Résultat du test :
Auteur : Saint Glinglin
Date : 06 mai13, 10:14
Message : Chers téléspectateurs, bonsoir.
Dans notre série Les athées instruisent les croyants, nous allons demander aux croyants leur opinion sur une énigme.
Jn 8.1 Jésus se rendit à la montagne des oliviers.
8.2 Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. S'étant assis, il les enseignait.
8.3 Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère;
8.4 et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère.
8.5 Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes: toi donc, que dis-tu?
8.6 Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.
8.7 Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle.
8.8 Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre.
8.9 Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu.
8.10 Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont ceux qui t'accusaient? Personne ne t'a-t-il condamnée?
8.11 Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus.
------------------------------------------
Qu'a donc écrit Jésus sur le sol ?
Auteur : Anonymous
Date : 06 mai13, 18:57
Message : Bonjour,
Juste une précision, ce passage fait partie des écrits ne se retrouvant pas dans les manuscrits les plus anciens, on peut le considérer comme apocryphe.
Au plaisir,
Pierre
Auteur : Saint Glinglin
Date : 06 mai13, 22:34
Message : Un canonique est un apocryphe qui a réussi.
Cordialement.
Auteur : Anonymous
Date : 06 mai13, 23:14
Message : né de nouveau a écrit :Bonjour,
Juste une précision, ce passage fait partie des écrits ne se retrouvant pas dans les manuscrits les plus anciens, on peut le considérer comme apocryphe.
Au plaisir,
Pierre
Salut Pierre,
Pourquoi garder ce passage dans les traductions bibliques, si ce passage est considéré comme apocryphe ???
Sais-tu que " Matthieu 28:19", est aussi controversé et qu'il pourrait s'agir d'un ajout tardif ???
« Allez donc et instruisez toutes les nations,
les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
Tout d’abord, il y a de fortes présomptions que la partie soulignée fut modifiée. Eusèbe de Césarée, surnommé par certain « Père de l'histoire ecclésiastique », fut un auteur prolifique qui vécut aux environs de 265 à 340 de notre ère.
L'un de ses ouvrages les plus reconnus est son Histoire Ecclésiastique, un récit qui relate l'histoire de l'Église de ses débuts apostoliques jusqu'à la période qui est celle d'Eusèbe de Césarée. Il s'agit encore aujourd'hui de la principale référence concernant l'histoire de l'Église sur cette période. Eusèbe cite de nombreux versets bibliques dans ses écrits, Matthieu 28:19 est l'un de ceux-ci. Il ne cite jamais ce verset tel qu'il apparaît désormais dans nos versions contemporaines de la Bible, mais il termine toujours le verset par les mots suivants : « en mon nom ».
Un exemple de ceci se trouve dans le Livre III de son Histoire Ecclésiastique au Chapitre 5 et à la Section 2 décrivant la persécution des leaders juifs à l'encontre de l'église apostolique. « Le reste des apôtres fut aussi l'objet de mille machinations dans le but de les mettre à mort. Chassés de la Judée, ils entreprirent d'aller dans toutes les nations, pour enseigner et prêcher avec la puissance du Christ qui leur avait dit : « Allez enseignez toutes les nations en mon nom. » (Traduction d’Émile Grapin, 1905). Auteur : Saint Glinglin
Date : 06 mai13, 23:50
Message : Chers téléspectateurs, bonjour.
Nous constatons une fois de plus que les croyants ne sont pas fichus d'expliquer ce qu'ils sont censés croire.
Auteur : Anonymous
Date : 07 mai13, 00:01
Message : Bonjour
Bible WT
N°éditeur 5728
Dépôt Légal avril 1996
ISBN 2-91 1291-01-8
il est noté que ces passages Jean 7:53,8:1-11
(qui sont écrits d'ailleurs et donc non occultés)
manquent dans les manuscrits:
Codex Sinaiticus IV NE
Codex Vaticanus IV NE
Version Syriaque Sinaitique IV NE et V NE
bon après Je ne peux pas répondre à la question de Saint GlinGlin, je suis trop nul et bien que croyant, en ceci Saint GlinGlin a raison en ce qui me concerne en tout cas
si Saint GlinGlin a ouvert ce fil je suppose qu'il connait la raison (supposition une mise en perspective sur le Tanak de ces versets)
je ne voit pas où il veux en venir mais ça m'étonnerai beaucoup que ce soit pour nous mener en bateau
vu qu'il connait tres bien la bible Hébraique il a prouvé ici sur ce forum ayant cité Juges 9:8
à ce stade je le contredit sur le fait que justement ce verset là ne met pas en doute la veracitée du passage dans lequel Jesus guérie l'aveugle et donc que ce n'est pas 'un triturage" par contre un sens je lui donne raison il fallait que ce miracle s'accomplisse tel qu'il est decrit (à la limite oui ce miracle fonctionne du premier coup car il confirme Juges 9:8 )
Auteur : Jean Moulin
Date : 07 mai13, 05:12
Message : ultrafiltre a écrit :je ne voit pas où il veux en venir
Nulle part, sinon essayer de mettre les croyants dans l'embarras !
