qui est cet homme?
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La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
La religion musulmane l'Islam, se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en arabe, Ibrahim par les musulmans) du point de vue de la croyance, le Coran le définissant comme étant la voie d'Ibrahim (millata Ibrahim) c'est-à-dire une soumission exclusive à Allah.
Re: qui est cet homme?
Ecrit le 24 août15, 20:11Il y a plusieurs versets-clés que les chrétiens utilisent pour tenter de prouver l’origine biblique de la trinité. Mais après une analyse sérieuse de ces versets, on se rend compte qu’ils ne constituent nullement une preuve de l’existence de la trinité mais plutôt du caractère monothéiste du message transmis par Dieu. Un des passages de la Bible les plus fréquemment cités est Ésaïe 9:6-7, passage à partir duquel les chrétiens concluent que le Messie est en fait Dieu incarné. Ce passage se lit comme suit :
« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule. On l'appellera Admirable Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. Il étendra sans fin la souveraineté et donnera la paix, qui durera toujours, au trône de David et à son royaume. Sa royauté sera solidement fondée sur le droit et sur la justice, dès à présent et pour l'éternité. Voilà ce que fera le zèle du Seigneur des armées. »
Il est clair que le verset Ésaïe 9:6 a été mal interprété dès le départ parce que nulle part ailleurs, dans la Bible, Jésus n’est appelé le « Père éternel ». Puisque la doctrine trinitaire enseigne aux chrétiens qu’ils ne doivent « ni confondre les personnes ni diviser la substance » (credo athanasien), comment les trinitaires peuvent-ils concevoir Jésus comme le « Père éternel »? Considérons également quelques autres faits avec impartialité.
Premièrement, tous les verbes hébreux, dans Ésaïe 9:6, sont conjugués au passé. Par exemple, « On l'appellera » correspond à l’hébreu « vayikra shemo » qui, traduit correctement, signifie « on l’appelait ». Le mot vayikra est le premier mot qui apparaît au début du Lévitique (1:1), où il est correctement traduit au passé. De plus, le même mot se retrouve aussi dans Genèse 4:26, également traduit au passé. Seul dans Ésaïe 9:6-7 trouve-t-on ce verbe traduit au futur!
Remarquez qu’il est écrit : « Car un enfant nous EST né ». Il s’agit d’un événement qui vient de se produire et non d’une chose qui va se produire dans le futur. Ésaïe ne fait pas une prophétie, ici, mais relate une histoire, un fait qui s’est produit. Si l’événement avait été situé dans le futur, il aurait dit « un enfant nous naîtra », mais ce n’est PAS ce que dit le verset. Dans la traduction de ce verset, on écrit avec une majuscule les différents noms qu’on lui donne comme s’il s’agissait d’une véritable prophétie énumérant les noms du fils divin.
Deuxièmement, le mot « est » (du verbe être) est généralement omis en hébreu, car il est toujours sous-entendu. Par exemple, les mots « hakelev » (le chien) et « gadol » (gros), lorsqu’unis dans une phrase - hakelev gadol – signifient « le chien EST gros », même si aucun mot hébreu, dans cette phrase, ne représente le mot « est ». Alors une traduction plus juste d’un des noms que l’on attribue à l’enfant dans le verset d’Ésaïe serait « un Admirable Conseiller est le Dieu puissant, le Père éternel… ». Ce nom est en fait une description de Dieu et non d’une personne qui porterait ce nom. Le nom Ésaïe lui-même signifie « Dieu est le salut », mais personne ne va croire que ce prophète était lui-même Dieu incarné !
Troisièmement, « Dieu puissant » est une mauvaise traduction selon certains spécialistes de la Bible. Bien que le français fasse une distinction claire entre les mots « Dieu » et « dieu », l’hébreu, qui ne contient que des lettres majuscules, ne peut faire une telle distinction. Le mot hébreu « Dieu » a une portée beaucoup plus large que le même mot en français. Certains ont suggéré qu’une meilleure traduction, en français, aurait été « puissant héros » ou « héros divin ».
Quatrièmement, selon le Nouveau Testament, on n’a jamais attribué à Jésus aucun de ces noms de son vivant.
Cinquièmement, si Ésaïe 9:6 fait réellement référence à Jésus, alors Jésus est le Père! Mais cela va clairement à l’encontre de la doctrine trinitaire.
Sixièmement, le fait que le Nouveau Testament ne cite pas ce passage d’Ésaïe démontre que même ses auteurs n’ont pas jugé qu’il faisait référence à Jésus…
Septièmement, le passage fait référence aux merveilles accomplies par le Seigneur pour Ézéchias, 13e roi de Juda. Les versets précédant Ésaïe 9 parlent d’un grand triomphe militaire d’Israël sur ses ennemis. Au moment où Ésaïe aurait écrit ce passage, Dieu venait de libérer le roi Ézéchias et Jérusalem d’un siège imposé par les Assyriens sous le général Sennachérib. On raconte que cette libération fut accomplie de façon spectaculaire : un ange aurait plongé sur le camp assyrien et tué 185 000 soldats durant leur sommeil. Lorsque Sennachérib se réveilla et trouva son armée décimée, il s’enfuit avec quelques soldats ayant échappé au massacre, et des années plus tard, il fut assassiné par ses propres fils (Ésaïe 37:36-38).
Les chapitres 36 et 37 d’Ésaïe relatent comment Ézéchias tint tête à la puissante armée de Sennachérib et rapportent les paroles blasphématoires que ce dernier prononça contre Dieu. Alors que tout semblait perdu, Ézéchias garda espoir en son Seigneur et voilà pourquoi il fut rétribué par
cette victoire miraculeuse. Il est intéressant de noter que la déclaration « Voilà ce que fera le zèle du Seigneur des armées », à la fin d’Ésaïe 9:7, se trouve également à deux autres endroits dans la Bible : Ésaïe 37:32 et 2 Rois 19:31. Ces deux passages font également référence à la libération miraculeuse d’Ézéchias par Dieu. Ainsi, à la lumière de ce que l’on sait maintenant, Ésaïe relate comment Dieu a secouru Jérusalem lorsqu’elle était assiégée par les Assyriens. De plus, dans les commentaires orthodoxes juifs de la Bible (Soncino), on affirme que ce chapitre a trait à la chute de l’Assyrie et à l’annonciation de la naissance d’Ézéchias, fils d’Ahaz.
https://www.youtube.com/watch?v=c0oW6o_b74c
« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule. On l'appellera Admirable Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. Il étendra sans fin la souveraineté et donnera la paix, qui durera toujours, au trône de David et à son royaume. Sa royauté sera solidement fondée sur le droit et sur la justice, dès à présent et pour l'éternité. Voilà ce que fera le zèle du Seigneur des armées. »
Il est clair que le verset Ésaïe 9:6 a été mal interprété dès le départ parce que nulle part ailleurs, dans la Bible, Jésus n’est appelé le « Père éternel ». Puisque la doctrine trinitaire enseigne aux chrétiens qu’ils ne doivent « ni confondre les personnes ni diviser la substance » (credo athanasien), comment les trinitaires peuvent-ils concevoir Jésus comme le « Père éternel »? Considérons également quelques autres faits avec impartialité.
Premièrement, tous les verbes hébreux, dans Ésaïe 9:6, sont conjugués au passé. Par exemple, « On l'appellera » correspond à l’hébreu « vayikra shemo » qui, traduit correctement, signifie « on l’appelait ». Le mot vayikra est le premier mot qui apparaît au début du Lévitique (1:1), où il est correctement traduit au passé. De plus, le même mot se retrouve aussi dans Genèse 4:26, également traduit au passé. Seul dans Ésaïe 9:6-7 trouve-t-on ce verbe traduit au futur!
Remarquez qu’il est écrit : « Car un enfant nous EST né ». Il s’agit d’un événement qui vient de se produire et non d’une chose qui va se produire dans le futur. Ésaïe ne fait pas une prophétie, ici, mais relate une histoire, un fait qui s’est produit. Si l’événement avait été situé dans le futur, il aurait dit « un enfant nous naîtra », mais ce n’est PAS ce que dit le verset. Dans la traduction de ce verset, on écrit avec une majuscule les différents noms qu’on lui donne comme s’il s’agissait d’une véritable prophétie énumérant les noms du fils divin.
Deuxièmement, le mot « est » (du verbe être) est généralement omis en hébreu, car il est toujours sous-entendu. Par exemple, les mots « hakelev » (le chien) et « gadol » (gros), lorsqu’unis dans une phrase - hakelev gadol – signifient « le chien EST gros », même si aucun mot hébreu, dans cette phrase, ne représente le mot « est ». Alors une traduction plus juste d’un des noms que l’on attribue à l’enfant dans le verset d’Ésaïe serait « un Admirable Conseiller est le Dieu puissant, le Père éternel… ». Ce nom est en fait une description de Dieu et non d’une personne qui porterait ce nom. Le nom Ésaïe lui-même signifie « Dieu est le salut », mais personne ne va croire que ce prophète était lui-même Dieu incarné !
Troisièmement, « Dieu puissant » est une mauvaise traduction selon certains spécialistes de la Bible. Bien que le français fasse une distinction claire entre les mots « Dieu » et « dieu », l’hébreu, qui ne contient que des lettres majuscules, ne peut faire une telle distinction. Le mot hébreu « Dieu » a une portée beaucoup plus large que le même mot en français. Certains ont suggéré qu’une meilleure traduction, en français, aurait été « puissant héros » ou « héros divin ».
Quatrièmement, selon le Nouveau Testament, on n’a jamais attribué à Jésus aucun de ces noms de son vivant.
Cinquièmement, si Ésaïe 9:6 fait réellement référence à Jésus, alors Jésus est le Père! Mais cela va clairement à l’encontre de la doctrine trinitaire.
