psycha a écrit :looooool mais vicomte c quoi ton truc avec t réponse a réponse b et réponse c !!!!! on est pas a qui veut gagner des millions.
J'ignore à quoi tu fais référence. J'ai employé cette structure de langage car tu n'as manifestement pas compris les précédentes.
Tu fais appel à la moquerie plutôt qu'à l'argumentation, c'est ton choix. Personnellement, je pense toutefois que ce n'est pas ce qui fera que Mil21 ou moi-même, qui pourtant ne partageons pas du tout les mêmes convictions quant à la croyance, seront convaincus par tes propos.
psycha a écrit :nan je ne me reconnais pas dans c trois propositions que tu fais. J'ai dis que j'ai dis mon désaccord totale et vivement.
et que effectivement j'ai un soucis avec les codes. y a des liens que je fais pas. en tout cas c très subjectif ce que tu dis sur le rapport à la courtoisie.
Quelle que soit la culture ou la civilisation à laquelle on appartient, rire au nez de quelqu'un en laissant implicitement penser qu'on le prend pour un imbécile de penser comme il le pense, ça passe généralement toujours pour la plus discourtoise des condescendances.
Or le ton que tu emploies est toujours le même : tu te moques de nos assertions sans pourtant apporter le moindre argument montrant qu'effectivement il y a de quoi rire. Nous devrions adhérer à ta pensée sur la simple autorité de tes dires, laissant donc supposer ta supériorité intellectuelle par rapport à nous. Tu es sans doute plus intelligente et cultivée que nous, mais nous n'apprécions pas que tu le laisses entendre de manière aussi ostensible (surtout sans en faire la démonstration).
psycha a écrit :je pense qu'on a rien à attendre des gens sur un forum, et qu'on est là pour discuter, chacun avec sa façon de discuter, dans des limites, que l'administration va mettre, de façon que l'on juge arbitraire ou pas.
De mon côté, je ne suis pas au café du commerce. Je ne viens pas à une tribune, mais dans un lieu d'échanges. J'essaye de m'instruire, et j'essaye également de répondre de manière instructive (en fonction de mes humbles capacités) afin que nos échanges publics soient utiles non pas à nos egos mais à la collectivité.
psycha a écrit :quant à la question sur la science, je vois pas du tout ce qui te gene dans mon propos. [...] je ne parlerai jamais à la place d'un newton, copernic, un charles quint, un kierkegaard, ou la reine elizabeth... pour dire comment il pourraient se positionner en fonction de telles ou telles thèses. c'est faire une speculation qui n'a aucun sens. sauf si on démarre avec un dogme dans sa tete.
S'exprimer ainsi c'est me semble-t-il confondre l'entièreté des concepts qui ont animé l'esprit d'un scientifique (totalement inutile à la communauté) avec les quelques connaissances (discours prédictif, vérifiable et réfutable) qu'ils ont légué à l'histoire des concepts (réutilisables en dehors du contexte qui les a vu naître).
psycha a écrit :Après oui y a la position des créationnistes par exemple. Mais bon c une secte pour moi. Ils se coupent volontairement.[...]
Mais bon vouloir prouver l'existence de dieu ou son inexistence, par un rigorisme scientifique... on peut toujours essayer...
on peut s'amuser à faire de la réthorique à gogo... et mettre dieu dans toutes ses problématiques que l'on veut. c'est aussi possible. Dieu est un objet d'étude, ça c certain, mais ça fait longtemps qu'on tourne en rond.
C'est toi qui déclares que c'est rhétorique. Mais faut-il encore le démontrer.
Tu déclares la position créationniste comme coupure volontaire débouchant sur un système de représentations caduc, mais en quoi ton dogme de l'existence de dieu serait-il structurellement différent, en fin de compte ?
Là encore, beaucoup de déclarations sans preuve ni logique, mais peu de vrais arguments. Parce que les argumenta ad hominem ou les amphibologies, ça ne me convainc pas énormément.
En attendant, compte tenu de la manière dont l'esprit fonctionne et compte tenu de la manière dont une croyance émerge, se développe, évolue et se répand, compte tenu des très nombreux paradoxes que génère le concept de dieu, toujours réductible (malgré tous les efforts des croyants pour en faire autre chose) à celui d'agent surnaturel, compte tenu enfin de la logique inversée qui l'a fait naître et de son invalidité épistémologique, il est tout à fait valide de penser que la probabilité de l'existence de dieu (quelle que soit sa définition) est réductible au paradoxe de la montre arrêtée.