Résultat du test :
Auteur : Farore97
Date : 19 nov.17, 05:19
Message : Bonjour à tous,
Je viens demander conseille vis à vis d'un mal qui me ronge depuis maintenant 2 ans ; le syndrome de Peter Pan.
Je sais que cela n'est pas un site de psychologie ni de psychiatrie, mais un forum ou l'on débat sur toute les question existentielles.
Je ne cherche pas à exiber ma personne pour épater ou pour inciter la pitié ; là n'est pas mon but.
Et puisqu'il s'agit d'une maladie psychologique, ma raison en est totalement bouleversée ; j'en perds certain repère sans pouvoir les récupérer par la suite ; une véritable régression.
Le questionnement m'envahit et je cherche sans arrêt des réponses....
Pendant que je grandi, ma mentalité n'évolue pas, mon humour, ma maturité semblent figé dans le temps. Mon sens de responsabilité m'est totalement abstrait et c'est avec horreur que je suis des fois en pleines admiration en face d'enfants qui arrivent a se prendre en charge mieux que moi même je ne le peux.
Ce qui reste figé en nous sont des fois des marques de diverses natures témoins de notre passé.
Et je cherche sans arrêt en remontant le temps et mon histoire pour savoir à quelle moment au je me suis perdu...
Mais je n'arrête du coup pas de vivre dans le passé.
Et inconsciemment mon "subconscient" me hurle d'oublier mon passé ... Ce que je fait sans m'en rendre compte et cela ne facilite pas cette introspection que j'entreprends.
Je ne suis pas alzaimer je vous rassure et je sais très bien qui je suis, mais les origines de mon éducation et de ma personnalité -ce que je tient de telle personne ou de tel lieu- deviennent de plus en plus floues.
Je n'arrive plus à retracer mon parcours, ce d'où je viens, etc...
Et je stagne ! Je n'évolue pas ! Et je perds ce temps précieux qui est celui de ma vie et qui m'est décompté depuis déjà bien trop longtemps...
D'où ENFIN ma question ;
Pour avancer et savoir où l'on va, faut il regarder derrière soi ?
Auteur : ultrafiltre2
Date : 07 déc.17, 19:33
Message : Bonjour
(désolé pour mes conneries de hier)
pour ce sujet
L'idée d'un syndrome de Peter Pan est développée par un psychanalyste américain, Dan Kiley, en 1983.
tiens donc un psychanalyste
un doc pdf de si ça te dit
Jacques Van Rillaer
Professeur de psychologie émérite
Université de Louvain (Louvain-la-Neuve)
Université St-Louis (Bruxelles)
http://esteve.freixa.pagesperso-orange. ... ifique.pdf Auteur : Logos
Date : 07 déc.17, 22:41
Message : Farore97 a écrit :
Et je stagne ! Je n'évolue pas ! Et je perds ce temps précieux qui est celui de ma vie et qui m'est décompté depuis déjà bien trop longtemps...
D'où ENFIN ma question ;
Pour avancer et savoir où l'on va, faut il regarder derrière soi ?
Pour avancer et savoir où tu vas, il n'y a qu'une seule chose à faire, regarde ma signature.
Bien à toi.
Auteur : Farore97
Date : 08 déc.17, 07:42
Message : Je te remercie, mais je dois cette condition aussi à la religion. Je n'ai plus rien à pêcher dans ce lac dessécher
Auteur : ultrafiltre2
Date : 08 déc.17, 08:12
Message : Farore97 a écrit :Je te remercie, mais je dois cette condition aussi à la religion. Je n'ai plus rien à pêcher dans ce lac dessécher
cette condition n'existe pas
je t'ai dit ce matin que ce que tu appelle "syndrome de..." est juste le concept d'un menteur
pour les religieux et les psychanalystes tu sera toujours un pigeon à déplumer
Auteur : Farore97
Date : 08 déc.17, 10:46
Message : Tu ne m'as rien dit de tout cela.
Auteur : gadou
Date : 08 déc.17, 13:09
Message : Farore97 a écrit :
D'où ENFIN ma question ;
Pour avancer et savoir où l'on va, faut il regarder derrière soi ?
Tout le monde sait où l'on va: à la mort.
Si tu regarde derrière toi, tu ne risque pas de voir où tu vas, puisque ta mort est toujours devant, jamais derrière.
Quand à avancer, il est impossible de faire autrement, impossible de s'arrêter, encore moins de retourner en arrière. Tout le monde avance, qu'il le veuille ou non, et tout le monde s'avance vers la mort, un trou béant inévitable dont on ne maîtrise absolument pas la distance (bien qu'on puisse facilement la raccourcir).