Sixièmement, le fait que le Nouveau Testament ne cite pas ce passage d’Ésaïe démontre que même ses auteurs n’ont pas jugé qu’il faisait référence à Jésus…
Septièmement, le passage fait référence aux merveilles accomplies par le Seigneur pour Ézéchias, 13e roi de Juda. Les versets précédant Ésaïe 9 parlent d’un grand triomphe militaire d’Israël sur ses ennemis. Au moment où Ésaïe aurait écrit ce passage, Dieu venait de libérer le roi Ézéchias et Jérusalem d’un siège imposé par les Assyriens sous le général Sennachérib. On raconte que cette libération fut accomplie de façon spectaculaire : un ange aurait plongé sur le camp assyrien et tué 185 000 soldats durant leur sommeil. Lorsque Sennachérib se réveilla et trouva son armée décimée, il s’enfuit avec quelques soldats ayant échappé au massacre, et des années plus tard, il fut assassiné par ses propres fils (Ésaïe 37:36-38).
Les chapitres 36 et 37 d’Ésaïe relatent comment Ézéchias tint tête à la puissante armée de Sennachérib et rapportent les paroles blasphématoires que ce dernier prononça contre Dieu. Alors que tout semblait perdu, Ézéchias garda espoir en son Seigneur et voilà pourquoi il fut rétribué par
cette victoire miraculeuse. Il est intéressant de noter que la déclaration « Voilà ce que fera le zèle du Seigneur des armées », à la fin d’Ésaïe 9:7, se trouve également à deux autres endroits dans la Bible : Ésaïe 37:32 et 2 Rois 19:31. Ces deux passages font également référence à la libération miraculeuse d’Ézéchias par Dieu. Ainsi, à la lumière de ce que l’on sait maintenant, Ésaïe relate comment Dieu a secouru Jérusalem lorsqu’elle était assiégée par les Assyriens. De plus, dans les commentaires orthodoxes juifs de la Bible (Soncino), on affirme que ce chapitre a trait à la chute de l’Assyrie et à l’annonciation de la naissance d’Ézéchias, fils d’Ahaz.
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 24 août15, 22:24@ tout le monde
Je trouve le sujet du titre pas clair.
Quel est la question centrale du débat?
Je trouve le sujet du titre pas clair.
Quel est la question centrale du débat?
Re: qui est cet homme?
Ecrit le 28 août15, 22:08De tous les mystères chrétiens, nul n’occupe un rang aussi élevé que le concept de la crucifixion de Jésus et de son sacrifice expiatoire. En fait, les chrétiens font entièrement reposer leur salut sur cette seule et unique doctrine. Et si cela a vraiment eu lieu, ne devrions-nous pas tous faire comme eux?
Enfin… si cela a vraiment eu lieu.
Maintenant, je ne sais pas pour vous, mais le concept de Jésus ayant expié les péchés de l’humanité m’apparaît fort intéressant. Ne le devrait-il pas? Si nous arrivons à croire qu’une autre personne a expié tous nos péchés et que nous pouvons aller au Paradis uniquement en y croyant, ne devrions-nous pas tous, immédiatement, conclure ce marché?
Si cela a vraiment eu lieu… évidemment.
Alors voyons cela de plus près. On nous dit que Jésus fut crucifié. Mais là encore, on nous dit beaucoup de choses qui s’avèrent fausses ou douteuses, par la suite; alors vérifions ce fait, juste pour nous rassurer.
Commençons par interroger les témoins. Interrogeons les auteurs des évangiles.
Oups! Il y a un problème : nous ne savons pas qui sont ces auteurs. Voilà un mystère chrétien beaucoup moins populaire (beauuuucoup moins populaire) : les auteurs des quatre évangiles du Nouveau Testament sont en réalité anonymes.
Personne ne sait qui les a écrits. Graham Stanton nous dit : « Contrairement à la plupart des écrits gréco-romains, les évangiles sont anonymes. Les titres portant le nom d’un auteur (« L’évangile selon…) n’ont jamais fait partie des manuscrits originaux; ils ne furent ajoutés qu’au début du deuxième siècle. »[2]
Ajoutés au deuxième siècle? Par qui? Croyez-le ou non, par des gens qui sont eux aussi anonymes.
Mais oublions tout cela. Après tout, les évangiles font partie de la Bible, alors nous devons les respecter comme écritures, n’est-ce pas?
N’est-ce pas?
Eh bien, peut-être pas. Car il se trouve que The Interpreter’s Dictionary of Bible (dictionnaire d’interprétation de la Bible) affirme : « Nous pouvons affirmer à coup sûr qu’il n’y a pas une seule phrase, dans le Nouveau Testament, pour laquelle la tradition manuscrite est totalement identique. »[3] Ajoutez à cela les paroles maintenant célèbres de Bart D. Ehrman : « Il est probablement plus simple de présenter le problème en termes comparatifs : il y a plus de différences entre nos manuscrits qu’il n’y a de mots dans le Nouveau Testament. »[4]
Imaginez! D’un côté, nous avons Matthieu, Marc, Luc et Jean qui nous disent… oh, excusez-moi : je voulais dire que nous avons anonyme, anonyme, anonyme et anonyme qui nous disent… euh, quoi? Que nous disent-ils? Qu’ils n’arrivent même pas à s’entendre sur ce que Jésus portait, buvait, disait ou faisait? Après tout, Matthieu 27:28 nous dit que les soldats romains vêtirent Jésus d’une robe écarlate. Mais Jean 19:2 nous dit qu’elle était pourpre. Matthieu 27:34 dit que les Romains donnèrent à Jésus du vin mêlé de fiel, mais selon Marc 15:23, il était plutôt mêlé de myrrhe. Marc 15:25 nous dit que Jésus fut crucifié avant la troisième heure, mais 19:14-15 affirme que c’était vers la sixième heure. Luc 23:46 dit que les dernières paroles de Jésus furent : « Père, je remets mon esprit entre Tes mains », mais selon Jean 19:30, Jésus aurait plutôt dit : « Tout est accompli. »
Mais attendez un instant. Il me semble que les fidèles disciples de Jésus auraient été pendus à ses lèvres et bu ses paroles. Pourtant, Marc 14:50 nous apprend que tous ses disciples abandonnèrent Jésus dans le jardin de Gethsémané. Mais il semble que certaines personnes – probablement pas des disciples, mais des personnes anonymes, il va de soi – ne ratèrent aucune de ses paroles, mais entendirent chacune… des paroles différentes.
Croyez-le ou non, après cette scène, les évangiles se contredisent de plus en plus.
Après la prétendue résurrection, il devient presque impossible de trouver une quelconque information sur laquelle les quatre évangiles concordent. Par exemple :
Qui se rendit au tombeau?
Matthieu : « Marie-Madeleine et l’autre Marie. »
Marc : « Marie-Madeleine, Marie, la mère de Jacques, et Salomé. »
Luc : « Les femmes qui étaient venues avec lui de Galilée » et « quelques autres femmes. »
Jean : « Marie-Madeleine »
Pourquoi allèrent-elles au tombeau?
Matthieu : « Pour voir le tombeau. »
Marc : Elles « achetèrent des huiles aromatiques pour embaumer le corps de Jésus. »
Luc : Elles « apportèrent des huiles aromatiques. »
Jean : ne donne aucune raison.
Y eut-il un tremblement de terre? (Quelque chose que nulle personne, à proximité, n’aurait pu rater ni oublier par la suite.)
Matthieu : oui
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Un ange est-il descendu? (Allons, tout de même : un ange! Pouvons-nous croire un instant que trois d’entre eux aient raté cet événement?)
Matthieu : oui
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Qui poussa la pierre?
Matthieu : L’ange (celui que les trois autres anonymes n’ont pas vu...).
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Qui se trouvait au tombeau?
Matthieu : « un ange »
Marc : « un jeune homme »
Luc : « deux hommes »
Jean : « deux anges »
Où se tenaient-ils?
Matthieu : L’ange était assis sur la pierre, à l’extérieur du tombeau.
Marc : Le jeune homme était dans le tombeau, « assis du côté droit ».
Luc : Les deux hommes étaient à l’intérieur du tombeau, debout.
Jean : Les deux anges étaient « assis, l’un à la tête et l’autre au pied de l’endroit où le corps de Jésus avait reposé ».
Qui vit Jésus en premier et où?
Matthieu : Marie-Madeleine et « l’autre Marie », sur la route qu’elles empruntaient pour aller retrouver les disciples.
Marc : Marie-Madeleine seulement et il ne mentionne pas où.
Luc : Deux des disciples, en route vers « un village appelé Emmaüs, à environ sept milles de Jérusalem. »
Jean : Marie-Madeleine, à l’extérieur du tombeau.
Alors où va-t-on avec tout ça? On ne peut que se demander si c’est là l’idée des Écritures que se font certaines personnes?
https://www.youtube.com/watch?v=Syakpg7toQ8
Enfin… si cela a vraiment eu lieu.
Maintenant, je ne sais pas pour vous, mais le concept de Jésus ayant expié les péchés de l’humanité m’apparaît fort intéressant. Ne le devrait-il pas? Si nous arrivons à croire qu’une autre personne a expié tous nos péchés et que nous pouvons aller au Paradis uniquement en y croyant, ne devrions-nous pas tous, immédiatement, conclure ce marché?
Si cela a vraiment eu lieu… évidemment.
Alors voyons cela de plus près. On nous dit que Jésus fut crucifié. Mais là encore, on nous dit beaucoup de choses qui s’avèrent fausses ou douteuses, par la suite; alors vérifions ce fait, juste pour nous rassurer.
Commençons par interroger les témoins. Interrogeons les auteurs des évangiles.
Oups! Il y a un problème : nous ne savons pas qui sont ces auteurs. Voilà un mystère chrétien beaucoup moins populaire (beauuuucoup moins populaire) : les auteurs des quatre évangiles du Nouveau Testament sont en réalité anonymes.
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Ajoutés au deuxième siècle? Par qui? Croyez-le ou non, par des gens qui sont eux aussi anonymes.
Mais oublions tout cela. Après tout, les évangiles font partie de la Bible, alors nous devons les respecter comme écritures, n’est-ce pas?
N’est-ce pas?
