Bonjour !
" veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment ; veillez, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra ; je le dis à tous : veillez ! "
" Quant à ce jour et à cette heure-là, nul ne les connaît, pas même les anges dans le ciel, pas même le Fils, mais seulement le Père. "
Dans cette perspective, cela signifie qu’il est inutile de vouloir, avec ce texte, satisfaire notre curiosité. Il ne nous donne aucune indication sur la date à laquelle les derniers événements se produiront, mais juste qu’ils peuvent survenir à tout moment, absolument n’importe quand, d’où la nécessité de rester vigilant.
Non, nous ne pouvons pas connaître la dates des derniers événements, et heureusement, parce que sinon, nous serions à la place de Dieu. En fait, il ne s’agit pas de calculer quand les derniers événements auront lieu, car nous n’en avons ni la maîtrise, ni la connaissance : cela appartient à Dieu seul.
C'est exactement une erreur de lecture que beaucoup font à vouloir chercher une date, et notamment pendant les périodes de changements et de crises à toutes les époques de crise.
Ce fut le cas lors de la grande terreur de l’an 1000. Ce fut le cas au moment de la Réforme, quand on ne doutait pas que le pape de l’époque était l’antéchrist. Et aujourd’hui, nous vivons aussi dans une époque de crise, sans savoir sur quoi elle va déboucher. Alors veillons, soyons vigilants, mais prenons garde à ne pas faire de contresens quand nous lisons les textes des Evangiles qui nous parlent des derniers événements.
C’est justement parce que nous ne connaissons pas la date des derniers événements qu’il faut veiller. Quand on connaît la date d’un événement, il n’est pas nécessaire de veiller, il suffit de le noter sur son agenda.
Nous sommes invités à veiller non en fonction de ce que nous savons, mais en fonctions du fait que nous ne savons rien des événements derniers. Les disciples du Christ ne sont pas des initiés, mais des veilleurs.
Veiller, c’est ne pas passer à côté de l’essentiel. Veiller, c’est savoir s’arrêter et avoir tous ses sens en alerte pour discerner une présence discrète. Veiller, ce n’est pas rester passif en se disant que ce qui doit arriver arrivera de toute façon. Veiller, ce n’est pas non plus s’agiter dans tous les sens. Veiller, c’est rester ouvert à l’inattendu !
Je vous le répète, donner une date est complètement à contre sens de ce que vous dit le Christ !!
D'ailleurs je le fait aussi remarqué au Tj's car la WatchTower le dit ouvertement dans la Tg de 2005/1/10 p. 21-25 !
ici : 1, 2. À quoi Jésus a-t-il comparé sa venue ?
QUE feriez-vous si vous saviez qu’un cambrioleur opère dans le voisinage ? Il est probable que vous resteriez aux aguets, afin de protéger votre famille et vos biens. Un voleur, en effet, ne s’annonce pas ; il vient furtivement, quand on ne l’attend pas.
2 Jésus a plusieurs fois parlé de voleurs dans ses exemples (Luc 10:30 ; Jean 10:10). À propos des événements qui surviendraient au temps de la fin et qui déboucheraient sur sa venue pour exécuter le jugement divin, il a donné l’avertissement suivant : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Mais sachez ceci : si le maître de maison avait su à quelle veille venait le voleur, il se serait tenu éveillé et n’aurait pas laissé forcer sa maison. ” (Matthieu 24:42, 43). Jésus a donc comparé sa venue à celle, inattendue, d’un voleur.
3, 4. a) Comment montre-t-on qu’on tient compte de l’avertissement de Jésus relatif à sa venue ? b) Quelles questions cela soulève-t-il ?
Après avoir donner pas moins de 20 dates toutes erroné, c'est rigolo hein !!