La seule différence entre regarder devant et regarder derrière à ce niveau là, c'est qu'en regardant derrière tu ne vois même plus vers quoi tu t'avances, mais dans les deux cas tu y arrivera sans le moindre effort.
Farore97 a écrit :Pendant que je grandi, ma mentalité n'évolue pas, mon humour, ma maturité semblent figé dans le temps. Mon sens de responsabilité m'est totalement abstrait
Il y a une partie de nous qui vieillit inexorablement, c'est le corps. Il y a une partie de nous qui ne vieilli jamais c'est l'âme(définie comme la capacité à aimer, à haïr, à décider de façon intuitive). Mais la vieillesse du corps obscurci l'expression de l'âme, jusqu'au moment où la mort du corps détruit toute possible manifestation de l'âme.
La maturité c'est le recul. C'est ce qui s'acquier avec l'enregistrement des expériences et l'organisation de celle-ci par la réflexion. Clairement, la maturité exige un regard en arrière. Si tu stagnes c'est soit que tu ne fait plus de nouvelles expériences, soit que tu a arrêté d'y réfléchir.
Mais la maturité ne permet ni d'avancer, ni de savoir où on va, elle permet juste d'apprécier ce qu'on vit.
Farore97 a écrit :Ce qui reste figé en nous sont des fois des marques de diverses natures témoins de notre passé.
Accuser le passé c'est se définir comme un corps simple. C'est abandonner le libre arbitre. C'est laisser tomber son âme.
Quelque soit ton passé, il ne peut avoir d'emprise sur ton âme que celle que tu lui donne.
Ton passé a l'emprise sur ton corps, ton corps est plein des cicatrices de ton passé, et la mort viendra comme la dernière conséquence de ta naissance, et alors tu ne seras plus que du passé.
Mais ton être intérieur, ta force de décision, elle ne prend pas source dans le passé, mais uniquement dans le présent, c'est elle qui peut te mener en dehors des marques du passé sur ton corps.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 déc.17, 00:02
Message : Farore a-t-il un travail ? Est-il marié ? A-t-il des enfants ?
Auteur : ultrafiltre2
Date : 09 déc.17, 00:23
Message : Saint Glinglin a écrit :Farore a-t-il un travail ? Est-il marié ? A-t-il des enfants ?
Bonjour Saint GlinGlin
si c'est non dans ce cas moi aussi
mais je sais que le concept de ce syndrome est
bidon
->L'idée d'un syndrome de Peter Pan est développée par un
psychanalyste américain, Dan Kiley, en 1983.
et Jacques Van Rillaer
Professeur de psychologie émérite
Université de Louvain (Louvain-la-Neuve)
Université St-Louis (Bruxelles)
nous dit dans le document pdf là
http://esteve.freixa.pagesperso-orange. ... ifique.pdf
que les travaux des psychanalystes sont
bidons Auteur : ultrafiltre2
Date : 09 déc.17, 00:23
Message : Saint Glinglin a écrit :Farore a-t-il un travail ? Est-il marié ? A-t-il des enfants ?
Bonjour Saint GlinGlin
si c'est non dans ce cas moi aussi
mais je sais que le concept de ce syndrome est
bidon
->L'idée d'un syndrome de Peter Pan est développée par un
psychanalyste américain, Dan Kiley, en 1983.
et Jacques Van Rillaer
Professeur de psychologie émérite
Université de Louvain (Louvain-la-Neuve)
Université St-Louis (Bruxelles)
nous dit dans le document pdf là
http://esteve.freixa.pagesperso-orange. ... ifique.pdf
que les travaux des psychanalystes sont
bidons Auteur : Farore97
Date : 09 déc.17, 01:08
Message : Non saint glinglin. Ma situation n'est pas encore celle ci. Et j'espère que quand je serai à ce stade, le problème sera résolu.
Néanmoins, je suis en école preparatoire. Je sais ce que je risquais en y entrant et je sais aussi pourquoi j'y suis allé. Là n'est pas le problème, mon travail n'est pas un problème majeur à travers les symptômes que je présente.
Mais après tout je ne suis pas psychiatre. Je ne peux tout compte fait en rien m'attribuer ce nom de maladie.
Je reformuler à la chose ainsi. J'ai cette impression que le monde autour de moi grandi et pas moi. Les gens deviennent plus mature le monde plus sérieux, etc... Et cela me dérange car je reste coincé dans ma bulle à cause de tout cela alors que je suis obligé d'interagir avec ce dernier.