Auteur : Anonymous
Date : 07 mai13, 05:17
Message : Jean Moulin a écrit :Nulle part, sinon essayer de mettre les croyants dans l'embarras !
eh bien si c'est mon cas je le mérite!!!
il est honnête c'est à nous de faire un effort
mais avec mes maths je suis handicapé
mais c'est mon problème
je suis responsable de ma pensée faut pas toujours accuser les autres
quand je disais ça, je disait où il veut en venir sur son idée
mais il faut réfléchir et pas avoir le travail déjà prêt comme un plat surgelé du supermarket
désolé mais en ce qui me concerne
Auteur : Anonymous
Date : 07 mai13, 05:19
Message : Arlitto a écrit :
Salut Pierre,
Pourquoi garder ce passage dans les traductions bibliques, si ce passage est considéré comme apocryphe ???
Tout simplement à titre d'information afin de comprendre pourquoi d'autres traductions ont ces versets.
Auteur : Anonymous
Date : 07 mai13, 05:28
Message : C'est honnête Jean Moulin !
le but n'est pas de mettre dans l'embarras
et pourquoi d'ailleurs puisque ça c'est centré sur l'ego et le plaisir que cela entraine...
Soyons honnête la seule chose qui soit importante au fond non?
ultrafiltre a écrit :
eh bien si c'est mon cas je le mérite!!!
il est honnête c'est à nous de faire un effort
mais avec mes maths je suis handicapé
mais c'est mon problème
je suis responsable de ma pensée faut pas toujours accuser les autres
quand je disais ça, je disait où il veut en venir sur son idée
mais il faut réfléchir et pas avoir le travail déjà prêt comme un plat surgelé du supermarket
désolé mais en ce qui me concerne
Auteur : medico
Date : 07 mai13, 09:44
Message : commentaire de la bible des peuples.
Les plus anciens manuscrits de l’évangile de Jean ne contiennent pas le passage 8.1-11. Certains pensent que ce passage vient d’autres sources. Peut-être ce passage provient-il de l’évangile de Luc et a-t-il été inséré plus tardivement dans le texte de Jean.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 07 mai13, 10:29
Message : Quelle qu'en soit la source, il a son sens et c'est ce qui nous intéresse.
Auteur : medico
Date : 07 mai13, 19:33
Message : Saint Glinglin a écrit :Quelle qu'en soit la source, il a son sens et c'est ce qui nous intéresse.
justement il n'a rien écrit de particulier.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 07 mai13, 23:09
Message : Et quel est le contenu de ce "rien de particulier" et pourquoi cela est-il rapporté ?
Auteur : medico
Date : 08 mai13, 06:01
Message : Saint Glinglin a écrit :Et quel est le contenu de ce "rien de particulier" et pourquoi cela est-il rapporté ?
si il y avait quelque chose de particulier ça se serait.c'est d'une simplicité évangélique.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 08 mai13, 06:45
Message : Pas du tout.
Les Evangiles sont pleins de chose non expressément écrites et destinées seulement aux initiés comme par exemple la signification du nombre de 153 poissons d'une pêche miraculeuse ou bien celle des arbres qui marchent.
Auteur : medico
Date : 08 mai13, 08:02
Message : Saint Glinglin a écrit :Pas du tout.
Les Evangiles sont pleins de chose non expressément écrites et destinées seulement aux initiés comme par exemple la signification du nombre de 153 poissons d'une pêche miraculeuse ou bien celle des arbres qui marchent.
mais c'est que tu interprètes et va au delà de ce que disent les évangiles.
tu affirme s beaucoup sans preuve.
Monsieur Saint Glinglin le dit donc c'est une vérité.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 08 mai13, 08:29
Message : En quoi mon interprétation de ceci est-elle erronée ?
http://www.forum-religion.org/oecumenis ... 26011.html Auteur : medico
Date : 08 mai13, 19:22
Message : moi je sais il a écrit zorro.

Auteur : Saint Glinglin
Date : 08 mai13, 22:13
Message : Il semblerait que le fait de moins comprendre l'Evangile qu'un athée t'es désagréable...
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 00:23
Message : Saint Glinglin a écrit :Il semblerait que le fait de moins comprendre l'Evangile qu'un athée t'es désagréable...
c'est toi qui dit ça alors que tu ne fais que rabaisser tes interlocuteurs!
