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Paulo

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 24 août18, 02:05

Message par Paulo »

Gérard C. Endrifel a écrit :Le christianisme à Rome adopta et intégra une grande partie du système de l'ancien culte impérial ainsi que ses fêtes qui prirent toutes des couleurs plus ou moins chrétiennes »[/i] - Arthur Beugnot, Histoire de la destruction du paganisme en Occident, vol. 2, p. 264-266.
Là encore, c'est l'oeuvre accomplit par l'Esprit Saint, qui en accueillant dans l'Eglise du Christ, les païens, ont transformé le culte rendu aux faux dieux, par le culte rendu au Vrai Dieu, venu en Jésus son Fils, le vrai soleil qui éclaire toute homme sur la Vérité.

Quand on regarde bien, les fêtes catholiques, sont plus a relier aux fêtes juives que païennes. L'oeuvre accomplit dans sa Saint Eglise Catholique, la nouvelle Tente de la rencontre, signe de la Véritable Nouvelle Tente de la rencontre qu'Est son Corps, c'est l'oeuvre préfiguré par le culte de l'ancienne alliance ; puisque Dieu a fait de Jésus son Verbe, le Nouveau Temple dans lequel, il rencontrerait l'homme avec son Saint Esprit l'Esprit de Vérité ; lui faisant don d'une nouvelle arche d'alliance, son propre Coeur de chair, divinisé, pour que l'homme vive éternellement par Lui de sa Vie éternelle.

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Ecrit le 24 août18, 03:44

Message par Gérard C. Endrifel »

Le culte agréé par Dieu est semblable à du pain sans levain. Si vous introduisez du levain (coutumes païennes) dans la pâte (le christianisme), il n'y a aucune chance que vous obteniez à l'arrivée du pain sans levain (culte pur). L'auteur, Arthur Beugnot, ne parle pas seulement d'accueillir des païens, ils parlent d'en plus de les accueillir, d'intégrer des coutumes païennes dans le christianisme de Rome. " Des populations entières qui (...) étaient païennes par leurs mœurs, goûts, préjugés et ignorance, passèrent sous les étendards chrétiens avec leur bagage de croyances insensées et de pratiques superstitieuses. ", écrit-il juste après avoir indiqué que le paganisme avait tellement corrompu le christianisme romain qu'il en avait pris le contrôle.

Il fait très clairement état d'un christianisme d'étiquette avec des païens n'ayant de " chrétien " que le nom plutôt que d'un christianisme pur et bienveillant établit par Jésus au moyen d'un Constantin qui adorait sa mère bien plus qu'il n'adorait Dieu.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Ecrit le 24 août18, 05:05

Message par prisca »

Oui Paulo, il serait préférable que les gens de l'église catholique se penchent plus sur le personnage de Constantin parce qu'il est de ceux qui n'inspire pas la confiance, loin de là.

Tu as par exemple Eusèbe de Césarée, son contemporain et ami qui ne tarit pas d'éloge en la faveur de Constantin, complice de sa manigance, et duplicité à outrance de la manipulation exercée auprès des chrétiens qui désormais ne nuisent plus l'Empire Romain mais deviennent des sujets qui viennent maintenant s'agenouiller devant l'Empereur Constantin en qui ils croient plus que de raison puisque les Orthodoxes l'ont sacré Saint.

Après sa victoire auprès de Maxence On notera la prudence de l'expression instinctu diuinitatis, « poussé (ou
inspiré) par la divinité (ou par une divinité) », qu'on lit sur l'inscription de
l'arc de Triomphe qui a été érigée dès sa victoire : elle révèle l'esprit religieux de l'empereur, mais pouvait satisfaire aussi
bien les païens que les chrétiens.
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Ecrit le 24 août18, 05:27

Message par Paulo »

Gérard C. Endrifel a écrit :Le culte agréé par Dieu est semblable à du pain sans levain. Si vous introduisez du levain (coutumes païennes) dans la pâte (le christianisme), il n'y a aucune chance que vous obteniez à l'arrivée du pain sans levain (culte pur).
Sauf que j'aimerai bien que vous me disiez quel culte dans l'Eglise catholique est une culte contenant du levain païen.

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Ecrit le 24 août18, 05:58

Message par Estrabolio »

Gérard C. Endrifel a écrit :Il fait très clairement état d'un christianisme d'étiquette avec des païens n'ayant de " chrétien " que le nom plutôt que d'un christianisme pur et bienveillant établit par Jésus au moyen d'un Constantin qui adorait sa mère bien plus qu'il n'adorait Dieu.
Si un chrétien du premier siècle revenait aujourd'hui, il ne comprendrait pas pourquoi des rites et des croyances qu'il jugeait païens sont aujourd'hui "chrétienne".
Pas une fête catholique qui ne soit à une date d'une fête païenne et avec une perpétuation des coutumes païennes et ne parlons pas du culte avec utilisation d'images, statues, cierges, osties (la forme ronde vient directement du paganisme) l'ostensoir, le baptême des enfants, le clergé etc.

