Résultat du test :

Auteur : Arlitto
Date : 06 févr.20, 04:45
Message : .

La pierre noire à la Mecque, une idolâtrie islamique



: « Je sais que tu es une pierre et ue tu ne peux ni apporter profit ni porter préjudice. Si je n’avais pas vu le Prophète -Prière et Salut d’Allâh sur lui- t’embrasser, je ne l’aurais pas fait. » (Rapporté par Al-Bukhârî, 1520 et Muslim, 1720).


La « Pierre Noire »

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La « Pierre Noire » vénérée par les musulmans est une météorite enchassée dans un cadre en argent à l'un des angles de la ka'ba, angle dit "de la pierre", dans la mosqué de La Mecque, en Arabie Saoudite (Hedjaz).


La « Pierre Noire »
 est placée à proximité de l’unique porte d’accès de la ka'ba, à environ un mètre au-dessus du niveau du sol afin que les pèlerins puissent la toucher et l’embrasser, mais en se penchant en signe de soumission.


On lui donne diverses origines légendaires :

Parmi les « souvenirs » qu’Adam aurait ramenés du paradis, figurait un rocher précieux, blanc et brillant qu’il aurait fait enchâsser dans un des murs de la Ka'ba. C’est à force d’avoir été effleuré par les mains et les lèvres que ce rocher serait devenu la « Pierre Noire » en « déchargeant » les musulmans de leurs péchés.

Lorsqu'Abraham et Ismaël bâtissaient la ka'ba, l'ange Gabriel leur apporta une hyacinthe blanche. Par la suite, une femme impure l'ayant touchée, elle perdit son éclat et devint noire.

Ce serait Abraham qui aurait fait transporter la « Pierre Noire » depuis une caverne des environs pour l'enchâsser dans un angle de la ka'ba afin de marquer le point de départ de la circumambulation déjà amorcée par Adam.

Elle aurait été mise à l'abri des eaux du déluge sur le mont Abu Qubays jusqu'a ce que l'ange Gabriel l'apporte à Abraham, qui construisait la Ka'ba, pour qu'il l'enchâsse dans un angle.

Elle aurait été donnée à Ismaël, le fils d'Abraham, par l'ange Gabriel.

Allah aurait lancé la « Pierre Noire » depuis le Ciel sur La Mecque en gage de sa fidélité.


Concrètement, la « Pierre Noire » était scellée au coin de la Ka'ba dans le temple de La Mecque bien avant l'invention de l'islam.

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Auteur : Christabel
Date : 06 févr.20, 05:49
Message : Tu t'es surnommé A.R.L.I.T.T.O


Ce n'est pas étonnant que tu sois :


l'(A)uteur du (R)assemblement (L)arvé des (I)nventions des (T)raîtres de la (T)erre (O)bscure.
Auteur : Arlitto
Date : 06 févr.20, 06:14
Message : .

Les prêtresses d’Allât et la pierre noire avant l'Islam


Elle fut célébrée par sept prêtresses nues qui gravitaient sept fois autour de cette pierre, une fois pour chaque planète (soleil / lune / mars / mercure/ vénus/ Jupiter / saturne).


A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés "fils de l’Ancienne Femme","fils de Saba", en arabe "Beni Shaybah".


La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé Shaybah, signifiant sage-femme, ou, "Celle de l’ancienne sagesse".


Avant l’Islam, les gardiens du Sanctuaire étaient des prêtresses appelées "Bathi-Sheba","filles de l’Ancienne Sage Femme". Bethsabée, "fille de Saba" signifie, ‘‘prêtresse de la maison de Saba".


Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique, et marchent encore autour, tout comme on le faisait à l’époque où on vénérait la Déesse.


Le culte des pierres

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Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle, et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité.


La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle.
Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité.


En effet ce culte rendu à une pierre n’est pas isolé dans l’Antiquité : on peut citer la pierre noire d’Émèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de Dusares à Petra, et c’est sous la forme d’un bétyle qu’en 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome.


Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées sont l’objet de la vénération des fidèles, telles l’Artémis de Sardes ou l’Astarté de Paphos.
En Arabie ce n’était pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamiques. Par exemple la "pierre rouge" était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la "pierre blanche" dans la Kaaba d’al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).



Le mot Hajj (pèlerinage islamique à La Mecque) est dérivé de «Hack» qui veut dire friction en langue Arabe car il y avait un rituel païen dans lequel les femmes frictionnaient leur partie génitale sur la pierre noire espérant ainsi augmenter leur fertilité (Dr.Jawad Ali dans son livre «L’histoire des arabes avant l’Islam» partie 5,page 223) Elle enduisaient la pierre avec le sang des menstrues et tournaient nues tout autour.


Idolâtrie à la Kaaba , la pierre noire 




Bible :

Lévitique 26:1 Vous ne vous ferez pas de faux dieux, vous ne dresserez pour vous ni statue, ni pierre levée, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée pour vous prosterner devant elle : je suis le SEIGNEUR (YHWH), votre Dieu.



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Auteur : Gorgonzola
Date : 06 févr.20, 06:27
Message : La pierre était symbole de fertilité.
Pour les musulmans, toucher la pierre noire apporte prospérité et abondance.
Auteur : Arlitto
Date : 06 févr.20, 06:42
Message : .

La pierre noire


La Kaaba contient une mystérieuse pierre noire incorporée à son angle.( Selon les traditions islamiques, la Pierre Noire  est un don de l'ange Gabriel fait à Abraham, elle symboliserait la main droite de Dieu ! 


Cette pierre noire a était vénérée avant la période islamique. À l'époque de Mahomet, elle était déjà associée à la Kaaba.


L'adoration d'une pierre était une tradition au Proche-Orient et en Asie Mineure. Une « pierre rouge » était associée avec la divinité de la ville de Ghaiman dans le sud de l'Arabie et il y existait une « pierre blanche » dans la Kaaba d'al-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque). Les pratiques religieuses de cette époque étaient souvent associées avec la vénération des pierres. Les pierres "noire" sont appelées des bétyles


Un bétyle ( de l'hébreu Beth-el " demeures divines" ) est en générale une météorite dans laquelle les anciens voyaient la manifestation d'une divinité, tombée du ciel. Les bétyles étaient ordinairement l'objet d'un culte et parfois d'offrandes. Un bétyle  signalait la présence d'une divinité. Pendant des siècles les hommes du Moyen Orient ont vénéré des pierres.

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Ci-dessus première image : Une pièce de monnaie romaine en bronze. Coté face l'empereur Uranius Antoninus. Coté pile une représentation d'un temple du dieu Élagabal à Emèse ( Syrie romaine  aujourd'hui Homs ). On voit bien la pierre sacrée d'un temple . Remarquez aussi le croissant de lune.


Deuxième image : Coté pile d'une monnaie de Septime Sévère un empereur romain d'origine africaine. Cette pièce viens de Carrhes,( Harran en Turquie ) une province romaine. On peut encore remarquer sur cette pièce un temple d'une divinité lunaire et un bétyle au centre ( pierre vénéré )


Certains empereurs romains n’hésitaient pas à se déplacer pour aller voir les temples en Turquie, à Pétra ( Arabie du nord) ou en Mésopotamie ( Irak). Ses pays fessaient encore partie au troisième siècle ( date de ces pièces ) de l'Empire romain. Les Arabes comme les Romains vénéraient des divinités astrales ( souvent classées par groupes de trois divinités Soleil, Lune, Étoiles ).

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Le temple de Qasr al-bint était un des principaux temples de la cité de Pétra ( Arabie du nord ). Le monument fut construit à l'époque nabatéenne, par Obodas III vers l'an 30 av. J. -C.  Dans le plan de droite on voit trois chambres accolées ( C et D). Celle du milieu (C) abritait le bétyle du dieu Dushârâ, (équivalent de Zeus) représenté par une pierre rectangulaire. Les deux autres chambres ( D ) abritées chacune une divinité, Dusares et Al-Uzza ( sa femme )


Une source byzantine précise que le dieu Dushârâ ( ou écrit Dusares ) était adoré sous la forme d’une « pierre noire, quadrangulaire et aniconique » sur laquelle on versait le sang des victimes offertes en sacrifice. Tous les divinités nabatéens était le plus souvent figurés sous une forme abstraite par des pierres sacrées.


Clément d'Alexandrie mentionnait vers 190, à propos de la pierre noire de Dushârâ à̀ Petra : « les Arabes adorent des pierres ». Maximus Tyrius, au II° siècle après J.C, a aussi témoigné que « les Arabes rendent hommage à je ne sais quel dieu, qu'ils représentent par une pierre quadrangulaire ».

