Résultat du test :

Auteur : prisca
Date : 06 nov.24, 22:38
Message : Ce que vous occultez c'est que les évêques catholiques qui apparaissent dès le 1er siècle sont des appelés du Seigneur.

Ils ne sont pas appelés au hasard, ils furent les morts en Christ d'une humanité éteinte qui ont revécu sur notre terre pour y recevoir la Grâce au moyen de la foi Sacerdotale.

Ce sont les Sacrificateurs qui règneront avec D.IEU avec Christ durant mille ans.

Jésus a tout accompli, YHVH appelle des gens à la prêtrise.

Ce sont eux qui vont prendre la succession des apôtres Juifs pour évangéliser le monde.

Donc au 1er siècle ces évêques considèrent Jésus comme un second Dieu ? Non puisque vous savez que ceux qui reçoivent l'Esprit Saint entendent D.IEU leur parler, les inspirer pour connaitre toute la Vérité et l'ETERNEL leur a donc expliqué son Plan.

Par conséquent l'ETERNEL leur a tout expliqué dès le 1er siècle.

Ce n'est qu'au 4ème siècle que tout est en quelque sorte médiatisé puisque l'empereur Constantin fait délier les langues de gens à qui c'est le métier d'écrire.

Donc des écrits existent et à travers eux nous savons que c'est en l'an 325 lors du 1er concile de Nicée que la trinité voit le jour.

Mais toujours l'ETERNEL parle aux évêques mais eux face à leur empereur préfèrent ne pas être dans la contrariété et ils laissent l'empereur choisir à sa guise la doctrine catholique en disant "trinité" afin de trouver une parade pour dire qu'il existe un second dieu Jésus mais qu'il fait partie d'une manière indissociable de son père.


La trinité est donc la vision d'un paien qui imagine les choses comme les paiens les imaginent puisque l'empereur Constantin lui n'est pas inspiré par D.IEU, il suppute les choses.

Et bien évidemment les évêques ont fait le péché de figure d'Adam puisqu'ils ont donné raison au serpent Constantin plutôt qu'à D.IEU.

Le péché originel c'est celui là.
Auteur : Stop !
Date : 07 nov.24, 00:52
Message : Le péché originel a été imaginé pour pouvoir créer le Père fouettard.
Auteur : prisca
Date : 07 nov.24, 02:42
Message :
Stop ! a écrit : 07 nov.24, 00:52 Le péché originel a été imaginé pour pouvoir créer le Père fouettard.
Non.

Est ce que tu as bien suivi mon explication qui consiste à dire que si un homme divulgue du mensonge en le faisant passer pour de la vérité et bien les gens ils croient que le mensonge c'est de la vérité ?
Auteur : ronronladouceur
Date : 07 nov.24, 03:19
Message :
Stop ! a écrit : 07 nov.24, 00:52 Le péché originel a été imaginé pour pouvoir créer le Père fouettard.
On lit dans Conversations avec Dieu, Tome 1 : ''Ce soi-disant état d'imperfection dans lequel on t'a dit que tu étais venu en ce monde, c'est ce que tes Spécialistes de la religion ont le culot d'appeler le péché originel. Et c'est le péché originel, mais tu n'y es pour rien. C'est le premier péché à avoir été perpétré à ton égard par un monde qui ne sait rien de Dieu...''
Auteur : Gaetan
Date : 08 nov.24, 00:46
Message : Il n'y a pas de péché originel, c'est un péché inventé par diable pour piéger Adam et Êve.
Auteur : Stop !
Date : 08 nov.24, 00:51
Message : Il n'y a pas de "péchés" tout court, la désobéissance à ce qui n'existe pas n'ayant pas cours.
Auteur : prisca
Date : 08 nov.24, 01:23
Message :
Stop ! a écrit : 08 nov.24, 00:51 Il n'y a pas de "péchés" tout court, la désobéissance à ce qui n'existe pas n'ayant pas cours.
Péchés est un mot générique pour dire "mauvaises actions".

Tuer par exemple c'est une mauvaise action réprimée par la justice des hommes et réprimée par l'ETERNEL car c'est un péché de tuer.

Tuer c'est désobéir à la loi de l'ETERNEL et c'est désobéir à la loi des hommes.

Qui approuverait le crime ? Personne, même le criminel n'approuve pas son geste s'il se donne l'occasion de faire une introspection.
Auteur : Gaetan
Date : 08 nov.24, 01:25
Message :
Stop ! a écrit : 08 nov.24, 00:51 Il n'y a pas de "péchés" tout court, la désobéissance à ce qui n'existe pas n'ayant pas cours.
Nous faisons des péchés tout le temps qui est de faire du mal aux autres, il ne faut pas en inventer comme manger du porc et se promener sans voile.
Auteur : estra2
Date : 08 nov.24, 21:17
Message :
prisca a écrit : 08 nov.24, 01:23Péchés est un mot générique pour dire "mauvaises actions".
Bonjour à tous,

La différence c'est que pour déterminer ce qu'est une mauvaise action on se sert de sa réflexion, pour déterminer ce qu'est un péché on se sert d'un code censé être la volonté d'une divinité.

Par exemple, une femme violée qui prend une pilule abortive pour ne pas porter l'enfant du viol, est-ce que c'est une mauvaise action ?
Pour celui qui considère humainement la situation, c'est au contraire une bonne action.
Pour le croyant qui suit à la lettre son code, c'est aller contre la volonté de Dieu et risquer de détruire une vie, donc c'est péché.

Donc, il y a bien une différence entre "péché" et "mauvaise action".

Prenons l'exemple inverse, pour des gens qui se servent de leur raison, massacrer toute une population au prétexte qu'elle sert un mauvais dieu, pour les croyants ce n'est pas péché au contraire (voir le génocide des madianites) mais pour le non croyant, c'est une mauvaise action !
Auteur : prisca
Date : 08 nov.24, 22:15
Message :
estra2 a écrit : 08 nov.24, 21:17 Bonjour à tous,

La différence c'est que pour déterminer ce qu'est une mauvaise action on se sert de sa réflexion, pour déterminer ce qu'est un péché on se sert d'un code censé être la volonté d'une divinité.

Par exemple, une femme violée qui prend une pilule abortive pour ne pas porter l'enfant du viol, est-ce que c'est une mauvaise action ?
Pour celui qui considère humainement la situation, c'est au contraire une bonne action.
Pour le croyant qui suit à la lettre son code, c'est aller contre la volonté de Dieu et risquer de détruire une vie, donc c'est péché.

Donc, il y a bien une différence entre "péché" et "mauvaise action".

Pour savoir ce que représente une mauvaise action, il faut s'en référer aux 613 Mitsvots

Sachant qu'il n'existait pas de pilule abortive on peut à la place parler de l'avortement qui lui a tout le temps existé.

Et la Loi qui prédomine c'est "tu ne tueras pas"



Mais dans ce cas présent, ça dépend des personnes.

Si une femme est pieuse elle garde l'enfant, si une femme est athée elle ne le garde pas.

Quel degré de piété ?

Une foi banale, une foi que la femme ne garde pas comme un rapprochement avec D.IEU avec intensité, nous pouvons dire une foi de tradition et même si la personne qui, par exemple, lorsqu'elle s'adonne à la prière pour supplier le Seigneur de faire sortir d'une maladie un proche, nous pourrions être en droit de penser que si la personne prie elle a une foi forte, mais c'est insuffisant car le fait de ne pas être en contact avec l'ETERNEL toute personne se laisse abandonner à ses penchants.

