Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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Yvon

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 22 avr.16, 07:51

Message par Yvon »

Le bouddhisme de Nichiren Daïshonin part du principe que tous les êtres humains ont la possibilité d'atteindre l'illumination. Cette idée est la caractéristique même du bouddhisme du Mahayana. Le bouddhisme Mahayana, l'une des deux principales branches qui se développa en Inde après la mort de Shakyamuni, fut d'abord un mouvement pour rendre accessibles au plus grand nombre les enseignements du Bouddha.
A la différence de certains groupes du bouddhisme antérieur, ses adeptes ne se coupaient pas de la société mais choisissaient de travailler à répandre le bouddhisme dans le peuple et d'aider les autres à trouver la voie qui mène à l'illumination. La caractéristique essentielle du Mahayana est donc l'esprit de compassion et l'altruisme.

Le Bouddhisme Mahayana fut introduit en Chine où il donna naissance à diverses écoles. L'une des plus importantes fut fondée par T'ien t'aï (538-597) et on la désigne du nom de T'ien t'aï ou école Tendaï. Elle enseigne que le Sûtra du Lotus est le plus élevé de tous les sûtras du Mahayana et que tout - les êtres animés commes les choses inanimées - possède à l'état latent la possibilité d'illumination.
Cette théorie est résumée dans le principe d'Ichinen Sanzen. Les principes de cette école furent par la suite développés et systématisés par Miao-lo (711-782), le neuvième patriarche de cette tradition.

Le Bouddhisme de T'ien t'aï, comme nous l'avons vu, fut introduit au Japon au IX° siècle par Dengyo Daïshi, qui avait étudié ces doctrines en Chine. Plus tard, au XIII° siècle, Nichiren Daïshonin étudia au mont Hiei, centre de l'école Tendaï au Japon, et en vint à réaliser que le Sûtra du Lotus constitue vraiment le coeur de tous les enseignements bouddhiques. Peu après, il commença à enseigner la vérité à laquelle il était parvenu.

Selon son enseignement, les multiples lois qui régissent l'Univers obéissent toutes à un principe unique ou une Loi. En comprenant cette Loi, une personne peut libérer le potentiel caché dans sa propre vie et réaliser une harmonie parfaite avec son environnement. Nichiren Daïshonin a défini la Loi universelle comme étant Nam Myoho Renge Kyo, formule qui représente l'essence du Sûtra du Lotus. De plus, il lui donna une forme concrète en inscrivant le parchemin appelé Gohonzon afin que tous les hommes puissent mettre en pratique l'essence de la sagesse bouddhique et parvenir à l'illumination.

Dans le traité intitulé "Sur le véritable objet de vénération ", il conclut que croire en Nam Myoho Renge Kyo et adresser cette invocation au Gohonzon, qui est la cristallisation de la loi universelle, permet de révéler la nature de bouddha inhérente à chaque être humain.

Tous les phénomènes sont soumis à la stricte loi de cause et d'effet. Par conséquent, l'état dans lequel se trouve la vie d'une personne - autrement dit sa destinée - est le résultat de toutes les causes précédemment créées. En récitant Nam Myoho Renge Kyo, une personne crée la cause suprême, une cause qui dépasse de beaucoup en importance les effets négatifs résultant du passé.

L'illumination n'est pas un état mystique ou transcendantal, comme on pourrait être tentés de le croire. C'est plutôt l'état de la plus grande sagesse, vitalité et bonne fortune, dans lequel une personne peut diriger sa propre destinée, être pleinement satisfaite dans ses activités quotidiennes et parvenir à comprendre la raison pour laquelle elle est en vie.

http://www.forum-religion.org/bouddhism ... 38510.html
Modifié en dernier par Marmhonie le 22 avr.16, 08:13, modifié 1 fois.
Raison : Merci d'intervenir personnellement et non copier/coller des pages et des pages, l'URL suffit.
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

Marmhonie

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 22 avr.16, 08:27

Message par Marmhonie »

Auto effacé pour éviter la censure d'un super modo.

Yvon

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 22 avr.16, 10:22

Message par Yvon »

Le Président Ikeda un marathonien pour la paix :

Dialogues menés par Daisaku Ikeda
D. Ikeda a mené de nombreux dialogues :