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Le Temple aux Lions Ailés ( aussi à Pétra ) est appelé « temple aux lions ailés » en raison des sculptures couronnant les chapiteaux corinthiens des colonnes qui l’entouraient. Construit vers 27 apr. J.-C. sous le règne d’Arétas IV, c’est dans son enceinte qu’on a découvert le plus fameux bétyle de Pétra. La cella se compose d’un grand podium entouré de dix colonnes permettant le rite de la circumambulation autour de l’idole et de la pierre. Comme dans le temple de Qasr el-Bint on y adorait le couple Dusares et ( voir ce site pour plus d’informations)


On a retrouvé plusieurs bétyles à Pétra, datés du IIe ou du IIIe siècle av. J.-C., taillés à même le rocher ou simplement gravés.


On le voit bien, les musulmans d’aujourd’hui tournent toujours autour d'une Kaaba ( habiller) et d’une pierre divine comme leur ancêtre païen, pas grand-chose à changer si ce n’est qu'il on maintenant tous un dieu unique.

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Auteur : Arlitto
Date : 16 févr.20, 03:40
Message : .

Le Coran, la dérive de l'Islam, par Jacques Smadja p. 108-109

«Le culte de celui-ci [Mohammed] devait unir entre elles toutes les tribus arabes de la péninsule. Il se mit à réformer la législation de la cité [Médine] et, à partir de l'an 624 de notre ère, à entreprendre une campagne contre les Mecquois, marquée par les événements suivants: une victoire (Badr), une défaite (Ohod), le blocus de Médine que les assiégés entourèrent d'un grand fossé (la guerre du Fossé), une série de négociations, de compromis et, finalement, en 630, la prise de La Mecque. Muhammad s'assurait un onzième mariage avec la fille d'un chef mecquois, concluant les dernières alliances dont il avait besoin pour asseoir son autorité.


En habile politicien, il ne supprima pas le pèlerinage païen à La Mecque, où l'on adorait la pierre noire. Ce pèlerinage était un véritable symbole d'union, toutes les tribus nomades s'y retrouvaient, et le premier exclusivement musulman eut lieu en mars 632 sous les auspices du Prophète





La kaaba - Les origines païennes pré-islamique

Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 kaabas dans la péninsule d'Arabie, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.


Quant à son apparence primitive, la Ka‘ba apparaissait probablement au départ comme un simple enclos de pierres sans toit, édifié à proximité immédiate d'un point d'eau salvateur au fond d'une vallée sèche et non arborée. Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d'espace sacré.


Bientôt, les populations bédouines vinrent de toute l'Arabie y déposer les statues (asnam) de leurs idoles, auxquelles ils rendaient visite une fois par an lors d'un pèlerinage. On dit qu'à l'avènement de l'islam, la Kaaba contenait plus de 360 statues de divinités, les plus vénérées et les plus plébiscitées étant : Hubbal, al-Lat, al-`Uzza ou Manat.


La Ka'ba mecquoise fut édifiée à une époque indéterminée. Le Coran dit que c'est le prophète Ibrahim (Abraham) qui l'a construite avec l'aide de son fils Ismaël.

:non:

« Allah n’est pas le Dieu biblique, il est le produit de la rencontre entre l’idolâtrie de Hubaal et l’affirmation de l’unicité divine »



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Auteur : Christabel
Date : 16 févr.20, 08:09
Message : Collecteur d'ordures

La Kaaba est le lieu béni de Dieu que les musulmans ont reçu l'ordre de prendre comme direction physique de leur prières mais également de tourner autour lors du pèlerinage.

Ces mouvements d'ensemble effectues lors de la prière et du Hadj autours de la Kaaba sont destinées a Allah le Dieu unique et unitaire et ils vous donnent surement des frissons terribles que vous avouez.
Auteur : Arlitto
Date : 16 févr.20, 09:06
Message : C'est une idole préislamique que les musulmans embrassent encore à La Mecque, comme au temps de l'idolâtrie à la Kaaba, rien n'a changé, et les gens ont des yeux pour voir la réalité en face, il n'y a que les hypocrites qui ne le voient pas, ou ne veulent pas le voir.


Idolâtrie à la Kaaba , la pierre noire



Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle, et est une pratique polythéiste classique de l’antiquité.

La pierre de la Kaaba n’échappe pas à cette règle.
Cette pierre faisait en effet l’objet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus haute antiquité.

Ceci n'est pas de l'idolâtrie :lol:
Auteur : Saint Glinglin
Date : 16 févr.20, 10:19
Message :
Christabel a écrit : 16 févr.20, 08:09
Ces mouvements d'ensemble effectues lors de la prière et du Hadj autours de la Kaaba sont destinées a Allah le Dieu unique et unitaire et ils vous donnent surement des frissons terribles que vous avouez.
C'est une trace d'un rite pré-islamique où l'on reproduit le mouvement des étoiles.
Auteur : Arlitto
Date : 16 févr.20, 23:06
Message : .

La Kaaba - Les origines païennes pré-islamiques


La Kaaba - Les origines païennes pré-islamiques

Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 kaabas dans la péninsule d'Arabie, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.

Quant à son apparence primitive, la Ka‘ba apparaissait probablement au départ comme un simple enclos de pierres sans toit, édifié à proximité immédiate d'un point d'eau salvateur au fond d'une vallée sèche et non arborée. Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d'espace sacré.

Bientôt, les populations bédouines vinrent de toute l'Arabie y déposer les statues (asnam) de leurs idoles, auxquelles ils rendaient visite une fois par an lors d'un pèlerinage. On dit qu'à l'avènement de l'islam, la Kaaba contenait plus de 360 statues de divinités, les plus vénérées et les plus plébiscitées étant : Hubbal, al-Lat, al-`Uzza ou Manat.

La Ka'ba mecquoise fut édifiée à une époque indéterminée. Le Coran dit que c'est le prophète Ibrahim (Abraham) qui l'a construite avec l'aide de son fils Ismaël.

Les rites musulmans

- Lors de leur prières, les musulmans se prosternent 5 fois par jour en direction de ce morceau de meteorite orné d'argent
- Lors du hadj, les pelerins se bousculent pour caresser ou embrasser la pierre noire. Météorite située dans un angle de la Kaaba.
- Le rite islamique veut que les pelerins tournent 7 fois autour de la kaaba. Culte que l'on retrouve dans les sectes et "religions" païennes.

- Selon un hadith Muslim authentique, cette pierre avait l'habitude saluer le prophète de l'islam.

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Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam ("jahilya"), il y avait 24 kaabas dans la péninsule d'Arabie : la Kaaba est donc un des 24 temples païens qui existaient en Arabie (avant que Mahomet fasse détruire les kaabas des autres tribus et qu'il garde intacte la Kaaba gérée par sa tribu).

L'islam prétend que c'est Adam (le premier homme selon la Bible) qui l'a édifiée. En réalité, cette construction date de la fin de la période romaine.

Avant l'islam, ce lieu de culte était agrémenté de nombreuses statues (détruites sur l'ordre de Mahomet). Les tribus païennes y venaient en pélerinage. Les pélerins païens tournaient nus autour de cette kaaba. Ceci prouve une fois de plus son origine complètement païenne.

La Kaaba est un bâtiment de 15 mètres de haut. Un de ses côtés est de 10 mètres. L'autre côté est de 12 mètres. Il ne possède qu'une porte comme ouverture. L'intérieur est vide. Le plafond est supporté par trois piliers de bois. Le bas des murs est un assemblage de grosses pierres. Le haut des murs est un assemblage de petites pierres. Ces pierres sont cimentées les unes aux autres de façon grossière. Afin de cacher cette construction archaïque, un brocart noir brodé de versets coraniques (la "kiswa") recouvre la construction.

Une pierre noire (une météorite) est enchassée dans l'angle nord-est de la construction. Elle sert de point de repère pour les tournées rituelles autour de la Kaaba comme faisaient les païens d'autrefois qui tournaient nus autour de la Kaaba. Cette pierre noire, censée venir du paradis, est adorée par les mahométans qui se bousculent lors de leur pélerinage pour la toucher et l'embrasser.

Quand les musulmans prient, ils se tournent vers la Kaaba et se prosternent devant elle. Quand ils construisent des mosquées (salles de prière), ils orientent celles-ci en direction de la Kaaba.

Quand ils enterrent leurs morts, ils placent leurs cadavres alignés vers la Kaaba.

Quand ils égorgent les animaux de boucherie, ils les sacrifient en direction de la Kaaba (comme faisaient autrefois les païens qui sacrifiaient leurs viandes aux idoles).