Je dis cela car je me suis mise en situation et avant que l'ETERNEL ne se manifeste à moi, ça ne me chiffonnait pas lorsque je voyais des gens au comportement répréhensible, je n'avais pas le réflexe de dire qu'ils courent à leur perte.

Pour moi, la foi c'était important mais accessoire cependant.

Une foi forte mais accessoire.

Donc, que jeunesse se fasse, je n'avais pas d'état d'âme lorsque moi même je m'amusais comme s'amusent les adolescents ou les jeunes femmes à mon époque. Des tabous parce qu'éduquée avec des tabous, mais aucunement je n'ai fait la police à moi même, je parlerais d'insouciance comme tous les jeunes en somme, presque tous nous dirions car des gens ont des principes de base, c'est dû à leur caractère.

Donc pour parler de cela, je dirais que chacun agit comme il l'entend.

Si moi femme je subis un viol et que je suis en age de procréer, aujourd'hui, je garde l'enfant. Si ça se serait passé avant que l'ETERNEL se manifeste à moi, j'aurais peut être fait comme toutes les femmes dans ce cas (ou presque toutes) je n'aurais pas gardé l'enfant.

Comme l'ETERNEL connait les points faibles de chacun et chacune, l'ETERNEL juge cas par cas et non pas que ce soit une règle drastique de condamnation qui s'applique, comme une sentence qui tombe : tu as avorté donc tu mérites la mort spirituelle.

Ajouté 9 minutes 49 secondes après :
estra2 a écrit : 08 nov.24, 21:17

Prenons l'exemple inverse, pour des gens qui se servent de leur raison, massacrer toute une population au prétexte qu'elle sert un mauvais dieu, pour les croyants ce n'est pas péché au contraire (voir le génocide des madianites) mais pour le non croyant, c'est une mauvaise action !
Tu penses aux Musulmans peut être ?

Pour les Musulmans ce n'est pas un péché puisque l'ordre de tuer leur a été intimement donné.

Pour les autres c'est une mauvaise action car le terrorisme c'est brutal violent meurtrier, donc tu as raison.

Maintenant le Musulman doit lui aussi obéir à la Loi "tu ne tueras pas" car cette Loi émane de YHVH d'ALLAH.

Il y a comme donc un contre ordre, tu ne dois pas tuer mais tu dois tuer.

Et bien à ce sujet, l'ETERNEL sait que lorsque l'ordre de tuer a été émis des gens allaient le faire, et il fallait que cela arrive.

Donc comment ces gens pourraient ils subir des reproches d'ALLAH si ALLAH a voulu qu'ils s'exécutent ?

Quant aux gens lambdas, ils puniront les terroristes parce que la terreur est interdite et à juste raison puisque cette violence est réprimable, voire bestiale, inhumaine.

Mais il fallait qu'elle existe cette terreur car elle sert aujourd'hui afin que les Musulmans ne passent pas pour des saints et les Juifs des sanguinaires. C'est donc pour établir une balance.
Auteur : Gaetan
Date : 09 nov.24, 02:51
Message :
estra2 a écrit : 08 nov.24, 21:17 Prenons l'exemple inverse, pour des gens qui se servent de leur raison, massacrer toute une population au prétexte qu'elle sert un mauvais dieu, pour les croyants ce n'est pas péché au contraire (voir le génocide des madianites) mais pour le non croyant, c'est une mauvaise action !
Si les croyants pensent qu'ils servent Dieu en commettant un génocide ou en tuant des innocents c'est qu'ils interprètent mal Dieu ou que leur dieu c'est le diable,

Exemple ou ils interprètent mal Dieu:

t 7.21»Ceux qui me disent: ‘Seigneur, Seigneur!’ n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père céleste. 22Beaucoup me diront ce jour-là: ‘Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé en ton nom? N'avons-nous pas chassé des démons en ton nom? N'avons-nous pas fait beaucoup de miracles en ton nom?’ 23Alors je leur dirai ouvertement: ‘Je ne vous ai jamais connus. Eloignez-vous de moi, vous qui commettez le mal!’

Exemple ou leur dieu est le diable:

31L'Eternel m'a dit: ‘Regarde, je te livre dès maintenant Sihon et son pays.’
32»Sihon est sorti à notre rencontre avec tout son peuple pour nous combattre à Jahats. 33L'Eternel, notre Dieu, nous l'a livré et nous l'avons battu, lui, ses fils et tout son peuple. 34Nous avons alors pris toutes ses villes et nous les avons vouées à la destruction, hommes, femmes et petits enfants, sans laisser un seul survivant.
Auteur : Stop !
Date : 10 nov.24, 01:19
Message : On en revient au constat que Dieu n'a pas su être clair.
Auteur : prisca
Date : 10 nov.24, 03:35
Message :
Stop ! a écrit : 10 nov.24, 01:19 On en revient au constat que Dieu n'a pas su être clair.
Je vais me répéter mais je ne fais que ça (me répéter) depuis des années et ça ne me dérange pas.

La Bible est un livre historique romancé dans lequel évoluent de vraies personnes mais certaines d'entre elles ont été tenues au secret pour jouer un rôle.

Ce rôle c'est de faire en sorte de considérer Jésus comme un vrai fils unique de D.IEU alors que ces personnes savent pertinemment que Jésus est un être sans âme articulé par l'Eternel pour jouer le rôle d'un fils de Lui Même.

Comme il faut que le plan soit révélé, D.IEU parle aux évêques à qui c'est le métier de révéler ce que l'Esprit Saint leur dit.

Mais comme avouer à leur empereur (l'empereur Constantin) qu'il a été ciblé pour être piégé par D.IEU afin de fonder l'église catholique, et le sieur Constantin se trouverait désemparé en sachant que D.IEU ne l'aurait pas choisi pour ses qualités, mais pour ses défauts puisque c'est pour l'obliger à abdiquer en faveur du Christianisme lui le paien, les évêques sont restés muets devant l'empereur et ils ont approuvé tous les délires de leur empereur qui a présenté Jésus comme un vrai second Dieu.

En fait les évêques de l'époque ce sont des gens qui ont reçu la Grâce puisque pécheurs mais qui cependant doivent se montrer honorables et reconnaissants envers D.IEU d'avoir été pardonnés, et pour prouver leur respect et leur reconnaissance envers D.IEU, D.IEU les a mise face à un choix : choisir de dire à Constantin qu'il est une personne piégée et ainsi se ranger du côté de D.IEU ou choisir de brosser la bête Constantin dans le sens du poil car il se trouve que D.IEU l'a ciblé pour être le porteur du signe 666, signe du serpent.

En ayant préféré le serpent, les évêques sont dans l'échec, et puis quelques 2000 ans sont passés, autrement dit, pas longtemps pour que l'ETERNEL juge le monde car personne ne peut se nourrir sur cette terre puisque depuis que les évêques ont laissé l'avantage au serpent, le mensonge a pris place jusqu'à ce jour, au Vatican.
Auteur : Stop !
Date : 10 nov.24, 21:06
Message : On en revient au constat que non seulement peu clair, Dieu est surtout très tordu.
Auteur : estra2
Date : 10 nov.24, 21:14
Message : Bonjour à tous,
prisca a écrit : 10 nov.24, 03:35 ils ont approuvé tous les délires de leur empereur qui a présenté Jésus comme un vrai second Dieu.
Pure invention, Constantin ne croyait pas que Jésus soit un second Dieu, la preuve il s'est fait baptiser par un défenseur acharné de l'arianisme, d'autre part, Jésus était présenté comme Dieu par des chrétiens bien avant Constantin.