1967
Comte Richard Coudenhove-Kalergi, philosophe autrichien.
1972
Arnold Toynbee, historien anglais.
1974
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
René Huyghe, historien d'art et membre de l'Académie française.
Mikhaïl Sholokhov, prix Nobel de littérature.
Zhou Enlai, premier ministre chinois.
1975
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
Deng Xiaoping, vice premier ministre chinois.
Henry Kissinger, secrétaire d'État des États-Unis.
Aleksei Kossyguine, premier ministre de l'URSS.
Kurt Waldheim, secrétaire général de l'ONU.
Norodom Sihanouk, ancien roi du Cambodge.
Aurelio Peccei, membre fondateur du Club de Rome.
1978
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
1979
J.P. Narayan, dirigeant politique indien et disciple de Gandhi.
1980
Deng Yingchao, veuve de Zhou Enlai.
1981
Nikolai Tikonov, premier ministre de l'URSS.
Todor Zhivkov, président du Conseil d'État bulgare.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Anatoly Lougaflov, recteur de l'Université de Moscou.
1982
Javier Pérez de Cuellar, secrétaire général de l'ONU.
1983
Rudolphus Marie Lubbers, premier ministre hollandais.
Hu Yaobang, secrétaire général du Parti communiste chinois.
Paul Hartling, haut commissaire de l'ONU pour les réfugiés.
1984
Joao Baptista de Oliveira Figueiredo, président du Brésil.
Fernando Belaunde Teny, président du Pérou.
1985
Rajiv Gandhi, premier ministre de l'Inde.
1986
Raul Alfonsin, président de la République d'Argentine.
Johan Galtung, spécialiste en études sur la paix.
Miguel de la Madrid, président de la République du Mexique.
1987
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix.
Norman Cousins, écrivain et enseignant américain.
Joaquin Balaguer, président de la République dominicaine.
Michel Baroin, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Nikolaï Ryzhkov, premier ministre soviétique.
Jacques Chirac, maire de Paris.
Edgar Faure, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Alain Poher, président du Sénat français.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Wojciech Jaruzelski, président du Conseil d'État polonais.
1988
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
Jaime Lusinchi, président de la République du Vénézuela.
Lee Kuan Yew, premier ministre de Singapour.
1989
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Franz Vranitzky, chancelier d'Autriche.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Princesse Chulabhorn, princesse de Thaïlande.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Princesse Anne d'Angleterre.
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Cari XVI Gustav, roi de Suède.
Bengt Göransson, ministre suédois de l'Education et des Affaires culturelles.
François Mitterrand, président de la République française.
Jack Lang, ministre de la Culture.
Danielle Mitterrand, présidente de l'association France-Libertés.
Marcel Landowski, secrétaire peipétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Alain Poher, président du Sénat français.
Jean Fage, président du Musée de la photographie à Bièvres.
André Fage, directeur du Musée de la photographie à Bièvres.
Louis Auquier, président de l'Université Paris V.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Robert Berthier, président des Jeunesses musicales de France.
Bernard Dorin, ambassadeur de France au Japon.
Donald Chesworth, militant social britannique.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
Ying Ruocheng, vice-ministre de la Culture de Chine.
Bernard Lown, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
Mikhail Kuzin, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
John Neumeier, directeur du Ballet de Hambourg.
Fabio Roversi-Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Cornel Capa, directeur du Centre international de la photographie.
Javier Perez de Cueilar, secrétaire général des Nations unies.
Jean-Pierre Hocké, haut-commissaire du HCR.
Margaret Thatcher, premier ministre de Grande-Bretagne.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Anatoly Loukyanov, président du Présidium suprême de l'URSS.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Joseph Rotblat, président des Pugwash Conferences on Science and World Affairs.
Prince Tony Momoh, ministre nigérian de l'Information et de la Culture.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Jan Wirgin, directeur du Musée des antiquités asiatiques de Stockholm.
1990
Zhelyu Zhelev, président de la République de Bulgarie.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés.
Georges Saitoti, vice-président du Kenya.
Nelson Mandela, président adjoint de l'African National Congress.
Rhi Chong Sun, directeur du musée d'art Ho-Am de Corée du Sud.
Nataliya Sats, fondatrice et présidente du Théâtre musical national des enfants de Moscou.
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Turgut Ozal, président de la République de Turquie.
Kenneth Kaunda, président de Zambie.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
René Simard, vice-recteur de l'Université de Montréal.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
1991
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Neil Rudenstine, président de l'Université Harvard.
Elie Wiesel, prix Nobel de la paix.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
René Simard, professeur à l'Université de Montréal, cancérologue.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Marcel Landowski, chancelier de l'Institut de France.
Pierre Hugo, arrière-petit-fils de Victor Hugo.
Serge Tolstoï, petit-fils de Léon Tolstoi.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sir Fred Hoyle, professeur et astronome.
Genrikh A. Borovik, président du Comité soviétique pour la paix.
Carlos A. Faraco, recteur de l'Université de Panama.
Gennadi A. Yagodin, président du Comité national de l'URSS pour l'éducation.
James Njagi Njiru, ministre de la Culture du Kenya.
Jutta Unkart, Mmc la ministre de l'Education d'Autriche.
W. Henrichsmeyer, recteur de l'Université de Bonn.
Richard von Weizsâcker, président de la République fédérale allemande.
Wang Xuezhen, professeur à l'Université de Pékin.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Anatoly A. Louganov, recteur de l'Université de Moscou.
Charles K. Kao, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Wang Gungwu, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Corazon Aquino, présidente de la République des Philippines.
John Major, premier ministre britannique.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Rita Siissmuth, présidente de la Chambre des députés d'Allemagne.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Oswald Mtshali, poète anti-apartheid sud-africain.
Chingiz Aitmatov, écrivain et diplomate d'URSS.
Federico Mayor, directeur général de l'UNESCO.
Albert Carnesale, de l'École John F. Kennedy à Boston.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hsueh Shou Sheng, recteur de l'Université de Macao.