Eh bien, peut-être pas. Car il se trouve que The Interpreter’s Dictionary of Bible (dictionnaire d’interprétation de la Bible) affirme : « Nous pouvons affirmer à coup sûr qu’il n’y a pas une seule phrase, dans le Nouveau Testament, pour laquelle la tradition manuscrite est totalement identique. »[3] Ajoutez à cela les paroles maintenant célèbres de Bart D. Ehrman : « Il est probablement plus simple de présenter le problème en termes comparatifs : il y a plus de différences entre nos manuscrits qu’il n’y a de mots dans le Nouveau Testament. »[4]
Imaginez! D’un côté, nous avons Matthieu, Marc, Luc et Jean qui nous disent… oh, excusez-moi : je voulais dire que nous avons anonyme, anonyme, anonyme et anonyme qui nous disent… euh, quoi? Que nous disent-ils? Qu’ils n’arrivent même pas à s’entendre sur ce que Jésus portait, buvait, disait ou faisait? Après tout, Matthieu 27:28 nous dit que les soldats romains vêtirent Jésus d’une robe écarlate. Mais Jean 19:2 nous dit qu’elle était pourpre. Matthieu 27:34 dit que les Romains donnèrent à Jésus du vin mêlé de fiel, mais selon Marc 15:23, il était plutôt mêlé de myrrhe. Marc 15:25 nous dit que Jésus fut crucifié avant la troisième heure, mais 19:14-15 affirme que c’était vers la sixième heure. Luc 23:46 dit que les dernières paroles de Jésus furent : « Père, je remets mon esprit entre Tes mains », mais selon Jean 19:30, Jésus aurait plutôt dit : « Tout est accompli. »
Mais attendez un instant. Il me semble que les fidèles disciples de Jésus auraient été pendus à ses lèvres et bu ses paroles. Pourtant, Marc 14:50 nous apprend que tous ses disciples abandonnèrent Jésus dans le jardin de Gethsémané. Mais il semble que certaines personnes – probablement pas des disciples, mais des personnes anonymes, il va de soi – ne ratèrent aucune de ses paroles, mais entendirent chacune… des paroles différentes.
Croyez-le ou non, après cette scène, les évangiles se contredisent de plus en plus.
Après la prétendue résurrection, il devient presque impossible de trouver une quelconque information sur laquelle les quatre évangiles concordent. Par exemple :
Qui se rendit au tombeau?
Matthieu : « Marie-Madeleine et l’autre Marie. »
Marc : « Marie-Madeleine, Marie, la mère de Jacques, et Salomé. »
Luc : « Les femmes qui étaient venues avec lui de Galilée » et « quelques autres femmes. »
Jean : « Marie-Madeleine »
Pourquoi allèrent-elles au tombeau?
Matthieu : « Pour voir le tombeau. »
Marc : Elles « achetèrent des huiles aromatiques pour embaumer le corps de Jésus. »
Luc : Elles « apportèrent des huiles aromatiques. »
Jean : ne donne aucune raison.
Y eut-il un tremblement de terre? (Quelque chose que nulle personne, à proximité, n’aurait pu rater ni oublier par la suite.)
Matthieu : oui
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Un ange est-il descendu? (Allons, tout de même : un ange! Pouvons-nous croire un instant que trois d’entre eux aient raté cet événement?)
Matthieu : oui
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Qui poussa la pierre?
Matthieu : L’ange (celui que les trois autres anonymes n’ont pas vu...).
Marc : aucune mention
Luc : aucune mention
Jean : aucune mention
Qui se trouvait au tombeau?
Matthieu : « un ange »
Marc : « un jeune homme »
Luc : « deux hommes »
Jean : « deux anges »
Où se tenaient-ils?
Matthieu : L’ange était assis sur la pierre, à l’extérieur du tombeau.
Marc : Le jeune homme était dans le tombeau, « assis du côté droit ».
Luc : Les deux hommes étaient à l’intérieur du tombeau, debout.
Jean : Les deux anges étaient « assis, l’un à la tête et l’autre au pied de l’endroit où le corps de Jésus avait reposé ».
Qui vit Jésus en premier et où?
Matthieu : Marie-Madeleine et « l’autre Marie », sur la route qu’elles empruntaient pour aller retrouver les disciples.
Marc : Marie-Madeleine seulement et il ne mentionne pas où.
Luc : Deux des disciples, en route vers « un village appelé Emmaüs, à environ sept milles de Jérusalem. »
Jean : Marie-Madeleine, à l’extérieur du tombeau.
Alors où va-t-on avec tout ça? On ne peut que se demander si c’est là l’idée des Écritures que se font certaines personnes?
https://www.youtube.com/watch?v=Syakpg7toQ8
- indian
- [Religion] Foi pluralisme
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 29 août15, 01:42Suffira de lire Bahaullah pour tout saisir.
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: qui est cet homme?
Ecrit le 31 août15, 21:30Dans le Coran, Jésus occupe une des positions les plus élevées parmi les prophètes. Contrairement aux autres prophètes qui ont accompli des miracles, Jésus était lui-même un miracle pour être né d’une mère vierge. C’est ainsi que Dieu les décrit, lui et sa mère :
« … et Nous fîmes d’elle [Marie], ainsi que de son fils [Jésus], un signe pour (toute) l’humanité. » (Coran 21:91)
Néanmoins, dans le Coran, on dit de Jésus qu’il a accompli de nombreux miracles qui lui étaient uniques. Dieu dit :
« Et Nous avons donné des preuves claires à Jésus, fils de Marie… » (Coran 2:87)
Ce qui suit est une brève description des miracles accomplis par Jésus qui sont mentionnés dans le Coran.
1. Une table pleine de nourriture
Dans la cinquième sourate du Coran intitulée « la table servie », nom qu’elle tient du miracle accompli par Jésus, Dieu raconte comment les disciples de Jésus l’ont prié de Lui demander de leur faire descendre une table servie, garnie de nourriture, et d’en faire un jour de commémoration dans le futur.
« Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114)
Il est fort probable que cette occasion est ce à quoi les chrétiens réfèrent en tant que « cène »,[1] c’est-à-dire le dernier souper que prit Jésus avec ses apôtres. L’eucharistie a toujours été au centre de l’adoration chrétienne. L’encyclopédie Britannica écrit :
« L’eucharistie est un sacrement chrétien qui commémore l’action posée par Jésus lors de son dernier souper avec ses disciples. (…) Les lettres de Paul et les actes des apôtres indiquent clairement que dans les premiers temps du christianisme, les chrétiens croyaient que cette institution incluait un mandat de perpétuer cette célébration. (…) L’eucharistie est un rite fondamental de l’adoration chrétienne. »[2] (traduction libre)
2. Il a parlé aux gens dès le berceau
Un des miracles mentionnés dans le Coran (mais non dans la Bible) est le fait que Jésus ait parlé aux gens alors qu’il était encore au berceau, afin de protéger sa mère, Marie, des accusations que les gens étaient susceptibles de porter contre elle pour avoir eu un enfant alors qu’elle n’était pas mariée. Lorsque, après la naissance de Jésus, les gens s’approchèrent d’elle stupéfaits, Marie montra Jésus du doigt et il parla miraculeusement, tel que Dieu l’avait promis à Marie lorsqu’Il lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant.
« Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, et il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:46)
Jésus dit aux gens :
« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)
3. … et cela devient un véritable oiseau
Dans le Coran, Dieu mentionne un miracle accompli par nul autre à part Jésus, avec Sa permission. C’est un miracle qui s’apparente à la façon dont Dieu Lui-même a créé Adam. Dieu rapporte les paroles de Jésus :
« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)
Ce miracle n’est pas mentionné dans le Nouveau Testament, mais il en est fait mention dans l’Évangile de l’enfance de Jésus, selon Thomas (deuxième verset), livre non-canonique. « Ce petit enfant Jésus, âgé de cinq ans, jouait, après un orage, au bord d'une rivière. (…) Ensuite, ayant pris de la terre glaise, il pétrit douze petits moineaux. Mais Jésus frappa dans ses mains et cria aux moineaux " Partez ! " Les oisillons déployèrent leurs ailes et s'envolèrent en pépiant. »
4. ll guérit l’aveugle et le lépreux
Comme il est mentionné dans le Nouveau Testament
, le Coran mentionne également que Jésus guérissait l’aveugle et le lépreux.
« Je guéris l’aveugle-né et le lépreux… » (Coran 3:49)
À l’époque de Jésus, les juifs étaient relativement avancés dans les sciences médicales et ils en étaient très fiers. C’est pour cela que Dieu a donné à Jésus la possibilité d’accomplir des miracles de cette nature, pour que les juifs comprennent qu’aucune force de la nature ne pouvait arriver à tels résultats.
5. Il ressuscite les morts
« … et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. » (Coran 3:49)
La résurrection, comme la création de l’oiseau, était un miracle incomparable, un miracle qui aurait dû convaincre les juifs de croire en la mission prophétique de Jésus et de ne plus en douter. Dans le Nouveau Testament, on mentionne trois personnes que Jésus aurait ressuscitées par la permission de Dieu : la fille de Jaïrus (Mathieu 9:18, 23; Marc 5:22, 35; Luc 8:40, 49), le fils de la veuve, à Naïn (Luc 7:11) et Lazare (Jean 11:43)
6. Les provisions d’aujourd’hui et de demain
Dieu avait donné à Jésus la possibilité de savoir ce que les gens venaient tout juste de manger et ce qu’ils avaient en réserve pour les jours à venir. Dieu dit :
« Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)
Une manifestation de la vérité
Comme d’autres prophètes, Jésus a accompli des miracles afin de convaincre les sceptiques du caractère véridique de sa mission et non pas pour leur faire croire qu’il possédait une quelconque divinité. Le Coran dit :
« Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)
Ces miracles ont été accomplis uniquement par la permission de Dieu; s’Il n’avait pas souhaité leur réalisation, ils ne se seraient jamais réalisés. Dieu le mentionne de façon explicite dans le Coran, précisant que ces miracles se sont produits…
« … par la permission de Dieu. » (Coran 3:49; 5:10)
Bien que les musulmans ne puissent le confirmer, la Bible, à travers certaines narrations, affirme que Jésus a parfois échoué à accomplir des miracles. Une fois, alors qu’il souhaitait guérir un aveugle, il échoua à sa première tentative et dû essayer de nouveau (Marc 8:22-26). Une autre fois, « Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il imposa les mains à quelques malades et les guérit. » (Marc 6:5)
Il demeure qu’en réalité, ce n’est pas par sa seule volonté que Jésus a accompli des miracles. Ils ne se sont réalisés que par la volonté de Dieu Tout-Puissant – un fait qui est aussi mentionné clairement dans la Bible :
« … cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires. » (Actes 2:22)
https://www.youtube.com/watch?v=X0hpOxB85Xc
« … et Nous fîmes d’elle [Marie], ainsi que de son fils [Jésus], un signe pour (toute) l’humanité. » (Coran 21:91)
Néanmoins, dans le Coran, on dit de Jésus qu’il a accompli de nombreux miracles qui lui étaient uniques. Dieu dit :
« Et Nous avons donné des preuves claires à Jésus, fils de Marie… » (Coran 2:87)
Ce qui suit est une brève description des miracles accomplis par Jésus qui sont mentionnés dans le Coran.