Mais bon, je te l'ai déjà dit, j'ai déjà apporté des preuves mais tu continues à raconter les mêmes salades.
Auteur : prisca
Date : 10 nov.24, 21:54
Message :
estra2 a écrit : 10 nov.24, 21:14 Bonjour à tous,



Pure invention, Constantin ne croyait pas que Jésus soit un second Dieu, la preuve il s'est fait baptiser par un défenseur acharné de l'arianisme, d'autre part, Jésus était présenté comme Dieu par des chrétiens bien avant Constantin.

Mais bon, je te l'ai déjà dit, j'ai déjà apporté des preuves mais tu continues à raconter les mêmes salades.
Tu as tort car l'empereur Constantin qui est mis au courant de l'Evangile par les évêques apprend que Jésus est le Fils Unique de l'ETERNEL et à ce titre le prend pour un Dieu.

Et que Jésus eut été considéré comme un Dieu auparavant, avant lui Constantin ne change rien au problème.
Auteur : estra2
Date : 10 nov.24, 22:50
Message : L'histoire nous montre, au contraire, que Constantin est un chrétien arianiste puisqu'il a été baptisé par le plus grand partisan d'Arius.
Constantin a donc choisi, au moment de son baptême, l'arianisme qui professait que "le fils ayant été créé par le père, a pris naissance et n’est donc pas éternel. Sa relation d’obéissance et de subordination envers son père est abondamment témoignée" à l'opposé d'Athanase qui présentait Jésus comme "l'incarnation du Dieu d'Israël".

Donc, les faits sont là, Constantin n'a JAMAIS été un chrétien trinitaire et a rejeté de façon claire, par son baptême, le dogme de Nicée.

Celui donc que tu présentes comme le Diable est en réalité quelqu'un qui a rejeté le message des évêques de Nicée.
Auteur : gzabirji
Date : 10 nov.24, 23:13
Message : "Aucun argument, même le plus pertinent et le plus rationnel du monde, ne peut faire le poids face à une croyance." - gzabirji

Si tu penses réellement que ton argumentaire puisse pousser Prisca à renoncer à ses salades, c'est que tu es vraiment très naïf. 🤠
Auteur : estra2
Date : 10 nov.24, 23:50
Message : Qui peut dire ce qu'aurait été l'histoire si l'arianisme avait triomphé à Nicée...
Image

Il y aurait eu moins d'opposition entre le judaïsme et le christianisme et peut être même que l'Islam ne serait même pas apparu.
Il n'y aurait peut être pas eu de schisme entre Occident et Orient...

Mais bon, la dystopie est un exercice de style et avec des si...
Auteur : Stop !
Date : 11 nov.24, 00:23
Message :
estra2 a écrit : 10 nov.24, 21:14 Mais bon, je te l'ai déjà dit, j'ai déjà apporté des preuves mais tu continues à raconter les mêmes salades.
Bonjour estra2,

Que pèsent des preuves compréhensibles par des humains face à celles que seul Dieu peut comprendre ?

Ajouté 1 minute 26 secondes après :
estra2 a écrit : 10 nov.24, 23:50 ... et peut être même que l'Islam ne serait même pas apparu....
I have a dream...
Auteur : estra2
Date : 11 nov.24, 01:47
Message :
Stop ! a écrit : 11 nov.24, 00:23 Bonjour estra2,

Que pèsent des preuves compréhensibles par des humains face à celles que seul Dieu peut comprendre ?
Coucou Stop,

En même temps, s'il comprenait quelque chose aux humains, depuis le temps, ça se saurait :face-with-tears-of-joy:

Le Dieu de la Bible est en permanence dépassé par ses créatures...
Auteur : prisca
Date : 11 nov.24, 05:24
Message :
estra2 a écrit : 10 nov.24, 22:50 L'histoire nous montre, au contraire, que Constantin est un chrétien arianiste puisqu'il a été baptisé par le plus grand partisan d'Arius.
Constantin a donc choisi, au moment de son baptême, l'arianisme qui professait que "le fils ayant été créé par le père, a pris naissance et n’est donc pas éternel. Sa relation d’obéissance et de subordination envers son père est abondamment témoignée" à l'opposé d'Athanase qui présentait Jésus comme "l'incarnation du Dieu d'Israël".

Donc, les faits sont là, Constantin n'a JAMAIS été un chrétien trinitaire et a rejeté de façon claire, par son baptême, le dogme de Nicée.

Celui donc que tu présentes comme le Diable est en réalité quelqu'un qui a rejeté le message des évêques de Nicée.
Tu te trompes complètement

Encyclopédie Universalis
Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.


https://www.universalis.fr/encyclopedie ... oncile-de/
Auteur : estra2
Date : 11 nov.24, 06:00
Message :
prisca a écrit : 11 nov.24, 05:24 Tu te trompes complètement

Encyclopédie Universalis
Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.


https://www.universalis.fr/encyclopedie ... oncile-de/
Mais je ne me trompe pas du tout, ce n'est pas Constantin qui a décidé quoi que ce soit, il n'était même pas chrétien !
Il a juste demandé au concile de régler les problèmes de division mais lorsqu'il s'est agi de faire un choix pour lui, il s'est fait baptiser par un arianiste, Eusèbe de Nicomédie et pas par un nicéen !
Voila d'ailleurs ce que dit l'Universalis à son sujet :
Évêque qui fut chef du parti arien dans la première moitié du ive siècle. Eusèbe avait été, avec Arius, élève de Lucien d'Antioche. Il fut nommé au siège de Béryte en Phénicie, puis passa à celui de la ville impériale de Nicomédie.

Lorsque, vers 320, Alexandre d'Alexandrie attaqua le prêtre Arius, Eusèbe prit parti pour son ancien condisciple ; grâce à l'influence qu'il exerçait à la Cour, il réussit à étendre la portée de ce qui n'était à l'origine qu'une querelle limitée à l'Église d'Alexandrie. Il ne parvint pas à faire triompher à Nicée, en 325, la cause d'Arius et dut signer la formule du concile, peut-être par opportunisme, ce qui ne le mit pas à l'abri d'un exil de trois ans ordonné par Constantin quelques mois plus tard. Chef habile, ambitieux, prêt à toutes les intrigues, Eusèbe, une fois rentré d'exil et après avoir retrouvé la faveur de l'empereur, consacra toute son énergie à la réhabilitation d'Arius et parvint à faire condamner successivement Eustathe d'Antioche, Athanase d'Alexandrie, Marcel d'Ancyre et Alexandre de Constantinople.

