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Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 23 févr.21, 09:13
par Estrabolio
Je redis ce que j'ai déjà dit, c'est TOUTE la communauté scientifique qui estimait que l'ADN non codant ne servait à rien et c'est la communauté scientifique dans son ensemble qui utilisait le terme "ADN poubelle".
Vouloir donc faire croire que seuls les évolutionnistes considéraient que cet ADN non codant ne servait à rien et qu'ils se sont battus contre le fait qu'on lui reconnaisse une utilité est un énorme mensonge, un de plus.
Mais ce n'est pas grave car je suis certain que d'ici quelques mois, quelques années tout au plus, Agécanonix et autres créationnistes viendront invalider les découvertes d'ENCODE car ce qui se profile à travers l'étude de l'ADN non codant, c'est de tracer l'histoire génétique et de voir comment l'ADN a pu évoluer au fil du temps.
C'est classique, à chaque nouvelle avancée scientifique, les créationnistes voient une chance d'invalider l'évolution avant de s'apercevoir que cela dessert en réalité leur cause.
Cela a été le cas avec l'ADN codant qui était vu au début comme une preuve d'un design intelligent.....

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 23 févr.21, 23:31
par agecanonix
Dans cette affaire, il nous faut d'abord établir les règles du jeu.

Si nous défendons la théorie évolutionniste, nous devons en intégrer toutes les conséquences, bonnes ou mauvaises.

Par exemple, on me reproche à longueur de page d'expliquer qu'à ce jour, il n'a jamais été démontré que la vie, aussi simple soit-elle, serait capable de naître de la seule matière.
Et la réponse est toujours : on s'en fout, ce n'est pas le rôle de la théorie de l'évolution.

Seulement, nous ne parlons pas ici vraiment de la théorie, mais de l'usage qu'en font ceux qui l'utilisent contre l'autre hypothèse possible, Dieu.

Les athées, ou plutôt ceux qui font de l'évolution une arme contre l'existence de Dieu, ont parfaitement compris que l'impossibilité, depuis Darwin, de prouver que la vie puisse naitre de l'inerte , d'une part, et du hasard, d'autre part, est un sérieux cailloux dans leur chaussure.

Et donc, quand le sujet vient sur ce thème, systématiquement, ils usent de sémantiques pour nous dire à chaque fois : ici on parle de l'évolution mais pas de la genèse de la vie.

Je me suis longtemps demandé pour quelle raison, à chaque fois, on m'opposait la même réponse ?

Et j'ai trouvé la réponse : la réponse est dérangeante.

Et en fait, en y réfléchissant bien, c'est une méthode déjà utilisée pour un autre sujet, celui de l'absence de mutants dans les fossiles.

Regardez ce qu'a été systématiquement la réponse de K..... sur ce thème . Elle a été d'affirmer qu'il n'y avait plus besoin de trouver des mutants fossiles.
Vous aurez beau chercher dans le fatras de ses réponses, vous n'y trouverez pas les raisons de cette affirmation.

Seulement, le bon sens naturel de chacun s'impose face à cette question. Si un ancêtre primitif est bien à l'origine des poissons, des reptiles, des dinosaures, des batraciens, des mammifères, primates, équidés, rongeurs, éléphants, zèbres, canidés, kangourous, félins, etc.... alors nous devrions trouver des fossiles qui nous montrent des animaux qui ne sont plus tout à fait des membres des genres que je viens de citer, et qui ne sont pas encore des membres des genres vers lesquels ils auraient évolués.

Un fossile est comme une photo. Il y en a des centaines de milliers et donc l'ancien argument qui prétendait qu'il n'y en avait pas beaucoup commence à sentir le moisi.
On a beau dire que c'est un processus rare . On estime entre 0,01 et 0,1% la proportion d'organismes qui se fossilisent, soit entre 1 pour 1000 et 1 pour 10000 quand même....

Sur la population Française actuelle, cela signifie que si les conditions naturelles de la mort existaient encore, absence de cimetière et d'incinération, ce sont entre 6700 et 67000 de nos concitoyens qui devraient être fossilisés.

Combien y aurait il eu de mutants, à différents stades de leur évolution, entre l'ancêtre mammifère de l'éléphant et cet animal. En fait, des quantités impressionnantes car le moteur de l'évolution supposée serait les mutations génétiques, lesquelles sont très rares, la plupart du temps neutres ou négatives (cancers), et surtout non spectaculaire.

Intégrons dans ce processus tous les mutants, les plus nombreux, qui n'ont pas abouti à une espèce bien différenciée aujourd'hui. Eh oui, le hasard avait infiniment plus de chance de produire des mutations cul de sac que des succès.

Au sens le plus stricte, ce sont des millions, voir des milliards de mutants qui ont du vivre un jour sur la terre.
Soit, pour 1 milliard seulement, un nombre de fossiles compris entre 1 millions et 10 millions.

La réponse évolutionniste a été de produire une théorie, âprement défendue aujourd'hui: les équilibres ponctués.
Il s'agit, sans le démontrer, d'affirmer que les espèces ont évoluées tellement vite à certains moments tout en restant curieusement stables à d'autres moments, beaucoup plus long.
Et l'astuce a consisté à nous dire que nous n'avions vraiment pas beaucoup de chance, que le hasard était vraiment un cachotier pour ne fossiliser que le non mutants ...

Et maintenant, la technique utilisé par K.... est de nous dire que comme on a trouvé une théorie qui permet d'évacuer le problème, alors il n'y a plus de problème.

Seulement, en sciences, une théorie reste une théorie tant qu'elle n'est pas prouvée et il ne peut pas exister de preuves que cette théorie est fiable puisqu'elle se repose sur l'idée qu'il n'y a pas de fossiles.

Notez l'astuce ! on nous dit : pas de fossiles de mutations. C'est embêtant sauf si on fait de cette absence de fossiles la preuve qu'il ne peut pas y en avoir. Vous commencez à comprendre le raisonnement circulaire ?

Je l'explique autrement : On n'a pas découvert, dans les fossiles, l'existence de périodes où les mutations auraient été rapides et spectaculaires. Donc on ne peut pas démontrer que ces périodes ont existées.

Et on part du principe que puisque l'évolution est forcément vraie (pétition de principe), alors ces périodes sans fossiles ont forcément existées .
C'est donc parce que l'on pose, par axiome, que l'évolution a eu lieu, que l'on interprète l'absence de preuves fossiles comme une preuve de leur absence.

Ainsi la théorie non démontrée impose l'absence de fossiles mutants, et ensuite, l'absence de fossiles mutants impose la théorie.
Seulement l'absence de fossiles mutants invalide aussi la théorie.
  • Le raisonnement circulaire est, dans la philosophie du langage, en rhétorique et en épistémologie, un mode d'argumentation qui pose comme prémisse ce que l'argument veut prouver. C'est un cas particulier de la pétition de principe.

Ici, on utilise comme prémisse que l'évolution a eu lieu, on constate que si elle avait eu lieu il devrait y avoir obligatoirement des périodes sans fossilisation de mutants puisqu'on n'en a pas trouvés, et on en conclut que cette absence prouve la théorie.

Seulement, on n'a pas démontré que ces périodes sans fossilisation de mutants sont possibles . On n'a seulement démontré que c'est la seule solution possible pour valider la théorie de l'évolution.

Le conditionnel qui disait que la seule solution serait une évolution par bonds très rapides, est devenu une réalité, non pas parce que la science l'a démontrée, mais parce que l'on a décidé qu'il n'y avait pas d'autre solution que l'évolution. D'où le raisonnement circulaire.

Et l'attitude de K... est devenue une solution de facilité qui consiste à dire : les évolutionnistes ont trouvé une solution aux problèmes des fossiles manquants, elles reposent sur ce que je crois et sur aucune autre preuve, et donc je l'adopte parce que j'ai foi en l'évolution.

La vraie question est devenue. Quelles preuves avons nous que la théorie des équilibres ponctués est attestée par la paléontologie ?

Tout est là. Et les preuves manquent !

Par contre, prouver le contraire, serait condamner la théorie..

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 00:45
par keinlezard
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Dans cette affaire, il nous faut d'abord établir les règles du jeu.
Que tu t'empresseras de violer lorsque tu n'auras plus raison ?
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Si nous défendons la théorie évolutionniste, nous devons en intégrer toutes les conséquences, bonnes ou mauvaises.
??? Qu'est ce que tu nous racontes là ???
Je suis curieux de lire les arguments :)
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Par exemple, on me reproche à longueur de page d'expliquer qu'à ce jour, il n'a jamais été démontré que la vie, aussi simple soit-elle, serait capable de naître de la seule matière.
Et la réponse est toujours : on s'en fout, ce n'est pas le rôle de la théorie de l'évolution.
Parce que c'est un fait et que toi l'accusateur n'a jamais été fichu de démontrer que la Théorie de l'évolution prétendait parler de l'origine de la Vie , pas plus d'ailleurs que tu n'as su démontrer
que la Théorie ne prévoyait l'apparition de l'intelligence depuis plus de 35 page alors que c'est censément avec cela que tu prétend défendre ton sujet ...
"L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution." qui n'est pas une question mais bien une affirmation.

C'est à l'accusateur qu'incombe la charge de la preuve or tu n'as apporté aucune preuve d'une part
et d'autre part tu as même tenté une inversion de la charge de la preuve :lol: :lol: :lol:

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Seulement, nous ne parlons pas ici vraiment de la théorie, mais de l'usage qu'en font ceux qui l'utilisent contre l'autre hypothèse possible, Dieu.
Sauf que la Théorie de l'évolution à une approche scientifique , et toi même dans tes dernières intervention à tenté ( et raté ) de faire appel à la Science pour faire croire qu'il y avait un problème.

