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Les grecs définissaient le bien comme la vertu.

c'est un mal transitoire pour un bien durable

la vertu, pas facile non plus comme concept

Soit le propre d'une chose à être fonctionnelle pour ce à quoi elle sert.

Oui mais il y a une nuance à apporter quand on dit que la souffrance est bonne. Car si ça pousse à faire souffrir, je peux vous dire que la justice s'en mêle en plus de souffrir en retour d'avoir fait souffrir.

tout dépend de l'intention de celui qui fait souffrir

Exemple : la vertu de l'œil est dans sa capacité à permettre la vue.

les militaires qui font faire 50 pompes à jeun font souffrir, mais pour que tu deviennes meilleur

Le bien réside en cela : la fonctionnalité.

Faire un peu de souffrance c'est faire beaucoup de bien. Contrairement à faire un peu de bien pour beaucoup de souffrance.

Ce qui est mal c'est par exemple une cataracte.

(Dans ce contexte.)

Le mal : un enfant né avec 2 têtes.

oui, et pourtant la cataracte est une solution qu'a trouvé l'oeil pour ne plus se faire agresser par le soleil

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:50 oui, et pourtant la cataracte est une solution qu'a trouvé l'oeil pour ne plus se faire agresser par le soleil

Dans ce cas elle est un bien, mais pas relativement à la fonctionnalité de voir.

une mauvaise solution, une protection au lieu d'une adaptation

L'idée c'est que le bien et le mal sont objectifs mais relatifs à une fonctionnalité.

et la la solution est quand même brutale : l'opération

Donc c'est une question d'intentionnalité.

le bistouri !

la douleur aussi, qui va avec au réveil

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:52 et la la solution est quand même brutale : l'opération

Dans l'antiquité l'on opérait la cataracte sans anesthésie très efficace..

et pourtant c'est la seule solution pour ne pas perdre totalement la vue sur le long terme

Pourtant ça valait le coup.

la douleur et la brutalité sont donc parfois nécessaires, si l'objectif est le Bien

Donc selon tel ou tel objectif oui. C'est ce que je dis.

(enfin fallait être courageux quand même)

C'est relatif.

oui

Pour moi la Vie comme la Nature, primitivement, n'ont pas de but.

Les buts arrivent avec l'intentionnalité.

pour moi toute vie a un but, qui est de se reproduire

Or, c'est propre à chacun l'intentionnalité.

et de prendre du territoire

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:56 pour moi toute vie a un but, qui est de se reproduire

Ce n'est pas un but, c'est une nécessité pour la survie.

et de se complexifier

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:56 et de prendre du territoire

Pas forcément.

oui, le but est de survivre, de s'étendre

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:56 et de se complexifier

Ça c'est la conséquence d'une nécessité.

lafrisée a écrit : ↑22 mars25, 01:57 oui, le but est de survivre, de s'étendre

Cela peut devenir un but avec l'apparition d'êtres intentionnels.

je vais quitter, je ne comprends plus trop, à plus !

C'est un sujet complexe.

@+ Lafrisée.

J'm'interroge a écrit : ↑22 mars25, 01:52 L'idée c'est que le bien et le mal sont objectifs mais relatifs à une fonctionnalité.

Dans ma croyance lorsqu'il y a dysfonction et que l'on souffre c'est la souffrance qui a fait cette dysfonction pour se faire ressentir.

Que le Digne d'être invoqué, Celui qui fait du bien, le Bien, pour Ses créatures qui L'invoquent, leur apporte bien-être et bonheur. Le Bien digne d'être invoqué. https://youtu.be/zYfpIiFilH8?feature=shared

Ce qu'il te faut Kap c'est du pragmatisme.

C'est ce qui manque à beaucoup.

J'm'interroge a écrit : ↑22 mars25, 02:16 Ce qu'il te faut Kap c'est du pragmatisme.

comment cela ?

Et une réelle connexion à la Vie.

Tu parles de la Vie, je parle du Bien... il en faut pour tous les goûts.