Auteur : Erdnaxel Date : 01 mai17, 09:35 Message : La religion d'Hitler dont Adolf Hitler en était lui-même plus ou moins le fondateur (à savoir le National-Socialisme), était une idéologie entre autres raciste, fasciste*, démentielle qui a conduit à une dérive criminelle.
Son idéologie prenait appuie sur "l'utopie eugéniste" :
http://www.akadem.org/pour-commencer/hi ... 1_4522.php "Au 2ème congrès international d'eugénisme en 1921. Les eugénistes ont prôné une reproduction sélective destinée à édifier une société meilleure. [...] Les maladies sociales et en particulier la criminalité, les maladies mentales, l'alcoolisme etc. provenaient de facteurs héréditaires. Donc il fallait soigner la génétique, pour éviter la dégénérescence [...]"
--- http://www.larousse.fr/encyclopedie/div ... isme/72723
(2.3 Les idéologues du nazimes) "Trois hommes marquent la pensée hitlérienne : Rosenberg, Darré, Hitler lui-même.
Alfred Rosenberg Alfred Rosenberg collabore dès 1921 au Völkischer Beobachter. Son œuvre est dominée par trois concepts : la race, l'anticommunisme, l'espace vital. D'origine balte, membre de la société Thulé, Rosenberg apporte à Hitler l'idée du Lebensraum ; mais, surtout dans le Mythe du XXe siècle (Der Mythus des 20. Jahrhunderts, 1930), il se fait le théoricien de l'antisémitisme. Il prétend apporter une image nouvelle de l'histoire de la Terre et de l'humanité. Pour lui, toute l'histoire se ramène au conflit des Nordiques aryens contre les Sémites. Il expose également une pensée anticatholique et presque antichrétienne, et développe la mythologie nationale. Il fait par exemple l'apologie du dieu Odin, dont il retrouve l'inspiration dans la chevalerie, chez les mystiques allemands, dans la pensée de Frédéric le Grand.
Walter Darré Walter Darré, leader du mouvement agricole et Führer des paysans, est, lui aussi, raciste. Ses deux ouvrages les plus importants, la Paysannerie comme source de vie de la race nordique (1928) et Nouvelle Noblesse de sang et de sol (1930), fondent une doctrine agraire sur les liens « du sang et du sol » (Blut und Boden). Walter Darré veut montrer que la race nordique – parce que paysanne – est héroïque, colonisatrice et guerrière. Cela lui paraît lié au fait que les Nordiques n'ont jamais été nomades ; quand ils se sont déplacés, c'était pour coloniser. Le paysan nordique « est la première forme de l'officier prussien ».
Il existe des liens entre paysannerie et aristocratie, car une élite véritable est liée à une famille et non à des individus. Elle se prépare par une longue hérédité. Malheureusement, pour Darré, la noblesse allemande est en décadence, car elle s'est muée en caste et urbanisée. Il faut donc que le IIIe Reich recrée une noblesse. Darré souhaite la création de domaines héréditaires (Erbhof) et fait une longue étude de ce que devrait être le Führerblut (« le sang des chefs »).
Adolf Hitler Toutes ces idées développées par Darré, Rosenberg ou d'autres sont orchestrées par Mein Kampf. Hitler glorifie dès les premières pages de son livre les Germains et les vrais Allemands contre les Habsbourg, qui ont contribué à dégermaniser des terres allemandes. Exaltant la nation, il s'en prend à toutes les Internationales – juive, marxiste, catholique –, quitte, d'ailleurs, à imiter leurs principes d'organisation (il y a des liens très nets entre les structures du parti nazi et celles du parti communiste de l'Union soviétique). De même, Hitler ne cache pas son admiration pour l'organisation et la discipline jésuites.
Critiquant le parlementarisme, il défend le Führerprinzip (« principe du chef »). Si l'on veut avoir les masses avec soi, dit-il, il faut prendre soin d'elles. Miséreuses et livrées à elles-mêmes, elles rêvent de socialisme international ; guidées par des chefs, elles se laissent nationaliser. Ce n'est pas difficile, car elles ont l'esprit de camaraderie, de solidarité, de sacrifice. Elles aiment l'intolérance et la brutalité. Le chef, c'est le plus fort qui mène le jeu, et le Führer, c'est le chef suprême. Il est le reflet du Volkstum (« caractère national »). Il incarne le rythme et le style de vie du Volk. « Le chef est au peuple ce que la conscience est à l'inconscience. » Il doit s'appuyer sur une institution qui dépende de lui, et le modèle pour Hitler est l'ordre Teutonique, ordre masculin hiérarchisé.
Le Führerstaat s'identifie au Volksstaat. C'est le parti unique qui doit être le fondement d'un gouvernement. L'État est une communauté d'êtres vivants, égaux, gouvernés par les meilleurs ; il lui faut faire une place importante à la jeunesse et à l'éducation, mais toujours sous la responsabilité du chef. L'État doit être centralisé pour que les directives du chef soient bien comprises de tous : comme le rappelle la devise Ein Volk, Ein Reich, Ein Führer ! (« Un peuple, un empire, un guide ! »). Dans cet État national-socialiste, on peut transformer la bureaucratie et la mettre au service du peuple. À ce peuple ne peuvent appartenir que les Allemands, et tous doivent obéir à leur Führer. Tels sont les principes que, dès son arrivée au pouvoir, le 30 janvier 1933, Hitler va appliquer."
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"Le livre sacré" des Nationaux-Socialistes s'appelle Mein Kampf.
Auteur : Erdnaxel Date : 02 mai17, 10:26 Message :http://www.larousse.fr/encyclopedie/div ... isme/72723 Des héritages recueillis et dépassés par le nazisme "Ainsi, tout au long de la République de Weimar se développe une pensée antilibérale, antidémocratique, qui veut un État fort, organisé, ne laissant pas de place aux traditions non germaniques, marxisme, catholicisme, capitalisme, etc. Ces thèmes, très proches de la doctrine nationale-socialiste, vont être profondément déformés par celle-ci dans un sens totalitaire, mais d'une manière suffisamment habile pour que la masse de la population ne se rende pas compte de cette déformation. Enfin, un dernier élément de la pensée nationale-socialiste s'est considérablement développé sous la République de Weimar, l'antisémitisme*.
L'antisémitisme social
L'antisémitisme existe en Allemagne depuis le Moyen Âge, mais pendant longtemps il a surtout été virulent dans les milieux ruraux, où le Juif était assimilé à l'usurier. Dans les années 1880 apparaît un antisémitisme d'un type nouveau, lié à la notion d'appartenance sociologique. Aussi, pour lutter contre les Juifs, il faut, disait l'historien Heinrich von Treitschke, favoriser les mariages mixtes de façon à intégrer les populations juives dans le peuple allemand. Paul de Lagarde pense qu'il faut les assimiler. L'influence de cette pensée est considérable, d'autant plus que Treitschke est un historien très lu. Pour lui comme pour beaucoup de ses contemporains, les Juifs représentent un État dans l'État qu'il convient de résorber.
L'antisémitisme racial Mais, très vite, l'antisémitisme prend une tournure différente, un aspect raciste, sous l'influence du comte Joseph Arthur de Gobineau, et surtout, de deux de ses disciples, Richard Wagner et Houston Stewart Chamberlain. Dès lors, l'antisémitisme allemand sera à la fois raciste et nationaliste. L'influence de Chamberlain, gendre de Wagner, puis conseiller de Guillaume II et qui, dès 1923, entre en relation avec Hitler, est considérable. Son livre les Assises du XIXe siècle (1899) fait l'apologie de la race aryenne* et des Germains. Cette idée avait déjà été exprimée en 1881 par Karl Eugen Dühring, le socialiste adversaire de Marx et d'Engels, qui, dans Die Judenfrage, demande que l'on sépare les Juifs des autres peuples et que l'on crée un État juif pour y déporter tous les Juifs.
L'antisémitisme devient le thème essentiel du parti social-chrétien d'Adolf Stoecker (1835-1909). Sous l'influence de Dühring, ce parti préconise l'exclusion des Juifs de l'enseignement et de la presse, un numerus clausus à leur égard dans le barreau et la magistrature, l'interdiction des mariages mixtes, la confiscation des biens des capitalistes juifs.
Ce mouvement s'accentue avec l'apparition de sociétés antisémites, comme la société Thulé (Thulegesellschaft), fondée en 1912. Ainsi se constitue un courant profond dans la bonne société allemande, qui se développe particulièrement au moment des crises politiques et économiques marquant le début et la fin de la République de Weimar.
Aryens (encyclopédie Larousse)http://www.larousse.fr/encyclopedie/div ... ens/106346 "(sanskrit ārya et avestique airya, nobles) °Populations indo-iraniennes qui, à partir du xviiie siècle avant J.-C., se répandirent d'une part en Iran, d'autre part dans le nord de l'Inde et y installèrent une communauté linguistique et culturelle.
L'histoire des Aryens est surtout connue par le Rigveda et les tablettes de texte cunéiforme découvertes dans l'ancienne capitale des Hittites, à Boğazköy. Ayant domestiqué le cheval, pasteurs de troupeaux bovins, connaissant l'usage de l'araire, ils pénétrèrent dans le continent indien et repoussèrent progressivement les populations dravidiennes et autochtones (Dasa) vers le sud, tout en imposant leurs lois. « Nés pour le meurtre des Dasa », Indra, leur dieu suprême, leur ordonne une guerre sainte qui doit imposer son dharma (ordre, norme). Dès le xe siècle avant J.-C., les Aryens sont très hiérarchisés et se répartissent en 4 groupes : les brahmanes, les kşatriya (ou rajanya : guerriers), les vaiśya (éleveurs et commerçants), les śudra (esclaves composés de Dasa).
Leur langue est l'ancêtre des langues indiennes (→ sanskrit, pali) et iraniennes (avestique, vieux perse). °La notion d'« aryen », individu typique des populations blanches et plus particulièrement nordiques, qui s'était considérablement développée avec l'idéologie nazie, ne repose sur aucune base scientifique."
L'antisémitisme chrétien Ce mouvement a d'ailleurs un caractère antichrétien, car, à la suite du philosophe Fichte, puis de Dühring, bon nombre d'antisémites dénoncent la falsification des Évangiles par la pensée juive. Fichte ne reprochait-il pas à Luther d'avoir fait une place trop importante à saint Paul, qui avait judaïsé le christianisme ? Paul de Lagarde, quant à lui, transforme Jésus en un rabbin de Nazareth. Il n'est pas le Fils de Dieu, comme le prétend la « légende biblique du Nouveau Testament ». Chamberlain, lui, voudrait prouver que Jésus n'est pas Juif, mais, comme David, le descendant d'une famille aryenne.
Tous ces thèmes seront repris à l'époque nationale-socialiste par le mouvement chrétien allemand, dirigé par le pasteur Ludwig Müller (1883-1945) – le futur évêque du IIIe Reich. Ainsi, l'antisémitisme hitlérien plonge-t-il très loin ses racines et sera-t-il pendant très longtemps dans la tradition de la pensée allemande. Il ne s'en écartera qu'à partir du moment où il passera à la liquidation des Juifs d'Europe.
Toutefois, c'est par la pensée autrichienne qu'a été nourri l'antisémitisme de Hitler ; celui-ci a subi en particulier l'influence de Georg Schönerer (1842-1921), dont s'inspire le Deutsche Arbeiterpartei Österreichs, et de Karl Lueger (1844-1910), chef du parti chrétien social autrichien.