Son crédit auprès des empereurs Constantin et Constance II était immense. Il eut le privilège de baptiser Constantin sur son lit de mort (337) et fut chargé de la formation chrétienne de Julien. Eusèbe ne réussit pas à effacer complètement la doctrine de Nicée, mais, à sa mort, les ariens occupaient les sièges épiscopaux les plus importants de l'Orient : Constantinople, Alexandrie, Antioche.

https://www.universalis.fr/encyclopedie ... nicomedie/
Auteur : prisca
Date : 11 nov.24, 06:22
Message :
estra2 a écrit : 11 nov.24, 06:00 Mais je ne me trompe pas du tout, ce n'est pas Constantin qui a décidé quoi que ce soit, il n'était même pas chrétien !
Il a juste demandé au concile de régler les problèmes de division mais lorsqu'il s'est agi de faire un choix pour lui, il s'est fait baptiser par un arianiste, Eusèbe de Nicomédie et pas par un nicéen !
Voila d'ailleurs ce que dit l'Universalis à son sujet :
Évêque qui fut chef du parti arien dans la première moitié du ive siècle. Eusèbe avait été, avec Arius, élève de Lucien d'Antioche. Il fut nommé au siège de Béryte en Phénicie, puis passa à celui de la ville impériale de Nicomédie.

Lorsque, vers 320, Alexandre d'Alexandrie attaqua le prêtre Arius, Eusèbe prit parti pour son ancien condisciple ; grâce à l'influence qu'il exerçait à la Cour, il réussit à étendre la portée de ce qui n'était à l'origine qu'une querelle limitée à l'Église d'Alexandrie. Il ne parvint pas à faire triompher à Nicée, en 325, la cause d'Arius et dut signer la formule du concile, peut-être par opportunisme, ce qui ne le mit pas à l'abri d'un exil de trois ans ordonné par Constantin quelques mois plus tard. Chef habile, ambitieux, prêt à toutes les intrigues, Eusèbe, une fois rentré d'exil et après avoir retrouvé la faveur de l'empereur, consacra toute son énergie à la réhabilitation d'Arius et parvint à faire condamner successivement Eustathe d'Antioche, Athanase d'Alexandrie, Marcel d'Ancyre et Alexandre de Constantinople.

Son crédit auprès des empereurs Constantin et Constance II était immense. Il eut le privilège de baptiser Constantin sur son lit de mort (337) et fut chargé de la formation chrétienne de Julien. Eusèbe ne réussit pas à effacer complètement la doctrine de Nicée, mais, à sa mort, les ariens occupaient les sièges épiscopaux les plus importants de l'Orient : Constantinople, Alexandrie, Antioche.

https://www.universalis.fr/encyclopedie ... nicomedie/
Tu dis que Constantin n'a pas été celui qui a donné naissance au concept trinitaire.

Tu as tort car il est notoirement reconnu que ce concept est tout droit sorti de son imaginaire, aidé par les 318 évêques au concile de Nicée.



Pour l'historique, lire ci après l'article au complet d'Encyclopédie Universalis.

Premier concile œcuménique, c'est-à-dire s'étendant à l'Église entière, le concile de Nicée (325) a été réuni par l'empereur Constantin, devenu maître de tout l'Empire, pour résoudre les problèmes qui divisaient alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problème dogmatique, celui de l'hérésie d' Arius. Sa décision la plus importante concerne la théologie trinitaire : le Fils fut déclaré « de même substance » que le Père. Si cette définition, d'abord contestée en Orient, dut attendre l'empereur Théodose (380) pour s'imposer comme essentielle à l'orthodoxie, le concile de Nicée, important d'autre part par ses canons ou décisions en matière de discipline, créa un précédent qui explique la convocation des conciles œcuméniques ultérieurs et, jusque dans les détails, la procédure qu'ils suivront.

Constantin et le concile
Après sa victoire sur Licinius (sept. 324), Constantin achève d'étendre sa domination à tout l'Empire romain en annexant les provinces orientales ; il y trouve les Églises chrétiennes profondément divisées sur des questions de discipline ecclésiastique, comme la fixation de la date de Pâques, par l'existence en Égypte du schisme mélétien, séquelle de la grande persécution de Dioclétien, et surtout par les contestations entre partisans et adversaires d'Arius ; ce prêtre d'Alexandrie avait été condamné quelques années ou quelques mois plus tôt par son évêque Alexandre pour sa doctrine subordinatianiste, mais était soutenu par bon nombre de théologiens faisant autorité, évêques en Palestine ou en Asie Mineure.

Déjà sans doute sinon converti, du moins favorable au christianisme, Constantin se préoccupa de rétablir la paix et l'unité de l'Église ; il envoya son conseiller ecclésiastique, l'évêque espagnol Ossius de Cordoue, enquêter sur la situation à Alexandrie. Vu l'intensité de la querelle, il lui parut nécessaire de convoquer un concile œcuménique, rassemblant non plus seulement comme les conciles précédents les évêques d'une province ou d'une région, mais ceux de l'ensemble de la chrétienté. Que l'idée vînt de Constantin lui-même ou qu'elle lui ait été suggérée par tel ou tel évêque, c'est l'empereur qui mit en œuvre sa réalisation : c'est lui qui convoqua les évêques, mettant à leur disposition, privilège exceptionnel, les services de la poste impériale ; c'est lui qui, le 23 mai 325, ouvrit et présida le concile réuni à Nicée, près de Nicomédie, la résidence impériale (Constantinople n'étant pas encore inaugurée). On discute pour savoir quel a été le rôle effectif de Constantin au cours des débats, soit qu'il y ait pris une part personnelle et active, soit qu'il ait attendu que les évêques aient tranché des questions dépassant sa compétence.

Ce concile réunit plus de deux cents évêques : le nombre exact n'en est pas connu ; le chiffre de 318, qui deviendra traditionnel, fut choisi plus tard pour sa valeur symbolique (en référence au chiffre de la maison d'Abraham : Genèse, xiv, 14) ; les listes des participants qui nous ont été transmises semblent avoir été reconstituées après coup, peut-être vers 362. La très grande majorité venait d'Orient (Égypte, Palestine, Syrie, Asie Mineure) ; les Occidentaux étaient très peu nombreux : la Gaule, par exemple, qui comptait pourtant déjà entre quarante et cinquante Églises n'était représentée que par l'obscur Nicasius de Die, dont la présence en Orient était peut-être accidentelle. L'éventail des tendances théologiques présentes au concile était très ouvert : partisans ou amis d'Arius comme Eusèbe de Nicomédie ; subordinatianistes modérés comme Eusèbe de Césarée ; conservateurs timides, plus soucieux d'unité[...]


Le problème de l'arianisme
L'adoption de ce terme semble due à l'initiative personnelle d'Ossius de Cordoue, appuyée par l'empereur : suspect d'attaches hérétiques (avec les gnostiques, avec Paul de Samosate) ou d'implications trop matérielles (deux bijoux d'or sont « de même substance »), il n'était pas jusque-là utilisé en Orient pour la théologie trinitaire ; l'Égypte, seule, faisait exception dans le monde grec, mais c'est que depuis Denys d'Alexandrie, dûment chapitré par le pape Denys (257), elle s'était – et elle le restera – étroitement solidarisée avec Rome. L'Occident, au contraire, était, depuis Tertullien, familier d'une expression équivalente : le Père et le Fils sont « d'une seule et même substance ».

Le concile, d'autre part, s'occupa de réconcilier les schismatiques mélétiens, de généraliser pour la date de Pâques l'usage de Rome, qui fixait celle-ci après l'équinoxe de printemps. Il promulgua, par ailleurs, vingt canons, les uns cherchant à faciliter le retour dans la communion de la grande Église des partisans attardés de Novatien ou de Paul de Samosate, les autres édictant des règles de discipline ecclésiastique ; certaines, théoriquement reçues, devaient cependant être souvent violées dans la pratique, ainsi l'interdiction pour un évêque ou un prêtre de se faire transférer d'une Église à une autre ou de sacrer évêque un néophyte.

