les « gentils » en commençant par les juifs – leurs rois n’y allaient pas de main morte avec leurs sujets bien qu’ils n’appliquaient pas les Lois d’Allah. Ils faisaient impunément couler le sang des innocents que ce soit sous l’égide de leurs savants et de leurs dévots ou bien au gré de leurs propres caprices. En cela, ils n’étaient pas différents des juifs.
En revanche, Mohammed (r) propose une Législation parfaite et modérée qui ne sombre ni d’un côté ni de l’autre. Ses adeptes sont durs envers les ennemis d’Allah et doux envers Ses élus. Ils sont cléments et indulgents lorsqu’il s’agit de leurs intérêts personnels, mais ils sont intransigeants quand les droits du Seigneur sont en jeu. Cette religion est plus prompt à la vertu et aux bonnes mœurs que l’Évangile, mais elle est aussi plus prompt à la guerre sur le sentier d’Allah et à la justice que la Thora ; elle incarne le summum de la perfection. C’est ainsi que certains ont pu dire que Moïse incarnait la majesté, Jésus incarnait la beauté, et Mohammed la perfection…
Les philosophes reconnaissent eux-mêmes que le monde n’a jamais connu un « génie » (Nâmûs : traduction très approximative) comme Mohammed. Ils lui reconnaissent même une prépondérance par rapport à Mûsâ (u) et à ‘Îsâ (u). Pourtant, ils ne manquent pas de dénigrer les grands hommes des autres civilisations, mais ils n’ont pas osé le faire avec le sceau des prophètes, en dehors de quelques marginaux qui enfreignent l’éthique philosophique enjoignant de fonder les jugements sur la science et l’objectivité.
Avant l’avènement de la Thora, par une Loi universelle, Allah frappait d’un châtiment tous les peuples qui reniaient ses envoyés. Il fit périr le peuple de Noé sous les eaux, le peuple de Hûd par un vent glacial, celui de Sâlih par un cri strident, le peuple de Shu’aïb par une canicule, celui de Loth par une tempête de pierres (selon l’une des opinions ndt.), et celui de Pharaon par la noyade. Après la révélation de la Thora, il fut prescrit la « Guerre Sainte » pour les détenteurs du Livre ; si certains d’entre eux ont vaillamment répondu à cet appel, d’autres y ont renoncé. Ainsi, il y avait désormais deux moyens de répandre la lumière prophétique ; le savoir et la force…[7]
En cela, il n’y a rien de nouveau dans la mission de Mohammed, si ce n’est qu’il a apporté la plus parfaite et la plus répandue des religions qui restera universelle jusqu’à la fin des temps, et cela sans ne jamais subir ni réforme ni abrogation.
C’est à leurs fruits qu’on les reconnait, et comme le souligne ibn Taïmiya, les Arabes ont construit une civilisation d’une ampleur jamais égalée et, qui plus est, en un temps record ; il dit mot-à-mot qu’ils firent en une période très courte ce qui réclame beaucoup plus de temps chez les autres peuples. Ce constat n’a rien de chauvin, puisqu’il fut repris par des occidentaux des temps modernes dont on ne peut soupçonner l’objectivité, comme en témoignent nombre de citations qui parsèment cette série d’articles…
La vache ; 143
La grande conquête ; 29
Le Repas Céleste ; 54
[4] Victor Hugo disait au sujet de Mohammed (r) :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
[5] Dieu s’adresse dans la Bible à Israël en ces termes : « … Ne faites pas ce qui se fait au pays d’Égypte où vous avez habité ; ne faites pas ce qui se fait au pays de Canaan, où je vais vous faire entrer ; ne suivez pas leurs lois ; mettez en pratique mes coutumes et veillez à suivre mes lois. C’est moi, le SEIGNEUR votre dieu. Gardez mes lois et mes coutumes : c’est en les mettant en pratique que l’homme à la vie. C’est moi, le SEIGNEUR. » (Le Lévitique 18.3-5). Ainsi la condition pour aspirer à rester le « peuple élu » et pour vivre sur la terre des Philistins, c’est de suivre scrupuleusement les lois de Dieu wa Allah a’lam !
[6] Voir : Le Repas Céleste ; 21-24 Dans Majmû’ el Fatâwa (v. 27), Sheïkh el Islam ibn Taïmiya nous rapporte qu’on retrouva à son époque des ossements géants de squelettes humains. La découverte récente en Arabie Saoudite et en Iraq de squelettes géants lèvera certainement à l’avenir le voile sur ce « mystère ». Les Amorites (‘Amâlîq) descendants de ‘Âd, mais aussi les Émîtes et les Anaqites avant eux, étaient des peuples Philistins de géants vivant sur les terres de Canaan qui longeaient le littoral méditerranéen entre l’Égypte et la Palestine (voir : les nombres ; 13.31-33 et Deutéronome ; 1.28, 2.11).
[7] Extrait d’el jawâb e-sahîh li man baddala dîn el Masîh d’ibn Taïmiya (5/résumé des pages 58 à 113 avec certaines modifications).
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 04:02 Message : Mais mon cher Citizenkan, êtes vous à même de reconnaitre la Bête en Islam?
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 04:23 Message :
indian1indian1 a écrit :Mais mon cher Citizenkan, êtes vous à même de reconnaitre la Bête en Islam?
Désolé, je n'ai pas compris la question, mais pour mieux comprendre la prééminence de l'islam et son universalisme, un Verset de la Bible nous dit :
« Le SEIGNEUR est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon du côté de Seïr, il a resplendi du côté de Parân. » Deutéronome ; 33-1, 3
L’avènement des trois grandes « religions »
Pour le premier livre, Il a dit : « il est venu ou il s’est montré » ; au sujet du deuxième : « il a resplendi » ; et pour le dernier : « il est apparu ». La Thora est venue en effet comme les premières lueurs de l’aube ou de façon un peu plus intense. La révélation de l’Évangile a été comme le rayonnement du soleil illuminant le droit chemin.
Quant au Coran, il est comparable à l’astre flamboyant ayant envahi le ciel. Par son entremise, le Prophète (r) a répandu la lumière d’Allah à travers l’Orient et l’Occident avec plus d’intensité que les deux Livres précédents, à l’image du soleil qui domine les deux horizons. Allah qualifie le Coran de lampe lumineuse comme il a qualifié le soleil de lampe flamboyante. Or, l’humanité a plus besoin d’une lampe lumineuse que d’une lampe flamboyante dont l’utilisation est ponctuelle ; il est dit que celle-ci rayonne pendant une période déterminée tandis que la lampe lumineuse est indispensable à tout moment et n’importe où (de jour comme de nuit, en public ou en privé).
Le Prophète a dit (r) : « Les horizons de la terre, l’Orient et l’Occident, m’ont été rejoints. À l’avenir, le règne de ma communauté atteindra leurs frontières. »[1]
Rapporté par Muslim (n° 2889).
Par le figuier et l’olivier • Par le mont Sinaï • Par ce pays paisible : Allah jure ainsi par ces trois lieux illustres d’où s’est manifestée Sa lumière et Sa voie. Il y a révélé Ses trois Livres : la Thora, l’Évangile, et le Coran, nous enseigne la Thora à travers le Verset : « Le SEIGNEUR est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon, du côté de Seïr, il a resplendi du côté de Parân. »
Cette énumération respecte l’ordre chronologique (soit du plus ancien au plus récent). Dans le Coran, le sermon du Tout-Puissant met en avant le côté grandiose de ces trois lieux pour exprimer la grandeur de Son pouvoir, de Ses signes, de Ses Livres, et de Ses Messagers ; cette fois, l’énumération respecte l’ordre croissant d’importance, du moins illustre au plus illustre. Il a tout d’abord juré par le figuier et l’olivier, ensuite par le mont Sinaï, puis par La Mecque, qui symbolise le Coran, le plus illustre des Livres saints, devant la Thora et l’Évangile. Cette gradation est valable aussi pour leurs prophètes respectifs.
Des siècles plus tard, Victor Hugo reprendra judicieusement le soleil en métaphore pour comparer entre la révélation de Jésus et celle de Mohammed. Voici le texte en question :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
La poésie est vraiment déroutante et enchanteresse !
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 04:27 Message :
Citizenkan a écrit :Indian1indian1Mais mon cher Citizenkan, êtes vous à même de reconnaitre la Bête en Islam?
Désolé, je n'ai pas compris la question, mais pour mieux comprendre la prééminence de l'islam et son universalisme, un Verset de la Bible nous dit :
« Le SEIGNEUR est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon du côté de Seïr, il a resplendi du côté de Parân. » Deutéronome ; 33-1, 3
L’avènement des trois grandes « religions »
Pour le premier livre, Il a dit : « il est venu ou il s’est montré » ; au sujet du deuxième : « il a resplendi » ; et pour le dernier : « il est apparu ». La Thora est venue en effet comme les premières lueurs de l’aube ou de façon un peu plus intense. La révélation de l’Évangile a été comme le rayonnement du soleil illuminant le droit chemin.
Quant au Coran, il est comparable à l’astre flamboyant ayant envahi le ciel. Par son entremise, le Prophète (r) a répandu la lumière d’Allah à travers l’Orient et l’Occident avec plus d’intensité que les deux Livres précédents, à l’image du soleil qui domine les deux horizons. Allah qualifie le Coran de lampe lumineuse comme il a qualifié le soleil de lampe flamboyante. Or, l’humanité a plus besoin d’une lampe lumineuse que d’une lampe flamboyante dont l’utilisation est ponctuelle ; il est dit que celle-ci rayonne pendant une période déterminée tandis que la lampe lumineuse est indispensable à tout moment et n’importe où (de jour comme de nuit, en public ou en privé).
Le Prophète a dit (r) : « Les horizons de la terre, l’Orient et l’Occident, m’ont été rejoints. À l’avenir, le règne de ma communauté atteindra leurs frontières. »[1]
Rapporté par Muslim (n° 2889).
Par le figuier et l’olivier • Par le mont Sinaï • Par ce pays paisible : Allah jure ainsi par ces trois lieux illustres d’où s’est manifestée Sa lumière et Sa voie. Il y a révélé Ses trois Livres : la Thora, l’Évangile, et le Coran, nous enseigne la Thora à travers le Verset : « Le SEIGNEUR est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon, du côté de Seïr, il a resplendi du côté de Parân. »
Cette énumération respecte l’ordre chronologique (soit du plus ancien au plus récent). Dans le Coran, le sermon du Tout-Puissant met en avant le côté grandiose de ces trois lieux pour exprimer la grandeur de Son pouvoir, de Ses signes, de Ses Livres, et de Ses Messagers ; cette fois, l’énumération respecte l’ordre croissant d’importance, du moins illustre au plus illustre. Il a tout d’abord juré par le figuier et l’olivier, ensuite par le mont Sinaï, puis par La Mecque, qui symbolise le Coran, le plus illustre des Livres saints, devant la Thora et l’Évangile. Cette gradation est valable aussi pour leurs prophètes respectifs.
Des siècles plus tard, Victor Hugo reprendra judicieusement le soleil en métaphore pour comparer entre la révélation de Jésus et celle de Mohammed. Voici le texte en question :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
La poésie est vraiment déroutante et enchanteresse !
Oui je comprend et je suis d'accord avec tout ca...
Mais que pensez vous des nombreuses branches, surtout califales ''' bestiales'' , qui ont pris naissance d'ailleurs avec les omeyades autour de l'an 666 du calendrier grégorien...et qui à mon humble avis n'ont pas grand chose à voir avec l'islam.
Auteur : yacoub Date : 18 avr.17, 04:35 Message : Victor Hugo s'est converti au mahométisme sous le nom de Abou Bakr Hugo d'où son appel au jihad:
En guerre, les guerriers
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 04:36 Message :
indian1indian1 a écrit :
Oui je comprend et je suis d'accord avec tout ca...
Mais que pensez vous des nombreuses branches, surtout califales ''' bestiales'' , qui ont pris naissance d'ailleurs avec les omeyades autour de l'an 666 du calendrier grégorien...et qui à mon humble avis n'ont pas grand chose à voir avec l'islam.
Je pense que sur un forum intereligieux, il faut éviter les questions sensibles internes, l'essentiel est de savoir ici que le djihad n'est pas un élément disqualifiant de la prophétie, sinon, il faudrait nous citer les Verset de la Bible allant dans ce sens !
Les caractéristiques de la prophétie n'est pas laissé à l'initiative, au bon vouloir des hommes, ni à l'air du temps !
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 04:44 Message :
Citizenkan a écrit :
Je pense que sur un forum intereligieux, il faut éviter les questions sensibles internes, l'essentiel est de savoir ici que le djihad n'est pas un élément disqualifiant de la prophétie, sinon, il faudrait nous citer les Verset de la Bible allant dans ce sens !
Les caractéristiques de la prophétie n'est pas laissé à l'initiative, au bon vouloir des hommes, ni à l'air du temps !
Je pense au contraire que sur une forum de discussions nous devrions discuter de tout sauf de ce qui nous réconforte dans nos vérités, absolue, dogmes et doctrines...
car pour ca y'a nos églises respectives
Pour ma part toutes question est bonne à poser, toute remise ne question a sa place.
Mais si vous désirez parler de valeurs qui nous sont communes. Alors là ca sera pas long qu'on s'entendra
De quel djihad parlez vous? celui contre son égo trop gros, en nous, face à notre propre miroir... ou de la justesse d'un combat à armes égales contre l'assaillant?
La réflexion est laissée aux femmes & homme de raison
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 04:50 Message :
indian1indian1 a écrit :
Je pense au contraire que sur une forum de discussions nous devrions discuter de tout sauf de ce qui nous réconforte dans nos vérités, absolue, dogmes et doctrines...
car pour ca y'a nos églises respectives
Pour ma part toutes question est bonne à poser, toute remise ne question a sa place.
Mais si vous désirez parler de valeurs qui nous sont communes. Alors là ca sera pas long qu'on s'entendra
De quel djihad parlez vous? celui contre son égo trop gros, en nous, face à notre propre miroir... ou de la justesse d'un combat à armes égales contre l'assaillant?
La réflexion est laissée aux femmes & homme de raison
Je parle du djihad offensif qui est la forme transcendante de la guerre :
Certains font un amalgame lorsqu’ils comparent Jésus le prophète de l’amour et Mohammed le prophète de la haine, car l’Islam est la religion du corps et de l’esprit, du spirituel et du temporel, du culte et de l’état, du Livre et du sabre, de l’amour et de la rigueur. Loin d’être utopiste, la dernière des Grandes Religions est dans son prosélytisme, pragmatique et rationnelle. L’amour et la haine sont en fait deux sentiments aussi inhérents à l’homme que les deux ailes d’un oiseau, s’il en manque une, il ne peut s’envoler. Il est aussi ridicule de condamner le concept du Jihâd –sous sa forme originelle bien sûr – que de condamner la présence de l’armée française sans laquelle le drapeau national ne pourrait arborer les murs de l’Élysée.
