La guématrie - 666

Sujet d'actualité Au Québec l'accommodement raisonnable, un sujet d'actualité.
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prisca

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 07:07

Message par prisca »

Janot a écrit :Denys le Petit s'est trompé, jésus n'est pas né en 0.

sinon : https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9rode_Ier_le_Grand

666 correspond à la valeur numérale de NERON !

13" Lorsqu'ils furent partis, voici, un ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, et dit: Lève-toi, prends le petit enfant et sa mère, fuis en Égypte, et restes-y jusqu'à ce que je te parle; car Hérode cherchera le petit enfant pour le faire périr.
14 Joseph se leva, prit de nuit le petit enfant et sa mère, et se retira en Égypte.
15 Il y resta jusqu'à la mort d'Hérode, afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète: J'ai appelé mon fils hors d'Égypte."



Marie et Joseph était en Egypte et y restèrent jusqu'à la mort d'Hérode, donc Hérode ne peut pas être mort 4 ans avant la naissance de Jésus Janot
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 08:24

Message par Estrabolio »

prisca a écrit : C'est parce que tu te fies au fait que nous ne serions pas en l'an 2018 véritablement mais en l'an 2013 ?
Juste pour info, c'est en 532 de notre ère que le moine Denys le Petit a évalué la date de naissance de Jésus et qu'on a crée le repère avant et après JC....... pas vraiment un témoin direct :lol:

prisca

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 08:46

Message par prisca »

Estrabolio a écrit : Juste pour info, c'est en 532 de notre ère que le moine Denys le Petit a évalué la date de naissance de Jésus et qu'on a crée le repère avant et après JC....... pas vraiment un témoin direct :lol:
Alors en l'an 532 nous n'étions pas en 532 puisque c'est à partir de 532 que les 532 années ont été comptées à partir de l'an 1 car pour déterminer avant Jésus-Christ il faut bien le repère 0 et puisque malgré tout les années ont été décomptées 1 à 532 le décalage est intervenu à ce moment-là où le moine Denis a changé les paramètres. Tout cela parce que il n'y a pas de cohérence à dire que Jésus est né - 4 avant lui-même c'est une incohérence
Modifié en dernier par prisca le 25 mars18, 23:18, modifié 1 fois.
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 09:23

Message par Estrabolio »

prisca a écrit :Alors en l'an 532 nous n'étions pas en 532
Tout à fait mais comme nous n'avons plus que ce calendrier, nous devons faire avec.
Jésus est certainement né en -4 si on se réfère aux documents en notre possession donc si nous prenions la date exacte de sa naissance nous serions en 2014 après JC.
Le moine qui a fait le calcul l'a fait avec les moyens de son époque et a fait une légère erreur.... cela ne change pas grand chose au fond.

Saint Glinglin

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 09:30

Message par Saint Glinglin »

Pourquoi aurait-il fait une erreur ? Il s'est servi de la prophétie de Daniel pour en déduire que Jésus était né 70 ans avant la ruine de Jérusalem.

prisca

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 09:36

Message par prisca »

Saint Glinglin a écrit :Pourquoi aurait-il fait une erreur ? Il s'est servi de la prophétie de Daniel pour en déduire que Jésus était né 70 ans avant la ruine de Jérusalem.
Oui le Temple de Jérusalem est détruit en l'an 70 et Jésus est né 70 ans avant, tout est correct.

Pourquoi en parles tu ?

prisca a écrit : Alors en l'an 532 nous n'étions pas en 532
Estrabolio a écrit : Tout à fait mais comme nous n'avons plus que ce calendrier, nous devons faire avec.
Jésus est certainement né en -4 si on se réfère aux documents en notre possession donc si nous prenions la date exacte de sa naissance nous serions en 2014 après JC.
Le moine qui a fait le calcul l'a fait avec les moyens de son époque et a fait une légère erreur.... cela ne change pas grand chose au fond.
Donc nous serions en 2013 aujourd'hui :hum: pas en 2014 mais 2013 :hum: parce que (-4 ) - (+ 1 ) = 5 parce que l'an 0 ça n'existe pas, Jésus est né an l'an 1

Mais comme j'ai un analyste un peu plus érudit qui prétend que non, et il est de notre siècle, il est là http://remacle.org/bloodwolf/gertoux/jesus.htm je te laisse lire à ta guise.
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 12:07

Message par Saint Glinglin »

prisca a écrit :Oui le Temple de Jérusalem est détruit en l'an 70 et Jésus est né 70 ans avant, tout est correct.

