Résultat du test :

Auteur : gzabirji
Date : 01 mars23, 08:00
Message : Bonjour.

Hier, mardi 28 février 2023, le président Emmanuel Macron a annoncé une campagne massive de vaccination des jeunes filles et des jeunes garçons dès la classe de 5ème contre le papillomavirus.

Le produit s'appelle le Gardasil, développé par le laboratoire Merck.

Ce poison est connu depuis des années et a déjà provoqué de nombreux dégâts, notamment en Inde. Des jeunes filles en sont mortes, des milliers d'autres ont été gravement handicapées.

Ce fil de discussion vise à lancer l'alerte contre cette nouvelle campagne massive de fausse vaccination, en fournissant les informations qui ne vont pas manquer de nous parvenir jour après jour.

Tout message hors-sujet et tentatives de trollage seront systématiquement signalées à la modération.

Merci pour votre compréhension. 🙏
Auteur : J'm'interroge
Date : 01 mars23, 08:40
Message : Déjà que les nombreux adjuvants introduits posaient et posent encore de sérieux problèmes, il faudrait maintenant accepter la tendance à la généralisation des injections à ARN messager, sans la prudence qui est de mise.

Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
Auteur : gzabirji
Date : 01 mars23, 09:08
Message :
J'm'interroge a écrit : 01 mars23, 08:40 Déjà que les nombreux adjuvants introduits posaient et posent encore de sérieux problèmes, il faudrait maintenant accepter la tendance à la généralisation des injections à ARN messager, sans la prudence qui est de mise.

Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
Tout à fait. 👍

Ne t'inquiète pas, on va surveiller ça à la loupe, ou plus précisément au microscope électronique.

Ajouté 10 minutes 42 secondes après :
Voici la propagande qu'on livre aux moutons français :
Je vous donnerai quelques infos au sujet de cette Madame Brigitte Milhau...

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Auteur : indian
Date : 01 mars23, 09:16
Message : https://www.inspq.qc.ca/publications/3242

Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Québec

Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus.

Les calendriers à une ou deux doses de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9 à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre les trois doses généralement recommandées.

La protection contre le VPH 18 conférée par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.

À la suite de résultats d’études cliniques et observationnelles, des programmes à deux et même à une seule dose ont été recommandés par certains comités d’experts, notamment pour les personnes âgées de 18 ans et plus.

Très peu d’études ont évalué des calendriers de vaccination utilisant moins de trois doses chez les personnes ayant une immunodépression ou chez celles vivant avec le VIH. Ces personnes sont également reconnues pour leur moins bonne réponse aux vaccins.

Dans ce contexte, le CIQ recommande :
L’utilisation d’un calendrier à deux doses de vaccins nonavalent contre les VPH espacées de six mois ou plus (minimum de cinq mois) pour les personnes immunocompétentes âgées de 18 ans et plus, y compris les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).

Le maintien des calendriers à deux doses allongées pour les personnes âgées de moins de 18 ans et de trois doses pour celles immunodéprimées ou vivant avec le VIH.

Le CIQ réitère que pour obtenir les gains maximaux, la vaccination contre les VPH devrait idéalement être administrée avant le début de relations sexuelles, soit durant la préadolescence ou la jeune adolescence
Auteur : gzabirji
Date : 01 mars23, 09:20
Message :

Auteur : indian
Date : 01 mars23, 09:40
Message : https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... humain-vph

Description
La famille des virus du papillome humain (VPH) compte plusieurs types de virus, dont plus de 40 sont transmissibles sexuellement. Parmi ceux-ci, il y a :

les VPH à faible risque de cancer, dont certains causent des condylomes;
les VPH à risque élevé, qui peuvent causer le cancer.
La plupart des hommes et des femmes qui ont une vie sexuelle active auront une infection à VPH à un moment ou à un autre de leur vie. Une personne peut être infectée par plus d’un type de VPH au cours de sa vie. Elle peut aussi être infectée plus d’une fois par le même type de VPH.

Symptômes
Très souvent, les personnes infectées n’ont pas de symptômes. Une personne peut donc être infectée sans le savoir.

Condylomes (symptômes d’infections par les VPH à faible risque de cancer)
Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses :

des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus);
parfois, de la gorge.
Les condylomes apparaissent entre 3 semaines et plusieurs mois ou même des années après l’infection. Sans traitement, ils disparaissent généralement en quelques années, mais ils peuvent réapparaître après plusieurs mois ou plusieurs années. Les condylomes ne posent pas de risques pour la santé. Ils ne sont ni cancéreux ni précancéreux.

Symptômes des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Une infection par les VPH à risque élevé de cancer n’entraîne généralement pas de symptômes. Dans la majorité des cas, le système immunitaire élimine ces infections au bout de plusieurs mois. Chez la plupart des femmes, la présence du virus est impossible à détecter après 2 ans. Chez une minorité de femmes infectées, l’infection peut cependant persister plus de 2 ans et entraîner des lésions au col de l’utérus. Ces lésions peuvent causer des saignements vaginaux anormaux, par exemple au moment des relations sexuelles.

Chaque année, au Québec, environ 300 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus.

Quand consulter
Si vous avez des saignements vaginaux anormaux ou si vous croyez avoir des condylomes, vous pouvez appeler Info-Santé 811 ou consulter un médecin. Celui-ci pourra faire les tests nécessaires pour poser un diagnostic.

Traitements
Dans la plupart des cas, le système immunitaire élimine l’infection à VPH en quelques mois. Toutefois, rien ne peut traiter efficacement les virus responsables des infections à VPH eux-mêmes. Par contre, certaines manifestations des 2 types d’infections par les VPH peuvent être traitées.

Traitement des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Certains traitements à appliquer sur les condylomes peuvent les faire disparaître. Toutefois, ces traitements n’éliminent pas toujours le virus. Celui-ci peut donc parfois persister après la disparition des condylomes.

Si vous avez des condylomes, votre médecin évaluera si un traitement est nécessaire. Il pourra au besoin vous recommander un traitement approprié.