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 04:54 Message :
Citizenkan a écrit :[Je parle du djihad offensif qui est la forme transcendante de la guerre :
Certains font un amalgame lorsqu’ils comparent Jésus le prophète de l’amour et Mohammed le prophète de la haine, car l’Islam est la religion du corps et de l’esprit, du spirituel et du temporel, du culte et de l’état, du Livre et du sabre, de l’amour et de la rigueur. Loin d’être utopiste, la dernière des Grandes Religions est dans son prosélytisme, pragmatique et rationnelle. L’amour et la haine sont en fait deux sentiments aussi inhérents à l’homme que les deux ailes d’un oiseau, s’il en manque une, il ne peut s’envoler. Il est aussi ridicule de condamner le concept du Jihâd –sous sa forme originelle bien sûr – que de condamner la présence de l’armée française sans laquelle le drapeau national ne pourrait arborer les murs de l’Élysée.
Faut pas comparer Jésus et Muhamed sur la base de leur actes... Jésus n'a pas vu sa communauté persécuté et attaqué comme el fut Médine. Sa famille ne fut pas non plus pris pour contre.
Deux contexte et situation tout à fait distinctes..
De quoi parlez vous quand vous dites: la dernière des Grandes Religions ???
Auteur : spin Date : 18 avr.17, 05:05 Message :
indian1indian1 a écrit :Jésus n'a pas vu sa communauté persécuté et attaqué comme el fut Médine. Sa famille ne fut pas non plus pris pour contre.
Les musulmans n'auraient pas été inquiétés à Médine s'ils n'avaient pas insulté la religion dominante.
Auteur : yacoub Date : 18 avr.17, 05:09 Message :
spin a écrit :Les musulmans n'auraient pas été inquiétés à Médine s'ils n'avaient pas insulté la religion dominante.
PBSL était le roi de Medine après l'expulsion des arabes juifs ou leur massacre et c'est à partir de Medine qu'il a fait la colonisation de la Mecque puis de toute l'Arabie
Auteur : spin Date : 18 avr.17, 05:14 Message :
yacoub a écrit :PBSL était le roi de Medine après l'expulsion des arabes juifs ou leur massacre et c'est à partir de Medine qu'il a fait la colonisation de la Mecque puis de toute l'Arabie
Indianindian voulait dire "à La Mecque", je suppose, et moi je n'ai pas fait attention
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 05:21 Message :
indian1indian1 a écrit :
Faut pas comparer Jésus et Muhamed sur la base de leur actes... Jésus n'a pas vu sa communauté persécuté et attaqué comme el fut Médine. Sa famille ne fut pas non plus pris pour contre.
Deux contexte et situation tout à fait distinctes..
De quoi parlez vous quand vous dites: la dernière des Grandes Religions ???
Ici, je théorise le sujet indépendamment du contexte, il faut retenir que Moïse est le prophète de la justice, Jésus de l'amour et Mohammed le chef de la la dernière des Grandes Religions (on peut utiliser cette expression par condescendance) est le prophète de l'amour et de la justice, en cela, sa religion est universelle selon les critères de la prophétie (non de la constitution universelle des droits de l'Homme), et s'adresse à tous les hommes sans n'être confiner aux brebis égarées d'Israël !
Auteur : marco ducercle Date : 18 avr.17, 05:23 Message :Daesh imite leur prophete, Mahomet
Ils n'imitent pas, ils obéissent aux ordres!
Auteur : Yoel Date : 18 avr.17, 05:28 Message :
indian1indian1 a écrit :Daesh imite la version omeyades de l'Islam, celle de la Bête califale.
Injustice, InHumanisme, Immonde.
En rien la justice de Muhamed.
Qui voulez vous tromper? vous même?
N'importe quoi ! Tu nous prend pour des imbéciles.
Les Omeyyades immitaient qui ? Muhammad a travers les premiers quatres califes « bien-guidés » qui furent tous ses compagnons, ses disciples.
T'es vraiment un mauvais propagandiste musulman.
Auteur : Citizenkan Date : 18 avr.17, 05:29 Message :
marco ducercle a écrit :Daesh imite leur prophete, Mahomet
Ils n'imitent pas, ils obéissent aux ordres!
Il faut distinguer entre les ordres théoriques et la légitimité de leur application qui est soumise à des critères stricts et indispensables, et quand bien même, ils ne feraient qu'obéir aux ordres, ils ne sont pas moins nantis de ce que côté-là que la Bible, bien au contraire, je vous renvoie plus haut !
Cordialement.
Auteur : indian1indian1 Date : 18 avr.17, 05:34 Message :
spin a écrit :Les musulmans n'auraient pas été inquiétés à Médine s'ils n'avaient pas insulté la religion dominante.
indian1indian1 a écrit :]Parlez vous de l'Historie de l'islam à partir de l'a 666? (l'histoire de la Bête)?
La violence dans le Qur'an n'est jamais gratuite, elle est ordonné par Dieu sur des peuples
vivant dans la débauche et le blasphème.
Voudriez vous que nous laissions faire L'État Islamique? en leur tendant l'Épée la plus tranchante qui soit, La parole, la Bible ou l'autre jour
Que faites vous de la toute nouvelle alliance?
Va te coucher Indian.
Auteur : olma Date : 19 avr.17, 02:03 Message :
indian1indian1 a écrit :Daesh imite la version omeyades de l'Islam, celle de la Bête califale.
Injustice, InHumanisme, Immonde.
En rien la justice de Muhamed.
Qui voulez vous tromper? vous même?
Non ! Leur livres est le même que le tien ! C'est juste que l'histoire se répète comme les Romains à une époque.
c'est pas la justice de Muhammad, c'est celle du livre qui le cite, cette nuance n'a aucune importance pour toi, c'est tout le problème.
faut juste faire la différence entre Muhammad et (Muhammad) le contenu des parenthèse
on ne sait pas si c'est le livre pour des musulmans car ce ne sont pas les plus cités
c'est le seul livre qui critique les Juifs et les chrétiens, le païen n'existe plus ! c'est un mot plus élever qui représente sa CREAtion qui est le méCREAnt (un voleur important qui s'échappe lui-même)
mais le jour où se livre sera compris, il justifiera ce verset et il primera sur les autres !
22.40.ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, - contre toute justice, simplement parce qu'ils disaient : "Allah est notre Seigneur". - Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d'Allah est beaucoup invoqué. Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa Religion). Allah est assurément Fort et Puissant,
ce ne sont pas des murs de pierre
on ne fait pas des des musulmans dans les ermitages, les églises, synagogues. car les mosquées sont égale au trois autres
(Sa Religion) avec des majuscule, qui précise le contenu de la lettre la plus importante.
jamais il ne sera écrit: il n'y a d'Allah qu'Allah !
quand tu comprendras que c'est le renouvellement du Feu et non de véritable supplices, alors ces versets seront très utile pour la suite de l'aventure humaine, et qui fait déjà des miracles en utilisent Dieu à son avantage qui est dedans l'électricité.
les ondes (invisible) les champs magnétiques (invisible) Dieu est dedans, ainsi que son armée, contre Dieu est son armée.
scanner renvoie des images par tranche, c'est retraduit en images, c'est pas notre monde à la base. Comment expliquer l'invisible sans les mots ? la comPOSITION du mot fait que le mot peut changer, c'est des mots eux même que le Coran parle. L'homme n'est qu'une image, mais sa composition en lettres ne l'est pas.
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 03:02 Message :
spin a écrit :Il n'y a pas d'Islam sans les hadiths.
Après, à Médine, les musulmans n'ont été que persécuteurs.
Il y a les coranistes qui ne veulent suivre que le Saint Coran, ils arrivent à faire trois prières par jour,
pour eux, les vins sont licites ainsi que l'homosexualité. Kadhfi était coraniste.
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 03:10 Message :
Citizenkan a écrit :Il faut distinguer entre les ordres théoriques et la légitimité de leur application qui est soumise à des critères stricts et indispensables
Ordre théorique ou commandement?: Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies.
C'est bien ce que fait daesh, non?
Pour toi, sur quoi repose la légitimité daéchienne?
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 03:39 Message :
marco ducercle a écrit :
Ordre théorique ou commandement?: Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies.
C'est bien ce que fait daesh, non?
Pour toi, sur quoi repose la légitimité daéchienne?
Vous oubliez qui est soumise à des critères stricts
Le problème n'est pas dans le commandement du djihad qui a une portée universelle, mais dans son application, et sa concrétisation !
Parmi les conditions, il y a les moyens matériels, et la balance des avantages et des inconvénients à se lancer dans une aventure guerrière !
En regard des rapports de force actuel, les musulmans ne sont objectivement pas capable d'en venir au djihad offensif, et les inconvénients dépassent ici et de loin les avantages escomptés...
Ne serait-ce déjà que de l'image négative que DAESH véhiculent de l'islam avec ses exactions exécrables et puériles...
En cela, DAESH ne suit pas ce commandement, ce n'est pas parce qu'on ne réussit pas le mode d'emploi que le produit est mauvais !
Évitons les raccourcis binaires, et lucides, essayons d'élever le niveau de discussion, et vous en serez le premier bénificiaire !
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 03:57 Message : Rien n'empêche un vrai musulman de se faire exploser fi sâbil Allah, il est assuré d'aller directement au Paradis
folâtrer avec des houris
La guerre entre Dar el Islam et Dar el Harb ne se fera pas puisque même Israël a défait des nations islamiques comme la Syrie
ou L’Égypte.
Il reste les attentats suicides.
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 04:02 Message :
Citizenkan a écrit :
Évitons les raccourcis binaires, et lucides, essayons d'élever le niveau de discussion, et vous en serez le premier bénificiaire !
Pour moi, il n'y a pas de raccourci binaire car je pense que daesh ne fait que poursuivre la politique du 7eme siècle en Arabie.
On surprotège l'islam parce que c'est une religion! Ca serait un simple système politique ou une simple philosophie, tout le monde serait vent debout pour le dénoncer.
A titre personnel, je veux bien admettre qu'il a eu son utilité sociale au 7ème siècle. Simplement, aujourd'hui, il est archaique, on est passé à autre chose.
Imaginons 5 minutes qu'on remette en vigueur les lois administrant la France sous Pepin le bref.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 04:11 Message :
marco ducercle a écrit :
Pour moi, il n'y a pas de raccourci binaire car je pense que daesh ne fait que poursuivre la politique du 7eme siècle en Arabie.
On surprotège l'islam parce que c'est une religion! Ca serait un simple système politique ou une simple philosophie, tout le monde serait vent debout pour le dénoncer.
A titre personnel, je veux bien admettre qu'il a eu son utilité sociale au 7ème siècle. Simplement, aujourd'hui, il est archaique, on est passé à autre chose.
Imaginons 5 minutes qu'on remette en vigueur les lois administrant la France sous Pepin le bref.
Oui, vous confirmez votre binarité, après ce n'est pas très étonnant, on peut ne pas aimer l'islam, mais il faudrait au minimum le comprendre, et ne pas comparer 2 contextes complètement différents,
Ensuite, vous dites archaïque, dois-je en conclure que nous vivons actuellement la meilleure évolution possible ? Que l'avenir sera meilleur ? et que l'Occident est LE modèle d'évolution pour l'Humanité ?
Enfin, on ne juge pas péremptoirement une religion sur des critères aléatoires d'hommes du 20ième siècle avant tous les aléas que cela implique !
Seule la révélation vient juger de la véracité de l'islam, et voyons donc ce que dit la Bible pour ses passages non falsifiées pour définir les critères d'une vraie prophétie !
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 04:17 Message : Marc Orcel, je présume ?
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 04:25 Message :
yacoub a écrit :Marc Orcel, je présume ?
Non, KZed, mais je rebondis sur vous, les attentat-suicides n'ont aucun lien avec l'islam, et les attentats tout court ont été prônées par les grands courants en Occident depuis la révolution.
En cela, il faut plus chercher les inspirateurs de DAESH chez les révolutionnaires contemporains que dans les textes religieux...
c’est tahsîl el hâsil ; c’est ce que les spécialistes en usûl appellent darw ; pour les philosophes, il s’agit d’une pétition de principe, ou raisonnement circulaire : faute logique qui consiste à tenir pour vrai ce qu’il s’agit précisément de démontrer. Nous allons droit vers un dialogue de sourds, alors qu’en principe, il incombe de cerner la divergence, avant de trancher péremptoirement sans connaitre les tenants et les aboutissants de ses propos…
L’approche philosophique du djihad
L’homme est par nature un animal guerrier. Celui-ci est conditionné à se munir de tous les moyens à même d’assurer sa préservation. En parallèle, il éloigne de lui tout ce qui porte atteinte à sa survie, et qui met à mal ses besoins fondamentaux, dits « primaires ». Une fois ces besoins assouvis, il augmente son niveau d’exigence dans sa quête vers un confort minimum (nourriture, habitat, habillement, etc.) qui remplit ses besoins secondaires.
La présence de deux clans ou tributs organisés autour d’un point d’eau, d’un troupeau, de territoires agricoles est une source de conflit indubitable. Ainsi, pour remédier à ses besoins de survie, Dieu l’a doté de deux sentiments antagonistes indispensables à son maintient : l’amour et la haine. L’amour de son clan, ses amis, et la haine de la tribu voisine, ses ennemis.
C’est pourquoi, le maintient des sociétés et de toute organisation humaine est soumis à deux principes, deux nécessités ; la confiance mutuelle ou la loyauté, et le partage des biens ou la générosité. Ces deux notions étant liées, on retrouve vanter leurs vertus et prôner dans toutes les civilisations, en parallèle aux vertus de la guerre et du courage face à l’ennemi nuisible dont les intérêts sont nécessairement antagonistes dans la mesure où ils convoitent mutuellement la même chose.
Or, l’homme est par nature également cupide, pour les raisons identiques de survie, qu’il manifeste à tord ou à raison, à intensité variable. En outre, dans le domaine où il les utilise à moins bon escient, c’est pour réaliser ses besoins tertiaires, plus ou moins superficiels ou tout au moins ceux qu’il est capable de partager en faisant des concessions avec ses voisins. Ces notions élémentaires réfutent irrémédiablement les philosophies utopistes basées sur le principe que l’homme tend à la perfection, en sortant de son côté animal pour atteindre l’apogée, vers sa nature angélique et se substituer à Dieu ou devenir Dieu, dans un paradis terrestre et éternel, sans guerre ni haine, baignant dans un climat de paix universelle.
