Coronavirus vs Armageddon

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prisca

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 15 janv.21, 00:17

Message par prisca »

keinlezard a écrit : 14 janv.21, 22:58 Hello,


Sauf que c'est faux !
Un virus , une bactérie ne viennent pas plus d'animaux que d'autre chose !

Il s'agit d'entité nés dans les soupes primitives qui ont suivit leur propre cheminement évolutif.

Au mieux l'on peut dire qu'il y a une coévolution entre virus / bactéries et hôtes infecté et cela s'arrête là !

Mais il n'y a surement pas une "origine" animal à un virus / bactérie


"soupe primitive" :pout:

Elle a bon dos "la soupe primitive"

Et elle remonte à quand ?

Quand Darwin faisait son marché au bord des étangs ?

TROISIÈME PARTIE
LES GRIPPES ZOONOTIQUES
IMPLIQUANT LE PORC

  • I. Les virus Influenza (VI)
    A. Classification, structure, propriétés et protéines virales synthétisées
    Les VI font partie de la famille des Orthomyxoviridae. Ils sont répartis en trois types :
    A, B et C. Les VI B et C infectent uniquement l’Homme. Seuls les VI de type A ont donc une
    importance en pathologie porcine et notre étude se limitera à ceux-ci. De plus, les virus
    hautement pathogènes pour l’Homme appartiennent tous au type A. Les VI ont été isolés
    pour la première fois chez le porc en 1931 et chez l’homme en 1933. Ils sont nommés
    suivant une nomenclature stricte : type, espèce chez qui le virus a été isolé, lieu d’isolement,
    numéro de laboratoire arbitraire et année d’isolement (ex : A/Porc/Wisconsin/125/98)
    (Olsen et al., 2006 ; Haddad et al, 2013).
    Les VI sont des virus pléomorphes et enveloppés, d’approximativement 80 à 120 nm
    de diamètre. Leur génome de 13,6 kb est formé de 8 segments d’ARN polarisé négativement
    codant 11 protéines virales (voir figure 30) :
    - La protéine de matrice M1 : elle est formée de nombreux monomères identiques.
    Cette protéine correspond à l’antigène interne ou « soluble » et tapisse la surface interne de
    l’enveloppe virale. Elle jouerait un rôle dans l’assemblage et le bourgeonnement des virions
    et permet de définir le type de virus grippal. Toutes les souches d’un même type possèdent
    en effet le même antigène interne.
    - La protéine M2 : elle est intégrée à l’enveloppe virale et forme un canal ionique.
    - Les trois sous-unités de l’ARN polymérase : PA, PB1 et PB2.
    - La protéine de la nucléocapside (NP) : elle forme le complexe ribonucléoprotéique
    (RNP) avec les segments d’ARN viral et l’ARN polymérase. Ce complexe participe à la
    réplication et à la transcription de l’ARN (Olsen et al., 2006 ; Ma et al., 2009 ; Haddad et al,
    2013 ; Crisci et al., 2013).
    - La protéine PB1-F2 : elle est codée par un autre ORF du segment PB1 et est
    retrouvée chez de nombreux VI A, notamment chez la plupart des VI humains et aviaires. La
    longueur de cette protéine chez les VI porcins diffère selon leur origine : les VI porcins
    « classiques » possèdent des protéines PB1-F2 tronquées de 8 à 11 acides aminés alors que
    les VI porcins eurasiens « avian-like » possèdent des protéines PB1-F2 complètes d’une
    longueur de 87 à 89 acides aminés. Le virus H1N1p 2009 possède des protéines PB1-F2
    tronquées de 11 acides aminés. Cette protéine PB1-F2 est un polypeptide pro-apoptotique
    et induit donc l’apoptose des cellules de l’hôte. Elle augmenterait également la fréquence et
    la gravité des infections batériennes secondaires et contribuerait donc à la virulence
    (Neumann et al., 2009).
    - La protéine non structurale NS1 : elle est exprimée uniquement dans les cellules
    infectées pendant la réplication virale. Elle joue un rôle important dans la virulence des VI et
    intervient dans la régulation de la réplication de l’ARN viral et dans la synthèse des protéines
    virales. Cette protéine est un antagoniste de l’IFN et bloque donc l’activation de certains
    facteurs de transcription et produits de gènes stimulés par l’IFNβ. Elle a également la