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 00:38
Message : Bonjour
en tout cas le rapport avec Juge 9:8(de memoire) c'est troublant
il faut connaitre les écritures personnellement je connaissais pas
on est quand même obligé de reconnaitre que Saint GlinGlin a étudié la question
par contre justement c'est à cause de ce rapport que je pense d'un avis contraire de Saint GlinGlin que justement ça confirme le texte
pour ce qu'il a écrit sur le sol ou les 153 poissons je vois pas mais je suis sûr qu'il nous mène pas en bateau
il a surement trouvé un passage dans l'AT qui est en rapport et pour moi ça justifierai
je ne comprend pas en quoi ça prouve que c'est une "manip"
je sais que je trouverai pas parce que c'est pas quelque chose que je connais bien
qui cherche trouve oui mais on peut pas tout faire évidemment
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 00:42
Message : Bonjour Saint Glinglin,
Pour nous ce passage est un faux, un ajout postérieur.
Ca revient au même que si tu me disais : "tu ne sais même pas avec quel bras le petit chaperon rouge portait son panier à sa mère grand."
Puisque pour nous le Christ n'a rien écrit, quel intérêt d'imaginer ce qu'il aurait pu écrire s'il avait écrit ?
C'est à ceux qui considèrent cette histoire comme vraie de répondre pas à ceux qui ne reconnaissent pas ce passage comme authentique.
Bonne journée,
Pierre
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 01:08
Message : Bonjour à tous
comment ça pas reconnu ? par qui?
né de nouveau a écrit :Pour nous ce passage est un faux, un ajout postérieur.
Bible WT
N°éditeur 5728
Dépôt Légal avril 1996
ISBN 2-91 1291-01-8
il est noté que ces passages Jean 7:53,8:1-11
(qui sont écrits d'ailleurs et donc non occultés ou alors pourquoi ils seraient mis si ils sont faux?)
manquent dans les manuscrits:
Codex Sinaiticus IV NE
Codex Vaticanus IV NE
Version Syriaque Sinaitique IV NE et V NE
né de nouveau a écrit :C'est à ceux qui considèrent cette histoire comme vraie de répondre pas à ceux qui ne reconnaissent pas ce passage comme authentique.
bon après Je ne peux pas répondre à la question de Saint GlinGlin, je suis trop nul
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 01:17
Message : né de nouveau a écrit :Bonjour Saint Glinglin,
Pour nous ce passage est un faux, un ajout postérieur.
Ca revient au même que si tu me disais : "tu ne sais même pas avec quel bras le petit chaperon rouge portait son panier à sa mère grand."
Puisque pour nous le Christ n'a rien écrit, quel intérêt d'imaginer ce qu'il aurait pu écrire s'il avait écrit ?
C'est à ceux qui considèrent cette histoire comme vraie de répondre pas à ceux qui ne reconnaissent pas ce passage comme authentique.
Bonne journée,
Pierre
Pour moi, le Christ n'a même pas existé.
Cela ne m'empêche pas de m'intéresser à la logique de cette histoire en essayant de comprendre ce qu'ont voulu dire ses auteurs.
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 01:25
Message : pourquoi il aurait écrit quelque chose de particulier ici alors qu'il est notoire que Jésus n'a rien écrit.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 01:34
Message : Il semble plus notoire que Medico n'a pas lu l'Evangile de Jean :
Τοῦτο δὲ ἔλεγον πειράζοντες αὐτόν, ἵνα ἔχωσιν κατηγορεῖν αὐτοῦ. Ὁ δὲ Ἰησοῦς κάτω κύψας, τῷ δακτύλῳ ἔγραφεν εἰς τὴν γῆν, μὴ προσποιούμενος.
Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.
Jn 8.6
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 01:45
Message : Saint Glinglin a écrit :Il semble plus notoire que Medico n'a pas lu l'Evangile de Jean :
Τοῦτο δὲ ἔλεγον πειράζοντες αὐτόν, ἵνα ἔχωσιν κατηγορεῖν αὐτοῦ. Ὁ δὲ Ἰησοῦς κάτω κύψας, τῷ δακτύλῳ ἔγραφεν εἰς τὴν γῆν, μὴ προσποιούμενος.
Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre.
Jn 8.6
tu arrêtes de m'interpeller et de faire l'étalage de ta pseudo science sur le grec.tout le monde peut en faire autant.
la bible du Semeur dit ceci concernant les versets 7:53 à 8:11
sont absents de manuscrits les plus anciens .quelques manuscrits les situent ailleurs ,à la fin des évangiles ou après.
la bible Thompson dit aussi ceci.
le passage 7:53 à 8:11 manque dans plusieurs anciens mss de l'évangile de Jean.
