Re: Vœu et excommunication
Posté : 10 août19, 21:06
Ce n'est pas ce que je vous demande. Ça fait deux fois que vous évitez de répondre et tentez à la place d'orienter l'attention sur autre chose. La première fois vous avez tenté d'attirer l'attention vers la définition d'un mot tout en répétant mécaniquement celle d'un autre, et maintenant, c'est sur moi que vous cherchez à diriger l'attention. On aura donc compris que vous n'avez aucun argument concret et valable pour réfuter efficacement l'exemple que vous a donné RT2.Maximilien a écrit : ↑10 août19, 18:23Personne n’a refusé cette évidence : que la prière personnelle que l’ont fait dans l’intimité, dans laquelle on déclare faire l’offrande de sa personne à Jéhovah, constitue un vœu. Un vœu personnel, un « vœu simple » dit l’Académie.
L'évidence que je vois surtout, c'est que la position que vous soutenez dans le cadre de votre stratégie de sortie - et qui consiste à dire que le jour de leur baptême, les candidats feraient deux serments d'allégeance : un à Dieu et un autre à son organisation - implique que Jésus se serait trompé lorsqu'il a dit " PERSONNE ne peut travailler comme esclave pour deux maîtres " (Matthieu 6:24). Ces paroles de Jésus suffisent très largement à démontrer que votre interprétation de ces questions n'est pas la bonne et devraient vous encourager à revoir votre copie. Mais non, vous vous obstinez, répétant en boucle la définition du mot " solennel ", convaincu d'avoir prouvé qu'un Témoin de Jéhovah serait une personne s'étant engagée, le jour de son baptême, à travailler comme esclave pour deux maîtres à la fois. Tellement obstiné que, ne voyant pas plus loin que le bout de votre nez, vous ne vous rendez même pas compte qu'au-delà des Témoins de Jéhovah et du baptême, ce serait la preuve que Jésus aurait tort que vous affirmez avoir apporté.Maximilien a écrit : ↑10 août19, 18:23Tu refuses une autre évidence, à savoir que les deux « oui » prononcés solennellement dans le cadre d’une cérémonie publique de baptême, engagent celui qui les prononce, qu’ils constituent des promesses solennelles, des vœux.