L'hypothèse Dieu n'est pas une théorie Scientifique ... autrement dit tu tente une nouvelle diversion ou redéfinition des termes, ou un glissement sémantique vers autre chose ...
puisque aucune des tes approches précédentes n'a été en mesure de prouver aucun de tes propos
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Les athées, ou plutôt ceux qui font de l'évolution une arme contre l'existence de Dieu, ont parfaitement compris que l'impossibilité, depuis Darwin, de prouver que la vie puisse naitre de l'inerte , d'une part, et du hasard, d'autre part, est un sérieux cailloux dans leur chaussure.
A nouveau tu inventes , il y a des milliers d'évolutionnistes qui sont croyant
... et par ailleurs , la science n'a rien à faire dans la religion ... dont elle se fiche royalement.

Tu es le seul à imaginer ce genre de chose et tu tente ( t'entête) d'en faire une réalité qui n'existe pas.
Pire tu en extrait une généralisation abusive !

C'est dire le niveau d'argumentation et de preuve si tu es obliger d'en passer par là !
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31
Et donc, quand le sujet vient sur ce thème, systématiquement, ils usent de sémantiques pour nous dire à chaque fois : ici on parle de l'évolution mais pas de la genèse de la vie.
Parce que c'est un fait simplement ... mais je gage que tu vas nous trouver une explication :lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Je me suis longtemps demandé pour quelle raison, à chaque fois, on m'opposait la même réponse ?

Et j'ai trouvé la réponse : la réponse est dérangeante.

Et en fait, en y réfléchissant bien, c'est une méthode déjà utilisée pour un autre sujet, celui de l'absence de mutants dans les fossiles.
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Regardez ce qu'a été systématiquement la réponse de K..... sur ce thème . Elle a été d'affirmer qu'il n'y avait plus besoin de trouver des mutants fossiles.
Vous aurez beau chercher dans le fatras de ses réponses, vous n'y trouverez pas les raisons de cette affirmation.
Parce que tu ne comprend pas. Mais, oserais je dire que c'est toi qui est le diplômé ici et celui qui se targue de "rigueur scientifique" ???
Oui , j'ose :)
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Seulement, le bon sens naturel de chacun s'impose face à cette question. Si un ancêtre primitif est bien à l'origine des poissons, des reptiles, des dinosaures, des batraciens, des mammifères, primates, équidés, rongeurs, éléphants, zèbres, canidés, kangourous, félins, etc.... alors nous devrions trouver des fossiles qui nous montrent des animaux qui ne sont plus tout à fait des membres des genres que je viens de citer, et qui ne sont pas encore des membres des genres vers lesquels ils auraient évolués.
Ainsi que des traces dans les adn ... et même des animaux qui pourraient être vivant et qui disposeraient des organes idoines ou bien encore dont la croissance les feraient passer par les différent stades ..

Comme les dipneuste par exemple ou nos chère grenouille qui commence avec des branchies et terminent avec des poumons

Malheureusement pour toi branchies et poumons sont des corps mous donc, ne se fossilisement pas
ou encore plus rarement que les parties dures
autrement dit même si un fossile présentait ces caractéristique , il serait quasi impossible
de savoir s'il avait des branchies , des poumons , passait ou non par des stades larvaire ...

Bah pourtant des fossile tu en as ... eohippus n'est pas tout à fait un cheval moderne
et un homo erectus , n'est pas un habilis ni un néanderal ...

Tu as des milliers de fossiles mais tu les rejettes :lol: :lol:
Des preuves génétique ( paléogénétique ) ? tu les rejettes inventant un systeme de "Dieu joueur de légo avec de l'ADN" sans démontrer que les virus fixé sur l'ADN hote DOIT ABSOLUMENT se fixer sur les même endroit dans toutes les espèces ou la trace du virus est présente !!
Bien à la peine de répondre aux insertion aléatoire des virus HIV et papilloma par ta théorie ...

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Un fossile est comme une photo. Il y en a des centaines de milliers et donc l'ancien argument qui prétendait qu'il n'y en avait pas beaucoup commence à sentir le moisi.
On a beau dire que c'est un processus rare . On estime entre 0,01 et 0,1% la proportion d'organismes qui se fossilisent, soit entre 1 pour 1000 et 1 pour 10000 quand même....
Et ?
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Sur la population Française actuelle, cela signifie que si les conditions naturelles de la mort existaient encore, absence de cimetière et d'incinération, ce sont entre 6700 et 67000 de nos concitoyens qui devraient être fossilisés.
Mais pas une trace de géant de la Bible ? Pas de fossile de kangourou en Israel ... ou aux alentour
d'Ararat ???

Aucune migration des animaux venant à l'Arche ni en repartant ...
Aucune trace des millions de Juifs qui auraient errer dans le désert ...
Et pas plus de trace du déluge d'ailleurs ... pourtant cela ne t'empêche pas d'y croire !

La fossilisation n'est pas un truc magique ... les conditions sont importante ...
et l'estimation de 0.1 % signifie donc que 99.9 % ne le seront pas !
autrement dit, une quasi totalité , puisque si l'on considère une espèces animale strictement isolé
dans une région ou les condition de fossilisation n'existe pas .. disparaitra purement et simplement
sans laisser aucune trace !
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Combien y aurait il eu de mutants, à différents stades de leur évolution, entre l'ancêtre mammifère de l'éléphant et cet animal. En fait, des quantités impressionnantes car le moteur de l'évolution supposée serait les mutations génétiques, lesquelles sont très rares, la plupart du temps neutres ou négatives (cancers), et surtout non spectaculaire.
:lol: :lol: :lol:
Combien y aurait il eu de mutants, à différents stades de leur évolution, entre l'ancêtre mammifère de l'éléphant et cet animal.

Ou comment démontrer que tu n'as toujours pas compris que nous étions tous des mutants et que ce n'est pas un caractère physique qui est visible
Que les corps "mou" , trompes , viscères ce fossilise encore plus rarement que les squelettes

Mais que tu es persuadé que tu "tiens" quelque chose quitte à raconter n'importe quoi

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Intégrons dans ce processus tous les mutants, les plus nombreux, qui n'ont pas abouti à une espèce bien différenciée aujourd'hui. Eh oui, le hasard avait infiniment plus de chance de produire des mutations cul de sac que des succès.
Pour avoir de nouvelle espèces il faut une spéciation ... et donc l'absence de brassage génétique
voir nos souris sylvestre Américaines
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Au sens le plus stricte, ce sont des millions, voir des milliards de mutants qui ont du vivre un jour sur la terre.
rien que pour la population humaine en 2021 nous approchons des 8 milliards de mutants :)
et donc toi tu fais la différence ?

Parmis ceux la ceux qui resistent à ébola , au Covid , au palu ...
et une foix mort et fossilisé tu nous explique comment tu sais qu'ils sont les mutants ayant resisté
aux maladies ?

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Soit, pour 1 milliard seulement, un nombre de fossiles compris entre 1 millions et 10 millions.
Parce que tu t'entête à vouloir une trace sur un squelette d'une mutation qui peut être une mutation sur par exemple une protéine comme le NOVA1 de néandertal

https://science.sciencemag.org/content/ ... 0/eaax2537

et démontrant la moindre efficacité de ce gène par rapport au notre muté !

Explique nous comment nous trouvons une trace sur un squelette d'une synthèse protéique plus lente
:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 La réponse évolutionniste a été de produire une théorie, âprement défendue aujourd'hui: les équilibres ponctués.
Il s'agit, sans le démontrer, d'affirmer que les espèces ont évoluées tellement vite à certains moments tout en restant curieusement stables à d'autres moments, beaucoup plus long.
C'est une théorie parmi plusieurs que tu tente d'érigé en vérité et paradigme absolu

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31
Et l'astuce a consisté à nous dire que nous n'avions vraiment pas beaucoup de chance, que le hasard était vraiment un cachotier pour ne fossiliser que le non mutants ...
C'est ce que tu ne veux pas comprendre toutes les mutations ne sont pas visible sur un fossile

mais plus rigolo lorsque qu'on te propose une mutation comme la modification d'un bassin
pour la bipédie ... cela n'est plus pertinent pour toi !

A ce demander ce que tu recherches vraiment comme preuve de mutation !
Et si tu n'es pas plutôt dans le déni constant de toute chose pouvant te contredire

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Et maintenant, la technique utilisé par K.... est de nous dire que comme on a trouvé une théorie qui permet d'évacuer le problème, alors il n'y a plus de problème.
Ais je dis qu'il n'y avait pas ou plus de problème ?
non , j'ai même abordé le retour d'une forme de lamarckisme

Et préciser par ailleurs qu'il n'y avait pas une théorie , mais plusieurs qui ne portaient pas sur l'évolution
qui elle ne fait plus aucun doute, mais sur l'interprétation des observations
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Seulement, en sciences, une théorie reste une théorie tant qu'elle n'est pas prouvée et il ne peut pas exister de preuves que cette théorie est fiable puisqu'elle se repose sur l'idée qu'il n'y a pas de fossiles.
Oh le méchant glissement sémantique créationniste ...
Une théorie Scientifique est un modèle avec des lois , des règles qui permettent d'établir une interprétation cohérente des faits et observation dans le cadre de la dite théorie.