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Ecrit le 24 août18, 06:07

Message par Paulo »

Pas une fête catholique qui ne soit à une date d'une fête païenne et avec une perpétuation des coutumes païennes et ne parlons pas du culte avec utilisation d'images, statues, cierges, osties (la forme ronde vient directement du paganisme) l'ostensoir, le baptême des enfants, le clergé etc.
Aucun rapport avec les fêtes païennes. Prenons l'exemple de l'encens, il existait dans le culte de l' ancienne alliance, dans la tente de la rencontre. L'encensement de l'autel, annonce la venu de Jésus se rendant présent et qui a dit qu'il descendrait dans la nuée. L'encens rappelle la nuée. Le baptême des enfants, c'est tout a fait logique. Quand Dieu a fait sortir les parents d'Egypte, les faisant traverser la mer rouge qui préfigurait le baptême, il n'a pas demandé au parents hébreux de laisser leurs petits enfants en Egypte. C'est normal que les parents chrétiens, dans leur marche vers le Royaume de Dieu, à la suite de Jésus, ils emportent avec eux leurs petits enfants. Qua.d au clergé, il a été institué par Jésus, pour tenir sa place, dans son Eglise et signifier sa présence?

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Ecrit le 24 août18, 10:38

Message par Gérard C. Endrifel »

Gérard C. Endrifel a écrit :Le culte agréé par Dieu est semblable à du pain sans levain. Si vous introduisez du levain (coutumes païennes) dans la pâte (le christianisme), il n'y a aucune chance que vous obteniez à l'arrivée du pain sans levain (culte pur).
Paulo a écrit :Sauf que j'aimerai bien que vous me disiez quel culte dans l'Eglise catholique est une culte contenant du levain païen.
Ça dépend, par quoi voulez-vous qu'on commence ? :mrgreen: (face)
  • - Noël et le jour de l'Annonciation ;
    - Pâques ;
    - La Nativité de saint Jean ;
    - L'Assomption ;
    - La Régénération par le baptême ;
    - La justification par les œuvres ;
    - Le Sacrifice de la Messe ;
    - L'extrême Onction ;
    - Le Purgatoire et les prières pour les morts ;
    - Les processions des idoles ;
    - Le culte des reliques ;
    - Habillement et couronnement des statues ;
    - Le Rosaire et le culte du Sacré-Cœur ;
    - Les lampes et les cierges ;
    - Le signe de la croix ;
    - Le Souverain Pontife ;
    - Les prêtres, les moines et les nonnes.
Vous parlez de l'encens dans votre message suivant alors prenons les lampes et les cierges, tiens, c'est assez sympathique à vrai dire parce que vous voyez, cette coutume d'allumer des lampes et des cierges en plein jour est si entièrement et si exclusivement païenne que nous trouvons des écrivains chrétiens comme Lactance au IVe siècle, qui montrent l'absurdité de cette pratique, et se moquent des Romains " qui allument des cierges pour Dieu comme s'il vivait dans l'obscurité ". Si cette coutume avait déjà tant soit peu pénétré chez les chrétiens, Lactance ne l'aurait jamais tournée en ridicule comme une coutume particulière au paganisme. Mais ce qui lui était inconnu à l'Église chrétienne au commencement du IVe siècle commença bientôt après à s'y introduire, et forme aujourd'hui l'une des particularités les plus frappantes de cette communion qui se vante d'être la mère et la maîtresse de toutes les Églises.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

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Ecrit le 24 août18, 11:55

Message par Paulo »