Quand ils font le pélerinage, ils tournent autour de la Kaaba, ils se prosternent devant elle, ils la touchent, ils l'embrassent.Quand ils reviennent de pélerinage, ils affichent dans leur maison une gravure ou photo de la Kaaba...

Tout le culte islamique tourne autour de la Kaaba : prosternation, sacrifice, culte mortuaire, icônographie...

A la vue de toutes ces pratiques, il est possible de dire que, selon les critères habituels retenus pour définir une idole, la Kaaba est une idole.

Qu'une idole ait une forme de cube, de pyramide, d'animal ou d'homme... elle n'en reste pas moins une idole.

La Kaaba est donc en réalité une idole païenne dont l'histoire de la construction a été falsifiée par Mahomet.

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Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 00:17
Message : Je me demande si tu as fais exprès de laisser passer dans tes copies collées le texte suivant :

"La Kaaba est édifiée a proximité immédiate d'un point d'eau salvateur au fond d'une vallée sèche et non arborée.

Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d'espace sacré"

D'après même cette description que tes fournisseurs de calomnies ont faite, la Kaaba est située dans une vallée sèche et non arborée mais malgré tout il y a à ses côté d'un point d'eau salvateur (le zamzam) dont la présence est inconcevable et purement inespérée sur une terre aussi hostile.

Mais qu'est ce qu'il vous faut d'autres pour vous rendre compte et avouer qu'il s'agit de ce lieu hostile où Ibrahim avait déposé sa femme Adjara(Agar) et son fils Islam en les laissant entre les mains de Dieu aux quels Adjara se suffisait.

C'est bien l'endroit où , de retour d'une recherche d'eau pour son fils , Adjara a eu la grâce de retrouver ce point d'eau couler sous les pieds de son bébé pleurant de soif.

Que c'est bien cet endroit a identifié et reconstruit la Kaaba dont on parle avec son fils Ismael

Ah qui peut faire essayer de faire obstruction au projet de Dieu si ce n'est le diable et ses employés.

Cette Kaaba est la maison de Dieu , les actes de dévotions qui sont faites dans sa direction , sur ses ordres, sont adressés a Dieu et non a la prière même si Dieu a béni les environ de cette Kaaba et qu'ils polarisent u'e grande bénédiction divine pour les fidèles

Vos rêves n'ont rien a voir avec la réalité
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 00:37
Message : .

La Kaaba, un héritage et un vestige de Babylone


L’arrivée du patriarcat en Arabie

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Le patriarcat s’est installé progressivement par la guerre à partir du IVème siècle avant Jésus-Christ, et semble commencer à Sumer en Mésopotamie. Les anciennes déesses-mères ont été conquises, assimilées, puis remplacées, par les nouveaux dieux-pères (Olympiens, Aesirs nordiques…). Il en est de même avec les divinités matriarcales arabes (Allat, Uzza, Manat, désormais dominées par les nouveaux dieux conquérants venus de Babylone (Hu-Baal).


Jérusalem, première direction de la prière islamique

La Mecque était le sanctuaire pré-islamique le plus important de toute la péninsule arabique. A l’origine, la ville n’était pas au centre de la religion musulmane, les croyants se tournant vers Jérusalem. La direction de la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36),[/b] pour satisfaire les convertis d’origine juive ou chrétiennePuis, afin d’asseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles d’origine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu millénaire païen. La vénération de la pierre fut une occasion pour Mohammed de ramener vers lui les païens.

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Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 00:55
Message : Regarde moi cette copie collée encore a la fois sourde et aveugle a la vérité évidente sous ses yeux
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 01:38
Message : Le dieu lunaire Hubal-Sin :



Parmi ces faux dieux se trouvait le dieu arabe de la lune nommé Hubal. Il est relié au dieu lunaire Nanna (aussi Sin) de la Mésopotamie, et il est le fils de Enlil et de Ninlil. Ces deux dieux Sin et Nanna avaient leur culte à Ur, et aussi à Harran au Nord.


Le dieu Hubal-Sin était une divinité majeure dans sa localité. L'idole le représentant siégeait sur le toit de la Mecque puisqu'il était dieu dirigeant les 360 autres divinités.


En tant que divinité suprême, Hubal-Sin était connu sous Al-lah qui signifie le-dieu. Le nom de Allah Sin est en lien avec les endroits comme le Sinaï, la région sauvage de Sin et ainsi de suite. La Mecque est la ville capitale du dieu lunaire, la Kaaba était et demeure son sanctuaire où ses fidèles font le pèlerinage du Haj pour le vénérer.


Après plusieurs millénaires, un de ces païens arabes qui était seigneur guerrier et réformateur religieux de la tribu Quraysh de la Mecque. Il unifia par l'épée les 360 dieux Baal de la Mecque après avoir plagié la Bible, les Védas hindoues, les Avestas de Zoroastre et c'est avec ces textes sacrés qu'il composa le Coran.


Ensuite il déclara qu'il n'y a pas d'autre dieu que Allah ( Hubal-Sin ) et que Muhammad est son dernier prophète.


Tous ceux et celles opposés à réciter ce message qui est la shahada pour les musulmans de nos jours, ces opposants étaient exécutés. Encore aujourd'hui, la conversion à l'Islam est de dire avec son coeur et devant témoins: la ilâha illllâh, Muhammadur rasûlullâh = Il n'y a pas d'autres dieux que Allah et Muhammad est son prophète.


Voilà la véritable origine de l'Islam, cette religion n'a pas commencé avec Abraham comme c'est encore prétendu de nos jours. Ça n'a pas commencer avec Ismaël le fils illégitime d'Abraham, ni avec Muhammad Mustafa. Ce Muhammad a simplement proscrit les autres dieux arabes et caricaturer le dieu Hubal-Sin en le Dieu unique de la Torah.


De plus, il usurpa la position du Christ en se faisant le seul médiateur entre Dieu et l'humanité.


Ce Allah alias Hubal-Sin n'est pas, n'a jamais été et ne sera jamais le Dieu de notre patriarche Abraham.


On peut en voir d'autres évidences dans le nom du père de Muhammad: Abd Allah ibn Abn al Muttalib, qui signifie esclave de dieu.


Il faut se rappeller que Muhammad avait déclaré que les arabes avaient complètement oubliés le Dieu d'Abraham et d'Ismaël. Que c'est lui par l'entremise d'un ange qui reçut la révélation du vrai Dieu. Ça ne peut être vrai à cause du nom de son père, qui mourut avant sa naissance et sa rencontre évangélique. Abdullah son père était esclave du dieu lunaire Hubal-Sin, le même que Muhammad et ses dévôts.


Il est donc clair que l'Islam n'est pas la religion d'Abraham et de tous les prophètes de la Torah, c'est pourtant ce que les musulmans affirment.


La preuve que leur dieu Allah est une divinité lunaire est le croissant de lune qui chevauche la Kaaba. La signification de Hubal-Sin est Contrôleur de la Nuit et Maître des Ténèbres! Son emblême était le croissant de lune qui est si célèbre dans le monde islamique encore de nos jours.


Pour le moment, comprenez que cette foi est basé sur la déception. Elle ne peut donc pas réclamer légitimement son affiliation à Abraham. Encore moins bénéficier des bénédictions rendues à Abraham, ni à celle accordés à ses descendants, qu'ils soient juifs ou chrétiens.

 
traduit du texte de John AllFaith

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Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 01:53
Message : Encore une de ces copies qu'il balances dans tous les forums comme une machine.

Sans même aucun regard parfois sur son contenu renversant.
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 02:08
Message : .

Le Soleil et la Lune


Shams était la déesse sémite du Soleil. Elle est désignée par de nombreux surnoms paradoxaux, « la sublime », ou « celle qui darde ses rayons », qui montrent ses aspects à la fois bienfaisant ou terrible.


Le Soleil était vénéré comme élément central, primordial, mais il fut détrôné par le culte de la Lune, en raison de difficultés climatique: La sécheresse, la désertification, la chaleur mettent au second plan le Soleil; la Lune, moins agressive et liée à la fraîcheur le remplace. Houbal fut alors placé au sommet du panthéon mecquois.


En Arabie heureuse, le panthéon s'organisait autour de la triade formée de la Lune, du Soleil et de Vénus. Si certaines divinités avaient un caractère astral, elles étaient minoritaires. Contrairement aux assyro-babyloniens,


il semble que les religions du sud de l’Arabie étaient étrangères à des préoccupations astronomiques ; on ne connaît pas de culte spécifiquement rendu aux astres.


Les symboles du soleil et de la lune transparaissent à travers divers symboles tels que la massue, la foudre, le croissant avec disque, les cercles juxtaposés, ... suggèrent, plutôt qu'ils ne représentent, le divin.