Alors que là tu tente le coup du "théorie" = " hypothèse"

Serait ce donc tes dernières cartouche ? le glissement sémantique :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

C'est tout ce que tu peux apporter comme arguments !!! un minable glissement sémantique !
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Notez l'astuce ! on nous dit : pas de fossiles de mutations. C'est embêtant sauf si on fait de cette absence de fossiles la preuve qu'il ne peut pas y en avoir. Vous commencez à comprendre le raisonnement circulaire ?
Tu confonds ce qu'est un raisonnement circulaire ...
De plus des fossile de mutation existe , quand elle sont osseuse ou de conformation ...
mais tu as décidé toi que cela n'en était pas :)

Et pourquoi parce que la Bible dit que Dieu à créé toute chose , et que tu crois que c'est vrai ,
et que la preuve c'est que c'est écrit dans la Bible que Dieu existe et qu'il à créé toute chose
donc c'est vrai !

Et pour le coup ceci est un raisonnement circulaire ... la preuve que ton argument et valable c'est que c'est marqué dans ce qui te sert de preuve et de support pour démontrer que c'est vrai !

La théorie de l'évolution parle uniquement de l'évolution des espèces : variabilité génétique + transmission des gènes + selection naturelle = évolution des espèces

Ensuite viennent les interprétation de la théorie : EP , TSE ...

De même qu'aujourd'hui nous avons dans d'autre domaine d'autre théorie en concurrence : relativité , gravitation quantique , théorie M ... sans pour autant que la physique soit fausse !

Il en va de même avec l'évolution ... plusieurs théorie interprétative à la lumière de la Théorie de l'évolution ...

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Je l'explique autrement : On n'a pas découvert, dans les fossiles, l'existence de périodes où les mutations auraient été rapides et spectaculaires. Donc on ne peut pas démontrer que ces périodes ont existées.

Et on part du principe que puisque l'évolution est forcément vraie (pétition de principe), alors ces périodes sans fossiles ont forcément existées .
C'est donc parce que l'on pose, par axiome, que l'évolution a eu lieu, que l'on interprète l'absence de preuves fossiles comme une preuve de leur absence.
Les fossiles existent ... ils sont là ... ce qui est absent c'est la mutation d'une protéine ou d'un corps mou
Mais pour une raison obscure tu refuses autre chose qu'une mutation "squelettique" et refuse
les mutations squelettiques comme preuve :lol: :lol: :lol:

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Ainsi la théorie non démontrée impose l'absence de fossiles mutants, et ensuite, l'absence de fossiles mutants impose la théorie.
Seulement l'absence de fossiles mutants invalide aussi la théorie.
  • Le raisonnement circulaire est, dans la philosophie du langage, en rhétorique et en épistémologie, un mode d'argumentation qui pose comme prémisse ce que l'argument veut prouver. C'est un cas particulier de la pétition de principe.

Ici, on utilise comme prémisse que l'évolution a eu lieu, on constate que si elle avait eu lieu il devrait y avoir obligatoirement des périodes sans fossilisation de mutants puisqu'on n'en a pas trouvés, et on en conclut que cette absence prouve la théorie.
Mais l'ami ... quelle sont tes preuves que les conditions de fossilisations ont été équitablement réparties
dans le temps et sur la surface du globe ?
Quelles preuvent à tu qu'elle n'ont pas eu lieu mais qu'elle n'ont pas été encore découverte , voir détruite par une subduction, une coulée de lave , une montée des eaux ...



agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Seulement, on n'a pas démontré que ces périodes sans fossilisation de mutants sont possibles . On n'a seulement démontré que c'est la seule solution possible pour valider la théorie de l'évolution.
et pour cause puisque les mutations sont une chose courante et quelle ne sont pas toutes des mutation
du squellette mais que la plupart justement n'en sont pas et donc sont parfaitement non fossilisable

Ceci dit , tu critiques la Théorie de l'évolution sans toi même apporter aucune preuve que ta théorie
tiens la route .. si Darwin à gagné face à Lamarck ... ce ne fut pas en critiquant Lamarck
mais en expliquant clairement avec sa propre théorie bien mieux que ne pouvait le faire lamarck

Si Einstein à gagné face à newton celan n'a pas été en cherchant les erreurs de newton mais en expliquant le monde et les observations bien mieux et plus logiquement que ne pouvait le faire Newton

Les "Théories Créationnistes" sont les seules Théorie qui ne se valident qu'en critiquant les autres théorie sans jamais apporter la moindre preuve de leur validité ...
Et ici tu ne fais pas exception !
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31 Le conditionnel qui disait que la seule solution serait une évolution par bonds très rapides, est devenu une réalité, non pas parce que la science l'a démontrée, mais parce que l'on a décidé qu'il n'y avait pas d'autre solution que l'évolution. D'où le raisonnement circulaire.

Et l'attitude de K... est devenue une solution de facilité qui consiste à dire : les évolutionnistes ont trouvé une solution aux problèmes des fossiles manquants, elles reposent sur ce que je crois et sur aucune autre preuve, et donc je l'adopte parce que j'ai foi en l'évolution.
Pas une question de foi ... à nouveau tu te gourres

La théorie explique de façon simple l'ensemble des observations

tu es obligé toi d'inventé une "joueur de légo" et des "infection viral" toujours aux même endroits
A chaque question tu inventes une interprétation qui est un cas particuliers

La théorie de l'évolution , propose un mécanisme sans cas particulier ... bien plus simple
et qui permet de comprendre et d'interprété de façon élégantes les observations
elle permet de prévoir que si des bouleau se noircissent alors les phalènes sombres prédomineront.
Ta théorie Créationniste .. propose quoi ?
Miracle ... l'explication évolutionniste qu'elle restreint pour la cause à l'espèce phalène ...
Mais n'est pas capable de propose autre chose que la théorie de l'évolution au phénomène
la ou auparavant les créationniste auraient dit dieu a crée des phalène clair et des phalène sombre ..
sauf qu'entre temps est apparu la génétique et les mutation ... et la reconnaissance implicite même par les créationnistes du rôle des mutations comme dans le cas du palu ou de la vitamine C

:lol: :lol: :lol:

agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31
La vraie question est devenue. Quelles preuves avons nous que la théorie des équilibres ponctués est attestée par la paléontologie ?

Tout est là. Et les preuves manquent !

Par contre, prouver le contraire, serait condamner la théorie..
Bah oui , c'est bien pour cela que la Théorie Synthétique est encore là :lol: :lol: :lol:

Mais tout ce que tu peux faire c'est dire la Théorie Synthétique , L'EP n'expliquent pas correctement

mais critiquer les interprétation de la Théorie de l'évolution ... n'enlève en rien la pertinence de la Théorie Darwinienne et son élégance

Cordialement

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 01:18
par Estrabolio
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31Un fossile est comme une photo. Il y en a des centaines de milliers et donc l'ancien argument qui prétendait qu'il n'y en avait pas beaucoup commence à sentir le moisi.
On a beau dire que c'est un processus rare . On estime entre 0,01 et 0,1% la proportion d'organismes qui se fossilisent, soit entre 1 pour 1000 et 1 pour 10000 quand même....

Sur la population Française actuelle, cela signifie que si les conditions naturelles de la mort existaient encore, absence de cimetière et d'incinération, ce sont entre 6700 et 67000 de nos concitoyens qui devraient être fossilisés.
Bonjour à tous

Eh oui, sauf qu'il ne s'agit en aucun cas d'une proportion par rapport aux êtres vivants à une même époque mais à un pourcentage des êtres vivants sur l'ensemble du temps.
Le procédé employé ici est profondément malhonnête puisqu'il veut faire croire qu'il y a toujours une proportion d'organismes fossilisés ce qui EST FAUX.

Par exemple, je me répète, si je creuse dans mon jardin, je vais trouver des couches géologiques absolument farcies de fossiles en tout genre mais ces couches les plus récentes datent de 66 millions d'années lorsque les conditions permettaient la fossilisation, depuis, plus rien, plus aucun fossile.
C'est d'ailleurs pour cela que je trouve uniquement des fossiles marins puisqu'à cette époque le lieu que j'habite était occupé par l'Atlantique.

Donc, si on compare les couches géologiques à un livre, eh bien il y a des feuilles couvertes d'écritures et des pages blanches.
Ce que réclament les créationnistes est donc IMPOSSIBLE puisqu'ils font comme si toutes les feuilles étaient écrites et demandent à voir ce qui est écrit sur les pages blanches.....

Eh oui, c'est aussi simple que ça, on ne peut voir que ce dont témoignent les couches géologiques comportant des fossiles.

Que fait l'évolution ? Elle constate que deux animaux de couches géologiques distantes partagent des points communs spécifiques et que l'animal de la couche la plus ancienne a disparu, elle en tire donc la conclusion que l'animal le plus récent est une mutation de l'animal disparu.

Le créationniste lui, demande à ce qu'on lui prouve en montrant les étapes intermédiaires alors que c'est impossible et il prétend que les deux animaux n'ont rien à voir entre eux.

Cela pourrait s'entendre mais, à ce moment là, que sont devenus tous ces animaux qui ont disparu ?

J'ai pris un cas avec deux animaux pour faire simple mais, en règle générale ce sont plusieurs animaux qui ont disparu et un seul, qui apparaît dans les couches les plus récentes qui est encore là.