Gérard C. Endrifel a écrit :Ça dépend, par quoi voulez-vous qu'on commence ? :mrgreen: (face)
  • - Noël et le jour de l'Annonciation ;
    - Pâques
    - La Nativité de saint Jean ;
    - L'Assomption ;
    - La Régénération par le baptême ;
    - La justification par les œuvres ;
    - Le Sacrifice de la Messe ;
    - L'extrême Onction ;
    - Le Purgatoire et les prières pour les morts ;
    - Les processions des idoles ;
    - Le culte des reliques ;
    - Habillement et couronnement des statues ;
    - Le Rosaire et le culte du Sacré-Cœur ;
    - Les lampes et les cierges ;
    - Le signe de la croix ;
    - Le Souverain Pontife ;
    - Les prêtres, les moines et les nonnes.
Vous parlez de l'encens dans votre message suivant alors prenons les lampes et les cierges, tiens, c'est assez sympathique à vrai dire parce que vous voyez, cette coutume d'allumer des lampes et des cierges en plein jour est si entièrement et si exclusivement païenne que nous trouvons des écrivains chrétiens comme Lactance au IVe siècle, qui montrent l'absurdité de cette pratique, et se moquent des Romains " qui allument des cierges pour Dieu comme s'il vivait dans l'obscurité ". Si cette coutume avait déjà tant soit peu pénétré chez les chrétiens, Lactance ne l'aurait jamais tournée en ridicule comme une coutume particulière au paganisme. Mais ce qui lui était inconnu à l'Église chrétienne au commencement du IVe siècle commença bientôt après à s'y introduire, et forme aujourd'hui l'une des particularités les plus frappantes de cette communion qui se vante d'être la mère et la maîtresse de toutes les Églises.
Rappelons ce qu'est le culte : «c'est l'en ensemble des pratiques par lesquelles l'homme honore Dieu»

Les catholiques honorent Dieu en Jésus son Fils et dans tous les baptisés, où avec son Père, Jésus vient établir sa demeure, pour les rendre participant de sa Vie, de sa Sainteté.

Le culte des saints, c'est l'hommage qui est rendu à Dieu qui a fait d'eux des fils à l'image de son Fils. Quant nous faisons mémoire :

. d'un évènement ayant marqué la vie de notre Seigneur Jésus (sa conception, sa naissance, sa présentation au Temple, tous les évènements accomplis pendant sa mission, sa pâques (sa mort et sa résurrection), son Assomption, le don de son Esprit le jour de la Pentecôte

. où quand nous honorons un saint, dans sa vie, comme pour sa mère, la Vierge Marie, son cousin Jean-Baptiste dans la mission rempli à son profit, ses Apôtres, où autres saints, dans lesquels Dieu a réalisé son oeuvre de sanctification, , son Assomption,

Nous plaçons toujours au centre de la célébration, le culte rendu à Dieu et à son Fils, dans la célébration de l'Eucharistie, le mémorial qu'il nous a laissé.

Même quand nous faisons des pardons pour honorer les saints patrons de nos régions ou de nos profession, nous faisons de même, en plaçant au centre de ces hommages que nous leur rendons, l'hommage rendu à Jésus dans la célébration de l'Eucharistie.

Quand aux vêtements liturgiques que nous utilisons, nous les ministres du Christ, qui le représentons, ils sont justement utilisé pour signifier la présence du Christ, qui par nos mains, continu son oeuvre, accomplit en nous les membres de son Corps, pour rendre hommage à son Père, notre créateur avec Lui le Fils.

Quand aux objets qui servent dans la célébration de ces hommages, ils ont un lien avec les objets que Dieu dans la Tente de la rencontre avait demandé à Moïse de "consacrer" pour le culte.

Tout cela n'a rien à voir avec les cultes inventés par les païens pour honorer leur dieux.

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 24 août18, 16:50

Message par Estrabolio »

Gérard C. Endrifel a écrit :
  • - Noël et le jour de l'Annonciation ;
    - Pâques ;
    - La Nativité de saint Jean ;
    - L'Assomption ;
    - La Régénération par le baptême ;
    - La justification par les œuvres ;
    - Le Sacrifice de la Messe ;
    - L'extrême Onction ;
    - Le Purgatoire et les prières pour les morts ;
    - Les processions des idoles ;
    - Le culte des reliques ;
    - Habillement et couronnement des statues ;
    - Le Rosaire et le culte du Sacré-Cœur ;
    - Les lampes et les cierges ;
    - Le signe de la croix ;
    - Le Souverain Pontife ;
    - Les prêtres, les moines et les nonnes.
N'oublions pas l'ostensoir qui est un cas à lui tout seul ! Une représentation du soleil pour présenter l'ostie à la forme ronde (totalement contraire à l'évangile puisque Jésus rompt le pain)
Image

Ce qui est étrange c'est qu'on nous réponde sur l'encens alors que nous n'en n'avons parlé ni l'un, ni l'autre.
Jésus n'a institué qu'un rituel, en toute simplicité : la Cène et c'est la seule célébration dont il est question dans les Ecritures Grecques Chrétiennes. JAMAIS il n'est question de perpétuer les traditions liés à l'ancienne alliance !
Petit rappel biblique, lorsque les hébreux ont adoré le veau d'or, ils prétendaient honorer Dieu qui les avait délivré d'Egypte ! L'intention c'est une chose mais l'action c'en est une autre !
On ne peut honorer Dieu avec des traditions païennes !