1. Une table pleine de nourriture
Dans la cinquième sourate du Coran intitulée « la table servie », nom qu’elle tient du miracle accompli par Jésus, Dieu raconte comment les disciples de Jésus l’ont prié de Lui demander de leur faire descendre une table servie, garnie de nourriture, et d’en faire un jour de commémoration dans le futur.
« Lorsque les disciples dirent: « Ô Jésus, fils de Marie! Ton Seigneur peut-il nous faire descendre du ciel une table servie? » Il leur dit : « Craignez Dieu, si vous êtes vraiment croyants. » (Ils répondirent) : « Nous voulons en manger afin de rassurer nos cœurs, savoir que tu nous as réellement dit la vérité et en témoigner par la suite. » Jésus, fils de Marie, dit : « Ô Dieu, notre Seigneur! Fais-nous descendre, du ciel, une table servie qui soit une célébration pour le premier d’entre nous comme pour le dernier, ainsi qu’un signe de Ta part. Donne-nous notre subsistance, car Tu es le meilleur des nourriciers. » (Coran 5:112-114)
Il est fort probable que cette occasion est ce à quoi les chrétiens réfèrent en tant que « cène »,[1] c’est-à-dire le dernier souper que prit Jésus avec ses apôtres. L’eucharistie a toujours été au centre de l’adoration chrétienne. L’encyclopédie Britannica écrit :
« L’eucharistie est un sacrement chrétien qui commémore l’action posée par Jésus lors de son dernier souper avec ses disciples. (…) Les lettres de Paul et les actes des apôtres indiquent clairement que dans les premiers temps du christianisme, les chrétiens croyaient que cette institution incluait un mandat de perpétuer cette célébration. (…) L’eucharistie est un rite fondamental de l’adoration chrétienne. »[2] (traduction libre)
2. Il a parlé aux gens dès le berceau
Un des miracles mentionnés dans le Coran (mais non dans la Bible) est le fait que Jésus ait parlé aux gens alors qu’il était encore au berceau, afin de protéger sa mère, Marie, des accusations que les gens étaient susceptibles de porter contre elle pour avoir eu un enfant alors qu’elle n’était pas mariée. Lorsque, après la naissance de Jésus, les gens s’approchèrent d’elle stupéfaits, Marie montra Jésus du doigt et il parla miraculeusement, tel que Dieu l’avait promis à Marie lorsqu’Il lui avait annoncé qu’elle aurait un enfant.
« Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, et il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:46)
Jésus dit aux gens :
« Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m’a donné le Livre et m’a fait prophète; Il a fait de moi une source de bénédiction où que je sois, et Il m’a enjoint la prière et la zakat tant que je vivrai. Il m’a rendu dévoué envers ma mère et Il ne m’a fait ni insolent ni misérable. Que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai et le jour où je serai ressuscité! » (Coran 19:30-33)
3. … et cela devient un véritable oiseau
Dans le Coran, Dieu mentionne un miracle accompli par nul autre à part Jésus, avec Sa permission. C’est un miracle qui s’apparente à la façon dont Dieu Lui-même a créé Adam. Dieu rapporte les paroles de Jésus :
« Pour vous, je façonne la glaise et lui fais prendre la forme d’un oiseau; puis, je souffle dedans et, par la permission de Dieu, cela devient un véritable oiseau. » (Coran 3:49)
Ce miracle n’est pas mentionné dans le Nouveau Testament, mais il en est fait mention dans l’Évangile de l’enfance de Jésus, selon Thomas (deuxième verset), livre non-canonique. « Ce petit enfant Jésus, âgé de cinq ans, jouait, après un orage, au bord d'une rivière. (…) Ensuite, ayant pris de la terre glaise, il pétrit douze petits moineaux. Mais Jésus frappa dans ses mains et cria aux moineaux " Partez ! " Les oisillons déployèrent leurs ailes et s'envolèrent en pépiant. »
4. ll guérit l’aveugle et le lépreux
Comme il est mentionné dans le Nouveau Testament
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« Je guéris l’aveugle-né et le lépreux… » (Coran 3:49)
À l’époque de Jésus, les juifs étaient relativement avancés dans les sciences médicales et ils en étaient très fiers. C’est pour cela que Dieu a donné à Jésus la possibilité d’accomplir des miracles de cette nature, pour que les juifs comprennent qu’aucune force de la nature ne pouvait arriver à tels résultats.
5. Il ressuscite les morts
« … et je ressuscite les morts par la permission de Dieu. » (Coran 3:49)
La résurrection, comme la création de l’oiseau, était un miracle incomparable, un miracle qui aurait dû convaincre les juifs de croire en la mission prophétique de Jésus et de ne plus en douter. Dans le Nouveau Testament, on mentionne trois personnes que Jésus aurait ressuscitées par la permission de Dieu : la fille de Jaïrus (Mathieu 9:18, 23; Marc 5:22, 35; Luc 8:40, 49), le fils de la veuve, à Naïn (Luc 7:11) et Lazare (Jean 11:43)
6. Les provisions d’aujourd’hui et de demain
Dieu avait donné à Jésus la possibilité de savoir ce que les gens venaient tout juste de manger et ce qu’ils avaient en réserve pour les jours à venir. Dieu dit :
« Et je suis à même de vous dire ce que vous venez de manger tout comme ce que vous gardez en réserve dans vos maisons. Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)
Une manifestation de la vérité
Comme d’autres prophètes, Jésus a accompli des miracles afin de convaincre les sceptiques du caractère véridique de sa mission et non pas pour leur faire croire qu’il possédait une quelconque divinité. Le Coran dit :
« Dans tout cela, il y a certes un signe, pour vous, si vous êtes croyants. » (Coran 3:49)
Ces miracles ont été accomplis uniquement par la permission de Dieu; s’Il n’avait pas souhaité leur réalisation, ils ne se seraient jamais réalisés. Dieu le mentionne de façon explicite dans le Coran, précisant que ces miracles se sont produits…
« … par la permission de Dieu. » (Coran 3:49; 5:10)
Bien que les musulmans ne puissent le confirmer, la Bible, à travers certaines narrations, affirme que Jésus a parfois échoué à accomplir des miracles. Une fois, alors qu’il souhaitait guérir un aveugle, il échoua à sa première tentative et dû essayer de nouveau (Marc 8:22-26). Une autre fois, « Il ne put faire là aucun miracle, si ce n'est qu'il imposa les mains à quelques malades et les guérit. » (Marc 6:5)
Il demeure qu’en réalité, ce n’est pas par sa seule volonté que Jésus a accompli des miracles. Ils ne se sont réalisés que par la volonté de Dieu Tout-Puissant – un fait qui est aussi mentionné clairement dans la Bible :
« … cet homme dont Dieu vous a montré qu'il l'approuvait en accomplissant, par son moyen, au milieu de vous des miracles, des signes et des actes extraordinaires. » (Actes 2:22)
https://www.youtube.com/watch?v=X0hpOxB85Xc
Re: qui est cet homme?
Ecrit le 04 sept.15, 22:41Re: qui est cet homme?