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 01:48
Message : merci Saint GlinGlin vous avez dit des trucs que je connaissais pas :
à moi de continuer de chercher à présent("qui cherche trouve")
j'aurai bien une question: en quoi ça prouve que c'est une manip?
pour "les arbres qui marchent " dans Juge 9:8 je trouve que ça justifie le texte
bonne continuation à tous et encore merci
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 01:55
Message : medico a écrit :tu arrêtes de m'interpeller et de faire l'étalage de ta pseudo science sur le grec.tout le monde peut en faire autant.
la bible du Semeur dit ceci concernant les versets 7:53 à 8:11
sont absents de manuscrits les plus anciens .quelques manuscrits les situent ailleurs ,à la fin des évangiles ou après.
la bible Thompson dit aussi ceci.
le passage 7:53 à 8:11 manque dans plusieurs anciens mss de l'évangile de Jean.
Et alors ? N'est-ce pas un certain Medico qui a tenu a citer sur ce forum ceci ?
Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
2 Tim 3.16
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 02:27
Message : évangile de D Buzy
ce récit manque dans les meilleurs manuscrits
laTob
le passage 7:53-8:11ne figure pas dans les manuscrits les plus anciens et les versions latine,syriaque,etc,quelques manuscrits le situent ailleurs en particulier à la fin de l'évangile.
bible Maredsous.
8:1-11.ces versets manquent dans beaucoup de manuscrits.ilsproviennent d'une tradition ancienne. reconnue comme canonique et ratachéeà saint Jean.
bible Chouraqui
ces versets manquent dans de nombreux ;ils pourraient être de Luc.
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 02:31
Message : Saint Glinglin a écrit :
Et alors ? N'est-ce pas un certain Medico qui a tenu a citer sur ce forum ceci ?
Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
2 Tim 3.16
quand Paul parlait des écritures il pensait à quel écritures?
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 02:33
Message : ultrafiltre a écrit :Bonjour à tous
comment ça pas reconnu ? par qui?
Bonjour Ultrafiltre,
http://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%A9sus ... lt%C3%A8re
La péricope ne se trouve pas dans les manuscrits grecs de l'Évangile suivants : Papyrus 66, Papyrus 75, Codex Sinaiticus, {Codex Alexandrinus}, Codex Vaticanus, {Codex Ephraemi Rescriptus}, Regius, Petropolitanus Purpureus, Codex Borgianus, Codex Washingtonianus, Codex Monacensis, Codex Macedoniensis, Sangallensis, Codex Koridethi, Athous Lavrensis, Onciale 0141, 0211, 22, 33, 124, 157, 209, 565, 788, 828, 1230, 1241, 1242, 1253, 1333, 1424, 2193, 2768, et beaucoup d'autres manuscrits.
Ce n'est donc pas une invention des Témoins de Jéhovah !
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 02:34
Message : Bible Annotée :
On trouve une description semblable dans #Lu 21:37,38. -Le dernier verset de #Jn 7 et les deux premiers par lesquels s'ouvre notre #Jn 8 forment une sorte d'introduction à l'histoire de la femme adultère qui va suivre. Ils font partie du fragment dont l'authenticité est contestée. Voici d'abord, à cet égard, l'état des documents sur lesquels s'appuie la critique du texte.
1° Un grand nombre de manuscrits, Sin., B, A, C, etc., du quatrième au neuvième siècle, omettent entièrement ce récit, et plusieurs de ceux qui l'ont conservé le marquent de signes de doute.
2° Les versions anciennes, sauf quelques manuscrits de l'Itala ne le renferment pas davantage.
3° Les Pères de l'Eglise des trois premiers siècles, et même Chrysostome, ne le mentionnent pas comme renfermé dans notre évangile. Origène, qui s'est occupé spécialement de l'état du texte, n'en parle pas.
4° Dans plusieurs documents, ce morceau se trouve placé à la fin de l'évangile de Jean; dans quelques autres à la suite de #Lu 21.
5° Ces versets abondent en variantes diverses, ce qui est toujours un signe peu favorable à l'authenticité.
6° Le style de ce récit n'est pas celui de Jean; il porte tous les caractères des narrations synoptiques. Aussi la plupart des critiques et des exégètes se refusent-ils à considérer ce récit comme faisant partie de l'évangile de Jean. Ainsi Erasme, Calvin, Bèze Lücke, Tholuck, Olshausen, de Wette Reuss, Hengstenberg, Meyer, MM. Weiss, Luthardt, Keil, Godet, et tous les modernes éditeurs du texte.