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 24 août18, 22:02

Message par prisca »

Wikimonde.

L'empereur Constantin Ier mène une politique militaire, religieuse et économique profondément réformatrice, qui lui permet de réunir sous son unique autorité un empire romain affaibli et divisé. Il se débarrasse des empereurs Maxence en 312 (bataille du pont Milvius) et Licinius en 324 (bataille d'Andrinople). Son règne voit l'établissement de la liberté de culte individuel, qui met fin aux persécutions des chrétiens (édit de Milan, 313). Il mettra provisoirement fin aux dissensions des Églises d'Orient en convoquant le concile de Nicée (325), et affirme son autorité dans le domaine religieux : c'est le césaropapisme.** Il instaure une monnaie stable (le solidus, 312), développe l'administration centrale, défend les frontières de l'Empire contre les Francs, les Alamans, les Sarmates, les Goths et les Perses. Il fonde en 330 une nouvelle capitale à son nom, Constantinople (actuelle Istanbul). Ses réformes favorisèrent largement l'essor du christianisme, vers lequel il se tourna progressivement, et dont il est même devenu l'un des saints, pour l'Église orthodoxe.

césaropapisme.**désigne un système de gouvernement temporel (césar) qui, dans une volonté de domination universelle, cherche à exercer son pouvoir sur les affaires religieuses (pouvoir spirituel du pape). L’Empereur empiète donc sur les affaires de l’Église. Il occupe ainsi une place privilégiée dans la sphère législative et théologique de l’Église. Pour le cas des monarchies, on peut aussi parler de théocratie royale.** Le problème que posent les relations entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel est le suivant : il s’agit de savoir qui dirige au nom de Dieu ; il faut donc déterminer si c’est le pape ou le patriarche qui est soumis à l’empereur en tant que citoyen romain ou si l’empereur est soumis au pape en tant que chrétien. La naissance du césaropapisme est contemporaine du développement du christianisme impulsé par l’empereur Constantin au début du IVe siècle. Ce mode de gouvernement est lié à l’Antiquité tardive et à l’Empire byzantin. En Occident, il concerne la période ottonienne.


théocratie royale.**Une théocratie est un gouvernement où le titulaire de la souveraineté est divin. Le terme « théocratie »— θεοκρατία (theokratía) — est formé sur les mots grecs « Θεός (Theós) » pour « Dieu » et « κράτος (krátos) » pour « pouvoir ».

http://wikimonde.com/article/Césaropapisme

Ces articles ci dessus pour démontrer que le souhait de Constantin est politique, et surtout orienté vers le culte de sa propre personne lui qui a fait ériger une statue de lui même de plus de 12 mètres de haut dont il reste la tête de près d'1,75 m de haut Image

Le but de Constantin, s'emparer de la Croix Christique par l'apposition de la lettre grecque RHO qui est un "P" mais qui représente JESUS la tête penchée sur la droite et le CHI qui est un "x" qui présente la caractéristique de donner le symbole solaire que Constantin a toujours vénéré après et toujours.

Même si RHO et CHI sont les deux premières lettres de CHRIST elles ont été judicieusement mises en scène pour donner à l'empereur l'occasion de rallier à sa propre cause tous les chrétiens dont le culte a été bien sûr autorisé désormais mais aussi par l'apposition du CHI le soleil est toujours présent dans le culte.

Même si l'emblème dit on a existé puisque il s'agit de l'association de 2 lettres grecques, il a été définitivement adopté par Constantin lui même qui s'en est servi pour tout soumettre à son désir à lui d'instaurer la religion selon ses prescriptions.

Sur sa monnaie Constantin a fait apposer le chrisme donc et à gauche la lettre grecque Alpha et à droite la lettre grecque Omega ce qui donne pour l'ensemble :
alpha chi rho omega = un mot ou plutôt un verbe signifiant "diriger".
Image


Ce médaillon d'or (ci dessous) a été frappé après la Bataille du Pont Milvius, au cours de laquelle Constantin a vaincu son compétiteur Maxence. Ce médaillon d'or est tout à fait exceptionnel par son poids (presque 40 grammes) mais aussi par les thèmes qu'il représente : on peut découvrir les portraits accolés de Constantin Premier et du dieu Sol. Constantin porte la couronne laurée des vainqueurs et Sol la couronne radiée, les rayons de cette couronne symbolisant les raies de lumière du soleil incandescent.

