a écrit :Benfis a dit : Ce n'est pas de l'esclavage certes, puisque comme je l'ai dit plus haut, un ouvrier (en théorie) a la liberté de quitter son emploi.
Mais je pense que cela reste dans certains cas assimilable à de l'esclavage, lorsque le travailleur n'a aucune possibilité de changer sa condition.
Désolé , mais la définition de l'esclavage n'est pas l'impossibilité de quitter son emploi.
L'esclavage c'est le fait de devenir propriétaire d'un être humain .
Si vous changez les définitions , vous allez en arriver à inventer autre chose de déguisé pour en justifier autre chose qui n'est plus la même chose .
Ca n'est pas parce qu'une situation donne en résultat une pauvreté similaire à celle d'un esclave que l'on peut affirmer que la personne est un esclave , c'est illogique .
je pense qu'il y a aussi la notion d'être propriétaire de quelqu'un et d'être dans cet état de fait et de volonté et je ne pense pas que le patron d'un entreprise à la volonté d'être propriétaire de l'ouvrier , cette vision que vous donnez est une déviation du principe du mot esclavage .Le patron d'un entreprise ne détient pas un acte de propriété d'un individu .