Rappelons, d'autre part, que sept majusc. (dont D), du sixième au neuvième siècle, et un très grand nombre de minusc., aussi bien que quelques exemplaires de l'Itala, la Vulgate, la version syr. de Jérusalem, contiennent ce récit sans le marquer d'aucun signe de doute. Jérôme, écrivant au quatrième siècle, témoigne (Adv. Pelag. 2, 17) que cette relation se trouvait "en plusieurs manuscrits, tant grecs que latins." Aussi plusieurs interprètes éminents, Augustin, Bengel, Hug, Ebrard, Stier, Lange, soutiennent-ils l'authenticité de ce fragment alléguant avec Augustin qu'il n'a été retranché, à l'origine, que par la crainte de l'influence morale qu'il pouvait exercer à une époque où, d'une part, un grand relâchement des moeurs et, d'autre part, un faux ascétisme s'étaient introduits dans l'Eglise. -Quant à la vérité historique du fait, on peut dire avec Meyer: "Cette histoire porte un tel cachet d'originalité, il est si évident qu'elle n'est imitée d'aucun autre récit de la tradition évangélique, qu'il est impossible d'y voir une légende d'un temps postérieur, sa vérité interne se justifie facilement par l'exégèse, malgré les doutes qu'on a soulevés." Le récit est en tous cas fort ancien, Eusèbe rapporte (Hist. eccl. 3: 39) que l'écrit de Papias sur les évangiles contenait l'histoire d'une femme qui, à cause de ses péchés, fut accusée devant le Seigneur. "Cette histoire, ajoutet-il, se trouve dans l'évangile des Hébreux." Cela prouverait que notre récit appartient à la tradition apostolique. Il a été inséré dans la suite à cette place, parce que le piège tendu à Jésus {#Jn 8:6} paraissait en harmonie avec les dispositions hostiles des autorités à son égard. {#Jn 7:32,45 et suiv.}.
Bible du Semeur :
Les versets 7.53 à 8.11 sont absents des manuscrits les plus anciens. Quelques manuscrits les situent ailleurs, à la fin de l'évangile ou après Lc 21.38.
TOB :
La section 7,53-8,11 est omise par les mss les plus anciens et par de nombreuses versions : d'autres la placent soit après les vv. 36 ou 44, soit à la fin de l'évangile ; d'autres encore l'introduisent après Lc 21,38. Les Pères grecs semblent l'ignorer ; le texte lui-même présente de nombreuses variantes et ne possède pas les caractéristique du style Johannique. C'est pourquoi on peut estimer que cette péricope n'appartenait pas primitivement à l'évangile de Jn. Il s'agit d'une tradition indépendante, insérée après coup ; son caractère canonique n'est pas à contester.
Bible de Jérusalem :
Cette péricope, 7.53 - 8.11, omise par les plus anciens témoins (mss, versions et Pères), déplacée par d'autres, au style de couleur synoptique, ne peut être de saint Jean lui-même. Elle pourrait être attribuée à saint Luc, cf Luc 21.38. Sa canonicité, son caractère inspiré et sa valeur historique n'en sont pas moins hors contexte.
Claude Tresmontant :
A partir de ce verset, nombres de manuscrits anciens—le plus grand nombre—ne comportent pas la page qui suit: l'histoire de la femme qui a été surprise avec un homme qui n'était pas son mari. Deux hypothèses se partagent les critiques.
1. Cette histoire a été ajoutée tardivement.
2. Ce passage a été retranché très anciennement.
Augustin, dans un ouvrage précisément consacré au mariage et à l'adultère, De conjugiis adulterinis, II, 6, VII, écrit que certains, dont la foi était faible, ou plus exactement ennemis de la foi véritable, ayant peur que l'on ne tire de cette page une raison d'excuser leurs femmes infidèles, l'ont retirée de leurs manuscrits. Le fait est que l'on ne trouve pas cette page citée par les Pères de langue grecque, Origène, saint Jean Chry-sostome, Théodore de Mopsueste, Cyrille d'Alexandrie, etc.
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 02:38
Message : né de nouveau a écrit :Bible Annotée :
On trouve une description semblable dans #Lu 21:37,38. -Le dernier verset de #Jn 7 et les deux premiers par lesquels s'ouvre notre #Jn 8 forment une sorte d'introduction à l'histoire de la femme adultère qui va suivre. Ils font partie du fragment dont l'authenticité est contestée. Voici d'abord, à cet égard, l'état des documents sur lesquels s'appuie la critique du texte.
1° Un grand nombre de manuscrits, Sin., B, A, C, etc., du quatrième au neuvième siècle, omettent entièrement ce récit, et plusieurs de ceux qui l'ont conservé le marquent de signes de doute.