Là est mon problème.
Les travaux de psychanalyse ne sont pas bidon. Il touche à des domaines où la science n'est que trop peu impliqué d'où les résultats approximatif obtenu
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 déc.17, 01:34
Message : Une fois le diplôme obtenu, tu plaqueras tout pour voyager pendant un an.
J'ignore si ça fera désordre sur le CV mais après tout les employeurs voient passer des CV à trous avec intérim ou chômage.
Un voyage pour mûrir est un argument.
Mais il faudra trouver des sous. C'est le problème. Même si la vie en Inde coûte moins cher.
Auteur : Farore97
Date : 09 déc.17, 01:49
Message : De nombreuses personnes te diront que le voyage extérieur est sans intérêt. C'est à l'intérieur que cela se passe. En quoi allé en Inde résoudrait ce problème ?
Par ailleurs j'ai intégré cet école pas pour ensuite foiré ma vie. J'ai une famille qui se saigne les 4 membres pour me payer un tel niveau d'étude.
Ce n'est pas ainsi que l'on dit merci après tout leur efforts accomplis. Ce n'est pas non plu ainsi qu'on se guérit à trainer le mal qui est nous.
Auteur : Saint Glinglin
Date : 09 déc.17, 01:55
Message : En clair, ton rôle de fiston te plaît et tu ne veux pas te retrouver routard parmi des routards.
Et après ça, tu viens nous chanter que tu crains de ne pas vouloir vieillir.
Auteur : gadou
Date : 09 déc.17, 03:42
Message : Farore97 a écrit :Par ailleurs j'ai intégré cet école pas pour ensuite foiré ma vie. J'ai une famille qui se saigne les 4 membres pour me payer un tel niveau d'étude.
Ce n'est pas ainsi que l'on dit merci après tout leur efforts accomplis. Ce n'est pas non plu ainsi qu'on se guérit à trainer le mal qui est nous.
Très beau sentiment, j'admire.
c'est quoi réussir sa vie ? Alléger les souffrances de l'humanité ? Etre heureux ?
Il n'y a pas une personne au monde qui n'aie un mal-être enfoui en elle, certains en parlent d'autres le cachent, certains le caresse, d'autres l'oublie, certain cherchent à le soigner, d'autres à le faire taire, mais le problème reste, il a de multiple forme mais une seule origine: la mort.
La mort nous guette à chaque instant et finira forcement par nous avoir, elle aura aussi tout ceux qu'on aime, elle est inexorable, elle prend le bon et le mauvais, elle gâche les vies réussies, elle enterre les vies ratés.
Auteur : Farore97
Date : 09 déc.17, 06:04
Message : Saint Glinglin :
En claire, je viens de te contrarié et du coup tu m'envoies ce message pour me dire que tu n'as plus grand chose à proposer. Un simple "comme tu veux aurait pu faire l'affaire, mais il a fallu que tu en rajoute une couche, je ne sais trop pourquoi.
Le problème ne se fait pas sans contrainte saint glinglin. Cela doit être pris en compte, non pas parce que j'aimerais passé par une guérison qui me conviennent personnelement au même titre que l'on choisi l'option buisness lors d'un vol en avion, mais parce que si je fonce comme tu me le dit je peux faire du mal autour de moi (genre à ma famille par exemple).
Je suis sur que tu sais ce que cela fait d'avoir une famille.
Et il se trouve que si je voudrais guérir c'est pour l'autre que je le fais, non pour ma petite personne. Des gens vivent autour de moi et je les perturbe à cause de cela. Avoir ce sentiment de rester petit c'est avoir ce sentiment de devoir être toujours obligé d'être accompagné. Mais les gens à côté, ceux qui t'aime tu les vois trimer et souffrir pour toi. Et ce n'est pas mon souhait de les voir se déchiqueter pour moi, même si cela leur permettrait de réaliser leur humanité. Je ne mérite pas que l'on souffre pour moi.
Gadou :
La mort m'a longtemps interrogé sur ce comment je devait vivre ma vie. Aujourd'hui, je sais seulement que si je devais mourir ce jour même, je n'aurai pas peur, mais je serai triste de quitter cette vie. Tant de potentiel qui nous est donné en si peut de temps. C'est comme posséder 5 minutes d'éternités. Qu'en fairais-tu ?