Traitement des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Si vous avez une infection à VPH à risque élevé de cancer, votre médecin vous recommandera le meilleur traitement selon votre situation. Le traitement vise à neutraliser le virus pour éviter le développement de cellules cancéreuses. Il ne garantit toutefois pas son élimination. Si votre médecin découvre un cancer, il vous dirigera vers un spécialiste.

Aviser ses partenaires
Les personnes qui ont des condylomes devraient en aviser leurs partenaires sexuels actuels. Ceux-ci pourront consulter un professionnel de la santé, qui déterminera entre autres s’il est pertinent qu’ils soient vaccinés contre les infections par les VPH.

Complications
Dans certains cas, les infections à VPH peuvent entraîner des complications. Celles-ci varient selon les types de VPH.

Complications des condylomes (signe d’infection par les VPH à faible risque de cancer)
Une infection par un VPH à faible risque de cancer n’entraîne pas de lésions précancéreuses au col de l’utérus. Ce type d’infections n’augmente pas non plus le risque de cancer du col de l’utérus. Par contre, l’infection peut provoquer, chez certaines personnes, les complications suivantes :

présence de très gros condylomes;
apparition de bosses à l’intérieur du larynx ou des voies respiratoires, ou sur les cordes vocales. Cette complication est rare et peut toucher les jeunes enfants, les adolescents et les jeunes adultes.
Complications des infections par les VPH à risque élevé de cancer
Chez la femme, ces infections peuvent entraîner des lésions au col de l’utérus, qui peuvent se transformer en cancer du col de l’utérus. Des lésions peuvent également apparaître dans le vagin ou sur la vulve et entraîner des cancers à ces endroits.
Chez l’homme, ces infections peuvent entraîner des lésions sur le pénis, qui peuvent se transformer en cancer.
Chez la femme et chez l’homme, des lésions peuvent toucher l’anus et la gorge et provoquer des cancers de ces régions.
Les VPH augmentent le risque d’infection par le VIH.
Transmission
Une personne qui a une infection à VPH peut transmettre le virus même si elle n’a pas de symptômes.

La transmission par voie sexuelle peut se produire lors de :

relations orales (contact de la bouche avec le pénis, la vulve, le vagin ou l’anus);
relations vaginales (pénétration du pénis dans le vagin);
relations anales (pénétration du pénis dans l’anus);
contact entre les organes génitaux des partenaires;
partage de jouets sexuels.
La transmission sexuelle peut avoir lieu même sans pénétration, orgasme ou éjaculation.

Plus rarement, une mère infectée peut transmettre l’infection à son bébé au moment de l’accouchement.

Protection et prévention
Vaccination
Le meilleur moyen de se protéger contre les infections par les VPH et leurs complications est la vaccination. Au Québec, deux vaccins contre les VPH sont offerts gratuitement dans le cadre du Programme québécois d’immunisation. Les personnes qui ne sont pas admissibles au Programme peuvent également se faire vacciner. Elles devront toutefois payer les vaccins.

Pour en savoir plus sur le programme et sur les vaccins offerts, consultez la page Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH).

Protection sexuelle
Le condom diminue le risque d’infection par les VPH lorsqu’il est utilisé :

lors de tout contact entre les organes génitaux;
pendant toute la durée de la relation sexuelle orale, vaginale ou anale;
à chaque relation sexuelle.
L’utilisation d’un carré de latex pour couvrir la vulve ou l’anus pendant les relations orales diminue le risque de transmission des VPH. Il permet d’éviter le contact direct avec la bouche. Pour fabriquer un carré de latex, déroulez un condom, coupez-en l’extrémité et découpez-le dans le sens de la longueur.

Toutefois, l’utilisation d’un condom ou d’un carré de latex n’empêche pas la transmission des VPH par contact avec les zones infectées non couvertes, comme :

la vulve;
le scrotum.
Les personnes qui partagent des jouets sexuels peuvent diminuer le risque de transmission des VPH en les recouvrant avec un condom. Elles doivent changer de condom entre chaque partenaire.

Dépistage
Si vous avez des condylomes, consultez un médecin ou une infirmière.

Le dépistage du cancer du col de l’utérus (test de Pap) est recommandé à toute femme âgée de 21 à 65 ans si :

elle est active sexuellement;
elle a été sexuellement active dans le passé.
À consulter aussi
Cancer du col de l'utérus

Dépistage du cancer du col de l'utérus

Vaccins contre les infections par les virus du papillome humain (VPH)

Dépistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)

Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) et grossesse

Infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)






Ajouté 15 minutes 29 secondes après :
ce fil de discussions est il voué à la désinformation?
Auteur : gzabirji
Date : 01 mars23, 21:05
Message : Image

Source : https://www.leparisien.fr/amp/archives/ ... 419033.php

(2013)

Ajouté 2 heures 10 minutes 55 secondes après :
Comme promis hier, je vous reparle de Mme Brigitte Milhau, la VRP des poisons pharmaceutiques.

La vidéo suivante date d'il y a plus de deux ans, mais comme vous le savez, dans la Résistance tout est archivé, d'un côté comme de l'autre, la devise étant : "ni oubli, ni pardon".

Après avoir fait la promotion tout sourire d'un poison anti-covid, puis une pause publicitaire, cette dame pense que le micro est encore coupé avant la reprise d'antenne, sauf que non...

Auteur : Kenzo
Date : 02 mars23, 00:23
Message : 2009 - Rappel du scandale du Gardasil en Inde

https://odysee.com/@GiletteJaune:8/2009 ... pRcx7T6Hut

Vidéo intéressante qui dure un peu plus de 25 minutes

https://odysee.com/@laileastick:4/2022- ... pRcx7T6Hut
Auteur : gzabirji
Date : 02 mars23, 01:47
Message :
Kenzo a écrit : 02 mars23, 00:23 2009 - Rappel du scandale du Gardasil en Inde

https://odysee.com/@GiletteJaune:8/2009 ... pRcx7T6Hut
Je rajoute la vignette, on peut cliquer dessus pour ouvrir la vidéo, qui ne dure que 2 minutes et 16 secondes (je précise pour les complosophistes qui ne se donnent pas la peine de visionner les vidéos).