2° Les versions anciennes, sauf quelques manuscrits de l'Itala ne le renferment pas davantage.
3° Les Pères de l'Eglise des trois premiers siècles, et même Chrysostome, ne le mentionnent pas comme renfermé dans notre évangile. Origène, qui s'est occupé spécialement de l'état du texte, n'en parle pas.
4° Dans plusieurs documents, ce morceau se trouve placé à la fin de l'évangile de Jean; dans quelques autres à la suite de #Lu 21.
5° Ces versets abondent en variantes diverses, ce qui est toujours un signe peu favorable à l'authenticité.
6° Le style de ce récit n'est pas celui de Jean; il porte tous les caractères des narrations synoptiques. Aussi la plupart des critiques et des exégètes se refusent-ils à considérer ce récit comme faisant partie de l'évangile de Jean. Ainsi Erasme, Calvin, Bèze Lücke, Tholuck, Olshausen, de Wette Reuss, Hengstenberg, Meyer, MM. Weiss, Luthardt, Keil, Godet, et tous les modernes éditeurs du texte.
Rappelons, d'autre part, que sept majusc. (dont D), du sixième au neuvième siècle, et un très grand nombre de minusc., aussi bien que quelques exemplaires de l'Itala, la Vulgate, la version syr. de Jérusalem, contiennent ce récit sans le marquer d'aucun signe de doute. Jérôme, écrivant au quatrième siècle, témoigne (Adv. Pelag. 2, 17) que cette relation se trouvait "en plusieurs manuscrits, tant grecs que latins." Aussi plusieurs interprètes éminents, Augustin, Bengel, Hug, Ebrard, Stier, Lange, soutiennent-ils l'authenticité de ce fragment alléguant avec Augustin qu'il n'a été retranché, à l'origine, que par la crainte de l'influence morale qu'il pouvait exercer à une époque où, d'une part, un grand relâchement des moeurs et, d'autre part, un faux ascétisme s'étaient introduits dans l'Eglise. -Quant à la vérité historique du fait, on peut dire avec Meyer: "Cette histoire porte un tel cachet d'originalité, il est si évident qu'elle n'est imitée d'aucun autre récit de la tradition évangélique, qu'il est impossible d'y voir une légende d'un temps postérieur, sa vérité interne se justifie facilement par l'exégèse, malgré les doutes qu'on a soulevés." Le récit est en tous cas fort ancien, Eusèbe rapporte (Hist. eccl. 3: 39) que l'écrit de Papias sur les évangiles contenait l'histoire d'une femme qui, à cause de ses péchés, fut accusée devant le Seigneur. "Cette histoire, ajoutet-il, se trouve dans l'évangile des Hébreux." Cela prouverait que notre récit appartient à la tradition apostolique. Il a été inséré dans la suite à cette place, parce que le piège tendu à Jésus {#Jn 8:6} paraissait en harmonie avec les dispositions hostiles des autorités à son égard. {#Jn 7:32,45 et suiv.}.
Bible du Semeur :
Les versets 7.53 à 8.11 sont absents des manuscrits les plus anciens. Quelques manuscrits les situent ailleurs, à la fin de l'évangile ou après Lc 21.38.
TOB :
La section 7,53-8,11 est omise par les mss les plus anciens et par de nombreuses versions : d'autres la placent soit après les vv. 36 ou 44, soit à la fin de l'évangile ; d'autres encore l'introduisent après Lc 21,38. Les Pères grecs semblent l'ignorer ; le texte lui-même présente de nombreuses variantes et ne possède pas les caractéristique du style Johannique. C'est pourquoi on peut estimer que cette péricope n'appartenait pas primitivement à l'évangile de Jn. Il s'agit d'une tradition indépendante, insérée après coup ; son caractère canonique n'est pas à contester.
Bible de Jérusalem :
Cette péricope, 7.53 - 8.11, omise par les plus anciens témoins (mss, versions et Pères), déplacée par d'autres, au style de couleur synoptique, ne peut être de saint Jean lui-même. Elle pourrait être attribuée à saint Luc, cf Luc 21.38. Sa canonicité, son caractère inspiré et sa valeur historique n'en sont pas moins hors contexte.
Claude Tresmontant :
A partir de ce verset, nombres de manuscrits anciens—le plus grand nombre—ne comportent pas la page qui suit: l'histoire de la femme qui a été surprise avec un homme qui n'était pas son mari. Deux hypothèses se partagent les critiques.