A propos du croissant avec disque, gravé sur l’аutel brûle-parfum du Louvre (voir l’image ci-dessous), il représente un symbole du dieu lunaire, considéré dans ses rapports avec son principe opposé, le dieu solaire ».


En Arabie le couple astral a pour élément mâle la Lune et pour élément femelle, le Soleil.

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En Arabie déserte, on retrouva de nombreuses pierres décorées, et environ 15 000 graffitis permettent de reconstituer la vie quotidienne des safaïtes, une tribu arabe nomade, qui vivait dans le désert de Syrie, dans le désert de Safa. Quelques inscriptions comportent une invocation à une divinité ou à plusieurs: les sept traits qui accompagnent de nombreuses inscriptions, sont vraisemblablement à interpréter comme un symbole astral en relation avec


le culte des sept planètes.

On remarquera que beaucoup d'inscriptions sont accompagnées de représentations d'un caractère astral : cercle entouré de rayons (étoile), cercle double ou sans rayons (soleil), sept points ou traits dans lesquels on peut voir

les planètes, ou sept stèles (Grimme) ; les astres peuvent être reconnus, car proches des symboles assyro-babylonien (« Les religions de Babylonie et ď'Assyrie », 1945, p. 79 et p. 93).


"dieu Sîn", symbole que l'on retrouve sur la "porte du repentir" à l'intérieur de la Kaaba à La Mecque.

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Intérieur de la Kaaba


Coran
Sourate 36
Yâ-Sîn = Yâ Sîn = Ô Sîn:


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Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 04:51
Message : .

Les "dieux"

Il est difficile de savoir quels dieux étaient adorés à la Mecque, puisque tout a été détruit lors des prises successives de la Mecque (celle de Mahomet en 630 bien sûr, mais aussi celle d'Ibn Saoud en 1920).

• Les Arabes vénéraient des idoles et croyaient en plusieurs divinités, masculines et féminines. Chaque tribu avait sa divinité principale : cette statue était placée dans une tente sacrée chez les nomades, ou elle était posée dans un sanctuaire bâti, chez les sédentaires.

En plus de ce culte, chaque tribu pouvait rendre hommage à d’autres divinités, adorées par d'autres tribus. Max Müller a défini ce système de religion avec le terme d’hénothéïsme.

• La religion des Arabes se rattachait aux antiques religions sémites, par la hiérarchisation du divin. Ainsi, les Arabes croyaient en un Dieu supérieur entouré de divinités subalternes qui pouvaient lui être affilées et qui servaient d'intercesseurs auprès de lui :

La Kaaba abritait les idoles de quatre divinités, mais le maitre du sanctuaire, c'est-à-dire le dieu Houbal, dit  Allah. Les trois déesses al-Lât, al-Uzzâ et Manât étaient considérées comme ses filles ou ses épouses.

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Almaqah : C’est le principal dieu solaire des Sabéens, prototype masculin de Shams; la nation sabéenne dit descendre de ce dieu. il régi aussi l’agriculture et l’irrigation. Son nom reste encore inexpliqué. Son temple est à Mârib, prés d’un oasis, qui a été irrigué artificiellement sous ses auspices. Son animal attribut est le taureau (accompagné éventuellement de vigne).


Athtar : C'est un dieu de l'orage et de l'irrigation naturelle par la pluie. L’étymologie de son nom sérait « ‘thr » : « être riche, irriguer ». Entre le VIIIème siècle au Ier siècle avant notre ère, il était en première place dans le panthéon d'Arabie méridionale. Ce dieu du tonnerre fut surnommé Sharîquan (l'oriental), ou encore « celui qui se couche » par analogie à Ishtar, déesse du soir et du matin, qu’on lui associe; vengeur, il est invoqué contre les violateurs de sépultures.[/font]


 Il est aussi prié dans les rites de chasse (avec le dieu Kirwam), et dans les rites pour appeler la pluie. La gazelle est son attribut.


Djad (ou Gad) est un dieu sémitique des sources. C'est un génie "Djinn" protecteur des puits et des points d'eau. Pour chaque clan, il s'identifierait à l’ancêtre qui a creusé le puit. al-Djalsad est un dieu connu en Hadramaout ( au Yémen). C'est le principal dieu de la tribu Kinda; il est représenté par un rocher blanc qui a forme d'un homme corpulent. C'était une divinité oraculaire: le consultant d'adressait directement à lui.


Selon Fadh ("yaqût"), al-Djalsal était un dieu ventriloque dont la voix était semblable "au roulement du tonnerre".

Il est enfermé dans une enceinte où l'on parquait chameaux et moutons. Les bêtes qui s'égaraient dans son périmètre devenaient les propriétés du sanctuaire.

Des sacrifices de sang animaux étaient versés sur l'idole. Celui qui désirait poser une question devait mettre deux vêtements spéciaux loués aux gardiens (sâdin) du sanctuaire (clan des Kinda, les Banû Allâq).

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Dusares ou Dhû-Shara:divinité des arabes du nord et des nabatéens c'est le dieu de la végétation. Une tribu arabe, les Dawssites lui porte un culte dans des bois sacrés.


Selon Dussaud, les nabatéens surnommait ainsi A'ara, le dieu de la végétation de la ville de Pétra. Dusarès, dit aussi Dhû-Shara,est le maitre de la chaîne de montagnes Shara, prés de Pétra. Ce nom signifiant, «du mont Sharâ», «Sha» veut dire «le soleil ».


On retrouve son nom dans les tablettes babyloniennes, il y est représenté comme un taureau protecteur de la végétation. A Ghariyé-Shoubeih, sa statue est celle d'un dieu barbu à la tunique plissée, il porte la corne d'abondance (attribut d'Astarté en Syrie). En Syrie (à Bostra), et en Jordanie, (à Petra) était honorée la pierre noire de Dusarès. Ce bétyle était une pierre cubique, symbole du culte solaire des Nabatéens au IVème siècle. Plus tard, les grecs le reliront au culte de Dionysos.


al-Fals est un dieu vénéré par la tribu des Tay'. Il est le protecteur des fugitifs, et permet le droit d'asile. A l'origine, il était représentait par une saillie rouge dans le flan d'une montagne noire, ressemblant à une tête humaine.


 Un sanctuaire lui était dédié dans une enceinte sacrée avec un puit.

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Houbal, dit Allah  : Son nom est proche du mot "esprit" en araméen, et de "Baal", divinité des cananéens. Il est associé au dieu nabatéen Dushara/Dusarès. Il descendrait aussi du dieu babylonien lunaire Sîn.


Houbal représentait la fertilité. Dieu lunaire, le croissant était un de ces symboles. Peut-être est-il à l'origine du croissant musulman?


Cette divinité oraculaire est représentée primitivement par une pierre sacrée; ce dieu appartenait d'abord à un groupement tribal des Kinâna et des Qurayshites dont il garantissait l'union. Grâce à ces derniers, il est entré dans le panthéon mecquois.


Il était adoré comme le seigneur de la Kaaba, le chef de panthéon de la Mecque, parmi les 360 bétyles.


Il est personnifié sous la forme d'un homme amputé du bras gauche: il prend l'aspect d'un dieu archer, car les sorts et la divination se faisaient sous sa tutelle avec des flèches. L'historien Ibn Ishaq avance qu'il est représenté à la Kaaba par une idole de cornaline, au dessus d'une fontaine desséchée où les croyants jetaient des offrandes. Dans son sanctuaire, le haram de la Kaaba, les pélerins venaient consulter son oracle (cléromancie).


On le dit en lien avec les trois déesses de la Kaaba, Manat, al-Lat et al-'Uzza, déesses principales vénérées à la Kaaba. Mais les avis divergent comme quoi il serait soit leur père, soit leur mari.


Certains disent qu'à l'origine de la religion musulmane, Mahommet a adoré Houbal, et qu'il a rejeté les trois déesses, en gardant exclusivement le dieu lunaire. On sait que suivant les différents peuples arabes, et leur succession, il a été donné différents noms au Lune-dieu : Aglibol (Palmyre en Syrie), Amm (région du Qataban au Yemen), ...


Dhû-Khalasa: C'est un dieu archer, vénéré dans un sanctuaire de Khalasa, sur la route de l'encens.Selon l'historien Fahd, son nom proviendrait d'une plante aromatique qui l'aurait représenté primitivement. Ses fidèles appartenaient à la tribu de Banû Bâhila.


Une autre divinité féminine portait le même nom à la Mecque; cette dernière est une déesse agraire, à qui ses desservants faisaient des offrandes de récoltes d'orge, de froment et de lait.