Image

J'aurais bien mis cette vidéo sur ma deuxième chaîne Youtube, puisque ma première chaîne a déjà été censurée hier soir suite à la vidéo sur la docteresse analysant le Gardasil au microscope. Et bien que cette vidéo proposée par Kenzo sur le scandale du Gardasil en Inde expose des faits totalement officiels et largement documentés, elle est manifestement interdite sur Youtube.
Auteur : Kenzo
Date : 02 mars23, 02:21
Message : Image

Pourquoi on injecte les adolescents ? :face-with-raised-eyebrow:
Auteur : indian
Date : 02 mars23, 02:58
Message :
Kenzo a écrit : 02 mars23, 02:21
Pourquoi on injecte les adolescents ? :face-with-raised-eyebrow:
pour y introduire un vaccin biologiquement.
Auteur : Kenzo
Date : 02 mars23, 03:06
Message :
indian a écrit : 02 mars23, 02:58 pour y introduire un vaccin biologiquement.
Si on ne risque presque rien avant 40 ans, pourquoi le faire si jeune ? :thinking-face:
Auteur : indian
Date : 02 mars23, 03:13
Message :
Kenzo a écrit : 02 mars23, 03:06 Si on ne risque presque rien avant 40 ans, pourquoi le faire si jeune ? :thinking-face:
que signifie pour vous '' ne risquer presque rien''? :)
Merci
Auteur : Kenzo
Date : 02 mars23, 03:17
Message :
indian a écrit : 02 mars23, 03:13 que signifie pour vous '' ne risquer presque rien''? :)
Merci
Regarde dans le dico ! Tu vas pas commencer à poser des questions à la con comme tu fais dans le tchat, je ne mange pas de ce pain là !
Auteur : indian
Date : 02 mars23, 03:29
Message :
Kenzo a écrit : 02 mars23, 03:17 Regarde dans le dico ! Tu vas pas commencer à poser des questions à la con comme tu fais dans le tchat, je ne mange pas de ce pain là !
ah ok, vous n'en savez donc rien. c'est ca?

https://www.quebec.ca/sante/problemes-d ... humain-vph

https://www.inspq.qc.ca/en/publications ... ome-humain
Auteur : ronronladouceur
Date : 02 mars23, 06:01
Message :
gzabirji a écrit : 01 mars23, 09:08 Ajouté 5 minutes 45 secondes après :
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Finalement ce n'était pas si grave... Les jeunes incommodés (maux de tête, de ventre, courbatures) ont été traités sur place. Et le lot de doses restant a été envoyé à l'analyse... C'est le genre de symptômes associés aux vaccins. Et ce n'était pas la première séquence de vaccination à cet endroit... Peut-il y avoir d'autres causes en jeu (facteur psychologique, placebo, etc.)?

https://www.rtl.be/actu/regions/hainaut ... cle/503723

Vigilance : Faudrait voir si le même type de problèmes se retrouve ailleurs...

Autre son de cloche (avec anguille sous roche=Merck?)

Autre regard... L'idée de vaccin ''en soi'' flotte dans l'air comme nuage ayant obtenu mauvaise presse (plusieurs éléments associés symptômes, effets indésirables, séquelles, etc.). Je commence à soupçonner un lien avec la peur qui se généralise par divers chemins et sous diverses formes...

Pour le vaccin : Aucune obligation, mais recommandation...

P.S. J'ai appris qu'une pharmacienne de ma connaissance avait manifesté son intention de faire vacciner sa fille de 9 ans...
Auteur : gzabirji
Date : 02 mars23, 07:19
Message : Le Dr Gérard Delepine dénonce les contre-vérités du président Macron lors de son discours de propagande vaccinale dans un collège de Jarnac. Édifiant !

Auteur : ronronladouceur
Date : 02 mars23, 09:57
Message :
gzabirji a écrit : 02 mars23, 07:19 Le Dr Gérard Delepine dénonce les contre-vérités du président Macron lors de son discours de propagande vaccinale dans un collège de Jarnac. Édifiant !
Évidemment il peut y avoir plusieurs causes au cancer de l'uterus, etc., et penser l'éradiquer totalement comme l'aurait affirmé Macron (j'ai pas vérifié) apparaît probablement téméraire vu les causes diverses, etc. D'ailleurs juste ce propos-là de sa part, suffirait à semer le doute dans l'esprit des gens (contreproductif)...

Reste tout de même à considérer l'Australie... ''Sur le point de'' est peut-être douteux, mais bon, ça montre qu'il y a des progrès...

Pourtant tu cherches et tu trouves facilement (Société canadienne du Cancer, etc.)...

En France, le problème dudit vaccin ne date pas d'hier...
[...]
''En France, l’objectif du plan cancer 2014-2019 est d’atteindre une couverture vaccinale de 60 % chez les jeunes filles de 11 à 14 ans, âge où deux injections du vaccin suffisent désormais selon l’OMS. Ce but ne sera pas atteint, à la consternation du monde médical et scientifique, car des campagnes anti-vaccinales menées sur les réseaux sociaux depuis 2011 et amplifiées par les professeurs à la retraite Henri Joyeux et Luc Montagnier, ainsi que la députée européenne EELV Michèle Rivasi, ont fait chuter la confiance des Français dans ce vaccin.''

[Les chiffres ont quelque peu changé, par exemple, pour l'âge suggéré (à partir de neuf ou dix ans), etc.]

Et à propos du Dr Montagnier cité dans l'article...