    capacité de se lier à l’ARN double-brin afin de prévenir l’activation de l’oligo(A) synthétase
    ARN double brin-dépendante, et par conséquent l’activation ultérieure de la ribonucléase L
    (L pour latente) qui joue un rôle important dans la réponse immunitaire innée. La
    ribonucléase L, induite par l’IFN, détruit une fois activée tous les ARN dans les cellules. C’est
    l'effecteur enzymatique d'une voie de dégradation des ARN simple brin activée lors d'une
    112
    infection virale, mais son activité n’est pas limitée à la dégradation des ARN viraux. La
    ribonucléase L joue en effet un rôle majeur dans l’apoptose et la différenciation en régulant
    aussi l'expression et la stabilité des ARN cellulaires (Neumann et al., 2009).
    - La protéine NS2 : elle était à l’origine classée parmi les protéines non structurales,
    mais fait en réalité partie de la structure des virions et serait un facteur de transport
    nucléaire (elle est également appelée protéine NEP pour Nuclear Export Protein).
    - L’hémagglutinine (HA) et la neuraminidase (NA) : ces deux glycoprotéines sont
    localisées à la surface du virion et s’insèrent dans l’enveloppe virale. Elles représentent les
    antigènes de surface principaux et sont donc les cibles majeures de la réponse immunitaire
    humorale de l’hôte. Au sein d’un même type, en fonction des propriétés antigéniques de
    l’hémagglutinine H et de la neuraminidase N, on distingue des sous-types HxNy (ex : H1N1,
    H3N2…) qui présentent des différences antigéniques importantes, et qui sont eux-mêmes
    subdivisés en clades et en variants sur la base de différences antigéniques plus faibles.
    Actuellement, 18 HA différentes et 11 NA différentes ont été identifiées (cf. infra). Les HA
    (H17 et H18) et les NA (N10 et N11) les plus récemment identifiées l’ont été lors de la
    découverte récente chez des chauves-souris de deux sous-types jusque-là inconnus, les virus
    H17N10 et H18N11, respectivement au Guatemala et au Pérou. Les HA (organisées en
    trimères) se lient à des récepteurs qui contiennent de l’acide sialique ou acide N-acétyl
    neuraminique (cf. infra) et permettent donc l’infection des cellules de l’hôte. La liaison à
    l’acide sialique est également responsable de l’agglutination des érythrocytes qui permet la
    détection du virus par les méthodes sérologiques d’hémagglutination et d’inhibition de
    l’hémagglutination. L’HA contient enfin des sites antigéniques majeurs contre lesquels sont
    dirigés les anticorps neutralisants. La NA (organisée en tétramères) catalyse la réaction
    enzymatique de clivage de l’acide sialique présent sur les résidus glucidiques adjacents. Elle
    permet ainsi d’empêcher l’agrégation entre les virions et améliore la libération des
    particules virales bourgeonnantes (Olsen et al., 2006 ; Ma et al., 2009 ; Haddad et al, 2013 ;
    Crisci et al., 2013).
    La nature segmentée du génome des VI est une propriété structurale très
    importante, car elle leur permet de subir des réassortiments génétiques. De plus, l’acide
    nucléique étant formé d’ARN, il est sujet à des mutations fréquentes qui ne peuvent être
    corrigées et qui conduisent à l’apparition de nouveaux clades ou variants (cf. infra) (Olsen et
    al., 2006 ; Haddad et al, 2013).
    Les VI sont sensibles à la chaleur (56°C, 30 minutes), aux acides et aux solvants
    organiques comme l’éther ou le chloroforme. Leur enveloppe lipidique les rend très
    sensibles aux détergents et à la plupart des désinfectants usuels (formol, composés
    phénoliques, eau de javel, ammonium quaternaire…). Ils sont donc instables et peu
    résistants dans l’environnement (Olsen et al., 2006), mais les matières organiques
    (sécrétions nasales, fèces…) les protègent et leur résistance serait favorisée en milieu
    humide et froid. Les VI peuvent ainsi survivre jusqu’à 105 jours dans le lisier en hiver
    (Brugère-Picoux et al., 2010).