La pensée nationale-socialiste s'épanouit donc dans un cadre idéologique aux assises profondes. Adolf Hitler se contente de développer cette pensée, de l'exacerber, et – par son magnétisme – il popularise des idées qui avaient surtout cours dans les classes moyennes et la bourgeoise allemandes."
Auteur : Erdnaxel Date : 03 mai17, 11:04 Message :Eugénisme (encyclopédie Larousse)http://www.larousse.fr/encyclopedie/med ... isme/12967 "Théorie cherchant à opérer une sélection sur les collectivités humaines à partir des lois de la génétique.
L'eugénisme fut conçu dans la seconde moitié du xixe siècle par le scientifique britannique sir Francis Galton. Son utilisation par les nazis à des fins politiques, de même que la stérilisation forcée de certaines catégories d'individus, a conduit à de dangereuses dérives, que la communauté scientifique s'applique aujourd'hui à éviter, comme en témoignent le moratoire international qui, en 1974, a interrompu pendant 2 ans les recherches en génie génétique (Congrès international d'Asilomar, Californie) et le débat actuel sur la législation de la bioéthique – en particulier concernant l'utilisation des techniques de clonage."
51s "Le sergent Jacob Baroff traverse le Rhin avec le 121ème régiment d'infanterie, et il prend au piège près de la Roure des centaines de milliers d'allemands découragés. Ils y découvrent les vestiges d'une des nombreuses incarnations du fanatisme nazi : le programme Lebensborn ou fontaine de vie.
- On s'est emparé d'une usine à bébé. Il s'agissait d'un ensemble de petites maisons destiné à accueillir des hommes correspondants aux critères aryens. 1m80 (ou plus), blonds aux yeux bleus. Allemands depuis au moins six générations. Puis on y faisait venir des femmes, les hommes les engrossaient, puis ils repartaient au front. Ensuite les femmes accouchaient. Et lorsque les bébés atteignaient l'âge de trois mois, elles les abandonnaient à l'Etat qui les élevait."
6m14s "Le nazisme se fonde sur des postulats qui appartiennent à la culture scientifique du temps. J'entends par là l'Europe depuis la seconde moitié du 19ème siècle. Le développement de la médecine, le développement de médecine virale, de la médecine bactériologique, le développement de l'anthropologie. Le développement des sciences de la nature en général, de la biologie, de la génétique etc. Et sur ce socle de culture scientifique, les nazis bâtissent une théorie politique, une vision de l'homme, une vision de la cité, une vision du groupe humain, une vision de l'univers et de l'histoire qui se prêtant scientifique."
Adolf Hitler(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14 octobre 1941, p. 51-60) https://fr.wikiquote.org/wiki/Adolf_Hitler#Religion "Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison."
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Pierre-Henri Gouyon n'est pas un nazi (même s'il ne nie ou ne renie pas vraiment le progrès scientifique). Et il a des positions "politiques", qui auraient condamné Adolf Hitler et sa religion (le National-Socialisme).
Entre autres pour des raisons étiques et morales :
- 1) Pierre-Henri Gouyon condamne le racisme, à l'inverse d'Adolf Hitler qui en plus œuvrait carrément pour la création et le succès de "l'Etat raciste" .
- 2) Pierre-Henri Gouyon condamne l'eugénisme (concernant les humains), à l'inverse d'Adolf Hitler qui était pour accomplir "l'utopie eugéniste" en plus d'œuvrer pour la création d'une race dans l'espèce humaine.
- 3) Pierre-Henri Gouyon est contre la stérilisation forcée, à l'inverse d'Adolf Hitler qui l'eut notamment fait pratiquer sur la population tzigane.
- 4) Pierre-Henri Gouyon condamne l'action génocidaire, à l'inverser d'Adolf Hitler qui prônait une politique génocidaire en se donnant les moyens de l'accomplir.
- 5) Pierre-Henri Gouyon condamne notamment les systèmes politiques dictatorials, à l'inverse d'Adolf Hitler qui œuvrait pour la réussite d'un système politique totalitaire.
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Pour le racialisme* :
Racialisme (définition Linternaute)http://www.linternaute.com/dictionnaire ... acialisme/ "Le terme racialisme peut avoir différentes connotations suivant son utilisation. Soit synonyme de la raciologie il compare les différents types humains en fonction des hérédités, soit altération de la notion de racisme, il s'applique à théoriser sur la base de l'existence de races diverses."
Par racialisme, J'entends plutôt l'utilisation de "l'altération de la notion de racisme" .
Racialiste (dictionnaire Linternaute)http://www.linternaute.com/dictionnaire ... acialiste/ "Racialiste est un adjectif qui qualifie un défenseur du racialisme, c'est-à-dire la théorie selon laquelle il existe des races humaines qui sont différentes les unes des autres. Une personne racialiste considère, par exemple, qu'une personne noire est différente d'une personne blanche biologiquement et psychologiquement."
Par racialiste, j'entends des personnes qui considèrent qu'il y a notamment biologiquement différentes races humaines.
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Le racialisme est un non-sens d'un point de vue biologique et génétique : puisque dans la population Homo sapiens (à l'inverse de chez les chiens) il n'y a pas eu une subdivision au sein de l'espèce créant différents types ayants entre eux des différences de mutations extrêmes. Chose qui n'est possible que par le processus d'une sélection artificielle (et les différentes races de chiens sont "le fruit" d'une sélection artificielle).
Pierre-Henri Gouyon est un biologiste. Et par conséquence, il ne peut pas être racialiste tant que notamment des eugénistes n'en créent pas.
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Adolf Hitler n'était pas un biologiste, mais un politicien (voir un chef de guerre). Lui-même était probablement pas racialiste, et son racialisme supposé n'était fait que pour mieux servir sa politique raciste. "Les" propagandes nazis étaient malhonnêtes et elles étaient faites dans un but politique.
Adolf Hitler "Que nous ayons raison ou tort, nous devons gagner. C'est la seule voie. Et elle est moralement juste et nécessaire. Et quand nous aurons gagné, qui nous demandera des comptes sur la méthode ?"
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Pour l'eugénisme :
Pierre-Henri Gouyon condamne l'eugénisme pour des raisons étiques et morales. Mais il n'a pas d'arguments d'un point de vue scientifique pour établir que leurs techniques eugénistes seraient "foireuses" ou ne pourraient pas marcher.
Pas mal d'arguments des eugénistes Nationaux-Socialistes venaient de chez Charles Darwin (1809-1882) et de chez Gregor Mendel (1822-1884) :
"1) Le modèle de Darwin
a) Il existe une limitation des ressources du milieu par rapport au nombre d'individus qui naissent. Donc lutte entre individus d’une même population pour survivre, seule une fraction de la population survit à chaque génération.
b) La survie n'est pas due au hasard mais dépend de la constitution héréditaire des individus.
2) Le modèle de Mendel
a) Chaque caractère héréditaire est contrôlé par une paire "facteurs".
b) Chaque hybride hérite d'un seul facteur provenant de chacun des parents.
c) La ségrégation des facteurs est aléatoire.
d) Les particules (gènes) restent pures.
e) L'hérédité est une combinatoire des gènes.
f) L'hérédité est indirecte."
Auteur : Erdnaxel Date : 06 mai17, 10:56 Message :
1) Hitler a découvert la swastika (croix gammée) dans une église.
2) Hitler avait peur d'être juif.
3) Hitler était en échec scolaire.
4) Hitler était "un fils à maman".
5) Hitler n'a pas été admis en école d'art parce qu'il ne savait pas dessiner le corps humain.
6) Le jeune Hitler avait des amis juifs.
7) Hitler avait "peur du sexe et des femmes".
8) La première guerre mondiale "a réjoui" Hitler.
9) L'armée allemande a déclaré qu'Hitler n'avait pas une âme de chef.
10) Hitler est rentrée dans la politique "en tant qu'espion".
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Mein Kampf (encyclopédie Larousse)http://www.larousse.fr/encyclopedie/oeu ... mpf/132636 "Ouvrage écrit en prison (1923-1924) par Adolf Hitler et publié en 1925-1926.
Les principes du national-socialisme y sont exposés : antisémitisme, supériorité de la race germanique, qui a besoin pour s'épanouir d'un espace vital, culte de la force."
Alors ce qui est intéressant dans l'histoire "des livres sacrés". C'est qu'à la question, qui a écrit "le livre sacré" ou la compilation de "livres sacrés"? La réponse théorique est toujours plus ou moins fausse.
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1) Pour la Torah (5 premiers livres de la Bible), la réponse théorique consiste à faire croire qu'elle a été écrite par Moïse, qui fût guidé ou inspiré par Yahweh le Dieu d'Israël.
Moise est un archétype du lawgiver (celui qui donne la loi). Il est clairement inspiré de Hammourabi, qui lui est un personnage réel, celui qui a écrit le code de loi babylonien, auquel ont été rajouté tout un tas de caractéristiques de personnages mythiques (par exemple, le fils abandonné, élevé par son ennemi, qui va finalement sauver son peuple, est récurent dans la mythologie). Quand on sait à quel point les juifs se sont inspirés des babyloniens pour leurs légendes, il n'y a rien de surprenant à ce que Moïse soit une fiction complète.
Moïse n'a pas pu écrire quoi que ce soit, car il n'a jamais existé. Je peux citer son nom comme je peux citer le nom de Mickey. Je peux montrer des images de Moïses comme je peux montrer des images de Mickey. Et pourtant je vous le dis : ni Moïse ni Mickey n'existent, et ni l'un ni l'autre ont existé dans le monde réel.
2) Pour le Nouveau Testament, la réponse théorique consiste à faire croire que ce sont les apôtres de Jésus qui l'ont écrit, sous l'inspiration de l'Esprit de Dieu.
Jésus n'a jamais existé : [/quote]
Il ne pouvait donc pas y avoir des apôtres de Jésus.
3) Pour le Coran, la réponse théorique consiste à faire croire que c'est Allah qui l'a écrit.
Bon c'est tellement énorme... surtout au vue des bêtises qui y sont écrites :
la sourate 27 verset 18 "18. Quand ils arrivèrent à la Vallée des Fourmis, une fourmi dit: «Ô fourmis, entrez dans vos demeures, [de peur] que Salomon et ses armées ne vous écrasent [sous leurs pieds] sans s’en rendre compte»."
Coran : "19. Et c'est Allah qui vous a fait de la terre un tapis,( s71v19)
6. N'avons-Nous pas fait de la terre une couche? (s78v6)
30. Et quant à la terre, après cela, Il l'a étendue (s79v30)
17.Nous avons créé, au-dessus de vous, sept cieux. Et Nous ne sommes pas inattentifs à la création. (s23v17)
15. N'avez-vous pas vu comment Allah a créé sept cieux superposés(s71v15)
32.Et Nous avons fait du ciel un toit protégé. Et cependant ils se détournent de ses merveilles.(s21v32)
65.N'as-tu pas vu qu'Allah vous a soumis tout ce qui est sur la terre ainsi que le vaisseau qui vogue sur la mer par Son ordre? Il retient le ciel de tomber sur la terre, sauf quand Il le permettra. Car Allah est Plein de bonté et de miséricorde envers les hommes.(s22v65)"
Coran: "Votre Seigneur, c'est Allah, Qui a créé les cieux et la terre en six jours, puis S'est établi ‹istawa› sur le Trône…(Sourate al-A‘raf, 54)
Du ciel à la terre, Il administre l'affaire, laquelle ensuite monte vers Lui en un jour équivalant à mille ans de votre calcul. (Sourate as-Sajda, 5)"
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4) Et maintenant Mein Kampf, le dernier de la série qui prétend avoir été écrit en prison par Adolf Hitler.