Remarque : le vaccin ne sera pas obligatoire... Simplement recommandé...
Auteur : indian
Date : 02 mars23, 10:17
Message : Gza est le roi de la désinformation
Auteur : lafrisée
Date : 02 mars23, 20:32
Message : https://www.sudinfo.be/id575877/article ... morlanwelz

"La majorité des élèves de l’Athénée de Morlanwelz pris en charge après avoir été victimes d’un malaise sont retournés à l’école, ce vendredi. Pour rappel, 22 élèves avaient fait une mauvaise réaction à un vaccin contre le papillomavirus."

https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... inefficace
Auteur : gzabirji
Date : 03 mars23, 01:50
Message : Diane Harper est reconnue comme l'une des plus grandes spécialistes au monde des virus HPV...
La vidéo risque d'être censurée, faites vite...
Et pourtant il s'agit d'un extrait d'un documentaire de 2015 qui est passé sur LCP, la chaîne parlementaire. À l'époque, ça ne posait aucun problème, mais à présent qu'une campagne de fausse vaccination anti-HPV est programmée, le gouvernement va tout faire pour étouffer la vérité.
En cas de censure, je la posterai à nouveau sur une plate-forme non censurable, pas de soucis, nous avons l'habitude. 🙂

Ajouté 5 heures 13 minutes 24 secondes après :
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Auteur : indian
Date : 03 mars23, 04:39
Message : Composition
Deux vaccins inactivés contre les VPH sont distribués au Canada :

Cervarix (GSK), vaccin Bivalent (VPH‑2);
Gardasil 9 (Merck), vaccin nonavalent (VPH‑9).
Ces vaccins sont préparés à partir de pseudoparticules virales hautement purifiées des protéines L1 des VPH 16 et 18 pour le Cervarix et des VPH 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 pour le Gardasil 9. Les protéines L1 s’autoassemblent en pseudoparticules virales non infectieuses identiques aux virus naturels quant à la taille et à la morphologie.

Dans le Cervarix, les protéines L1 sont produites par la technique de l’ADN recombinant à l’aide d’un vecteur d’expression baculovirus dans des cultures cellulaires de Trichoplusia ni. Dans le Gardasil 9, les protéines L1 sont produites par fermentation en culture recombinante de Saccharomyces cerevisiæ.

Chaque dose de Cervarix contient :

20 µg de la protéine L1 du VPH 16;
20 µg de la protéine L1 du VPH 18;
l’adjuvant AS04, contenant 50 µg de 3‑O‑désacyl‑4’‑monophosphoryl lipide A;
de l’hydroxyde d’aluminium hydraté contenant 0,5 mg d’Al3+;
du chlorure de sodium, du dihydrogénophosphate de sodium dihydraté et de l’eau.
Chaque dose de Gardasil 9 contient :

30 µg de la protéine L1 du VPH 6;
40 µg de la protéine L1 du VPH 11;
60 µg de la protéine L1 du VPH 16;
40 µg de la protéine L1 du VPH 18;
20 µg de la protéine L1 du VPH 31;
20 µg de la protéine L1 du VPH 33;
20 µg de la protéine L1 du VPH 45;
20 µg de la protéine L1 du VPH 52;
20 µg de la protéine L1 du VPH 58;
500 µg d’aluminium sous forme de sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium amorphe;
50 µg de Polysorbate 80, 35 µg de borate de sodium, 9,56 mg de chlorure de sodium, 0,78 mg de L‑histidine et de l’eau.
Présentation
Cervarix :
Fiole ou seringue unidose de 0,5 ml.
Gardasil 9 :
Fiole ou seringue unidose de 0,5 ml.
Les vaccins ont l’aspect d’une solution trouble et blanchâtre.

Indications
Un programme gratuit de vaccination contre les VPH est réalisé annuellement en milieu scolaire par le réseau des CISSS et CIUSSS.

Gratuite Vacciner les élèves en 4e année du primaire (1re dose) et en 3e secondaire (2e dose).
Gratuite
Vacciner les jeunes âgés de 9 à 17 ans (moins de 18 ans au moment de leur 1re dose).

Gratuite
Vacciner les personnes âgées de 18 à 45 ans immunodéprimées ou infectées par le VIH.

Gratuite
Vacciner les HARSAH âgés de 26 ans et moins.

Recommandée
Vacciner les personnes âgées de 18 à 45 ans.

Autorisée
Vacciner les personnes de plus de 45 ans qui souhaitent réduire leur risque de nouvelles infections par des VPH inclus dans les vaccins.

Idéalement, pour des bénéfices maximaux, la vaccination devrait être offerte avant le début des activités sexuelles.

Le vaccin peut être administré à la personne qui a déjà contracté une infection par un VPH ou qui a déjà eu une lésion liée à une infection par un VPH (ex. : condylomes ou test de dépistage anormal), car l’immunité est spécifique au VPH contracté et n’est pas toujours acquise après une infection naturelle. La vaccination aidera alors à prévenir les nouvelles infections.

Contre‑indications
Anaphylaxie suivant l’administration d’une dose antérieure du même vaccin ou d’un autre produit ayant un composant identique.

Précautions
Voir Vaccinologie pratique, Précautions.

Grossesse
Les données montrent qu’il n’y a pas de risque accru pour la mère ou le fœtus lorsque la vaccination est réalisée pendant la grossesse; les données demeurent toutefois insuffisantes pour recommander l’utilisation du vaccin pendant la grossesse. Ainsi, si une femme devient enceinte après avoir commencé la vaccination, les doses manquantes lui seront administrées après l’accouchement. Il n’est pas nécessaire de réaliser un test de grossesse avant de commencer la vaccination. Aucune intervention n’est recommandée si le vaccin est administré en cours de grossesse.

Interchangeabilité
Les 2 vaccins contiennent les VPH 16 et 18. Le Gardasil 9 contient aussi les VPH 6, 11, 31, 33, 45, 52 et 58. Il n’y a pas de risque à utiliser l’un ou l’autre des vaccins pour compléter un calendrier de vaccination.

Manifestations cliniques après la vaccination
Voir Manifestations cliniques, Présentation des manifestations cliniques.

Risque attribuable au vaccin
Les données du tableau suivant pour le Cervarix proviennent de plusieurs études cliniques menées chez des filles et des femmes âgées de 9 à 45 ans.

DR Cervarix
Manifestations Vaccin % Témoin* % DR %
Douleur locale 91,8 87,2 4,6**
Érythème local 48,0 24,4 23,6**
Œdème local 44,1 21,3 22,8**
Céphalée 53,4 61,4 -8,0**
Fièvre 12,8 13,5 -0,7
Éruption cutanée 9,6 10,0 -0,4
Symptômes gastro‑intestinaux 27,8 32,8 -5,0**
*Dans les études sur le Cervarix, le groupe témoin a reçu soit une solution contenant 500 µg d’hydroxyde d’aluminium (adjuvant), soit le vaccin contre l’hépatite A (720 U ELISA).