etc etc etc

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 15 janv.21, 01:26

Message par avatar »

Encore une fois, dans le cas de la COVID19 le porc n'est pas un agent transmetteur !
Vous pouvez raconter tout ce que vous voulez, c'est ça la réalité.

Mais dans votre obsession de dire que tout est de la faute de violation d'une loi (que vous ne respectez pas vous même) vous déformez la réalité.

Encore une fois, le seul vecteur possible envisagé aujourd'hui par la communauté scientifique est le vison.
Mais évidemment, cela ne vous arrange pas puisque, pour le coup, rien dans la loi mosaïque n'empêche l'usage de la fourrure !

prisca

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 15 janv.21, 01:42

Message par prisca »

avatar a écrit : 15 janv.21, 01:26 Encore une fois, dans le cas de la COVID19 le porc n'est pas un agent transmetteur !
Vous pouvez raconter tout ce que vous voulez, c'est ça la réalité.

Mais dans votre obsession de dire que tout est de la faute de violation d'une loi (que vous ne respectez pas vous même) vous déformez la réalité.

Encore une fois, le seul vecteur possible envisagé aujourd'hui par la communauté scientifique est le vison.
Mais évidemment, cela ne vous arrange pas puisque, pour le coup, rien dans la loi mosaïque n'empêche l'usage de la fourrure !




2 - Origine du virus
L’animal à l’origine de la transmission à l’homme n'a pas encore été identifié avec certitude. Les coronavirus sont zoonotiques, ce qui signifie qu'ils sont transmis entre les animaux et les humains. On sait qu’il est de la même famille que le coronavirus du SRAS responsable d’une épidémie en 2003. Les deux partagent en effet un ancêtre commun présent chez la chauve-souris, l’animal réservoir (qui héberge un virus sans être malade et peut le transmettre à d’autres espèces). Mais le virus de chauve-souris ne peut pas se fixer sur les récepteurs humains, il doit passer par une autre espèce, appelée « hôte intermédiaire ».

L’hôte intermédiaire du SARS-CoV-2 pourrait être le pangolin, petit mammifère à écailles menacé d’extinction, estiment des scientifiques chinois. Le virus serait apparu en décembre sur un marché de Wuhan où étaient vendus des animaux sauvages destinés à être consommés.

La transmission interhumaine est avérée par voie respiratoire, contact étroit avec un malade à moins d’un mètre (postillons, toux, éternuements). Le virus pourrait aussi se trouver dans les selles des malades infectés. On ignore encore si le virus peut persister dans l’environnement.