Ricardo Popovsky, recteur de l'Université de Palermo en Argentine.
1992
Yehudi Menuhin, violoniste.
Ricardo Diez Hochleitner, présidentdu Club de Rome.
Shankar Dayat Sharma, vice-président de l'Inde.
Bans Manço, musicien turc.
Ramaswamy Venkataraman, président de la République de l'Inde.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Hosni Mubarak, président de la République arabe d'Egypte.
Vaclav Havel, président de la République tchèque et prix Nobel de la paix.
Suleyman Demirel, premier ministre de Turquie.
Frederic Willem de Klerk, président de la République sud-africaine.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Aleksei Khoklov, professeur à l'Université de Moscou.
Glenn Paige, professeur émérite à l'Université de Hawaii.
Ihsan Dogramaci, fondateur de l'Université Bilkent d'Ankara.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Suharto, président de l'Indonésie.
Majid Tehranian, professeur de l'Université de Hawaii.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Ralph Unkart, professeur émérite à l'Université des technologies de Vienne.
Francis Gichaga, vice-chancelier de l'Université de Nairobi.
Shao Huaze, éditeur chinois.
1993
Rosa Parks, militante des droits civiques américains.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre SimonWiesenthal.
Noemi Sanin de Rubio, ministre des Affaires etrangeres de Colombie.
Noranit Setabutr, président de l'Université Thammasat de Thaïlande.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Austregésilo de Athayde, président de l'Académie des Lettres du Brésil.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Carlos Menem, président de la République d'Argentine.
Francisco Delich, recteur de l'Université de Cordoba.
Mariano Mores, pianiste et compositeur argentin.
Osvaldo Pugliese, chef d'orchestre argentin.
Andrès Rodriguez, président du Paraguay.
Luis Berganza, recteur de l'Université nationale d'Asuncion au Paraguay.
Patricio Aylwin, président de la République du Chili.
Luis Fleury Fiiho, gouverneur de l'État de Sao Paulo.
Linus Pauling, lauréat du prix Nobel de chimie et du prix Nobel de la paix.
Franck Jordan, maire de San Franscisco.
Carlos Mario de Clerc, recteur de l'Université Lomas de Zamora en Argentine.
Nambaryn Enkhbayar, ministre de la Culture de Mongolie.
Lu Jimin, directeur du Musée de Pékin.
Vasant Sathe, président du Concile indien pour les relations culturelles.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Lawrence Sullivan, directeur du Centre d'étude des religions à l'Université Harvard.
John Humphrey, professeur émérite de l'Université Mac Giil, à Montréal.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Alfredo Cristiani Burkard, président de la République du Salvador.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Azian Shah, roi de Malaisie.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Princesse Napoléon.
Alexis Vaesken, ministre des Affaires étrangères du Paraguay.
Gunal Akbay, recteur de l'Université d'Ankara.
Fidel Ramos, président de la République des Philippines.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Nur Yalman, titulaire d'une chaire d'anthropologie à l'Université Harvard.
John Montgomery, professeur émérite à l'Université Harvard.
Robert Jastrow, scientifique de la NASA, collaborateur du programme Apollo.
Chang Lin Tien, chancelier de l'Université de Californie.
David Strangway, président de l'Université britannique de Colombie.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal
.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Nelson Maculan Filho, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
1994
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Cai Delin, président de l'Université de Shenzhen.
Li Youwei, maire de la ville de Shenzhen.
Farouk Hosni, ministre égyptien de la Culture.
Vincent Harding, professeur des religions à l'Université de Denver.
Forbes Munro, recteur de l'Université de Glasgow.
Franco Nannotti, vice-gouverneur de la province de Florence.
Fabio Roversi Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Mikhail Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Aleksandr Yakovlev, président du Leonardo Club.
Gavril Popov, président de l'Université internationale de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Lou Ann Guanson, directrice du Spark M. Matsunaga de l'Institut pour la paix de l'Université de Hawaii.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Patricio Aylwin, ancien président du Chili.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Lin Zugeng, président de l'Université Xiamen.
Shunzo Ono, musicien de jazz japonais.
Herbie Hancock, musicien de jazz américain.
Rosa Parks, militante du mouvement des droits civiques américains.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica, prix Nobel de la paix.
Edouardo Frei Ruiz Tagle, président de la République du Chili.
Lech Walesa, président de la République de Pologne.
Youssef Boutros-Ghali, ministre égyptien de la Coopération internationale.
Sisto Duran-Ballen, président de la République d'Equateur.
Ivaylo Znepolski, ministre de la Culture de Bulgarie.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Ricardo Diez-Hochleitner, président du Club de Rome.
Christina Weiss, directrice de l'Office culturel de la Ligue des villes hanséatiques à Hambourg.
John Neumeier, directeur artistique du Ballet de Hambourg.
Jack Stark, président du Claremont Mc Kenna College de Californie.
Michel Oksenberg, directeur du centre Est-Ouest de Honolulu.
Roger Posadas, chancelier de l'Université des Philippines.
Cai Delin, président de l'Université Shenzhen.
Jen Hu Chang, professeur à l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Tsai Mci Lin, présidente de l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Kedar Mathema, vice-chancelier de l'Université Tribhuvan du Népal.
Amos Ganor, ambassadeur d'Israël au Japon.
Guy Bourgeault, professeur de bioéthique à l'Université de Montréal.
Ved Nanda, professeur à l'Université de Denver.
Richard Dubanoski, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Anthony Marsella, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Francisco Delich, recteur de l'Université nationale de Cordoba en Argentine.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Wang Xiaoxian, vice-présidente de l'Association du peuple chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Huang Shiming, vice-président de l'Association de l'amitié sino-japonaise.
1995
Nelson Mandela, président de l'Afrique du Sud.
Kocheril Raman Narayan, vice-président de l'Inde.
Carlos Alberto Messeder, directeur du Centre de philosophie et de sciences humaines de l'Université de Rio de Janeiro.
Adolfo Perez Esquivel, militant argentin.
Robert Thurman, professeur au département des religions de l'Université de Colombie.
Jin Yong, écrivain chinois.
Wang Gungwu, vice-recteur de l'Université de Hong-Kong.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica.