Ecrit le 09 sept.15, 22:38Le côté fonctionnel et pratique de la Loi islamique m’a vraiment impressionné, à l’époque, moi qui était issu, je le répète, d’un milieu chrétien. Le fait qu’on trouve, en islam, des enseignements détaillés dont l’objectif visé est facile à atteindre, qui sont faciles à mettre en pratique et qui sont en harmonie avec la nature humaine est vraiment une grande bénédiction. L’absence de tels enseignements est un des plus grands problèmes du christianisme. Par exemple, relativement à la cohésion sociale et aux interactions entre les gens, les plus grands enseignements que l’on puisse trouver dans le Nouveau Testament sont ceux auxquels on réfère en tant que « paroles dures de Jésus » :
« Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l'autre. Si quelqu'un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. Vous avez appris qu'il a été dit : tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et Il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:38-48)
Les érudits chrétiens sont eux-mêmes perplexes. Comment appliquer de tels enseignements? Un seul exemple d’une discussion relative à ces paroles suffira à démontrer à quel point ces enseignements peuvent être déroutants pour ceux qui y croient fermement :
« [Pour interpréter ces paroles], le modèle proposé par Joachim Jeremias est simple, représentatif et d’influence continue. Selon ce modèle, ce sermon est habituellement perçu de l’une des trois façons suivantes : (1) comme un code perfectionniste, parfaitement en accord avec le légalisme du judaïsme rabbinique; (2) comme un idéal impossible à atteindre destiné à pousser le croyant d’abord vers le désespoir, puis à placer sa confiance en la miséricorde de Dieu; (3) comme un système moral provisoire qui était d’abord destiné à une période déterminée et qui est maintenant dépassé. Jeremias ajoute une quatrième thèse personnelle : ce sermon est une représentation de la vie naissante dans le royaume de Dieu, qui présuppose, pour la rendre possible, l’expérience de la conversion. Des schématisations plus complexes et détaillées ont été suggérées, mais la majorité des grands commentateurs offrent des explications qui rejoignent celles proposées par Jeremias. »[1]
En islam, il n’y a pas de tels dilemmes. Les enseignements sont faciles à appliquer, flexibles, pratiques et parfaitement adaptés à la vie quotidienne, même pour un musulman nouvellement converti et vivant dans un milieu non-musulman, comme moi, à l’époque. Le célèbre auteur James A. Michener a aussi remarqué et apprécié cet aspect de l’islam. Dans un de ses premiers écrits sur l’islam, Islam – the Misunderstood Religion (l’islam, la religion incomprise), que j’ai lu, il écrit :
« Le Coran est remarquablement réaliste et pratique là où il aborde les choses de la vie. Dans un verset mémorable, il ordonne : « Lorsque vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la par écrit. (…) Et appelez comme témoins deux hommes parmi vous. » C’est cette combinaison de dévouement à un seul Dieu et d’enseignements pratiques qui fait du Coran un livre unique. »[2]
https://www.youtube.com/watch?v=AQurCEPodeI
« Vous avez appris qu'il a été dit : œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l'autre. Si quelqu'un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu'un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. Vous avez appris qu'il a été dit : tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et Il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:38-48)
Les érudits chrétiens sont eux-mêmes perplexes. Comment appliquer de tels enseignements? Un seul exemple d’une discussion relative à ces paroles suffira à démontrer à quel point ces enseignements peuvent être déroutants pour ceux qui y croient fermement :
« [Pour interpréter ces paroles], le modèle proposé par Joachim Jeremias est simple, représentatif et d’influence continue. Selon ce modèle, ce sermon est habituellement perçu de l’une des trois façons suivantes : (1) comme un code perfectionniste, parfaitement en accord avec le légalisme du judaïsme rabbinique; (2) comme un idéal impossible à atteindre destiné à pousser le croyant d’abord vers le désespoir, puis à placer sa confiance en la miséricorde de Dieu; (3) comme un système moral provisoire qui était d’abord destiné à une période déterminée et qui est maintenant dépassé. Jeremias ajoute une quatrième thèse personnelle : ce sermon est une représentation de la vie naissante dans le royaume de Dieu, qui présuppose, pour la rendre possible, l’expérience de la conversion. Des schématisations plus complexes et détaillées ont été suggérées, mais la majorité des grands commentateurs offrent des explications qui rejoignent celles proposées par Jeremias. »[1]
En islam, il n’y a pas de tels dilemmes. Les enseignements sont faciles à appliquer, flexibles, pratiques et parfaitement adaptés à la vie quotidienne, même pour un musulman nouvellement converti et vivant dans un milieu non-musulman, comme moi, à l’époque. Le célèbre auteur James A. Michener a aussi remarqué et apprécié cet aspect de l’islam. Dans un de ses premiers écrits sur l’islam, Islam – the Misunderstood Religion (l’islam, la religion incomprise), que j’ai lu, il écrit :
« Le Coran est remarquablement réaliste et pratique là où il aborde les choses de la vie. Dans un verset mémorable, il ordonne : « Lorsque vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la par écrit. (…) Et appelez comme témoins deux hommes parmi vous. » C’est cette combinaison de dévouement à un seul Dieu et d’enseignements pratiques qui fait du Coran un livre unique. »[2]
https://www.youtube.com/watch?v=AQurCEPodeI
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 10 sept.15, 13:58akay a écrit :Le côté fonctionnel et pratique de la Loi islamique m’a vraiment impressionné, à l’époque, moi qui était issu, je le répète, d’un milieu chrétien.
« Le Coran est remarquablement réaliste et pratique là où il aborde les choses de la vie. Dans un verset mémorable, il ordonne : « Lorsque vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la par écrit. (…) Et appelez comme témoins deux hommes parmi vous. » C’est cette combinaison de dévouement à un seul Dieu et d’enseignements pratiques qui fait du Coran un livre unique. »[2]
C'est effectivemtn la force de la révélation de Deiu à Muhamed, à nous..
Il y a tout pour se juger au quotiden dans le miroir quant à nos actes vis à vis soit meme et les autres...
En fait, ca reprent pas mal les 10 et ce que Jesus a fait aussi...
Ce qu'il manque, c'est l'interpration du Qur'an. Qui se doit d'être personnelle, face èa DIeu, face à soit-meme.. et non fait par des savants. autoproclamé... Notons que Muhamed n'a jamais peu nommé qui que ce soit, ni Ali, Ni Abu Bakr...
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: qui est cet homme?
Ecrit le 14 sept.15, 22:01La femme en Islam, est un être à part entière au même titre que l’homme auquel est prescrit un certain nombre de droits, mais également des devoirs qu’elle se doit d’accomplir tout au long de sa vie. Le tout afin d’assumer sa condition et son rôle dans la société du mieux possible et d'accomplir sa vocation spirituelle de la meilleure des manières, et ainsi réussir sa vie terrestre et surtout gagner aisément son au-delà. Le but ici n’étant pas de faire une liste complète non exhaustive des droits et des devoirs incombant à la femme musulmane, mais plutôt de citer les principaux qui constituent en quelque sorte la base de la tradition et que toute musulmane se doit de connaître avant d’envisager une progression dans les autres domaines de la religion.
Le devoir d’instruction
La femme, qui reste l’égal de l’homme devant Dieu, est tenue du respect des mêmes obligations religieuses que l'homme. De ce fait elle se doit d’accomplir les cinq piliers de l’Islam (Attestation, puis pratique de la Salat, versement de la Zakat, respect du Ramadan et accomplissement du Hajj), ceci tant qu’elle dispose des capacités financières mais surtout physiques le lui permettant (la femme enceinte ou en état de menstruation étant exemptée de certaines pratiques religieuses).
La croyante doit également connaître le mieux possible sa religion afin de distinguer parfaitement le licite (hallal) de l’illicite (haram), d’être par la suite la meilleure épouse pour son mari, mais surtout la meilleure mère qui puisse être pour ses enfants, en étant capable d’exercer l’influence spirituelle nécessaire sur eux et de leur transmettre de la meilleure des façons ses connaissances sur l’Islam.
Le devoir de respecter les liens familiaux
Le respect des ainés partie des hautes valeurs de l'islam, aussi la fille doit elle écoute, obéissance et "accompagnement" à ses père et mère, et ce durant toute leur vie. Et ce devoir n’a comme unique exception qu’elle ne doit point les écouter ci ceux-ci l’encouragent à accomplir un acte de mécréance (association) ou qui déplait à Dieu.
23. et ton Seigneur a décrété : “n'adorez que Lui; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : “Fi ! ” et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses.
26. “Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi qu'au pauvre et au voyageur (en détresse). Et ne gaspille pas indûment,
Sourate 17 : AL-ISRA (LE VOYAGE NOCTURNE)
8. Et Nous avons enjoint à l'homme de bien traiter ses père et mère, et “si ceux-ci te forcent à M'associer, ce dont tu n'as aucun savoir, alors ne leur obéis pas”. Vers Moi est votre retour, et alors Je vous informerai de ce que vous faisiez.
Sourate 29 : AL-ANKABUT (L'ARAIGNÉE)
En tant qu’épouse, la femme musulmane doit obéissance à son mari (1), mais ceci à la stricte condition que ce dernier soit juste envers elle et sa famille et respecte les valeurs de l'islam. L’obéissance ici ne doit point être vu comme une marque de soumission de la femme envers son époux, mais comme une concertation commune qui va dans l'intérêt global du couple et de la famille, où la femme a aussi son mot à dire. La femme musulmane se doit donc de maintenir le lien sacré qu’elle a établi avec son époux lors de son mariage, aussi bien en présence de ce dernier, que pendant son absence.
34. …Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah…
Sourate 4 : AN-NISA' (LES FEMMES)
Le devoir d’être une femme accomplie
En tant que femme tout d’abord, la croyante se doit de faire preuve de pudeur, afin de préserver sa féminité et conserver son estime de soi (2).
Le Prophète Muhammad (PBSL) a dit : « … la femme est une bergère dans la demeure de son mari et elle sera responsable de son troupeau … »
Aussi, en tant que mère, la femme musulmane se doit de protéger du mieux qu’elle peut la vie de son nourrisson, de l’allaiter si elle en a la capacité, et de participer avec le père au choix d’un prénom convenable pour son enfant. A ce sujet le prophète de Dieu (PBSL) a dit : « Vous serez interpellés, le jour de le résurrection, par vos prénoms et ceux de vos pères. Choisissez donc de bons prénoms pour vos enfants. »
Toujours afin de parfaire son rôle de mère, la femme musulmane se doit de participer à l’éducation de sa progéniture, que ce soit par l’enseignement de l’hygiène corporelle, de l’importance d’une alimentation équilibrée et de la pratique régulière d’un sport, et enfin de veiller à la santé physique de son enfant.
En ce qui concerne l’éducation intellectuelle à proprement parler, l’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont des activités recommandées, de même que l’incitation à la réflexion et à la méditation.
L’éducation religieuse est bien sûr primordiale, que ce soit l’enseignement des principes essentiels de l'islam tels que le bon comportement, la transcendance de certaines vertus tel que l’honnêteté, la générosité, ou l’enseignement des actes d’adoration (prière, zakat, ramadan...).
https://www.youtube.com/watch?v=HOA9KyBrFfE
Le devoir d’instruction
La femme, qui reste l’égal de l’homme devant Dieu, est tenue du respect des mêmes obligations religieuses que l'homme. De ce fait elle se doit d’accomplir les cinq piliers de l’Islam (Attestation, puis pratique de la Salat, versement de la Zakat, respect du Ramadan et accomplissement du Hajj), ceci tant qu’elle dispose des capacités financières mais surtout physiques le lui permettant (la femme enceinte ou en état de menstruation étant exemptée de certaines pratiques religieuses).
La croyante doit également connaître le mieux possible sa religion afin de distinguer parfaitement le licite (hallal) de l’illicite (haram), d’être par la suite la meilleure épouse pour son mari, mais surtout la meilleure mère qui puisse être pour ses enfants, en étant capable d’exercer l’influence spirituelle nécessaire sur eux et de leur transmettre de la meilleure des façons ses connaissances sur l’Islam.
