Auteur : vic Date : 26 juil.24, 03:55 Message : En réalité les croyants pensent toucher au surnaturel quand ils imaginent des trucs , mais en réalité , leur imagination ne sort jamais de la nature . Même quand on rêve , c'est toujours de choses ou d'éléments de la nature .
On vie dans la nature et pas en dehors .
Si il existait un surnaturel, aucun humain ne pourrait le concevoir .
Conclusion: le surnaturel est un fantasme , jamais un vécu .
Auteur : prisca Date : 26 juil.24, 07:51 Message :
vic a écrit : 26 juil.24, 03:55
En réalité les croyants pensent toucher au surnaturel quand ils imaginent des trucs , mais en réalité , leur imagination ne sort jamais de la nature . Même quand on rêve , c'est toujours de choses ou d'éléments de la nature .
On vie dans la nature et pas en dehors .
Si il existait un surnaturel, aucun humain ne pourrait le concevoir .
Conclusion: le surnaturel est un fantasme , jamais un vécu .
Ce n'est pas surnaturel de sortir de son corps, c'est tout à fait naturel.
Comment expliquer scientifiquement les sorties de corps ? Présente moi des hypothèses.
ChatGPT :
Les sorties de corps, ou expériences extracorporelles (EEC), sont des phénomènes où une personne a l'impression de se séparer de son corps physique et de percevoir le monde à partir d'un point de vue extérieur. Bien que ces expériences soient souvent rapportées, leur explication scientifique reste sujette à débat. Voici quelques hypothèses pour expliquer les sorties de corps :
1. Hypothèse Neurobiologique
A. Dysfonctionnement du Lobe Pariétal
Le lobe pariétal est impliqué dans la perception de l'espace et de la position du corps dans cet espace. Un dysfonctionnement ou une perturbation de cette région pourrait entraîner des sensations de délocalisation du corps.
B. Stimulation Électrique du Cerveau
Des études ont montré que la stimulation électrique du gyrus angulaire droit (partie du lobe pariétal) peut provoquer des sensations de sortie de corps. Cela suggère que des anomalies dans cette région peuvent être à l'origine de telles expériences.
2. Hypothèse Psychologique
A. Dissociation
Les expériences de dissociation, souvent liées à des traumatismes ou des stress intenses, peuvent inclure des sensations de détachement du corps. Les sorties de corps pourraient être une forme extrême de dissociation.
B. Rêve Lucide et Hallucinations Hypnagogiques
Les sorties de corps pourraient être des formes de rêves lucides ou d'hallucinations hypnagogiques (expériences qui se produisent entre l'état de veille et de sommeil). Pendant ces états, le cerveau peut créer des perceptions vives et réalistes de séparation du corps.
3. Hypothèse Perceptive et Cognitive
A. Schéma Corporel Perturbé
Le schéma corporel, ou la représentation interne du corps, peut être perturbé par divers facteurs, notamment des maladies, des drogues, ou des états de conscience altérés, menant à des sensations de sortie de corps.
B. Expériences de Mort Imminente (EMI)
Les sorties de corps sont souvent rapportées dans le cadre des EMI. Ces expériences pourraient être liées à une combinaison de facteurs neurobiologiques et psychologiques sous des conditions de stress extrême.
4. Hypothèse Pharmacologique
A. Drogues Psychédéliques
Certaines substances psychédéliques, comme la kétamine, le LSD, ou la DMT, peuvent induire des sorties de corps en altérant les perceptions sensorielles et le fonctionnement normal du cerveau.
B. Anesthésie
Des sorties de corps ont été rapportées sous anesthésie générale, ce qui suggère que les médicaments qui modifient l'état de conscience peuvent provoquer ces sensations.
5. Hypothèse Expérientielle et Spirituelle
A. Méditation et Techniques Spirituelles
Des pratiques méditatives avancées et d'autres techniques spirituelles peuvent induire des sorties de corps. Ces états pourraient être le résultat de l'auto-induction de changements neurobiologiques et psychologiques.