Je voudrais revenir sur le jugement de valeur que porte Agécanonix sur les évolutionnistes,
tout d'abord, comme l'a dit Keinelezard, des évolutionnistes sont croyants, l'un n'empêche pas l'autre,
d'autre part Agécanonix prétend que des gens s'intéressent à l'évolution pour rejeter Dieu ce qui veut dire clairement "Keinelezard et Estrabolio étaient de mauvais croyants qui ont cherché dans l'évolution un prétexte pour rejeter Dieu".
Libre à lui de le penser mais je trouve ce genre de sous entendu pitoyable.

Bonne journée printanière à tous :)

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 01:21
par agecanonix
Rien de nouveau dans l'explication de K. Des affirmations, encore des affirmation.

Je rappelle que K... n'est évidemment pas un scientifique , et en tout cas, certainement pas un paléontologue ni même un biologiste car dans un précédent message il a affirmé que c'est par L'ADN, vieux de plus de 34 MA que l'on avait établi la filiation entre la baleine et son ancêtre mammifères de 10 KG.
Or, c'est impossible et un scientifique ne peut pas l'ignorer : https://theconversation.com/nous-avons- ... u%20Canada.

Posons donc les éléments d'analyse de la théorie des équilibres ponctués.

Déjà, trouve t'on les traces fossiles que des mutations se seraient produites par bonds très rapides ?
Evidemment non, puisque la théorie a précisément pour but d'expliquer la raison pour laquelle on n'a pas de fossiles manquants.

A t'on démontré que ces bonds rapides concernaient toutes les espèces en même temps ? Ce qui signifierait qu'un mécanisme inconnu a fait que toutes les évolutions auraient accéléré aux mêmes époques et auraient stagné toutes en même temps également.

Car rappelons que les espèces apparaissent brutalement dans les registres fossiles.

A t'on fait les calculs théoriques du nombre de fossiles nécessaires pour expliquer la diversité animal actuelle ajoutée à celle des temps passés. Ces calculs arrivent ils à expliquer que les mutants étaient très rares , ou bien, forcément très nombreux, voir plus nombreux que les espèces qui sont subitement apparues dans les registres fossiles ?
Vers quelle solution penche la notion de mutations génétiques, des nouveaux animaux aboutis apparus très rapidement, ou au contraire, des milliers de variations entre l'animal souche et l'animal abouti.

Comment se déroule la transmission d'une mutation au sein d'une espèce, très rapidement ou très lentement.

Si l'arbre généalogique humain depuis le primate est aussi fourni que suggéré par la théorie, ne fait il pas la preuve que les fossiles de mutants devraient être nombreux pour toutes les autres espèces puisque ceux de l'homo sapiens le seraient . Pourquoi cet exception humaine avec la théorie des équilibres ponctués.
Ces fossiles ne sont ils pas d'abord des primates (australopithèque, homo habilis, homo erectus) et leur lien avec l'homo sapiens ne serait il pas une construction arbitraire, utilisant aussi un raisonnement circulaire ?

Qu'est ce qui prouve leur filiation avec l'homme ?
Estrabolio a écrit :Eh oui, sauf qu'il ne s'agit en aucun cas d'une proportion par rapport aux êtres vivants à une même époque mais à un pourcentage des êtres vivants sur l'ensemble du temps.
Tu te rends compte de la bêtise de cette affirmation ? Car si tu additionnes les êtres vivants sur l'ensemble du temps, tu y incluras forcement ceux qui vivent aujourd'hui.. :lol:

Il y a donc toujours, à notre époque, des corps qui se fossilisent à proportion de 0,1 à 0,001 %

  • En général, pour former un fossile, il faut que des sédiments - de la boue ou du sable - recouvrent assez rapidement la dépouille de l'organisme. Les tissus mous se décomposent très vite, donc il ne reste plus que le squelette (ou encore la coquille). Au fil du temps, les sédiments continuent à se déposer au-dessus du squelette. Celui-ci finit enterré sous des couches épaisses où la pression devient si forte qu'elle transforme les sédiments en roche dure .
    À présent, le squelette est à la merci des eaux souterraines, chargées de minéraux, qui s'infiltrent dans la roche. Plusieurs cas de figure peuvent alors se présenter : soit les minéraux cristallisent à l'intérieur des os et les transforment en fossiles ; soit les os se font complètement dissoudre et la forme du squelette reste imprimée dans la roche. Les minéraux peuvent éventuellement combler l'espace laissé par les os dissous, comme s'ils remplissaient un moule. Une fois formés, les fossiles attendent d'être découverts, ce qui arrive si les strates sédimentaires remontent à la surface, suite à des bouleversements géologiques.
.
:hi:

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 02:13
par keinlezard
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Rien de nouveau dans l'explication de K. Des affirmations, encore des affirmation.
:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Je rappelle que K... n'est évidemment pas un scientifique , et en tout cas, certainement pas un paléontologue ni même un biologiste car dans un précédent message il a affirmé que c'est par L'ADN, vieux de plus de 34 MA que l'on avait établi la filiation entre la baleine et son ancêtre mammifères de 10 KG.
C'est toi le diplômé et celui qui a la rigueur scientifique ... je n'ai jamais prétendu à de telle chose

Cependant tu es l'accusateur , et à ce titre tu as la charge de la preuve ...
ce que tu n'as jamais apporté

Tu nous a inventé un Dieu joueur de légo avec des morceaux d'adn et des infections virales sur l'hote comme devant se produirent strictement aux même endroits pour toutes les espèces concernée
ce qui à tes yeux expliquait les ERV commun des primate ( homosapien , pan troglodyte , gorilles )

Manque de bol pour toi j'ai cité 2 contres exemples, HIV & papilloma virus, démontrant que ta théorie des virus était fausse ... et tu n'as toujours pas démontré le contraire
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Or, c'est impossible : https://theconversation.com/nous-avons- ... u%20Canada.
C'est pas faute d'avoir expliquer que l'anatomie comparée de Liné qui servi base à la classification
et aux phylogénies à été confirmée 300 ans plus tard par la génétique , en démontrant une superposition exacte des arbres phylogénétiques

et que découverte après découverte que se soit en paléontologie ou en génétique , il n'y a aucune différence significative.

Autrement dit la méthode de la classification anatomique est confirmée par la génétique .. ce qui par rebond confirme donc les méthode de la génétique actuelle pour l'étude de la paléontologie
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Posons donc les éléments d'analyse de la théorie des équilibres ponctués.
Pose donc :)
Il t'a déjà été expliquer que les "chainons manquants" étaient un mythe ... mais il y fort à parier
que tu vas encore nous en parler pour dire que la Théorie de l'évolution est fausse ... alors que tout ce que tu feras sera de dire "il y un problème dans l'interprétation proposée par l'EP" :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Déjà, trouve t'on les traces fossiles que des mutations se seraient produites par bonds très rapides ?
Evidemment non, puisque la théorie a précisément pour but d'expliquer la raison pour laquelle on n'a pas de fossiles manquants.
:lol: :lol: :lol: CQFD ... up :)
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 A t'on démontré que ces bonds rapides concernaient toutes les espèces en même temps ? Ce qui signifierait qu'un mécanisme inconnu a fait que toutes les évolutions auraient accéléré aux mêmes époques et auraient stagné toutes en même temps également.
pourtant toi même nous raconte 0.01 % à 0.1 % de chance de fossilisation ... et tu voudrais voir
tout le film :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Car rappelons que les espèces apparaissent brutalement dans les registres fossiles.
Elles apparaissent , ou le simple fait de n'avoir qu'une vue tres parcellaire - 0.01 a 0.1 % - donne
l'impression que les espèces apparaissent brutalement ...

Ce qui est rigolo ici c'est qu'aux début de la Théorie de l'évolution , Cette apparition dans les registre fossiles étaient ce qui posait le plus de problème au créationniste car ils ont du révisé leurs positions
pour que leur Dieu créateur de toute vie sois régulièrement destructeur d'espèces entière par milliards ... durant les 5 grandes extinctions :)

Aujourd'hui ayant retourné leur veste et passant sous silence leur propre histoire
le Créationniste se servent de la présence des espèces que leur dieu à éradiquer par pur plaisir
de laisser des fossiles !
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 A t'on fait les calculs théoriques du nombre de fossiles nécessaires pour expliquer la diversité animal actuelle ajoutée à celle des temps passés. Ces calculs arrivent ils à expliquer que les mutants étaient très rares , ou bien, forcément très nombreux, voir plus nombreux que les espèces qui sont subitement apparues dans les registres fossiles ?
??? Une nouvelle marotte Agecanonix ?
Après l'invocation de "probabilité" qui de ton propre aveux n'étaient pas calculable
tu vas nous faire les calculs théorique d'apparition des espèces animales ? puisque pour
avoir un fossile il faut déjà connaitre le nombre d'animaux apparu avant d'être fossilisé

Je sens qu'on tu vas encore bien nous amuser :lol: :lol: :lol:

A moins que tu ne finisses par nous dire que c'est un calcul "incalculable" ...
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Vers quelle solution penche la notion de mutations génétiques, des nouveaux animaux aboutis apparus très rapidement, ou au contraire, des milliers de variations entre l'animal souche et l'animal abouti.

Comment se déroule la transmission d'une mutation au sein d'une espèce, très rapidement ou très lentement.
Suffit d'ouvrir un bouquin de génétique ou de biologie moléculaire , ensuite tu vas faire un peu
de génétique des population ... je dois avoir quelque bouquins qui traitent du sujet ..
mais j'entrevois que cela ne sera pas pertinent pour toi :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Si l'arbre généalogique humain depuis le primate est aussi fourni que suggéré par la théorie, ne fait il pas la preuve que les fossiles de mutants devraient être nombreux pour toutes les autres espèces puisque ceux de l'homo sapiens le seraient . Pourquoi cet exception humaine avec la théorie des équilibres ponctués.
Bah puisque les différents primate sont justement les mutants que tu cherches ... si tu refuses
de les voir ...comment dire :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Ces fossiles ne sont ils pas d'abord des primates (australopithèque, homo habilis, homo erectus) et leur lien avec l'homo sapiens ne serait il pas une construction arbitraire, utilisant aussi un raisonnement circulaire ?