En sachant que très probablement rien ne me sera réservé après cette existence, et que la mort est un évènement totalement indépendant de la vie de ce même individu, je dirai que le but de la vie serai d'agir pour l'autre, celui qui vit et celui qui verra le jour. Consacré sa vie pour un monde meilleur au génération futur est en mon sens là ici le seul chemin qui vaut la peine d'être suivi si l'on ne souhaite pas tombé dans "un pseudo cycle de l'absurde" à la Albert Camus.
Lorsque je suis né, je ne me suis pas préparé à voir quelque chose d'aussi beau que de vivre. Et qui aurait pu s'y attendre d'ailleurs de savoir que la vie est la chose la plus belle au monde ? J'ai été emerveiller parce qu'il s'agissait là d'un miracle.
Et il me parait désormais limpide que si l'autre ni avait pas été, la vie aurait perdu toute ses couleurs. Je parle de l'autre, de ceux qui sont et ont été vivant à mes côtés. Mais je parle aussi de ceux qui ont construit ce monde et que je ne connaitrait jamais personnellement parce qu'ils n'étaient plis à ma naissance. Je ne pense pas avoir tout vu de la vie, mais je pense que j'en ai assez vu pour dire à titre personnel que je peux partir à tout moment.
Mais je ressentirais alors la culpabilité d'avoir exploiter la vie et ne rien y avoir fait. N'avoir été que de passage et ne pas m'être réellement senti concerné par ce que les autres ont accompli pour que les gens de ma générations vivent le mieux possible. Même si il n'y a absolument aucune raison que je me fasse généreux, les gens qui m'ont précédé n'en avait aucune eux non plus. Et je reconnais que c'est grâce à cet acte désintéressé que j'ai été heureux. C'est pourquoi il faut quand même faire quelque chose même si tout cela semble absurde. Parce que je ressentirais le fait de n'avoir été personne parce que je n'aurai rien fait et que je serai resté passif et oisif toute ma vie.
Il y a en mon sens quelque chose à faire, un devoir à accomplir, une dette envers tout ces gens du passé et du présent. Et je me dois de renvoyer l'ascenseur pour ceux d'aujourd'hui, mais aussi pour les enfants de demain. C'est ainsi que je peux rendre ma dette.
La vie n'a pas de valeur. Ca veut dire ce que ça veut dire : tu n'en fait rien, elle ne vaut rien. Tu détruis d'autres vies avec, elle devient nuisibles et mériterai de n'avoir jamais exister. Tu en sauves ou tu permet leur bien être de d'autres, elle devient harmonieuse car elle trouve sa place dans le jardin de la vie.
Mon but c'est d'arrivé à un quota qui soit non seulement rempli, mais aussi de permettre à ceux qui vont me suivre d'exploiter encore plus leur potentiel. N'est pas intéressant de cette manière de vivre la vie ?
Il n'y a effectivement Gadou rien que la mort n'emportera pas de moi... Elle m'effacera d'un simple souffle. Mais elle n'emportera cependant pas une chose, parce que celle-ci je prendrai soins de la léguer avant que le courant ne m'emporte. Elle n'emportera pas la trace que j'ai laissé sur ce monde. Et même si personne ne s'en rendra compte, je saurai que si je n'avais pas été là ça se serai senti.
MAIS VOILA !
J'ai ce problème dans ma tête, ce complexe qui fait que je suis incapable d'atteindre ce que je prétends ici vouloir rendre comme service à l'humanité toute entière
Auteur : gadou
Date : 09 déc.17, 14:09
Message : Farore97 a écrit :
MAIS VOILA !
J'ai ce problème dans ma tête, ce complexe qui fait que je suis incapable d'atteindre ce que je prétends ici vouloir rendre comme service à l'humanité toute entière
J'ai lu ça quelque part:
"Est-il donc possible que ce qui est bon soit devenu pour moi une cause de mort ? Au contraire, c'est le péché ! En effet, il m'a donné la mort en se servant de ce qui est bon pour manifester sa nature de péché et pour montrer son excessive perversité par le moyen du commandement.
Nous savons que la Loi a été inspirée par l'Esprit de Dieu, mais moi, je suis comme un homme livré à lui-même, vendu comme esclave au péché. En effet, je ne comprends pas ce que je fais : je ne fais pas ce que je veux, et c'est ce que je déteste que je fais. Et si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la Loi est bonne.
En réalité, ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Car je sais que le bien n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ce que je suis par nature.
Vouloir le bien est à ma portée, mais non l'accomplir.