B. Explications Culturelles et Religieuses
De nombreuses cultures et traditions religieuses interprètent les sorties de corps comme des expériences spirituelles ou mystiques, où l'esprit ou l'âme se sépare temporairement du corps.
En Résumé
Les sorties de corps sont des phénomènes complexes qui peuvent être explorés sous divers angles scientifiques, incluant des hypothèses neurobiologiques, psychologiques, perceptives, pharmacologiques, et expérientielles. Chaque hypothèse apporte des éléments de compréhension, mais aucune ne fournit une explication complète et définitive à ce jour. Les recherches continuent afin de mieux comprendre ces expériences fascinantes et mystérieuses.
JMI :
Toutes ces hypothèses nient la réalité possible de perceptions extracorporelles.
ChatGPT :
Vous avez raison, la plupart des hypothèses scientifiques traditionnelles tendent à expliquer les expériences extracorporelles (EEC) par des mécanismes internes au cerveau et à la perception, sans accepter l'idée que des perceptions réelles puissent se produire en dehors du corps physique. Toutefois, certaines hypothèses ou théories prennent en compte la possibilité que les perceptions extracorporelles soient plus que de simples hallucinations ou anomalies cérébrales. Voici quelques-unes de ces hypothèses :
1. Théorie du Champ de Conscience Non-localisé
Hypothèse : La conscience pourrait ne pas être strictement localisée dans le cerveau mais pourrait exister comme un champ qui s'étend au-delà du corps physique.
Support : Certains chercheurs, comme Rupert Sheldrake avec sa théorie des champs morphiques, suggèrent que la conscience pourrait interagir avec un champ qui n'est pas limité au cerveau.
Implications : Cela pourrait expliquer pourquoi certaines personnes rapportent des perceptions précises d'événements ou de lieux éloignés de leur corps physique.
2. Théorie Quantique de la Conscience
Hypothèse : Les phénomènes quantiques pourraient jouer un rôle dans la conscience, permettant des états de conscience non-locaux.
Support : Des théories comme celle de Roger Penrose et Stuart Hameroff proposent que la conscience pourrait être liée à des processus quantiques dans les microtubules des neurones.
Implications : Si la conscience a des propriétés quantiques, elle pourrait potentiellement transcender les limites de l'espace-temps classique, rendant possibles les perceptions extracorporelles.
3. Théorie des Dimensions Supérieures
Hypothèse : Les expériences extracorporelles pourraient impliquer des dimensions supplémentaires au-delà de notre compréhension tridimensionnelle de l'espace.
Support : La physique théorique, notamment la théorie des cordes, suggère l'existence de dimensions supplémentaires. Certains chercheurs spéculent que la conscience pourrait accéder à ces dimensions dans des états altérés.
Implications : Dans des dimensions supérieures, des perceptions et des expériences non limitées par les contraintes physiques habituelles pourraient être possibles.
4. Hypothèse de la Conscience Collective
Hypothèse : Les individus pourraient accéder à une forme de conscience collective ou universelle dans laquelle des informations au-delà de leur perception individuelle sont disponibles.
Support : Carl Jung a proposé l'idée d'un inconscient collectif, et certaines traditions spirituelles parlent d'une "noosphère" ou d'un champ de conscience globale.
Implications : Les sorties de corps pourraient être des moments où un individu se connecte temporairement à ce champ collectif, percevant des informations normalement inaccessibles.
5. Hypothèse des Entités ou Guides Spirituels
Hypothèse : Les expériences extracorporelles pourraient impliquer des interactions avec des entités ou guides spirituels qui aident ou guident l'expérienceur à percevoir des réalités au-delà de la normale.
Support : De nombreux récits d'EEC incluent des interactions avec des êtres ou des guides spirituels qui semblent posséder une connaissance ou une perception supérieure.
Implications : Ces expériences pourraient indiquer des dimensions de réalité où des entités conscientes existent indépendamment du corps physique humain.