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al-Lât
: C'est une des divinités principales de l'ère préislamique, vénérée depuis plus de 2000 ans avant l'Islam. Son nom serait une contraction de al-Ilahat, « déesse ». Al-Lât est la divinité principale de la tribu des Taqîf. Originaire du Hedjaz, elle deviendra populaire chez les Qurayshites de la Mecque.


Elle fait partie de la triade divine de ces derniers, qui considèrent les trois déesses (al-Ûzza, al-Lât, al- Manât) comme "filles d'Allah" (Houbal). Elle est représentée sous la forme d'une roche cubique (météorite ou une roche volcanique) autour de laquelle, était édifiée la Kaaba. A Tâ'if, son sanctuaire est bâti en pierres blanches dans un enclos sacré: tuer les animaux et abattre les arbres y est interdit. De plus, personne ne pouvait y être pourchassé. A Palmyre, durant l’époque romaine, elle était considérée comme la forme féminine d'Allah, différente de la « al-Lât » des mecquois.


Son culte s'est étendu du nord jusqu'à Pétra, dans toute la Syrie. A Dura-Europos en Syrie, elle était assimilée à la Athéna grecque par les nabatéens. Hérodote (Ve s. av-JC) la mentionnait comme Alilat, qu’il identifiait à Aphrodite. En l’an 129 de notre ère, on retrouva son nom dans des inscriptions: elle aurait été placée aux côtés de Shamash et Raham, représentés comme une triade « des dieux bons ».[/font][/color][/justify]


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Elle est le symbole de la fécondité, de la féminité, du printemps, et de la terre. C'est une divinité à la fois solaire et lunaire. Ses attributs sont le sceptre et l’étoile à 8 branches (Vénus chez babylonien), ainsi que le croissant de lune à l’intérieur du disque solaire (ce dernier a souvent été retrouvé, inscrit sur de nombreux encensoirs). On rapproche souvent cette déesse de la fertilité des grandes déesses du Proche-Orient : telle Cybèle, elle porte une gerbe de blé dans une main. Elle porte aussi et un morceau de sève d’encens dans l’autre. Comme Diane, elle est aussi la protectrice des animaux; il existe des représentations où, alors qu'elle est assise sur un trône,


elle tient à la main gauche une palme appuyée sur son épaule gauche, et un lion se tient assis à côté d'elle. D'ailleurs, on a retrouvé plusieurs statues de lions dans son temple à Palmyre. Al-Lât fut aussi à l'origine du symbole de la main de Fatima (ou de Myriam pour les juifs).

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Citation (Matricien.org) : Une inscription sur une roche à Adumattu en Arabie dit : “Puisse Allat (la Déesse) exhausser tous nos vœux.” Les anciens Arabes prêtaient serment par la prière : "Par le sel, par le feu et par Al-Lat qui est la plus grande de tous."

Nasr est le dieu des morts. « Nesr » signifie « vautour » en arabe, cet animal est son emblème. Ce dieu s’est conservé dans l’islam dans un rôle marginal de roi des morts. Il est aussi à l’origine du nom ou prénom de Nasser.


al-Manât: Elle est la déesse de la lune, de la mort, de la magie, voyance, des mystères et de la nuit; elle descendrait de la déesse Ishtar. Elle ressemble aussi sous certains aspects, à la déesse égyptienne Maat, déesse de la justice, du destin, et de la mort. Elle serait "la destinée" chez les nabatéens et les thamudéens qui lui dédirent un bétyle à Petra. Les Nabatéens la considéraient comme la mère ou la femme du dieu Houbal. Elle fut la divinité principale des tribus Aws et Hazrâg et serait la plus ancienne du panthéon d'Arabie. Sa forme primitive serait un rocher selon l’historien Fahd. Ses premiers adorateurs appartenaient aux tribus des Hudayl et des Khuzâ'a, qui nomadisaient le sud de Médine (ancienne ville de Yathrib), et le nord de la Mecque. Ensuite, son culte s'est répandu jusqu’à Palmyre, et fut adorée par de nombreuses tribus comme divinité du Destin, avant d'être dominante chez les Qurayshites. 


Ruda: c'est la déesse la plus ancienne mentionnée dans des inscriptions assyrienne d'Assarhaddon. Elle fut vénérée par plusieurs tribus d'Arabie centrale et par les thamudéens; puis un culte lui fut dédié à Palmyre. On l'identifie à Vénus, elle est représentée par une femme nue. On retrouva de nombreuses invocations thamudéennes lui faisant appel, pour ses vertus protectrice, la sagesse, la joie, l'amour, la vengeance, la compassion, et la guérison.


Shams : déesse du Soleil vénérée surtout au Qataban et en Hadramaout (Yémen). Contrairement au dieu lunaire Houbal et à Athtar, elle est connue sous un même nom pour l’ensemble des peuples sud arabiques. Mais elle a quelques surnoms :

Pour les sabéens : « Dhât-Himyâm », celle qui darde ses rayons, ou l’incandescente ; «Dhât-Ba’adân », celle qui est éloignée ; « Samayhat », la céleste ; « Tadûn », celle qui se couche, ou la méprisée ; « Tanûf », celle qui est élevée, la sublime... 

On l’invoque par l’expression « celle de... », « la Dame de... », suivi du nom du sanctuaire. Les sentiments à l’égard de cette divinité était divers (crainte, désirs, etc): cultivateurs et nomades la considéraient sûrement différemment, d’où la multiplicité des adjectifs. Il semble que la déesse Athirat (Ashirtu babylonienne, Ashérat de Ras Shamra, Ashêrâh de la Bible) appartienne aussi au cycle solaire.


Suwâ' : Un bétyle lui est consacré. Elle est la déesse protectrice de la tribu des Hudhaylites, qui nomadisaient entre Médine et la Mecque.


Tagout: il est cité dans le Coran. Ce dieu est assimilé à Thot, lui-même associé au Hermès Trismégiste hellénistique.


al-Uqaytsir : C'est un dieu vénéré en particulier par les tribus Âmila, Djudhâm, Ghatafânlakh, et Qudâ'a. Sûrement originaire du sud de la Syrie, il se rencontre jusque dans tribus du nord de l'Arabie, représenté par des bétyles. On lui faisait des sacrifices de sang, lors de processions accompagnées de chants. Couvert d'un vêtement rituel sur lequel on prêtait serment, on lui donnait des offrandes de farine, mêlée à des cheveux coupés (il existait une coutume où le pèlerin se rasait les cheveux pour apporter l'offrande).


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al-Uzzâ : C’est la déesse de l'étoile du matin, représentée primitivement sous la forme d'un d’arbre sacré. La déesse al-Uzzâ restera célèbre dans la région syro-palestinienne, où on l'identifiera à la planète Vénus. Les auteurs classiques évoquent eux aussi Vénus pour parler de al- Uzzâ. C'est une déesse Vierge et guerrière, avec Houbal, une des plus populaires du monde Arabe. Les Qurayshites lui vouait un culte ardent, grâce à la proximité de ses sanctuaires. Le plus primitif de ceux-ci se trouvait dans la vallée Hûrad, au nord de la Mecque, à l'ombre de trois acacias. L'idole était enfermée dans une enceinte sacrée, où il y avait aussi un gabgab (une aire ou une pierre, où l'on égorge les moutons destinés à la divinité; la viande sacrifiée était partagée entre les participants).Les pèlerins venaient de toute l'Arabie pour consulter son oracle. Sur ordre de Mahomet son arbre fut abattu et son sanctuaire détruit en l'an 8 de l'Hégire.


Le dieu Wadd, dont le sens serait "ami", et "amour". Il fut primitivement le dieu-lune des Minéens qui l'ont introduit à Dédan. Son nom ayant été trouvé le long de la route du commerce des aromates, on suppose qu’il était lié à ce commerce. Il fut adoré surtout à Dûmat al-Djandal, au nord ouest de l'Arabie. Pourtant on retrouva son temple jusque dans le sud, dans le royaume yéménite du Qataban. Il est assimilé à Apollon et à Adonis (qui est un dieu d'origine syrienne, entré dans le panthéon grec); mais aussi à Hadad, dieu de l'orage, même si certains contestent ce fait et le voit comme lunaire. Des inscriptions thalmudéennes l'évoquent sous les noms de Wadad, Adad, Ud, et Dad. On le présente sous l'aspect d'un homme de grande taille, vêtu d'un ample habit et d'un second vêtement sur épaule; il est aussi armé d'une lance et d'un carquois rempli de flèches.


Yagûth est une divinité du groupe tribal Madhidj, représenté sous forme de lion. Il est le protecteur des artisans, de plus c'est un dieu qu'on priait pour apporter la pluie. Il fut adoré dans le sud de l'Arabie, notamment au Yémen.