Bon disons que c'est juste impossible. Je peux probablement déjà nommer Rudolf Hess, qui a surement contribué à ce que Mein Kampf voit le jour.
Rudolf Hess
Mein Kampf est un livre qui a notamment permis (ou fortement contribué) à financer la campagne politique d'Adolf Hitler.
Auteur : Sandrilith Date : 08 mai17, 21:53 Message : Quel est l'objectif?
Auteur : Erdnaxel Date : 09 mai17, 01:59 Message : L'objectif de l'idéologie d'Adolf Hitler était notamment d'accomplir "l'utopie eugéniste", de fonder un Etat raciste fort, d'éradiquer "la race juive" et de créer ou d'engendrer une race humaine qui sera génétiquement supérieure aux autres types humains.
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Il y a un point qui me parait important pour la compréhension des choses sur la notion de racisme*.
------------ Racismehttp://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... isme/65932 "1) Idéologie fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races » ; comportement inspiré par cette idéologie.
2) Attitude d'hostilité systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes : Racisme antijeunes."
C'est plutôt la deuxième définition que j'entends par racisme. C'est-à-dire que la xénophobie, le sexisme et les discriminations liées aux classes sociales, à une appartenance culturelle/nationale/ethnique, à une origine, à un emploi légal, à des populations humaines non-criminogènes, à une orientation sexuelle légale (la pédophilie, la zoophilie, la nécrophilie ne sont et/ou ne doivent pas être des orientations légales selon moi) y sont notamment inclus.
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D'après moi, la conception de nos sociétés modernes (jusqu'à preuve du contraire) consiste à dire que le racisme vient d'une maladie mentale* qu'on peut notamment soigner par des psychiatres.
Maladie mentale (encyclopédie Larousse)http://www.larousse.fr/encyclopedie/med ... tale/14357 "Maladie de l'esprit, de la pensée.
Selon leur gravité, on distingue différents types de maladie mentale. Les plus graves sont les psychoses, qui altèrent profondément la perception de la réalité ainsi que le comportement affectif et social du sujet ; les névroses sont, à la différence des psychoses, des affections moins profondes, au cours desquelles le sujet reste conscient du caractère pathologique de ses troubles. Entre les deux se situent les troubles de la personnalité comme les états limites (borderline), les troubles du comportement (psychopathie, comportement antisocial) et les affections psychosomatiques.
Il existe aussi des troubles mentaux directement en rapport avec une maladie physique comme les séquelles des traumatismes crâniens ou certaines maladies génétiques."
Entre autres, la mentalité des eugénistes Nationaux-Socialistes partait du principe que toutes les causes humaines s'expliqueraient par la génétique ou l'hérédité. Dans cette optique le racisme ne pouvait pas être condamnable puisqu'il se justifiait scientifiquement. Ce qui amena aussi l'espoir de pouvoir bâtir un monde meilleur grâce aux progrès scientifiques.
De plus Adolf Hitler se voulait avant tout nationaliste et il œuvrait de son point de vue pour une politique nationaliste et socialiste* (socialiste sens : une organisation sociale et économique plus juste). Pour fonder le nationalisme en Allemagne (de son époque), il faudrait notamment régler le problème de l'immigration juive, tzigane etc. qui avait entre autres pour conséquence de diviser le peuple allemand.
Auteur : Saint Glinglin Date : 09 mai17, 02:17 Message : Si Hitler avait appelé sa race aryenne "peuple élu", personne ne lui aurait rien dit.
Auteur : Sandrilith Date : 09 mai17, 02:33 Message :
Erdnaxel a écrit :L'objectif de l'idéologie d'Adolf Hitler était notamment d'accomplir "l'utopie eugéniste", de fonder un Etat raciste fort, d'éradiquer "la race juive" et de créer ou d'engendrer une race humaine qui sera génétiquement supérieure aux autres types humains..
Non, je me demande ton objectif à toi d'en faire autant sur les idéologies nauséabondes d'Hitler
Auteur : Erdnaxel Date : 09 mai17, 13:10 Message : Pour commencer, il n'y avait qu'une idéologie (qui en plus était assez claire et définie) et non pas plusieurs idéologies d'Adolf Hitler. Mais bon c'est comme avec l'islam. Je veux dire théoriquement, il n'y a qu'un islam (à savoir l'idéologie de Muhammad), mais par les faits il y en a plusieurs, bref nous sommes dans des sortes de new Age. Et des gens peuvent aussi y voir de la même façon plusieurs "national-socialisme" (en faisant notamment des confusions ou des amalgames entre le National-Socialisme et des paroisses proclamées Néo-nazis ou d'extrêmes-droites).
Ce topic est aussi fait dans "l'idée de faire découvrir" la religion d'Hitler (le National-Socialisme). Car dans "les" sites "d'extrêmes-droites", néo-nazis ou islamiques; c'est plus de la désinformation qu'autre chose. Pour moi ils font dans du révisionnisme* (et quand je dis révisionnisme, je sous-entends derrière ce mot qu'ils n'ont en plus pas d'état d'âme à réinventer toutes l'histoires comme ça leurs arrangent) et du négationnisme* (et au final leurs révisionnismes associés à leurs négationnismes donnent des versions surprenantes pour ne pas dire carrément débiles) dans un but plus ou moins politique.
Quant aux versions "dites officielles" ou "prises pour officielles", (de mon point de vue) il vaut mieux ne pas trop s'attacher à la vision de certains historiens (et encore moins à des gens qui s'improvisent historiens comme Éric Zemmour) qui est dans bien des cas biaisée de par la diabolisation d'Adolf Hitler et de son idéologie. Une diabolisation qui permet notamment l'entourloupe "point Godwin"http://www.forum-religion.org/general/l ... 56256.html.
---------- Révisionnisme (définition Larousse)http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... isme/69137 "Remise en question de faits appartenant à l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, tendant à nier ou à minimiser le génocide des Juifs par les nazis."
Si des politiciens ont interdit Mein Kampf. C'est probablement aussi pour empêcher de connaître l'idéologie d'Adolf Hitler, afin d'une part de ce servir du thème de la diabolisation d'Hitler pour "imposer" (ou fortement influencer et/ou conditionner) "leurs visions politiques". Et d'autre part pour couper des phrases de Mein Kampf afin de leur faire dire : "ce qu'ils veulent comme ça leurs arrangent" (comme "les" gens ne peuvent pas entre autres vérifier les bouts de phrases ainsi que le sens qu'elles ont par rapport à l'ensemble de ce qui écrit dans Mein Kampf...).
Le Coran n'est pas interdit, mais ça n'empêche pas (en dehors des histoires liées à la taqyia de la langue) à des gens d'utiliser le même genre de sophisme qui trompe "les plus ignorants" :
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De mon point de vue, ce que je trouve intéressant dans la religion d'Hitler (National-Socialisme), c'est qu'à l'inverse "des mytho-idéologies abrahamiques" ("fruit" de la dérive monothéiste d'Akhenaton). Le National-Socialisme apportait notamment un regard différent des connaissances moyenâgeuses (ou antérieures et qui restent en lien avec la trilogie abrahamique). Le National-Socialisme apportait une pensée différente de la pensée fixiste, il apportait une doctrine basée sur de la science* et non plus sur du folklore*.
De mon point de vue, le National-Socialisme permet notamment de comprendre comment se crée une idéologie engendrant du fanatisme etc. et il met en évidence le fait "qu'on" a pas besoin de s'inventer une entité magique pour fonder une religion/idéologie.
La religion japonaise sous Hirohito date depuis longtemps et il me parait bien difficile de comprendre comment elle fût créée etc. Alors que l'idéologie d'Adolf Hitler fût beaucoup plus récente. Même si le National-Socialisme n'eut pas forcément abouti à une dérive criminelle qui égale entre autres les idéologies abrahamiques ou "l'idéologie japonaise" (qui sont beaucoup plus longues en durée de vie) : l'idéologie d'Hitler eut quand même fait des dégâts au point de se voir facilement diaboliser.
----------- Folklore (définition Larousse)http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... lore/34414 "Ensemble des pratiques culturelles (croyances, rites, contes, légendes, fêtes, cultes, etc.) des sociétés traditionnelles."
Science (définition Larousse)http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... lore/34414 "Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales."
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Auteur : yacoub Date : 10 mai17, 00:20 Message : Hitler a été fait musulman d'honneur par des Grands Savants de l'islam et son livre a été traduit en arabe, turc et persan.
Il est devenu un best seller.
Michel Onfray en parle.
Auteur : Erdnaxel Date : 10 mai17, 01:22 Message : Je remets des choses que j'avais déjà posté :
Il y a 70 ans, le grand fantasme d'Hitler était de voir l'Allemagne devenir musulmane. Voici quelques extraits de sa prose :
ça dit vraiment n'importe quoi, mais ce n'est pas grave. Tant qu'Adolf Hitler est diabolisé, inutile de s'étonner qu'Hitler puisse être tout et n'importe quoi.
"Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous que la France par exemple..."
(Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180)
"On" balance des phrases sans chercher ce qu'Adolf Hitler veut dire, pourquoi il le dit etc. et comme il y a en plus le mot islam dedans, c'est sûr Hitler était un musulman.
Adolf Hitler "Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive."
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Ce qu'il veut dire, ce n'est pas qu'il est musulman. Mais que "les peuples régis de l'Islam"(culture) sont plus proche "du peuple allemand" que celui de la France car moins contaminé par "l'esprit juif".
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"Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais pas pour le fade paradis des chrétiens !"
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141)
Le paradis de Muhammad permet d'avoir des rapports sexuels avec en prime 72 vierges (voir plus). Le paradis chrétien, c'est no sexe et je ne saurais vous dire ce qu'ils pourront bien faire pendant ce temps éternel au paradis.
Je pense que c'est une sorte de vanne où Hitler met en évidence que même la religion poubelle de Muhammad est sur le fond moins nulle que celle qui domine en occident.
Je rappelle que le but de base "des croyants" qui adhèrent à ces religions "d'origines juives", ce n'est rien d'autre que de gagner "son ticket" pour aller au paradis.
"Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !). Il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés !"
(Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p.297)
Adolf Hitler met le juif comme bouc émissaire. Il utilise l'histoire pour mettre en valeur que "la racine du mal" est ("selon lui") le judaïsme et son influence.
Mein Kampf "Etudier l'histoire, c'est rechercher les causes déterminantes des événements historiques."
"Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante."
(Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138)
Adolf Hitler "Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n'avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante."
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Déjà on remarque que la phrase a été coupé et pas non plus mentionné par un [...], ce qui est malhonnête! Ensuite ce qui est coupé, nous permet de comprendre que c'est la notion du sacrifice pour sa patrie qui l'intéresse dans ces religions guerrières (l'islam et celle d'Hirohito) et absolument pas "les semblants de spiritualités" ou "les folklores mytho-idéologiques" de celles-ci.
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Adolf Hitler "Une nouvelle communauté se construit en Allemagne et c'est notre plus beau but et objectif. Ceux qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nezméritent notre pitié plus que tout autre chose. C'est la chance d'aider, qui récompensent ceux qui se consacrent à cet Etat socialiste et cet engagement doit se produire à chaque nouvel hiver. Notre système de bien être social est tellement plus que simplement la charité. Car nous ne disons pas aux gens riches: "S'il vous plaît, donnez quelque chose au pauvres".
Nous disons plutôt: - Peuple Allemand, aide toi toi même!