De plus, plus géographiquement un clan s’éloigne d’un autre, plus leurs objectifs seront différents et contradictoires en dehors de leurs intérêts communs et universels. Cela s’explique pour des raisons très simples de distance, de climat, d’adaptation différente, du contexte social, topographique, démographique, etc. même si la proximité peut engendrer la haine, la distance est un paramètre d’autant plus important que l’inconnu fait peur, et que l’autre nous répugne du fait de sa différence. Qui ignore haït ! Que dire si les intérêts communs deviennent non seulement contradictoires, mais accessibles (condition sine qua none pour que l’affrontement puisse avoir lieu) !
Sheïkh el Islam ibn Taïmiya explique : « Les groupes humains doivent leur survie à leur besoin commun de s'accaparer les biens et de parer au mal. Les alliances et les pactes sont issus de cette entente mutuelle. Il est communément admis par les habitants de la terre, – constat qui est très palpable autour de soi – que la loyauté envers ses engagements était une qualité impérieuse pour régir les rapports entre les uns et les autres, bien qu’ils ne soient pas toujours respectés. Les hommes s'accordent aussi sur les principes universels de justice et d’honnêteté qu'il est primordial d'établir entre eux. L’entente mutuelle et les accords consentis dans le sens de ce qui leur est utile (s'approprier les bonnes choses et repousser les mauvaises choses), représente un facteur indispensable dans leur quête mutuelle et solidaires des besoins.
Ils sont soumis à la nécessité de s'entraider les uns les autres à acquérir les biens à même d’assurer leur survie, et à s'éloigner des dangers nuisibles et des périls. Matériellement, nécessité oblige, cet accord est souvent tacite, et les modalités verbales deviennent superflues. Une association solidaire s’impose instinctivement. Le lien de sang par exemple, la proximité, au sein d’une même famille ou d'une même ville va naturellement canaliser les efforts vers un objectif commun qui garantit l’épanouissement individuel.
Cette association s'établit parfois de leur propre initiative qui se matérialise à travers les pactes qui bénéficient à tous les intéressés. D'autres fois, celle-ci se réalise par une action extérieure du Seigneur qui regroupe ces deux principes dans le Verset : (Et craignez Allah par qui vous nouez des pactes, et ne rompez pas le lien de sang).
Dans cette même sourate, le Très-Haut évoque les démarches et les liens qui aboutissent à des pactes et à des ententes : (Il est celui qui a créé l'être humain à partir de l'eau, et qui lui a accordé une parenté par le sang et par alliance)[3] ; (Ceux qui sont fidèles à l'engagement qu’ils ont noué avec Leur Seigneur et qui ne trahissent pas leur alliance • Ceux qui ne rompent pas les liens qu’il a ordonné d’entretenir)[4] ; (mais Il n’égare que les pervers • ceux qui violent le pacte qu’ils ont noué avec Allah, et qui rompent les liens qu’Il leur a enjoint d’entretenir).[5]
Ainsi, chaque regroupement humain qui doit son existence à une proximité matérielle, physiologique ou conventionnelle réclame une entraide dans la réalisation des besoins de ses membres et pour assurer sa défense ; cette alliance va déterminer les alliés qui rapportent des bienfaits au groupe et les ennemis qui représentent un danger potentiel ou réel. La nécessité oblige chaque individu à se désigner des alliés et des ennemis.
C'est pourquoi, toutes les civilisations vantent les vertus du courage et de la générosité ; la générosité par laquelle elles assouvissent leurs dépenses pécuniaires, matérielles, etc. et le courage qui est un précieux ami lors d’une entreprise militaire ayant pour but de repousser un ennemi dangereux. Toute société est vouée à l’extinction si elle ne fournit pas ses deux paramètres de survie qui sont maintenus grâce à l’esprit de justice jouant un rôle de régulateur dans les associations et les échanges.
Il devient clair que toute entreprise humaine revêt indubitablement un acte solidaire, qui, pour le meilleur et pour le pire, exige des alliances, et une certaine force ; la volonté étant à l'origine de ces pactes, d'où le Verset : ( Et craignez Allah par qui vous nouez des pactes),[6] c-à-d, qu'ils formulent des pactes, et des alliances.
Chaque mouvement provient nécessairement de la volonté et de la capacité. Les communautés éprouvent l’intérêt, pour leur préservation, d’harmoniser leurs ambitions à ces deux niveaux. Il y a d’abord une solidarité qui se crée dans les faits par le biais de la volonté, et du volontariat. Cette solidarité bien huilée va générer une force (une capacité) qui va se tourner vers l’extérieur en vue de mettre en déroute les intentions hostiles d’un ennemi menaçant et, par-là même de s’emparer des butins qui résultent de ces affrontements.
Dans cet ordre d’idées, nous avons les relations sexuelles que légalise un contrat de mariage à la suite d’une volonté commune quand le consentement des deux parties est obtenu de plein gré ou par le biais de l'esclavage qui est une forme de soumission imposée par la force. Les membres du groupe sont aussi associés dans les biens et la défense en vertu des alliances mutuelles qui les unissent ou sous l'autorité d'un homme de pouvoir à qui ils doivent obéissance.
Par conséquent, cette relation est obtenue :
Primo : par l'intermédiaire de pactes.
Secundo : par une obéissance implicite qu'elle soit légitime ou non.
L’obéissance légitime est celle que le Tout-Puissant nous impose ; celle-ci est échue aux prophètes, aux responsables de l'autorité musulmane, aux parents, etc. En outre, nous avons les relations qui engagent des intérêts réciproques, le but étant de satisfaire tout le monde sans ne léser personne.
Quant à celle qui n'a aucune légitimité, elle correspond, à titre d'exemple, à l'assouvissement aux despotes et aux individus encensés à tort. Toute communauté non soumise à aucune autorité dans toutes ses affaires doit nécessairement être unis par des alliances et des pactes qui sortent de la compétence de l'autorité.
Ainsi, il y a un contrat social qui parfois est imposé par Dieu (la Législation révélée du Seigneur, les actions que l'on doit à Dieu, les devoirs mutuels). D’autres fois, il est mis en vigueur par les engagements auxquels les gens s'astreignent. »[7]
C’est ce vers quoi tend certainement l’Ordre international, quoi que dans le fond honorable, si on fait abstraction de ses ambitions hégémoniques.
Les femmes ; 1
El Fourqan ; 54
[4] Le tonnerre ; 20-21
[5] La vache ; 26-27
[6] Les femmes ; 1
[7] qâ’ida fî el mahabba (traité de l’amour en Dieu).
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 04:38 Message : Jésus n'a jamais pratiqué le jihad contrairement à PBSL qui est responsable de 270 millions de morts depuis 622 jusqu'à maintenant.
Et ce n'est pas fini.
Si les chrétiens se sont entre tués ce n'est pas de la faute de Jésus.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 04:41 Message :
yacoub a écrit :Jésus n'a jamais pratiqué le jihad contrairement à PBSL qui est responsable de 270 millions de morts depuis 622 jusqu'à maintenant.
Et ce n'est pas fini.
Si les chrétiens se sont entre tués ce n'est pas de la faute de Jésus.
Encore une fois, il faut se méfier des chiffres de propagande !
Sinon, j'ai expliqué ce point plus, je disais notamment :
La religion médiane entre l’excellence et la justice
Ibn Taïmiya souligne qu’il existe trois sortes de Loi céleste : une loi basée sur l’excellence, une loi basée sur la justice, et une loi qui réunit à la fois l’excellence et la justice dans le sens où elle ordonne la justice et recommande l’excellence (à un niveau moindre). En ce sens, le Coran offre la Loi la plus complète possible, car il réunit la justice et l’excellence.
Nous ne contestons pas que Moïse (u) ait pu ordonner la justice et recommander l’excellence à l’instar du Messie. Quant à prétendre que Jésus ordonnait l’excellence et qu’il interdisait à l’opprimé de se faire justice ou que Mûsâ ne prônait pas la charité, c’est se méprendre au sujet des différentes missions prophétiques. Nous pouvons avancer en revanche que la Thora est essentiellement basée sur la justice, à l’inverse de l’Évangile qui axe son message sur l’excellence.
Le Coran pour sa part a la particularité de proposer une harmonie parfaite entre ces deux notions (ou encore de les utiliser à leur paroxysme ndt.). Quant à l’Injîl, il ne propose pas une Législation autonome, il n’y est pas question des notions de l’Unicité, de la création du monde, ou encore des aventures des prophètes avec leurs différents peuples. Il se contente pour ces notions-là de renvoyer la plupart du temps à la Thora. Néanmoins, le Messie a proscrit certaines interdictions de l’Ancien Testament et prône notamment la vertu, la clémence vis-à-vis de l’injuste, l’endurance face aux nuisances, l’abstinence dans ce bas monde ; il s’est servi de paraboles pour expliquer ces notions. Le Nouveau Testament se distingue en gros de la Thora à travers les vertus qu’il encourage, l’ascétisme qu’il recommande, et certaines proscriptions des interdictions dont étaient frappés les adeptes du Livre avant lui.
Cependant, le Coran n’a rien à lui envier de ce côté-là ; il est même plus enrichissant. Il n’y a pas un savoir utile ni une œuvre pieuse que la Thora, l’Évangile ou la prophétie en général propose sans qu’il n’en fasse autant, voire mieux. Celui-ci se distingue toutefois par des enseignements qui sont inexistants dans les livres anciens. La Thora penche plus vers la rigueur et la dureté tandis que l’évangile penche plutôt vers la douceur et la tolérance. Le Coran pour sa part se trouve au juste milieu en réunissant ces deux qualités à la fois comme le formule le Verset : (Ainsi, Nous avons fait de vous une communauté médiane afin que vous soyez des témoins à l’encontre les hommes). Le Seigneur décrit la communauté du Prophète (r) de la façon suivante : (Mohammed le Messager d’Allah et ceux qui le suivent sont durs envers les mécréants et charitables entre eux). Il a dit également : (Allah viendra alors avec un peuple qu’Il aime et qui L’aiment ; humbles envers les croyants et fiers envers les infidèles).
Ainsi, le Prophète de l’Islam (r) qui est le meilleur et le plus parfait d’entre tous était à la fois le Prophète de la Miséricorde et le Prophète de la guerre.[4] En cela, il est plus parfait que celui qui inclinerait plus soit vers la dureté soit vers la douceur. Pour expliquer cette prépondérance et cette répartition des sentiments dont se distingue chaque communauté, une certaine hypothèse assume que les juifs vivaient sous la domination et la persécution de Pharaon. Face à cet état d’esclavage et d’humiliation, il leur fut légiféré la colère afin de se défendre et pour les rendre plus courageux, mais ces derniers n’ont pas répondu à l’ordre de Moïse lorsqu’il leur ordonna d’entrer en terre de Canaan[5] sous prétexte qu’elle était habitée par des géants.[6] (…)
Cependant, après qu’Allah leur ai offert le triomphe, le pouvoir fut emparé par des rois à la fleur de l’âge qui firent régner la tyrannie à la manière de Pharaon. La mission de ‘Îsâ offrait de nouvelles dispositions ; celle-ci fut basée essentiellement sur l’indulgence, la vertu, et la douceur pour remédier à l’esprit dur et tyrannique dont les juifs s’étaient investis. Dès lors, les adeptes de la nouvelle religion étaient tellement doux qu’ils sombrèrent dans le laxisme ; ils ont ainsi renoncé à répandre la morale (ordonner le bien et interdire le mal) et à la « Guerre Sainte » ; ils ne voulaient même plus appliquer la justice entre eux et les peines corporelles. Les plus pieux d’entre eux se retiraient dans des monastères. Or, si les chrétiens sont laxistes quant il s’agit d’appliquer les lois de Dieu, ils sont obscurantistes quant il s’agit de suivre leurs autorités religieuses, de dominer, et de s’accaparer les richesses des hommes comme en témoignent les épisodes noirs qui traversent leur histoire…
Si les premiers chrétiens furent persécutés, quand ils eurent le pouvoir – à l’image de leur premier Empereur qui imposa par le glaive la religion qui lui fut dictée au Concile de Nicée, et qui fit massacrer ses opposants parmi les « gentils » en commençant par les juifs – leurs rois n’y allaient pas de main morte avec leurs sujets bien qu’ils n’appliquaient pas les Lois d’Allah. Ils faisaient impunément couler le sang des innocents que ce soit sous l’égide de leurs savants et de leurs dévots ou bien au gré de leurs propres caprices. En cela, ils n’étaient pas différents des juifs.
En revanche, Mohammed (r) propose une Législation parfaite et modérée qui ne sombre ni d’un côté ni de l’autre. Ses adeptes sont durs envers les ennemis d’Allah et doux envers Ses élus. Ils sont cléments et indulgents lorsqu’il s’agit de leurs intérêts personnels, mais ils sont intransigeants quand les droits du Seigneur sont en jeu. Cette religion est plus prompt à la vertu et aux bonnes mœurs que l’Évangile, mais elle est aussi plus prompt à la guerre sur le sentier d’Allah et à la justice que la Thora ; elle incarne le summum de la perfection. C’est ainsi que certains ont pu dire que Moïse incarnait la majesté, Jésus incarnait la beauté, et Mohammed la perfection…
Les philosophes reconnaissent eux-mêmes que le monde n’a jamais connu un « génie » (Nâmûs : traduction très approximative) comme Mohammed. Ils lui reconnaissent même une prépondérance par rapport à Mûsâ (u) et à ‘Îsâ (u). Pourtant, ils ne manquent pas de dénigrer les grands hommes des autres civilisations, mais ils n’ont pas osé le faire avec le sceau des prophètes, en dehors de quelques marginaux qui enfreignent l’éthique philosophique enjoignant de fonder les jugements sur la science et l’objectivité.
Avant l’avènement de la Thora, par une Loi universelle, Allah frappait d’un châtiment tous les peuples qui reniaient ses envoyés. Il fit périr le peuple de Noé sous les eaux, le peuple de Hûd par un vent glacial, celui de Sâlih par un cri strident, le peuple de Shu’aïb par une canicule, celui de Loth par une tempête de pierres (selon l’une des opinions ndt.), et celui de Pharaon par la noyade. Après la révélation de la Thora, il fut prescrit la « Guerre Sainte » pour les détenteurs du Livre ; si certains d’entre eux ont vaillamment répondu à cet appel, d’autres y ont renoncé. Ainsi, il y avait désormais deux moyens de répandre la lumière prophétique ; le savoir et la force…[7]
En cela, il n’y a rien de nouveau dans la mission de Mohammed, si ce n’est qu’il a apporté la plus parfaite et la plus répandue des religions qui restera universelle jusqu’à la fin des temps, et cela sans ne jamais subir ni réforme ni abrogation.