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Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 05:12
Message : Encore presque un "km" de copie collées pour parler des idoles que tu aimes.

Mais si ces idoles ont disparues de la Mecque depuis l'arrivée de la révélation du Coran au prophète Mohamed psl , ces idoles n'ont pas encore quitté les tiens qui croient au christ comme d'un dieu.

Je crois que tu ton s'il était honnête et véridique devait consister raisonner tes correligionnaires de ne idolatrer le christ mais pas a faire semblant de te soucier des musulmans a la foi si pure
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 05:27
Message :
a écrit :Mais si ces idoles ont disparues de la Mecque
Petit menteur. La pierre noire, une idole préislamique, est toujours à la Kaaba :)
Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 06:00
Message : La Kaaba est l'endroit où étaient loges les idoles avant l'islam mais pour les musulmans elle représente la direction de leur prières et autres dévotions conformément a la loi de Dieu.

Le menteur qui prends plaisir a ses mensonges c'est toi. Moi je suis christabel

Je ne t'ai pas déjà raconté comment je t'ai vu encore hier. Et ce que tu m'a avouer?
Auteur : Gorgonzola
Date : 17 févr.20, 06:39
Message :
Christabel a écrit : 17 févr.20, 06:00 La Kaaba est l'endroit où étaient loges les idoles avant l'islam mais pour les musulmans elle représente la direction de leur prières et autres dévotions conformément a la loi de Dieu.
Les premières qiblas étaient orientées au degrés près vers Pétra.
Pourquoi y a t'il eu un changement de qibla de Pétra vers la Mecque ? La Kaaba de la Mecque censée être construite par Abraham et Ismaël n'existait pas du temps des premières mosquées ?
Auteur : Saint Glinglin
Date : 17 févr.20, 07:20
Message :
Gorgonzola a écrit : 17 févr.20, 06:39 Les premières qiblas étaient orientées au degrés près vers Pétra.
Pourquoi y a t'il eu un changement de qibla de Pétra vers la Mecque ? La Kaaba de la Mecque censée être construite par Abraham et Ismaël n'existait pas du temps des premières mosquées ?
Ce n'est pas plutôt vers Jérusalem ?
Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 07:38
Message : Gongorzola

Voilà ce n'était vers patra mais bien.vers Al Aksa a Jérusalem comme telle signale glinglin

C'est le bon Dieu qui ordonne aux musulmans de prendre la Kaaba comme direction de leurs prières.

Dieu n'est pas obligé de donner les raisons de ses ordres mais si l'islam qui était sencé être aussi la religion des chrétiens et des juifs qui finalement n'ont pas acceptés de se soumettre comme les musulmans aux dernières lois de Dieu, la place la plus bénie de la terre est bien la plus indiqué pour être la direction de ces musulmans a l'écart des autres restés sur leur rébellion.

Au collecteur

Je crois que mon rêve reflète exactement la réalité vécu après , si tu es honnête tu peux le deviner sans que je le raconte.

Soit seulement honnête pour une fois parceque tout le monde t'ecoute
Auteur : Saint Glinglin
Date : 17 févr.20, 07:42
Message : En fait, les Arabes s'étaient convertis au judaïsme et ont tenté de reprendre Jérusalem aux Byzantins.

Mais après l'échec de cette campagne, leur judaïsme a évolué en islam arabo-centré.
Auteur : Gorgonzola
Date : 17 févr.20, 07:58
Message :
Saint Glinglin a écrit : 17 févr.20, 07:20 Ce n'est pas plutôt vers Jérusalem ?
A voir le documentaire de Dan Gibson à ce sujet.
Il a référencé les premières mosquées et calculé l'orientation de leur qibla.
Pour certaines "orientées vers Jérusalem" il tombe pile sur Pétra.




Le documentaire est très fourni et sourcé. Dan Gibson explique que le lieu de naissance de Mahomet est Pétra et non la Mecque actuelle.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 17 févr.20, 08:09
Message : Pour toute l'Arabie occidentale, la direction de Jérusalem se confond avec celle de Pétra.
Auteur : Serviteur d'Allah
Date : 17 févr.20, 10:56
Message :
Arlitto a écrit :"La « Pierre Noire » vénérée par les musulmans est une météorite enchassée dans un cadre en argent à l'un des angles de la ka'ba, angle dit "de la pierre", dans la mosqué de La Mecque, en Arabie Saoudite (Hedjaz)."
1. La pierre noire symbolise le paradis chez les musulmans, mais n'a aucun pouvoir. Le Coran et la Sunna ne nous demandent d'adorer aucune pierre. C'est même le contraire: il ne faut point adorer de pierre, d'idole, de fils avec Dieu, sinon c'est de commettre l’idolâtrie. Ils sont très clairs à ce sujet:

40:65: "C’est Lui le Vivant. Point de divinité à part Lui. Appelez-Le donc, en Lui vouant un culte exclusif. Louange à Allah, Seigneur de l’univers!"

Dans un hadith de Sahih Al Bukhari, Umar Ibn A Khattab (Allah soit satisfait de lui) nous dit clairement que la pierre n'a aucun pouvoir:
"Je sais très bien que tu n'es qu'une pierre, tu ne peux ni nuire ni profiter à quiconque, et si je n'avais pas vu le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, t'embrasser, je ne t'aurais jamais embrassé."

2.Tout ce qui reste de la pierre ce sont quelques fragments, des cailloux, préservés dans un angle du Temple (la Kaaba). Dire des musulmans qu'ils adorent des cailloux avec Dieu ou à la place de Dieu, désolé pour terme, c'est être très CON! Tu peux le crier avec un haut-parleur si tu veux, personne ne te croira.

3. La vraie association, c'est lorsqu'on associe à Dieu une progéniture (Jésus), une croix et des statues dans des Eglises. Ça, tu n'as pas le courage d'en parler.
Auteur : Mormon
Date : 17 févr.20, 11:14
Message :
Serviteur d'Allah a écrit : 17 févr.20, 10:56 3. La vraie association, c'est lorsqu'on associe à Dieu une progéniture (Jésus),

L'association de Dieu et de Jésus est indispensable

Seul Jésus en tant que Prophète parfait et par son pouvoir sur la mort en tant que Fils de Dieu, put avoir la force d'expier les péchés de chacun pour établir, ainsi, un lien entre Dieu et nous, entre sa perfection et notre imperfection, en nous justifiant par son sacrifice. Par ce lien, par son exemple, son sacrifice et ses enseignements, nous donnant par là le pouvoir de nous repentir dans cette vie, et de ressusciter automatiquement dans la vie à venir... La mission et la foi en Jésus-Christ ont été annoncées depuis Adam par la loi des sacrifices et par tous les vrais prophètes.
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 23:20
Message : .

Les mensonges de l'Histoire


La Kaaba
La Kaaba, bâtiment cuboïde érigé à La Mecque, en Arabie Saoudite, est aujourd'hui considérée comme l'un des principaux sites sacrés de l'islam. Ainsi, la salât, la prière islamique, doit se faire en direction de la Kaaba ; le Hajj, quant à lui, est un pélerinage que les musulmans doivent accomplir à La Mecque au moins une fois dans leur vie. A noter que la Kaaba renferme la célèbre pierre noire (ou al-Hajar al-Aswad en arabe), une relique qui remonte à Adam et Eve selon la tradition islamique.


Cependant, l'on peut bien s'imaginer que la Kaaba et la pierre noire ne firent pas leur apparition comme par magie à l'époque de Mahomet. Ainsi, qu'en est-il en réalité ? Quelle est la véritable histoire de ce monument et de la relique qu'il renferme[font="Book Antiqua"]? Et quelle était la place de la Kaaba et de la pierre noire dans l'Arabie pré-islamique ?

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La Kaaba.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, la Kaaba n'est pas une « invention » de l'islam, étant présente dans la péninsule arabique plusieurs siècle avant la naissance de Mahomet.


 Si les origines de cet édifice sont incertaines, La Mecque est mentionnée pour la première fois au IIe siècle par l'astronome grec Claudius Ptolemaeus[/color] (francisé en Ptolémée), sous le nom de MakorabaA cette époque, les tribus arabes étaient polythéistes, le panthéon pré-islamique comptant une cinquantaine de divinités, certaines d'entre elles ayant fait l'objet d'un syncrétisme avec des dieux ou déesses originaires d'Egypte, de Syrie ou du Moyen-Orient


Par ailleurs, à l'instar du Japon où les kamis (les esprits) peuvent se dissimuler dans les arbres, les sources ou les animaux, les tribus arabes avaient pour coutume d'ériger des temples afin d'y adorer des pierres ou des rochers.