Constantin prit immédiatement les mesures nécessaires pour faire connaître et appliquer ces décisions : il exila les deux seuls évêques qui étaient restés solidaires d'Arius et, bientôt après, les trois autres qui avaient retiré leurs signatures, parmi lesquels Eusèbe de Nicomédie. Le concile se sépara dans une atmosphère d'euphorie ; la suite des événements allait montrer que le problème principal, celui de l'arianisme, était cependant loin d'être résolu. Un très grand nombre des évêques d'Orient n'avaient accepté le « consubstantiel » qu'avec répugnance, le trouvant équivoque : ils étaient beaucoup moins sensibles au danger de l'arianisme (dans la ligne d'Origène, ils étaient même assez disposés à accepter un certain subordinatianisme) qu'à l'hérésie opposée, celle que représentait à leurs yeux Marcel d'Ancyre et que l'homoousios paraissait tolérer. En fait, les discussions continueront avec âpreté pendant un demi-siècle ; il faut attendre l'avènement de Théodose, un Latin d'Espagne, donc partisan convaincu de l'homoousios, pour que la foi de Nicée s'impose définitivement à tout l'Empire comme définition de l'orthodoxie trinitaire (380).

L'importance historique du concile
L'importance historique du concile de Nicée tient, au moins autant qu'à cette définition dogmatique, au précédent qu'il avait créé : ainsi, la notion même du concile œcuménique comme moyen de résoudre les problèmes doctrinaux et disciplinaires intéressant l'ensemble de l'Église ; même lorsque, en réaction contre les excès du conciliarisme des conciles de Constance (1414-1418) et de Bâle (1431-1437), la papauté fut amenée à faire prévaloir la suprématie du siège de Rome, l'Église elle-même a continué à estimer nécessaire la convocation d'un tel concile, comme l'atteste l'exemple du concile de Trente et des deux conciles du Vatican.

Passant outre aux scrupules des « conservateurs » qui refusaient le terme de consubstantiel parce qu'on ne le trouvait pas dans l'Écriture sainte, le concile consacrait la fécondité de l'effort proprement théologique et reconnaissait à l'Église le droit de préciser le contenu de la foi chrétienne par une définition dogmatique consacrant le progrès réalisé dans l'explication du donné révélé.

Dans le détail, la technique même des conciles œcuméniques a suivi l'exemple de Nicée : le fait que le pape Silvestre n'y soit pas intervenu personnellement mais s'y soit fait représenter par deux prêtres romains explique que ce soit toujours par l'intermédiaire de légats que Rome soit présente dans les conciles œcuméniques ultérieurs, même lorsque, à l'époque médiévale et moderne, ils seront convoqués sur l'initiative du pape lui-même.

C'est Constantin, et non une autorité ecclésiastique qui a convoqué et dirigé le concile de Nicée ; il en sera de même aussi longtemps que durera l'Empire chrétien : Théodose convoquera le deuxième concile œcuménique (Constantinople, 381), Théodose II le troisième (Éphèse, 431), Marcien (et Pulchérie) le quatrième (Chalcédoine, 451), Justinien le cinquième (Constantinople II, 553), etc. Il ne faut pas parler à ce propos de césaropapisme : chrétien lui-même, l'empereur se sent chargé non seulement d'assurer le bien temporel mais aussi le salut même de ses sujets ; nouveau Moïse, nouveau David, il se sent responsable devant Dieu de ce nouvel Israël, de ce peuple de Dieu qu'est l'Église. D'ailleurs, même sur le plan purement politique, il ne pouvait se désintéresser des problèmes de foi. À cette époque où le problème religieux est devenu le problème central de l'existence humaine, l'unanimité en matière de foi apparaît comme le principe essentiel qui assure la cohésion de la société : l'hérésie ou le schisme mettent en danger l'unité même de l'Empire.


Auteur : estra2
Date : 11 nov.24, 06:31
Message : Tu devrais lire ce que tu postes !
Petit extrait de ta citation :
On discute pour savoir quel a été le rôle effectif de Constantin au cours des débats, soit qu'il y ait pris une part personnelle et active, soit qu'il ait attendu que les évêques aient tranché des questions dépassant sa compétence.


La seule chose certaine, c'est que Constantin s'est fait baptiser par un arianiste acharné.

D'autre part, tu mens d'une manière incroyable en prétendant que la symbole de Nicée est sorti de l'imagination de Constantin !
Le concept de Christ/Dieu le Fils est une invention de l'Eglise d'avant Constantin, c'est un fait historique incontestable.
Constantin voulait juste faire cesser les divisions, il n'était même pas chrétien à l'époque mais adorateur du Sol Invictis.
Auteur : prisca
Date : 11 nov.24, 07:02
Message :
estra2 a écrit : 11 nov.24, 06:31

La seule chose certaine, c'est que Constantin s'est fait baptiser par un arianiste acharné.
L'empereur Constantin est celui qui a pris la décision que le Christianisme soit mis à l'honneur puisqu'il a reçu du Ciel une invitation à le faire par l'apparition d'une croix flamboyante accompagné d'un message lui indiquant qu'avec ce signe du Ciel qu'il sache qu'il sera vainqueur, ainsi il comprend très vite que D.IEU lui apporte son soutien dans ses batailles et c'est à ce moment là qu'il a la foi, maintenant qu'il ait voulu se faire baptiser par un arien peu importe, ce qui est important de retenir c'est que cet empereur a tout organisé pour que la théologie catholico Romaine voit le jour, et il a été, cet empereur, celui qui a dit haut et fort pour se faire entendre comment il considérait qu'eut été Jésus c'est pour cela qu'il a parlé de consubstantialité comme la trinité le précise.
a écrit :D'autre part, tu mens d'une manière incroyable en prétendant que la symbole de Nicée est sorti de l'imagination de Constantin !
Le concept de Christ/Dieu le Fils est une invention de l'Eglise d'avant Constantin, c'est un fait historique incontestable.
Constantin voulait juste faire cesser les divisions, il n'était même pas chrétien à l'époque mais adorateur du Sol Invictis.
La question de la trinité avant qu'elle soit au coeur des débats en l'an 325 n'a jamais abordée. Les gens imaginaient qui aurait pu être Jésus, mais le concept trinitaire lui a vu le jour lors du concile de Nicée sous la dénomination "symbole de Nicée" Voici le **Symbole de Nicée**, adopté lors du Concile de Nicée en 325:

**"Nous croyons en un seul Dieu, le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la terre, de toutes les choses visibles et invisibles. Et en un seul Seigneur Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, engendré du Père avant tous les siècles: Lumière de Lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non pas créé, consubstantiel au Père; par lui tout a été fait. Pour nous les hommes et pour notre salut, il est descendu des cieux, et s'est incarné par le Saint-Esprit et par la Vierge Marie, et s'est fait homme; il a été crucifié pour nous sous Ponce Pilate, il a souffert la mort et a été enseveli, et est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures; et il est monté au ciel, et il siège à la droite du Père; et il reviendra en gloire pour juger les vivants et les morts, et son règne n'aura pas de fin. Et nous croyons au Saint-Esprit, qui est Seigneur et qui donne la vie, qui procède du Père et du Fils; avec le Père et le Fils, il est adoré et glorifié; il a parlé par les prophètes. Nous croyons en une seule Église sainte, catholique et apostolique. Nous confessons un seul baptême pour le pardon des péchés. Nous attendons la résurrection des morts, et la vie du monde à venir. Amen."**


Auteur : Pollux
Date : 11 nov.24, 13:17
Message :
prisca a écrit : 10 nov.24, 03:35 Ce rôle c'est de faire en sorte de considérer Jésus comme un vrai fils unique de D.IEU alors que ces personnes savent pertinemment que Jésus est un être sans âme articulé par l'Eternel pour jouer le rôle d'un fils de Lui Même.
Grâce à Prisca on sait maintenant que Jésus c'est Pinocchio et son père Geppetto.