Constantin porte une cuirasse et tient une lance posée sur son épaule. Ces attributs guerriers montrent sa puissance militaire victorieuse. Le bouclier qu'il porte est richement orné. On peut y voir un quadrige éclaté de face, conduit par le dieu Sol, entouré du soleil et de la lune. Ce char céleste symbolise la course du soleil. Sous les chevaux se trouvent deux allégories représentant la terre et la mer.

Ce médaillon montre l'étroite association entre Sol et Constantin, qui avant de se convertir au christianisme, a voué un culte au dieu du Soleil.

Avant de se convertir au christianisme, Constantin a voué un culte au dieu du Soleil

Constantin ne s'est converti au christianisme qu'à la fin de son règne. S'il a choisi le dieu Sol et non pas Jupiter c'est car il s'opposait aux reste de la tétrarchie mise en place par Dioclétien. La tétrarchie associait deux Augustes qui vouaient un culte à Jupiter, le dieu des dieux du Panthéon Romain et deux Césars, qui étaient associés mais hiérarchiquement inférieurs aux Augustes. Les Césars vouaient un culte particulier au demi-dieu Hercule, fils de Jupiter. L'association étroite entre Constantin Premier et le dieu Sol est donc un manifeste cultuel et politique contre le système de la tétrarchie.

Evidemment, toutes les monnaies romaines n'ont pas ce caractère exceptionnel, mais toutes sont riches d'enseignements économiques, historiques, religieux ou culturels

Image


Tu dirais Paulo qu'après tout, la belle affaire, Constantin a donné l'essor de la chrétienté par le catholicisme qu'il a instauré, mais c'est sous couvert du mensonge et pour s'approprier la victoire sur le peuple chrétien lequel il a soumis à ses propres rites paiens, comme le culte des Saints alors que rien dans la Bible ne dit qu'il faut vouer un culte à quiconque encore moins à des pseudos Saints car comme tu les appelles, les "saints" patrons ou "les saints" tout court, ne sont pas saints du tout car il faut que Dieu juge les hommes pour qu'ils soient proclamés saints et ce n'est pas à Constantin de décider qui doit être promu au rang de Saint. Le +†+Yesus Kristus azu+†+ ou la demande d'intercession des saints est un culte paien. Tout le monde sait pertinemment que cela n'existe pas sauf dans la tête des Romains de l'antique Rome qui le pratiquaient lors des cérémonies païennes.


Donc l'anti christ c'est Constantin qui a pris le pouvoir de la chrétienté et a soustrait Jésus (RHO = 600 + CHI = 100 = 700 Jésus a été soustrait pour qu'il se mette lui à la place -34 ans d'existence de Jésus réduits à néant par un seul homme = 666 lequel nombre est apposé sur la casque de Constantin donc sur son front)


Alors tu rajouteras Paulo que ce n'est pas Constantin qui a instauré le culte des Saints, mais je te répondrais que l'on se joue pas de Dieu impunément et alors que "SA" Religion Dieu la voulait intègre, elle a démarré par le mensonge et la félonie, de ce fait aucun prêtre ni aucun évêque encore moins les papes dont je te rappelle que le mot "pape" veut dire "père" et la Bible est claire, il ne faut appeler "Père" que seul Dieu, Dieu donc n'a donné aucun discernement à tout homme de pseudo église depuis que la chrétienté a vu le jour, et c'est la raison pour laquelle, ils n'ont pas eu l'aide ponctuelle de Dieu pour voir clair dans les écritures bibliques et tout a été laissé à l'abandon de leurs cœurs dépourvus de sens divin.


Donc le concept Trinitaire ainsi que le culte des Saints ainsi que la mauvaise interprétation des écritures et l'occultation volontaire de l'Apocalypse, et j'en passe, sont dus à l'absence de discernement par l'Esprit Saint des hommes en église qui ont fait leur affaire personnelle de la vision théologale des écritures, et forcément des erreurs grotesques en découlent d'où l'absence de foi en humanité qui conduit inévitablement au Sodome et Gomorrhe que nous connaissons actuellement et qui enclenche aussi la fin de notre monde qui ne peut pas perdurer dans l'apologie du crime de la perversité de la corruption à l'intérieur de l'église et à l'extérieur et de la course à l'économie qui vient au premier plan en laissant les gens esclaves d'une vie réduite à ne plus s'occuper de leur âme, non plus.
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Gérard C. Endrifel

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 25 août18, 00:08

Message par Gérard C. Endrifel »

Estrabolio a écrit :Ce qui est étrange c'est qu'on nous réponde sur l'encens alors que nous n'en n'avons parlé ni l'un, ni l'autre.
Tout à fait !