En Résumé
Bien que ces hypothèses restent spéculatives et souvent controversées dans la communauté scientifique, elles ouvrent la porte à la possibilité que les expériences extracorporelles puissent inclure des perceptions réelles et non simplement des constructions internes du cerveau. Ces hypothèses nécessitent des recherches rigoureuses et des preuves empiriques pour être validées ou réfutées. Elles élargissent néanmoins le cadre de notre compréhension potentielle de la conscience et de la réalité. .
Auteur : vic Date : 27 juil.24, 02:20 Message :
prisca a écrit : 26 juil.24, 07:51
Ce n'est pas surnaturel de sortir de son corps, c'est tout à fait naturel.
Autrement dit , si une chose est vécue ou me semble vécue , c'est qu'elle est naturelle .
Un dieu ou un être surnaturel ne pourraient jamais constituer des vécus .
Tout vécu se passe au sein même de la nature .
Toute forme de transcendance ne serait qu'imagination d'un vécu transcendant à partir de l'immanence et non une transcendance en soi .
La transcendance ne pourrait en aucun cas être vécue .
Auteur : prisca Date : 27 juil.24, 02:42 Message :
vic a écrit : 27 juil.24, 02:20
Autrement dit , si une chose est vécue ou me semble vécue , c'est qu'elle est naturelle .
Un dieu ou un être surnaturel ne pourraient jamais constituer des vécus .
Tout vécu se passe au sein même de la nature .
Toute forme de transcendance ne serait t qu'imagination d'un vécu transcendant et non une transcendance en soi .
La transcendance ne pourrait en aucun cas être vécue .
Oui il faut souligner que le vécu n'est pas un gage de sureté, de certitude, c'est juste un sentiment de vécu.
Mais ce sentiment confère à celui qui le vit la certitude, ce sentiment ne se partage pas, il ne peut pas être mis sur la table pour constituer une preuve.
Moi rationnellement cette expérience de sortie du corps m'a confortée dans l'idée que l'esprit vit dépouillé du corps.
Maintenant je reconnais le scepticisme chez les gens car il faut l'avoir vécue cette expérience pour en tirer une preuve pour soi.
Auteur : vic Date : 27 juil.24, 02:46 Message :
prisca a écrit : 27 juil.24, 02:42
Oui il faut souligner que le vécu n'est pas un gage de sureté, de certitude, c'est juste un sentiment de vécu.
Mais ce sentiment confère à celui qui le vit la certitude, ce sentiment ne se partage pas, il ne peut pas être mis sur la table pour constituer une preuve.
Moi rationnellement cette expérience de sortie du corps m'a confortée dans l'idée que l'esprit vit dépouillé du corps.
Maintenant je reconnais le scepticisme chez les gens car il faut l'avoir vécue cette expérience pour en tirer une preuve pour soi.
Si l'esprit n'a pas d'existence locale , il ne peut pas entrer et sortir du corps .
Dire et poser comme thèse " l'esprit est non local ", et poser ensuite " l'esprit non local" peut entrer ou sortir d'un corps " est un oxymore .
Votre expérience ressemble fortement à une illusion dissociative .
Auteur : sansparole Date : 27 juil.24, 03:56 Message : Comme l'a souligné JMI, il est prouvé scientifiquement que le cerveau pouvait donner une illusion de sortie du corps.
A partir de là, on ne peut donc s'appuyer sur cette expérience pour en faire une certitude même sur le plan personnel.
Auteur : prisca Date : 27 juil.24, 03:57 Message :
vic a écrit : 27 juil.24, 02:46
Si l'esprit n'a pas d'existence locale , il ne peut pas entrer et sortir du corps .
Dire et poser comme thèse " l'esprit est non local ", et poser ensuite " l'esprit non local" peut entrer ou sortir d'un corps " est un oxymore .
Votre expérience ressemble fortement à une illusion dissociative .