C’est à leurs fruits qu’on les reconnait, et comme le souligne ibn Taïmiya, les Arabes ont construit une civilisation d’une ampleur jamais égalée et, qui plus est, en un temps record ; il dit mot-à-mot qu’ils firent en une période très courte ce qui réclame beaucoup plus de temps chez les autres peuples. Ce constat n’a rien de chauvin, puisqu’il fut repris par des occidentaux des temps modernes dont on ne peut soupçonner l’objectivité, comme en témoignent nombre de citations qui parsèment cette série d’articles…
La vache ; 143
La grande conquête ; 29
Le Repas Céleste ; 54
[4] Victor Hugo disait au sujet de Mohammed (r) :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
[5] Dieu s’adresse dans la Bible à Israël en ces termes : « … Ne faites pas ce qui se fait au pays d’Égypte où vous avez habité ; ne faites pas ce qui se fait au pays de Canaan, où je vais vous faire entrer ; ne suivez pas leurs lois ; mettez en pratique mes coutumes et veillez à suivre mes lois. C’est moi, le SEIGNEUR votre dieu. Gardez mes lois et mes coutumes : c’est en les mettant en pratique que l’homme à la vie. C’est moi, le SEIGNEUR. » (Le Lévitique 18.3-5). Ainsi la condition pour aspirer à rester le « peuple élu » et pour vivre sur la terre des Philistins, c’est de suivre scrupuleusement les lois de Dieu wa Allah a’lam !
[6] Voir : Le Repas Céleste ; 21-24 Dans Majmû’ el Fatâwa (v. 27), Sheïkh el Islam ibn Taïmiya nous rapporte qu’on retrouva à son époque des ossements géants de squelettes humains. La découverte récente en Arabie Saoudite et en Iraq de squelettes géants lèvera certainement à l’avenir le voile sur ce « mystère ». Les Amorites (‘Amâlîq) descendants de ‘Âd, mais aussi les Émîtes et les Anaqites avant eux, étaient des peuples Philistins de géants vivant sur les terres de Canaan qui longeaient le littoral méditerranéen entre l’Égypte et la Palestine (voir : les nombres ; 13.31-33 et Deutéronome ; 1.28, 2.11).
[7] Extrait d’el jawâb e-sahîh li man baddala dîn el Masîh d’ibn Taïmiya (5/résumé des pages 58 à 113 avec certaines modifications).
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 04:46 Message : Parle nous des batailles de Jésus, son jihad, Jésus a fait combien de morts ?
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 04:48 Message :
yacoub a écrit :Parle nous des batailles de Jésus, son jihad, Jésus a fait combien de morts ?
Il n'avait pas les moyens ni le rôle de le faire, vous avez lu ?
Tout est relatif !
L’avènement des trois grandes « religions »
Pour le premier livre, Il a dit : « il est venu ou il s’est montré » ; au sujet du deuxième : « il a resplendi » ; et pour le dernier : « il est apparu ». La Thora est venue en effet comme les premières lueurs de l’aube ou de façon un peu plus intense. La révélation de l’Évangile a été comme le rayonnement du soleil illuminant le droit chemin.
Quant au Coran, il est comparable à l’astre flamboyant ayant envahi le ciel. Par son entremise, le Prophète (r) a répandu la lumière d’Allah à travers l’Orient et l’Occident avec plus d’intensité que les deux Livres précédents, à l’image du soleil qui domine les deux horizons. Allah qualifie le Coran de lampe lumineuse comme il a qualifié le soleil de lampe flamboyante. Or, l’humanité a plus besoin d’une lampe lumineuse que d’une lampe flamboyante dont l’utilisation est ponctuelle ; il est dit que celle-ci rayonne pendant une période déterminée tandis que la lampe lumineuse est indispensable à tout moment et n’importe où (de jour comme de nuit, en public ou en privé).
Le Prophète a dit (r) : « Les horizons de la terre, l’Orient et l’Occident, m’ont été rejoints. À l’avenir, le règne de ma communauté atteindra leurs frontières. »[1]
Rapporté par Muslim (n° 2889).
Par le figuier et l’olivier • Par le mont Sinaï • Par ce pays paisible : Allah jure ainsi par ces trois lieux illustres d’où s’est manifestée Sa lumière et Sa voie. Il y a révélé Ses trois Livres : la Thora, l’Évangile, et le Coran, nous enseigne la Thora à travers le Verset : « Le SEIGNEUR est venu du Sinaï, pour eux il s’est levé à l’horizon, du côté de Seïr, il a resplendi du côté de Parân. »
Cette énumération respecte l’ordre chronologique (soit du plus ancien au plus récent). Dans le Coran, le sermon du Tout-Puissant met en avant le côté grandiose de ces trois lieux pour exprimer la grandeur de Son pouvoir, de Ses signes, de Ses Livres, et de Ses Messagers ; cette fois, l’énumération respecte l’ordre croissant d’importance, du moins illustre au plus illustre. Il a tout d’abord juré par le figuier et l’olivier, ensuite par le mont Sinaï, puis par La Mecque, qui symbolise le Coran, le plus illustre des Livres saints, devant la Thora et l’Évangile. Cette gradation est valable aussi pour leurs prophètes respectifs.
Des siècles plus tard, Victor Hugo reprendra judicieusement le soleil en métaphore pour comparer entre la révélation de Jésus et celle de Mohammed. Voici le texte en question :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
La poésie est vraiment déroutante et enchanteresse !
Auteur : yacoub Date : 19 avr.17, 04:51 Message : Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu’un limon par les vices noirci ;
J’ai de tous les péchés subi l’approche étrange ;
Ma chair a plus d’affront qu’un chemin n’a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
Ô vous tous, je serai bien vite dévoré
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 05:12 Message :
Citizenkan a écrit :Oui, vous confirmez votre binarité, après ce n'est pas très étonnant, on peut ne pas aimer l'islam, mais il faudrait au minimum le comprendre, et ne pas comparer 2 contextes complètement différents,
Mon problème n'est pas d'aimer ou de ne pas aimer l'islam. Moi je regarde son implantation d'un point de vu historique au même titre que l'empire romain par exemple.
Je ne le juge pas pour ce qu'il a été. Je le juge pour ce qu'il est aujourd'hui, nuance! Aucun mouvement historique n'a résister à l'épreuve du temps, ça s'appelle l'évolution. Or, on fait preuve à son égard d'une extraordinaire mansuétude parce qu'on touche la croyance.
Ensuite, vous dites archaïque, dois-je en conclure que nous vivons actuellement la meilleure évolution possible ? Que l'avenir sera meilleur ? et que l'Occident est LE modèle d'évolution pour l'Humanité ?
La meilleure évolution possible, je ne sais pas. Mais pour moi, décapiter une femme en place publique( Arabie Saoudite), ou administré 50 coups de fouet à un bloggeur pour "’insulte à l’Islam ", est un signe de non évolution!!!
Enfin, on ne juge pas péremptoirement une religion sur des critères aléatoires d'hommes du 20ième siècle avant tous les aléas que cela implique
Et au nom de quoi je n'aurai pas le droit de juger une religion? Tout est critiquable dans la vie.
Auteur : Yoel Date : 19 avr.17, 05:14 Message :
yacoub a écrit :Rien n'empêche un vrai musulman de se faire exploser fi sâbil Allah, il est assuré d'aller directement au Paradis
folâtrer avec des houris
Alhamdoulilah pour l'islam !N'oublies pas akhi les beaux petits garçons imberbes- ghulam - qui vont satisfaire tous nos désires charnels.
Comme sous toutes les caliphats musulmans ou ont utilisait les garçons des kuffars chrétiens, juifs, hindous...etc.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 05:26 Message :
marco ducercle a écrit :
Et au nom de quoi je n'aurai pas le droit de juger une religion? Tout est critiquable dans la vie.
Vous êtes libre de dire ce que vous voulez, mais d'un point de vue purement objectif, seul Dieu est à même de définir les critères qui établissent la prophétie, pour la lapidation la Bible n'est pas en reste,
Le chameau ne voit pas sa bosse et oublie de regarder sa propre queue !
et si vous reconnaissez votre déficience, alors donnez-nous des critères objectifs qui délimitent les contours d'une vision parfaite du monde
Alors, ne jetez pas la première pierre...
Dieu connait mieux ce qui est le mieux pour sa création, non une évolution aléatoire et perfectible du monde !
Vous êtes victime du monde qui vous entoure, sortez de votre condition et élevez votre conscience pour sortir des ténèbres de vos oeillères et comprendre ce qui se passe à l'extérieur de la grotte !
Les voies de Dieu sont impénétrables !
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 05:48 Message :
Citizenkan a écrit :
Vous êtes libre de dire ce que vous voulez, mais d'un point de vue purement objectif, seul Dieu est à même de définir les critères qui établissent la prophétie, pour la lapidation la Bible n'est pas en reste,
Premièrement camarade, l'objectivité pour moi n'ai pas un critère de vérité absolue. L'objectivité est toujours conditionné par sa propre perception des choses. Dire que "seul Dieu est à même de définir les critères qui établissent la prophétie" est un critère objectif de croyant.
Deuxièmement, n'étant pas croyant, je ne fais pas hiérarchie dans la croyance. Pour autant, je constate qu'aujourd'hui dans las pays chrétiens on ne pratique plus la lapidation.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 05:55 Message :
marco ducercle a écrit :
Premièrement camarade, l'objectivité pour moi n'ai pas un critère de vérité absolue. L'objectivité est toujours conditionné par sa propre perception des choses. Dire que "seul Dieu est à même de définir les critères qui établissent la prophétie" est un critère objectif de croyant.
Deuxièmement, n'étant pas croyant, je ne fais pas hiérarchie dans la croyance. Pour autant, je constate qu'aujourd'hui dans las pays chrétiens on ne pratique plus la lapidation.
C'est peut être que l'occident est trop moderne, pas assez archaique!
Mon ami, vous dites tout et son contraire !
Il existe deux réalités : une réalité absolue qui est conforme à la vérité en tout point, comme la révélation, et qui est donc objective, et une réalité relative qui envisage la vérité sous un angle et qui est donc aléatoire et subjective, comme vous le faites actuellement, quand vous juger de la lapidation sur aucun critère autre que des critères purement subjectifs, vous qui contestez l'objectivité absolue...
En cela, mon ami, vous dites tout et son contraire, et surtout, vous ne faites pas avancer le shmilblik !
Maintenant, si vous proposez un système parfait qui régit le monde sans guerre et qui résout tous les problèmes de société sans n'avoir recours à la révélation, alors soyez le bienvenue, et si vous n'êtes pas capable de le faire, alors votre avis n'a aucune importance, car biaisé et subjectif, ce qui veut dire en d'autres termes, qu'il ne résout rien du tout...
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 06:17 Message :
Citizenkan a écrit : Mon ami, vous dites tout et son contraire !
Je ne crois pas. Mon propos est cohérent, l'objectivité ça n'existe pas! Il faudrait plutôt parler d'honnêteté à reconnaître des informations qui vont à l'encontre de nos certitudes. Or, la révélation ne repose que sur une croyance. Ce n'est pas une information vérifiable. C'est juste une intuition.
Citizenkan a écrit :Maintenant, si vous proposez un système parfait qui régit le monde sans guerre et qui résout tous les problèmes de société sans n'avoir recours à la révélation, alors soyez le bienvenue, et si vous n'êtes pas capable de le faire, alors votre avis n'a aucune importance, car biaisé et subjectif, ce qui veut dire en d'autres termes, qu'il ne résout rien du tout...
Et depuis qu'il y a eu la révélation, le monde va bien?
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 07:06 Message :
marco ducercle a écrit :[
Et depuis qu'il y a eu la révélation, le monde va bien?
Votre propos serait cohérent alors que vous refusez l'évidence : l'objectivité ça n'existe pas!
Alors, prouvez-le, les allégations gratuites sont à la porté de tout le monde, mais quand il s'agit de les prouver, c'est une autre paire de manche, comme je dis souvent :
« Tu dois distinguer entre tes impressions et l'argumentation scientifique,et entre tes convictions et ta capacité à les véhiculer et à convaincre tes opposants ! »
فيجب التَّفريق بين الاقتناع و الإقناع، أي: بين اقتناع النَّفس بشيء ما، و بين القدرة على إقناع المخالف بإعطائه من الحجج ما يكفيه عن الاستزادة ،و يحصل معه التَّسليم و الإذعان.و بطبيعة الحال يقوم الإقناع على العلم و البرهان، و يقوم الاقتناع على مجرَّد الاعتقاد، فيجب تفريق بين ترجيح الاعتقاد، و اعتقاد الرُّجحان.
Qui a dit que nous devions vivre le meilleur des mondes sur terre, sans malheur ni heurts ?
Ensuite, c'est à vous de prouver quand sans la révélation le monde est meilleur, en sachant qu'elle existe depuis que le monde est monde...
Auteur : Seleucide Date : 19 avr.17, 07:46 Message :
Citizenkan a écrit :Ramenez-le en arabe avec son degré d'authenticité et dans son intégralité, et après, je le commenterais in sha Allah !
Il est issu de Bukhari, tome 4, livre 52 (le jihad), numéro 220.
Citizenkan a écrit :
En regard des rapports de force actuel, les musulmans ne sont objectivement pas capable d'en venir au djihad offensif, et les inconvénients dépassent ici et de loin les avantages escomptés...
Sauf erreur, l'État islamique se revendique d'un jihad défensif.
Or, les conditions et pré-requis de ce jihad ne sont pas celles du jihad offensif.
Citizenkan a écrit :les attentat-suicides n'ont aucun lien avec l'islam
La limite entre don de soi, sacrifice sur le chemin d'Allah et attentat suicide est très floue.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 08:37 Message :
Seleucide a écrit :
La limite entre don de soi, sacrifice sur le chemin d'Allah et attentat suicide est très floue.
C'est bien ce que je pensais, mais je voulais m'en assurer, comme le dit le dicton arabe :
Suivons le voleur jusqu’à la porte !
Voici le hadith en question :
Volume 4, livre 52, numéro 220
Rapporté Abou Hourayra
L'apôtre d'Allah dit: «Je ai été envoyé avec les expressions les plus courts portant les significations les plus larges, et je ai été fait victorieuse de terreur (CAST dans le cœur de l'ennemi), et pendant que je dormais, les clefs des trésors du monde ont été portées à moi et mis dans ma main ". Abu Huraira a ajouté: l'apôtre d'Allah a quitté le monde et maintenant vous, les gens, sont faisant ressortir ces trésors (ce est à dire le Prophète n'a pas bénéficié par eux).
Pour quelqu'un qui est exigeant avec les autres, vous êtes drôlement complaisant avec vous-mêmes !