Qu'est ce qui prouve leur filiation avec l'homme ?
L'anatomie comparée dans un premier temps et lorsque l'ADN est disponible la génétique dans un second temps ... et lorsque la phylogénétique colle parfaitement avec la phylogénie ...

Ce serait bien que tu donne la définition de "raisonnement circulaire" parce que ton invocation pour le coup "de raisonnement circulaire" montre que tu l'emploie à tort par ignorance !


agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21 Tu te rends compte de la bêtise de cette affirmation ? Car si tu additionnes les êtres vivants sur l'ensemble du temps, tu y incluras forcement ceux qui vivent aujourd'hui.. :lol:
:hi:
Les mathématiques à la sauce Agecanonicienne le grand retour de la vengeance ne ratez pas l'épisode quarante douze :lol: :lol: :lol: :lol:

Une petite étude sur la colonisation du Continent Américain avec ...les chiens comme
accompagnants :) ...

https://royalsocietypublishing.org/doi/ ... .2020.3103

Cordialement

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 07:15
par Estrabolio
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 01:21Tu te rends compte de la bêtise de cette affirmation ? Car si tu additionnes les êtres vivants sur l'ensemble du temps, tu y incluras forcement ceux qui vivent aujourd'hui.. :lol:

Il y a donc toujours, à notre époque, des corps qui se fossilisent à proportion de 0,1 à 0,001 %
:non: Un exemple est toujours plus parlant, si je dis qu'au cours du dernier siècle il y a eu 20% du temps en guerre (c'est une image) cela n'est pas la même chose que si je dis que, chaque année, on a passé 20% du temps en guerre.

Sur l'ensemble du siècle, il peut y avoir des années avec la guerre permanente et d'autres sans guerre, c'est le principe d'une moyenne.

Pour la fossilisation, soit il y a les conditions, soit il n'y a pas les conditions, c'est aussi simple que ça.
Donc il y a eu des périodes de fossilisation massive, c'est pour ça qu'on trouve des couches où les fossiles sont à touche touche et des périodes sans fossilisation.
Il faut des conditions d'hygrométrie, de nature du sol qui permettent la fossilisation.

Cela fait plus d'un demi siècle que je travaille le sol, y compris pour faire des étangs et j'en ai trouvé des choses surtout que j'ai toujours adoré les trouvailles mais pas de fossiles d'animaux terrestres ou d'humains.

Je l'ai déjà dit plus haut il me semble, mon grand père a participé au déplacement du cimetière communal, dans les tombes les plus anciennes, il n'y avait plus rien !

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 07:37
par agecanonix
Je suis un peu déçu, tu me semblais un peu plus pertinent.

Quand on dit que 0,1 à 0,01 % des animaux vont fossiliser, sans ajouter d'autres critères comme l'époque par exemple, alors il s'agit d'une indication qui concerne la totalité des animaux toutes époques confondues.
Estrabolio a écrit :Un exemple est toujours plus parlant, si je dis qu'au cours du dernier siècle il y a eu 20% du temps en guerre (c'est une image) cela n'est pas la même chose que si je dis que, chaque année, on a passé 20% du temps en guerre.
Tu introduis dans notre équation la notion de temps qui est un critère restrictif.

Voici l'article d'où j'ai tiré ce renseignement .https://fr.wikipedia.org/wiki/Fossile
  • Rareté des fossiles
    La fossilisation est un événement extrêmement rare. On estime entre 0,01 et 0,1% la proportion d'organismes qui se fossilise. En effet, une grande partie de ce qui compose un être vivant a tendance à se décomposer relativement rapidement après la mort. Pour qu'un organisme soit fossilisé, les restes doivent normalement être recouverts par les sédiments dans les plus brefs délais. Cependant, il existe des exceptions à cette règle, comme pour un organisme congelé, desséché, ou immobilisé dans un environnement anoxique (sans oxygène). Il existe plusieurs types de fossiles et de fossilisation.

Tu comprends ici que cet article traite du phénomène de la fossilisation en générale et n'introduit aucune notion de temps.

Les 0,1 ou 0,01 % sont donc ici un calcul statistique intemporel et général. C'est le phénomène qui est étudié, et non pas une époque particulière.

Tu parles des conditions, mais ce calcul les a déjà intégrées et elles sont bien expliquées dans le texte après l'expression "en effet"...

Donc 0,1 à 0,01 % sont bien les bons chiffres après que les conditions aient été prises en compte.

En fait, ce sont toutes ces conditions qui font que ces chiffres sont bas. Si tu les appliques une deuxième fois, comme tu le fais, tu trafiques le résultat.

Excuse moi Estra, mais tes histoires de cimetières sont ridicules. La fossilisation a besoin d'absence d'oxygène et d'une forte pression. Or, nos cimetières ne vont pas plus loin que la bonne terre, qui elle, ne favorise vraiment pas la fossilisation.

Creuses (sans jeu de mot :lol: ) le sujet et tu verras que je t'évite de dire des bêtises. :mains:

Le même article ajoute
  • Certains observateurs occasionnels furent perplexes devant la rareté des espèces transitionnelles dans le registre fossile. L'explication communément admise a été donnée par Darwin. Il a ainsi déclaré que « l'extrême imperfection du registre géologique », combiné à la courte durée et à l'aire de répartition géographique réduite des espèces de transition, conduisait à une faible probabilité de trouver beaucoup de ces fossiles. En d'autres termes, les conditions dans lesquelles se déroule la fossilisation sont assez rares et il est fort peu probable qu'un organisme donné se fossilise à sa mort. Eldredge et Gould ont développé une théorie de l'équilibre ponctué qui permet d'expliquer en partie le motif de stase et les apparitions soudaines dans le registre fossile.

Ce texte indique ainsi : que « l'extrême imperfection du registre géologique », combiné à la courte durée et à l'aire de répartition géographique réduite des espèces de transition, conduisait à une faible probabilité de trouver beaucoup de ces fossiles.

On nous propose donc, comme explication à l'absence de fossiles de mutants, trois hypothèses.
  • 1) le registre fossile serait imparfait.
    2) les mutations se seraient produites trop rapidement pour pouvoir être fossilisées.
    3) les mutations auraient eu lieu dans des espaces géographiques restreints.
Cette triple explication est donc de Darwin. Est-elle encore défendable aujourd'hui avec ce que nous savons sur la fossilisation et avec 170 années de plus dans la collecte des fossiles ?

Je vous lirais avec attention sur ce sujet.

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 08:28
par Estrabolio
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37Excuse moi Estra, mais tes histoires de cimetières sont ridicules. La fossilisation a besoin d'absence d'oxygène et d'une forte pression. Or, nos cimetières ne vont pas plus loin que la bonne terre, qui elle, ne favorise vraiment pas la fossilisation.
Justement, les animaux qui meurent, le bois qui tombe etc. sont eux aussi dans la "bonne terre" et pas enfouis dans des sédiments !
Ce sont donc des conditions extraordinaires comme une catastrophe qui vont permettre les conditions pour la fossilisation !
Ces conditions ne vont se retrouver qu'à un moment M, à un endroit E !
Pour prétendre avoir un film de la vie sur terre à travers les fossiles, il faudrait qu'il y ait eu, partout sur terre et en permanence, une partie du vivant qui se soit fossilisée, ce qui n'est pas le cas.
Comme Keinelezard vous l'a demandé, pourquoi n'y a t'il pas des fossiles des géants du déluge ? Pourquoi n'y a t'il pas des milliards de fossiles d'êtres vivants dans une même couche géologique ?
S'il y a eu Déluge, alors les conditions étaient parfaitement remplies car inondation = milieu anaérobie, mouvements de terrain, dépôt de sédiments.
Mais bon, c'est une question pour la réflexion qui n'attend pas de réponse.

Pour ma part, j'arrête là la discussion, je posterais peut être des choses mais je suis fatigué des échanges stériles où les mêmes choses sont répétées à l'infini.
Bonne continuation.

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 08:42
par agecanonix
Estrabolio a écrit : 24 févr.21, 08:28 Justement, les animaux qui meurent, le bois qui tombe etc. sont eux aussi dans la "bonne terre" et pas enfouis dans des sédiments !
Ce sont donc des conditions extraordinaires comme une catastrophe qui vont permettre les conditions pour la fossilisation !
Ces conditions ne vont se retrouver qu'à un moment M, à un endroit E
Et c'est bien parce qu'il faut des conditions extraordinaires que l'on a calculé que seulement 0,1 à 0,01 % des animaux se fossilisaient.
Les chercheurs, en donnant ces chiffres, intègrent ces conditions

Estrabolio a écrit :Pour prétendre avoir un film de la vie sur terre à travers les fossiles, il faudrait qu'il y ait eu, partout sur terre et en permanence, une partie du vivant qui se soit fossilisée, ce qui n'est pas le cas.
Et c'est le cas, encore aujourd'hui. Glissements de terrains, coulées de boues, tremblements de terre, éruptions volcaniques, séismes sous-marins, tsunamis, crues , inondations, etc... Tout cela existe toujours .
Estrabolio a écrit :Comme Keinelezard vous l'a demandé, pourquoi n'y a t'il pas des fossiles des géants du déluge ?
Vous en connaissez le nombre ?
Estrabolio a écrit :Pourquoi n'y a t'il pas des milliards de fossiles d'êtres vivants dans une même couche géologique ?
Parce qu'une couche correspond à un biotope. S'il s'agissait d'une mer, tu n'y trouveras pas de mammifères.