Ainsi, il existait de nombreux temples abritant des pierres sacrées dans l'Arabie pré-islamique, la pierre noire de la Kaaba n'étant considérée que comme une relique parmi tant d'autres. Il existait donc une pierre rouge à Ghaiman, dans le sud de l'Arabie, et une pierre blanche à al-Abalat, non loin de La Mecque. 


Maxime de Tyr (de son vrai nom Cassius Maximus Tyrius), philosophe grec du IIe siècle, rapporte dans ses récits : Les Arabes adorent aussi, mais je ne sais quoi. Quant à l'objet sensible de leurs adorations, je l'ai vu, c'est une pierre quadrangulaire. Quant à Clément d'Alexandrie, un philosophe chrétien qui vécut à la même époque, ce dernier indique : les Arabes adorent des pierres.


A l'époque pré-islamique, La Mecque était donc déjà un grand centre religieux (la cité fut peut-être mentionnée implicitement par l'historien grec Diodore de Sicile au Ier siècle de notre ère : et un temple a été installé ici, qui est très saint et hautement révéré par les Arabes). Il fut alors interdit de s'attaquer aux pélerins, faisant de cette cité un important carrefour commercial, où les marchands ne tardèrent pas à s'installer.


En effet, le pays étant peu fertile, les principales cités arabes côtières s'adonnaient au commerce, négociant avec l'Empire byzantin, la Perse ou le Proche-Orient.


A cette date, le principal dieu du panthéon arabe était Houbal (ou Hubal), divinité lunaire vénérée à La Mecque. Selon la légende, ce dernier avait trois filles, qui faisaient elles aussi l'objet d'un important culte à l'époque pré-islamique : Uzza (ou al-Uzza), déesse de la fertilité ; Manat (ou Manah), déesse du destin ; et al-Lat, déesse de la féminité.


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Trois divinités pré-islamiques, de gauche à droite : al-Lat, Uzza et Manat.

A noter que le rituel de circunambulation autour de la Kaaba (c'est-à-dire une rotation dans le sens contraire des aiguilles d'une montre), le tawaf, existait déjà à cette époque (à noter que l'un des rites à accomplir était de se raser la tête à la fin du pélerinage).


A l'époque de Mahomet, le polythéisme pré-islamique est en perte de vitesse, l'Arabie étant influencée par le judaïsme comme par le christianisme, mais aussi par la culture hellénique du Proche-Orient.


Selon la tradition, Mahomet aurait rencontré pour la première fois l'archange Gabriel[font="Book Antiqua"] en 610, lequel lui aurait transmis la parole de Dieu. Ce dernier, constituant un petit groupe de fidèles, composé d'une cinquantaine de personnes, rencontra toutefois l'hostilité des Mecquois, en majorité polythéistes, chrétiens ou juifs. En raison de son prosélytisme, il fut alors exclu du clan Hashîm, et en 622, il décida de se rendre à Yathrib (aujourd’hui Médine.). L’hégire (ce qui signifie [/font][font="Book Antiqua"]« 


En l'espace de quelques années, Mahomet parvint à consolider son autorité, et lança une offensive sur La Mecque en 630, à la tête d'une petite armée. Selon la légende, les Mecquois ouvrirent les portes de la cité sans combattre, et se convertirent à l'islam.


Cette occasion, Mahomet fit détruire toutes les idoles de La Mecque, ainsi que les temples des déesses Uzza, Manat et al-Lat, qui se trouvaient en périphérie de la ville.

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Mahomet remettant en place la pierre noire, XIV° siècle.


Cependant, ce dernier ne fit pas détruire la Kaaba, ni la pierre noire, alors que l'islam condamne fermement l'idolâtrie (sourate 46 : N'adorez pas d’autres dieux que Allah ; car je crains pour vous le châtiment du grand jour). Peut-être dans un souci de syncrétisme ? Ou plus vraisemblablement dans une logique plus terre-à-terre, sachant que si la Kaaba était détruite, la cité perdrait son rôle de centre religieux, et donc aussi celui de carrefour commercial.


La pierre noire a donc un statut particulier dans l'islam. Présentée selon les légendes comme descendue du Paradis, alors enveloppée d'une blancheur étincellante, elle se serait noircie à cause de la corruption humaine. Adam et Eve lui auraient construit un autel, détruit lors du Déluge, puis rebâti par Abraham.  


Selon certains hadiths, Le calife Omar I° (de son vrai nom Omar ibn al-Khattâb), second successeur de Mahomet, aurait déclaré, alors qu'il se trouvait devant la pierre : Je sais que tu es une pierre et que tu ne peux ni apporter profit ni porter préjudice. Si je n'avais pas vu le messager d'Allah [Mahomet] t'embrasser, je ne t'aurais pas embrassée

Aujourd'hui, c'est cette explication qui est retenue (l'imitation de Mahomet), pour expliquer ce comportement que d'aucun pourrait qualifier d'idôlatre.


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Ancienne chasse de la pierre noire

Enfin, concernant la nature de cette relique, force est de constater qu'il s'agit d'une question sujette à controverse. En effet, en l'absence d'une analyse scientifique de la pierre noire, impossible donc d'en connaître sa composition.


En règle générale, la plupart des scientifiques pensent qu'il s'agirait d'une météorite. Cependant, dans certaines chroniques d'époque, il est indiqué que le pierre pourrait flotter dans l'eau, ce qui impliquerait qu'elle soit formée de ponce ou de verre (il pourrait dès lors s'agir d'une impactite, une roche terrestre modifiée par l'impact d'une météorite).


En raison du développement très rapide de l'islam (unification de l'Arabie en 632, conquête de la Perse en 634, de la Syrie en 636, de l'Egypte en 642, etc.), l'on pourrait penser que les croyances pré-islamiques disparurent totalement en l'espace de quelques années.


Cependant, certains éléments du folklore arabe ne disparurent jamais totalement, tels les djinns, créatures invisibles anthropomorphes, qui sont clairement mentionnées dans le Coran (sourate 56 : Je n’ai créé les hommes et les génies [djinns] qu’afin qu’ils m’adorent). L'on pourrait aussi citer les Efrits (ou Ifrits), des djinns maléfiques ; les ghoules (de l'arabe al-ghoûl), une race de djinn à l'apparence féminine, qui déterre les cadavres pour s'en nourrir ; ou le poisson géant Bahamut


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Le calife Ali combattant les djinns, XVI° siècle.

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Auteur : Christabel
Date : 17 févr.20, 23:46
Message : Ok photocopie déjà reçue plusieurs fois.

C'est gaspillage de page net
Auteur : Arlitto
Date : 17 févr.20, 23:51
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Auteur : Arlitto
Date : 18 févr.20, 02:54
Message : .


La Kaaba


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[Muslim, Livre 30, Numéro 5654] Jabir ibn Samura rapporte que le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) a dit : « Je reconnais la pierre de la Mecque qui avait l'habitude de me saluer avant ma venue comme Prophète, et je reconnais cela même aujourd'hui ».

Les rites païens musulmans

- Lors de leur prières, les musulmans se prosternent 5 fois par jour en direction de ce morceau de meteorite orné d'argent
- Lors du hadj, les pelerins se bousculent pour caresser ou embrasser la pierre noire. Météorite située dans un angle de la Kaaba.
- Le rite islamique veut que les pelerins tournent 7 fois autour de la kaaba. Culte que l'on retrouve dans les sectes et "religions" païennes.
- Selon un hadith Muslim authentique, cette pierre avait l'habitude saluer le prophète de l'islam.



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Auteur : Arlitto
Date : 18 févr.20, 03:59
Message : .

Les divinités préislamiques citées dans le Coran


Certaines idoles citées dans le Coran sont d'importation yéménite, leur évocation est assez floue car le Yémen, à l'époque de Mahomet, était depuis plusieurs siècles judaïsé puis christianisé.


D'après Maxime Rodinson, al-Lat, al-`Uzzâ, et Manât étaient, des déesses préislamiques mecquoises appelées les « filles d'Allah ». Lors de la révélation de la sourate LIII1 Mahomet avait, selon Tabari, dans une première version, recommandé qu'on leur rende un culte. Ces versets prononcés puis abrogés sont appelés les versets sataniques 2,3, expression qui a servi de titre d'un roman de Salman Rushdie.


al-Lât (اللَّات [al-llāt], al-lât; la déesse)

Déesse du soleil représentée par une immense image de granit gris. Hérodote (484-420 avant J.-C.) signale la présence d'une divinité arabe nommée Alilat5 (ال + إلَهة ← الإلَهة [al+ilaha → al-ilaha], la déesse ; alilat).
Idole préislamique apparentée à Vénus/Aphrodite et personnalisée par un bloc de granit long d'environ six mètres.
Symbole du destin et de la mort (مَنيّة [manīya], destin; sort; mort). Déesse préislamique du sort, qui coupait le fil du destin à l'image de Morta la troisième Parque.
[font="Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif"]Divinité préislamique d'une tribu du Yémen.[/font]
Divinité préislamique qui avait son sanctuaire près de Yanbu sur la Mer Rouge.
Être rebelle, divinité ou simple démon de la rébellion à mettre au nombre des djinns ?
Wadd est une divinité de l'amour et de l'amitié.
Divinité du secours vénérée au Yémen.
Divinité protectrice, vénérée au Yémen.
Idole citée une seule fois en compagnie des tâghûts.