Via mon expérience j'ai pu donc expérimenter que l'esprit sort du corps, le corps n'étant qu'un véhicule de l'esprit, et l'esprit c'est "le Moi" c à d qu'étant au plafond de ma chambre l'émission de ma pensée était au plafond tandis que je voyais ce corps (le mien) comme mort sur le lit étendu.
Mon corps avait l'air d'être mort cependant il n'était qu'endormi, dans un sommeil sans rêve puisque "Moi" et tout ce qui compose ma conscience subconscience inconscience lesquelles fabriquent les rêves étaient à l'extérieur de ce corps que je considère comme étant de la matière organique à la vie ininterrompue grâce au mécanisme du coeur qui pompe, alors que le centre névralgique de commande, mon esprit lui vaquait à d'autres occupations, plus concentré sur ce qui lui arrivait, c à d dans l'émoi de ne plus être dans ce corps.
A noter que je vois avec les yeux de l'esprit. Ne me demandez pas comment ça marche, j'ignore.
Auteur : Stop ! Date : 27 juil.24, 20:23 Message : Ma voiture est capable de se représenter vue de dessus avec son environnement,
et je suis témoin qu'aucune caméra ne la survole. Nous avons donc déjà trouvé
un moyen de "copier" technologiquement les sorties de corps. L'explication viendra.
Auteur : sansparole Date : 27 juil.24, 22:26 Message :
Stop ! a écrit : 27 juil.24, 20:23
Ma voiture est capable de se représenter vue de dessus avec son environnement,
et je suis témoin qu'aucune caméra ne la survole. Nous avons donc déjà trouvé
un moyen de "copier" technologiquement les sorties de corps. L'explication viendra.
Mais Stop, il y a déjà une explication possible et confirmée scientifiquement, celle d'une illusion créée par le cerveau, illusion qu'on peut provoquer grâce à des drogues ou en stimulant électriquement une partie du lobe pariétal : le gyrus angulaire droit (voir explication de JMI)
Alors, évidemment, on ne peut affirmer qu'il n'existe pas des vraies sorties du corps mais le fait que le cerveau soit capable de créer cette illusion rend tout témoignage sujet à caution.
Personne ne peut affirmer quoi que ce soit à partir de ce simple vécu.
Pour ma part, j'ai des problèmes d'oreille interne, il m'arrive de voir le sol se soulever, tourner autour de mes pieds etc. illusions crées par mon cerveau qui reçoit de fausses informations et les interprète comme il peut.
Alors, je peux l'affirmer, dans la réalité, le sol ne se déforme pas, ne bascule pas, ne tourne pas et pourtant, pour moi, à ce moment là, c'est la réalité, c'est ce que je vis même si rien n'est réel.
Auteur : J'm'interroge Date : 27 juil.24, 23:31 Message :.
Un vécu quelqu'il soit, même une hallucination, reste une réalité vécue. L'erreur peut provenir de l'interprétation qu'on en fait.
Exemple :
prisca a écrit : 27 juil.24, 02:42
Moi rationnellement cette expérience de sortie du corps m'a confortée dans l'idée que l'esprit vit dépouillé du corps.
Comme prisca le dit ça lui a confirmer quelque chose qu'elle pense. Mais comme on le sait, en bonne rationnalité, une confirmation ne constitue jamais en elle-même une preuve de quoi que ce soit.
prisca a écrit : 27 juil.24, 03:57
Via mon expérience j'ai pu donc expérimenter que l'esprit sort du corps, [...
Ce n'est pas ici une expérimentation d'une sortie de corps, prisca interprête dans ce sens un vécu particulier qui est le sien. C'est une interprétation ou une conclusion de raisonnement qu'elle en tire.
prisca a écrit : 27 juil.24, 03:57
...] le corps n'étant qu'un véhicule de l'esprit, [...
Interprétation ou conclusion de raisonnement, non un vécu en tant que tel.
prisca a écrit : 27 juil.24, 03:57
...] et l'esprit c'est "le Moi"[...