Tout le monde doit aider, que vous soyez riche ou pauvre. Chacun doit croire qu'il y a toujours quelqu'un dans une situation pire que la mienne, et cette personne, je veux l'aider en tant que camarade. Si quelqu'un se dit: "oui, mais dois-je beaucoup sacrifier?"
Ceci est là qu'il y a à donner. Quand vous sacrifiez pour votre communauté, alors, vous pouvez marcher la tête haute. Notre foi en l'Allemagne est inébranlable! Et notre volonté est débordante! Et quand la volonté et la foi se combinent avec une telle ardeur alors, même les cieux ne vous refuseront rien."
Lire également sur le blog de l'auteur : Hitler a gagné
Désolé Hitler et "les" Nationaux Socialistes sont morts et pas la peine d'espérer que les morts soient ressuscités par l'Esprit du Dieu Hirohito venant dans leur tombe, tel la grâce d'une colombe
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Pour Onfray, en gros il semble affirmer que Hitler, c'est un chrétien croyant convaincu avec comme "preuve irréfutable": qu'il y a écrit les mots Dieu, Eternel, Créateur etc. dans le livre Mein Kampf.
Mein Kampf "La connaissance que nous avons de l'histoire fournit d'innombrables preuves de cette loi. L'histoire établit avec une effroyable évidence que, lorsque l'Aryen a mélangé son sang avec celui de peuples inférieurs, le résultat de ce métissage a été la ruine du peuple civilisateur.[...] Le Germain, resté de race pure et sans mélange, est devenu le maître du continent américain ; il le restera tant qu'il ne sacrifiera pas, lui aussi, à une contamination incestueuse.
En résumé, le résultat de tout croisement de races est toujours le suivant:
a) Abaissement du niveau de la race supérieure.
b) Régression physique et intellectuelle et, par suite, apparition d'une sorte de consomption dont les progrès sont lents mais inévitables.
Amener un tel processus n'est pas autre chose que pécher contre la volonté de l'Eternel, notre Créateur.[...]"
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Donc à la fin, on a les mots Eternel et notre Créateur . Donc par cela, des personnes peuvent tenter notamment de faire croire qu'il était un croyant convaincu chrétien etc.
Voyons la suite :
Mein Kampf "Mais cet acte reçoit la sanction méritée par le péché.
En tentant de se révolter contre la logique inflexible de la nature, l'homme entre en conflit avec les principes auxquels il doit d'exister en tant qu'homme. C'est ainsi qu'en agissant contre le vœu de la nature il prépare sa propre ruine.[...]"
Auteur : Sandrilith Date : 10 mai17, 01:54 Message : Mais enfin!!
Je reste étonnée par tes propos.
En gros ton objectif est de démontrer que l'idéologie d'Hitler était la meilleure????
Malgré toute l'horreur qu'elle a amené.
Il y avait un reportage interressant hier sur France2 à ce sujet.
Auteur : yacoub Date : 10 mai17, 02:16 Message :
Sandrilith a écrit :Mais enfin!!
Je reste étonnée par tes propos.
En gros ton objectif est de démontrer que l'idéologie d'Hitler était la meilleure????
Malgré toute l'horreur qu'elle a amené.
Il y avait un reportage intéressante hier sur France2 à ce sujet.
Il n y a que les pays d'islam qui considèrent le nazisme comme une idéologie très respectable et très humaine
Adolf Hitler est considéré comme un grand homme et des nazis ont été accueillis en terre d'islam.
Auteur : Sandrilith Date : 10 mai17, 02:26 Message : Ouai.. Donc c'est bien ce que je pensais.
Pour vous les idéaux Nazis sont a vénérer?
Auteur : yacoub Date : 10 mai17, 02:50 Message :
Sandrilith a écrit :Ouai.. Donc c'est bien ce que je pensais.
Pour vous les idéaux Nazis sont a vénérer?
Pas pour moi, je suis anti islam.
Je suis même banni des sites islamophiles comme celui de Florence_Yvonne, celui de Mario ou celui d’Inès
Auteur : Sandrilith Date : 10 mai17, 03:00 Message : Ah ok.
Je me suis embrouillée entre tes réponses et celle de Erdnaxel.
C'est surtout à son propos que je me pose effectivement les questions.
Auteur : Inti Date : 10 mai17, 04:32 Message :
yacoub a écrit :Je suis même banni des sites islamophiles comme celui de Florence_Yvonne, celui de Mario ou celui d’Inès
Oui tellement cocasse que l'imam tatonga bragon se soit plaint à profusion de la "censure et contingence" ici à l'égard de ces dérapages comportementaux alors qu'en sa mosquée il fait la loi et l'ordre comme en théocratie.
Auteur : Erdnaxel Date : 10 mai17, 11:03 Message : Il y a eu le traité de Versailles le 28 juin 1919.
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Il y a eu un autodafé dont Joseph Goebbels fit un discours le 10 mai 1933.
Joseph Goebbels "Étudiants, hommes et femmes d'Allemagne, l'époque de l'excessif intellectualisme juif est maintenant terminée. Le triomphe de la révolution allemande a ouvert une nouvelle voie, une voie allemande. L'Allemand de demain ne sera pas seulement un homme du livre, il sera aussi un homme de caractère, et c'est dans ce but que nous voulons faire votre éducation. Avoir dès le plus jeune âge le courage de regarder directement dans les yeux impitoyables de la vie. Répudier la peur de la mort pour retrouver le respect de la mort. C'est là la mission des jeunes, et vous faites donc bien, en cette heure tardive, de confier aux flammes les ordures intellectuelles du passé. C'est une grande entreprise symbolique, une entreprise qui montrera au monde que les bases intellectuelles de la République de novembre ont été détruites, mais que de leurs ruines, le seigneur d'un nouvel esprit émergera victorieux. "
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Il y eu la nuit des longs couteaux .
la Nuit des longs couteaux (encyclopédie Larousse)http://www.larousse.fr/encyclopedie/div ... aux/182677 "Nom donné à la série d'assassinats et d'arrestations ordonnés au sein de l'appareil dirigeant du parti nazi par Adolf Hitler, dans la nuit du 30 juin 1934, visant à liquider les SA au profit des SS.
La montée en puissance de l'extrême droite nationale-socialiste allemande n'a été possible que grâce au soutien des milices paramilitaires des SA (Sturmabteilung, ou sections d'assaut), fondées par l'officier Ernst Röhm. Mais l'arrogance de Röhm et son trop grand pouvoir personnel au sein des SA – qui comptent près d'un million d'hommes en 1933, – amènent Hitler, peu après son accession au poste de chancelier du Reich, à décider de son élimination et de celle de ses principaux fidèles. Ainsi, dans la nuit du 30 juin 1934, Röhm est assassiné, ainsi que Kurt von Schleicher – dernier chancelier de la République."
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Ensuite je passe au contenu de Mein Kampf :
1 : La Maison familiale
"Une heureuse prédestination m'a fait naître à Braunau-am-Inn, bourgade située précisément à la frontière de ces deux Etats allemands dont la nouvelle fusion nous apparaît comme la tâche essentielle de notre vie, à poursuivre par tous les moyens."
C'est une ville qui se trouve en Autriche et non pas en Allemagne (et encore moins en Israël). Ce qui signifie que Adolf Hitler n'était pas "un allemand de souche", mais un autrichien qui a émigré en Allemagne. C'est donc normal qu'Hitler eut commencé son bouquin directement par cet élément problématique. Puisqu'il prônait notamment une politique nationaliste.
Mein Kampf "L'Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même empire."
Ici, il y a déjà une utilité de la notion de race même si le mot n'a pas encore été dit. C'est-à-dire que la notion de race a une utilité politique qui est en lien avec le nationalisme. Par ce procédé "raciale" Adolf Hitler était un allemand car "le même sang appartient à un même empire". Bien sûr il n'y a pas à proprement parlé d'un point de vue scientifique un sang autrichien, un sang allemand, un sang anglais etc. mais par conditionnement une bonne quantité de gens s'illusionnaient et s'illusionnent encore ainsi. Si l'Allemagne ne voulait pas devenir des esclaves de la France et l'Angleterre, il lui sera important de faire des alliances et de composer une armée suffisamment puissante pour au moins être en mesure de défendre leur richesse dont (notamment) "les" français et "les" anglais n'avaient pas d'état d'âme à piller (ce qui avait pour conséquence d'aggraver la situation de l'Allemagne).
Auteur : Erdnaxel Date : 11 mai17, 14:34 Message :Mein Kampf "Le peuple allemand n'aura aucun droit à une activité politique coloniale tant qu'il n'aura pu réunir ses propres fils en un même Etat. Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, s'il s'avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d'acquérir des terres étrangères. La charrue fera alors place à l'épée, et les larmes de la guerre prépareront les moissons du monde futur."
Là il y a le mot peuple qui est utilisé. Un mot qu'Hitler aimait aussi "s'amuser" à le confondre avec le mot race. Et les mots peuple aryen vont aussi se confondre avec les mots races aryennes. Il aurait très bien pu, marquer la race allemande que ça aurait eu exactement le même sens. Ce qu'il faut comprendre, c'est que le conditionnement de la langue est un conditionnement important, qui permet de tromper et de manipuler plus facilement "les" gens. Adolf Hitler était un petit gabarit qui n'était pas très aimé durant son enfance. Ne pouvant qu'être battu sur le plan de "la force physique", il dû développer d'autres armes comme "la parole" (pour survivre ou se défendre).
Adolf Hitler "Au contact des plus durs de l'école, je me suis forgé un caractère trempé. C'est ici que j'ai développé mes talents d'orateurs, lors de violentes disputes avec mes camarades."
Adolf Hitler aimait bien aussi utiliser le mot race, car ça sonnait scientifique dans la tête des gens. Mais il ne pouvait pas l'utiliser tout le temps. Sinon il aurait eu des difficultés à entretenir la confusion dans "l'esprit des gens".
Adolf Hitler avait un berger allemand.
L'intérêt d'avoir un chien, c'était aussi pour alimenter d'avantage la confusion dans l'esprit des gens. Ce qui permettait aussi d'ouvrir la porte à des fantasmes sur "le thème de la race".
Si il y a des races chez les chiens, pourquoi pas chez les humains? De la même façon que des gens pouvaient estimer qu'un berger allemand est supérieur génétiquement qu'un caniche, de par sa race. D'autres gens pouvaient s'imaginer en prenant "le modèle du chien", qu'un aryen est supérieur à un autre type humain de par "sa race présumée". De plus chez les races de chiens, il faut veiller à préserver la pureté de la race (pour éviter "la dégénérescence de la race"). Une idée qui sera évidement repris avec le thème de "l'hygiène raciale".
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Ensuite Adolf Hitler mettait en avant, le fait que l'Allemagne était un territoire qui ne possédait pas suffisamment de richesses pour vivre de lui-même. L'argument de la nécessité était un argument qui légitimait la guerre (j'entends par là aussi la conquête) et de favoriser une politique colonialiste.
Adolf Hitler était un individu cynique. Son cynisme lui permettait d'avoir (pour lui-même) "une vision du vrai" assez bonne, mais aussi de n'avoir aucun scrupule ni culpabilité du mal qu'il pouvait infliger aux autres.
Auteur : Sandrilith Date : 11 mai17, 22:08 Message : Le développement excessif de cette doctrine nauséabonde ne dérange que moi?