Pourquoi en parles tu ?
Parce que les autres dates de naissance viennent d'ici :

Gn 49.10 Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, Ni le bâton souverain d'entre ses pieds, Jusqu'à ce que vienne le Schilo, Et que les peuples lui obéissent.
prisca a écrit :Mais comme j'ai un analyste un peu plus érudit qui prétend que non, et il est de notre siècle, il est là http://remacle.org/bloodwolf/gertoux/jesus.htm je te laisse lire à ta guise.
  • Autre élément remarquable de concordance, tous les historiens des six premiers siècles ont situé la naissance de Jésus autour de -2.

    Par exemple : Vers 170-180, Irénée de Lyon la situe dans la 41e année du règne d'Octave [-43 14] (Contre les hérésies III:21:3).
Voici qui est rigolo.... Octave a régné du 19 janvier -27 au 19 août 14 (40 ans, 7 mois, et 3 jours)
  • Ainsi donc, puisque c'est avec tant de vérité et par une telle grâce de Dieu qu'ont été traduites les Écritures par
    lesquelles Dieu a préparé et formé par avance notre foi en son Fils — car il nous a gardé ces Écritures dans
    toute leur pureté en Égypte, là où avait grandi la maison de Jacob fuyant la famine qui sévissait en Chanaan, là
    où notre Seigneur aussi fut gardé lorsqu'il fuyait la persécution d'Hérode —, et puisque cette traduction des
    Écritures a été faite avant que notre Seigneur ne descendît sur la terre et avant que n'apparussent les chrétiens
    car notre Seigneur est né vers la quarante et unième année du règne d'Auguste, et le Ptolémée au temps
    duquel furent traduites les Écritures est beaucoup plus ancien — : ils font vraiment montre d'impudence et
    d'audace, ceux qui veulent présentement faire d'autres traductions lorsqu'à partir de ces Écritures mêmes nous
    les réfutons et les acculons à croire en la venue du Fils de Dieu

    https://catholicapedia.net/Documents/sa ... ivre-3.pdf
Et donc en ce temps là, l'Eglise prêchait que Jésus était né en l'an 14.

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 22:46

Message par prisca »

Saint Glinglin

Vraiment, tu sais, je te dirais que je ne vais pas remonter toute l'enquête de ceux qui l'ont faite, et je fais confiance au bonhomme du blog, car, comme gage de sérieux de sa part, il y a moult détails et précisions, je pense plus encore que nos ancêtres les gaulois et les romains.

Donc, si toi tu veux reprendre toute son étude, fais le si tu veux, et dis moi où il y a un point de divergence.

Tu cites un verset en premier lieu et il ne me parle pas pour les dates

Ensuite tu contestes la décision pour la date de l'église catholique qui elle, rappelons le, s'est calqué sur naissance de Jésus en l'an 1 c'est à dire le 0 absolu démarre à partir de la naissance de Jésus et l'église dit que Jésus est mort à l'age de 33 ans.

Dans le texte du monsieur du blog je note cette phrase : "la mort de Jésus s'est bien produite en 33 de notre ère."

Donc la date de naissance de Jésus intervient 33 ans avant au point 0.

Je laisse la porte ouverte.
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 23:40

Message par Saint Glinglin »

Le chiffre 33 est aussi symbolique que les autres.

Je trouve ici 36 miracles : http://www.sonderlesecritures.com/2017/ ... jesus.html

Et ici 34 : http://www.forum-religion.org/miracles/ ... -t413.html

En ôtant les doublons, on doit bien arriver à 33....

Notons que Jean n'en veut que 7.

http://anagogie.online.fr/nombres/nb33.htm

Comme dans tes sources, il faut trier le vrai du faux.

prisca

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 25 mars18, 23:50

Message par prisca »

Saint Glinglin a écrit :Le chiffre 33 est aussi symbolique que les autres.

Je trouve ici 36 miracles : http://www.sonderlesecritures.com/2017/ ... jesus.html

Et ici 34 : http://www.forum-religion.org/miracles/ ... -t413.html

En ôtant les doublons, on doit bien arriver à 33....

Notons que Jean n'en veut que 7.

http://anagogie.online.fr/nombres/nb33.htm

Comme dans tes sources, il faut trier le vrai du faux.