Interprétation ou conclusion de raisonnement, non un vécu en tant que tel.
prisca a écrit : 27 juil.24, 03:57
c à d qu'étant au plafond de ma chambre l'émission de ma pensée était au plafond tandis que je voyais ce corps (le mien) comme mort sur le lit étendu.
Interprétation ou conclusion de raisonnement, non un vécu en tant que tel.
À partir du vécu que tu décris, tu ne peux pas savoir si l'émission de tes pensées provenaient d'un point en dehors de ton corps situé au-dessus de lui et à quelques centimètre du plafond. Tu ne peux que le conjecturer, et cette expérience n'en constitue pas une preuve.
prisca a écrit : 27 juil.24, 03:57
Mon corps avait l'air d'être mort cependant il n'était qu'endormi, dans un sommeil sans rêve puisque "Moi" et tout ce qui compose ma conscience subconscience inconscience lesquelles fabriquent les rêves étaient à l'extérieur de ce corps que je considère comme étant de la matière organique à la vie ininterrompue grâce au mécanisme du coeur qui pompe, alors que le centre névralgique de commande, mon esprit lui vaquait à d'autres occupations, plus concentré sur ce qui lui arrivait, c à d dans l'émoi de ne plus être dans ce corps.
Interprétation et conclusion de raisonnement, non un vécu en tant que tel. Tu n'en sais rien si tout ce qui compose ta conscience subconscience inconscience lesquelles fabriquent les rêves étaient bien à l'extérieur de ce corps organique.
Une preuve que ce ne serait pas qu'une hallucination, serait de pouvoir reproduire cette expérience en laboratoire et de pouvoir en rapporter des information que la personne ne pouvait connaitre de la position qu'elle occupe physiquement.
sansparole a écrit : 27 juil.24, 22:26
Mais Stop, il y a déjà une explication possible et confirmée scientifiquement, celle d'une illusion créée par le cerveau, illusion qu'on peut provoquer grâce à des drogues ou en stimulant électriquement une partie du lobe pariétal : le gyrus angulaire droit (voir explication de JMI)
Oui, c'est déjà suffisant pour mettre la sortie de corps au rang de simple conjecture.
Auteur : sansparole Date : 28 juil.24, 00:25 Message :
J'm'interroge a écrit : 27 juil.24, 23:31
Un vécu quelqu'il soit, même une hallucination, reste une réalité vécue. L'erreur peut provenir de l'interprétation qu'on en fait.
Oui, tu as raison.
Pour reprendre mon exemple, pour moi, c'est une réalité vécue mais, évidemment, je ne peux l'interpréter que comme une hallucination puisque les personnes présentes peuvent témoigner que le sol n'a pas bougé et que moi même je peux constater qu'il n'a pas pu le faire.
Auteur : J'm'interroge Date : 28 juil.24, 00:45 Message :
sansparole a écrit :
Mais Stop, il y a déjà une explication possible et confirmée scientifiquement, celle d'une illusion créée par le cerveau, illusion qu'on peut provoquer grâce à des drogues ou en stimulant électriquement une partie du lobe pariétal : le gyrus angulaire droit (voir explication de JMI)
Stop ! a écrit : 27 juil.24, 23:48
Oui, c'est déjà suffisant pour mettre la sortie de corps au rang de simple conjecture.
En l'absence de preuve comme j'ai dit, oui.
JMI :
Une preuve que ce ne serait pas qu'une hallucination, serait de pouvoir reproduire cette expérience en laboratoire et de pouvoir mettre en évidence que les personnes qui disent vivre de telles choses sont capables de rapporter des informations qu'elles ne peuvent pas connaitre ou deviner de la position qu'elles occupent physiquement durant l'expérience.
.................................
J'm'interroge a écrit : 27 juil.24, 23:31
Un vécu quelqu'il soit, même une hallucination, reste une réalité vécue. L'erreur peut provenir de l'interprétation qu'on en fait.
sansparole a écrit : 28 juil.24, 00:25
Oui, tu as raison.