Auteur : Erdnaxel Date : 12 mai17, 11:26 Message :Mein Kampf "C'est ainsi que la situation de ma ville natale m'apparaît comme le symbole d'un grand devoir. Elle a d'autres titres à fixer le souvenir. Ce nid perdu fut, il y a plus d'un siècle, le théâtre d'une poignante tragédie qui demeurera immortelle dans les annales de la nation allemande."
Adolf Hitler avait de lui-même "pas mal étudié" l'histoire. Et c'est d'autant plus important pour un nationaliste d'étudier l'histoire de son pays.
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Après comment expliquer... disons que c'est un peu comme en Afrique où il y a plusieurs pays comme par exemple Côte-d'Ivoire, Cameroun, Benin, Sénégal. Pourtant "les/des nationalistes africains" ne se revendiquent pas vraiment Ivoiriens, Camerounais, Béninois ou Sénégalais (ils se revendiquent africains). "Ces nationalistes africains" n'estiment pas que les différents pays que j'ai cité, sont des nations différentes. Mais plutôt une seule nation qui s'est divisée en raison du colonialisme "de sales blancs".
Et bien, je pense que c'est un peu la même idée qu'Hitler voulait faire passer avec l'Autriche et l'Allemagne. Je rappelle aussi que les Autrichiens parlent l'allemand et que l'appartenance tribal la plus forte reste malgré tout la langue.
Mein Kampf "C'est là en effet que, lors du plus complet effondrement qu'ait connu notre patrie, un libraire de Nüremberg, Johannes Palm, nationaliste endurci et ennemi des Français, mourut pour cette Allemagne qu'il aimait si ardemment jusque dans son malheur."
Les travailleurs allemands souffraient notamment du traitement "des esclavagistes français". Le fait qu'Adolf Hitler parlait d'un nationaliste ennemi des Français, faisait aussi dire ou laissait penser qu'Hitler était de ceux qui voulait se battre pour que l'Allemagne vive.
L'Allemagne n'avait pas vraiment besoin "d'aristocrates corrompus". Elle (l'Allemagne) avait plutôt besoin de se réveiller (pour pourvoir notamment mettre en œuvre des moyens afin d'empêcher, "les ennemis de l'Allemagne" de la détruire).
Auteur : yacoub Date : 13 mai17, 00:29 Message :
Sandrilith a écrit :Le développement excessif de cette doctrine nauséabonde ne dérange que moi?
L'islam est aussi nauséabond et il a fait plus de victimes que celui ci
Auteur : Erdnaxel Date : 13 mai17, 12:02 Message :Mein Kampf Il avait obstinément refusé de livrer ses complices, d'ailleurs les principaux responsables. Comme Leo Schlageter l'avait fait.
Albert Leo Schlageter
Mein Kampf "Comme lui aussi, il fut dénoncé à la France par un représentant du Gouvernement. Un directeur de police d'Augsbourg s'acquit cette triste gloire, et donna ainsi l'exemple aux autorités néo-allemandes du Reich de Severing."
Augsbourg est une ville allemande (sud-est) :
Mein Kampf "C'est cette petite ville de l'Inn, auréolée de ce martyre allemand, bavaroise de sang mais politiquement autrichienne que mes parents habitaient vers 1890. Mon père était un consciencieux fonctionnaire ; ma mère vaquait aux soins de son intérieur et entourait ses enfants de soins et d'amour."
Adolf Hitler aimait ou admirait beaucoup sa mère, qui était de type aryenne ( qui fût "assassinée" par "un juif").
Johann Georg Hiedler ("déclaré" : grand-père paternel d'Adolf Hitler) était soupçonné d'être un juif (d'être né d'une mère juive). C'était aussi une grande peur d'Adolf Hitler. Je pense qu'il sera difficile de le savoir. Puisque si c'était le cas, Hitler eu probablement fait détruire toutes les preuves.
Le fait d'avoir au sein de son arbre généalogique : des personnes déclarées juives qui existaient avant les grands-parents, était un fait sans conséquence par rapport aux lois de la constitution juridique du Troisième Reich.
Mein Kampf "Cette époque a peu marqué dans mon souvenir, car, quelques années plus tard, mon père alla occuper un nouveau poste un peu plus bas sur le cours de l'Inn, à Passau, donc en Allemagne même."
Alois Hiedler (père d'Hitler)
Mein Kampf "Mais le sort d'un employé des douanes autrichien comportait alors bien des déplacements. Peu de temps après mon père revenait à Linz, et y prenait sa retraite. Pour le cher vieil homme, cela ne devait pas être le repos. Fils d'un pauvre petit journalier agricole, il lui avait déjà fallu naguère quitter la maison. A peine âgé de treize ans, il boucla sa sacoche et quitta le canton de forêt qui était son pays natal. Malgré le conseil de villageois expérimentés, il était parti à Vienne pour y apprendre un métier. Ceci se passait vers 1850. C'était une décision bien amère que celle de partir, de se mettre ainsi en route vers l'inconnu avec trois écus en poche. Quatre ans après, passé compagnon, il n'était cependant pas satisfait. Au contraire. La misère persistante de cette époque fortifia sa résolution de quitter son métier pour devenir quelque chose de « plus haut ». Alors que jadis, pauvre jeune homme, la situation du prêtre de son village lui paraissait le summum de la condition humaine, maintenant que la grande ville avait élargi ses idées, il mettait au-dessus de tout la dignité de fonctionnaire. Avec toute l'âpreté de ceux que la misère et l'affliction ont mûris avant l'âge, ce jeune homme de dix-sept ans poursuivit obstinément la réalisation de ses nouveaux projets - et il devint fonctionnaire. Il atteignit son but vers vingt-trois ans, je crois, réalisant ainsi sa promesse de jeune homme de ne retourner dans son cher village qu'après être devenu quelqu'un."
Adolf Hitler cherchait davantage "à séduire" la classe des "non-intellectuelles".
Auteur : Erdnaxel Date : 18 mai17, 11:23 Message :Mein Kampf "Maintenant, le but était atteint ; mais personne au village ne se souvenait plus du petit garçon de jadis et le village lui était devenu à lui-même étranger. Quittant enfin à cinquante-six ans la vie active, il n'aurait cependant pu supporter un seul jour l'oisiveté. il acquit aux environs de la petite bourgade de Lambach, en Haute Autriche, un bien qu'il mit en valeur. Le cycle de sa longue carrière laborieuse le ramenait ainsi à son origine familiale. De cette époque datent mes premières idées personnelles. Les ébats en liberté, l'école buissonnière, la fréquentation de vigoureux garçons - qui souvent donnait à ma mère d'amers soucis me rendirent rien moins que casanier. Je m'interrogeais rarement sur ma vocation ; en tous cas, mes goûts ne m'entraînaient en rien vers une existence semblable à celle de mon père. Je crois que mon talent d'orateur commençait alors à se former dans les discours plus ou moins persuasifs que je tenais à mes camarades : j'étais devenu un petit meneur, difficile à mener lui-même, d'ailleurs bon écolier, ayant le travail facile." A mes moments libres, je suivais des cours de chant au chapitre des chanoines de Lambach et j'y trouvais une fréquente occasion de m'enivrer de la pompe magnifique des fêtes religieuses. Quoi de plus naturel que la situation de mon révérend abbé m'apparût alors comme un idéal digne des plus grands efforts, avec tout le prestige qu'avait eu autrefois pour mon père l'humble prêtre de son village ? Ce fut du moins le cas. Mais les luttes de jeunesse de mon père ne lui ayant jamais fait priser les talents d'orateur assez pour en tirer des conclusions favorables sur l'avenir de son rejeton, il ne pouvait naturellement comprendre de telles pensées de jeunesse. Soucieux, il considérait cette divergence de la nature. "
David Eisenbach "Adolf Hitler était un sage enfant de chœur qui a reçu une éducation catholique [...]et qui rêvait de devenir prêtre un jour."
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Mein Kampf "En fait, cette vocation se perdit bientôt et fit place à -des espérances répondant mieux à mon tempérament. Farfouillant la bibliothèque paternelle, je tombais sur divers livres militaires, dont une édition populaire de la guerre franco allemande de 1870-1871. Il y avait là deux volumes d'un journal illustré de ces années. Ils devinrent ma lecture favorite. En peu de temps, la grande guerre héroïque passa au premier plan de mes préoccupations morales. Dès lors, je butinai de plus en plus tout ce qui avait rapport à la guerre et à l'état militaire."
Adolf Hitler était intéressé par la guerre, l'armée et l'histoire.
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Mein Kampf "C'était encore là pour moi une révélation importante. Car pour la première fois, de façon certes encore confuse, certaines questions tourmentèrent mon esprit : y a-t-il donc une différence, et laquelle, entre les Allemands qui livrèrent ces combats et les autres ? Pourquoi mon père et les autres Autrichiens n'y ont-ils pas pris part ?
Ne sommes-nous pas tout pareils aux autres Allemands ? Ne suivons-nous pas la même route ?
Je tournais et retournais ces problèmes dans mon cerveau d'enfant et des réponses faites aux questions que je posais avec prudence, je dus conclure, une secrète jalousie au cœur, que tous les Allemands n'avaient pas le bonheur d'appartenir à l'Etat de Bismarck."
Otto von Bismarck Encyclopédie Laroussehttp://www.larousse.fr/encyclopedie/per ... rck/108960 "Fils d'un ex-officier qui se consacre à son domaine et de Wilhelmine Mencken, le jeune Bismarck fait ses études secondaires dans des établissements berlinois de caractère bourgeois. À dix-sept ans, il entre à l'université de Göttingen. Inscrit dans un vieux corps d'étudiants, il laissera surtout le souvenir de ses frasques, duels et beuveries. Brillant, intelligent, mais peu appliqué, le jeune étudiant passe ses trois derniers semestres à l'université de Berlin. Il termine ses études de droit en 1835 et, dès 1836, il est nommé référendaire à Aix-la-Chapelle. Plus séduit par la vie élégante de la station thermale que par ses fonctions, Bismarck se fait muter à Potsdam, avant d'accomplir son service militaire aux chasseurs de la Garde. À la mort de sa mère, le 1er janvier 1839, il s'installe à Kniephof, en Poméranie, quittant ainsi une administration qui le jugeait en ces termes : « Si M. de Bismarck réussit à vaincre sa paresse, il sera capable d'assurer les plus hautes fonctions de l'État. »
Le hobereau se révèle passionné d'agriculture, surtout des forêts. Maître exigeant, il consacre ses loisirs à la lecture, mais reste imperméable à l'influence du romantisme allemand. Il est attaché à l'État et l'idée de nation n'a aucune emprise sur lui. Pour lui, l'État, c'est la Prusse ; il est conduit par l'idée de l'État prussien et non par celle de la nation allemande. Indifférent en matière religieuse, Otto, ébranlé par la mort d'une amie, Marie von Thadden, et soucieux d'épouser Johanna von Puttkamer, issue d'une famille de piétistes austères, assure avoir retrouvé la foi. Si la sincérité de cette « conversion » laisse des doutes, du moins Bismarck se comporte-t-il en luthérien tolérant, marqué par une religiosité originale. De son union avec Johanna, célébrée le 28 juillet 1847, naîtront Marie, Herbert et Wilhelm."
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Mein Kampf "Je ne pouvais le comprendre.
Il me fallut étudier.
