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Re: Doit on haïr sa famille ?

Posté : 27 sept.05, 08:08
par Athée
medico a écrit :
non c'est pas des ondit que LUC cite.

(Luc 1:1-3) 1 Puisque beaucoup ont entrepris de rédiger un exposé des faits auxquels on ajoute pleinement foi parmi nous, 2 tels que nous les ont transmis ceux qui, dès [le] commencement, sont devenus témoins oculaires et serviteurs du message, 3 j’ai décidé, moi aussi, parce que j’ai recherché toutes choses avec exactitude depuis le début, de te [...]
luc n est pas témoin de la mort de christ alors comme dit Falenn : Non. Luc rapporte des "on dit".
Fie-toi plutôt à Matthieu. :lol:

Posté : 27 sept.05, 09:26
par xav
Athée, que reponds-tu à mon intervention concernant l'interprétation de ce verset ?????

Posté : 27 sept.05, 10:02
par Falenn
xav a écrit :... Alors impossible d'aimer les autres vraiment en plénitude si nous ne sommes pas d'abord et avant tout tourné vers l'amour de Dieu.
J'irai + loin, si j'osais et j'ose :
L'amour humain n'est rien qu'une suite de réactions physiologiques.
Dieu est autre chose. Ce n'est qu'en passant par "cet autre chose" que l'humain peut aimer vraiment (= divinement ?!).
TOURNE VERS l'amour de dieu ? Non, plutôt EN l'amour de dieu.

Posté : 28 sept.05, 07:52
par xav
Falenn a écrit :L'amour humain n'est rien qu'une suite de réactions physiologiques.
Les scientifiques qui tiennent ce genre de propos ne sont pas vraiment très sérieux. Si on réfléchit un minimum comment on connait et comment nous fonctionnons, nous pouvons constater que sans cesse nous transcendons l'ordre physiologique. Le "je pense donc je suis" en est un premier exemple. Et même si c'est vrai que le physiologique peut avoir un influence sur notre comportement, il faut bien avouer qu'il y a de multiples réactions qui transcende cet ordre.

L'amour humain et je précise bien humain transcende lui aussi le physiologique, à commencer par le fait de pouvoir aimer ses ennemis, par le fait de pouvoir dire non à certaine de ses pulsions...

Bon bref, si nous pouvons aimer, c'est parce que Dieu nous a aimé le premier.