Il explique qu'Allah lui a donné la victoire sur ses ennemis par la terreur qu'il leur inspire
D'ailleurs, d'aucun y voit une prophétie :
Les Livres poétiques : Psaumes 45 : David dit : « Ainsi, Dieu l’a béni à tout jamais. Ô brave ! Ceins ton épée au côté, car la splendeur et la louange triomphe en toi. Chevauche par la parole de vérité et la dévotion ; ton spectre [Nâmûs] et ta loi sont liés à la crainte que ta main inspire ainsi que tes flèches affûtées, les peuples tombent sous toi. »[1]
L’auteur dit : Personne en dehors de Mohammed (r) n’a prit l’épée après David. Il est celui qui a fait tomber les peuples à ses pieds et sa législation inspire la crainte ; ils doivent soit s’y soumettre soit se soumettre au tribut ou à l’épée, comme le confirme le hadîth : « La victoire m’a été accordée grâce à la crainte que j’inspire. »[2] On pourrait rétorquer que les Psaumes parlent d’un brave, mais nous répondons qu’il n’y a point d’inconvénient à ce que le Prophète soit brave envers les mécréants et cléments envers les croyants, comme le souligne le Verset : [humble envers les croyants et fier envers les infidèles].
Les Psaumes témoignent explicitement de la prophétie de Mohammed (r) et informent qu’il est l’auteur d’une Loi et d’un Nâmûs au même titre que les autres prophètes. Ils déclarent enfin que sa religion prévaudra, il ne peut donc en être autrement.
Les Psaumes : 45 la version actuelle dit : « Le cœur vibrant de belles paroles, je dis mes poèmes en l’honneur d’un roi. Que ma langue soit la plume d’un habile écrivain ! Tu es le plus beau des hommes, la grâce coule sur tes lèvres ; aussi Dieu t’a béni à tout jamais. Ô brave, ceins ton épée au côté, ta splendeur et ton éclat. Avec éclat chevauche et triomphe pour la vraie cause et la juste clémence. Que ta droite lance la terreur : tes flèches barbelées (dans une autre version : aiguisées). Sous toi tomberont des peuples. »
Rapporté par el Bukhârî (335) et Muslim (521).
Le Repas Céleste : 54
Ensuite, les conditions et pré-requis de ce jihad ne sont pas celles du jihad offensif, c'est un fait, mais cela ne veut pas dire que c'est l'anarchie non plus, en admettant que ce soit le seul point que nous contestons à DAESH !
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 09:54 Message :
Citizenkan a écrit :Votre propos serait cohérent alors que vous refusez l'évidence : l'objectivité ça n'existe pas!
Alors, prouvez-le, les allégations gratuites sont à la porté de tout le monde, mais quand il s'agit de les prouver, c'est une autre paire de manche, comme je dis souvent :
Ce n'est pas une allégation gratuite puisque c'est vérifiable: nous n'avons pas la même perception d'un fait que vous proclamez objectif. Dire que c'est objectif, sous attend que c'est vérifiable,
donc on ne peut pas le contester. Or, si les choses étaient incontestables, il n'y aurait pas d'athées.
« Tu dois distinguer entre tes impressions et l'argumentation scientifique,et entre tes convictions et ta capacité à les véhiculer et à convaincre tes opposants ! »
فيجب التَّفريق بين الاقتناع و الإقناع، أي: بين اقتناع النَّفس بشيء ما، و بين القدرة على إقناع المخالف بإعطائه من الحجج ما يكفيه عن الاستزادة ،و يحصل معه التَّسليم و الإذعان.و بطبيعة الحال يقوم الإقناع على العلم و البرهان، و يقوم الاقتناع على مجرَّد الاعتقاد، فيجب تفريق بين ترجيح الاعتقاد، و اعتقاد الرُّجحان.
Si il est bien un sujet ou la science n'a pas lieu d'être aborder, c'est la religion!
Qui a dit que nous devions vivre le meilleur des mondes sur terre, sans malheur ni heurts ?
Ensuite, c'est à vous de prouver quand sans la révélation le monde est meilleur, en sachant qu'elle existe depuis que le monde est monde...
Moi, je ne fais que constater. Je ne dis pas que le monde sans religion serait meilleur. Je dis qu'il est ce qu'il est, et franchement, c'est pas brillant.
Auteur : Citizenkan Date : 19 avr.17, 10:00 Message :
marco ducercle a écrit :
Moi, je ne fais que constater. Je ne dis pas que le monde sans religion serait meilleur. Je dis qu'il est ce qu'il est, et franchement, c'est pas brillant.
Je vous disais pourtant plus haut :
Il existe deux réalités : une réalité absolue qui est conforme à la vérité en tout point, comme la révélation, et qui est donc objective, et une réalité relative qui envisage la vérité sous un angle et qui est donc aléatoire et subjective,
En cela, votre vérité n'est pas la même que la mienne, car vue sous un angle, mais cela n'empêche pas que dans l'absolue, la vérité est ce qu'elle est !
La couleur grise peut-être vue en noir, mais cela ne remet nullement en question sa couleur !
Ensuite, pensez que la religion n'est pas compatible avec la raison ou la science, est encore une idée reçue sauf, peut-être, si on parle de la religion catholique, mais la propagande à tendance à extrapoler !
Donc, vous critiquez un remède sans vous-même en apporte un meilleur, alors sur quoi vous basez-vous objectivement, en dehors de votre culture et de vulgaires conjectures, pour juger qu'il est archaïque ?
Vous reconnaissez indirectement que votre constat est purement subjectif...
Cordialement.
Auteur : marco ducercle Date : 19 avr.17, 17:01 Message : Pour ce qui est de la couleur, j'ai parlé plus haut de fait vérifiable et d'honnêteté à le reconnaître. Donc, je n'ai jamais dit qu'on sera jamais d'accord sur rien. Là où le débat est biaisé, c'est qu'on à tendance à se servir de la formule objectivité pour imposer sa vérité.
Ce n'est donc pas le fait qui est contestable mais son utilisation pour prouver quelque chose.
Comme je l'ai dit plus haut, je ne fait pas de hiérarchie dans la croyance, alors que vous êtes faites toujours des comparaisons avec le christianisme.
Moi, je fais une différence entre la croyance et le dogme!!!
La croyance peut s'expliquer d'un point de vu psychiatrique, c'est pas un domaine réservé à la religion. Exemple avec le père Noel, la bête des Voges ou les martiens.
Là ou la science n'a rien à faire dans ce débat, c'est quelle ne prouvera jamais l'existence de Dieu( on peut même dire qu'elle à foutu aux religions un sacré coup de vieux).
Auteur : olma Date : 19 avr.17, 22:27 Message :
Citizenkan a écrit :Il faut distinguer entre les ordres théoriques et la légitimité de leur application qui est soumise à des critères stricts et indispensables
C’est un monde inimitable !
Les contradictions son énorme, il n’est pas possible à un religieux de les distingués !
22.40.ceux qui ont été expulsés de leurs demeures, - contre toute justice, simplement parce qu'ils disaient : "Allah est notre Seigneur". - Si Allah ne repoussait pas les gens les uns par les autres, les ermitages seraient démolis, ainsi que les églises, les synagogues et les mosquées où le nom d'Allah est beaucoup invoqué. Allah soutient, certes, ceux qui soutiennent (Sa Religion). Allah est assurément Fort et Puissant,
les trois religions sont à égalité au 22.40
Visiblement le Coran parle d'autre chose, si les contradictions persistent, c'est que l'on comprend pas le vrai sujet !
Si tu veux expliquer l'invisible comment ferais-tu ? C’est ça la vraie question !
2.217. - Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. - Dis : "Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d'Allah est de faire obstacle au sentier d'Allah, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants . L'association est plus grave que le meurtre." Or, ils ne cesseront de vous combattre jusqu'à, s'ils peuvent, vous détourner de votre religion. Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement.
le mot "com-battre" est un produit
le setier d’Allah c’est un champs magnétique, il explique l’interaction entre le produit des lignes. (c’est UN sentier parce que le UN est un pluriel dans son monde)
l’association des lettres ne vous y trompez pas.
Le mot RELIGION est un produit.
48.16. Dis à ceux des Bédouins qui restèrent en arrière : "Vous serez bientôt appelés contre des gens d'une force redoutable. Vous les combattrez à moins qu'ils n'embrassent l'Islam. Si vous obéissez, Allah vous donnera une belle récompense, et si vous vous détournez comme vous vous êtes détournés auparavant, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux".
Le détournement c’est le contre sens des lignes magnétiques, le châtiment provient d’un frottement, « dOUlOUrEUX montrent les séparations possibles du mot,
RE-DOUT-ABLE c'est le mot qui profitera au doute du produit lui-même
la RE-COM-PENSE, NE SERA QUE LE PRODUIT D'UNE PENSEE la pensée c’est la mémoire des associations (le champ magnétique qui enferme le produit qui émet le champ magnétique)
cOMme c'est cOMme hOMme, ce sont des produits de substitution pour expliqué les partages future dans l'infiniment petit, ainsi que les interactions entre des produits.
Auteur : Karlo Date : 19 avr.17, 23:36 Message :
Auteur : yacoub Date : 21 avr.17, 00:39 Message : Salut Michel Orcel, tu oublies que la propagande mahométane a fait de Victor Hugo un pur mahométan sous le nom d'Abou Bakr Hugo
Mahomet Mahomet Mahomet
Morne plainte
Il y a en terre d'islam plus de 50 livres ayant pour titre l'islam et la raison à commencer
par celui d'Ibn Rochd qui a dit que l'islam était une religion pour les pourceaux
yacoub a écrit :Il y a en terre d'islam plus de 50 livres ayant pour titre l'islam et la raison
Le comble de l'aveuglement.
Il n'y a rien de plus déraisonnable qu'un Dieu qui écrit un livre et qui ensuite l'abandonne à Satan,
précipitant ainsi des milliards de pieux croyants en enfer.
L'origine même de l'Islam (la falsification) dépèce la raison.
Auteur : Citizenkan Date : 21 avr.17, 09:52 Message :
yacoub a écrit :Salut Michel Orcel, tu oublies que la propagande mahométane a fait de Victor Hugo un pur mahométan sous le nom d'Abou Bakr Hugo
Mahomet Mahomet Mahomet
Morne plainte
Il y a en terre d'islam plus de 50 livres ayant pour titre l'islam et la raison à commencer
par celui d'Ibn Rochd qui a dit que l'islam était une religion pour les pourceaux
Je pense qu'il y a erreur sur la personne bien que je sois flatté, ibn Taïmiya consacre une réfutation à ibn Rushd en 8 volumes, cet article parle de ses théories péripatéticiennes bancales :
Auteur : Seleucide Date : 21 avr.17, 20:26 Message :
Citizenkan a écrit :Pour quelqu'un qui est exigeant avec les autres, vous êtes drôlement complaisant avec vous-mêmes !
Pourquoi donc ?
Citizenkan a écrit :Il explique qu'Allah lui a donné la victoire sur ses ennemis par la terreur qu'il leur inspire
Donc, le prophète a vaincu et assis son autorité politique par la terreur.
C'est exactement ce que je disais en citant le hadith en question.
Citizenkan a écrit :en admettant que ce soit le seul point que nous contestons à DAESH
Que reproches-tu à DAESH ?
Auteur : Citizenkan Date : 21 avr.17, 21:57 Message :
Seleucide a écrit :
Que reproches-tu à DAESH ?
Parce que vous vous servez d'une bribe d'un hadith pour construire dessus une idée bancale,
Mohammed inspire la terreur aux armées ennemis qui tremblent avant même le combat, ce qui offre un avantage psychologique important, et jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas un défaut, du point de vue des musulmans, c'est même un miracle venant d'une armée insignifiante...
Il n'a pas assis son autorité politique par la terreur, mais vaincu au combat, nuance...
En cela, il n'est pas différent de David, ou en tout cas du passage de la Bible cité plus haut..
Il faudra vous habituer au fait que Mohammed est un chef de guerre, et que, du point de vue de la Bible, ce n'est pas un facteur disqualifiant pour quelqu'un qui réclame la prophétie, sinon, il faudrait le prouver...
Je reproche énormément de choses à DAESH, déjà, de véhiculer une mauvaise image de l'islam en faisant passer à des gens comme vous Mohammed comme le Prophète de la terreur, mais d'un point de vue purement technique et interne, voici quelques reproches :
Auteur : marco ducercle Date : 21 avr.17, 23:23 Message :
Citizenkan a écrit :
Il faudra vous habituer au fait que Mohammed est un chef de guerre,
C'est ce que l'on dit
Auteur : Citizenkan Date : 21 avr.17, 23:39 Message :
marco ducercle a écrit :
C'est ce que l'on dit
La transcendance du djihad
Pour sa survie, l’Homme est animé d’amour et de haine. De l’amour pour son clan et ses proches aux dépens des gens moins proches, dont les ambitions contradictoires l’oblige à les prendre en ennemis, à les haïr.
Or, le summum du sentiment positif est transcendantal et spirituel, car le cœur a des fonctions temporelles certes, mais sa fonction première est céleste. Autrement dit, Dieu a insufflé l’âme humaine dans l’instrument du cœur pour qu’en retour il Lui soit reconnaissant à travers son adoration unique : (Nous avons révélé à tous les messagers que Nous avons envoyé avant toi qu’il n’y a d’autre dieu en dehors de Moi, alors adorez-Moi)[1] ; [Nous avons envoyé à chaque communauté un messager [disant] : adorez Allah et éloignez-vous du tâghût].
« L’adoration dans son essence, nous dit ibn Taïmiya, se compose à la fois de la plus grande ferveur et de la plus grande humilité. L’adorateur est donc fervent et soumis, contrairement au fervent non soumis, qui aime uniquement pour des raisons d’intérêt, le faisant accéder à d’autres bienfaits. Contrairement aussi aux soumis non fervents dans les sentiments, à l’exemple des sujets d’un tyran. Ces deux types de comportement ne réunissent pas les conditions les propulsant au degré de l’adoration absolue. Chaque être encensé envers qui l’on dédit la ferveur en dehors de Dieu, se voit attribuer une part d’adoration. »
C’est le message ancestral de tous les Prophètes et Messagers dont la Mission est de professer aux hommes l’unicité du culte ; dévouer à Dieu l’adoration exclusive et sincère qu’Il mérite comme le stipule le Verset : (Adorez Allah, vous n’avez point de dieu en dehors de Lui).
Les Prophètes ; 25
Les abeilles ; 36
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 00:53 Message : Cher Michel Orcel, PBSL lui même a proclamé Je suis le Prophète du Carnage
Je suis le rieur sanglant
C'est même rapporté par Ibn Taymiya et connu par de nombreux islamologues
Tu peux trouver facilement dans le Saint Coran, la Parole d'Allah Puissant et Sage, l'exaltation de la terreur qu'Il inspire aux vilains mécréants
Ramenez les textes du carnage et du rieur sanglant, et j'en discuterais après...