Désolée Saint Glinglin, avec tout l'égard que je porte à ta sainteté Glinglinoise, un nombre est un nombre et surtout lorsqu'il s'agit de dénombrer des années.

Jésus a "un âge" lorsqu'il y a la mort, et ce nombre est précis
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 26 mars18, 00:05

Message par Saint Glinglin »

Voici pour l'âge précis :

Lc 3.23 Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença son ministère

Jn 8.57 Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham.

Notons que Luc sait faire dans la précision :

Lc 2.36 Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d'Aser. Elle était fort avancée en âge, et elle avait vécu sept ans avec son mari depuis sa virginité.
2.37 Restée veuve, et âgée de quatre vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière.

Mais les âges vagues et les âges précis ont en commun le nombre 7.

Mais il n'y a là rien de symbolique puis les évangiles sont des reportages, n'est-ce pas ?

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 26 mars18, 00:29

Message par prisca »

Donc d'après toi, quel âge avait Jésus au moment de la Crucifixion ?

Parce que eu égard au sujet, c'est ce qu'il faut connaître avec précision.
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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 26 mars18, 00:50

Message par Saint Glinglin »

Puisque sa vie est faite pour la croix, le nombre parfait est atteint ce jour là : 28 ans pour les Synoptiques, 49 ans pour Jean.

Et le ministère de Jésus se déroule sur un année afin de faire un cycle liturgique.

Selon Papias, Jésus est mort dans un âge avancé, son existence devant sanctifier tous les âges de la vie.
Cela peut donc faire 77 ans ou 84 ans.

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 26 mars18, 10:45

Message par prisca »

Et nous revoilà au point de départ, quand nous avons commencé la discu...

Saint Glinglin, je ne suis pas d'accord, Jésus, durant sa 34ème année, a connu la mort sur la Croix.



Un peu d'histoire, apprendre qui est Constantin, ses motivations, ses buts, son objectif.

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Le redressement de l'empire romain

Né à Naissus (aujourd'hui Niš, en Serbie), Constantin est le dernier d'une longue suite d'empereurs originaires d'Illyrie.

Ces hommes énergiques, militaires de modeste extraction, ont redressé le vieil empire à la fin du IIIe siècle, lorsqu'il était menacé par les premières attaques des Barbares. Ils ont fortifié les villes et renforcé les légions des frontières.

Constance Chlore, le père de Constantin, était césar dans la tétrarchie, un gouvernement à quatre institué par Dioclétien en 293. Il avait reçu en partage la Gaule, l'Espagne et la Bretagne et s'était établi à Trèves.

Son fils, né d'une concubine chrétienne, Hélène, témoigne de ses aptitudes de chef militaire.

Après l'abdication volontaire des deux augustes (tétrarques principaux) Dioclétien et Maximien, Constantin rejoint son père à York (Angleterre) et recueille son dernier soupir. Ses soldats le proclament alors auguste. Dans le même temps, à Rome, Maxence, fils de Maximien, est proclamé princeps par la garde prétorienne.

Comme la guerre éclate entre les héritiers des tétrarques, Constantin se dirige avec ses armées vers Rome et traverse les Alpes au Mont-Genèvre. Il bouscule l'armée de Maxence au Pont Milvius, près de Rome, le 28 octobre 312. Maître incontesté de l'Occident, il convient avec Licinius, son dernier concurrent, d'un partage de l'empire. À lui l'Occident, à Licinius l'Orient.

Naissance de l'empire chrétien
Bon politique, Constantin 1er constate les progrès du christianisme. Il ne séduit encore qu'un dixième de la population de l'empire, surtout en Asie mineure et en Afrique du Nord, mais manifeste un dynamisme étonnant dans les villes. Lui-même se rallie à la nouvelle religion, avec la discrétion qui sied à sa fonction.

Renonçant à la politique de persécution de ses prédécesseurs, l'empereur prend le parti de s'appuyer sur la nouvelle religion pour consolider l'unité de l'empire. Le 13 juin 313, de concert avec son homologue d'Orient, Licinius, il publie à Milan un édit de tolérance qui lui rallie les chrétiens.

De façon prévisible, l'entente entre Licinius et Constantin ne dure pas. Dès l'année suivante, les deux hommes s'affrontent. La guerre prend un tour décisif en 324 avec la défaite de Licinius devant Andrinople puis à Chrysopolis. L'empire romain retrouve dès lors son unité sous l'autorité de Constantin.