https://graphics.rfi.fr/coronavirus-201 ... -7-points/


2. Transmission du virus au porc et entre porcs
Les chauves-souris nichent dans les arbres, parfois situés au-dessus des enclos à
porcs. En temps normal, elles ne gagnent pas le sol et n’entrent donc pas en contact avec les
animaux. Durant l’épidémie malaise, des chauves-souris se seraient nourries dans des arbres
fruitiers dont les branches se trouvaient au-dessus des enclos des porcs. La transmission du
NiV des chauves-souris aux porcs a le plus probablement eu lieu via la consommation de
fruits contaminés par les déjections et/ou la salive des chauves-souris qui sont tombés
dans les enclos et éventuellement via la contamination des porcheries non couvertes par les
fèces ou l’urine de chauves-souris les survolant (hypothèse peu probable). Les porcs auraient
ensuite amplifié le virus et permis sa transmission à l’Homme. (Lo et Rota, 2008 ; Haddad et
al., 2013).
La contagiosité du virus étant extrêmement élevée, l’infection s’est rapidement
propagée parmi les porcs dans les fermes infectées. La transmission du virus se serait
surtout faite par voie respiratoire et par contact direct avec l’urine, la salive et les sécrétions
pharyngées des cochons malades (Lo et Rota, 2008 ; Ksiazek et al., 2011). La multiplication
du virus au niveau des amygdales et de l’épithélium respiratoire ainsi que la mise en
évidence par immunohistochimie d’antigènes viraux au niveau des poumons et des voies
respiratoires inférieures et supérieures de cochons infectés naturellement laisse en effet
penser que le NiV peut être excrété dans les sécrétions pharyngées et bronchiques (Haddad
et al., 2013). La mise en évidence d’antigènes du NiV par immunohistochimie dans les
tubules rénaux montre une transmission possible via l’urine. La transmission du virus aurait
été facilitée par la prévalence des signes respiratoires (forte toux notamment) chez les porcs
malades et par la forte densité des animaux dans les systèmes d’élevage intensif (Clayton et
al., 2013). Enfin, elle pourrait également avoir lieu via l’utilisation répétée d’aiguilles ou
d’autre matériel sans stérilisation préalable entre les animaux (notamment le matériel
d’insémination artificielle) (Ksiazek et al., 2011).
Une excrétion virale a été observée chez des cochons infectés expérimentalement, à
la fois chez les individus malades et asymptomatiques. Ceci prouve que les cochons infectés
de manière asymptomatique ont pu transmettre le virus aux personnes et aux animaux en
contact avec eux. Cette particularité aurait permis au virus de se propager de manière
silencieuse dans la population porcine. En effet, l’épidémie de NiV chez les cochons en
Malaisie a été caractérisée par un très haut taux de séroconversion et une prévalence élevée
d’infections asymptomatiques (Clayton et al., 2013).
La propagation du virus entre les fermes se serait majoritairement faite par
l’introduction d’un porc infecté dans les élevages indemnes et éventuellement via le
mouvement de chiens et de chats infectés (Ksiazek et al., 2011). La propagation du virus à
travers la Malaisie et jusqu’à Singapour s’explique par le mouvement de cochons infectés. La
comparaison des séquences des différents virus isolés chez les porcs, l’Homme et les
chauves-souris durant l’épidémie a permis de conclure que l’épidémie a probablement
commencé à un point source. Cela implique que le virus est passé de son réservoir sauvage
aux cochons domestiques à une occasion unique et s’est ensuite propagé entre les porcs
(Kirkland et Stephano, 2006 ; Clayton et al., 2013).


http://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1684


Le porc est l'animal "du pauvre" (le plus consommé dans le monde)

b. Importance de la production porcine asiatique
La viande de porc est la viande la plus consommée dans le monde et notamment en
Asie (voir figure 70). La production porcine a augmenté de façon très importante au cours
des dernières décennies (voir tableaux 29, 30 et 31) afin de faire face à la demande
grandissante, liée à l’augmentation de la consommation de viande de porc avec
l’amélioration du niveau de vie et à la croissance démographique. De plus, la production
porcine va continuer de s’accroître dans les années à venir (Oh et Whitley, 2011).


...