Ca ne me dérange pas que vous formuliez des bêtises, mais tout ce que je disais, c'est pour vous... :hi:

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 21:05
par BenFis
agecanonix a écrit : 23 févr.21, 23:31
Seulement, le bon sens naturel de chacun s'impose face à cette question. Si un ancêtre primitif est bien à l'origine des poissons, des reptiles, des dinosaures, des batraciens, des mammifères, primates, équidés, rongeurs, éléphants, zèbres, canidés, kangourous, félins, etc.... alors nous devrions trouver des fossiles qui nous montrent des animaux qui ne sont plus tout à fait des membres des genres que je viens de citer, et qui ne sont pas encore des membres des genres vers lesquels ils auraient évolués.
De nombreux fossiles du genre homo peuvent postuler au titre d'ancêtre de Sapiens. Les gradations entre ces fossiles peuvent suggérer une mutation rapide d'une espèce à une autre, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer une création spontanée.
La vraie question est devenue. Quelles preuves avons nous que la théorie des équilibres ponctués est attestée par la paléontologie ?

Tout est là. Et les preuves manquent !

Par contre, prouver le contraire, serait condamner la théorie..
Prouver le contraire est plus facile à dire qu'à faire. Quand bien même ce serait le cas, cela n'invaliderait pas l'évolution mais seulement une des théories qui en expliquent le mécanisme, et en tout cas, cela n'établirait pas qu'il y ait eu une création spontanée de l'homme il y a 6000 ans seulement.

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 21:15
par keinlezard
Hello,
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Je suis un peu déçu, tu me semblais un peu plus pertinent.

Quand on dit que 0,1 à 0,01 % des animaux vont fossiliser, sans ajouter d'autres critères comme l'époque par exemple, alors il s'agit d'une indication qui concerne la totalité des animaux toutes époques confondues.
Tu inventes à ta sauce une définition qui n'existe pas !
Puisque ce fameux pourcentage est une "estimation" en fonction de ce que l'on observe aujourd'hui.

Tu te vantes de rigueur scientifique et t'empresse de t'arranger avec sitot que cela ne te sert plus.

https://www.museum.toulouse.fr/-/fossil ... s-traces-
Cependant, il est finalement très rare que toutes les conditions favorables soient remplies. On estime que seule une toute petite proportion, de 0,01 à 0,1 % des organismes, se fossilisent…

agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Tu introduis dans notre équation la notion de temps qui est un critère restrictif.
forcément lorsqu'on explique que la datation est fausse et que l'homme n'a que 6 000 toute notion de temps devient restrictive

:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Voici l'article d'où j'ai tiré ce renseignement .https://fr.wikipedia.org/wiki/Fossile
  • Rareté des fossiles
    La fossilisation est un événement extrêmement rare. On estime entre 0,01 et 0,1% la proportion d'organismes qui se fossilise. En effet, une grande partie de ce qui compose un être vivant a tendance à se décomposer relativement rapidement après la mort. Pour qu'un organisme soit fossilisé, les restes doivent normalement être recouverts par les sédiments dans les plus brefs délais. Cependant, il existe des exceptions à cette règle, comme pour un organisme congelé, desséché, ou immobilisé dans un environnement anoxique (sans oxygène). Il existe plusieurs types de fossiles et de fossilisation.

Tu comprends ici que cet article traite du phénomène de la fossilisation en générale et n'introduit aucune notion de temps.
Relis l'article parce que nous y trouvons en réalité plein de référence au temps ...
Le temps de fossilisation est très long en cas de minéralisation (plusieurs millions d'années); il peut être très court (quelques heures) lorsqu'il y a congélation, ou phosphatisation de tissus16.
Clairement ce passage ne peut te plaire car toutes présence d'un fossile minéralisé signifie simplement
que la théorie de 6000 ans ... tombe à l'eau ... et que la création de 7 jours avec des "jours de 7 000 ans" n'est rien d'autre qu'un mythe :)
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Les 0,1 ou 0,01 % sont donc ici un calcul statistique intemporel et général. C'est le phénomène qui est étudié, et non pas une époque particulière.
Tu t'arranges avec les données quand elles ne t'arrangent pas l'ami

Et il y a fort à parier qu'aucun des articles cité dans la référence n'affirme ce que tu prétends
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Tu parles des conditions, mais ce calcul les a déjà intégrées et elles sont bien expliquées dans le texte après l'expression "en effet"...
Sauf que le texte de wikipédia , même bien fait ne reste qu'une "vulgarisation" , il faut compulser les références ...
C'est toi le diplômé et c'est moi qui te le rappelle... :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Donc 0,1 à 0,01 % sont bien les bons chiffres après que les conditions aient été prises en compte.
Les bons chiffres de quoi ...? puisqu'il s'agit d'une estimation ?

S'il la réalité du cambrien nous révèle demain qu'il y avait 10 fois plus d'espèces que dans les chistes de Burgess ... nous aurons une nouvelle estimation .. de 0.01 a 0.001 % ...

Tu t'arranges avec la réalité agecanonix ... tu nous déçois toi qui a tant de rigueur scientifique
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 En fait, ce sont toutes ces conditions qui font que ces chiffres sont bas. Si tu les appliques une deuxième fois, comme tu le fais, tu trafiques le résultat.
Ce que tu fais ... mais forcément toi tu as le droit parce que sans jamais l'avoir prouver tu sais que l'homme est né il y 6000 ans
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Excuse moi Estra, mais tes histoires de cimetières sont ridicules. La fossilisation a besoin d'absence d'oxygène et d'une forte pression. Or, nos cimetières ne vont pas plus loin que la bonne terre, qui elle, ne favorise vraiment pas la fossilisation.
Pas plus que tes exemples à 2 balles Agecanonix ou tes prétendues "expériences de pensée" ...

Et d'ailleurs beaucoup moins ... parce que le déluge Biblique lui à été une condition d'anoxie forte et de forte préssion ... et pourtant aucun fossile ne date du Déluge ! (et entre nous Ce qui ne fait que confirmer que le Déluge n'a jamais eu lieu )

Et puis l'argument
Or, nos cimetières ne vont pas plus loin que la bonne terre, qui elle, ne favorise vraiment pas la fossilisation.

Agecanonix , sérieusement , les individus des espèces fossilisée se sont dit le matin en se levant
tiens se soir je vais allez dans un coin, où, si je meure je serais fossilisé ?

Les espèces et individus mourraient là où elles mourraient et généralement en plus ne s'enfouissaient
pas sous trente mètre de terre !

agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Creuses (sans jeu de mot :lol: ) le sujet et tu verras que je t'évite de dire des bêtises. :mains:
Pour le coup tu as tellement creusé que tu es tombé dans le trou :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 07:37 Le même article ajoute
  • Certains observateurs occasionnels furent perplexes devant la rareté des espèces transitionnelles dans le registre fossile. L'explication communément admise a été donnée par Darwin. Il a ainsi déclaré que « l'extrême imperfection du registre géologique », combiné à la courte durée et à l'aire de répartition géographique réduite des espèces de transition, conduisait à une faible probabilité de trouver beaucoup de ces fossiles. En d'autres termes, les conditions dans lesquelles se déroule la fossilisation sont assez rares et il est fort peu probable qu'un organisme donné se fossilise à sa mort. Eldredge et Gould ont développé une théorie de l'équilibre ponctué qui permet d'expliquer en partie le motif de stase et les apparitions soudaines dans le registre fossile.

Ce texte indique ainsi : que « l'extrême imperfection du registre géologique », combiné à la courte durée et à l'aire de répartition géographique réduite des espèces de transition, conduisait à une faible probabilité de trouver beaucoup de ces fossiles.

On nous propose donc, comme explication à l'absence de fossiles de mutants, trois hypothèses.
  • 1) le registre fossile serait imparfait.
    2) les mutations se seraient produites trop rapidement pour pouvoir être fossilisées.
    3) les mutations auraient eu lieu dans des espaces géographiques restreints.
Cette triple explication est donc de Darwin. Est-elle encore défendable aujourd'hui avec ce que nous savons sur la fossilisation et avec 170 années de plus dans la collecte des fossiles ?

Je vous lirais avec attention sur ce sujet.
Mais non tu ne liras pas avec attention ... à la simple analyse de la façon dont tu extrapoles les données
d'un article neutre de wikipédia ... non tu ne liras pas avec attention ...
:lol: :lol: :lol: :lol: et ce n'est pas les 35 pages de ton sujet qui disent non plus le contraire :lol: :lol: :lol: :lol:

Cordialement

Ajouté 12 minutes 12 secondes après :
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Et c'est bien parce qu'il faut des conditions extraordinaires que l'on a calculé que seulement 0,1 à 0,01 % des animaux se fossilisaient.
Estimé est plus exact ... c'est une estimation !
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Les chercheurs, en donnant ces chiffres, intègrent ces conditions
Où ça ? Où est le protocole ?
Tu brodes Agecanonix.


agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Et c'est le cas, encore aujourd'hui. Glissements de terrains, coulées de boues, tremblements de terre, éruptions volcaniques, séismes sous-marins, tsunamis, crues , inondations, etc... Tout cela existe toujours .
et ? Ce n'est pas parce que cela existe que cela se produit à chaque individu qui meure !
et c'est surement incroyable pour toi mais cela ce produit même alors qu'il n'y a aucun
individu qui meure !
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Vous en connaissez le nombre ?
C'est assez facile à estimer
ici, ils fournissent des données https://www.usgs.gov/
Et chaque pays possède en général ses propres labo de surveillance du territoire
et remontée des phénomènes terrestre ... en dernier recours nous avons même la surveillance sattelite
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Parce qu'une couche correspond à un biotope. S'il s'agissait d'une mer, tu n'y trouveras pas de mammifères.
Trop marrant ... maintenant c'est toi qui nous dis que les registres fossiles sont incomplet !
alors même que tu nous réclame à corps et à cris des "chainons manquants" ...