Jorge Range!, secrétaire de l'Education et de la Jeunesse de Macao.
Birenda Bir Bikram Shah Dey, roi du Népal.
Govindra Raj Joshi, ministre de l'Education nationale du Népal.
Sher Bahadur, premier ministre du Népal.
Hassan Gouled Aptidon, président de la République de Djibouti.
Luiz Marques, directeur du Musée national de Sao Paulo.
Youssef Boutros-Ghali, ministre de la Coopération internationale d'Egypte.
Aleksander Yakolev, un des artisans de la perestroika en URSS.
Albert Likhanov, écrivain russe.
Su Dongtian, professeur de l'Université de Shenzhen en Chine.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Bans Manço, artiste turc.
1996
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Fidel Castro, président du Conseil d'État de la République de Cuba.
Armando Hart Davalos, ministre de la Culture de Cuba.
Juan Vela Valdes, recteur de l'Université de la Havane.
José Maria Figueres Olsen, président de la République du Costa Rica.
Ved Nanda, professeur de l'Université de Denver.
Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État des États-Unis.
Moshe Arad, président de l'Université Hébraïque de Jérusalem.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre indien Rajiv Gandhi.
Johan Galtung, chercheur en études sur la paix.
Yuri Petrosyan, directeur de l'Institut des études orientales de l'Académie des sciences de Russie.
Shanmughasundaram Mohan, de la Cour de justice suprême de l'Inde.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Manuel Esquivel, premier ministre du Belize.
Amos Richmond, professeur de l'Université Ben Gourion de Tel Aviv.
Yasushi Akashi, Sous-secrétaire général des Nations unies pour les affaires humanitaires.
Batmunkh Ligden, président de la Fédération de Mongolie.
Wang Xunzhang, président de l'Université de Zhongshan en Chine.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
1997
Qian Weichang, recteur de l'Université de Shanghai.
Chen Liangyu, député-maire de Shanghai.
Fang Zhaoling, artiste peintre de Chine populaire basée à Hong-Kong.
Amadeu Thiago de Mello, poète brésilien.
Louis Derbré, sculpteur français.
Cinto Vitier, fondateur et président du Centre de recherches José Marti.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Choue Young Seek, fondateur de l'Université Kyung Hee de Corée.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Fernando Nery de Sa, député brésilien.
Liu Cheng, secrétaire général de l'Institut de littérature de Mongolie.
Ved Prakash Nanda, professeur de droit à l'Université de Denver aux Etats-Unis.
Sitaram Sharma, secrétaire général adjoint de la World Federation of United Nations Associations.
Hashim Abdul Halim, président de la WFUNA.
Kochenl Raman Narayanan, président de l'Union indienne.
Krishna Kunt, vice-président indien.
Kumar Gujral, premier ministre de l'Inde.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Amalendu De, secrétaire général de la Société asiatique (mémorial de Rabindranath Tagore).
Ravinder Kumar, directeur du mémorial Nehru.
Dr N. Radhakrishnan, directeur du Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Liu Zhongshu, président de l'Université du Jiling en Chine.
Zhang Fuliang, vice-président de l'Université du Jiling.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Cai Delin, ancien président de l'Université de Shenzhen, en Chine.
Félix Unger, président de l'Académie des sciences et des arts européens.
Chang Jenhu, président du conseil d'Université de la culture chinoise de Taiwan.
Lin Tsaimei, président de l'Université de la culture chinoise de Taiwan.
J. Forbes Munro, professeur d'histoire économique à l'Université de Glasgow.
Martin Seligman, professeur de psychologie de l'Université de Pennsylvanie.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Jong Taeck Chung, président du collège Chong Cheong de Corée.
Li Decheng, maire adjoint de Shenzhen.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
1998
Juan Carlos, roi d'Espagne.
César Gaviria Trujillo, secrétaire général de l'Organisation des Etats Américains et ancien président de la Colombie.
Fidel V. Ramos, président de la République des Philippines.
Virsely de la Cruz, présidente de l'Université de Manille.
Fang Zaoling, peintre chinoise.
Jin Yong, écrivain chinois.
Jorge Rangel, secrétaire d'État à l'éducation et à la jeunesse de Macao.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l'ONU.
Hu Jintao, vice-président de la République populaire de Chine.
Benjamin William Mkapa, président de la Tanzanie.
Alberto Antonio Kohan, secrétaire général de l'Office présidentiel d'Argentine.
Mikhail Nikolayev, président de la République du Sakha de la Fédération de Russie.
Thabo Mbeki, vice-président exécutif d'Afrique du Sud.
Inder Kumar Gujral, ancien premier ministre de l'Inde.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée.
Jong Taeck Chung, président du Collège Chung Cheong de Corée.
Cho Moon Boo, président de l'Université nationale Cheju.
Yu Byeong Don, gouverneur de la province de Puyo en Corée.
Chung Jong Teh, gouverneur de la province de Kyongsang en Corée.
Hou Zixin, président de l'Université Nankai à Tianjin en Chine.
Piao Wenyi, président de l'Université de Yanbian en Chine.
Vrajendra Raji Mehta, vice-chancelier de l'Université de Delhi.
Antonio Celso Alves Pereira, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
Arun Gandhi, directeur de l'Institut M.K. Gandhi pour la non-violence.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hazel Henderson, futurologue et économiste.
Andrew Gonzalez, président de l'Université De la Salle aux Philippines.
Wang Gungwu, directeur de l'Institut d'Asie orientale à Singapour.
David Krieger, président de la Nuclear Age Peace Foundation.
Mario Armando Mena, recteur de l'Université de Moron d'Argentine.
Manuel Pantigoso Pecero, de l'Association des docteurs du Pérou.
Ivan Rodriguez Chavez, recteur de l'Université RicardoPalma.
Fang Jie, viceprésident de la Fondation de l'Art chinois.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'Etat de Moscou.
Anatoly Logunov, directeur de l'Institut de physiques de haute énergie de Russie.
Antonio Laffranchi, recteur de l'Université de Panama.
Eusebio Leal, directeur du Musée de la Havane.
Roberto Kertesz, président de l'Université Florès d'Argentine.
Pan Yunhe, président de l'Université Zhejiang.
Qian Weichang, chancelier de l'Université de Shanghai.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Abu Bakar, vice-chancelier de l'Université de Brunei Darussalam.
Ramiro Eduardo Osorio, ancien ministre de la Culture de Colombie.
Francis Tolentino, maire de la ville de Tagaytay aux Philippines.
Natsagiin Bagabandi, président de la République de Mongolie.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
1999
Raja Nazrin Shah, roi de Malaisie.
Andrés Pastrana Arango, président de la République de Colombie.
Olusegun Obasanjo, président désigné du Nigeria.
Amara Essy, ministre des Affaires étrangères de Côte d'Ivoire.