Pour la terreur, je vous renvoie plus haut...
Je continue donc mon raisonnement qui démontre que l'islam est la religion universelle, la religion d'excellence, la religion par excellence :
Ibn Taïmiya théorise la chose
L’être humain décèle en lui trois forces nécessaires à sa survie : la raison, la colère, et les passions. La première, qui le distingue des autres espèces et qu’il partage avec les anges, est la plus noble. L’homme est pourvu de la raison et des envies, tandis que l’animal jouit des envies sans la raison, et l’ange détient une raison, mais sans envie. Quand la raison domine, on a plus de mérite que les gardiens du ciel et quand on succombe à ses désirs, on tend vers la nature animale. La colère grâce à laquelle on pare les dangers, prend la seconde place d’importance, devant les désirs qui servent à accaparer les choses utiles.
Il existe donc deux types d’instinct qui vont moduler le comportement et qui sont antagonistes : l’instinct d’attirance qui va engendrer l’amour, la volonté, etc. et l’instinct de rejet, d’éloignement qui provoque la haine, l’aversion, la répugnance, etc.
L’attirance et la répulsion sont communes à l’animal et à l’homme, mais seul ce dernier est doté de la raison, de la foi, de la spiritualité et du libre-arbitre. La mécréance entre dans cet ensemble et est donc spécifique à l’être doué de la parole. On ne parle pas de mécréance pour les créatures non douées de raison ni des pulsions.
La mécréance est une corruption de la raison, de la même façon que le meurtre est une corruption de la colère, et que l’adultère est une corruption de l’amour et des plaisirs. Nous avons affaire ici aux trois principaux péchés capitaux, si l’on sait que la mécréance remet en cause la raison qui explique la présence de l’homme sur terre, et qui n’est autre que l’adoration du Dieu unique ; le meurtre détériore le maintien du corps et de l’individu présent, et l’adultère perturbe le maintien de l’espèce et de l’individu futur, d’où l’ordre décroissant de gravité : la mécréance, le meurtre, et l’adultère.
Pour expliquer cet ordre sous un autre angle, nous pouvons dire que la mécréance corrompt l’âme et le cœur ; le meurtre corrompt son enveloppe, le corps, et l’adultère s’attaque à ce qui maintient son existence et sa pérennité ; il est donc plus grave de s’attaquer à l’existence effective qu’à l’existence potentielle. Au demeurant, l’homosexualité est pire que l’adultère.
Ibn Taïmiya considère que les Arabes, les Romains, et les Perses sont les nations qui incarnent le mieux les valeurs humaines, en regard des trois forces que nous venons de citer. Les autres ethnies (les Turcs, les peuples du Soudan, etc.) s’inscrivent au second plan. Ces trois nations méritaient donc de s’accaparer le Croissant fertile, la « terre du milieu » dans toute sa largeur et sa longueur. Si les Arabes ont un ascendant pour la raison, l’éloquence, et la parole, les Romains penchent plus vers les plaisirs notamment du ventre et de la chaire, tandis que la colère, le pouvoir, un fort « patriotisme » ou la défense des siens sont les valeurs qui prévalent chez les Perses.
Ces ascendants, qui touchent indistinctement les gens des villes et des campagnes, permettent de classer ces trois nations entre elles : d’abord, les Arabes, puis les Perses (la colère étant plus précieuse que l’amour) qui viennent devant les Romains.
Le savoir, la foi, et l’intelligence représentent la raison à son paroxysme, tandis que le courage incarne la colère dans toute sa plénitude ; la sagesse, qui a pour alter égo la générosité est le degré le plus élevé du courage ; et la chasteté reflète le summum de l’amour et des désirs.
Un homme modéré associe à la fois la générosité et la chasteté, le courage et la sagesse. La générosité est synonyme de douceur, de tendresse, tandis que le courage relève de la dureté et de la rudesse. La victoire est le fruit de la colère, et l’amour récolte la richesse ; la victoire et la richesse, ces deux piliers de la civilisation, sont souvent juxtaposés dans les textes scripturaires et dans la Littérature d’origine diverse.
Pour parachever ce tableau d’ensemble, il manque un élément et non des moindres : la justice qui vient harmoniser, ajuster les trois vertus pratiques : la générosité, le courage, et la chasteté. Celle-ci, la justice, joue le rôle de modérateur afin d’éviter les excès en tout genre.
Les trois forces inhérentes servent également de marqueur qui trace les frontières entre les adeptes des trois grandes religions : les musulmans, les juifs, et les chrétiens.
Les premiers se caractérisent par la raison, le savoir et la modération ; la Parole d’Allah a généré la lumière de la connaissance à la nation du milieu.
Les juifs sont peu portés vers les plaisirs ; cette particularité s’est manifestée dans la Loi qui interdit certains aliments et vêtements, et qui enjoint à la dureté et à la force. L’Ancien Testament met plus souvent l’accent sur leur cœur dur que sur les péchés de la chaire et du ventre. À l’inverse, le Nouveau Testament bannit la vendetta aux chrétiens peu enclins à la colère, mais qui ont un goût prononcé pour les jouissances éphémères. Cela explique l’abrogation de certains éléments interdits ; et leur attrait pour les mets et les loisirs de toute sorte fait cruellement défaut aux hébreux. Les adeptes de Jésus sont beaucoup plus sensibles et magnanimes que les fils d’Israël ; la pitié et la tendresse inondent leur cœur perméable aux péchés charnels (dans le sens épicurien du terme). Ils sont beaucoup plus réceptifs aux commandements bibliques qui vantent les vertus de la victoire que celles de la richesse.
Dans les rangs musulmans, nombre de soufis et de légistes ont des affinités avec les mœurs chrétiennes (‘isâwiya) qui ne sont pas toujours frappées du sceau de la légitimité. Coureurs de jupons invétérés, pédophiles en puissance, ils se laissent emportés par les chants liturgiques. Or, les légistes sont plus animés par l’ascendant juif (mûsawiya) qui fait d’eux de redoutables et opiniâtres polémistes. La piété étant loin d’être leur qualité première, ils se laissent dominer par l’orgueil qui transforme leurs joutes verbales en de véritables dialogues de sourd.
L’amour est la principale force d’attraction, et la haine est la source de la force de répulsion (la colère et la haine vont de paire). L’amour et la haine sont donc à l’origine de tous les sentiments. Le don provient de l’amour qui est mu par un élan de générosité, la protection et la défense des personnes et des biens émanent de la colère. Celle-ci est probablement une forme particulière de haine qui se traduit sous la forme de l’agressivité déclenchée par l’envie d’assouvir un sentiment de vengeance, de soulagement. Cette colère particulière s’oppose, aux yeux de certains théologiens du kalâm, à la répulsion, mais en règle générale, la colère répulsive est le contraire de la force d’attraction qui enclenche l’amour.
C’est grâce à la force d’attraction que le fidèle se soumet à ses obligations religieuses, et c’est la force de répulsion qui l’éloigne des interdits. L’amour pousse à répandre le bien et à l’encourager, et la haine incite à prohiber le mal et à mettre en garde contre ses méfaits. L’instinct de colère a un effet dissuasif et assure la justice et la sécurité au sein des sociétés, notamment au niveau des trésors publics et des tribunaux. L’excellence et la charité sont le fruit de l’instinct d’attraction.
Repousser le mal procure une sensation de bien-être que chérit la nature humaine et que corrobore la religion. La crainte d’Allah, par exemple, tient une grande place dans les textes qui promettent à ses tenants la meilleure récompense ici-bas et dans l’au-delà. Et, par nature, les hommes, particulièrement ceux qui détiennent les richesses, encensent ceux parmi eux qui les sauvent d’un danger ou d’un ennemi, en sachant que la réciproque est moins vraie. La richesse ne peut, en tout état de cause, s’épanouir sans la force, qui, elle, jouit d’une plus grande autonomie. Ce constat reste, malgré tout, aléatoire, et il serait plus juste de dire que si la richesse est plus aimée, la force est plus respectée.
Ainsi, repousser le mal procure un bien-être grâce à la colère, qui, comme nous l’avons vu, est prépondérante à l’amour. Les patrimoines culturels prisent avec entrain leurs glorieux héros et louent avec emphase leurs fastes, eux qui bravent les dangers, et qui cristallisent la haine de l’ennemi, à la grande admiration du peuple. Les nantis, moins exposés au péril, jouissent d’une moins grande popularité.
Or, cette thèse ne résiste pas à la critique, car, la force d’attraction est sollicitée pour obtenir les choses convoitées, et leur privation crée une frustration. Par ailleurs, il n’est pas évident que la répulsion soit plus forte, étant donné qu’en principe, l’attraction s’inscrit en amont ; c’est quand on aspire à des bienfaits qu’on cherche à repousser leurs méfaits. De ce point de vue, la répulsion, qui n’est qu’une réaction à une situation, se met au service de l’attraction qui est une fin en soi.
La répulsion n’a donc pas toujours lieu d’être, contrairement à l’amour, le moteur de l’existence et des aspirations. La haine n’est que l’instrument à même de mettre le sentiment positif dans les meilleures conditions. D’où le hadîth : « Lorsqu’Allah fit la création, Il écrivit dans un livre qui se trouve auprès de Lui au-dessus du Trône : « Ma Miséricorde devance Ma Colère. » »[1] Le mal n’est pas imputé aux Noms et Attributs du Tout-Puissant, mais uniquement à Ses actions.
Par ailleurs, la piété est précieuse dans le sens où elle s’érige comme un rempart devant toutes les incursions qui mettent à mal la nature saine de l’homme dont l’instinct le dirige vers le Seigneur des cieux et de la terre, sans dépenser le moindre effort. C’est pourquoi, la mission des prophètes ne s’encombraient pas d’expliquer à leurs peuples que Dieu existe, puisque tout le monde le sait, mais l’accent était mis sur l’obligation de Lui vouer le culte exclusif qu’Il ne partage avec aucune créature. Le monothéisme met à contribution les deux forces innées : l’amour de l’unicité et la haine de l’association. Cette dualité qui est en parfaite adéquation avec la nature humaine matérialise l’essence de la religion.
Les sociétés s’organisent autour d’une politique qui réprime l’injustice (ex. : l’usure) et qui prônent les échanges productifs et la solidarité citoyenne (ex. : l’aumône légale).
Deux catégories d’individus se sont égarées à l’égard de l’amour qui est à l’origine de tout acte religieux. D’un côté, nous avons les mûsawites (les théologiens du kalam et les légistes) qui, pour des raisons scolastiques, renient l’Attribut de l’Amour imputé au Très-Haut, et qui, fort de leurs élucubrations intellectuelles, négligent les actes : faites ce que je vous dis, et non pas ce que je fais !
En parallèle, pointent les îsâwites (les soufis et les ascètes) qui partagent leur amour entre la divinité absolue et de vulgaires créatures (le culte des saints) ; leur amour est aussi parasité par des pulsions perverses (les chants liturgiques, les femmes, les imberbes, etc.). D’autre part, ils arborent de l’aversion envers le sentiment légitime de haine en Dieu, et affiche un laxisme outrancier qu’ils traduisent par un manque d’entrain flagrant à répandre la morale.
Les mûsawites et les îsâwites sont les deux faces d’une même pièce avec d’un côté les égarés qui privilégie l’amour à la haine ; ceux-ci sont mus par une bonne volonté et un sentiment positif débordant qu’ils ne savent pas maitriser en raison de leur manque de culture prophétique. Ils sombrent donc dans l’excès par la fenêtre de l’amour en s’imprégnant du paganisme, et d’ascétisme hérétique (les plus extrémistes se retirent de la société pour s’enfermer dans une vie monacale). Ils vacillent entre l’amour légitime et l’amour hérétique. Ils aiment à la fois le vrai et le faux. Les seconds, qui sacrifient l’amour au profit de la haine, sont frappés par la colère divine. Imprégné de l’héritage prophétique, ils ne mettent pas leur érudition au service du culte, et n’éprouvent aucun élan pour la dévotion. Ils n’aiment ni le vrai ni le faux.
Les uns ont le mérite d’aimer et de reconnaître la vérité, et les autres de détester et de contester le faux !
Entre les deux, la voie du milieu…[2]
Rapporté par el Bukhârî (n° 3194), et Muslim (n° 2571).
Trois hadiths du gourou qui n'a pas la lumière à tous les étages:
1) Le prophète a dit: "la terre m’a été assignée comme oratoire et pour moi, son sol est pur. Aussi, en quelque endroit qu’il soit à l’heure de la prière, le fidèle de mon peuple doit prier" (al-Bukhari, 58/56).
Ainsi, toute la planète Terre est un legs qu'il fait aux allumés comme lui. On comprend mieux certains dérangés du bulbes qui veulent virer les Européens de leur terre ancestrale.
2) J’ai reçu l’ordre de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils disent: "point d'autre dieu qu'Allah". (Muslim, Sahih 1/200).
Donc, le djihad pour les dérangés du bocal ne s'arrêtera pas tant qu'il y aura un humain à convertir (ou à crucifier, ou à égorger, ou à pendre, ou à décapiter ... etc). Ce qui est confirmé par au moins 3 versets du coran, dont celui-ci:
- 2.193: " Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes. "
3) Le prophète disait: "je suis le prophète de la clémence, je suis le prophète du carnage. Je suis un rieur sanglant". (ibn Taimiya, Traité de droit 8-9).
On ne l'ignore pas. Il est aussi le prophète de l'ignorance crasse et des anachronismes, du sang et du meurtre, de la folie et de la spoliation, du mensonge et de la haine, de la fourberie et du déshonneur, de l'inceste et de la pédophilie, ... etc, etc, etc ...
Prophète du carnage, il l'a été. Des exégètes ont même recensé ses crimes et ceux qu'il a ordonné. C'est ainsi que l'Iranien Ali Dashti (1894 - 1982), "torturé à mort par le régime islamique" (Wikipédia), relate un de ces crimes:
"Amir ibn Umayya fut mandaté pour tuer Abu Sufyan, mais Abu Sufyan en eut vent, et lui échappa. A la place, Amir tua un Quraïsh sans défense et un autre homme, sur le chemin du retour vers Médine. Abu Afak, un homme d'un grand âge (on disait qu'il avait 120ans) a été tué parce qu'il avait tourné Muhammad en ridicule. L'acte a été commis par Salam ibn Umaïr, sur la demande du prophète, qui avait déclaré:
-Qui me débarrassera de cette crapule?
Le meurtre du vieillard poussa une poétesse, Asma bint Marwan, à écrire des vers irrespectueux envers Muhammad, et elle fut elle aussi assassinée."
Prophète du carnage.