De toutes mes manières et plus encore de mon tempérament, mon père concluait que je n'avais aucune aptitude pour des études classiques au lycée. La Realschule lui parais sait mieux me convenir. Il fut confirmé dans cette façon de voir par mon évidente facilité pour le dessin, matière qui, dans les lycées autrichiens, était à son avis trop négligée. Peut-être aussi le souvenir de sa propre vie de travail l'éloignait-il des humanités, sans intérêt pratique à ses yeux. Au fond, il avait l'idée arrêtée que, naturellement, son fils aussi serait fonctionnaire comme lui. Sa jeunesse pénible lui faisait bien naturellement surestimer d'autant plus ses succès tardifs, qu'ils étaient le fruit exclusif de son application ardente et de sa puissance de travail. Fier d'être le fils de ses œuvres, il rêvait pour moi une situation semblable à la sienne et si possible supérieure ; il y tenait d'autant plus qu'il avait mis plus de soins à faciliter lui-même la carrière de son fils."
Auteur : yacoub Date : 19 mai17, 04:07 Message :Hitler - Abu Ali en arabe - aime beaucoup la religion musulmane, virile, guerrière, conquérante et militaire par essence.
Et de nombreux fidèles lui rendent sa politesse dans l'histoire : jadis le grand mufti de Jérusalem, mais aussi les militants antisémites et antisionistes de toujours qui recyclent d'anciens nazis aux places les plus élevés des états-majors et des services secrets proche-orientaux après la guerre, qui protègent, dissimulent et entretiennent de nombreux criminels de guerre du IIIe Reich sur leurs territoires - Syrie, Égypte, Arabie Saoudite, Palestine.
Sans parler d'un nombre incroyable de conversion d'anciens dignitaires du Reich à la religion du Coran.
Michel Onfray
Auteur : Erdnaxel Date : 19 mai17, 13:04 Message :Mein Kampf "Il ne concevait pas que je puisse refuser ce qui avait été jadis toute sa vie. La décision de mon père était donc simple, assurée et naturelle à ses propres yeux. Un homme de ce caractère, que la dure lutte pour l'existence avait rendu dominateur, n'admettait pas de laisser des enfants inexpérimentés et irresponsables décider de leur carrière.
Il eût estimé que c'était là, au point de vue de l'avenir de son enfant, une répréhensible et néfaste défaillance de l'autorité et de la responsabilité paternelles, incompatible avec sa conception du devoir.
Il devait cependant en être autrement.
Pour la première fois de ma vie - j'avais onze ans - je me rangeais dans l'opposition. Aussi tenace que pût être mon père pour mener à bien les plans qu'il avait conçus, son fils n'était pas moins obstiné à refuser une idée dont il n'attendait rien de bon.
Je ne voulais pas être fonctionnaire.
Ni discours, ni sévères représentations ne purent venir à bout de cette résistance. Je ne serais pas fonctionnaire, non et encore non ! En vain mon père essayait-il d'éveiller en moi cette vocation par des peintures de sa propre vie : elles allaient contre leur objet. J'avais des nausées à penser que je pourrais un jour être prisonnier dans un bureau ; que je ne serais pas le maître de mon temps, mais obligé de passer toute ma vie à remplir des imprimés.
On juge aussi quelles pensées cette perspective pouvait éveiller chez un jeune homme qui était vraiment tout autre chose qu'un « brave » garçon au sens courant du mot ! L'enseignement peu absorbant de l'école me donnait tellement de loisirs que je vivais plus souvent au soleil qu'en fermé. Quand aujourd'hui mes adversaires politiques scrutent ma vie jusque dans mes jeunes années avec une affectueuse attention, pour pouvoir, avec quelque satisfaction, dénoncer combien cet Hitler en faisait déjà de belles dans sa jeunesse, je remercie le ciel de me fournir ainsi l'occasion de revivre ces temps bienheureux. Prés et bois étaient alors le terrain sur lequel on en finissait avec chaque différend."
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"Quand aujourd'hui mes adversaires politiques". Ce commentaire nous rappelle qu'Hitler était aussi un homme politique, et que son livre a été écrit quand il touchait déjà à la politique.
Politique (définition Larousse)http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... ique/62189 "1) Relatif à l'organisation du pouvoir dans l'État, à son exercice : Institutions politiques.
2) Relatif à une conception particulière du gouvernement, des affaires publiques : Opinions politiques. Partis politiques.
3) Relatif à ceux qui détiennent ou qui veulent détenir le pouvoir dans l'État, l'exercer : Carrière politique. Les milieux politiques.
4) Se dit d'une manière d'agir avec autrui habile, judicieuse, diplomate et calculée."
Auteur : Erdnaxel Date : 21 mai17, 05:31 Message :Mein Kampf "La fréquentation de la Realschule ne modifia guère mon emploi du temps.
Mais j'allais devoir soutenir un autre combat.
Tant que le projet paternel de faire de moi un fonctionnaire se heurtait simplement à ma répulsion de principe pour cette carrière, le conflit était supportable. Je pouvais dissimuler quelque peu mes vues personnelles, et éviter la contradiction incessante. Ma résolution bien arrêtée de ne jamais devenir fonctionnaire - et elle était inébranlable suffisait à me tranquilliser complètement. Mais la question fut plus délicate lorsque le projet de mon père en rencontra un chez moi. J'avais alors douze ans. Comment cela advint il ? Je ne m'en souviens plus ; mais un jour il me fut évident que je devais devenir peintre, artistepeintre. Mon talent de dessinateur était indiscutable ; il avait même été une des causes pour lesquelles mon père m'avait envoyé à la Realschule, mais jamais celui-ci n'avait pensé à faire perfectionner mes dons jusqu'à me permettre d'embrasser cette profession ; au contraire. Lorsque pour la première fois, à la suite d'un nouveau refus de ma part d'adopter son idée favorite, mon père me demanda ce qu'enfin je voulais être, ma résolution déjà formée me dicta une réponse immédiate : il en demeura presque muet.
« Peintre ? Artiste-peintre ? »
Il douta de mon bon sens, crut avoir mal entendu ou mal compris. Mais lorsque mes explications complètes à ce sujet lui eurent montré le caractère sérieux de mon projet, il s'y opposa aussi résolument qu'il pouvait le faire. Sa décision fut excessivement simple et ne fit place à aucune considération touchant mes dispositions réelles.
« Artiste-peintre, non, jamais de la vie. » Mais comme son fils avait hérité en même temps que de ses autres qualités, d'une opiniâtreté semblable à la sienne, ma réponse en sens contraire fut aussi énergique.
Des deux côtés on en resta là. Le père n'abandonna pas son « jamais » et je confirmai mon « quand même ».
En vérité ce conflit n'avait pas de conséquences bien réjouissantes. Le digne homme était rempli d'amertume et moi aussi, tant je l'aimais. Mon père m'interdit tout espoir d'apprendre jamais la peinture. Je fis un pas de plus et déclarai à mon tour que je ne voulais plus étudier. Bien naturellement, avec de semblables déclarations, j'eus le dessous et le digne homme se disposa à asseoir désormais son autorité sans autre considération : ce que voyant, je m'enfermai dans un silence prudent, mais je mis ma menace à exécution. Je pensais que lorsque mon père constaterait l'absence de tout progrès à la Realschule, de bon gré ou de force, il me laisserait aller au bonheur dont je rêvais. .
Je ne sais si ce calcul aurait réussi. Ce qui est certain, c'était mon manque de succès visible à l'école. J'étudiais ce qui me plaisait, surtout ce que je jugeais pouvoir me servir plus tard comme peintre. Je sabotais complètement ce qui me paraissait sans importance à cet égard ou ce qui ne m'intéressait pas. Mes bulletins de cette époque se tenaient toujours aux extrêmes selon le sujet et l'intérêt que je lui portais. A côté de très bien et excellent, je rapportais des médiocre ou même des insuffisant. C'est en géographie, et plus encore en histoire universelle, que je réussissais le mieux. C'était là mes deux matières favorites dans lesquelles je dominais la classe."
Adolf Hitler était fort en géographie et en histoire.
Mein Kampf "Quand, à l'heure actuelle, après tant d'années, je fais le bilan de cette époque, deux faits significatifs ni apparaissent.
1. Je devins nationaliste.
2. J'appris à comprendre et à pénétrer le vrai sens de l'histoire."
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Nationalismehttp://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... isme/53867 "1) Mouvement politique d'individus qui prennent conscience de former une communauté nationale en raison des liens (langue, culture) qui les unissent et qui peuvent vouloir se doter d'un État souverain.
2) Théorie politique qui affirme la prédominance de l'intérêt national par rapport aux intérêts des classes et des groupes qui constituent la nation ou par rapport aux autres nations de la communauté internationale."
Auteur : Erdnaxel Date : 22 mai17, 11:17 Message :Mein Kampf "L'ancienne Autriche était un Etat à nationalités multiples.
Et il était alors très difficile à un ressortissant du Reich de bien saisir ce que pouvait être la vie quotidienne de chacun dans un semblable Etat. Après la guerre franco allemande, magnifique marche triomphale d'héroïques armées, les Allemands s'étaient chaque jour désintéressés davantage de l'Allemagne d'au delà leurs frontières et, pour beaucoup, n’avaient pas daigné en apprécier la valeur ou n’en avaient pas été capables.
En ce qui concerne les Autrichiens allemands en particulier, on confondait trop facilement une dynastie à son déclin et un peuple foncièrement sain.
Il a fallu pourtant que l'Allemand d'Autriche fût de la meilleure des races pour avoir marqué de son empreinte un Etat de cinquante-deux millions d'habitants et cela à un point tel qu'en Allemagne même on pouvait penser - à tort, d'ailleurs - que l'Autriche était un Etat allemand."
- "de la meilleure des races" :
1) de la meilleure hérédité parmi tous les groupes ou types humains.
2) de la meilleure des nations.
3) de la meilleure des tribus.
4) de la meilleure des ethnies.
5) du meilleur peuple.
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Mein Kampf "Erreur lourde de suites, mais magnifique témoignage pour les dix millions d'Allemands de la Marche de l'Est. Peu d'Allemands du Reich se doutaient qu'il fallait constamment lutter en Autriche pour le triomphe de la langue allemande, des écoles allemandes et tout simplement pour y être allemand.
Aujourd'hui seulement que cette triste nécessité est celle de plusieurs millions de nos frères qui, hors du Reich, sous une domination étrangère, rêvent de la patrie commune, tournent vers elle leurs aspirations, essaient d'obtenir au moins le droit sacré à la langue maternelle, c'est dans un cercle plus étendu que l'on comprend ce que signifie : devoir combattre pour sa race."
- "Devoir combattre pour sa race" = devoir combattre pour sa nation/sa tribu (d'un point de vue nationaliste).
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Mein Kampf "Peut-être aussi d aucuns daignent-ils mesurer la grandeur du Deutschtum de la Marche de l'Est du Reich qui, réduite à ses seuls moyens, le couvrit d'abord vers l'Est pendant des siècles, ensuite par une suite exténuante d'escarmouches de détail, s'opposa au recul des frontières de la langue allemande : et cela à une époque où le Reich s'intéressait en vérité à des colonies, mais non pas, devant ses portes, à sa chair et à son sang."
"Deutschtum"= germanisme, caractère national allemand.
Auteur : Saint Glinglin Date : 22 mai17, 21:59 Message :
Auteur : Erdnaxel Date : 23 mai17, 01:36 Message :Mein Kampf "Comme partout et toujours, comme dans chaque combat, dans la rivalité des langues de l'ancienne Autriche, il y eut trois clans, les combattants, les tièdes et les traîtres.