Ça explique comment il a pu être cloué sans que ça lui fasse mal ...
Auteur : estra2
Date : 11 nov.24, 21:33
Message : Bonjour à tous,

Question : La divinité de Jésus dans les écrits pré nicéens ?
ChatGPT a dit :

La divinité de Jésus est un thème qui apparaît de manière explicite ou implicite dans plusieurs écrits chrétiens précédant le Concile de Nicée (325). Ces écrits, bien que ne proposant pas encore une formulation doctrinale aussi précise que celle adoptée à Nicée, témoignent d'une reconnaissance claire de la nature divine de Jésus parmi les premiers chrétiens. Voici une analyse des principaux textes et auteurs pré-nicéens qui abordent ce sujet.

... Les Pères apostoliques et les apologètes
Les Pères apostoliques et les premiers apologètes chrétiens expriment également cette foi en des termes qui préfigurent les débats ultérieurs.

Ignace d'Antioche († vers 110) :

Dans ses lettres, Ignace appelle Jésus à plusieurs reprises « notre Dieu » . Par exemple, dans sa lettre aux Éphésiens : « Il n'y a qu'un seul médecin, à la fois chair et esprit, né et non-né, Dieu en l'homme, vie authentique dans la mort, fils de Marie et Fils de Dieu, d'abord passible puis désormais impassible : Jésus-Christ, notre Seigneur. »
Il insiste aussi sur l'unité de Jésus avec le Père.
Justin Martyr († vers 165) :

Dans ses Apologies et son Dialogue avec Tryphon , Justin décrit le Christ comme le Logos de Dieu , préexistant à la création et participant à l'œuvre divine de création.
Il distingue le Fils du Père tout en affirmant son rôle divin : « Nous adorons le Père, et le Fils qui est venu de lui. »
Irénée de Lyon († vers 202) :

Dans son ouvrage Contre les hérésies , Irénée insiste sur l'unité entre Jésus et Dieu : « Le Christ Jésus, notre Seigneur, notre Dieu, notre Sauveur et notre Roi. »
Il voit dans l'incarnation du Fils une manifestation de Dieu lui-même dans le monde.
Tertullien († vers 220) :

Dans Adversus Praxean , Tertullien développe une réflexion sur la Trinité. Il affirme la divinité du Fils tout en distinguant sa personne de celle du Père : « Le Fils est issue du Père, mais pas séparé de lui. »
... Conclusion
Les écrits pré-nicéens témoignent de la reconnaissance large, bien qu'encore variée dans ses formulations, de la divinité de Jésus. Les termes techniques comme homoousios (de même substance) ne sont pas encore utilisés, mais les bases doctrinales sont posées dans le Nouveau Testament et développées par les Pères de l'Église. Le Concile de Nicée viendra clarifier et uniformiser cette croyance face aux controverses, mais il s'appuie sur une tradition existante et bien enracinée."
Auteur : prisca
Date : 11 nov.24, 21:44
Message : Le péché originel c'est le péché de "figure d'Adam".

Définition de l'expression : figure de.


Par exemple : Psaumes 106:20
Ils échangèrent leur gloire contre la figure d'un boeuf qui mange l'herbe.



Dans ce verset les Juifs se prosternent devant une statue en fonte.

Les Juifs ont changé leur notoriété de fils de YHVH en dignes gens de son peuple contre la notoriété d'adorateurs d'un boeuf qui mange de l'herbe, ils sont tombés bien bas.

De même dans le verset objet du sujet, Adam est figure (ressemble) Adam apparait tout comme ou Adam s'apparente à Adam qui est dépeint comme transgresseur est comparable à "cet autre homme (cet Adam) qui devait venir (puisque prophétisé)


Romains 5:14
Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.



Donc le péché qui mène à la mort règne en maitre depuis Adam jusqu'à Moise (bien sûr puisque Moise en divulguant les Lois ordonnées par YHVH, et bien le péché recule et s'efface) et même si les gens n'ont pas été aussi ignobles qu'Adam ils sont néanmoins autant pécheurs qu'Adam puisqu'ils ont perpétré le même péché qu'Adam a fait, lequel Adam considéré comme le fautif de la perte des humains est SEMBLABLE à celui qui devait venir.


Franchement, est ce que vous pensez que JESUS est semblable à Adam ?

Réfléchissez au lieu de foncer tête baissée à dire n'importe quoi.
Auteur : estra2
Date : 11 nov.24, 23:21
Message :
prisca a écrit : 11 nov.24, 21:44Franchement, est ce que vous pensez que JESUS est semblable à Adam ?
Tout à fait puisque Jésus, selon la Bible, est fils de Dieu exactement comme Adam.
Il n'y a que trois humains dans la Bible qui apparaissent avec l'intervention de Dieu : Adam, Eve et Jésus.

De plus, Jésus nait sans péché, exactement comme Adam.

Ajouté 18 minutes 44 secondes après :
prisca a écrit : 11 nov.24, 21:44 Romains 5:14
Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir.



Donc le péché qui mène à la mort règne en maitre depuis Adam jusqu'à Moise (bien sûr puisque Moise en divulguant les Lois ordonnées par YHVH, et bien le péché recule et s'efface)
Lorsqu'on lit un verset, il faut lire le contexte sinon on peut le comprendre de travers !
Ainsi le verset 14 vient préciser ce qui a été dit à la fin du verset 13 "Or, le péché n'est pas imputé, quand il n'y a point de loi." donc Paul montre que, même lorsqu'il n'y avait pas de loi (donc avant Moïse) la mort a régné.
Il ne dit absolument pas que le péché a disparu ou a reculé avec la Loi il dit juste que même avant qu'il y ait la Loi pour marquer le péché, tous les hommes étaient pécheurs.
Auteur : medico
Date : 11 nov.24, 23:26
Message : (1 Corinthiens 15:20-22) [...] . 21 Puisqu’en effet la mort vient par un homme, la résurrection des morts vient aussi par un homme. 22 De même en effet qu’en Adam tous meurent, de même aussi dans le Christ tous seront rendus à la vie.
Auteur : prisca
Date : 12 nov.24, 03:57
Message :
estra2 a écrit : 11 nov.24, 23:21 Tout à fait puisque Jésus, selon la Bible, est fils de Dieu exactement comme Adam.
Il n'y a que trois humains dans la Bible qui apparaissent avec l'intervention de Dieu : Adam, Eve et Jésus.

De plus, Jésus nait sans péché, exactement comme Adam.