**Différence statistiquement significative.

Les données du tableau suivant pour le Gardasil 9 proviennent de plusieurs études cliniques menées chez des filles et des femmes âgées de 9 à 26 ans. Dans les études cliniques ayant évalué l’innocuité du Gardasil 9, les données ont été comparées aux données d’un groupe ayant reçu le Gardasil.

Les réactions au site d’injection ont été plus fréquentes avec le Gardasil 9 qu’avec le Gardasil. La fréquence des manifestations cliniques observées était comparable chez les personnes ayant reçu le Gardasil 9 après avoir reçu le Gardasil et chez les personnes n’ayant reçu que le Gardasil 9.

Les manifestations cliniques rapportées avec le Gardasil 9 ont été moins fréquentes lors d’études chez les garçons et les hommes que lors d’études chez les filles et les femmes.

Après l’administration de chacune des doses de Gardasil 9, la fréquence de certaines réactions locales a augmenté, mais n’a pas dépassé les fréquences mentionnées dans le tableau ci-dessous.

DR Gardasil 9 et Gardasil
Manifestations Vaccin
(Gardasil 9) % Témoin
(Gardasil) % DR %
Douleur locale 89,9 83,7 6,2*
Érythème local 34,0 25,8 8,3*
Œdème local 40,3 29,1 11,2*
Prurit local 5,4 3,9 1,5*
Céphalée 14,5 13,6 0,9
Fièvre 5,0 4,2 0,8*
Nausées 4,3 3,7 0,6*
Étourdissements 2,9 2,7 0,2*
* Différence statistiquement significative.

Les données du tableau suivant proviennent d’une étude québécoise menée chez des filles et des garçons âgés de 9 à 10 ans qui ont reçu un calendrier comprenant 1 dose de Gardasil 9 et 1 dose de Cervarix ou 2 doses de Gardasil 9.

DR Gardasil 9 et Cervarix
Manifestations Gardasil 9 % Cervarix % DR %
Douleur locale 66,4 82,5 -16,2*
Érythème local 20,7 36,7 -16,0*
Œdème local 12,5 17,0 -4,5
Fièvre ≥ 37,5 °C 5,4 5,5 -0,1
Céphalée 20,8 19,1 1,7
Symptômes gastro-intestinaux 10,7 8,2 2,5
Fatigue 27,4 32,7 -5,3
Myalgie 23,4 34,9 -11,5*
Arthralgie 7,6 8,8 -1,2
* Différence statistiquement significative.

Manifestations cliniques observées
La plupart des MCO sont bénignes et transitoires.

Des réactions allergiques anaphylactiques ont exceptionnellement été rapportées (de 1 à 9 cas sur 1 million de doses).

Dans les études sur le Gardasil, le groupe témoin a reçu une solution contenant 250 µg d’aluminium. Toutefois, les réactions locales ont été comparées à celles d’un groupe ayant reçu une solution sans sel d’aluminium.

Les manifestations cliniques rapportées avec le Gardasil et le Gardasil 9 ont été moins fréquentes lors d’études chez des garçons et des hommes.

L’œdème et l’érythème au site d’injection ont été plus fréquents avec le Gardasil 9. Chez les personnes ayant reçu le Gardasil, les manifestations cliniques n’ont pas été plus fréquentes après l’administration du Gardasil 9.

Après l’administration de chacune des doses de Gardasil et de Gardasil 9, la fréquence des réactions locales a augmenté, mais n’a pas dépassé les fréquences mentionnées dans le tableau DR Gardasil 9 et Cervarix (voir Risque attribuable au vaccin).

SYNDROME DE GUILLAIN-BARRÉ
À la lumière des études récentes, l’OMS a affirmé qu’il n’existait aucune association entre le SGB et les vaccins VPH. Au Québec, une étude menée en 2016 n’a démontré aucune augmentation du risque de SGB dans les cohortes visées par la vaccination.

AUTRES AFFECTIONS
Les études cliniques et les études postcommercialisation menées auprès de millions de femmes n’ont démontré aucune association entre les vaccins VPH et les affections suivantes : la maladie thrombo‑embolique, les maladies auto‑immunes, y compris la sclérose en plaques, les maladies neurologiques, le syndrome douloureux régional complexe, le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, l’insuffisance ou la défaillance ovarienne primaire.

Administration
Bien agiter la fiole ou la seringue avant d’administrer le vaccin. Le sel d’aluminium tend à former un dépôt blanc au fond de la fiole ou dans la seringue. Un surnageant incolore et limpide est présent dans le Cervarix.

Administrer le contenu du format unidose par voie IM.

Pour le Gardasil 9, lors de l’injection avec la seringue préremplie du fabricant, maintenir une pression sur le piston jusqu’à ce que l’aiguille ait été retirée du bras.

Calendrier de Cervarix et Gardasil 9
Depuis le 1er septembre 2020, le calendrier régulier inclut l’administration de 1 dose de Gardasil 9 en 4e année du primaire et de 1 dose de Cervarix en 3e année du secondaire. Ce calendrier s’applique pour la vaccination en milieu scolaire pour les jeunes âgés de 9 à 17 ans.
Âge à la 1re dose Nombre de doses Précisions
9 à 17 ans
2

Intervalle recommandé : 6 mois

Intervalle minimal : 5 mois

Intervalle du programme scolaire : 60 mois

1re dose : VPH-9; 2e dose : VPH-2

Administrer 3 doses de Gardasil 9 aux jeunes immunodéprimés ou infectés par le VIH : à 0, 6 et 12 mois pour les jeunes âgés de 9 à 13 ans; à 0, 2 et 6 mois pour les jeunes âgés de 14 à 17 ans

18 ans
et plus
2

Intervalle recommandé : 6 mois

Intervalle minimal : 5 mois

Administrer le Gardasil 9 aux adultes qui sont ciblés par le programme gratuit de vaccination

Administrer 3 doses de Gardasil 9 aux adultes immunodéprimés ou infectés par le VIH à 0, 2 et 6 mois

Réponse au vaccin
Immunogénicité
Les vaccins VPH sont très immunogènes. Après la vaccination, plus de 98 % des personnes vaccinées ont des anticorps contre les VPH inclus dans les vaccins.