Il en était ainsi dès l'école, car il est remarquable que la lutte des langues fait rage surtout en ce lieu où se forment les générations à venir. Il s'agit de conquérir l'enfant et c'est à lui que doit s'adresser le premier appel du combat
« Enfant allemand, n'oublie pas que tu es un Allemand. »
« Fillette, pense que tu dois être un jour une mère allemande. » "
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Adolf Hitler était conscient que l'élément tribal le plus important est surement avant tout la langue. En effet si par exemple votre langue natale est l'allemand, même si par exemple vous êtes bilingue en anglais, que vous vivez en Angleterre et que vous avez très peu vécu en Allemagne : vous aurez quand même tendance à vous sentir plus allemand qu'autre chose.
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Mein Kampf "Quiconque connaît l'âme de la jeunesse, comprendra que c'est elle qui peut écouter avec le plus de joie un pareil appel. Sous mille formes, elle mènera ensuite la lutte à sa façon et avec ses armes. Elle refusera de chanter des chansons étrangères ; elle exaltera d'autant plus les gloires allemandes que l'on voudra l'en éloigner ; elle économisera sur ses friandises le trésor de guerre des grands ; elle sera rebelle et très avertie contre les professeurs étrangers ; elle portera les insignes interdits de son propre peuple, heureuse d'être punie ou même battue pour cette cause. Elle est donc en petit l'image fidèle des grands, souvent même avec une inspiration meilleure et mieux dirigée."
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Hitler était raciste et à mon avis ce n'est pas vraiment un scoop pour beaucoup de gens. Un raciste peut aussi partir du principe qu'il y a plusieurs nations et que toutes ne se valent pas en faisant une hiérarchie des nations et en décrétant que certaines sont supérieurs aux autres. Et par ce décret, ce raciste va pratiquer entre autres de la discrimination vis-à-vis des nations inférieurs.
Même si j'ai déjà donné la définition de racisme, qui n'est pas la première définition de Larousse. Certaines personnes butées sur la première définition de racisme, pourraient peut-être réussir à comprendre qu'un raciste n'a vraiment pas besoin du mot race ni même de partir du principe qu'il existe différentes races biologiques dans l'espèce Homo sapiens pour pratiquer du racisme.
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Auteur : Saint Glinglin Date : 23 mai17, 02:24 Message : Et si tu épluchais l'idéologie de la IIIème République française et celle de l'empire britannique, pour voir ?
Auteur : Erdnaxel Date : 23 mai17, 10:35 Message :Mein Kampf "Ainsi j'avais eu moi aussi l'occasion de prendre part relativement jeune à la lutte entre les nationalités de la vieille Autriche. On quêta pour la Marche du Sud et pour la Ligue scolaire, et l'esprit enthousiasmé par les bluets et les couleurs noir, rouge et or, nous poussions des Heil ; au lieu de l'hymne impérial, nous entonnions, malgré avis et punitions, notre cher Deutschland über alles."
- "Heil" = Salut
"Deutschland über alles" = l’Allemagne au dessus de tout / l'Allemagne avant tout
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Mein Kampf "Les jeunes étaient ainsi éduqués politiquement à une époque où les ressortissants d'un Etat soi-disant national ne connaissaient guère autre chose de leur race que leur langue."
- "De leur race" = de leur peuple / de leur tribu
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Mein Kampf "Il va sans dire que je ne fus jamais un tiède. Je devins bientôt un « National-Allemand » fanatique, ce qui était d'ailleurs assez différent du parti qui porte aujourd'hui ce nom."
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Adolf Hitler n'eut pas inventé le nom national-socialisme.
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Mein Kampf "Cette évolution fit chez moi de très rapides progrès et, dès quinze ans, j'en étais arrivé à séparer patriotisme dynastique et nationalisme de race, avec une inclination très nette pour ce dernier."
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Adolf Hitler avait une vision "raciale" du monde, et non pas une vision "aristocratique" ou "dynastique" du monde.
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Mein Kampf "Celui qui n'a jamais pris la peine d'étudier la situation intérieure de la monarchie des Habsbourg, a, peine à comprendre une semblable préférence. Elle ne pouvait naître dans cet Etat que de l'étude à l'école de l'histoire universelle, car y a-t-il vraiment une histoire particulière de l'Autriche ? Le destin de cet Etat est lié à tel point à la vie et au développement de tout ce qui est allemand que l'on ne peut imaginer une séparation de l'histoire en histoire allemande et histoire autrichienne. Quand l'Allemagne commença à se diviser en deux puissances, c'est l'histoire de l'Allemagne qui se divisa.
Les emblèmes conservés à Vienne de la grandeur impériale passée paraissaient plutôt agir par un prestige merveilleux que comme le gage d'une communauté éternelle.
Aux jours de l'écroulement des Habsbourg, un appel instinctif s'élevait des Autrichiens allemands pour leur réunion à la terre maternelle. Cet appel unanime, qui traduisait le sentiment profond sommeillant au cœur de chacun, n'est explicable que par l'éducation historique, source jamais tarie, qui même aux jours d'oubli, par delà le bien-être du moment, fait que la voix du passé parle tout bas d'un nouvel avenir.
Encore aujourd'hui, l'enseignement de l'histoire mondiale dans les écoles primaires supérieures est bien souvent mauvais. Peu de professeurs comprennent que le but de l'enseignement de l'histoire n'est pas d'apprendre des dates et des faits ; qu'il est sans intérêt que l'enfant sache exacte ment la date d'une bataille ou de la naissance d'un maréchal, ou du couronnement d'un monarque. Là n'est pas la question.
Etudier l'histoire, c'est rechercher les causes déterminantes des événements historiques.
L'art de lire et d'étudier consiste en ceci : conserver l'essentiel, oublier l'accessoire."
Auteur : Saint Glinglin Date : 23 mai17, 22:41 Message : Erdnaxel, le TJ de l'antinazisme
Auteur : Erdnaxel Date : 24 mai17, 01:32 Message :Mein Kampf "Ma vie entière a peut-être été déterminée par le fait que j'ai eu un professeur d'histoire qui comprenait, comme bien peu de gens, l'intérêt primordial à attribuer à ces considérations pour l'enseignement et les examens : le Dr Leopold Poetsch, de la Realschule de Linz, personnifiait tout cela de manière idéale. C'était un digne vieillard d'aspect résolu, mais plein de bonté. Sa verve éblouissante nous enchaînait et nous enlevait à la fois. Aujourd'hui encore, je n'évoque pas sans émotion cet homme grisonnant, qui si souvent, dans le feu de son exposé, nous faisait oublier le présent, nous transportait magiquement dans le passé et rendait une vivante réalité à quelque souvenir historique desséché qu'il dégageait des brumes des siècles. Nous demeurions assis, l'esprit illuminé, émus jusqu'aux larmes."
Mein Kampf "Plus heureusement encore, ce professeur savait non seulement éclairer le passé par le présent, mais aussi tirer du passé des enseignements pour le présent. Mieux que personne, il expliquait les problèmes d'actualité qui nous tenaient haletants. Il tirait de notre petit fanatisme national des moyens d'éducation : il faisait souvent appel g notre sentiment national de l'honneur pour ramener, plus vite que par tout autre moyen, l'ordre dans nos rangs.
Un tel professeur fit de l'histoire mon étude favorite.
Il est vrai qu'il fit aussi de moi, bien involontairement, un jeune révolutionnaire."
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Ce qu'il faut comprendre avec notamment le mouvement fasciste de Mussolini. C'est qu'à la base, c'est un mouvement révolutionnaire.
Auteur : Erdnaxel Date : 25 mai17, 11:05 Message :Mein Kampf "Mais, qui aurait pu étudier l'histoire de l'Allemagne avec un tel professeur sans devenir l'ennemi d'une dynastie dont l'influence sur les destinées de la nation s'avérait aussi désastreuse ?
Qui aurait pu rester fidèle sujet d'une dynastie que le passé et le présent nous montraient trahissant toujours et toujours les intérêts allemands pour d'ignobles profits personnels ?
Jeunes gens, ne savions-nous pas déjà que l'Etat autrichien n'avait, ne pouvait avoir pour nous, Allemands, aucun amour ?"
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Adolf Hitler se considérait comme faisant parti du peuple ou de la tribu allemande. Je pense qu'il voulait mettre en évidence qu'il aimait sa tribu en connaissance de son histoire, et qu'il voulait se battre pour les intérêts de sa tribu.
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Mein Kampf "Ce qui se passait tous les jours ne pouvait que confirmer les enseignements de l'histoire sur l'action des Habsbourg. Au nord et au sud, le poison étranger dévorait le corps de notre peuple et Vienne même devenait une ville toujours moins allemande."
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Je pense que des problèmes que pouvaient/peuvent notamment causer l'immigration, c'est :
- le fait de diviser le peuple
- de créer un trouble identitaire/national
- de créer du chômage
- de créer de l'insécurité
- de détériorer les mœurs du pays
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Mein Kampf " « L'auguste maison d'Autriche » faisait le jeu des Tchèques en toute occasion. Ce fut le poing de la déesse du droit éternel et de l'inexorable châtiment qui abattit l'ennemi le plus mortel de l'Allemagne autrichienne, le grand-duc Franz Ferdinand. Il fut percé de balles qu'il avait aidé à fondre. Ne patronnait-il pas cependant cette slavisation de l'Autriche qui se manifestait du haut vers le bas ?
Les charges du peuple allemand étaient énormes, les sacrifices d'argent et de sang qu'on lui demandait étaient inouïs, et les plus aveugles en voyaient l'inutilité. Le plus douloureux pour nous était encore de constater que la politique des Habsbourg à notre égard était moralement couverte par leur alliance avec l'Allemagne : ainsi celle-ci sanctionnait en quelque sorte la lente extermination du germanisme dans la vieille monarchie. En cherchant hypocritement à donner à l'extérieur l'impression que l'Autriche demeurait un Etat allemand, la maison impériale entre tenait contre elle des sentiments de révolte, de mépris et de haine.
Seuls les dirigeants du Reich ne voyaient rien de tout cela. Comme frappés de cécité, ils cheminaient aux côtés d'un cadavre et croyaient découvrir, dans les signes de décomposition, les marques d'une résurrection.
Cette malheureuse alliance du jeune Reich et de l'illusoire Etat autrichien portait le germe de la guerre mondiale et de la débâcle."
Auteur : yacoub Date : 27 mai17, 02:35 Message :
Saint Glinglin a écrit :Erdnaxel, le TJ de l'antinazisme
Auteur : Erdnaxel Date : 27 mai17, 10:57 Message :Mein Kampf "J'aurai encore à traiter à fond ce problème su cours du livre ; qu'il me suffise de préciser que, dès ma première jeunesse, j'avais dégagé quelques idées essentielles dans lesquelles, par la suite, je ne devais jamais cesser de m'affermir, à savoir :
Que le salut du germanisme avait pour condition l'anéantissement de l'Autriche.
Ensuite qu'il n'y a aucun rapport entre le sentiment national et la fidélité à une dynastie.
Et surtout que la Maison des Habsbourg ferait le malheur de la nation allemande.
Dès cette époque, j'étais arrivé en connaissance de cause aux sentiments suivants : ardent amour de ma patrie, l'Autriche allemande, haine profonde de l'Etat autrichien."
Par la suite, grâce à ces conceptions, que je devais à l’école, l'histoire universelle facilita toujours davantage ma compréhension de l'action historique dans le présent, c'est-à-dire de la politique : je n'aurai donc pas à l'apprendre, c'est elle qui devra m'instruire. Déjà précocement révolutionnaire en politique, je ne tardai pas à le devenir aussi en matière d'art.