Devant le succès de la doctrine du prêtre Arius, Constantin s'inquiète d'un schisme qui remettrait en question l'unité de l'empire. Il convoque lui-même un concile oecuménique à Nicée en 325 pour apaiser les esprits. À la suite de la condamnation de l'arianisme par le concile, l'empereur ordonne l'exil d'Arius. Il inaugure ainsi le césaropapisme, une pratique de gouvernement qui se caractérise par la confusion des affaires séculières et des affaires religieuses entre les mains du souverain.

En-dehors de la légitimation du christianisme, la principale oeuvre de Constantin reste la fondation de Constantinople en 330, en vue de remplacer Rome comme capitale de l'empire. Il s'ensuivra à la fin du siècle la division irréversible de l'empire entre sa partie orientale (et hellénophone) et sa partie occidentale (et latine).

Décidément fidèle au christianisme, l'empereur se fait baptiser sur son lit de mort selon la coutume de son époque.

Après que Constantin a affronté Maxence à l'entrée de Rome, une légende tardive veut qu'il ait été guéri de la lèpre et converti à la foi chrétienne par le pape Sylvestre 1er, évêque de Rome.

Constantin, pour manifester sa reconnaissance, serait allé à la rencontre du pape et, humblement, aurait guidé son cheval par les rênes. Ensuite, il aurait fait don au pape des territoires environnant Rome.

Cette décrétale dite « donation de Constantin » a été opportunément exhibée par les conseillers de Pépin le Bref, au VIIIe siècle, pour justifier les prétentions du souverain pontife, sur l'exarchat de Ravenne, alors possession byzantine. On montra plus tard sans trop de difficultés qu'il s'agissait d'un faux de l'époque carolingienne.

20 mai 325
Le concile de Nicée condamne l'arianisme

Tandis que le christianisme étend son emprise sur l'empire romain, un prêtre d'Alexandrie nommé Arius se met à prêcher une doctrine hétérodoxe. Bien qu'excommunié, c'est-à-dire exclu de l'Église, il poursuit avec un certain succès sa prédication.

Les chrétiens divisés

L'empereur Constantin 1er craint un schisme qui mettrait à mal l'unité de l'empire. Pour l'éviter, il convoque le 20 mai 325 un concile oecuménique (ou universel) à Nicée (aujourd'hui Iznik, à 50 km de Bursa, sur la façade orientale du Bosphore).

Pour la première fois, les chefs élus de toutes les communautés chrétiennes, soit 220 évêques, se trouvent réunis. Mais sur ce total, on ne compte que 5 évêques latins venus d'Occident et parmi les grands absents figure l'évêque de Rome (le pape).

Les partisans d'Arius professent que Jésus, fils de Dieu, est subordonné à son créateur, de même que le Saint Esprit. Ils le considèrent comme un relais existant de toute origine entre Dieu et l'humanité. Cette explication philosophique plaît à beaucoup de théologiens de culture grecque.

Les opposants font, eux, valoir que le Fils est consubstantiel au Père, c'est-à-dire «ayant la même essence». Constantin leur accorde la victoire et condamne l'arianisme.

Toutefois, les Barbares qui vont agresser l'empire romain se laissent, eux, séduire par l'hérésie... à l'exception notable des Francs de Clovis, baptisés dans la même religion que leurs sujets gallo-romains.

Notons que la liturgie catholique conserve le souvenir de ces débats en offrant à chaque messe le choix entre le Credo traditionnel («Symbole des Apôtres») et une autre prière qui met l'accent sur la consubstantialité du Père et du Fils («Symbole de Nicée»).





Qui était vraiment Constantin?

On raconte qu’au cours de la journée du 27 octobre 312, Constantin et ses 98.000 hommes ont vu « une croix de lumière dans les cieux, au-dessus du soleil, et portant l’inscription "Par ce signe, tu vaincras" » (voir Eusèbe, Vie de Constantin 1.28). À la fin de sa vie, en 337, l’empereur relatera à Eusèbe, historien et évêque, que Christ lui est apparu la nuit suivante, en lui commandant de marquer ses étendards du signe de la croix. C’est ce qu’il fait et, le 28 octobre, il inflige une défaite à son beau-frère et coempereur Maxence, au pont Milvius, à trois kilomètres au nord de Rome. Constantin semble avoir également raconté cette version de l’histoire le Vendredi saint 325 lors d’un discours dont les experts reconnaissent aujourd’hui l’authenticité et dans lequel il explique qu’il a vu sa place dans l’Histoire comme serviteur de Dieu.