Chez les jeunes âgés de 9 à 17 ans, la réponse immunitaire après 2 doses données à au moins 6 mois d’intervalle est comparable à celle qui est observée avec un calendrier à 3 doses chez les adultes, groupe pour lequel l’efficacité clinique a d'abord été démontrée. Des études d’immunogénicité montrent des résultats similaires pour un calendrier 0-60 mois et un calendrier 0-6 mois.

Un calendrier pour la vaccination des jeunes comprenant 1 dose de Gardasil 9 et 1 dose de Cervarix induit une réponse immunitaire plus forte contre les VPH 16 et 18 que 2 doses de Gardasil 9 tout en assurant une immunité contre les autres VPH inclus dans le Gardasil 9.

Chez les personnes vaccinées préalablement avec le Gardasil, 1 dose de Gardasil 9 induit des niveaux relativement élevés d’anticorps contre les 5 autres VPH inclus dans le vaccin, et les niveaux d’anticorps sont encore plus élevés après 3 doses.

L’importance clinique des titres d’anticorps reste méconnue. Des données indiquent que les personnes vaccinées qui ont de très faibles niveaux d’anticorps ou qui n’ont plus d’anticorps détectables demeurent protégées contre les infections persistantes et contre les lésions précancéreuses.

Malgré des niveaux d’anticorps plus bas que chez les préadolescents ou adolescents, une efficacité élevée a été démontrée chez les personnes vaccinées à l’âge adulte. Cette observation est particulièrement bien illustrée pour le VPH 18 du vaccin quadrivalent Gardasil, qui maintient une très haute efficacité contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.

Efficacité
Chez les femmes, les vaccins VPH sont efficaces pour prévenir les lésions précancéreuses du col de l’utérus, de la vulve et du vagin, incluant les adénocarcinomes in situ du col de l’utérus, causées par les VPH à haut risque (ou carcinogènes) inclus dans les vaccins. Les vaccins VPH sont aussi efficaces pour prévenir les cancers anaux chez les femmes et les hommes. Le Gardasil 9 est également efficace pour prévenir, chez les femmes et les hommes, les condylomes causés par les VPH 6 et 11.

Chez les personnes qui ne sont pas déjà infectées par les VPH au moment de la vaccination, l’efficacité des vaccins pour prévenir les condylomes et les lésions précancéreuses associés aux VPH inclus dans les vaccins est supérieure à 95 % chez les femmes âgées de 15 à 26 ans, d’environ 90 % chez les femmes âgées de 24 à 45 ans et de 80 à 90 % chez les hommes âgés de 15 à 26 ans. L’efficacité de la vaccination chez les personnes déjà infectées par les VPH est par contre moins élevée.

Les études récentes, menées auprès des personnes vaccinées à la préadolescence, à l’adolescence ou à l’âge adulte, montrent que 2 doses administrées à au moins 6 mois d’intervalle sont aussi efficaces qu’un calendrier à 3 doses pour prévenir les infections, les condylomes et les lésions précancéreuses.

Certaines données montrent aussi qu’une seule dose de vaccin pourrait être très efficace.

La durée de la protection est d’au moins 14 ans. La protection à plus long terme est inconnue, mais on estime qu’elle devrait durer plusieurs décennies. Les études se poursuivent.

Des études de suivi de cohortes vaccinées à la préadolescence et à l’adolescence montrent une efficacité de près de 100 % contre les infections, les lésions précancéreuses et les condylomes dus aux VPH inclus dans les vaccins.

Une certaine protection croisée (efficacité pour prévenir des lésions causées par des VPH non inclus dans les vaccins) a été démontrée pour le Cervarix et le Gardasil.

Chez les personnes actives sexuellement, les vaccins ont une certaine efficacité pour prévenir les réinfections ou les nouvelles infections survenant après la vaccination et dues à des VPH inclus dans les vaccins. Toutefois, les vaccins n’ont pas d’effet thérapeutique. La vaccination contre les VPH n’est pas efficace pour traiter une infection ou une lésion associée aux VPH déjà présente au moment de la vaccination.

Les données évaluées à l’échelle de populations après l’implantation des programmes de vaccination montrent que la vaccination amène une diminution des condylomes, des infections et des lésions précancéreuses causés par les VPH inclus dans les vaccins. Même si le délai est de plusieurs années entre l’infection et le développement d’un cancer, des études ont déjà démontré une haute efficacité du Cervarix et du Gardasil contre les cancers du col de l’utérus et de l’oropharynx. Des données québécoises montrent que les infections aux VPH inclus dans les vaccins sont pratiquement absentes dans les cohortes de jeunes vaccinés dans le cadre du programme scolaire.


https://msss.gouv.qc.ca/professionnels/ ... me-humain/
Auteur : gzabirji
Date : 03 mars23, 06:17
Message : Ils avaient déjà tout compris...

Auteur : ronronladouceur
Date : 03 mars23, 06:21
Message :
gzabirji a écrit : 03 mars23, 01:50
Ajouté 5 heures 13 minutes 24 secondes après :
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Image tendancieuse... Je te laisse deviner pourquoi...
Auteur : gzabirji
Date : 03 mars23, 06:39
Message : Image


Source : http://initiativecitoyenne.be/2015/06/d ... dasil.html
Auteur : ronronladouceur
Date : 03 mars23, 10:19
Message :
gzabirji a écrit : 03 mars23, 06:39 Image
Attention à la distinction corrélation et causalité...