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 01:26 Message :
Trois hadiths du gourou qui n'a pas la lumière à tous les étages:
1) Le prophète a dit: "la terre m’a été assignée comme oratoire et pour moi, son sol est pur. Aussi, en quelque endroit qu’il soit à l’heure de la prière, le fidèle de mon peuple doit prier" (al-Bukhari, 58/56).
Ainsi, toute la planète Terre est un legs qu'il fait aux allumés comme lui. On comprend mieux certains dérangés du bulbes qui veulent virer les Européens de leur terre ancestrale.
2) J’ai reçu l’ordre de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils disent: "point d'autre dieu qu'Allah". (Muslim, Sahih 1/200).
Donc, le djihad pour les dérangés du bocal ne s'arrêtera pas tant qu'il y aura un humain à convertir (ou à crucifier, ou à égorger, ou à pendre, ou à décapiter ... etc). Ce qui est confirmé par au moins 3 versets du coran, dont celui-ci:
- 2.193: " Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes. "
3) Le prophète disait: "je suis le prophète de la clémence, je suis le prophète du carnage. Je suis un rieur sanglant". (ibn Taimiya, Traité de droit 8-9).
On ne l'ignore pas. Il est aussi le prophète de l'ignorance crasse et des anachronismes, du sang et du meurtre, de la folie et de la spoliation, du mensonge et de la haine, de la fourberie et du déshonneur, de l'inceste et de la pédophilie, ... etc, etc, etc ...
Prophète du carnage, il l'a été. Des exégètes ont même recensé ses crimes et ceux qu'il a ordonné. C'est ainsi que l'Iranien Ali Dashti (1894 - 1982), "torturé à mort par le régime islamique" (Wikipédia), relate un de ces crimes:
"Amir ibn Umayya fut mandaté pour tuer Abu Sufyan, mais Abu Sufyan en eut vent, et lui échappa. A la place, Amir tua un Quraïsh sans défense et un autre homme, sur le chemin du retour vers Médine. Abu Afak, un homme d'un grand âge (on disait qu'il avait 120ans) a été tué parce qu'il avait tourné Muhammad en ridicule. L'acte a été commis par Salam ibn Umaïr, sur la demande du prophète, qui avait déclaré:
-Qui me débarrassera de cette crapule?
Le meurtre du vieillard poussa une poétesse, Asma bint Marwan, à écrire des vers irrespectueux envers Muhammad, et elle fut elle aussi assassinée."
Prophète du carnage.
Le premier, je l'ai expliqué plus haut, le second aussi, et ramenez le dernier en arabe avec sa chaîne narrative, bien que j'ai mon idée sur la chose...
Ensuite, la mise à mort pour blasphème n'est pas que le lot de la religion musulmane, mais cela n'enlève en rien à son humanité, qu'on en juge :
Le traitement des innocents lors d’une mission commando
Voici l’histoire qui relate l’assassinat d’Abû Râfi’ ‘Abd Allah ibn el Huqaïyiq, le juif qui ennuyait le Messager (r) ; il le dénigrait sans arrêt et appelait à son meurtre. Dans son recueil e-sahîh, el Bukhârî immortalise l’évènement. On peut y lire ‘Abd Allah ibn ‘Atîq (t), le tueur volontaire, reconstituer les faits dans leurs moindres détails : « J’entrai dans la maison où il faisait très sombre. Je ne savais pas où il se trouvait, et il était entouré de sa famille. Je criais : « Hé, Abû Râfi’ !
qui est là, cria-t-il apeuré ? »
Je me dirigeais en direction de la voix et assenai, perplexe, un grand coup d’épée dans le noir, sans savoir qui je visais réellement. Il cria. Je sortis sur-le-champ, et me tenais non loin de la maison. J’attendis un instant et entrai à nouveau : « Quel est ce bruit Abû Râfi’, hurlais-je ?
Maudite soit ta mère, lança-t-il d’une voix fulminante ! Il y a un homme dans la maison qui vient à l’instant de me donner un coup d’épée. »
[Après avoir repéré la voix,] poursuit-il, je lui infligeai une nouvelle blessure, mais sans parvenir à l’achever. Je lui pointais alors mon épée sur le ventre et la fit ressortir de l’autre côté. Là, je sus qu’il était mort. »[1]
Une autre version du hadîth donne de plus amples précisions sur les circonstances de la mise à mort. Selon ‘Abd Allah ibn Ka’b ibn Mâlik, les protagonistes grimpèrent dans l’une des chambres où il se trouvait. Sa femme, qui les avait sentis, signala leur présence en poussant un cri. Ils avaient reçu pour consigne par le sceau des Prophètes (r) de ne tuer ni femme ni enfant. Un homme du groupe voulut la frapper de son glaive, mais retint son bras quand il se rappela les consignes. Ils se jetèrent comme un seul homme sur la cible qu’ils transpercèrent de leurs lames. ‘Abd Allah ibn Unaïs lui donna le coup de grâce en lui enfonçant de tout son poids son épée en plein ventre.
Sheïkh el Islâm commente : « Je me suis appuyé sur cette histoire pour dissiper l’allégation erronée selon laquelle l’interdiction du meurtre de femmes viendrait abroger la loi qui aurait été en vigueur avant la conquête de La Mecque. Il va sans dire qu’aux yeux des savants, une telle pratique n’a jamais été autorisée. Si on regarde la chronologie et la teneur des textes sur la guerre, nous nous rendrons compte de la véracité de ce propos.
Aucun assaillant n’eut en tête de prendre pour esclave les membres du sexe opposé qui se trouvaient cette nuit-là derrière l’enceinte d’ibn el Huqaïyiq. Elles jouissaient encore de tous leurs droits sous la protection des habitants de Khaïbar bien avant la prise des lieux saints. Sans compter qu’au cours de l’opération, l’une des occupantes poussa un cri qui risquait de tout faire échouer. Pourtant, personne ne lui posa la main dessus, car trop tétanisée par la peur, elle était hors d’état de nuire. »[3]
Le point qui nous intéresse ici est que le Compagnon prit toutes les précautions du monde pour éviter toute bavure. Pourtant, la famille du défunt était tout autant que lui des Hébreux, et il faisait tellement sombre qu’il était impossible de le distinguer des autres membres de la pièce. Autant de précautions portaient préjudices, car elles faisaient perdre un temps précieux ; il dut s’y prendre en plusieurs fois, et rata sa cible à deux reprises ; il était en territoire hostile et du renfort aurait pu débarquer en surnombre d’un moment à l’autre ; la femme chercha à donner l’alerte, mais sa détermination d’épargner des innocents resta intacte. Nous sommes à des années lumières des attentats terroristes actuels.
Ibn Hajar énumère les leçons à tirer de cette anecdote, dont : « Mâlik et Awzâ’î stipulent qu’il n’est en aucun cas permis d’attaquer des femmes et des enfants, quand bien même l’ennemi s’en servirait comme bouclier humain, ou qu’ils se cacheraient au milieu d’eux dans une forteresse ou un navire. Cela ne justifie ni de les prendre pour cible ni de tout faire brûler. »[4]
Rapporté par el Bukhârî (4039).
Rapporté par el Wâqidî dans el maghâzî (1/292-294), ibn Hishâm dans e-sîra (2/275), el Baïhaqî dans dalâil e-nubuwwa (4/34), avec une chaine narrative jugée « bonne ».
E-sârim el maslûl (2/258).
[4] Fath el Bârî (6/147).
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 02:07 Message :
On a diabolisé le pauvre PBSL connu pour sa douceur.
Auteur : Seleucide Date : 22 avr.17, 02:30 Message :
Citizenkan a écrit :Parce que vous vous servez d'une bribe d'un hadith pour construire dessus une idée bancale [...]
C'est faux comme la suite le montrera.
Citizenkan a écrit :Mohammed inspire la terreur aux armées ennemis qui tremblent avant même le combat, ce qui offre un avantage psychologique important, et jusqu'à preuve du contraire, ce n'est pas un défaut, du point de vue des musulmans, c'est même un miracle venant d'une armée insignifiante...
Il n'a pas assis son autorité politique par la terreur, mais vaincu au combat, nuance...
Le hadith dit : j'ai vaincu par la terreur.
Cela signifie que la terreur a été une arme pour remporter ses batailles.
Or, ses batailles ayant pour but d'asseoir le pouvoir politique de l'islam (c'est l'intérêt même du jihad), il est légitime de dire que la terreur a servi à ce qu'il triomphe des impies et qu'il établisse son pouvoir sur la péninsule arabique.
CQFD.
Citizenkan a écrit :Il faudra vous habituer au fait que Mohammed est un chef de guerre, et que, du point de vue de la Bible, ce n'est pas un facteur disqualifiant pour quelqu'un qui réclame la prophétie, sinon, il faudrait le prouver...
Développe si tu le peux.
Citizenkan a écrit :en faisant passer à des gens comme vous Mohammed comme le Prophète de la terreur
Plains-toi à Bukhari ou Abu Horaira.
Au passage : tu cites l'innovation comme un reproche à faire à DAESH.
Peux-tu nous expliquer en quoi l'État islamique innove-t-il ?
Citizenkan a écrit :Ramenez les textes du carnage et du rieur sanglant, et j'en discuterais après...
Je vous ai apporté l'égorgement, cela aussi est une belle parole du prophète.
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 02:48 Message :
Seleucide a écrit :
Je vous ai apporté l'égorgement, cela aussi est une belle parole du prophète.
Je peux citer les références.
Quel sophisme, bravo !
Déjà, Mohammed est le prophète de la guerre, non du carnage, nuance, malhama, en opposition au prophète de la miséricorde marhama que vous occultez
Moïse est le prophète de la guerre, Jésus est le prophète de l'amour, et Mohammed est le prophète de l'amour et de la guerre, en cela, sa religion est universelle et immuable !
l'égorgement était la méthode de la mise à mort de l'époque, cela n'a rien avoir avec le surnom évoqué ici, en cela, Jésus n'est pas en reste :
(Luc 19 : 27) « Mais ceux-là, mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, amenez-les ici et tuez-les devant moi. » Et encore, les traducteurs nous offre apparemment une version aseptisée de cette injonction biblique, la version plus gore nous dévoile : « amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »[1] Quelques lignes plus loin, la cerise pour enlever toute pirouette littéraire qui lui attribuerait un sens parabolique : « Jésus leur dit : Maintenant, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver. Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit. » (Luc 22 : 35-38)
Selon Karim Hanifi, par SMS : les 2 sont bonnes, mais la plus proche du terme katasphatto est égorgé, car ca vient de kata et de sphazo qui signifie a 99 pour cent dans la bible immolé ou égorgé....donc c’est tuer par soit égorgement soit tuer tout court, mais la version 1 est la plus proche et de loin.
- Le Prophète Elie n’est pas en reste non plus puisqu’il égorgea les 450 prêtres de Baal (1 Rois 18, 19 et 40).
Ensuite, vous nourrissez des amalgames, étant donné que la guerre permet d’asseoir une autorité politique, non de l'acquérir, je vous rappelles comment l'Etat s'est constitué à Médine ?
Ensuite, Je ne me plains pas du terme terreur, puisqu'il est dans la Bible, mais de l'utilisation biaisé que vous en faites...
Mohammed terrorise les armées ennemis, ce qui est une qualité, non un défaut...
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 03:08 Message : (Luc 19 : 27) « Mais ceux-là, mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, amenez-les ici et tuez-les devant moi. » Et encore, les traducteurs nous offre apparemment une version aseptisée de cette injonction biblique, la version plus gore nous dévoile : « amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »[1] Quelques lignes plus loin, la cerise pour enlever toute pirouette littéraire qui lui attribuerait un sens parabolique : « Jésus leur dit : Maintenant, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver. Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit. » (Luc 22 : 35-38)
Tu n'as pas la bonne compréhension de ce texte.
Le philosophe Jésus est comme Bouddha un apôtre de la non violence
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 03:13 Message :
yacoub a écrit :(Luc 19 : 27) « Mais ceux-là, mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, amenez-les ici et tuez-les devant moi. » Et encore, les traducteurs nous offre apparemment une version aseptisée de cette injonction biblique, la version plus gore nous dévoile : « amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »[1] Quelques lignes plus loin, la cerise pour enlever toute pirouette littéraire qui lui attribuerait un sens parabolique : « Jésus leur dit : Maintenant, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver. Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit. » (Luc 22 : 35-38)
Tu n'as pas la bonne compréhension de ce texte.
Le philosophe Jésus est comme Bouddha un apôtre de la non violence
Faux, Jésus n'est ni philosophe ni païen, sa mission est conjoncturelle, contextuelle non universelle, elle répond à un contexte donné et à un peuple donné : les brebis égarées d'Israël, on pourrait parler de son élargissement aux peuples païens, mais cela ne change rien au fait, sa religion n'est pas parfaite, car fondée sur le livre sans l'épée pour le soutenir...
En outre, c'est vous qui choisissez les interprétations du Coran et celles de la Bible, selon quel critère objectif ?
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 03:18 Message :
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 03:31 Message :
yacoub a écrit :
Vous confirmez, vous faites de Jésus un personnage hellénisé, qui n'a rien à voir avec ses origines sémites, merci...
Entre parenthèses, Lenoir confirme pour les origines païennes de la Trinité, encore mercI
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 03:48 Message : Le judaïsme, à l'époque de Jésus, était pris entre l'épée de Rome et le cerveau d'Athènes
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 03:54 Message :
yacoub a écrit :Le judaïsme, à l'époque de Jésus, était pris entre l'épée de Rome et le cerveau d'Athènes
Très belle remarque, le prochain article en parle :
« La période vécue par les esséniens (de 160 avant notre ère jusqu’à la naissance du Christ) peut donc être qualifiée d’intermédiaire. » Une Alliance disparaît : « Nos signes ont cessé, il n’est plus de prophètes, et nul parmi nous ne sait jusques à quand. » (Ps 74, 9)
À la veille de ce qu'on appelle aujourd'hui le début de l'ère chrétienne, les Fils d'Israël se trouvaient à une étape particulière de leur histoire. Pour reprendre l'expression de Max Dimont, ils étaient "pris entre le cerveau de la Grèce et l'épée de Rome" ("caught between the mind of Greece and the sword of Rome")
Cet argument est en ma faveur, merci, décidément.
La religion s'est hellénisée par l'intermédiaire de l'école d'Alexandrie, avec Philon à leur tête, et un peu grâce à Hadrien qui expulse les juifs de Jérusalem, et comment ne pas citer Paul :
Actes 17 : 18 cite : « Quelques philosophes épicuriens et stoïciens se mirent à parler avec lui [Paul]. Et les uns disaient : Que veut dire ce discoureur ? D'autres, l'entendant annoncer Jésus et la résurrection, disaient : Il semble qu'il annonce des divinités étrangères. »
Auteur : yacoub Date : 22 avr.17, 04:47 Message :
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 04:50 Message :
yacoub a écrit :
Ce n'est pas entièrement faux, mais ce n'est pas entièrement vrai, cet homme ne représente pas l'orthodoxie musulmane, mais s'il a raison, il faut le reconnaître, ce qui n'est malheureusement pas le cas ici...