La Chine est le plus grand consommateur de viande porcine du monde. Même si la
part que représente le porc dans la consommation de viande en Chine a diminué au cours
des dix dernières années, la consommation annuelle de porc par personne a elle, augmenté.
La viande de porc représente en effet près de 70% de la viande consommée, avec une
consommation annuelle actuelle d’environ 38 kg par personne contre 29 kg en 1997. De
plus, la Chine est le plus grand producteur de porc, représentant à elle seule 50% de la
264
production mondiale, avec une production estimée à 101,5 millions de tonnes par an. Pour
l’année 2011, le nombre de porcs en Chine, selon les estimations de la FAO, s’élevait à 465
millions de têtes et la production de viande porcine en 2010 était d’environ 50 millions de
tonnes alors qu’elle n’était que de 10 millions de tonnes en 1979 et de 36 millions de tonnes
en 2000 (voir figure 73). Par contraste le nombre de porcs au Vietnam, aux Philippines et en
Thaïlande était respectivement de 27 millions, 12 millions et 8 millions de têtes en 2010 (Mc
Orist et al., 2011 ; Oh et Whitley, 2011).
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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 15 janv.21, 02:17

Message par avatar »

prisca a écrit : 15 janv.21, 01:42 2 - Origine du virus

Article de février 2020 lorsque personne ne connaissait grand chose à la maladie et où on parlait encore du pangolin qui depuis a été mis hors de cause !

Aujourd'hui plus personne ne parle de la consommation d'une viande comme l'origine de la maladie.

Il y a à l'heure actuelle deux hypothèses : la contamination par contact ou aérosol avec un vison infecté ou la contamination par une souche détenue dans un laboratoire.

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 29 janv.21, 11:22

Message par Pollux »

prisca a écrit : 13 janv.21, 02:01 Comment s'est déroulé ma prédiction du 13 mai 2021 ?

A vrai dire, j'ai soudainement eu cette idée de mai 2021, et je vous l'ai dit.

Ensuite je suis allée à contre à rebours pour remonter les 1290 jours que Daniel annonce puisque c'est le délai qui court du jour où le fils de la perdition s'illustre dans son méfait, fait qui sera connu par les actualités, le fils de la perdition étant le pape François, ce qui donne à rebours donc 3 ans 6 mois et 13 jours, fait donc qui s'est passé le 01 novembre 2017.
Du 1er novembre 2017 au 13 mai 2021 il y a 1289 jours.

https://www.ephemeride.com/calendrier/d ... &year=2021

C'est donc reporté au 14 mai ?

Estrabolio

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 30 janv.21, 03:19

Message par Estrabolio »

Pollux a écrit : 29 janv.21, 11:22 Du 1er novembre 2017 au 13 mai 2021 il y a 1289 jours.

https://www.ephemeride.com/calendrier/d ... &year=2021

C'est donc reporté au 14 mai ?
Coucou Pollux,
Tu as remarqué le glissement ? On est passé de "l'Esprit parle à travers moi" "je ne parle pas de moi même, c'est Dieu qui me parle et qui me fait comprendre les choses" à "A vrai dire, j'ai soudainement eu cette idée" ce qui prépare le commentaire suivant le 15 mai "tout le monde peut se tromper, je suis humaine, c'était ce que je croyais".
Preuve que Prisca n'y croit plus trop elle même sinon elle aurait continué à dire que c'était Dieu et qu'elle ne faisait rien par elle même.
Bon week end

Pollux

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Re: Coronavirus vs Armageddon

Ecrit le 30 janv.21, 05:27

Message par Pollux »

Estrabolio a écrit : 30 janv.21, 03:19 Tu as remarqué le glissement ? On est passé de "l'Esprit parle à travers moi" "je ne parle pas de moi même, c'est Dieu qui me parle et qui me fait comprendre les choses" à "A vrai dire, j'ai soudainement eu cette idée" ce qui prépare le commentaire suivant le 15 mai "tout le monde peut se tromper, je suis humaine, c'était ce que je croyais".
Preuve que Prisca n'y croit plus trop elle même sinon elle aurait continué à dire que c'était Dieu et qu'elle ne faisait rien par elle même.
Bien vu. (y)

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