Joseph Estrada, président de la République des Philippines.
Vasili Vlasov, premier ministre de la République de Sakha.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Lee Soo Sung, ancien premier ministre de Corée du Sud.
Hashim Abdul Halim, président de la WFLTNA.
Marquise du Lau d'Allemans, descendante de Napoléon Bonaparte.
Allen Lee Sessoms, de PUniversité de la ville de New York.
Jules Brassner, directeur de la Napoleonic Society of America et
directeur honoraire du Musée Fuji de Tokyo.
Abel Prieto, ministre de la Culture de Cuba.
Hector A. Navarro Diaz, ministre de l'Education du Vénézuela.
Cho Moon Boo, président de PUniversité nationale de Cheju en de Corée du Sud.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée du Sud.
Lee Won Sik, maire de la ville de Kyongju en Corée du Sud.
Kim Sang Soon, gouverneur de la province de Chongdo en Corée du Sud.
Zhou Ligao, recteur de l'Université de Macao.
He Jicheng, président de l'Université Nord-Est dc la Chine.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda de Recherches sur la paix et la politique mondiales.
Stuart Rees, directeur du Centre pour la paix et les conflits de l'Université de Sydney.
Casimiro Juarez, président du Cagayan Capitol College des Philippines.
Lin Liyun, interprète durant la rencontre entre le premier ministre chinois Zhou Enlai et Daisaku Ikeda, députée chinoise et ancien membre du comité permanent du Congrès national populaire de Chine.
Jiang Shusheng, président de l'Université de Nankin.
Cassio Taniguchi, maire de la ville de Curitiba du Brésil.
José Antonio de Chazal Palomo, recteur de l'Université de Santa Cruz en Bolivie.
Quansheng Zhao, professeur à l'École des relations internationales de l'American University de Washington.
Luo Weizhi, vice-président de l'Université de Hunan.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
Lester Thurow, économiste et professeur à l'Institut de technologie du Massachusetts.
José Abueva, ancien président de l'Université des Philippines.
Forbes Munro, professeur à l'Université de Glasgow.
David Tay, président de Société de photographie de Singapour.
Wang Yongxiang, directeur du Centre de recherches Zhou Enlai de l'Université de Nankai.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Norberto Ramos, danseur de tango argentin.
2000
Huang Jianhua, président de l'Université des études étrangères du Guangdong.
Mme Fang Zaoling, peintre chinoise.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Joseph Rotblat, président émérite des Conférences Pugwash et lauréat du Prix Nobel de la paix.
Emmanuel Yap Angeles, président de l'Université Angeles des Philippines.
Rogelio Quiambao, commandeur suprême de l'Ordre de José Rizal des Philippines.
Ha Jingxiong, président de l'Université des nationalités de Pékin.
Ludmila Verbitskaya, recteur de l'Université de Saint Pétersbourg.
Le Lam, maire de la ville de Auburn en Australie.
Emesto Melendez Bachs, ambassadeur de Cuba au Japon.
David P. Roselle, président de l'Université de Delaware.
Daniel F. Callahan, professeur de l'Université de Delaware.
Shi Ningzhong, président de l'Université nationale du Nord-est de Chine.
Fidel V. Ramos, ancien président des Philippines.
Kim Sam Youl, président de l'Association des familles des personnes méritoires décédées pour l'indépendance nationale de la Corée du Sud.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Wayne Shorter, musicien de jazz américain.
Tsend-Ayush, recteur de l'Institut de Littérature de Mongolie.
M.B.G Dogon-Yaro, ancien ambassadeur nigérien au Japon.
Zhu Weihua, président de l'Université de Yunnan (Chine).
Chen Fuqiang, vice-président de l'Université de Yunnan (Chine).
Arun Gandhi, fondateur de l'Institut M. K. Gandhi pour la non-violence.
Lawrence Edward Carter Sr., doyen de la Chapelle internationale Martin Luther King, Jr. du Morehouse College (Etats-Unis).
George David Miller, professeur de l'Université Lewis des États-Unis.
Edmund Ho Hau Wah, directeur de la Région administrative spéciale de Macao.
Hans Denningsen, ancien proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Henning Dochweiler, proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda pour la recherche sur la paix et la politique mondiales.
Ronald. R. Duterte, président de l'Université des Philippines du Sud.
Richard H. Seager, professeur adjoint des études religieuses, Hamilton College (Etats-Unis).
Anand Panyarachun, ancien premier ministre de Thaïlande.
Hazel Henderson, futurologue et économiste américaine.
Fang Zhaoling, peintre chinoise basée à Hong Kong.
Anson Chan, première secrétaire pour l'administration de Hong-Kong.
Victor H. Kazanjian, Jr., doyen de la vie religieuse et spirituelle, Wellesley College des États-Unis.
Youri A. Petrosyan, vice-président du Centre scientifique de Saint-Pétersbourg de l'Académie russe des sciences.
Pornchai Mongkhonvanit, président de l'Université de Siam, Thaïlande.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Felix Unger, président de l'Académie européenne des sciences et des arts.
S.R. Nathan, président de Singapour.
Leonie Kramer, chancelier de l'Université de Sydney, Australie.
Tun Haji Hamdan bin Sheikh, chancelier de l'Université de Putra, Malaisie.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
2001
Nambaryn Enkhbayar, premier ministre de Mongolie.
Rudoiphus Lubbers, Haut Commisaire des Nations-unies pour les réfugiés.
Abraham Cooper, rabbin et doyen adjoint du Centre Simon Wiesenthal.
Alfred Balitzer, de Claremont McKenna College des États-Unis.
Richard H. Seager, professeur adjoint de Hamilton College, Etats-Unis.
Sun Yong, président de l'Université de Nord-ouest, Chine.
Mercedes Menafra de Battie, première dame d'Uruguay.
Bernard Petit, président du Souvenir napoléonien.
Ronald A. Bosco, président de la Thoreau Society des États-Unis.
Olusegun Obasanjo, président nigérian.
Aftab Seth, ambassadeur de l'Inde au Japon.
Larry A. Hickman, directeur du Centre pour les études sur Dewey à l'Université de l'Illinois du Sud, États-Unis.
Yitzhak Lior, ambassadeur d'Israèl au Japon.
Chen Jian, ambassadeur de Chine au Japon.
Felix Unger, président de l'Académie européene des sciences et des arts.
Chen Haosu, président de l'Association des peuples chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Wu Ruijun, secrétaire général de l'Association d'amitié sino-japonaise.
Luigi Lonfernini, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Fabio Berardi, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Jutta Unkart Seifert, présidente de l'Iniative culturelle européenne pour la jeune génération de l'Autriche.
Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud.
Linus Pauling Jr., professeur et fils du lauréat des deux prix Nobel en chimie et de la paix.
Modifié en dernier par Marmhonie le 25 avr.16, 02:19, modifié 1 fois.
Raison : Dernier avertissement sur copiés/collés prosélytites et hors-sujet. Est-bien clair ?
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 avr.16, 02:32