Même si, en fait, Constantin a remporté la victoire quelques jours plus tôt dans la vallée du Pô tandis qu’il marchait sur Rome, son triomphe au pont Milvius est considéré comme un tournant de l’histoire mondiale. Peu après, il est le seul empereur d’Occident ; quelques années plus tard, il est en mesure d’unifier les parties occidentale et orientale de l’Empire, puis d’instaurer une « Nouvelle Rome » à Constantinople.

Pourtant, ce qui laisse surtout des traces jusqu’à aujourd’hui, c’est la préférence qu’il accordera au christianisme, ou plus précisément à cette foi dans sa version romaine. À peine trois mois après sa victoire aux portes de Rome, Constantin allié à Licinius, son coempereur des régions de l’Est, instaure une nouvelle politique religieuse dans l’Empire oriental. La déclaration officielle est faite par Licinius quelques mois plus tard, le texte étant souvent désigné par erreur comme l’Édit de Milan.

Le document, qui vient de Nicomédie en Asie mineure occidentale, étend les droits et privilèges des chrétiens des régions de l’Ouest (rétablis progressivement au cours des premières années du règne de Constantin) à ceux de l’Empire oriental. Il annonce la fin des persécutions à l’encontre du christianisme ainsi que la restitution des biens confisqués aux propriétaires chrétiens.

À l’époque de la naissance de Constantin, sans doute en 272 ou 273, le christianisme romain était déjà en passe d’être accepté. En 260, l’empereur Gallien avait aboli les persécutions décidées par son père, Valérien, et avait déclaré le christianisme religion de plein droit (religion licita). En quarante ans, des chrétiens romains accèdent au palais, à l’armée, ainsi qu’à l’administration provinciale et impériale. Pourtant, en 303, l’empereur Dioclétien ordonne la reprise des persécutions.
Constance Chlore, le père de Constantin lui-même, est coempereur en Occident à l’époque. Bien que n’étant pas chrétien, il est bien disposé à l’égard du monothéisme, c’est-à-dire à l’idée qu’un seul dieu suprême domine tous les cultes religieux. Compte tenu de tout ceci, on comprend aisément les raisons qui poussent Constantin à devenir le défenseur de la religion de plus en plus commune au sein de l’Empire au moment où il accède au pouvoir en 306. Selon le chercheur américain Robert M. Grant, « dès 312, il avait compris tout ce que l’Église chrétienne pouvait lui apporter et, avec l’aide d’un secrétaire aux affaires religieuses, il a commencé à intervenir dans ces question de manière à pouvoir inciter à l’unité de l’Église » (« Religion and Politics at the Council of Nicaea », dans The Journal of Religion, Volume 55, Chicago, 1975). Ce secrétaire, Ossius (ou Hosius), est l’évêque de Cordoue en Espagne ; il devient conseiller ecclésiastique auprès de Constantin et semble avoir eu une forte influence sur l’empereur.

DES VISIONS CONTRADICTOIRES
Malgré l’importance prise par la vision céleste de Constantin, l’histoire a été embrouillée par des indices apparemment contradictoires. La version d’Eusèbe mentionnée plus haut provient de travaux datés généralement de 339. Elle se distingue par des détails significatifs d’un récit précédent, datant de 325 et figurant dans son Histoire ecclésiastique (9.9.2‑11) – à l’époque de sa première rencontre avec Constantin – dans lequel il ne fait mention ni d’une vision ni d’une croix, ni même de l’apparition de Christ. Bien sûr, on ne trouve aucune trace de l’un quelconque des 98.000 hommes de Constantin rapportant un seul mot d’un tel événement en 312. L’énigme se complique à cause d’un autre récit antérieur, celui de Lactance, un érudit chrétien, précepteur de Crispus, le fils de Constantin. Dans son traité De la mort des persécuteurs 44.5‑6 (vers 313-315), Lactance relate que Constantin a reçu l’ordre en songe (non dans une vision) de marquer les boucliers de ses soldats (non leurs étendards) avec les lettres chi et rhô superposées (non une croix). Chi et rhô sont les deux premières lettres du mot grec Christos.