Le devoir de respecter les liens familiaux
Le respect des ainés partie des hautes valeurs de l'islam, aussi la fille doit elle écoute, obéissance et "accompagnement" à ses père et mère, et ce durant toute leur vie. Et ce devoir n’a comme unique exception qu’elle ne doit point les écouter ci ceux-ci l’encouragent à accomplir un acte de mécréance (association) ou qui déplait à Dieu.
23. et ton Seigneur a décrété : “n'adorez que Lui; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : “Fi ! ” et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses.
26. “Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi qu'au pauvre et au voyageur (en détresse). Et ne gaspille pas indûment,
Sourate 17 : AL-ISRA (LE VOYAGE NOCTURNE)
8. Et Nous avons enjoint à l'homme de bien traiter ses père et mère, et “si ceux-ci te forcent à M'associer, ce dont tu n'as aucun savoir, alors ne leur obéis pas”. Vers Moi est votre retour, et alors Je vous informerai de ce que vous faisiez.
Sourate 29 : AL-ANKABUT (L'ARAIGNÉE)
En tant qu’épouse, la femme musulmane doit obéissance à son mari (1), mais ceci à la stricte condition que ce dernier soit juste envers elle et sa famille et respecte les valeurs de l'islam. L’obéissance ici ne doit point être vu comme une marque de soumission de la femme envers son époux, mais comme une concertation commune qui va dans l'intérêt global du couple et de la famille, où la femme a aussi son mot à dire. La femme musulmane se doit donc de maintenir le lien sacré qu’elle a établi avec son époux lors de son mariage, aussi bien en présence de ce dernier, que pendant son absence.
34. …Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah…
Sourate 4 : AN-NISA' (LES FEMMES)
Le devoir d’être une femme accomplie
En tant que femme tout d’abord, la croyante se doit de faire preuve de pudeur, afin de préserver sa féminité et conserver son estime de soi (2).
Le Prophète Muhammad (PBSL) a dit : « … la femme est une bergère dans la demeure de son mari et elle sera responsable de son troupeau … »
Aussi, en tant que mère, la femme musulmane se doit de protéger du mieux qu’elle peut la vie de son nourrisson, de l’allaiter si elle en a la capacité, et de participer avec le père au choix d’un prénom convenable pour son enfant. A ce sujet le prophète de Dieu (PBSL) a dit : « Vous serez interpellés, le jour de le résurrection, par vos prénoms et ceux de vos pères. Choisissez donc de bons prénoms pour vos enfants. »
Toujours afin de parfaire son rôle de mère, la femme musulmane se doit de participer à l’éducation de sa progéniture, que ce soit par l’enseignement de l’hygiène corporelle, de l’importance d’une alimentation équilibrée et de la pratique régulière d’un sport, et enfin de veiller à la santé physique de son enfant.
En ce qui concerne l’éducation intellectuelle à proprement parler, l’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont des activités recommandées, de même que l’incitation à la réflexion et à la méditation.
L’éducation religieuse est bien sûr primordiale, que ce soit l’enseignement des principes essentiels de l'islam tels que le bon comportement, la transcendance de certaines vertus tel que l’honnêteté, la générosité, ou l’enseignement des actes d’adoration (prière, zakat, ramadan...).
https://www.youtube.com/watch?v=HOA9KyBrFfE
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 14 sept.15, 22:40J'aimerais revenir sur certains versets que tu cites Akay et te montrer que je les comprends autrement que la plupart des musulmans. En effet, j'ai tendance à vouloir rationaliser les choses. Et je ne pense pas que ça contredit le Coran ou ce qu'il y a dans la Bible, au contraire, pour ma part, ça permet de gommer les différences et de faire le lien entre les deux Livres. Bon après, forcément, c'est mon interprétation, ça n'est pas forcément non plus une vérité en soi.
Mais bon, c'est un détail peu important dans les passages que tu cites.
Les musulmans pensent que Jésus a été élevé vivant, corps et âme dans le Royaume de Dieu. Et qu'il n'a jamais été crucifié, que c'était un faux Jésus qui était sur la croix.
Mais ce n'est pas ainsi que je comprends le verset. Il montre à travers ce verset que Jésus est le symbole de la vie éternelle, qu'il y a une vie après la mort, qu'il est le premier monté au ciel.
Quand le verset dit que "Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi", les juifs, ceux qui ont tué Jésus, ont cru qu'il était complètement mort, disparu, alors que Dieu l'a rendu vivant pour l'éternité.
Donc pour moi, il y a bien eu crucifixion du corps de Jésus, mais c'est cette mort terrestre qui a rendu l'âme de Jésus éternelle.
Les juifs ne l'ont pas tué, ils l'ont rendu éternel.
Le pêché n'est pas de croire que Jésus est vraiment mort sur terre puis élevé éternellement au ciel, le pêcher est de croire qu'il est vraiment mort et qu'il n'existe plus nulle part. Autrement dit, le pêcher est d'imaginer que la vie après la mort n'existe pas.
Alors les musulmans n'appellent peut-être pas cela la nouvelle Jérusalem, mais ça revient au même ... C'est sur terre que la paix régnera, pas dans un hypothétique paradis qui se trouverait dans une 4e dimension ...
Le jour de la Résurrection, c'est le jour de renaissance de la terre et de l'humanité débarrassée de ses impuretés (à savoir les mauvais éléments que nous sommes pour la plupart). Seuls les survivants seront les élus ...
Après, pour le reste, je suis d'accord avec ce que tu dis. L'islam est la vérité, mais c'est la même vérité que celle qui est dans la Bible.
C'est les dogmes chrétiens qui ont modifié la parole biblique.
Maintenant, concernant l'islam, même si je suis d'accord avec tout ce que tu dis, ce n'est pas parce qu'une personne ressemble à un musulman qu'il est musulman en lui. Une personne barbue, ou voilée, ou priant comme ceci ou cela, n'a pas forcément la foi. Beaucoup singe ces "déguisements" mais n'ont rien de bien musulmans dans leur comportement ou dans leur tête.
L'Eglise a détruit Dieu en inculquant tout et n'importe quoi aux fidèles et je pense que les dogmes islamiques sont entrain d'en faire de même.
Je suis d'accord pour dire que les musulmans sont beaucoup plus proches de la vérité que les autres religions. Il n'empêche que l'habit ne fait pas le moine (ou l'imam, tu choisiras).
J'arrive à adhérer mentalement à tout ce que l'islam demande, mais dans la pratique, pas du tout. J'aurai l'impression d'être un pantin, d'être un être dénué de raisonnement. En ce moment, ceux qui prônent les valeurs de l'islam font peur et je n'ai pas envie d'adhérer à ce genre de raisonnement du tout. Je vis dans un milieu de musulmans, je n'en connais pas un de tolérant, ou alors en surface et il ne faut pas gratter bien loin pour s'apercevoir qu'on est leur pire ennemi. Ces gens-là n'ont aucune qualité requise pour s'apparenter à nos prophètes, ils font en sorte que, mais ils se laissent influencer par les copains, par la famille, par l'imam du quartier qui a dit que et on voit en face de soi des gens dénués d'humanité.
Je ne veux pas faire partie de ce genre de personnes. Et il m'est impossible de leur ressembler, même si au fond de moi, je sais que c'est la vérité. Je ne peux devenir musulmane dans le sens que les musulmans actuels se font de l'islam. Dans ma vie de tous les jours, j'ai intégré l'islam, mais l'islam que je considère de Dieu, pas celles des hommes. Cet islam est destructeur, vraiment.
Alors le voile, pour ma part, rien à faire. Pourtant, je fais en sorte de m'habiller pudiquement. Mais je ne ressemblerai jamais à une musulmane. J'appelle ces gens-là des pharisiens. Il y en a des tonnes autour de nous de ces gens-là. Que de l'hypocrisie de dévot ... Autrefois, on les appelait les culs d'église ... C'est pas forcément les plus honorables de la création.
La foi, elle doit être intérieure avant tout, pas extérieure.
Pour moi, les musulmans qui s'affichent en musulman ne font que singer l'allure des anciens prophètes. Ils sont très loin d'en avoir les vertus ... Ils en sont tout l'inverse.
Mais dans la théorie, tu as raison sur tout ce que tu as dit. Mais dans la pratique, quel cirque ...
Les musulmans disent que Jésus parlait avec des mots à sa naissance. Je pense plutôt que par sa nature il permettait à des gens de comprendre qu'il n'était pas comme tous les autres enfants. En cela, il parlait aux gens, il leur disait qu'il était celui attendu, un envoyé de Dieu.akay a écrit :« Et quand les anges dirent : « Ô Marie! Dieu t’annonce la bonne nouvelle d’une Parole de Sa part. Son nom sera le Messie, Jésus, fils de Marie, illustre en ce monde comme dans l’au-delà et l’un des rapprochés (de Dieu). Il parlera aux gens dès le berceau. Et en son âge mûr, il sera du nombre des vertueux. » (Coran 3:45-46)
Mais bon, c'est un détail peu important dans les passages que tu cites.