Et tu ne sais pas faire le lien entre les 2 informations que tu nous donnes ???

:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 08:42 Ca ne me dérange pas que vous formuliez des bêtises, mais tout ce que je disais, c'est pour vous... :hi:
:lol: :lol: :lol: :lol:

Cordialement

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 24 févr.21, 23:13
par agecanonix
BenFis a écrit : 24 févr.21, 21:05 De nombreux fossiles du genre homo peuvent postuler au titre d'ancêtre de Sapiens. Les gradations entre ces fossiles peuvent suggérer une mutation rapide d'une espèce à une autre, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer une création spontanée.
Ils peuvent tout aussi bien n'être que des primates ayant disparus.

Benfis a écrit :Prouver le contraire est plus facile à dire qu'à faire. Quand bien même ce serait le cas, cela n'invaliderait pas l'évolution mais seulement une des théories qui en expliquent le mécanisme, et en tout cas, cela n'établirait pas qu'il y ait eu une création spontanée de l'homme il y a 6000 ans seulement.
On ne pourra jamais démontrer une création spéciale de l'homme par Dieu par l'expérience, et d'ailleurs la foi d'un chrétien ne vient pas de là.
Par contre, une vraie démarche scientifique peut se faire par la démonstration que la seule hypothèse qui pourrait exister si Dieu n'avait pas créé, est impossible.

La théorie évolutionniste suppose des millions de mutations. Et des millions de mutations, ça ne peut pas passer inaperçu dans le catalogue des fossiles.
On a inventé une théorie qui essaie d'expliquer cette absence mais elle produit un raisonnement circulaire un peu bizarre. Voir un de mes précédents messages.

Il y a, chez les espèces, une vraie capacité d'adaptation à leur environnement. Personne ne nie ce qui se voit vraiment puisque même chez l'homme, la taille, la couleur, et d'autres caractères changent.
Seulement, pour l'homme moderne, tous appartiennent à la même espèce.

La science définit une espèce comme étant l'ensemble des individus qui peuvent se reproduire de façon viable.
Dès lors où l'interfécondité est devenu impossible, il y a une nouvelle espèce.

La plupart, sinon tous les exemples de spéciations, se passent dans ce cadre. On cite souvent l'exemple de la souris de Madère qui serait issue d'un ancêtre amené par des Vikings. C'est une nouvelle espèce de souris, selon la définition du mot espèce, mais elle est une souris et reste une souris. C'est la cladogénèse.
La seule différence est qu'elle n'est plus interféconde avec les autres souris. On nous dit qu'elle aurait mis entre 500 et 1000 années pour devenir une autre espèce. Wy not !

En ce qui concerne le néanderthalien, l'existence de preuves génétiques démontrant l'interfécondité avec l'homme moderne indique donc qu'il ne s'agit pas d'une nouvelle espèce.

Dans le même ordre d'idée, on cite les goélands Larus argentatus et Larus fuscus. Cependant, ils restent eux aussi des goélands. Cependant, à chaque fois, les nouvelles espèces restent dans la même famille d'espèces.

Cette adaptation ne contrarie pas l'idée d'un créateur qui aurait prévu cette capacité pour les animaux en fonction de leur environnement, de la séparation de certaines espèces, etc...

Là où les choses ne sont pas démontrées, c'est l'évolution à travers les règnes et les ordres.
Ils apparaissent déjà bien différenciés dans les registres fossiles, et c'est cette absence de traces fossiles qui a beaucoup perturbé les évolutionnistes .

Ceux qui nous l'a jouent aujourd'hui à la "même pas mal" utilise la méthode Coué un peu naïvement.

On nous abreuve de démonstrations en ce moment pour nous dire que si la vie a existé sur Mars, on va forcément découvrir des traces, que c'est absolument obligatoire, et à côté de cela on nous explique avec la même conviction supposée, qu'on ne va pas trouver sur terre, dans des milliers de sites possibles, la trace des millions de mutations qui ont obligatoirement eu lieu pour passer d'un animal unicellulaire primitif aux dizaines de milliers d'espèces toutes plus compliquées et magnifiques les unes que les autres.

Alors ne nous trompons pas de démonstration. Nous sommes d'accord qu'une nouvelle espèce, au sens biologique de ce mot (et non biblique), peut voir le jour et que le code génétique des animaux peut permettre une telle spéciation. Cependant, tous les cas connus ne font pas des nouvelles espèces autre chose que ce qu'elles étaient auparavant. Un souris, un goéland, etc..

Ce que nous attendons du registre fossile, ce sont les milliers de stades qui n'ont pas pu ne pas se produire, selon la théorie, entre la première forme de vie et la dernière espèce apparue dernièrement, ce passage de la vie toute simple d'une cellule unique, à celle toute compliquée de maintenant. Et particulièrement, les passages entre les grandes familles.

Nous expliquer qu'un miracle a fait que tous ces mutants n'ont pas pu se fossiliser parce que cela allait trop vite, c'est se moquer du monde surtout lorsque l'on sait qu'un corps a entre 0,1 et 0,01 % de chance de se fossiliser .
Ainsi, la simple population française de 67 millions d'âmes , dans les conditions passées où ce ratio existait, aurait produit entre 670000 et 6700000 fossiles bien formés et utilisables.

Si c'était difficile à ce point, quid des centaines de milliers de fossiles déjà découverts et qui montrent les grandes familles d'espèces déjà bien différenciées et sans aucun chainon manquant..
Quelle malchance, ou miracle aurait il pu faire exprès de ne pas vouloir fossiliser les mutants situés entre les poissons, les reptiles, et les mammifères, pour être large.

La génétique invalide l'idée d'une évolution trop rapide pour ne pas avoir le temps de fossiliser, d'autant plus qu'elle n'accepte pas non plus le passage en ligne droite d'un genre à un autre. La nouvelle théorie parle de buissonnement, de mutations dans un sens, puis dans un autre, au gré du hasard. Tout cela met beaucoup plus de temps à produire un mutant identifiable, mais par contre, cela produit énormément de mutants différents avec des ratés en bien plus grand nombre que les succès supposés.

Comment expliquer leur absence dans les registres fossiles autrement que par un tour de passe-passe nous expliquant que cela a été trop vite.. à peine quelques dizaines de millions d'années quand même !!!

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 25 févr.21, 00:13
par MonstreLePuissant
agecanonix a écrit :On ne pourra jamais démontrer une création spéciale de l'homme par Dieu par l'expérience, et d'ailleurs la foi d'un chrétien ne vient pas de là.
Par contre, une vraie démarche scientifique peut se faire par la démonstration que la seule hypothèse qui pourrait exister si Dieu n'avait pas créé, est impossible.
Mais la science peut aussi démontrer qu'un déluge universel est impossible. Donc, d'un côté, si elle montre que l'évolution est impossible, tu la croiras, mais si elle démontre qu'un déluge universel est impossible, tu rejetteras sa conclusion.

Toujours donc dans la malhonnêteté intellectuelle, qui veut que le science ne t'intéresse que lorsqu'elle te sert.

Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.

Posté : 25 févr.21, 00:28
par keinlezard
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Ils peuvent tout aussi bien n'être que des primates ayant disparus.
Exactement tu veux dire quoi ? parce que les hommes sont des primates ...


agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 On ne pourra jamais démontrer une création spéciale de l'homme par Dieu par l'expérience, et d'ailleurs la foi d'un chrétien ne vient pas de là.
C'est pourtant ton propos depuis plus de 35 pages !
Retournerais tu donc ta veste en reconnaissant que ta position et ton discours n'ont
rien de scientifique contrairement à tes prétentions première ?
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Par contre, une vraie démarche scientifique peut se faire par la démonstration que la seule hypothèse qui pourrait exister si Dieu n'avait pas créé, est impossible.
Et vu que Dieu n'est pas une hypothèse Scientifique ... tu fais comment ? pour démontrer
Scientifiquement Dieu ?

:lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 La théorie évolutionniste suppose des millions de mutations. Et des millions de mutations, ça ne peut pas passer inaperçu dans le catalogue des fossiles.
Tant que tu sera persuadé qu'une mutation sur la conformation d'une protéine doit se répercuter sur
l'apparence d'un squelette tu en sera toujours là !
:lol: :lol: :lol:

Aujourd'hui la génétique à démontrer que nous étions 8 milliards de mutants ... je te défie de trouver
huit milliards de mutations qui seraient visible sur des fossiles
:lol: :lol: :lol:

agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 On a inventé une théorie qui essaie d'expliquer cette absence mais elle produit un raisonnement circulaire un peu bizarre. Voir un de mes précédents messages.
On une théorie de l'évolution et des interprétations de ce que l'on observe à la lumière
de la théorie de l'évolution.