Au sujet de Raoult : ''L’ancien dirigeant de l’institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille a rappelé le "lien direct et exclusif avec le cancer du col" de l’utérus avec d’autres cancers. "On estime qu’il y a 2 000 morts par an en France de cancers qui sont induits par le papillomavirus. C’est une vraie priorité de santé publique", a-t-il indiqué. Au cours de cette vidéo, il souhaitait que ce vaccin soit proposé "à tous les jeunes qui ont ou vont avoir une activité sexuelle, qu’ils soient hétéro ou homosexuels". Favorable donc à ce vaccin, Didier Raoult révélait avoir "vacciné (s)es s bien sûr, avant que ce soit remboursé. (S)on garçon comme (s)es filles."
LIEN

Là cependant où j'ai quelque difficulté pour le moment avec la vidéo, c'est qu'il dit qu'on peut aussi appliquer le traitement à des personnes infectées alors que j'ai lu le contraire ailleurs...
https://twitter.com/PaiPLe9483/status/1 ... 5494838272
Auteur : gzabirji
Date : 05 mars23, 01:04
Message : Image

Source : https://ctiapchcholet.blogspot.com/2019 ... e.html?m=0

Ajouté 6 heures 57 minutes 39 secondes après :
Gardasil : Danger ☠️

À voir absolument avant censure...
Ajouté 20 heures 10 minutes 16 secondes après :
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Source : https://expose-news.com/2023/03/03/hpv- ... disorders/
Auteur : Kenzo
Date : 06 mars23, 00:27
Message : «Bonne tolérance de ce vaccin», selon Sanofi-Pasteur MSD

Or, on sait que seul 1,5 million de femmes ont été vaccinées, les jeunes filles recevant pour la plupart d'entre elles trois doses de vaccin. Aussi, le taux d'effets indésirables graves (EIG) est en fait de 23,4 pour 100.000 femmes. Un chiffre explosif! A titre de comparaison, le taux d'incidence du cancer du col de l'utérus est de 6,4 pour 100.000 femmes en 2010. Ainsi, le nombre d'effets secondaires graves après une vaccination est près de trois fois plus important que le risque d'être atteinte d'un cancer du col utérin.

https://www.20minutes.fr/sante/802652-2 ... -boomerang
Auteur : gzabirji
Date : 07 mars23, 19:21
Message :
Kenzo a écrit : 06 mars23, 00:27 «Bonne tolérance de ce vaccin», selon Sanofi-Pasteur MSD

Or, on sait que seul 1,5 million de femmes ont été vaccinées, les jeunes filles recevant pour la plupart d'entre elles trois doses de vaccin. Aussi, le taux d'effets indésirables graves (EIG) est en fait de 23,4 pour 100.000 femmes. Un chiffre explosif! A titre de comparaison, le taux d'incidence du cancer du col de l'utérus est de 6,4 pour 100.000 femmes en 2010. Ainsi, le nombre d'effets secondaires graves après une vaccination est près de trois fois plus important que le risque d'être atteinte d'un cancer du col utérin.

https://www.20minutes.fr/sante/802652-2 ... -boomerang
Excellent. 👍 Merci. 🙏

Ajouté 14 heures 31 minutes 51 secondes après :
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Ajouté 22 heures 38 minutes 54 secondes après :
*
*
*
La descente aux enfers, témoignage de Jennifer suite à sa "vaccination" contre le papillomavirus :

Auteur : gzabirji
Date : 09 mars23, 22:17
Message : Image
Auteur : ronronladouceur
Date : 10 mars23, 10:21
Message :
gzabirji a écrit : 09 mars23, 22:17 Image
La dame s'informe et elle trouve...

''... virus du papillome humain (VPH). Lorsqu’une femme est infectée par ces virus, des anomalies, appelées « lésions précancéreuses », peuvent apparaître sur le col de son utérus. Certaines lésions disparaissent par elles-mêmes, ''
LIEN

Aussi provenant du CDC : Vaccination Recommendations
HPV vaccine is recommended for routine vaccination at age 11 or 12 years. (Vaccination can be started at age 9.)
LIEN
Auteur : gzabirji
Date : 13 mars23, 06:15
Message : Déjà en 2016...


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Source :
https://www.lemonde.fr/planete/article/ ... _3244.html

Ajouté 8 minutes 18 secondes après :
Les dégâts du Gardasil au Japon (nombreux procès en cours). Attention, âmes sensibles s'abstenir.
Ajouté 2 heures 6 minutes 18 secondes après :
Image

Source :
https://www.aimsib.org/2023/03/12/garda ... contraire/

Ajouté 21 heures 2 minutes 42 secondes après :
Un rendez-vous avec le Dr Delépine, cancérologue, pour parler des dangers du Gardasil :
Je vous tiendrai au courant de la suite. 😉
Auteur : gzabirji
Date : 15 mars23, 20:22
Message : Image

Source :
https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... inefficace

Ajouté 12 heures 13 minutes 33 secondes après :
Image
Auteur : gzabirji
Date : 29 mars23, 17:39
Message : Image

Source :
https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... ied-danser
Auteur : gzabirji
Date : 01 avr.23, 06:24
Message : Image

Source :
https://www.stopmandatoryvaccination.co ... aily-hell/

Ajouté 4 heures 17 minutes 13 secondes après :
Image
Auteur : vic
Date : 01 avr.23, 06:43
Message :
J'm'interroge a écrit : 01 mars23, 08:40 Déjà que les nombreux adjuvants introduits posaient et posent encore de sérieux problèmes, il faudrait maintenant accepter la tendance à la généralisation des injections à ARN messager, sans la prudence qui est de mise.

Il faudra dorénavant se méfier de tout nouveau vaccin et réactualisations de vaccins plus anciens.
Aucun adjuvant dans le vaccin covid ARN messager justement. Je veux dire pas d'aluminum ou de métaux lourds .

Voir ce lien :

https://www.infovac.fr/docman-marc/publ ... s-def/file

"Y a-t-il des métaux lourds ou de l'aluminium dans les vaccins contre la COVID-19 ?

NON !! Dans les vaccins en cours d’enregistrement il n'y a ni aluminium, ni métaux lourds.

Y a-t-il des adjuvants ajoutés dans ces trois vaccins contre la COVID-19 ?