Alors là, pour moi, ce verset ne contredit absolument pas la Bible, il la confirme.L’histoire de Jésus ne se termine pas vraiment, car le Coran nous apprend que Jésus n’a jamais été tué, mais que Dieu l’a élevé vers Lui :
« Et quand Dieu dit: « Ô Jésus! Certes, Je vais mettre fin à ta vie terrestre; Je vais t’élever vers Moi et te débarrasser de ceux qui ne croient pas. Et, jusqu’au Jour de la Résurrection, Je rendrai ceux qui te suivent supérieurs à ceux qui ne croient pas. Puis, vous reviendrez (tous) vers Moi et Je jugerai vos différends. Quant à ceux qui ne croient pas, Je les châtierai d’un terrible châtiment, en ce monde comme dans l’au-delà; et ils ne seront point secourus. Et quant à ceux qui croient et accomplissent de bonnes œuvres, Il leur paiera leur pleine rétribution. Dieu n’aime point les transgresseurs. » (Coran 3:55-57)
Le Coran souligne également que Jésus ne fut ni tué ni crucifié. Parlant des Enfants d’Israël, Dieu réfute leurs accusations contre Marie, de même que leurs affirmations selon lesquelles ils auraient tué Jésus :
« Et (Nous les avons également maudits) à cause de leur incroyance et de l’énorme calomnie qu’ils ont proférée à l’encontre de Marie, et parce qu’ils ont dit: « Nous avons vraiment tué le Messie, Jésus fils de Marie, le messager de Dieu. » Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi. Et certes, ceux qui sont en désaccord à ce sujet sont remplis d’incertitude ; ils n’en ont aucune connaissance (certaine) et ne font que suivre des conjectures. Ils ne l’ont certainement pas tué ; mais Dieu l’a élevé vers Lui. Et Dieu est Puissant et Sage. » (Coran 4:156-158)
Les musulmans pensent que Jésus a été élevé vivant, corps et âme dans le Royaume de Dieu. Et qu'il n'a jamais été crucifié, que c'était un faux Jésus qui était sur la croix.
Mais ce n'est pas ainsi que je comprends le verset. Il montre à travers ce verset que Jésus est le symbole de la vie éternelle, qu'il y a une vie après la mort, qu'il est le premier monté au ciel.
Quand le verset dit que "Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais cela leur est apparu ainsi", les juifs, ceux qui ont tué Jésus, ont cru qu'il était complètement mort, disparu, alors que Dieu l'a rendu vivant pour l'éternité.
Donc pour moi, il y a bien eu crucifixion du corps de Jésus, mais c'est cette mort terrestre qui a rendu l'âme de Jésus éternelle.
Les juifs ne l'ont pas tué, ils l'ont rendu éternel.
Le pêché n'est pas de croire que Jésus est vraiment mort sur terre puis élevé éternellement au ciel, le pêcher est de croire qu'il est vraiment mort et qu'il n'existe plus nulle part. Autrement dit, le pêcher est d'imaginer que la vie après la mort n'existe pas.
Finalement Mohamed ne fait que confirmer la Bible. La nouvelle Jérusalem qui descend sur terre après son nettoyage (apocalypse).Le Coran confirme que Jésus fut élevé vers Dieu et le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) nous a assuré que Jésus serait de nouveau envoyé sur terre avant le Jour du Jugement. Dans un hadith rapporté par Abou Hourayrah, le Prophète dit :
« Par Celui qui tient mon âme dans Sa main, le fils de Marie descendra bientôt parmi vous en tant que juge intègre. Il brisera toutes les croix qu’il trouvera sur son chemin, tuera les porcs et abolira la jizyah (taxe), car les richesses deviendront si abondantes que personnes n’en aura plus besoin, jusqu’à ce qu’une seule prosternation soit meilleure que le monde et tout ce qu’il contient. » (sahih al-Boukhari)
Alors les musulmans n'appellent peut-être pas cela la nouvelle Jérusalem, mais ça revient au même ... C'est sur terre que la paix régnera, pas dans un hypothétique paradis qui se trouverait dans une 4e dimension ...
Le jour de la Résurrection, c'est le jour de renaissance de la terre et de l'humanité débarrassée de ses impuretés (à savoir les mauvais éléments que nous sommes pour la plupart). Seuls les survivants seront les élus ...
Après, pour le reste, je suis d'accord avec ce que tu dis. L'islam est la vérité, mais c'est la même vérité que celle qui est dans la Bible.
C'est les dogmes chrétiens qui ont modifié la parole biblique.
Maintenant, concernant l'islam, même si je suis d'accord avec tout ce que tu dis, ce n'est pas parce qu'une personne ressemble à un musulman qu'il est musulman en lui. Une personne barbue, ou voilée, ou priant comme ceci ou cela, n'a pas forcément la foi. Beaucoup singe ces "déguisements" mais n'ont rien de bien musulmans dans leur comportement ou dans leur tête.
L'Eglise a détruit Dieu en inculquant tout et n'importe quoi aux fidèles et je pense que les dogmes islamiques sont entrain d'en faire de même.
Je suis d'accord pour dire que les musulmans sont beaucoup plus proches de la vérité que les autres religions. Il n'empêche que l'habit ne fait pas le moine (ou l'imam, tu choisiras).
J'arrive à adhérer mentalement à tout ce que l'islam demande, mais dans la pratique, pas du tout. J'aurai l'impression d'être un pantin, d'être un être dénué de raisonnement. En ce moment, ceux qui prônent les valeurs de l'islam font peur et je n'ai pas envie d'adhérer à ce genre de raisonnement du tout. Je vis dans un milieu de musulmans, je n'en connais pas un de tolérant, ou alors en surface et il ne faut pas gratter bien loin pour s'apercevoir qu'on est leur pire ennemi. Ces gens-là n'ont aucune qualité requise pour s'apparenter à nos prophètes, ils font en sorte que, mais ils se laissent influencer par les copains, par la famille, par l'imam du quartier qui a dit que et on voit en face de soi des gens dénués d'humanité.
Je ne veux pas faire partie de ce genre de personnes. Et il m'est impossible de leur ressembler, même si au fond de moi, je sais que c'est la vérité. Je ne peux devenir musulmane dans le sens que les musulmans actuels se font de l'islam. Dans ma vie de tous les jours, j'ai intégré l'islam, mais l'islam que je considère de Dieu, pas celles des hommes. Cet islam est destructeur, vraiment.
Alors le voile, pour ma part, rien à faire. Pourtant, je fais en sorte de m'habiller pudiquement. Mais je ne ressemblerai jamais à une musulmane. J'appelle ces gens-là des pharisiens. Il y en a des tonnes autour de nous de ces gens-là. Que de l'hypocrisie de dévot ... Autrefois, on les appelait les culs d'église ... C'est pas forcément les plus honorables de la création.
La foi, elle doit être intérieure avant tout, pas extérieure.
Pour moi, les musulmans qui s'affichent en musulman ne font que singer l'allure des anciens prophètes. Ils sont très loin d'en avoir les vertus ... Ils en sont tout l'inverse.
Mais dans la théorie, tu as raison sur tout ce que tu as dit. Mais dans la pratique, quel cirque ...
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 15 sept.15, 00:27Toujours un réel plaisir de lire tant de sagesse et autant de pragmatisme!!! 

Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 15 sept.15, 02:26@ assmatine
Je pense que tu te trompes sur le fait que Jésus parla aux gens dès le berceau.
Déjà premièrement Allah indique à Marie qu'il accordera deux miracles particuliers à Jésus.
Or parler aux gens de la façon que tu dis c'est-à-dire que Jésus communiquera indirectement la lumière et la sagesse aux gens contredit le fait que c'est un miracle.
Et la princiaple contradiction se trouve dans la sourate 19.
Etudie la sourate à partir du verset 29 jusqu'au verset 33.
Je suis aussi en désaccord sur ce que tu as dit sur l'élévation de Jésus.
Le coran indique qu'il ne l'ont ni tué ni crucifié mais que ça paraissait comme si aux yeux de son peuple.
Ensuite le coran indique qu'Allah l'a élévé vers lui.
En résumé, Jésus n'a jamais connu la mort physique.
Moi je pense contrairement à beaucoup de musulmans que c'était bien Jésus sur la croix.
Or les musulmans (comme les chrétiens) pensent à tort car mal renseignés qu'être crucifié c'est être sur la croix.
Ceci est faux et cela a été propagé de cette forme pour tromper les gens sur la nature des évènements.
Crucifier cela veut dire pendre une personne sur une croix jusqu'à ce que mort s'en suive.
Tout comme pendre veut dire briser la nuque par une corde.
Si le "pendu" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été pendu.
De même si le "crucifié" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été crucifié.
Donc Allah dit qu'ils ne l'ont ni tué ni crucifié.
Ce qui sous-entend qu'ils ne l'ont ni tué avec la lance alors que Jésus était en croix ni crucifié c'est-à-dire que Jésus ayant souffert d'étouffement pulmonaire dû à l'écartement constant de sa poitrine jusqu'à la mort.
Mais qu'il a bien semblé aux gens qu'il rendit l'âme sur la croix.
Les évangiles confirment tout cela.
Les évangiles disent que les Romains lui ont planté une lance dans le ventre...mais Allah l'a sauvé.
Les évangiles disent que les gens ont entendu Jésus soupiré son dernier souffle...mais Allah l'a sauvé.
Il suffit de voir l'attitude de Marie de Magdeleine pour comprendre qu'il était encore vivant.
Et il suffit de lire ce que Jésus lui dit aux 3ème jours et ce qu'il dit à ses disciples pour comprendre qu'il n'y aucune erreur dans le coran.
Et lire le miracle de Jonas qui confirme que Jésus n'a jamais trouvé la mort sur terre.
Et le terme tawaffa en arabe est différent du terme maout qui veut dire mort physique.
Tawaffa signifie que l'âme monte vers Dieu.
Or dans un autre verset Allah dit qu'il reçoit les âmes de ceux qui dorment pendant leur sommeil et la renvoie à une date ultérieure pour ceux dont la mort n'a pas été décrété et retient l'âme de ceux dont la mort a été décrété.
Donc mathématiquement Allah a chez lui l'âme de Jésus mais cela ne veut pas dire qu'il est mort.
Il est en sommeil.
Et quand il l'aura décidé il la renverra sur terre jusqu'à son terme.
Et c'est à cette époque que se verra le dernier miracle particulier de Jésus.
Parler aux gens en son âge mur car si cela avait été déjà le cas ce ne serait pas un miracle.
Je pense que tu te trompes sur le fait que Jésus parla aux gens dès le berceau.
Déjà premièrement Allah indique à Marie qu'il accordera deux miracles particuliers à Jésus.
Or parler aux gens de la façon que tu dis c'est-à-dire que Jésus communiquera indirectement la lumière et la sagesse aux gens contredit le fait que c'est un miracle.
Et la princiaple contradiction se trouve dans la sourate 19.