« Il y a plus faux que le faux, c'est le mélange du vrai et du faux. »
— Paul Valéry
Nous devons prendre la vérité d’où qu’elle vienne
Dans le hadîth rapporté par el Bukhârî, le Messager d’Allah (r) s’adresse à Abû Huraïra en ces termes, en parlant de Satan : « Il t’a dit vrai, lui le grand menteur ! »
‘Abd Allah ibn Mas’ûd : « N’associe rien à Allah et tourne-toi toujours du côté du Coran. Accepte la vérité même d’un « étranger » pour qui tu as de l’aversion ; et refuse le faux même d’un proche pour qui tu as de l’affection. »[1]
Abd e-Rahman ibn Mahdî jette les bases de l’investigation moderne : « les traditionalistes évoquent les choses qui sont en leur faveur, mais aussi celles qui sont en leur défaveur. Quant aux « gens des passions », ils évoquent uniquement les choses qui sont en leur faveur. »
Après s’être inspiré d’un passage d’el ‘aqîda e-nazhâmiya (p. 25) d’Abû el Ma’âlî el Juwaïnî, un hérétique chevronné, ibn Taïmiya fait le commentaire suivant : « Les références auxquelles nous nous rapportons, parmi les adeptes du kalâm ou autres, ne nous rejoignent pas forcément dans tous les points que nous établissons dans ce domaine. Néanmoins, il faut recevoir la vérité d’où qu’elle vienne. Mu’âdh ibn Jabal disait cette fameuse parole : « Il faut accepter la vérité de n’importe qui, même d’un mécréant – ou bien a-t-il dit : même d’un pervers –. Et méfiez-vous des erreurs du sage.
Comment peut-on savoir qu’un mécréant dit la vérité, lui demanda-t-on ?
La vérité dégage une lumière, a-t-il répondu, ou bien a-t-il dit une parole de ce genre. »[2] … »[3]
Sharh e-sunna d’el Baghawî (1/199).
Rapporté par Abû Dâwûd (5/17-18).
Majmû’ el fatâwa (5/101-104).
Auteur : marco ducercle Date : 22 avr.17, 05:20 Message :
Citizenkan a écrit :
l'égorgement était la méthode de la mise à mort de l'époque, cela n'a rien avoir avec le surnom évoqué ici, en cela, Jésus n'est pas en reste :
(Luc 19 : 27) « Mais ceux-là, mes ennemis, qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, amenez-les ici et tuez-les devant moi. » Et encore, les traducteurs nous offre apparemment une version aseptisée de cette injonction biblique, la version plus gore nous dévoile : « amenez-les ici et égorgez-les devant moi. »[1] Quelques lignes plus loin, la cerise pour enlever toute pirouette littéraire qui lui attribuerait un sens parabolique : « Jésus leur dit : Maintenant, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver. Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit. » (Luc 22 : 35-38)
Jésus parle en parabole: 19:11 Ils écoutaient ces choses, et Jésus ajouta une parabole, parce qu'il était près de Jérusalem, et qu'on croyait qu'à l'instant le royaume de Dieu allait paraître.
19:12 Il dit donc: Un homme de haute naissance s'en alla dans un pays lointain, pour se faire investir de l'autorité royale, et revenir ensuite..............................
Pour ce qui est de Luc22, il faut continuer l'histoire: 22:49 Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent: Seigneur, frapperons-nous de l'épée?
22:50 Et l'un d'eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille droite.
22:51 Mais Jésus, prenant la parole, dit: Laissez, arrêtez! Et, ayant touché l'oreille de cet homme, il le guérit.
On est loin:
S 29. 9 Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies.
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 05:29 Message :
marco ducercle a écrit :
Jésus parle en parabole: 19:11 Ils écoutaient ces choses, et Jésus ajouta une parabole, parce qu'il était près de Jérusalem, et qu'on croyait qu'à l'instant le royaume de Dieu allait paraître.
19:12 Il dit donc: Un homme de haute naissance s'en alla dans un pays lointain, pour se faire investir de l'autorité royale, et revenir ensuite..............................
Pour ce qui est de Luc22, il faut continuer l'histoire: 22:49 Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent: Seigneur, frapperons-nous de l'épée?
22:50 Et l'un d'eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille droite.
22:51 Mais Jésus, prenant la parole, dit: Laissez, arrêtez! Et, ayant touché l'oreille de cet homme, il le guérit.
On est loin:
S 29. 9 Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies.
Je dis cela par condescendance, en sachant que selon certaines évangiles apocryphes, Jésus tue, et ses apôtres qui prennent son message à la lettre agressent à l'épée...
Il dit : arrêtez, non vous avez mal compris mon message, je vous corrige, car vous ne deviez pas le prendre à la lettre...
Encore une fois, quoi qu'il en soit, Ils n'ont pas le même message, relisez-moi, Jésus est le prophète de l'amour et Mohammed est le prophète de l'amour et de la guerre, en cela, il est plus parfait :
Victor Hugo disait au sujet de Mohammed () :
J’ai complété d’Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l’aube pour précurseur.
On préférera toujours, du moins en principe, une voiture toute option !
Auteur : marco ducercle Date : 22 avr.17, 05:42 Message : La voiture toute option? Très bonne parabole quand on voit que certains en font. On peut aussi ajouter des camions tout options.
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 05:48 Message :
marco ducercle a écrit :La voiture toute option? Très bonne parabole quand on voit que certains en font. On peut aussi ajouter des camions tout options.
Les paraboles sont faites pour rapprocher les choses à l'entendement, mais apparemment, ce n'est pas toujours le cas, on l'a vu avec les apôtres en admettant que Jésus parlait ce jour-là en parabole !
Vous parlez des camions, et moi, je parle des avions le jour où un pilote de ligne allemand s'est craché avec tout son équipage à bord...
On peut aussi parler du bateau à moteur qui a servi la cause de Anders Behring Breivik
Auteur : marco ducercle Date : 22 avr.17, 06:05 Message :
Citizenkan a écrit :
Vous parlez des camions, et moi, je parle des avions le jour où un pilote de ligne allemand s'est craché avec tout son équipage à bord...
Parce qu'il l'a fait au nom du prophète Jésus?
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 06:09 Message :
marco ducercle a écrit :
Parce qu'il l'a fait au nom du prophète Jésus?
Parce qu'il (le camionneur de Nice) l'a fait au nom du prophète Mohammed ?
Le principe des échecs est d'anticiper les coups (c'est le cas de le dire) à l'avance !
Auteur : marco ducercle Date : 22 avr.17, 07:31 Message : Excuses moi, j'oublié que les musulmans( modérés) ne reconnaissent pas le titre de musulmans aux soldats de daesh. https://youtu.be/dClrbf0lwfk?t=98
Enfin oui et non puisque la question se pose pour l'enterrement religieux: Théologien et imam écouté par les jeunes générations, Mohamed Bajrafil hésite : «Ce n’est pas aux hommes à qui il revient de savoir qui est musulman ou qui ne l’est pas. En principe, on ne peut pas exclure quelqu’un de l’islam», avance-t-il, tout en se gardant de trancher sur le fait de pouvoir ou non refuser un rituel religieux. Mais l’homme rappelle qu’une personne «qui prend la vie à quelqu’un est vouée, selon les textes coraniques, à l’enfer». M’Hamed Henniche, lui, met en avant l’aspect humain. «C’est un devoir d’assurer une inhumation à chaque personne», dit-il. Conciliant et pragmatique, Abdallah Zekri estime, pour sa part, qu’il faut s’en remettre finalement «au souhait des familles» pour le rituel religieux. «A l’enterrement de Merah, un imam accompagnait les pompes funèbres à la demande de ses proches», raconte-t-il. http://www.liberation.fr/france/2016/08 ... re_1471574
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 07:48 Message :
marco ducercle a écrit :Excuses moi, j'oublié que les musulmans( modérés) ne reconnaissent pas le titre de musulmans aux soldats de daesh. https://youtu.be/dClrbf0lwfk?t=98
Enfin oui et non puisque la question se pose pour l'enterrement religieux: Théologien et imam écouté par les jeunes générations, Mohamed Bajrafil hésite : «Ce n’est pas aux hommes à qui il revient de savoir qui est musulman ou qui ne l’est pas. En principe, on ne peut pas exclure quelqu’un de l’islam», avance-t-il, tout en se gardant de trancher sur le fait de pouvoir ou non refuser un rituel religieux. Mais l’homme rappelle qu’une personne «qui prend la vie à quelqu’un est vouée, selon les textes coraniques, à l’enfer». M’Hamed Henniche, lui, met en avant l’aspect humain. «C’est un devoir d’assurer une inhumation à chaque personne», dit-il. Conciliant et pragmatique, Abdallah Zekri estime, pour sa part, qu’il faut s’en remettre finalement «au souhait des familles» pour le rituel religieux. «A l’enterrement de Merah, un imam accompagnait les pompes funèbres à la demande de ses proches», raconte-t-il. http://www.liberation.fr/france/2016/08 ... re_1471574
Non, vous vous méprenez énormément...
Déjà, il faut définir ce qu'est un musulman modéré, tout est relatif ou presque, hein, on se comprend !
Ensuite, vous faites une double erreur :
1 Vous pensez que je ne considère pas musulman les soldats de DAESH, alors sachez que je n'ai pas ce manichéisme chrétien, qui opère également dans les milieux islamiques, loin de là !
2 Vous assimilez l'auteur du fait divers de Nice comme un soldat de DAESH, et sur quelle preuve probante, vous basez-vous ?
Un fils qui décapite sa mère est un fait divers, pourquoi ?
Ce n'est pas un musulman.
Un ouvrier qui décapite son chef est un terroriste, pourquoi ?
Il est maghrébin.
Imaginez-vous si l'auteur de l'attentat du bus de Dortmund avait été d'origine maghrébine, le monde se serait retourné, dommage, il était d'origine russe, fausse alerte !
Citizenkan a écrit :Un ouvrier qui décapite son chef est un terroriste, pourquoi ?
Il est maghrébin.
Un acte terroriste n'a rien à voir avec la religion.
Un athée peut commettre un acte terroriste.
Définition Larousse
Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation ou un individu
pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine
à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système.
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 07:59 Message :
Etoiles Célestes a écrit :
Un acte terroriste n'a rien à voir avec la religion.
Un athée peut commettre un acte terroriste.
Définition Larousse
Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation ou un individu
pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine
à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système.
Très intéressant, mais j'imagine qu'un acte terroriste a un statut juridique bien précis...
Par exemple, est-ce que la revendication de l'attentat est une condition pour le considérer terroriste ?
Ensuite, pourquoi dans des crimes faisant plusieurs victimes on considère l'auteur du crime comme instable mentalement quand il ne s'agit pas d'un musulman (même si j'extrapole un peu) et terroriste quand il est d'origine musulmane, en France en tout cas...
Les limites entre attentat et fait divers sont très poreuses, voire arbitraires, mais surtout aléatoires !
Pourtant, le résultat est le même :
Ensemble d'actes de violence (attentats, prises d'otages, etc.) commis par une organisation ou un individu
pour créer un climat d'insécurité, pour exercer un chantage sur un gouvernement, pour satisfaire une haine
à l'égard d'une communauté, d'un pays, d'un système.
Citizenkan a écrit :Très intéressant, mais j'imagine qu'un acte terroriste a un statut juridique bien précis...
Par exemple, est-ce que la revendication de l'attentat est une condition pour le considérer terroriste ?
Je ne pense pas, si l'individu a clairement visé une communauté et que sa haine pour cette communauté
était connue (par ses proches par exemple) on peut raisonnablement penser que c'est un acte terroriste.
Ensuite, pourquoi dans des crimes faisant plusieurs victimes on considère l'auteur du crime comme instable mentalement
quand il ne s'agit pas d'un musulman (même si j'extrapole un peu) et terroriste quand il est d'origine musulmane, en France en tout cas...
Par ce que quand c'est un musulman et qu'il a fait allégeance à Daech, il vise une communauté, un pays;
donc cela rentre dans le cadre d'un acte terroriste...
A l'inverse, un malade mentale qui tue pour "le plaisir", ne le fait pas en visant une communauté.
Non?
Les limites entre attentat et fait divers sont très poreuses, voire arbitraires, mais surtout aléatoires !
Je ne pense pas...
Auteur : Citizenkan Date : 22 avr.17, 08:37 Message :
Etoiles Célestes a écrit :
Je ne pense pas...
Je parle du simple fait d'être d'origine musulmane, sans faire d'allégeance à DAESH, qui, rappelons-le, est assez récent !
C'est un facteur aggravant...
Il faudrait creuser davantage, mais je pense que les choses ne sont pas aussi simples ; il y a l'arme du crime qui entre en jeu (professionnel ou amateur), la préméditation, voire la revendication, je ne suis pas spécialiste...
Si l'on sait qu'en France, le statut d'acte terroriste est souvent mis en avant par les médias (ce qui renfloue allègrement les caisses) qui eux-mêmes sont soumis à des groupes de pression, des mains invisibles, cela rend d'autant plus aléatoire ce genre d'étiquette...
Ce qui, somme toute, est un phénomène naturel quand des rapports de force s'affrontent, notamment en période électorale,
Trop d'enjeux mis sur le tapis poussent à la prudence, à la lucidité....
Je dis cela, mais je ne dis rien !
En fait, je pense à haute-voix et je peux me tromper...
Auteur : marco ducercle Date : 22 avr.17, 08:38 Message :
Citizenkan a écrit :
Déjà, il faut définir ce qu'est un musulman modéré, tout est relatif ou presque, hein, on se comprend !
J'ai fait exprès d'employer cette expression pour singer les chantres du padamalgame.
A titre personnel, j'ai toujours considéré l'islam dit "radical" comme étant une partie intégrante de l'islam. Je dirais même que c'est sa raison d'être!
Vous assimilez l'auteur du fait divers de Nice comme un soldat de DAESH, et sur quelle preuve probante, vous basez-vous ?
Un fils qui décapite sa mère est un fait divers, pourquoi ?
Ce n'est pas un musulman.
Un ouvrier qui décapite son chef est un terroriste, pourquoi ?
Il est maghrébin.
Et cet employé a accroché la tête à côté de 2 drapeaux frappés de la «chahada» avant d'essayer de faire sauter l'usine.
Il a fait tout ça ton fils qui a décapité sa mère?
Imaginez-vous si l'auteur de l'attentat du bus de Dortmund avait été d'origine maghrébine, le monde se serait retourné, dommage, il était d'origine russe, fausse alerte !