Je ne fais pas le bien que je veux, mais le mal que je ne veux pas, je le commets. Si donc je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais mais c'est le péché qui habite en moi. " Auteur : ultrafiltre2
Date : 09 déc.17, 14:33
Message : merci Gadou
Romain livre VII
Auteur : Farore97
Date : 09 déc.17, 23:04
Message : Est- tu en train de me dire que je suis dans l'erreur en essayant de poursuivre un tel but ?
Auteur : ultrafiltre2
Date : 09 déc.17, 23:11
Message : Farore97 a écrit :Est- tu en train de me dire que je suis dans l'erreur en essayant de poursuivre un tel but ?
je ne sais pas pour Gadou mais moi je ne suis rien pour te dire ce genre de choses
Romain chapitre VII dit lui
Auteur : Farore97
Date : 09 déc.17, 23:39
Message : Gadou ;
Après avoir lu le VRAI texte (merci ultrafiltre) je perçois effectivement ce que l'auteur ressent.
Ce qu'il vit est l'eternel combat au sein de l'esprit de l'Homme entre la servitude et la liberté.
Ce sont deux chevaux rivaux. Ils se détestent et s'affrontent cruellement de manière impitoyable sans arrêt. Ils souffrent lorsqu'ils sont réunis. Mais ils souffrent encore plus lorsqu'ils sont séparés., car l'un ne peut exister sans l'autre.
A toute heures ils cherchent la confrontation pour obtenir à travers celle-ci la réconciliation. Mais ce qu'ils souhaitent obtenir, ils ne l'auront jamais. Car tout cela relève de l'impossible.
d'où peut être les origines de ce mal en moi ....
.......
Mais que faire alors ?
Auteur : gadou
Date : 10 déc.17, 01:56
Message : Farore97 a écrit :
d'où peut être les origines de ce mal en moi ....
.......
Mais que faire alors ?
Tu as lu la suite ?
L'auteur propose un espoir mais pas pour tout de suite, cet espérance est la mienne et elle change la vie:
"J'estime d'ailleurs qu'il n'y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire qui va se révéler en nous. C'est en effet cette révélation des fils de Dieu que la création attend avec un ardent désir. Car la création a été soumise au pouvoir de la fragilité ; cela ne s'est pas produit de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise. Il lui a toutefois donné une espérance : c'est que la création elle-même sera délivrée de la puissance de corruption qui l'asservit pour accéder à la liberté que les enfants de Dieu connaîtront dans la gloire. Nous le savons bien, en effet : jusqu'à présent la création tout entière est unie dans un profond gémissement et dans les douleurs d'un enfantement. Elle n'est pas seule à gémir ; car nous aussi, qui avons reçu l'Esprit comme avant-goût de la gloire, nous gémissons du fond du coeur, en attendant d'être pleinement établis dans notre condition de fils adoptifs de Dieu quand notre corps sera délivré." Auteur : Farore97
Date : 10 déc.17, 02:14
Message : Ouais bon là il va falloir que tu m'aide à interpréter ce qu'il a dit. Parce que avec le mot "Dieu", "esprit saint", "dans la gloire de...."etc,... déjà que je suis pas croyant mais alors là, je trouve ça pas très claire.
Auteur : gadou
Date : 10 déc.17, 13:32
Message : Farore97 a écrit :Ouais bon là il va falloir que tu m'aide à interpréter ce qu'il a dit. Parce que avec le mot "Dieu", "esprit saint", "dans la gloire de...."etc,... déjà que je suis pas croyant mais alors là, je trouve ça pas très claire.
La gloire c'est ce qui est beau, magnifique, merveilleux, admirable, puissant, éclatant, etc...
L'esprit saint, c'est ce qui porte à l'amour, à l'humilité, à la douceur, la bonté, la fidélité, de justice, etc...
Dieu c'est l'esprit du commencement, la volonté qui a présidé au développement de la nature dans toute sa variété et sa beauté, et à l'apparition des humains les plus pures merveilles de la nature.
L'auteur explique que la nature souffre de n'être pas belle comme au commencement, il dit que ce n'est pas elle-même qui s'est détérioré toute seule, mais que quelqu'un la détériorée. Et, comme la nature, les humains souffrent aussi de ce drame et ils en souffrent d'autant plus quand ils ont cet esprit du commencement, cet esprit d'amour et de justice dans leurs corps détériorés, fous, malades et mortels. Mais un jour viendra où des humains animés de cet esprit du commencement, de cet esprit saint, seront débarrassés de leur corps détérioré, recevrons une gloire nouvelle et incorruptible qui leur permettra de redonner à la nature entière une beauté encore meilleure que sa beauté initiale.
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