Et puisqu'on nous parle de tout un tas d'autres choses à commencer par le culte des saints, et bien rappelons qu'il touche de plein fouet celui des reliques et qu'à ce sujet, la New Catholic Encyclopedia nous indique qu'il serait “ vain de rechercher dans l’Ancien Testament une justification du culte des reliques; le Nouveau Testament n’en parle pas non plus; (...) Origène semble avoir considéré cette pratique comme une façon païenne de témoigner du respect à quelque chose de matériel.”

D'autre part, à propos de l'un des attributs caractérisant le plus souvent ces saints, la fameuse auréole ou nimbe, le même ouvrage nous renseigne également sur le fait qu'elle " avait déjà sa place dans l’art hellénistique d’inspiration païenne; on a retrouvé des mosaïques et des médailles sur lesquelles l’auréole couronnait des demi-dieux et des divinités comme Neptune, Jupiter, Bacchus, et surtout Apollon (dieu solaire).”

Alors là c'est le pompon quand même ! On a carrément une encyclopédie catholique qui nous confirme ici que ce culte des saints pratiquée au sein de l'Eglise Catholique Apostolique et Romaine a des origines tout ce qu'il y a de plus païennes et qu'il était même considéré comme tel par un des pères fondateurs de la Sainte Eglise Catholique d'un côté et de l'autre, un prophète devant l’Éternel ordonné par Jésus en personne, mais surtout un " diacre permanent de la Saint Eglise Catholique " depuis 24 ans, qui n'en saurait rien ? :mrgreen: :lol:
Modifié en dernier par Gérard C. Endrifel le 25 août18, 00:36, modifié 1 fois.
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Re: Les deux témoins

Ecrit le 25 août18, 00:28

Message par prisca »

Le culte de la personne se prolonge encore et aussi par l'Opus Dei. A l'image des Empereurs Romains, et c'est Jose maria Escriva de Balaguer ami du dictateur Franco qui a mélangé politique catholique et religion pour recevoir des fonds, de l'argent de la part de la haute bourgeoisie espagnole, afin d'assurer une pérénité à une politique totalitariste, et ainsi le régime franquiste a continué et avec lui son lot de tension sur le peuple oppressé, par une nouvelle inquisition espagnole mais maintenant contemporaine, et ce prêtre espagnol qui s'est vu en septembre 2005, donner par le pape Benoît XVI sa bénédiction à la statue fraîchement installée dans une niche sur le mur extérieur de la basilique Saint-Pierre réservé aux fondateurs d’organisations catholiques.

Le culte des gens diaboliques tapisse le fond de la Basilique Saint Pierre, par ce prêtre sectaire admis et proclamé SAINT par le pape lui même, sans oublier HELENE la mère de Constantin qui a poussé son fils au subterfuge afin de lui assurer une place de choix parmi tous les empereurs qui à cette époque se faisaient concurrence et qui soi disant a trouvé la Croix sur laquelle Jésus a été crucifié comme étant une privilégiée elle aussi, et c'est à se demander où est cette Croix qui aurait dû être précieusement gardée …

Psaumes 2 4" Celui qui siège dans les cieux rit, Le Seigneur se moque d'eux. "

:pout: :lol:

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 25 août18, 00:41

Message par Gérard C. Endrifel »

The New Encyclopædia Britannica, déclare : “ Dans l’art hellénique et romain, le dieu-soleil Hélios et les empereurs romains sont souvent représentés avec une couronne rayonnante. Celle-ci n’a pas été utilisée dans l’art chrétien primitif, en raison de son origine païenne. Mais les empereurs chrétiens se sont fait orner d’un simple nimbe circulaire dans leurs portraits officiels. À compter du milieu du IVe siècle, le Christ aussi a été représenté doté de cet attribut impérial. (...) Ce n’est qu’au VIe siècle que l’auréole est apparue dans la plupart des représentations de la vierge Marie et des autres saints.”