1. Cette histoire a été ajoutée tardivement.
2. Ce passage a été retranché très anciennement.
Augustin, dans un ouvrage précisément consacré au mariage et à l'adultère, De conjugiis adulterinis, II, 6, VII, écrit que certains, dont la foi était faible, ou plus exactement ennemis de la foi véritable, ayant peur que l'on ne tire de cette page une raison d'excuser leurs femmes infidèles, l'ont retirée de leurs manuscrits. Le fait est que l'on ne trouve pas cette page citée par les Pères de langue grecque, Origène, saint Jean Chry-sostome, Théodore de Mopsueste, Cyrille d'Alexandrie, etc.
POUR ALLER DANS TON SENS.
évangile de D Buzy
ce récit manque dans les meilleurs manuscrits
laTob
le passage 7:53-8:11ne figure pas dans les manuscrits les plus anciens et les versions latine,syriaque,etc,quelques manuscrits le situent ailleurs en particulier à la fin de l'évangile.
bible Maredsous.
8:1-11.ces versets manquent dans beaucoup de manuscrits.ilsproviennent d'une tradition ancienne. reconnue comme canonique et ratachéeà saint Jean.
bible Chouraqui
ces versets manquent dans de nombreux ;ils pourraient être de Luc.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 02:48
Message : Je tiens à vous faire remarquer que l'Evangile de Jean est farci de passages importés des Synoptiques et que cela ne vous gêne pas tellement.
Mais enfin, ceci n'a aucun rapport avec la compréhension du passage.
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 02:55
Message : Saint Glinglin a écrit :Je tiens à vous faire remarquer que l'Evangile de Jean est farci de passages importés des Synoptiques et que cela ne vous gêne pas tellement.
Mais enfin, ceci n'a aucun rapport avec la compréhension du passage.
oui mais se ne sont pas des textes douteux comme ceux que nous parlons.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 03:02
Message : Tout Evangile trituré est douteux. Tous les Evangiles canoniques ont été triturés.
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 03:02
Message : né de nouveau a écrit :
Bonjour Ultrafiltre,
http://fr.wikipedia.org/wiki/J%C3%A9sus ... lt%C3%A8re
La péricope ne se trouve pas dans les manuscrits grecs de l'Évangile suivants : Papyrus 66, Papyrus 75, Codex Sinaiticus, {Codex Alexandrinus}, Codex Vaticanus, {Codex Ephraemi Rescriptus}, Regius, Petropolitanus Purpureus, Codex Borgianus, Codex Washingtonianus, Codex Monacensis, Codex Macedoniensis, Sangallensis, Codex Koridethi, Athous Lavrensis, Onciale 0141, 0211, 22, 33, 124, 157, 209, 565, 788, 828, 1230, 1241, 1242, 1253, 1333, 1424, 2193, 2768, et beaucoup d'autres manuscrits.
Ce n'est donc pas une invention des Témoins de Jéhovah !
merci né de nouveau et tous les participants d'ailleurs
je n'ai jamais prétendu le contraire
je posais une question(vu que c'est écrit dans les references que j'ai cité)
mais je ne tire pas de conclusion(sauf celle mais c'est hors sujet que le Christ a existé et a effectué tout ce qui est écrit vu que ce qu'il dit est trop vrai mais c'est pas le sujet)
pour le reste juste une derniere question si Saint GlinGlin veux bien me repondre
en quoi est-ce que le fait que l'AT et l'AN se recoupe prouve que ces écrits soient des sortes de "triturages" pour l'episode des arbres qui marchent?
mais bon c'est pas grave je trouverai
je fais juste ce dernier post pour remercier pour tes précisions né de nouveau et te dire que non je ne tire pas de conclusions
"le donc alors " est une technologie fragile
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 03:09
Message : Saint Glinglin a écrit :Tout Evangile trituré est douteux. Tous les Evangiles canoniques ont été triturés.
je te laisse a tes idées préconçues.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 03:20
Message : ultrafiltre a écrit :pour le reste juste une derniere question si Saint GlinGlin veux bien me repondre
en quoi est-ce que le fait que l'AT et l'AN se recoupe prouve que ces écrits soient des sortes de "triturages" pour l'episode des arbres qui marchent?
mais bon c'est pas grave je trouverai
Ce n'est pas ce que j'ai dit.
J'ai dit :
- Le NT est fabriqué à partir de l'AT et donc pour comprendre un passage obscur, il faut scruter l'AT.
Et cela m'est beaucoup plus facile à moi qui ai accès à des concordances imprimées, à des textes électroniques, et à des moteurs de recherche, qu'au chrétien du IIème siècle - auteur du coup de la correction du miracle - pour qui les manuscrits de l'AT étaient rares et chers et ne connaissait peut-être pas le passage de Juges auquel faisait allusion l'Evangéliste qu'il a malencontreusement corrigé.
