Sondage: Les adultes sautent pardessus l'usage du condom
Par Christy Oglesby
CNN
Mardi, le 6 avril, 2004 Posté: 3:58 PM EDT (1958 GMT)
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ATLANTA, Georgie (CNN) -- Les Américains reclâment d'être smates à propos les maladies transmises sexuellement, mais connaître quelques faits médicaux ne les empêcherait pas de prendre plusieurs risques, selon un sondage national.
La majorité -- 84 pourcent -- des répondants du sondage ont dit qu'ils prennent les précautions nécessaires afin de prévenir d'attaper une MTS, mais 82 poucent des participants sexuellement actif ont dit qu'ils n'utilisent jamais une barrière protective lorsqu'ayant du sex orale. Prèsque la moitié ont dit qu'ils se passent des condoms lorsqu'ayant du sex vaginal.
"Ce que nous savons être la bonne chose n'est pas souvent ce que nous faisont," dit le Dr. James Allen, président de l' American Social Health Association, ( L'Association Américains de la Santé), l'organisation qui a mené le sondage en question et qui communique, mardi, les conclusions.
ASHA a questionné 1,155 adultes âgés entre 18 et 35 ans pour les fins du sondage. L'effort fut parti d'une initiative éducationnelle pour le mois d'avril, qui est le mois pour La Prise de Conscience Sur Les Maladies Transmises Sexuellement.
"Une partie de la raison d'être d'un tel sondage est de regarder pour de l'information courante sur quoi le monde sont en train de faire, quels sont leur risques et quel est leur niveau de connaissance," dit Allen.
"Et de regarder pour des disparités entre le niveau de connaissances et le comportement de courir des risques. Dans cette instance, les répondants du sondage ont dit qu'ils pensaient qu'ils avaient pas mal d'informations au sujet des maladies trasmises sexuellement. Et que, pourtant, qu'ils n'avaient pas agi comme si ils savaient ces informations."
Les statistiques indiquent qu'un sur quatre Américains va contracter une MTS pendant leur vie, mais que les plus des deux tiers des participants au sondage ont exprimé peu souci au sujet d'avoir des maladies transmises sexuellement.
Parmis le participants célibataires, actifs sexuellement, prèsque les trois quarts (71 pourcent) ont dit qu'ils n'utilisent jamais une barrière lorsqu'ayant du sex oral, et 23 pourcent, prèsqu'un quart, n'utilisent jamais de condoms pour le sex vaginal, conclus le sondage.
"L'un des défis que nous avons lorsque nous avançons dans la première partie du 21ième siècle est de comprendre comment nous pouvons aider les gens à faire les bons choix à comprendre qu'ils ont un réelle control sur beaucoup de risques se rapportant à leur santé dans leurs vies," dit Allen.
Le silence et le stigma
Malgré les risques et la prévalence des maladies transmises sexuellement, Allan dit que l'une des conclusions des plus alarmantes de l'étude fut le manque de communication de la part des adultes au sujet du topique.
Plus de 90 pourcent des répondants ont dit qu'ils croyaient que leur partenaire sexuel du moment, ou celui du moment récent, était libre de malies. Mais un tier d'entre-eux n'ont jamais discuté à propos des MTS avec leur partenaires et seulement la moitié ont dit que leur partenaires avaient été testé.
Et lorsque des adultes sont entrain de faire de suppositions potentiellement fatales au sujet de leurs partenaires, ils s'abstiennent aussi de parler aux professionel médicals au sujet des MTS à cause du stigma de paraître comme étant aux moeurs légertes, ou immorales, ou encore malpropre.
"Souvent, à moins d'avoir un problème spécifique à une MTS, ils n'abordent pas le sujet," dit Allen. "Les médecins ne demandent pas souvent à propos du fonctionnement sexuel ou quel conduites à risques les gens pratiquent parce que ça prendrait du temps d'extra et les docteurs eux-mêmes sont parfois inconfortables pour discuter de la sexualité avec leur patients."
Prèsque 90 pourcent des participants au sondage ont dit que les docteurs n'ont jamais recommender qu'ils soient vaccinés contre l'Hépatite "A" et l'Hépatite "B", les seul maladies transmises sexuellement pour lesquelles il y a des vaccins. En fait, seulement que la moitié des répondants savaient que ces maladies étaient transmises sexuellement, conclus le sondage.
(Un peit acôter dont se permetterait ici la traductrice de cet article de journal. "Lorsque j'étais moi-même membre du groupe d'entraide pour personnes souffrantes de l'Hépatite "C", les membres mâles m'haissaient à en mourir parce que j'insistait sur le fait que c'était transmissible sexuellement. Ils refusaient le port du condon, et insistaient que ce n'était pas transmissible sexuellement.)
Revenons à l'article en question:
"C'est tout l'environment qui est créé dans la relation docteur-patient, en ce que ce n'est pas vraiment permissif d'un côter que de l'autre," dit Allen. "Aucune des partie, l'un bord ou l'autre, est en train d'encourager l'autre à en parler."
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