Etudie la sourate à partir du verset 29 jusqu'au verset 33.
Je suis aussi en désaccord sur ce que tu as dit sur l'élévation de Jésus.
Le coran indique qu'il ne l'ont ni tué ni crucifié mais que ça paraissait comme si aux yeux de son peuple.
Ensuite le coran indique qu'Allah l'a élévé vers lui.
En résumé, Jésus n'a jamais connu la mort physique.
Moi je pense contrairement à beaucoup de musulmans que c'était bien Jésus sur la croix.
Or les musulmans (comme les chrétiens) pensent à tort car mal renseignés qu'être crucifié c'est être sur la croix.
Ceci est faux et cela a été propagé de cette forme pour tromper les gens sur la nature des évènements.
Crucifier cela veut dire pendre une personne sur une croix jusqu'à ce que mort s'en suive.
Tout comme pendre veut dire briser la nuque par une corde.
Si le "pendu" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été pendu.
De même si le "crucifié" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été crucifié.
Donc Allah dit qu'ils ne l'ont ni tué ni crucifié.
Ce qui sous-entend qu'ils ne l'ont ni tué avec la lance alors que Jésus était en croix ni crucifié c'est-à-dire que Jésus ayant souffert d'étouffement pulmonaire dû à l'écartement constant de sa poitrine jusqu'à la mort.
Mais qu'il a bien semblé aux gens qu'il rendit l'âme sur la croix.
Les évangiles confirment tout cela.
Les évangiles disent que les Romains lui ont planté une lance dans le ventre...mais Allah l'a sauvé.
Les évangiles disent que les gens ont entendu Jésus soupiré son dernier souffle...mais Allah l'a sauvé.
Il suffit de voir l'attitude de Marie de Magdeleine pour comprendre qu'il était encore vivant.
Et il suffit de lire ce que Jésus lui dit aux 3ème jours et ce qu'il dit à ses disciples pour comprendre qu'il n'y aucune erreur dans le coran.
Et lire le miracle de Jonas qui confirme que Jésus n'a jamais trouvé la mort sur terre.
Et le terme tawaffa en arabe est différent du terme maout qui veut dire mort physique.
Tawaffa signifie que l'âme monte vers Dieu.
Or dans un autre verset Allah dit qu'il reçoit les âmes de ceux qui dorment pendant leur sommeil et la renvoie à une date ultérieure pour ceux dont la mort n'a pas été décrété et retient l'âme de ceux dont la mort a été décrété.
Donc mathématiquement Allah a chez lui l'âme de Jésus mais cela ne veut pas dire qu'il est mort.
Il est en sommeil.
Et quand il l'aura décidé il la renverra sur terre jusqu'à son terme.
Et c'est à cette époque que se verra le dernier miracle particulier de Jésus.
Parler aux gens en son âge mur car si cela avait été déjà le cas ce ne serait pas un miracle.
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 15 sept.15, 04:39[quote="musulman49]
Si le "pendu" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été pendu.
De même si le "crucifié" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été crucifié.
[/quote]
Pourrait-on par le fait même,
affirmer que le Bab n'a pas été fusillé la premier fois comme il s'en est sorti ''miraculeusement''...
et affirmer qu'il a été bel et bien fusillé, car il ne s'en est pas sorti la deuxième fois?

Si le "pendu" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été pendu.
De même si le "crucifié" s'en sort miraculeusement on ne peut en aucun cas dire qu'il a été crucifié.
[/quote]
Pourrait-on par le fait même,
affirmer que le Bab n'a pas été fusillé la premier fois comme il s'en est sorti ''miraculeusement''...
et affirmer qu'il a été bel et bien fusillé, car il ne s'en est pas sorti la deuxième fois?

Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 16 sept.15, 02:48@indian
Fusiller c'est tuer par raffale de tirs.
Si la personne s'en sort miraculeusement il n'a pas été fusillé mais a essuyé un raffale de tir.
Crucifier une personne à son origine comme faisaient les Romains c'est accrocher une personne les bras écartés et le laisser suffoquer jusqu'à la mort par manque de respiration.
En effet les Romains utilisaient cette mort lente et donc atroce pour servir d'exemple et freiner les ardeurs des rebelles.
En gardant les bras écartés pendant 2 à 3 jours la personne perd toutes ses forces et n'arrive plus à faire marcher le poumon pour respirer.
En génral les gens mettaient plusieurs jours à mourir même une semaine.
Pour accélérer la mise à mort les Romains avaient pour habitude de fouetter l'accusé avant de le mettre en croix pour l'affaiblir.
Dans l'histoire de Jésus les Romains l'ont d'abord fouetté puis lui ont planté une lance dans le ventre pour l'affaiblir grandement.
Ils ont fait cela à la demande des Juifs car c'était Vendredi matin (vendredi saint) et il fallait que Jésus meurent avant le début du Shabbat.
Car dans la tradition juive la personne qui meurent crucifié étaient considérée maudite.
Le coran n'a aucune erreur.
La lance ne l'a pas tué.
La mise à la croix ne l'a pas tué.
Et les gens ont cru qu'il avait rendu son dernier soupir sur la croix.
Mais après 3 jours de repos il s'est levé vivant : l'ange a dit à Marie Magdeleine pourquoi cherchez-vous le Vivant chez les Morts.
Jésus avait prédit cela : détruisez mon temple et en 3 jours je le rebâtirai.
Le miracle de Jonas prouve clairement ensuite qu'il n'a jamais été mort.
Quand Jésus revient chez ses disciples il leur prouve qu'il est bien vivant et il leur montre les séquelles qu'il a gardé.
Fusiller c'est tuer par raffale de tirs.
Si la personne s'en sort miraculeusement il n'a pas été fusillé mais a essuyé un raffale de tir.
Crucifier une personne à son origine comme faisaient les Romains c'est accrocher une personne les bras écartés et le laisser suffoquer jusqu'à la mort par manque de respiration.
En effet les Romains utilisaient cette mort lente et donc atroce pour servir d'exemple et freiner les ardeurs des rebelles.
En gardant les bras écartés pendant 2 à 3 jours la personne perd toutes ses forces et n'arrive plus à faire marcher le poumon pour respirer.
En génral les gens mettaient plusieurs jours à mourir même une semaine.
Pour accélérer la mise à mort les Romains avaient pour habitude de fouetter l'accusé avant de le mettre en croix pour l'affaiblir.
Dans l'histoire de Jésus les Romains l'ont d'abord fouetté puis lui ont planté une lance dans le ventre pour l'affaiblir grandement.
Ils ont fait cela à la demande des Juifs car c'était Vendredi matin (vendredi saint) et il fallait que Jésus meurent avant le début du Shabbat.
Car dans la tradition juive la personne qui meurent crucifié étaient considérée maudite.
Le coran n'a aucune erreur.
La lance ne l'a pas tué.
La mise à la croix ne l'a pas tué.
Et les gens ont cru qu'il avait rendu son dernier soupir sur la croix.
Mais après 3 jours de repos il s'est levé vivant : l'ange a dit à Marie Magdeleine pourquoi cherchez-vous le Vivant chez les Morts.
Jésus avait prédit cela : détruisez mon temple et en 3 jours je le rebâtirai.
Le miracle de Jonas prouve clairement ensuite qu'il n'a jamais été mort.
Quand Jésus revient chez ses disciples il leur prouve qu'il est bien vivant et il leur montre les séquelles qu'il a gardé.
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Re: qui est cet homme?
Ecrit le 16 sept.15, 02:55musulman49 a écrit :@indian
Fusiller c'est tuer par raffale de tirs.
Si la personne s'en sort miraculeusement il n'a pas été fusillé mais a essuyé un raffale de tir.
Crucifier une personne à son origine comme faisaient les Romains c'est accrocher une personne les bras écartés et le laisser suffoquer jusqu'à la mort par manque de respiration.
En effet les Romains utilisaient cette mort lente et donc atroce pour servir d'exemple et freiner les ardeurs des rebelles.
En gardant les bras écartés pendant 2 à 3 jours la personne perd toutes ses forces et n'arrive plus à faire marcher le poumon pour respirer.
En génral les gens mettaient plusieurs jours à mourir même une semaine.
Pour accélérer la mise à mort les Romains avaient pour habitude de fouetter l'accusé avant de le mettre en croix pour l'affaiblir.
Dans l'histoire de Jésus les Romains l'ont d'abord fouetté puis lui ont planté une lance dans le ventre pour l'affaiblir grandement.
Ils ont fait cela à la demande des Juifs car c'était Vendredi matin (vendredi saint) et il fallait que Jésus meurent avant le début du Shabbat.
Car dans la tradition juive la personne qui meurent crucifié étaient considérée maudite.
Le coran n'a aucune erreur.
La lance ne l'a pas tué.
La mise à la croix ne l'a pas tué.
Et les gens ont cru qu'il avait rendu son dernier soupir sur la croix.
Mais après 3 jours de repos il s'est levé vivant : l'ange a dit à Marie Magdeleine pourquoi cherchez-vous le Vivant chez les Morts.
Jésus avait prédit cela : détruisez mon temple et en 3 jours je le rebâtirai.
Le miracle de Jonas prouve clairement ensuite qu'il n'a jamais été mort.
Quand Jésus revient chez ses disciples il leur prouve qu'il est bien vivant et il leur montre les séquelles qu'il a gardé.
Merci musulamn49.
Je connais plutot bien ces traditions romaines quant à ces exécutions.
Mais j'ai comme l'impression que lorsq'on dit que Jésus n'est pas mort... c'est au niveau spirituel?
Qu'apres trois jours, c'est la foi qui a regagner les Apotres, qio devait être sous le chox total d'avoir penser perdre leur ami.
Mais bon ce n'est que mon ''point de vue''
Car il vit encoer parmis nous Jésus, le Christ, L'Esprit de Vérité... ''spirituellement '' entendons nous.
Tout comme le même esprit muhamedien

Les Vivants et les Morts?
Les ''Vivants'' qui sont tournés vers Dieu ou les ''Morts'' qui se sont détourné de sa face?
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
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