Message par Marmhonie »

Inutile.

Yvon

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 avr.16, 08:13

Message par Yvon »

Un livre réalisé par un journaliste américain ancien moine Zen , faisant une analyse poussée de la Soka Gakkai .

Réveiller le bouddha

Est-ce que le bouddhisme moderne est approprié aux problèmes de la vie quotidienne ? Ou est-ce que le bouddhisme est devenu tellement détaché, silencieux et calme que le Bouddha s’est endormi ?

Extrait
« Comment la Soka Gakkai a-t-elle réalisé ce qu’aucune autre école bouddhique n’a fait au Japon ou ailleurs ? Comment est-elle parvenue à “institutionnaliser” l’impulsion révolutionnaire de telle sorte que, plutôt que de s’installer dans la médiocrité prévisible d’une religion à succès, elle s’est répandue sur toute la planète ? Quelle est la force motrice qui a soutenu la Soka Gakkai et préservé son unité alors qu’elle voyageait dans de si nombreux pays et cultures du monde entier ? Comment a-t-elle fait ce bond en avant, qui l’a fait passer du statut d’organisation religieuse nationale à celui de mouvement spirituel international ?

Mon intérêt pour la réponse à ces questions est moins centré sur la Soka Gakkai elle-même que motivé par mon désir de découvrir ce qu’il adviendra de la religion elle-même, à l’orée d’un nouveau millénaire. Car ce que la Soka Gakkai a découvert n’est pas seulement une nouvelle forme de bouddhisme. C’est une nouvelle manière d’être religieux. »

http://humanisme.soka-bouddhisme.fr/pub ... le-bouddha
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 avr.16, 08:46

Message par Marmhonie »

Auto effacé pour éviter la censure d'un super modo.