Pour reprendre mon exemple, pour moi, c'est une réalité vécue mais, évidemment, je ne peux l'interpréter que comme une hallucination puisque les personnes présentes peuvent témoigner que le sol n'a pas bougé et que moi même je peux constater qu'il n'a pas pu le faire.
Oui. Et je pense que dans ce cas précis, tu interprètes bien. .
Auteur : prisca Date : 28 juil.24, 05:42 Message :
J'ai juste partagé mon expérience personnelle après chacun en fait ce qu'il voudra.
Ton expérience oui, ainsi que tes interprétations et conclusions.
Perso, comme tu le sais, je n'affirme pas que l'esprit se réduise à des fonctions cérébrales. Pourquoi ? Parce que je n'en ai pas la preuve formelle.
Ceci dit, jusqu'à preuve du contraire, les explications scientifiques réductionnistes sont à privilégier. .
Auteur : vic Date : 28 juil.24, 22:51 Message :
a écrit :JMI :
Une preuve que ce ne serait pas qu'une hallucination, serait de pouvoir reproduire cette expérience en laboratoire et de pouvoir mettre en évidence que les personnes qui disent vivre de telles choses sont capables de rapporter des informations qu'elles ne peuvent pas connaitre ou deviner de la position qu'elles occupent physiquement durant l'expérience.
J'avais lu qu'un certain nombre d'hopitaux aux usa dans les salles d'opération mettaient des choses au mur , des chiffres ou lettres ou dessins au mur en évidence de façon à pouvoir confirmer les sortis de corps EMI durant une opération . Et ça n'a donné aucun résultat. Alors que les personnes qui vivent une Emi prétendent voir la salle d'opération durant leur opération , naviguer au plafond etc ....
Auteur : J'm'interroge Date : 28 juil.24, 23:50 Message :
vic a écrit : 28 juil.24, 22:51
J'avais lu qu'un certain nombre d'hopitaux aux usa dans les salles d'opération mettaient des choses au mur , des chiffres ou lettres ou dessins au mur en évidence de façon à pouvoir confirmer les sortis de corps EMI durant une opération . Et ça n'a donné aucun résultat. Alors que les personnes qui vivent une Emi prétendent voir la salle d'opération durant leur opération , naviguer au plafond etc ....
Rien de concluant en effet. Ceci dit cette expérience était mal conçue.
Seule la vision à distance (remote viewing) a donné des résultats exploitables. .
Auteur : ronronladouceur Date : 29 juil.24, 06:21 Message :
vic a écrit : 28 juil.24, 22:51
J'avais lu qu'un certain nombre d'hopitaux aux usa dans les salles d'opération mettaient des choses au mur , des chiffres ou lettres ou dessins au mur en évidence de façon à pouvoir confirmer les sortis de corps EMI durant une opération . Et ça n'a donné aucun résultat. Alors que les personnes qui vivent une Emi prétendent voir la salle d'opération durant leur opération , naviguer au plafond etc ....
Tu connais peut-être...
Auteur : pierrem333 Date : 30 juil.24, 11:49 Message : L'intelligence tue toute forme d'évolution possible, c'est pour cette raison que l'ont doit obligatoirement renaître de nouveau pour pouvoir dépassé les bornes que nous avons.
Auteur : Stop ! Date : 30 juil.24, 23:47 Message : Ben oui mais si jamais c'est pas ça ?
Auteur : pierrem333 Date : 31 juil.24, 02:16 Message :
Stop ! a écrit : 30 juil.24, 23:47
Ben oui mais si jamais c'est pas ça ?
Si c'est pas çà ,bien JM a 100% raison
Auteur : ronronladouceur Date : 31 juil.24, 05:51 Message :
sansparole a écrit : 27 juil.24, 03:56
Comme l'a souligné JMI, il est prouvé scientifiquement que le cerveau pouvait donner une illusion de sortie du corps.
