Et je rajouterai aujourd'hui Esther 7:7= k/ I - kholtha/ H- 'éla/ W- hara'a/ H = de gauche à droite = I/H/W/H


Je rappel la Massore rend ces quatre lettres en rouge pour faire ressortir le tétragramme en (acrostiche).
a+
* Ce commentaire parle d'abord de lettres initiales puis de lettres finales, ce n'est pas facile de se retrouver.medico a écrit :. S’il est vrai que le nom de Dieu n’est pas cité dans ce livre, il semble néanmoins qu’à quatre reprises dans le texte hébreu apparaisse un acrostiche du Tétragramme, les lettres initiales de quatre mots successifs, à savoir YHWH (hébreu : יהוה) ou Jéhovah. Ces initiales sont particulièrement accentuées dans au moins trois manuscrits hébreux anciens, et elles sont également marquées en rouge dans la massore. En outre, en Esther 7:5 il y a apparemment un acrostiche formé par la déclaration divine : “ Je serai.
(Esther 7:5) 5 Le roi Assuérus dit alors, oui il dit à Esther la reine : “ Qui est-ce, et où est-il, celui qui s’est enhardi à agir ainsi ? [...]
et la note dit
ce, et où est-il, celui ? ” Il semble que ce soit un acrostiche de cette parole divine : “ Je serai. ” Cet acrostiche est formé par les lettres finales אהיה (ʼHYH). C’est ce qu’indiquent certains mss héb. en utilisant des majuscules, ce qui donne : הוא זה ואי־זה.
Ben je viens de répondre à ta question.medico a écrit :Comment tu peux affirmer une telle chose sans preuve?
Comment peux tu vraiment ombre dire les intentions de l'auteur qui a utiliser ce procédé ?
Pourtant, dans le livre de la Révélation, il y a Halléluyah, ce qui vezut dire "Louez Jah (ou Jéhovah)", pourquoi cela ne pourrait-il pas être pareil ?BenFis a écrit :Pour qu’un acrostiche sur le Tétragramme soit recevable, il faudrait qu’il conserve les 4 lettres Y H W H, et respecte le sens de lecture droite-gauche de l’écriture hébraïque. Esther 5 :4 en est un bon exemple.
La loi des probabilités devrait permettre de prévoir que d’autres acrostiches sont nichés dans l’AT.
Après quelques recherches dans la Torah uniquement, j’en ai trouvé 3 autres.
Par ex Lev 8 :16 :
וַיִּקַּח אֶת־כָּל־הַחֵלֶב אֲשֶׁר עַל־הַקֶּרֶב וְאֵת יֹתֶרֶת הַכָּבֵד וְאֶת־שְׁתֵּי הַכְּלָיֹת וְאֶת־חֶלְבְּהֶן וַיַּקְטֵר מֹשֶׁה הַמִּזְבֵּחָה׃
La conclusion est que l'acrostiche trouvé dans le Livre d'Esther n’est pas significatif d’une intention délibérée de l’auteur.
Halléluyah est un mot grec qui a pour racine Yah. Ce mot a été construit délibérément pour dire 'Louez Yah'.chrétien2 a écrit : Pourtant, dans le livre de la Révélation, il y a Halléluyah, ce qui vezut dire "Louez Jah (ou Jéhovah)", pourquoi cela ne pourrait-il pas être pareil ?
chrétien2 a écrit : Pourtant, dans le livre de la Révélation, il y a Halléluyah, ce qui vezut dire "Louez Jah (ou Jéhovah)", pourquoi cela ne pourrait-il pas être pareil ?
Quelle preuve as-tu que ce soit le hasard ?BenFis a écrit : Halléluyah est un mot grec qui a pour racine Yah. Ce mot a été construit délibérément pour dire 'Louez Yah'.
Alors que l'acrostiche peut survenir soit par hasard dans le texte, soit avoir été prévu ainsi par l'auteur.
Le fait que le hasard puisse intervenir dans ce genre de construction fait qu'on ne peut pas être certain que ce soit une idée de l'auteur.
N'importe quoi !medico a écrit :Le hasard fait bien les chose , mais je ne pense que Jean à écrit le nom Halléluyah,par hasard.
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