Alors mon pauvre, pas faute à toi si tu n'as pas la foi, c'est bien parce que tu ne connais pas Jésus qui est aux antipodes de l'Adam, tellement aux antipodes qu'Adam par rapport à Jésus n'existe pas, ce serait comparer un grain de sable l'Adam à l'Univers.

Adam n'est surement pas figure de Jésus.

Et je rappelle que le verset dont il est question stipule qu'Adam a transgressé et qu'il est figure de celui qui doit venir, or Jésus est un être sans âme articulé par l'ETERNEL autant dire que Jésus est la manifestation de l'ETERNEL pour sauver les humains, donc on peut dire que tu as faux sur toute la ligne.

Ajouté 5 minutes 29 secondes après :
medico a écrit : 11 nov.24, 23:26 (1 Corinthiens 15:20-22) [...] . 21 Puisqu’en effet la mort vient par un homme, la résurrection des morts vient aussi par un homme. 22 De même en effet qu’en Adam tous meurent, de même aussi dans le Christ tous seront rendus à la vie.
Comme Adam a donné raison au serpent et que les gens ont suivi l'exemple d'Adam mauvais homme traitre et abjecte, et bien tous les hommes sont morts. Ils sont morts les hommes car spirituellement ils sont pécheurs puisque l'aiguillon de la mort c'est le péché, et à la fin des Temps ils mourront (ils décèderont) tandis que les gens comme Paul eux ne connaitront pas la mort physique pour leur métamorphose de la résurrection 1 Corinthiens 15:51
Voici, je vous dis un mystère : nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés,


Par conséquent dès lors l'ETERNEL a fait mourir Jésus afin que l'empereur Constantin à la vue de la Croix du supplice construise l'église, puisque Jésus est mort pour que son église se construise Ephésiens 5:25
Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle,
et bien les gens se nourrissant de la Parole de D.IEU proclamée dans l'église et trouveront grâce aux yeux de l'ETERNEL qui leur évitera la mort physique à la fin des Temps comme Paul.

Ajouté 6 minutes 59 secondes après :
estra2 a écrit : 11 nov.24, 23:21


Lorsqu'on lit un verset, il faut lire le contexte sinon on peut le comprendre de travers !
Ainsi le verset 14 vient préciser ce qui a été dit à la fin du verset 13 "Or, le péché n'est pas imputé, quand il n'y a point de loi." donc Paul montre que, même lorsqu'il n'y avait pas de loi (donc avant Moïse) la mort a régné.
Il ne dit absolument pas que le péché a disparu ou a reculé avec la Loi il dit juste que même avant qu'il y ait la Loi pour marquer le péché, tous les hommes étaient pécheurs.


Si tu vis dans un pays sans lois, personne dans ce pays n'ira en prison car le gouvernement de ce pays n'a pas promulgué de lois, donc aucun reproche ne peut être fait aux habitants de ce pays.

Mais il n'empêche que le péché existe, c'est la loi qui elle n'existe pas.

Quant il y a des gens qui pèchent mais qu'aucune loi ne les réprimande, les gens ne peuvent pas être blamés de mal agir.

N'étant pas blamés de mal agir les gens vivent dans le péché sans se faire du souci, c'est un peu la loi de la jungle, du plus fort. Le plus fort tue le plus faible, etc etc....

Quand Moise vient divulguer les lois, maintenant les gens savent qu'ils sont des contrevenants à la loi et le péché recule car les gens ont la foi et savent que D.IEU déteste le péché, donc ils vont tout faire pour être bien vus de l'ETERNEL en ne se donnant pas l'occasion de pécher.

Ajouté 11 minutes 2 secondes après :
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Concernant le sujet le verset remplacez par un personnage.



Cependant la terreur a régné depuis Kim Il-Sung jusqu'à son décès , même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à Kim Il-Sung lequel est la figure de celui qui devait venir. (par le soudanais Omar El-Béchir autant meurtrier que Kim Il-Sung )


Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'aux lois de Moise, même si les gens n'ont pas été ignobles comme Adam le fut, mais pécheurs à cause de lui Adam, Adam qui est figure de celui qui devait venir (autant ignoble que lui Adam)

Celui qui est aussi ignoble qu'Adam, qui par conséquent pareillement à Adam a donné son amitié au serpent, c'est cet évêque devant l'empereur Constantin qui, par cupidité, par peur de mourir, ou toutes autres raisons a décidé de donner raison au serpent lorsque celui ci (Constantin) a décidé en l'an 325 lors du concile de Nicée de dire qu'il y a plusieurs dieux et non pas un Seul l'ETERNEL.
Auteur : prisca
Date : 12 janv.25, 23:31
Message : Si les gens conscients que le catholicisme porte une offense à l'ETERNEL se rendent complices par amitié pour des catholiques lesquels ils trouvent charmants, doux dans leur parole et attendrissants, en disant d'une voix doucerette l'extrême blasphème qu'il existe un autre Dieu que l'ETERNEL, et bien qu'ils soient mis en garde les belligérants à cette manufacture qui justement se distingue par la bonhomie de ses participants car assimilés à eux pour soutien qu'ils leur portent ils devront répondre devant le Seigneur. La force du diable ce n'est pas une voix tonitruante mais une voix toute douce pour mieux perdre les âmes en les attirant. Le péché originel c'est celui là, tendre une toile autour des gens pour les piéger.
Auteur : Stop !
Date : 13 janv.25, 01:43
Message :
prisca a écrit : 12 janv.25, 23:31 ... Le péché originel c'est celui là, tendre une toile autour des gens pour les piéger.
Tu confonds tout, c'était un serpent, pas une araignée.
Auteur : prisca
Date : 13 janv.25, 02:22
Message :
Stop ! a écrit : 13 janv.25, 01:43 Tu confonds tout, c'était un serpent, pas une araignée.
Et bien disons qu'il ne manque pas d'animaux pour donner une image d'eux, serpent oui, le venin, la sinuosité (hypocrisie) la toile d'araignée oui par le discours liquoreux qui dégouline les gens sont pris dans une purée de pois d'où ils ne peuvent plus sortir et c'est la poisse.
Auteur : ronronladouceur
Date : 13 janv.25, 04:11
Message :
prisca a écrit : 13 janv.25, 02:22 Et bien disons qu'il ne manque pas d'animaux pour donner une image d'eux, serpent oui, le venin, la sinuosité (hypocrisie) la toile d'araignée oui par le discours liquoreux qui dégouline les gens sont pris dans une purée de pois d'où ils ne peuvent plus sortir et c'est la poisse.
Belle image de la Genèse où il est facile d'imaginer dieu en tant que cuisinier crachant et se mouchant dans ladite purée, question de s'assurer que l'effet délétère sera celui désiré...
Auteur : prisca
Date : 13 janv.25, 05:15
Message :
ronronladouceur a écrit : 13 janv.25, 04:11
Il n'a rien compris.
Auteur : Stop !
Date : 13 janv.25, 07:46
Message : Ah non, il dit bien "Belle image de la Genèse" !
Auteur : prisca
Date : 06 févr.25, 02:29
Message : Le péché originel ce sont des gens qui ont comploté et le premier à l'avoir fait c'est Adam, complotage donc pour être bien vus par le serpent, le serpent étant le diable que l'ETERNEL a mis exprès à la royauté, afin que les gens qui entourent ce roi ne soient pas pris de frénésie pour être les amis du roi au détriment de la distance qu'ils auront pris avec le Seigneur.