Yvon

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 26 avr.16, 05:51

Message par Yvon »

Que de délires !! :lol: Il vaut mieux effectivement avoir un éclair de lucidité .
C'est tellement con ce que vous dites .
:priere: "Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."

Shonin

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 déc.17, 10:13

Message par Shonin »

Coeur de Loi a écrit :Est-ce aux ignorants ou au Bouddha de juger des soutras ?

Chapitre 11 du soutra du lotus :
"Mais ce discours se nomme
le premier de tous les discours;

celui qui porte ce discours,
porte le corps même du Vainqueur."

Chapitre 13 du soutra du lotus :
"C'est là, ô Doux-et-Glorieux, le suprême enseignement des Ainsi-Venus; c'est là la dernière exposition de la loi des Ainsi-Venus. Entre toutes les expositions de la loi, c'est la plus profonde; c'est une exposition avec laquelle le monde entier doit être en désaccord.

---

Moi je n'ai entendu parler de ce soutra que grâce à la Soka Gakkai, donc il faut bien rendre hommage à leur travail.
Je constate ici que chacun a fait son chemin... douloureux à entrevoir d'ici...
Amitiés. Merci pour cela Coeur de Loi.
La religion est faite pour l'homme et non l'homme pour la religion.

https://www.facebook.com/brutofficiel/v ... 308655040/
Ne pas oublier que la guerre du Congo qui a fait plus de 8 millions de morts en 20 ans dans le Kivu est intimement liée a la richesse minière de la région et au silence de la communauté internationale :hi:

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 déc.17, 11:18

Message par algol-x »

Loin de la vision idyllique que certains voudraient donner de leur organisation !

« Kosen-bu »: C'est un des organes centraux de la Soka Gakkai. «Kosen-bu» veut dire «Section de Propagation de la foi » mais en réalité son rôle est le service de renseignements comme la CIA, le KGB. Vol de courriers dans les boites à lettres, prises de photos en cachette, enquêtes sur les fréquentations, filatures, etc

La Soka Gakkai a fait un changement fondamental sur le plan de la doctrine. Maintenant, la collecte des votes est la propagation de la foi, la bataille électorale est la guerre de religion.

Si vous travaillez bien, le Bouddha vous donne sa bénédiction. Effectivement, les adeptes obtiennent des logements publics, trouvent une place à la crèche municipale beaucoup plus facilement que les autres. Et en plus, vous obtenez une promotion dans la hiérarchie de la Soka Gakkai. Au contraire, si vous ne travaillez pas bien la punition vous attend, pas de logement, ni de subventions, ni de place de crèche.

Encore pire, le sentiment de la culpabilité.

http://griess.st1.at/gsk/fecris/copenha ... oka_FR.pdf

Au plaisir,

:Bye:
.
Modifié en dernier par algol-x le 31 déc.17, 08:36, modifié 2 fois.
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 25 déc.17, 23:55

Message par Shonin »

La reconnaissance n'est pas ce qu'il y a de plus "brillant" en toi je vois..............


La Soka est un mouvement de création de valeurs. Nous ne sommes que des êtres ordinaires...loin du fanatisme de 'super héros' qui envahisse les réseaux sociaux virtuels.
Tu te trompes de cible alors.

Au plaisir oui.. de te Voir changer (et non faire pour toi..) d'avis, intelligemment.
La religion est faite pour l'homme et non l'homme pour la religion.

https://www.facebook.com/brutofficiel/v ... 308655040/
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 26 déc.17, 03:31

Message par zeste de savoir »

mouvement de création de valeurs, certainement, la soka gakkai est la secte la plus riche du monde, et daisaku ikeda le plus riche des milliardaires japonais, donnez, donnez ! ! :Bye:

algol-x

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 26 déc.17, 07:39

Message par algol-x »

Le jeu politique:

le Kômeitô accepte toutes les propositions du parti au pouvoir. Il donne l’illusion d’avoir obtenu une modification et un compromis. J’ai dit « par chance » auparavant, mais d’un autre côté, c’est le vrai danger du Japon actuel. Personne ne peut arrêter le dérapage du gouvernement d’une tendance vers l’extrême droite.

Effet immédiat: laxisme sur les mouvements religieux. Aujourd’hui le Japon est le paradis des sectes. Les pressions sur la police / justice. La Soka Gakkai et Ikeda bénéficient de privilèges diplomatiques (valise diplomatique, Ikeda VIP, obtention de titres honorifiques...)

La Soka Gakkai intervient sur les autorisations administratives, sur l’admission des enseignants et des agents publics en général,
En plus l’amélioration de l’image de la Soka Gakkai est souvent, le fait qu’il y ait des élus Kômeitô et leur participation au gouvernement au Japon, un pays démocratique se sert comme argument de la légitimité de la Soka Gakkai.