- Les premières versions de Marc et de Jean ont été augmentées de divers passages illustrant des théologies contradictoires entre elles. Ce n'était pas gênant puisque toute nouvelle version était destinée à remplacer la version précédente. Mais comme on a juxtaposé quatre Evangiles qui n'étaient pas fait pour l'être, on obtient des théologies incompatibles entre elles. Tatien l'a bien senti lorsqu'il a rédigé son Diatessaron qui était un Evangile synthétique destiné à remplacer les autres. Mais son livre a été écarté, l'Eglise préférant l'autre solution qui était d'importer d'un Evangile à l'autre quelques passages pour les harmoniser tant bien que mal.
Auteur : medico
Date : 09 mai13, 03:49
Message : une grande majorité de traductions disent que l'épisodes de la femme adultère et douteux .
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 03:50
Message : Pas pour celui qui l'a écrit et c'est tout ce qui nous intéresse.
Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 03:58
Message : Saint Glinglin a écrit :
J'ai dit :
- Le NT est fabriqué à partir de l'AT et donc pour comprendre un passage obscur, il faut scruter l'AT..
d'accord Saint GlinGlin mais c'est clair que vous avez raison il faut bien connaitre l'AT et qu'il y a un rapport
Saint Glinglin a écrit :
Et cela m'est beaucoup plus facile à moi qui ai accès à des concordances imprimées, à des textes électroniques, et à des moteurs de recherche, qu'au chrétien du IIème siècle - auteur du coup de la correction du miracle - pour qui les manuscrits de l'AT étaient rares et chers et ne connaissait peut-être pas le passage de Juges auquel faisait allusion l'Evangéliste qu'il a malencontreusement corrigé.
..
... ... ... et par conséquent je patauge
en tout cas merci
je dirai plus rien mais il fallait bien que je vous remercie Saint GlinGlin
Auteur : Boemboy
Date : 09 mai13, 04:43
Message : Bonsoir,
Jésus écrivait sur le sol....Ecrivait-il des mots ou des petits dessins comme on fait parfois en écoutant quelqu'un ?
Jésus était Le Verbe : il s'exprimait par la parole...jamais par écrit. Tout un monde regrette qu'il n'ait jamais écrit sa biographie !
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 06:03
Message : Si Dieu le Père est capable d'écrire, pourquoi Dieu le Fils n'aurait-il pas pu le faire ?
Auteur : Boemboy
Date : 09 mai13, 09:08
Message : Saint Glinglin a écrit :Si Dieu le Père est capable d'écrire, pourquoi Dieu le Fils n'aurait-il pas pu le faire ?
Dieu le Père n'a pas écrit grand-chose à ma connaissance. Moïse prétend que c'est Dieu qui a écrit lui-même les Tables de la Loi...mais il n'y avait aucun témoin !
Dieu le Fils n'a jamais rien écrit sur un support durable. S'il a écrit des mots sur le sable devant la femme adultère, il n'est dit nulle part que quelqu'un les a lus...
Peut-être s'agissait-il d'une écriture automatique soufflée par Papa pour tirer le petit de l'embarras où il se trouvait : "dis leur..." et ça a fonctionné. Alors il a effacé et il est sorti avec la nénette...
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 mai13, 09:35
Message : Si le récit de l'Exode est bidon, pourquoi celui de l'Evangile serait-il vrai ?
Auteur : dan 26
Date : 09 mai13, 10:38
Message : Saint Glinglin a écrit :
Qu'a donc écrit Jésus sur le sol ?
si il savait écrire je me demande pourquoi il n'a pas laissé de preuve de sa main . On ne serait pas là à se demander si il a véritablement existé!!!!
Amicalement Auteur : Anonymous
Date : 09 mai13, 19:31
Message : Rien n'aurait prouvé de toute manière que le Christ aurait vraiment écrit un texte. À moins d'y avoir laissé son ADN, etc, etc...
Voir Dieu n'est même pas une preuve pour celui qui VEUT et DÉSIRE douter. Les Juifs et les Hébreux ont souvent vu les manifestations de Dieu et ont très souvent douté.
Celui qui doute de tout, et il a le droit, ne croit en RIEN. Mais en RIEN veut vraiment dire en RIEN. Sauf, qu'il est impossible de croire en RIEN. Croire en RIEN est une croyance. C'est dans cette croyance que le douteux se défini en fait de compte.
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Qu'il ait écrit sur le sol ou qu'il se soit décrotté le nez n'est pas vraiment ce qui est important dans l'histoire de la femme adultère.
Toutefois, la femme adultère a souvent été la représentation emblématique d'Israël et spécialement des habitants de Jérusalem.
Tancrède
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