A partir de là, on ne peut donc s'appuyer sur cette expérience pour en faire une certitude même sur le plan personnel.
Si une expérience t'enlève la peur de la mort, que ce soit une illusion ou non, vive alors l'illusion!!
Y a-t-il lieu de penser que le monde ne s'arrête pas à l'unique connu ou que celui-ci ne s'explique qu'à l'aune de la science? Et donc la réalité ne se limiterait qu'à ce qu'on en sait?
Considérer que l'esprit ne se situe pas dans le cerveau est-il antiscientifique?
La théorie des multivers suppose-t-elle une forme de surimposition d'univers ou de réalités?
Il y a Monod aussi qui écrit par rapport à la science : Le miracle est « expliqué » : il nous paraît encore miraculeux....
Auteur : Stop ! Date : 31 juil.24, 20:07 Message : Un athée comme moi peut "espérer" qu'il y ait quelque chose après la mort,
mais de là à y croire ...
Auteur : sansparole Date : 31 juil.24, 22:47 Message :
ronronladouceur a écrit : 31 juil.24, 05:51
Si une expérience t'enlève la peur de la mort, que ce soit une illusion ou non, vive alors l'illusion!!
Intéressante question qui revient régulièrement sur ce forum : si quelqu'un est heureux dans son illusion, pourquoi la remettre en cause ?
Cela pourrait faire l'objet d'épreuve de philosophie, la vérité est-elle toujours souhaitable ?
Par exemple, vaut-il mieux avoir peur du vide ou prendre une drogue qui nous fait oublier que les dangers du vide ?
Vaut-il mieux aller voir le médecin pour faire des examens ou rester dans l'illusion de ne rien avoir de grave ?
Et, pour en revenir au sujet, vaut-il mieux accepter une vie difficile avec l'espoir que tout ne finit pas avec cette vie ou chercher à avoir la vie la meilleure possible en étant convaincu qu'il n'y a rien après ?
Eh oui, si on t'offre une flute de Louis Roederer de 1947, tu vas le déguster avec soin, en apprécier toutes les nuances car tu sais très bien que c'est déjà une chance exceptionnelle de pouvoir en boire un verre, si, par contre, tu bois un verre d'eau ou d'une boisson courante, tu vas peut être descendre le verre sans même y penser !
Voila où se situe la différence : dans l'appréciation de la valeur des choses, qu'est ce que la vie si ce n'est qu'une infime partie de ce que tu es appelé à vivre ? Quel intérêt a t'elle ?
Alors oui, peut être que le sentiment que tout ne s'arrête pas là te permettra de mieux vivre certaines conditions mais est ce que ça ne sera pas au prix de ne pas accorder à la vie sa vraie valeur et, au fond, de ne pas en avoir apprécié pleinement la saveur.
Auteur : J'm'interroge Date : 31 juil.24, 23:23 Message :
sansparole a écrit : 31 juil.24, 22:47
Intéressante question qui revient régulièrement sur ce forum : si quelqu'un est heureux dans son illusion, pourquoi la remettre en cause ?
Cela pourrait faire l'objet d'épreuve de philosophie, la vérité est-elle toujours souhaitable ?
Je préfèrerai toujours savoir à croire, au point de ne rien croire. .
Auteur : ronronladouceur Date : 01 août24, 02:14 Message :
sansparole a écrit : 31 juil.24, 22:47
Intéressante question qui revient régulièrement sur ce forum : si quelqu'un est heureux dans son illusion, pourquoi la remettre en cause ?
Cela pourrait faire l'objet d'épreuve de philosophie, la vérité est-elle toujours souhaitable ?
Je n'en ferais pas un absolu... Faut savoir s'adapter aux circonstances... Dire (ou non) la vérité dans certains cas pourrait bouleverser tout un monde...
Bouddha répond à la question (de mémoire): ''Ce n'est pas tant la vérité qui compte, mais ce qui aide la personne.'' Et l'on comprendra que si la vérité aide la personne, pourquoi pas...