Vous avez noté l'origine ? Le culte impérial. Il s'agissait d'un culte romain dédié à l'empereur en raison de sa divinité. Ce dernier n'était pas vénéré comme étant un simple dieu, mais comme étant l'incarnation de Dieu lui-même.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel

Paulo

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 25 août18, 01:06

Message par Paulo »

Estrabolio a écrit :N'oublions pas l'ostensoir qui est un cas à lui tout seul ! Une représentation du soleil pour présenter l'ostie à la forme ronde (totalement contraire à l'évangile puisque Jésus rompt le pain)
Image

Ce qui est étrange c'est qu'on nous réponde sur l'encens alors que nous n'en n'avons parlé ni l'un, ni l'autre.
Jésus n'a institué qu'un rituel, en toute simplicité : la Cène et c'est la seule célébration dont il est question dans les Ecritures Grecques Chrétiennes. JAMAIS il n'est question de perpétuer les traditions liés à l'ancienne alliance !
Petit rappel biblique, lorsque les hébreux ont adoré le veau d'or, ils prétendaient honorer Dieu qui les avait délivré d'Egypte ! L'intention c'est une chose mais l'action c'en est une autre !
On ne peut honorer Dieu avec des traditions païennes !
L'ostensoir, représente le "soleil que Jésus est" et qui s'est levé pour nous faire sortir des ténèbres dans lequel le Prince de ce monde nous a plongé ; Jésus qui est là, présent dans son Eglise, son Corps, avec son Sacré Coeur de chair, dans l'hostie consacré ; cet Esprit Saint d'où jaillit la Lumière, d'où jaillit la gloire de Dieu, entrevue par ses 3 Apôtres, Pierre, Jacques et Jean :

"Il fut transfiguré devant eux ; son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtements, blancs comme la lumière. (Matthieu 17, 2)

l'ostensoir, n'est qu'un symbole, utilisé pour manifester, que Jésus, le soleil venu d'en haut nous visiter, est là, bien présent au milieu de son Eglise, son Corps, pour le conduire dans la Vérité toute entière et dans la Vie éternelle.

Et c'est quoi la cène, si ce n'est pas une tradition de l'ancienne alliance, que Jésus a repris (la célébration de la pâque juive), en lui donnant un autre sens, car c'est le repas pris avant d'entrer dans l'exode qu'il nous fait vivre pour nous ramener au Ciel, quand le repas pascal de l'ancienne alliance fut le repas que les hébreux ont pris avant d'entrer dans l'exode qu'ils allaient vivre avec Moïse, pour entrer dans la terre que Dieu avait donné à Abraham, à Isaac et à Jacob.

Ce repas pascal de l'ancienne alliance, dont devait se souvenir les hébreux, en le fêtant, comme s'ils avaient eux-mêmes participer à ce repas et à l'exode, il a été remplacé par le repas pascal de la Nouvelle Alliance, dans laquelle Jésus désire faire entrer tous les hommes, pour les ressusciter, les faire entrer dans sa Vie éternelle.

Quand Dieu a institué ce mémorial de l'ancienne alliance, ce n'est qu'après qu'il a inspiré Moïse, lui demandant de faire offrir, par Aaron et ses fils, un agneau sans tache, chaque matin et soir pour purifier la Tente de la rencontre dans laquelle il descendait, pour demeurer au milieu de son Peuple, et prendre soin de lui.

Ce n'est pas parce que le Jeudi Saint, comme la veille de la sortie d'Egypte, Dieu n'a institué que le repas pascal, qu'il n'a pas inspiré son Eglise, par la suite, de faire tout ce qui est venu se rajouter, à l'image de ce qui est venu se rajouter au mémorial de la pâque ancienne.

Pour comprendre les rites institués par Jésus, resté présent au milieu de ses disciples, après la Pentecôte, et qui furent célébrés dans les églises que ses disciples durent construire pour accueillir tous les nouveaux convertis, il faut regarder du côté des rites de l'ancienne alliance, qui étaient une "préfiguration" des rites qu'il instituerait dans la Nouvelle Alliance, rites de l'Ancienne Alliance qui nous éclairent sur les rites de la Nouvelle Alliance.

Quand on prend le rite de l'encement, il nous renvoie à l'encensement pratiqué par Aaron, dans la tente de la rencontre, et qui est lié au sacrifice d'agréable odeur qu'Aaron devait offrir, et que nous sommes, nous invités à offrir à Dieu, et qui est la bonne odeur de l'Amour qui soit sortir de notre coeur, une fois qu'il est passé par le Feu du Saint Esprit, qui le purifier.

Quand aux fidèles qui viennent à l'église qui a remplacé la tente de la réunion, ils ont pris la place des animaux que l'on déposait sur les tables pour les sacrifier ; sauf que nous, nous nous déposons nous-mêmes sur les bancs de la Nouvelle Tente de la rencontre, pour offrir au Père, l'offrande faite pas son Fils, à ses Apôtres, pour que ses Apôtres nous l'offrent, dans le don qu'il nous font, du Sacré Coeur de chair de Jésus, dans la Sainte Ostie.

Les prêtes qui montent dans le coeur, pour présenter au Père, le sacrifice de son Fils, devenu le Sacrifice de tout son Corps, ils ont remplacés Aaron et ses fils, qui entraient dans la demeure de Dieu, le lieu saint, pour offrir au père les sacrifices qu'il leur avait demandé d'offrir.