On trouve une explication plus fantaisiste de l’expérience de Constantin dans un article de la revue internationale Byzantion intitulé « Ambiguitas Constantiniana: The Caeleste Signum Dei of Constantine the Great ». Les auteurs affirment que l’empereur, levant son regard vers le ciel étoilé (donc pas dans la journée), a observé une conjonction des planètes Mars, Saturne, Jupiter et Vénus dans les constellations du Capricorne et du Sagittaire (Michael DiMaio, Jörn Zeuge et Natalia Zotov, Bruxelles, 1988). La plupart de ses soldats étant païens, ils y auraient vu un mauvais présage, mais Constantin parvint à élaborer un sens positif en expliquant que cette conjonction avait la forme du Chi-Rhô, constituant donc un signe favorable.

Toutefois, il existe un autre récit de vision suggérant une combinaison de plusieurs histoires et affirmations, tout en résolvant les contradictions entre les différentes versions. Un orateur païen anonyme faisant l’éloge de l’empereur en 310 parle d’une expérience religieuse survenue dans un temple païen gaulois au cours de la même année, alors que Constantin prétend avoir eu une vision du dieu solaire Apollon. Même si tous les experts ne sont pas d’accord, là est probablement l’origine du célèbre récit chrétien de la vision. Selon certains – parmi lesquels les auteurs A.H.M. Jones, Peter Weiss et Timothy Barnes – Constantin et son armée ont assisté en 310 à un phénomène de halo solaire, lequel provient du rayonnement du soleil à travers des cristaux de glace présents dans l’atmosphère. Plus tard, l’empereur, préférant attribuer la victoire à l’intervention de son Sauveur chrétien, réinterprètera l’expérience.

Tant de prédécesseurs de Constantin ayant voué un culte au soleil, l’idée d’une association parallèle de l’empereur avec Apollon n’a pourtant rien de surprenant. De plus, de nombreux indices suggèrent que lui aussi a continué d’honorer les dieux de ses pères tout au long de sa vie. L’opinion de l’empereur sur la religion en général est caractéristique de son époque. Comme l’écrit l’auteur américain James Carroll, il existe alors une « auto-compréhension religieuse fluctuante » (Constantine’s Sword, 2001).

La faveur divine étant synonyme de succès, il revenait à tout gouvernant de chercher la faveur d’au moins un dieu, sinon de tous. Aussi, lorsqu’en 315, le Sénat dédie à Constantin l’arc de triomphe encore aujourd’hui célèbre, l’inscription rappelle qu’il a, avec son armée, battu Maxence « par l’inspiration de la divinité et par grandeur de l’esprit ». Les termes sont délibérément ambigus de manière à n’offenser personne, ni homme ni dieu.
Comme nous l’avons dit, le christianisme romain a obtenu le statut de religion reconnue dans l’Empire presque cinquante ans avant l’arrivée au pouvoir de Constantin en 306, quoique l’empereur Dioclétien (284-305) se soit permis de relancer les persécutions des chrétiens. Constantin est convaincu à l’époque que cela attirait l’infortune sur l’Empire.

Après le règne de Dioclétien, Constantin réalise, en fin politique, l’avantage qu’il peut tirer de la réunion de l’Empire alors divisé. Par ailleurs, la forme de christianisme qui l’intéresse de plus en plus lui offre la possibilité de favoriser l’unification. En effet, les religions païennes traditionnelles sont faites de croyances diverses et, quoique toujours tolérées, elles ne pourraient pas apporter l’unité que procurerait le christianisme – même si, sur ce point, Constantin va être mis à l’épreuve puisque la nouvelle religion est elle-même déchirée par des divisions doctrinales. En conséquence, l’homme dont la monnaie est frappée de rector totius orbis (souverain du monde entier) établit des limites à sa tolérance : dans son désir d’unité religieuse, il s’oppose à toute version du christianisme qui ne respecte pas l’orthodoxie des canons catholiques romains.

L’ADORATION D’AUTRES DIEUX
Peu après avoir conquis Rome, « l’empereur chrétien » approuve un nouvel ordre religieux en Égypte, consacré à la vénération de sa famille impériale, les Flaviens. Cette démarche n’est pas surprenante, le culte impérial restant à la mode. Et, en l’absence de motif impérieux, pourquoi changer une coutume populaire qui l’élève dans l’estime du peuple ? Ce qu’a réussi Constantin, c’est adapter des traditions existantes à de nouvelles finalités. D’après l’historien britannique A.H.M. Jones, « les institutions consacrées au culte impérial furent sécularisées sans difficulté et continuèrent à s’épanouir sous l’Empire chrétien » (Constantine and the Conversion of Europe, 1978).