Divinité préislamique non citée par le Coran
Idole de forme humaine, importée de Syrie qui serait le patron des caravaniers et père de plusieurs autres idoles de l'ancien temple mecquois. Hubal est une divinité lunaire, dont le nom est peut-être à relier avec Baal. C'est cette idole que Abû Sufyân salua après sa victoire à Uhud



Note.

Remarquez que le dieu "Houbal" n'est pas cité dans le Coran, et pour cause : c'était lui qui était le seigneur à la Kaaba préislamique avant la supposée "révélation" coranique.



Coran:106:3: « Qu'ils adorent donc le Seigneur de cette Maison (la Kaaba)


HOUBAL à la Kaaba préislamique



Les arabes avant l'islam pratiquaient le pèlerinage à la Mecque et tournaient autour de la Kaaba en invoquant leur Allah Houbal


 (لبيك اللهم هبل). Mais qui était le dieu Allah du début de l'islam ?

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Auteur : Serviteur d'Allah
Date : 19 févr.20, 04:52
Message :
Arlitto a écrit : Les divinités préislamiques citées dans le Coran

Certaines idoles citées dans le Coran sont d'importation yéménite, leur évocation est assez floue car le Yémen, à l'époque de Mahomet, était depuis plusieurs siècles judaïsé puis christianisé.
Ce que tu oublies de préciser c'est que si le Coran mentionne ces divinités, c'est pour reprocher aux hommes d'avoir inventé des associés et des semblables au Dieu unique et transcendent, Lui la cause première qui a créé toute chose. Voici ce que tu as oublié de dire (par ignorance ou par esprit de mensonge):

53:19: "Que vous en semble [des divinités], Lāt et Uuzzā ainsi que Manāt, cette troisième autre? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille? Que voilà donc un partage injuste! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de [leurs] âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur."
a écrit :
  • Nasr (نسْر [nasr], vautour)
Divinité préislamique d'une tribu du Yémen.
  • Sûwa` (سُوَاع [sūwa`])
Divinité préislamique qui avait son sanctuaire près de Yanbu sur la Mer Rouge.
  • Tâghût (طاغوت [tāġūt], idole; faux dieu; démon)
Être rebelle, divinité ou simple démon de la rébellion à mettre au nombre des djinns ?
Mon Dieu, comment peut-on être autant à côté de la plaque en 2020, à l'ère des livres et numérique!! Ces divinités n'ont pas été citées dans le cadre du paganisme mecquois, ce sont celles adorées par le peuple de Noé. Voici ce que te dit le Coran:

71:23: "Noé dit: «Seigneur, ils m’ont désobéi et ils ont suivi celui dont les biens et les enfants n’ont fait qu’accroître la perte. Ils ont ourdi un immense stratagème, et ils ont dit: «N’abandonnez jamais vos divinités et n’abandonnez jamais Wadd, Suwā, Yağhūṯ, Ya˒ūq et Nasr’. Elles [les idoles] ont déjà égaré plusieurs."
Auteur : Arlitto
Date : 19 févr.20, 05:06
Message :
a écrit :53:19: "Que vous en semble [des divinités], Lāt et Uuzzā ainsi que Manāt, cette troisième autre? Sera-ce à vous le garçon et à Lui la fille? Que voilà donc un partage injuste! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de [leurs] âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur."

C'est toi qui oublies les versets sataniques, et la modification du Coran, après coup : leur intercession est agréée, sourate qui a été retiré, laissant croire que "Mahomet" n'a jamais dit ça, et qu'il ne s'est jamais agenouillé avec les idolâtres devant les idoles à la Kaaba.


Tu oublies aussi que le nom d'Houbal qui était le seigneur de la Kaaba préislamique en ce temps-là, n'est pas non plus cité dans le Coran.



L'esprit de mensonge n'est pas de mon côté, je n'ai aucun intérêt à mentir devant Dieu, ou devant les hommes, je sais ce qu'il en coûte pour ceux qui mangent le pain du mensonge.

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Auteur : Serviteur d'Allah
Date : 19 févr.20, 05:20
Message :
Arlitto a écrit : 19 févr.20, 05:06 C'est toi qui oublies les versets sataniques, et la modification du Coran, après coup : leur intercession est agréée, sourate qui a été retiré, laissant croire que "Mahomet" n'a jamais dit ça, et qu'il ne s'est jamais agenouillé avec les idolâtres devant les idoles à la Kaaba.
Tu changes encore de sujet pour ne pas répondre, je te comprends!
a écrit :Tu oublies aussi que le nom d'Houbal qui était le seigneur de la Kaaba préislamique en ce temps-là, n'est pas cité dans le Coran.
Je me demande comment tu arrives à gérer autant de contradictions dans ta tête. Un jour tu nous dis que les musulmans adorent une divinité babylonienne, un autre ils sont nazaréens (convertis par Waraqa Ibn Nawfal au monothéisme), un autre ils adorent une idole du nom de Houbal, un autre la divinité A-Lat, etc. Je penses que t'es bon pour la camisole!
a écrit :L'esprit de mensonge n'est pas de mon côté je n'ai aucun intérêt à mentir devant Dieu
Dans ce cas, c'est la deuxième possibilité que j'ai évoquée: t'es dans l’ignorance totale!
a écrit :je sais ce qu'il en coûte pour ceux qui mangent le pain du mensonge.
A partir du moment où tu manges la chair d'un demi-dieu et bois son sang (du paganisme), tu peux goutter à tout.
Auteur : Arlitto
Date : 19 févr.20, 05:28
Message : C'est toi qui es dans l'ignorance totale, pas moi.

J'ai posé plus de dix fois la question qui tue : qui était cette divinité "Allâh", dont le père de 'Mahomet", un idolâtre, était le serviteur avant l'avènement de l'Islam ???

Ta réponse n'a été qu'une diversion, une fuite en avant afin d'éviter de répondre honnêtement.



Note.
a écrit :A partir du moment où tu manges la chair d'un demi-dieu et bois son sang (du paganisme), tu peux goutter à tout.
Jamais fait !
Auteur : Serviteur d'Allah
Date : 19 févr.20, 07:13
Message :
Arlitto a écrit : 19 févr.20, 05:28 C'est toi qui es dans l'ignorance totale, pas moi.
Prouve-moi que tu sais quelque chose en répondant à certains des arguments donnés, sans changer de sujet?
a écrit :J'ai posé plus de dix fois la question qui tue : qui était cette divinité "Allâh", dont le père de 'Mahomet", un idolâtre, était le serviteur avant l'avènement de l'Islam ???
Et tu n'as répondu à aucune des explications qu'on t'as données sur le sujet! De même, je t'ai répondu sur les déesses que tu as citées mais tu te contestes de changer de sujet. Que veux-tu que je fasse, t'obliger à réfléchir?
a écrit :Ta réponse n'a été qu'une diversion, une fuite en avant afin d'éviter de répondre honnêtement.
La balle est dans ton camp. Fais un petit effort pour fois et prouve nous que tu n'es pas qu'un incompétent! :tap:
Auteur : spin
Date : 19 févr.20, 07:35
Message :
Arlitto a écrit : 19 févr.20, 05:06 C'est toi qui oublies les versets sataniques, et la modification du Coran, après coup : leur intercession est agréée, sourate qui a été retiré, laissant croire que "Mahomet" n'a jamais dit ça, et qu'il ne s'est jamais agenouillé avec les idolâtres devant les idoles à la Kaaba.
Plus précisément, ce qui a été retiré et remplacé par "Que voilà donc un partage injuste! Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n’a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de [leurs] âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur", c'est : "Ce sont d'illustres garaniqs dont l'intercession est souhaitable...". Le sens du mot "garaniq" est controversé. Si on les replace, le texte parait plus naturel : on annonce quelque chose de positif, et ça arrive.
Auteur : Arlitto
Date : 19 févr.20, 23:08
Message : Salut Spin, :)

Je sais, mais j'ai voulu faire simple, court, et de tête :hi:

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