Sauf qu'eux, ils offrent le Sacré Coeur de chair, que nous venons avec eux, présenter au Père, représenté par le père curé, pour qu'il le purifie des souillures que nous lui avons fait, par nos péchés commis au long de la semaine. Le père qui plonge le Sacré coeur de son Fils, de son Eglise, notre Sacré Coeur, pour le purifier de nos péchés, et nous le rendre, afin que nous repartions dans le monde, avec le Coeur du Christ, vivant en nous.

Dans la Sainte Eglise Catholique, Celui que nous adorons, c'est le Fils et le Père, vivant dans ce Sacré Coeur de chair qui nous a été donné et qui nous est redonné chaque dimanche, après que nous soyons venu l'offrir au Père, en lui demandant pardon de l'avoir souillé avec nos péchés.

Quant à l'auréole, placé sur les images, autour de la tête des saints, elle me fait penser à ce passage tiré de l'Ecriture, à propos de Simon, le fils d'Onias (Bar Ionas), le Grand-Prêtre :

"Simon, fils d'Onias, est le grand prêtre qui, pendant sa vie, répara la maison du Seigneur, et, durant ses jours, affermit le temple. Par lui furent posées les fondations pour porter au double le mur élevé qui soutient l'enceinte du temple. ... Qu'il était majestueux au milieu du peuple rassemblé tout autour, lorsqu'il sortait de la maison du voile! Il était comme l'étoile du matin qui étincelle à travers le nuage, comme la lune aux jours de son plein, comme le soleil qui resplendit sur le temple du Très-Haut, et comme l'arc-en-ciel qui brille au milieu des nuées lumineuses; comme la fleur des roses aux jours du printemps, comme le lys sur le bord des eaux, comme le rameau de l'arbre odoriférant aux jours de l'été, comme le parfum sur le feu de l'encensoir, comme un vase d'or massif, orné de toutes sortes de pierres précieuses, comme l'olivier qui pousse ses fruits, et comme le cyprès qui s'élève dans les nuages. Quand il avait pris la robe d'honneur, et revêtu tous ses ornements, et qu'il montait à l'autel saint, il faisait resplendir les abords du sanctuaire. (Sirac 50, 1-11)

Voilà ce que sont pour nous les saints, qui sont comme l'étoile du matin qui étincelle, comme le soleil qui resplendit dans le Temple Nouveau qu'Est le Corps du Christ, et sentent boen comme le parfum sur le feu de l'encensoir, comme un vase orné d'or massif, ornées de toutes sortes de pierres précieuses : "les dons du Saint Esprit" et qui sont montés au Ciel, à l'autel saint, revêtus de la robe d'honneur, et tous ses ornements, la sainteté du Christ ; nos frères et soeurs les saints, en qui Dieu a été avec son Fils, glorifié, et qui font resplendir les abords de la Sainte Eglise Catholique.

Estrabolio

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Re: Les deux témoins

Ecrit le 25 août18, 05:03

Message par Estrabolio »

En principe je ne lis pas les commentaires de Paulo mais là, j'ai fait une exception et je dois avouer que c'est vraiment surprenant !
"Pour comprendre les rites institués par Jésus, resté présent au milieu de ses disciples, après la Pentecôte, et qui furent célébrés dans les églises que ses disciples durent construire pour accueillir tous les nouveaux convertis"
Donc, c'est Jésus qui a institué les rites catholiques :shock: bizarre, ni la Bible, ni les pères de l'Eglise n'en parlent, mieux, certaines traditions sont dénoncés par les Pères de l'Eglise comme par exemple Jérome de Stridon qui dénonce le fait qu'en se faisant appeler "abbé" certains contreviennent à la règle donné par le Christ de ne pas se faire appeler "père"
Mais il y a plus fort, Paulo nous dit que les disciples de Jésus ont du construire des églises pour accueillir les nouveaux convertis :shock: mais oui, d'un coté l'Eglise nous dit qu'il y a eu des millions de martyrs, que les romains tuaient à la chaîne les chrétiens mais, entre deux supplices, ils construisaient des églises pour se réunir !
Comment peux t'on mentir à ce point sur la réalité historique !

Les disciples et les apôtres ont été persécutés très durement par les juifs seuls puis par les juifs et les romains, il leur aurait été impossible de construire des églises et, dans les lieux cachés qu'ont occupé des groupes chrétiens, on ne trouve aucune trace d'images ou de symbole hormis l'ICHTUS et, plus tard la croix.

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