À cet égard, pendant toute sa vie, l’empereur gardera le titre religieux païen de Pontifex Maximus (souverain pontife, littéralement « grand bâtisseur de pont » [entre les dieux et les hommes]). Sur le plan pratique, il conserve ainsi une autorité suprême sur toutes les religions y compris, bien sûr, sa version préférée du christianisme.
Il ne s’agit pas de dire qu’il ne s’écarte jamais de la pratique païenne. Par exemple, en 315, lors de la célébration de son dixième anniversaire en tant qu’Auguste, il refuse d’autoriser des sacrifices aux dieux romains traditionnels.

En revanche, le soleil procure à l’empereur, à l’instar de tant d’autres avant lui, le symbole d’une puissance porteuse de vie, d’une force et d’une lumière céleste – symbole qu’il peut manipuler à son profit. En 274, l’empereur Aurélien avait déclaré Sol Invictus (le soleil invaincu) seul dieu suprême. On ne peut s’étonner que, peu après avoir pris la succession en 306, Constantin, empreint d’une ambition démesurée, ait fait frapper sur des monnaies la devise « Au Dieu invaincu, mon compagnon », une pratique qu’il poursuivra jusque dans les années 320.

Dans le même temps, en Orient, il transforme l’antique cité grecque de Byzance en Constantinople, « la ville de Constantin », sa nouvelle capitale. La cité, revitalisée, redessinée dans le style romain, sera terminée en 330.


RELIQUES ANCIENNES ET NOUVELLES

La fusion de composantes païennes et chrétiennes reste la marque de la démarche impériale à l’égard de la religion. Le syncrétisme apparait dans nombre des actes de Constantin, de l’architecture à la pratique « chrétienne ». Par exemple, au sein du nouvel hippodrome de Constantinople il installe une colonne serpentine venue de Delphes, le cœur du culte grec, où elle se dressait dans le temple d’Apollon depuis 479 avant J.‑C. Non loin de là, on trouve la première borne à partir de laquelle toutes les distances seront calculées, faisant de la cité le nouveau centre du monde. Or, au-dessus de cette borne, est placée une relique « découverte » en Terre Sainte par Hélène, la mère de Constantin, durant un pèlerinage. On pense alors que ce n’est rien moins que la « Vraie Croix » de la crucifixion de Jésus.

L’empereur érige une autre structure, dont les vestiges sont encore visibles à Istanbul (nom moderne de Constantinople) sous l’appellation de Colonne brulée ou Colonne de Constantin. Haute d’une trentaine de mètres, faite de porphyre, elle se dressait sur un socle de six mètres renfermant le Palladium – trophée païen – ainsi que des reliques supposées d’origine biblique dont la cognée de Noé, le pot à onguent de Marie-Madeleine, ainsi que les restes des paniers et du pain utilisés par Christ pour nourrir miraculeusement la foule. On rapporte que toutes ces reliques étaient conservées sous une statue de la déesse Athéna ramenée de Troie par Énée, le héro grec. La colonne elle-même provenait du sanctuaire du culte solaire de l’Égypte antique, Héliopolis (la ville du soleil).

Au sommet de la colonne, se tenait une statue dont le corps avait appartenu à une sculpture d’Hélios – le jeune dieu grec du soleil – réalisée par Phidias. La tête était couronnée d’un diadème radié caractéristique et ses traits ressemblaient à ceux de Constantin. L’historien britannique John Julius Norwich écrit que, dans la Colonne de Constantin, « Apollon, Sol Invictus et Jésus-Christ paraissent tous subordonnés à un nouvel être suprême : l’empereur Constantin ».

Lorsqu’en 321, Constantin instaure un jour de repos systématique dans tout l’empire, il est sans aucun doute enchanté d’en choisir un qui a une signification pour le christianisme romain, tout en coïncidant avec sa dévotion pour Apollon. Aussi écrit-il : « Tous les magistrats, les habitants des villes et les artisans doivent se reposer le jour vénérable du Soleil ». Nulle part, il ne mentionne Christ ou le « jour du Seigneur » ; il ne parle que de la vénération du soleil. Jones remarque que l’empereur semble avoir supposé que l’observance chrétienne du premier jour était un hommage au soleil invaincu.