Glanée : ''Face à une maladie grave, certains médecins estiment que les patients ont le droit de tout savoir tandis que d’autres jugent légitime de mentir... Par humanité.''
Par exemple, vaut-il mieux avoir peur du vide ou prendre une drogue qui nous fait oublier que les dangers du vide ?
Vaut-il mieux aller voir le médecin pour faire des examens ou rester dans l'illusion de ne rien avoir de grave ?
Et, pour en revenir au sujet, vaut-il mieux accepter une vie difficile avec l'espoir que tout ne finit pas avec cette vie ou chercher à avoir la vie la meilleure possible en étant convaincu qu'il n'y a rien après ?
Comment savoir (sans avoir le détail des diverses circonstances)?
Et pourquoi uniquement que deux possibilités?
Eh oui, si on t'offre une flute de Louis Roederer de 1947, tu vas le déguster avec soin, en apprécier toutes les nuances car tu sais très bien que c'est déjà une chance exceptionnelle de pouvoir en boire un verre, si, par contre, tu bois un verre d'eau ou d'une boisson courante, tu vas peut être descendre le verre sans même y penser !
Et si je sais que boire une seule goutte de peu importe l'alcool qu'on me présente risque de me faire le plus grand tort?
Voila où se situe la différence : dans l'appréciation de la valeur des choses, qu'est ce que la vie si ce n'est qu'une infime partie de ce que tu es appelé à vivre ? Quel intérêt a t'elle ?
La valeur des choses est tributaire de ton rapport à elles...
Alors oui, peut être que le sentiment que tout ne s'arrête pas là te permettra de mieux vivre certaines conditions mais est ce que ça ne sera pas au prix de ne pas accorder à la vie sa vraie valeur et, au fond, de ne pas en avoir apprécié pleinement la saveur.
C'est vrai que si, pour une raison ou pour une autre, t'as perdu le goût, il sera difficile voire impossible d'en apprécier la saveur...
Et quand les circonstances n'aident pas, incluant ton type de personnalité, peut-être que la drogue ou l'alcool seront un substitut nécessaire (temporaire) pour te maintenir à flot... Il faut donc considérer les conjonctures...
Auteur : sansparole Date : 01 août24, 02:49 Message :
ronronladouceur a écrit : 01 août24, 02:14Et si je sais que boire une seule goutte de peu importe l'alcool qu'on me présente risque de me faire le plus grand tort?
Tu as tout à fait raison, j'aurais dû prendre un autre exemple mais tu as compris ce que je voulais dire.
Et, tu vois, si j'ai raison, alors j'ai bien fait de profiter de chaque instant de cette existence, si tu as raison, alors j'aurais bien fait de profiter de chaque instant de cette existence et je pourrais continuer
Auteur : ChristianK Date : 07 août24, 14:24 Message :
Vic a écrit :
En réalité les croyants pensent toucher au surnaturel quand ils imaginent des trucs , mais en réalité , leur imagination ne sort jamais de la nature . Même quand on rêve , c'est toujours de choses ou d'éléments de la nature .
On vie dans la nature et pas en dehors .
Si il existait un surnaturel, aucun humain ne pourrait le concevoir .
Conclusion: le surnaturel est un fantasme , jamais un vécu .
Pétition de principe évidente qui rappelle les problèmes impliqués par le sens du mot « nature » dans le Spinozisme. Si nature=tout ce qui existe, alors St Thomas va tout de suite admettre que Dieu fait partie de la nature. (mais pas de la nature empirique créée).
La position ci-haut prend le terme nature dans le sens de réel. Alors oui, les croyants sont reliés par hypothèse à un réel surnaturel.
Si on prend nature au sens de nature matérielle ou empirique, les croyants ont accès à autre chose, un réel bis, qui n’est surnaturel qu’au sens d’au-delà de cette nature empirique, sensible.