L'Adam a succombé au charme du serpent et a décidé de mentir sur sa religion.

C'était une épreuve en bon et due forme mise en place par l'ETERNEL afin que les gens qui ont reçu SA GRACE prouvent leur fidélité à D.IEU (ok ? )

Cette épopée c'est pour nous instruire afin que nous transposions l'histoire à des temps moins reculés, à savoir au 4ème siècle c'est ce qu'il s'est passé lorsque l'évêque a préféré amitié avec le serpent Constantin à qui il a donné entièrement raison lorsque celui ci a ébauché la trinité, alors que la trinité c'est tout simplement l'association de 3 divinités qui à eux trois formeraient une unicité comme nous pouvons le dire d'une SARL "au pécher mignon" (pécher c'est l'arbre ; entreprise de vente de fruits du verger) laquelle SARL ne vit que parce qu'il y a 3 associés sinon la SARL ne vivrait pas ok ?

Donc d'aventure si tu décidez d'être catholiques sachez vous êtes les acolytes du diable ok ?

(Puisque le diable c'est le fondateur du mouvement religieux catholico romain)

►►► le diable Image
Auteur : Pollux
Date : 06 févr.25, 05:57
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 02:29C'était une épreuve en bon et due forme mise en place par l'ETERNEL afin que les gens qui ont reçu SA GRACE prouvent leur fidélité à D.IEU (ok ? )
Si Dieu est obligé d'organiser une épreuve pour vérifier l'obéissance de ses créatures c'est qu'il n'est pas omniscient.
a écrit :(Puisque le diable c'est le fondateur du mouvement religieux catholico romain)
Presque tous les fondateurs des religions abrahamiques sont des diables pour moi.
Auteur : prisca
Date : 06 févr.25, 05:59
Message :
Pollux a écrit : 06 févr.25, 05:57 Si Dieu est obligé d'organiser une épreuve pour vérifier l'obéissance de ses créatures c'est qu'il n'est pas omniscient.
L'ETERNEL ne vérifie pas. L'ETERNEL met à l'épreuve les gens qui sont sous la Grâce afin qu'eux à la fin, quand ils grinceront des dents, se diront "on aurait du vérifier notre foi".
Auteur : Gaetan
Date : 06 févr.25, 09:01
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 02:29 C'était une épreuve en bon et due forme mise en place par l'ETERNEL afin que les gens qui ont reçu SA GRACE prouvent leur fidélité à D.IEU (ok ? )
Peux-tu ma dire qui t'a mis ça dans la tête? C'est ce qu'on dit, mais qui l'a dit?
Auteur : Gérard C. Endrifel
Date : 06 févr.25, 09:12
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 05:59 L'ETERNEL ne vérifie pas. L'ETERNEL met à l'épreuve les gens qui sont sous la Grâce afin qu'eux à la fin, quand ils grinceront des dents, se diront "on aurait du vérifier notre foi".
Selon Jacques, Dieu ne met à l'épreuve personne.
Auteur : prisca
Date : 06 févr.25, 09:16
Message :
Gaetan a écrit : 06 févr.25, 09:01 Peux-tu ma dire qui t'a mis ça dans la tête? C'est ce qu'on dit, mais qui l'a dit?
Comme c'est une épreuve à l'attention des graciés bien sûr la Bible n'en parle pas car si à un examen tu donnes la réponse, quel mérite auraient ceux qui concourent à l'examen ?
Auteur : Gérard C. Endrifel
Date : 06 févr.25, 09:17
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 09:16 Comme c'est une épreuve à l'attention des graciés bien sûr la Bible n'en parle pas car si à un examen tu donnes la réponse, quel mérite auraient ceux qui concourent à l'examen ?
Donc Dieu par l'intermédiaire de Jacques dit qu'il ne met à l'épreuve personne mais bien sûr il ment.
Auteur : prisca
Date : 06 févr.25, 09:23
Message :
Gérard C. Endrifel a écrit : 06 févr.25, 09:12 Selon Jacques, Dieu ne met à l'épreuve personne.
Il y a la tentation du serpent.

D.IEU ne tente pas mais le serpent oui. Jacques dit que D.IEU ne tente pas mais nous savons que le serpent oui.

Le Notre Père ne dit il pas "ne nous induis pas en tentation" ? Ce qui signifie "ne nous fais pas entrer dans l'épreuve du serpent" et la prière continue en disant "mais délivre nous du mal" ce qui signifie "mais au contraire éloigne de nous le serpent de l'épreuve".
Auteur : Gérard C. Endrifel
Date : 06 févr.25, 09:26
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 09:23 Il y a la tentation du serpent.

D.IEU ne tente pas mais le serpent oui. Jacques dit que D.IEU ne tente pas mais nous savons que le serpent oui.
Dans ce cas pourquoi dites-vous que c'est Dieu qui met à l'épreuve alors que la Bible dit très clairement que non ?
Auteur : prisca
Date : 06 févr.25, 09:36
Message :
Gérard C. Endrifel a écrit : 06 févr.25, 09:26 Dans ce cas pourquoi dites-vous que c'est Dieu qui met à l'épreuve alors que la Bible dit très clairement que non ?
Parce qu'en fait il se passe que la population est 100% paienne à une époque donnée, et que cette population est dirigée par l'empereur qui a tous les droits sur elle (cette population) lequel empereur l'ETERNEL lui a mis l'étiquette "le diable" afin que les appelés au Sacerdoce qui sont eux sortis (normalement) du paganisme (je pense donc aux évêques nombreux en ce temps et certains mourraient car les chrétiens mourraient en ce temps là) et bien prouvent que la foi gratuite que le Seigneur leur a donnée sera suivie d'effet, et justement à cet effet, voilà que l'ETERNEL désigne du nom de diable cet homme qui est leur opposé, à savoir "le paien" dans toute sa dimension, l'empereur qui les dirige.

L'ETERNEL a mis à l'épreuve car c'est l'ETERNEL qui a décidé qu'untel était le diable, et le diable est au coeur même du Christianisme puisqu'il préside les débats et les évêques eux ont pour devoir de s'illustrer dans un Monothéisme de très bon aloi, sauf que pour faire plaisir à leur empereur ils ont cautionné les débordements paiens de ce dernier qui a annoncé fièrement la trinité.
Auteur : Gaetan
Date : 06 févr.25, 10:34
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 09:23
Le Notre Père ne dit il pas "ne nous induis pas en tentation" ? Ce qui signifie "ne nous fais pas entrer dans l'épreuve du serpent" et la prière continue en disant "mais délivre nous du mal" ce qui signifie "mais au contraire éloigne de nous le serpent de l'épreuve".
Qu'est ce qui te fait penser qu'il y a un péché à manger un fruit? Logiquement? Ne nous soumets pas à la tentation veut dire comme exemple que si j'ai l'occasion de charger un prix indus pour mon travail ou de vendre un bien dix fois le prix que je l'aie payé de ne pas céder à faire un profit excessif. Jésus demande dans sa prière de nous éviter cela.
Auteur : Gérard C. Endrifel
Date : 06 févr.25, 13:15
Message :
prisca a écrit : 06 févr.25, 09:36L'ETERNEL a mis à l'épreuve car c'est l'ETERNEL qui a décidé qu'untel était le diable
Ce n'est pas ce qu'enseigne la Bible.

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