Coeur de Loi a écrit :Qu-'est ce que le Christ aurait dit dans ces lettres qu'il aurait oublié de dire dans l'Évangile ?
S'il te plait, répond au moins à ça.
Ici un passage dans la lettre 6 , je ne pense pas que se soit dans les évangiles .
On apprend aux chrétiens que moi, le Christ, incarné dans la personne de Jésus, je suis « mort pour les péchés du monde ». J'étais « l'Agneau immaculé de Dieu, sacrifié pour
payer le prix des péchés des hommes » ! J'aurais fait le sacrifice suprême de ma personne pour accomplir cet étrange exploit qu’est « le paiement des péchés » au cours des siècles. Après ma mort par la crucifixion, je serais retourné dans mon corps et serais apparu à plusieurs reprises dans mon corps pour réconforter et enseigner mes disciples dans leur deuil. J’aurais même mangé de
la nourriture pendant mes apparitions. Après quarante jours, j’aurais ascensionné hors de vue de mes disciples, emportant mon corps au « ciel ».
Comme je l'ai demandé dans la Lettre 3– que ferais je d’un corps humain dans « les cieux» dans la vie de l’au delà ? Parce que j'ai dit lors de mon dernier souper avec mes disciples qu'ils devaient se rappeler mon dernier repas avec eux en rompant le pain et en se le passant de l'un à l'autre, et qu’ils devaient boire à la même coupe de vin et se rappeler que mon corps avait été crucifié et mon sang versé pour leur apporter la vérité de l'être, cet épisode a été transformé en la croyance bizarre qu'avec la pompe et la cérémonie pratiquées à l'autel, mon corps se transférerait aux hosties que les officiants devaient avaler avec toute la révérence voulue. Mon corps ! Quel bien mon « corps » spiritualisé ou non – pourrait il faire à l'officiant ? Pouvez vous voir comment l’intellect peut être conditionné à accepter un non sens complètement illogique qui peut durer presque deux mille ans parce qu'il a été soutenu par une grande hiérarchie de
papes et de cardinaux vivant dans des palais, dans d’immenses richesses, et maintenu en grande pompe terrestre et dans le cadre de cérémonies prestigieuses ?
Je veux que vous connaissiez la vérité au sujet de cette nuit fatidique 0 ce que vous appelez la Sainte Cène.
Quoi qu’il me soit douloureux de le faire, pour clarifier les choses, j’ai abaissé mes fréquences vibratoires de conscience pour entrer directement dans le souvenir conscient de mes pensées et sentiments pendant mon dernier repas avec mes disciples. Bien qu'étant un homme fort, illuminé et certain d’avoir une destinée à remplir que je ne pouvais pas éviter – ne voulais pas éviter - j'étais tout de même profondément triste lorsque nous commençâmes notre repas - la Pâque juive. Mes disciples avaient été mes amis et étaient restés à mes côtés dans des circonstances parfois difficiles. J'étais triste de les quitter et je me faisais du souci pour leur bien-être. Que leur arriverait-il quand ils se trouveraient seuls, sans mon soutien et ma protection ? Ils dépendaient de moi plus qu'ils ne l’imaginaient.
On apprend aux chrétiens que moi, le Christ, incarné dans la personne de Jésus, je suis « mort pour les péchés du monde ». J'étais « l'Agneau immaculé de Dieu, sacrifié pour payer le prix des péchés des hommes » ! J'aurais fait le sacrifice suprême de ma personne pour accomplir cet étrange exploit qu’est « le paiement des péchés » au cours des siècles.
Après ma mort par la crucifixion, je serais retourné dans mon corps et serais apparu à plusieurs reprises dans mon corps pour réconforter et enseigner mes disciples dans leur deuil. J’aurais même mangé de la nourriture pendant mes apparitions.
Après quarante jours, j’aurais ascensionné hors de vue de mes disciples, emportant mon corps au « ciel ». Comme je l'ai demandé dans la Lettre 3– que ferais je d’un corps humain dans « les cieux» dans la vie de l’au delà ? Parce que j'ai dit lors de mon dernier souper avec mes disciples qu'ils devaient se rappeler mon dernier repas avec eux en rompant le pain et en se le passant de l'un à l'autre, et qu’ils devaient boire à la même coupe de vin et se rappeler que mon corps avait été crucifié et mon sang versé pour leur apporter
la vérité de l'être, cet épisode a été transformé en la croyance bizarre qu'avec la pompe et la cérémonie pratiquées à l'autel, mon corps se transférerait aux hosties que les officiants devaient avaler avec toute la révérence voulue. Mon corps ! Quel bien mon « corps » spiritualisé ou non – pourrait il faire à l'officiant ? Pouvez vous voir comment l’intellect peut être conditionné à accepter un non sens complètement illogique qui peut durer presque deux mille ans parce qu'il a été soutenu par une grande hiérarchie de papes et de cardinaux vivant dans des palais, dans d’immenses richesses, et maintenu en grande pompe terrestre et dans le cadre de cérémonies prestigieuses ? Je veux que vous connaissiez la vérité au sujet de cette nuit fatidique 0 ce que vous appelez la
Sainte Cène.
Quoi qu’il me soit douloureux de le faire, pour clarifier les choses, j’ai abaissé mes fréquences vibratoires de conscience pour entrer directement dans le souvenir conscient de mes pensées et sentiments pendant mon dernier repas avec mes disciples.
Bien qu'étant un homme fort, illuminé et certain d’avoir une destinée à remplir que je ne pouvais pas éviter – ne voulais pas éviter - j'étais tout de même profondément triste lorsque nous commençâmes notre repas - la Pâque juive. Mes disciples avaient été mes amis et étaient restés à mes côtés dans des circonstances parfois difficiles. J'étais triste de les quitter et je me faisais du souci pour leur bien-être.
Que leur arriverait-il quand ils se trouveraient seuls, sans mon soutien et ma protection ? Ils dépendaient de moi plus qu'ils ne l’imaginaient.