De même, pour fixer la date de la célébration de Pâques, Constantin formalise la méthode encore utilisée aujourd’hui : le Dimanche de Pâques est le premier dimanche après la première pleine lune qui suit l’équinoxe de printemps, donc lorsque la position du soleil marque le début du printemps. Cette pratique est celle des Églises à Alexandrie, en Égypte, et en Occident, à partir de l’entrée en scène de Constantin. En revanche, les Églises d’Orient établiront la date en fonction de la Pâque juive. Même si la position du soleil entre dans le nouveau calcul, c’est probablement la haine de Constantin à l’encontre des Juifs, davantage que son adoration d’Apollon, qui l’incite à pousser au changement. Comme il l’écrit dans un courrier récapitulatif, « Faisons en sorte de n’avoir rien en commun avec ces juifs pitoyables, assassins et parricides de notre Seigneur. » (Eusèbe, Vie de Constantin 3.18.2 ; 3.19.1).

Pour ce qui est de l’autre grande célébration propre au christianisme – la date de naissance de Christ, que l’on a déjà fait coïncider avec l’observance païenne du solstice d’hiver et avec la naissance du dieu solaire fin décembre –, il ne fait aucun doute que Constantin est on ne peut plus ravi.


CONSTANTIN LE CONVERTI
La conversion réelle de Constantin au christianisme n’intervient pas avant son lit de mort, car ce n’est que là qu’il reçoit le rite du baptême. Quoiqu’on affirme souvent que les gens, à l’époque, avaient tendance à repousser cet engagement vers la fin de leur existence, le mode de vie au quotidien de Constantin n’a jamais correspondu à celui de Jésus, de Paul et des premiers apôtres à qui il prétendait se conformer. Son implication dans les exécutions de son épouse Fausta, de son fils, Crispus, et du beau-fils de sa sœur, Lucinianus, un an après la conférence ecclésiastique de Nicée laisse peu d’incertitude quant au fait que son système de valeurs n’avait rien à voir avec celui d’un partisan de Christ. Bien sûr, certains aspects de la croyance chrétienne ont influencé son règne, mais sa carrière prouve davantage la continuité de son adhésion païenne qu’un engagement chrétien personnel.

Norwich note qu’au terme de sa vie, l’empereur succombe sans doute à une mégalomanie religieuse : « Instrument choisi par Dieu, il était sur le point de devenir Dieu lui-même, ce summus deus qui englobait tous les autres dieux et toutes les autres religions. »

C’est peut-être pourquoi l’oscillation de Constantin tout au long de sa vie entre paganisme et christianisme romain a perduré après sa mort par la reconnaissance d’autrui. Ainsi, le Sénat le déifiera, l’appelant divus comme tant d’empereurs avant lui et gravant sur des monnaies son image déifiée. Selon l’historien britannique Michael Grant, c’était là « une curieuse indication que son adoption de la foi chrétienne n’empêchait pas de conserver cette coutume païenne » (The Emperor Constantine, 1993). Toutefois, son office auprès de sa version préférée du christianisme fera de cet empereur un Saint pour l’Église orthodoxe.

Quant à Constantin lui-même, il s’est assuré très particulièrement de ne pas être oublié. Pendant plusieurs années, il avait choisi de se faire appelé « Isapostolos » (égal aux apôtres). Il a donc prévu d’être enseveli dans une église bâtie à Constantinople pendant son règne : l’église des Saints-Apôtres. Là, à sa mort survenue au cours de l’été 337, l’empereur sera placé dans un sarcophage entouré de chaque côté par six sarcophages dressés, supposés contenir des reliques des douze apôtres. Il est le treizième, ou mieux encore, joue le rôle de Christ lui-même au centre de ses premiers disciples. Il est Constantin le Grand, un empereur dont les prétentions à la divinité ont éclipsé l’humilité commandée par son Maitre, et ce, même dans la mort.
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Saint Glinglin

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Re: La guématrie - 666

Ecrit le 26 mars18, 11:43

Message par Saint Glinglin »

prisca a écrit :Saint Glinglin, je ne suis pas d'accord, Jésus, durant sa 34ème année, a connu la mort sur la Croix.
Affirmation gratuite.

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