Mais c’est faux. Monsieur Yano dit clairement « le Kômeitô sans la Soka Gakkai est inimaginable. 99,9% des voix sont obtenues grâce aux membres de la Soka Gakkai et leurs efforts. Il y a des organisations sans relation avec la Soka Gakkai qui soutiennent un candidat du Kômeitô, mais c’est purement le fruit d’un accord électoral. »

http://griess.st1.at/gsk/fecris/copenha ... oka_FR.pdf
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Shonin

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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 26 déc.17, 11:33

Message par Shonin »

hé oui..ça je peux entendre. Un mouvement de droite, et qui s'engage en politique.

cela représente aussi la direction souhaité de la quasi totalité des gens la planète aussi.

les sûtras et la doctrine qu'il m'enseigne, cet homme, est tout autre................................... c'est assez déstabilisant pour moi aussi.


:coeur:
Algol-x :D , j'ai été fouiner dans tes messages hier. Dis donc, on t'a 'missionné' sur la Soka ou bien??? ou bien tu ne t’intéresse à rien d'autre :)

Si ce que tu as écris vers tes tout premiers messages est vrai, alors tu as pratiquer la Loi une dizaine d'années??
Dans ce cas, tu sais mieux que d'autre ici que le premier pas se nomme autonomie. Autonomie dans la pratique (bien que soutenu à ta guise) , autonomie dans tes recherches, l'étude que tu souhaites partager en groupe. Autonomie d'initiative. Autonomie aussi dans la Soka, pour qu'elle soit aussi a ton image, que tu t'y sente bien.
Jusque là c'est normal. Nous sommes d'accord.
Mais aucunes de tes "revues" ni toi, n'avez fait ce premier pas. Je le sais car je passe aussi par là. Rien n'est simple lorsqu'on veut être heureux. A croire que nous ne savons pas bien vivre ensemble, à croire qu'il faut se battre pour se faire entendre et respecter.
Ce n'est pas propre à la Soka ça.


Un autre point , que j'aimerai partager avec toi...

Comme il est difficile pour le bouddhisme d'entrer en France !! Et même au sein du mouvement, j'aime autant te dire que le français "irréductible" a du mal à se soumettre ( au fait qu'il est merveilleux car doté de la viiiiie ) . Je peine à comprendre le coeur de mes amies japonaises, si douce............et pourtant bien plus détachées que nous autre. il me semble... je n'y vois que d'un oeil. (: :coeur: )
Modifié en dernier par Shonin le 27 déc.17, 00:04, modifié 1 fois.
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 26 déc.17, 13:44

Message par algol-x »

Japan Times, Jun 26, 2008

L'ancien chef du Komeito Junya Yano a déclaré mercredi que Soka Gakkai, la plus grande organisation bouddhiste laïque du Japon, a violé ses droits humains en le menaçant et en faisant obstruction à sa liberté de parole.

Selon Yano, Soka Gakkai l'a forcé à abandonner ses activités de commentateur politique, a publié des déclarations diffamatoires à son sujet dans le journal Seikyo Shimbun du groupe et a tenté de le forcer à vendre sa maison pour 200 à 300 millions de yens. au groupe au cours des dernières années.

Yano, qui était membre de la Soka Gakkai depuis plus de 50 ans, a également déclaré que lui et les membres de sa famille étaient surveillés et suivis quotidiennement par des inconnus.

"La Soka Gakkai n'est plus ce qu'elle était. Cela a changé ", a déclaré M. Yano lors d'une conférence de presse au Club des correspondants étrangers du Japon dans la paroisse de Chiyoda, à Tokyo. Soka Gakkai "prend des mesures antisociales ici et là, et je me sens indignée en tant que citoyen."

Après que lui et sa famille aient quitté le groupe, Yano a intenté une action en dommages-intérêts contre Soka Gakkai le 12 mai. Il a ensuite été contraint par un membre exécutif du groupe influent, qui sert effectivement de base à New Komeito.

"En tant que législateur depuis longtemps, j'ai senti que j'abandonnais ma responsabilité sociale en me taisant" à propos de la Soka Gakkai, a dit Yano. "En outre, je pensais que cela ne ferait aucun bien aux membres de la Soka Gakkai eux-mêmes, qui ont pris soin de moi, si j'ai enduré (les menaces) dans un silence amer."

Yano est également au milieu d'un autre procès impliquant trois ex-législateurs Komeito. Yano a affirmé que les trois, qui sont tous dans la Soka Gakkai, ont pris des documents et des cahiers remplis de 30 ans de ses "observations et des détails des coulisses" dans le monde politique.

En décembre dernier, cependant, le tribunal de district de Tokyo a décidé que Yano avait volontairement remis les cahiers aux ex-législateurs. Yano a fait appel, et l'affaire est entre les mains de la haute cour.

Yano a dirigé New Komeito de 1986 à 1989. Le parti, maintenant le membre junior du Parti libéral-démocrate dans le bloc au pouvoir, tire une grande partie de son influence de l'énorme pouvoir générateur de voix de la Soka Gakkai.

Soka Gakkai "est une organisation religieuse massive qui a une forte influence politique. . . Je ne peux plus ignorer son comportement antisocial ", a déclaré Yano.

Note: le 1er septembre 2009, la Cour de Cassation (Saikô Saibansho) prononce la non recevabilité du pourvoi engagé par la SG : le jugement en faveur de J. Yano est définitif.

https://www.japantimes.co.jp/news/2008/ ... ka-gakkai/
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Re: Soka Gakkai, un bouddhisme japonais suspect.

Ecrit le 28 déc.17, 04:31

Message par Shonin »

Bah.... T'avais pas dis que Daisaku Ikeda était mort ??!


pas clair tes liens.........................................................................
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