Le chef-lieu de la Haute-Autriche possédait alors un théâtre qui, somme toute, n'était pas mauvais. On y jouait assez souvent. A douze ans, j'y entendis pour la première fois Guillaume Tell et, quelques mois plus tard, le premier opéra de ma vie, Lohengrin. Du premier coup, je fus conquis. Mon enthousiasme juvénile pour le maître de Bayreuth ne connut pas de limites. Toujours dès lors ses œuvres m'attirèrent à nouveau, et c'est une chance pour moi que ces modestes interprétations dans une petite ville de province m'aient laissé la possibilité d'en entendre plus tard de très supérieures.
Mais tout cela - surtout après le douloureux passage de l'âge ingrat - fortifia mon aversion profonde pour la carrière à laquelle mon père me destinait. De plus en plus, je me persuadai que je ne trouverais jamais le bonheur dans la peau d'un fonctionnaire. Et mon aptitude au dessin, confirmée à la Realschule, m'incitait à persévérer dans ma résolution. Prières et menaces n'y purent plus rien changer.
Je voulais devenir peintre et pour rien au monde fonctionnaire.
Avec l'âge, je m'intéressais d'ailleurs de plus en plus à l'architecture.
Je la tenais alors pour un complément naturel de l'art du peintre, et je me réjouissais intérieurement que le cadre de mon activité artistique fût ainsi élargi.
Je ne me doutais nullement qu'un jour il en adviendrait tout autrement.
La question de mon métier devait être tranchée plus vite que je ne m'y attendais.
J'avais treize ans quand je perdis subitement mon père. Une attaque d'apoplexie le terrassa en pleine vigueur et termina sans souffrance sa carrière terrestre, nous plongeant tous dans la plus profonde douleur. Son plus cher désir avait été d'aider son fils à faire sa carrière pour lui éviter les épreuves de ses propres débuts. Il dut voir qu'il ne I’avait pas réalisé. Mais, même très inconsciemment, il avait jeté en moi les germes d'un avenir que nous ne soupçon nions ni l'un ni l'autre. En apparence rien ne changea d'abord.
Ma mère s'estima obligée de poursuivre mon éducation selon le vœu du père, c'est-à-dire en vue de la carrière de fonctionnaire. J'étais moi-même plus que jamais décidé à ne le devenir sous aucun prétexte. Le programme et les méthodes de l'école primaire supérieure m'intéressaient de moins en moins, à mesure qu'ils s'éloignaient davantage de mon idéal. Une maladie de quelques semaines vint soudain résoudre la question de mon avenir et couper court à tous les conflits familiaux. J'avais les poumons gravement atteints. Le docteur conseilla à ma mère de ne m'enfermer plus tard dans un bureau sous aucun prétexte et en particulier d'interrompre pendant un an au moins mes études à la Realschule.
L'objet de mes désirs secrets, puis de mes luttes persévérantes, se trouvait ainsi presque atteint d'un seul coup.
Encore sous le coup de ma maladie, ma mère m'accorda de quitter la Realschule pour l'Académie. Ce furent des jours heureux, qui me parurent presque un rêve, et qui devaient d'ailleurs n'être qu'un rêve. Deux ans plus tard, la mort de ma mère brisait brutalement ces beaux projets.
Elle succomba à une longue et douloureuse maladie qui ne laissa dès le début qu'un bien faible espoir de guérison. Le coup me frappa cependant d'une façon terrible. J'avais révéré mon père, mais j'avais aimé ma mère.
Les dures réalités de l'existence m'obligèrent à prendre de rapides résolutions. Les maigres ressources de la famille avaient été à peu près épuisées par la grave maladie de ma mère ; la pension d'orphelin qui m'était allouée ne me suffisait pas pour vivre et il me fallait, de quelque manière que ce fût, gagner moi-même mon pain.
Je partis pour Vienne avec une valise d'habits et de linge.
J'avais au cœur une volonté inébranlable. Mon père avait réussi, cinquante ans auparavant, à forcer son destin. Je ferais comme lui. Je deviendrais "quelqu'un" - mais pas un fonctionnaire !"
Klara Hitler(fille de Johann Baptist Pölzl et mère d'Adolf Hitler)
"Quand ma mère mourut, j'avais déjà eu quelque lumière sur mon avenir. Au cours de sa dernière maladie, j'étais allé à Vienne subir l'examen d'admission à l'Académie des beaux-arts. Muni d'une épaisse liasse de dessins, je m'étais mis en route persuadé que je serais reçu en me jouant. J'avais été de beaucoup le meilleur dessinateur de la Realschule, et depuis lors mes capacités s'étaient extraordinairement développées, en sorte que, passablement satisfait de moi-même, j'avais excellent espoir.
Un souci cependant : il me semblait que j'étais encore mieux doué pour le dessin que pour la peinture, surtout pour le dessin d'architecture. Et pareillement mon goût pour l'architecture elle-même croissait toujours. Cette évolution se précisa au cours d'un séjour de quinze jours que je fis à Vienne à l'âge de seize ans à peine. J'étais allé étudier la Galerie de peinture du Hofmuseum, mais je n'eus d'yeux que pour le bâtiment lui-même. Tous les jours, du matin à la nuit tombée, je courais d'une curiosité à l`autre, mais c'étaient surtout les édifices qui me captivaient. je demeurais des heures devant l'Opéra, des heures devant le Parlement ; toute la Ringstrasse me parut un miracle des mille et une nuits.
J'étais donc pour la deuxième fois dans cette belle ville et j'attendais, brûlant d'impatience, mais plein d'une orgueilleuse confiance dans le succès de mon examen d'admission. J'étais si persuadé du succès que l'annonce de mon échec me frappa comme un coup de foudre dans un ciel clair. Il fallut pourtant bien y croire. Lorsque je me fis présenter au recteur et que je sollicitai l'explication de ma non-admission à la section de peinture de l'Académie, il m'assura que les dessins que j'avais présentés révélaient indiscutablement mon manque de dispositions pour la peinture, mais laissaient apparaître par contre des possibilités dans le domaine de l'architecture. Il ne pouvait être question pour moi de la section de peinture de l'Académie, mais seulement de la section d'architecture. On ne pouvait de prime abord admettre que je n'aie jamais encore fréquenté une telle école, ni reçu d'enseignement correspondant.
Je quittai tout abattu le Palais Hansen sur la Schiller Platz, doutant de moi-même pour la première fois de ma vie. Car ce que je venais d'entendre dire de mes dispositions me révélait d'un seul coup, comme un éclair subit, une discordance dont je souffrais déjà depuis longtemps sans pouvoir me rendre compte exactement de sa nature et de ses causes.
Alors, en quelques jours, je me vis architecte.
En vérité, la route était pleine de difficultés, car ce que j'avais négligé jusqu'ici par défi à la Realschule allait se venger amèrement. Avant les cours de l'école d'architecture de l'Académie, il fallait suivre ceux du cours technique de construction et l'admission à ce dernier nécessitait des études complètes à une école primaire supérieure. Tout ceci me manquait complètement. Il semblait donc bien que l'accomplissement de mon rêve fût impossible."
Auteur : Janot Date : 29 oct.17, 01:11 Message : C'est absolument infecte tout ce qui est dit ici, cette propagande dégueulasse pro-nazie, à bannir de ce forum !!
Auteur : marco ducercle Date : 29 oct.17, 01:21 Message : Mais non, il n'y a pas de pro nazis sur forum.
Auteur : Saint Glinglin Date : 29 oct.17, 02:41 Message : On trouve seulement des thuriféraires du peuple élu.
Auteur : yacoub Date : 29 oct.17, 03:01 Message :
Saint Glinglin a écrit :On trouve seulement des thuriféraires du peuple élu.
Quel peuple élu ?
Le premier peuple élu est le peuple hébreu puis avec Jésus le nouveau peuple élu c'est le peuple chrétien.
PBSL arrive et dit "non c'est le peuple musulman qui est le peuple élu."
Auteur : marco ducercle Date : 29 oct.17, 05:41 Message :
Saint Glinglin a écrit :On trouve seulement des thuriféraires du peuple élu.
Rien avoir. On peut très bien être contre l'islam sans pour autant être nostalgique de la colonisation.
Auteur : Saint Glinglin Date : 29 oct.17, 10:50 Message : Je ne t'ai jamais vu particulièrement anti-sioniste.
Auteur : Erdnaxel Date : 29 oct.17, 15:52 Message :Adolf Hitler "Ma jeunesse allemande. Un an après, je vous salue encore ici. Vous debout aujourd'hui représentez quelque chose qui se produit dans toute l'Allemagne. Et nous voulons que vous garçons et filles allemands représentiez tout ce que nous voulons pour l'Allemagne. Nous voulons être un seul peuple, et à travers vous devenir ce peuple. Nous voulons une société sans castes ni classes. Et vous ne devez pas permettre à ces idées de se développer chez vous. Nous voulons voir un seul Reich ! Et vous devez vous instruire pour cela. Nous voulons un peuple obéissant, et vous devez être obéissants vous-mêmes. Nous voulons que ce peuple aime la paix, mais aussi qu'il soit courageux. Et vous devez pour cette raison, à la fois aimer la paix et être forts. Nous ne voulons pas que ce peuple devienne faible, mais qu'il s'endurcisse. Ainsi vous vous endurcirez dès votre jeunesse. Vous devez apprendre le sacrifice, et aussi à ne jamais vous effondrer. Quoi que nous craignons aujourd'hui, quoi que nous fassions, tout disparaîtra. Mais l'Allemagne vivra à travers vous. Et quand nous ne pouvons plus tenir le drapeau que nous avons créé, nous devons quand même le tenir fermement dans nos poings ! Et je sais qu'il n'y a pas d'autre manière de nous lier ensemble. Vous êtes la chair de notre chair et le sang de notre sang ! Le même feu qui nous gouverne brûle dans vos jeunes esprits. Et quand les grandes colonnes du mouvement parcourent l'Allemagne, aujourd'hui je sais que vous serrez les rangs. Et nous savons que l'Allemagne se tient devant nous. L'Allemagne marche à travers nous et l'Allemagne nous suit !"
Après, je tiens à rappeler que la génétique moderne arrive en 1953 (parce qu'elle réfute les théories raciales et/ou racistes des nazis). Et je vais juste poster cette vidéo sur le phénotype :
Auteur : Saint Glinglin Date : 30 oct.17, 07:31 Message : Gregor Mendel avait publié ses découvertes en 1866.
Quant à ta vidéo, elle mélange allègrement génétique et culture.
Auteur : marco ducercle Date : 31 oct.17, 04:19 Message :
Saint Glinglin a écrit :Je ne t'ai jamais vu particulièrement anti-sioniste.
Raison de plus. Je comprend pas qu'un antisioniste rend hommage à Hitler puisque c'est justement à cause de lui qu'Israël est un état.
Auteur : yacoub Date : 31 oct.17, 04:29 Message :
marco ducercle a écrit :
Raison de plus. Je comprend pas qu'un antisioniste rend hommage à Hitler puisque c'est justement à cause de lui qu'Israël est un état.
C'est plutôt l'affaire Dreyfus en France, les pogromes dans les pays de l’Europe de l'est qui a incité un autrichien nommé Theodor Herzl à penser le sionisme la théorie d'un état pour les juifs
Hitler voulait l'élimination des juifs de toute la terre pas leur rassemblement en Palestine.
Auteur : marco ducercle Date : 31 oct.17, 20:11 Message : Si j'ai parlé d'état, c'est du point de vu légal. La majorité des juifs européens n'était pas sioniste avant la deuxième mondiale. Ne se sentant plus en sécurité après, une partie émigra aux US et l'autre en Palestine.