Ne sachant pas , ou ne voulant pas savoir ce qu'est un raisonnement circulaire, tu prétends ici au raisonnement circulaire pour tenter de discréditer ce que tu ne comprend pas ...
mais ce faisant tu montres aussi que tu n'as pas une attitude scientifique , pas plus que la rigueur scientifique ... puisque tu ne dénonces pas ton propre raisonnement circulaire créationniste
:lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Il y a, chez les espèces, une vraie capacité d'adaptation à leur environnement. Personne ne nie ce qui se voit vraiment puisque même chez l'homme, la taille, la couleur, et d'autres caractères changent.
Seulement, pour l'homme moderne, tous appartiennent à la même espèce.

La science définit une espèce comme étant l'ensemble des individus qui peuvent se reproduire de façon viable.
Dès lors où l'interfécondité est devenu impossible, il y a une nouvelle espèce.
Qu'est ce qu'une espèce et comment la définis tu ?

Au dernière nouvelle même l'organisation jéhoviste semble accepter qu'une espèces concerne
des animaux pouvant se reproduire et avoir une descendance fertile !

Ainsi donc
cheval , ane , zèbre ne sont pas de la même espèces ... alors pourquoi peuvent ils procrée une descendance non fertile
idem des tigres , lion ...

Plus rigolo les souris sylvestre Américaine 4 espèces( artemesiae sonoriensis nebrascensis boréalis ) interfécondes 2 à 2 sauf pour 2 espèces .

Conclusion Les croisement appartiennent à la même espèce ... et ceux qui ne se croisent pas
n'appartienne pas à la même espèces ...

A + B ok donc A et B même espèce
B+ C ok donc B et C même espèce
C+D ok donc C et D même espèce

mais A + D pas bon ... donc pas même espèce ?

Tu l'expliques comment par le créationnisme ?

agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 La plupart, sinon tous les exemples de spéciations, se passent dans ce cadre. On cite souvent l'exemple de la souris de Madère qui serait issue d'un ancêtre amené par des Vikings. C'est une nouvelle espèce de souris, selon la définition du mot espèce, mais elle est une souris et reste une souris. C'est la cladogénèse.
La seule différence est qu'elle n'est plus interféconde avec les autres souris. On nous dit qu'elle aurait mis entre 500 et 1000 années pour devenir une autre espèce. Wy not !
Visiblement tu as une autre explication ... :lol: :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 En ce qui concerne le néanderthalien, l'existence de preuves génétiques démontrant l'interfécondité avec l'homme moderne indique donc qu'il ne s'agit pas d'une nouvelle espèce.
Une sous espèces alors .. qui n'a pas suffisament de divergence génétique pour ne plus être
interféconde .. autrement dit ... un début de spéciation ... qui est stoppé par échange génétique

Mais puisque nul par n'est mentionné que les nouvelles espèces dévaient cesser immédiatement
d'être interféconde ... mais que bien plutot nous avons

Un Ancetre commun A , donnant 2 nouvelles lignée A1 et A2 , et que le temps passant
la séparation physique et la divergences génétique finissent pas empêcher A1 et A2 de pouvoir se reproduire et donc maintenir un pool génétique commun ... ils deviendront alors
B1 et B2 , 2 espèces disctinctes ... ou fin de la spéciation présence effective de 2 nouvelles espèces.
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Dans le même ordre d'idée, on cite les goélands Larus argentatus et Larus fuscus. Cependant, ils restent eux aussi des goélands. Cependant, à chaque fois, les nouvelles espèces restent dans la même famille d'espèces.
Et la demonstration est faites que les goelands du XXI siècle sont toujours interfécond avec
les goélant d'il y a 10 000 ans ?

Rappel Coelacanthe à 62 nouveaux gène sur son ADN depuis sont dernier séquençage
donc 62 gènes qui n'existaient pas ... autrement dit des sequences ADN sur ses chromosomes
qui n'existaient pas plus ...

Est ce que les Coelacanthe d'aujourd'hui se reproduisent toujours avec ceux d'il y a 10 000 ans ?

https://sciencepost.fr/ce-poisson-fossi ... archaique/
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Cette adaptation ne contrarie pas l'idée d'un créateur qui aurait prévu cette capacité pour les animaux en fonction de leur environnement, de la séparation de certaines espèces, etc...
Par contre personne n'a vu de Dieu créer les 62 nouveaux gènes du Coelacanthe ...

Pas un satellite n'a vu quoi que se soit !

:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Là où les choses ne sont pas démontrées, c'est l'évolution à travers les règnes et les ordres.
Ils apparaissent déjà bien différenciés dans les registres fossiles, et c'est cette absence de traces fossiles qui a beaucoup perturbé les évolutionnistes .
Registre parcellaire toi même nous citait 0.01 à 0.1 %

Non tu inventes que les évolutionnistes sont perturbé !
Parce que cela te rassure
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Ceux qui nous l'a jouent aujourd'hui à la "même pas mal" utilise la méthode Coué un peu naïvement.

On nous abreuve de démonstrations en ce moment pour nous dire que si la vie a existé sur Mars, on va forcément découvrir des traces, que c'est absolument obligatoire, et à côté de cela on nous explique avec la même conviction supposée, qu'on ne va pas trouver sur terre, dans des milliers de sites possibles, la trace des millions de mutations qui ont obligatoirement eu lieu pour passer d'un animal unicellulaire primitif aux dizaines de milliers d'espèces toutes plus compliquées et magnifiques les unes que les autres.
Bah non une mutation d'ADN ne se trouvent pas sur un fosille minéral ... pourtant c'est toi même
qui me l'a reprocher dans les premier message ... comment peut tu exiger maintenant que l'on trouve une telle chose ?

Tu as toujours ton problème de cohérence dans ton discours !
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Alors ne nous trompons pas de démonstration. Nous sommes d'accord qu'une nouvelle espèce, au sens biologique de ce mot (et non biblique), peut voir le jour et que le code génétique des animaux peut permettre une telle spéciation. Cependant, tous les cas connus ne font pas des nouvelles espèces autre chose que ce qu'elles étaient auparavant. Un souris, un goéland, etc..
Et donc les souris sylvestre sont TOUTES de la même espèces même lorsqu'elle ne sont pas interféconde ?
C'est à dire selon ta propre définition lorsque qu'elles n'appartiennent pas à la même espèce

Belle rigueur scientifique que tu nous sers là :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Ce que nous attendons du registre fossile, ce sont les milliers de stades qui n'ont pas pu ne pas se produire, selon la théorie, entre la première forme de vie et la dernière espèce apparue dernièrement, ce passage de la vie toute simple d'une cellule unique, à celle toute compliquée de maintenant. Et particulièrement, les passages entre les grandes familles.
CE QUE TU ATTENDS TOI !
Parce que ce qui est dans les registres ne te suffit pas !

Ce qui n'est pas la même chose ! tu fantasmes une réalité et une science qui n'existe pas , uniquement parce que tu as besoin de ce fantasme pour dire qu'il n'existe pas et pour ensuite dire que tu as
démontrer qu'il n'existe pas , en oubliant de dire que tu applique ta conclusion à la réalité
et non au fantasme que tu t'es construit ...

C'est comme additionner des miles marins et miles terrestre et dire que la mesure en mètre n'est pas bonne :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Nous expliquer qu'un miracle a fait que tous ces mutants n'ont pas pu se fossiliser parce que cela allait trop vite, c'est se moquer du monde surtout lorsque l'on sait qu'un corps a entre 0,1 et 0,01 % de chance de se fossiliser .
Le miracle est justement qu'ils soient fossilisé puisque la tendance naturelle est à la disparition complète de toute trace par un cycle de recyclage qui fait la vie :)
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Ainsi, la simple population française de 67 millions d'âmes , dans les conditions passées où ce ratio existait, aurait produit entre 670000 et 6700000 fossiles bien formés et utilisables.
Généralisation abusive que tu ne démontres pas !
Puisque les conditions de fossilisation sont extrêmement rares
Mais tu décides à l'unanimité de toi même que c'est une certitude qui doit avoir lieu
parce que si le hasard et la rareté sont confirmée cela invalide ton raisonnement bancal et biaisé
:lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Si c'était difficile à ce point, quid des centaines de milliers de fossiles déjà découverts et qui montrent les grandes familles d'espèces déjà bien différenciées et sans aucun chainon manquant..
Quelle malchance, ou miracle aurait il pu faire exprès de ne pas vouloir fossiliser les mutants situés entre les poissons, les reptiles, et les mammifères, pour être large.
 
Sauf que tu ne dit pas quelle était exactement la population à l'époque où ils étaient vivant
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 La génétique invalide l'idée d'une évolution trop rapide pour ne pas avoir le temps de fossiliser, d'autant plus qu'elle n'accepte pas non plus le passage en ligne droite d'un genre à un autre. La nouvelle théorie parle de buissonnement, de mutations dans un sens, puis dans un autre, au gré du hasard. Tout cela met beaucoup plus de temps à produire un mutant identifiable, mais par contre, cela produit énormément de mutants différents avec des ratés en bien plus grand nombre que les succès supposés.
Comme nous sommes tous des mutants cela invalide surtout la présentation que tu en fais :lol: :lol: :lol:
agecanonix a écrit : 24 févr.21, 23:13 Comment expliquer leur absence dans les registres fossiles autrement que par un tour de passe-passe nous expliquant que cela a été trop vite.. à peine quelques dizaines de millions d'années quand même !!!
Ils sont là mais tu le refuses :)

Cordialement