Non !! L'activation du système immunitaire, dirigée contre la protéine de surface du virus (Spike), est directement soutenue soit par
l'ARNm codant pour cette protéine de surface et les lipides qui l'entourent (vaccins à ARNm), soit par la
reconnaissance des particules d'adénovirus exprimant la protéine Spike à leur surface
"

Donc justement , ce sont les adjuvants qui posaient problèmes dans le litige . Et là l'ARN messager semble une solution au problème des adjuvants .
Auteur : gzabirji
Date : 01 avr.23, 08:46
Message :
vic a écrit : 01 avr.23, 06:43 métaux lourds ou de l'aluminium dans les vaccins contre la COVID-19
Tu t'es trompé de topic, celui-ci est dédié à la vaccino-merdouille HPV (papillomavirus).
Auteur : gzabirji
Date : 04 avr.23, 08:42
Message : Première dose de cette merde de vaccin HPV :

Image

https://youtube.com/shorts/ZELnD9cRU2o?feature=share
Auteur : gzabirji
Date : 05 avr.23, 19:52
Message : Image
Auteur : vic
Date : 06 avr.23, 00:26
Message :
gzabirji a écrit : 29 mars23, 17:39 Image

Source :
https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... ied-danser
France soir est cité comme un site de fake news .
Donc les sites que tu utilises sont des sites reconnus comme des sites fake news .

https://www.cnetfrance.fr/news/en-2021- ... 934779.htm


"Le premier de cette liste est le site de l'ancien journal FranceSoir et dont le thème privilégié est la diffusion de fausses informations sur le COVID-19. La pandémie a, semble-t-il, créé un terrain propice aux infox puisque sur les 10 sites de la liste, il est question de COVID-19 dans 8 cas sur 10. Voici la liste complète établie par NewsGuard des sites qu'il vaut mieux éviter pour ne pas tomber sur de fausses informations.

FranceSoir.fr
Fr.sputniknews.com
Francais.rt.com
TVlibertes.com
Lecourrier-du-soir.com
Alnas.fr
Lesmoutonsrebelles.com
Breizh-info.com
Planetes360.fr
LeLibrePenseur.org

NewsGuard établit aussi une liste des sites les plus fiables sur lesquels on peut s'informer. Dans le trio de tête, on trouve notamment 20minutes.fr, Rfi.fr et France24.com. Vous trouverez la liste complète sur le rapport en ligne de NewsGuard et des détails sur la façon d'évaluer les sites et leur fiabilité
".

https://www.newsguardtech.com/fr/misinf ... mbre-2022/

Ajouté 20 minutes 5 secondes après :
gzabirji a écrit : 01 mars23, 09:20
Apparemment la vidéo que tu as posté sur la 1ère page de ton sujet idiot était un fake news et you tube s'est chargé de l'interdire .

:grinning-face-with-smiling-eyes:
a écrit :Gzabirdji a dit : J'aurais bien mis cette vidéo sur ma deuxième chaîne Youtube, puisque ma première chaîne a déjà été censurée hier soir suite à la vidéo sur la docteresse analysant le Gardasil au microscope.
Heureusement que you tube fait de temps en temps son travail correctement .Un désinformateur professionel comme toi , ça finit par se savoir .
Elle est où ta deuxième chaine you tube pour qu'on la dénonce à you tube ?
Auteur : gzabirji
Date : 06 avr.23, 01:37
Message : Post supprimé par l'auteur pour cause de fake.
Auteur : vic
Date : 06 avr.23, 02:24
Message :
gzabirji a écrit : 06 avr.23, 01:37
C'est quoi cette vidéo ridicule ?
C'est pas le vaccin qui fait peur , c'est toi et ton état psy .
You tube a supprimé ton ancienne chaine avec tes délires conspirationnistes et du coup tu pètes un câble ?
Là tu parts vraiment en sucette .

:zany-face:
Auteur : gzabirji
Date : 06 avr.23, 02:49
Message :
vic a écrit : 06 avr.23, 02:24 C'est quoi cette vidéo ridicule ?
C'est ce qui est arrivé à cette jeune femme après sa première dose du "vaccin" HPV.

Je vais multiplier ce genre de vidéos pour que ceux qui ne cessent de crier "fake" aillent pourrir en enfer en compagnie de Josef Mengele.
Auteur : vic
Date : 06 avr.23, 03:07
Message :
gzabirji a écrit : 06 avr.23, 01:37
Cette vidéo devrait être visionnée par la modération , elle pose des question sur ton état psychologique .
J'invite la modération à la regarder .
Ta façon d'apprécier les choses c'est de faire peur aux gens n'importe comment , les empêcher de raisonner .
Ca devient même proche de l'hystérie tes sujets tels qu'ils sont développés .
Cette vidéo que tu as posté en témoigne .
Ca n'a plus rien à voir avec de l'information ou de la science .
Auteur : gzabirji
Date : 06 avr.23, 08:01
Message : Cliquez sur l'image pour voir ce que font ces monstres à une gamine de 12 ans avec leur poison :

Image
Auteur : Pat1633
Date : 06 avr.23, 20:04
Message : Si vous avez remarqué, en Afrique il se développe un virus encore PIRE que la COVID, tout est contaminé …

Est-ce que ça vas se reprendre encore comme les autres virus?

Le simple contact avec un autre ou leur vomissement contaminé une autre personne …
L’Ebola est en train de « muter »
Auteur : gzabirji
Date : 08 avr.23, 01:40
Message :

Auteur : ronronladouceur
Date : 08 avr.23, 06:17
Message :
gzabirji a écrit : 06 avr.23, 01:37
Un autre FAUX...

Et une petite devinette : Qu'est-ce qui pourrait donner à penser qu'à priori (sans écouter la vidéo) il s'agit d'une infox?
Auteur : gzabirji
Date : 08 avr.23, 06:28
Message : LANGUE AU CHAT POUR TA DEVINETTE

Image
Auteur : ronronladouceur
Date : 08 avr.23, 06:36
Message :
gzabirji a écrit : 08 avr.23, 06:28 LANGUE AU CHAT POUR TA DEVINETTE
Image

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