prisca a écrit : 16 nov.25, 21:36
@ Gérard C. Endrifel
Donc il faut élucider pourquoi D.IEU veut une chose, mais ne la veut pas en fait.
Alors il faut avancer des théories.
D.IEU veut utiliser Pharaon pour faire passer un message subliminal.
D.IEU veut la libération des paiens (car il faut transposer, les Juifs ayant été dans la même situation que les paiens avant la venue de Jésus) par conséquent libération des paiens de la domination de l'Empereur, comme les Juifs étaient sous la domination de Pharaon.
D.IEU veut pousser l'Empereur (dans cette transposition) à libérer les paiens mais là il n'y a pas de menaces de fléaux, à la place il y a un Plan.
Ephésiens 3:11
selon le dessein éternel qu'il a mis à exécution par Jésus-Christ notre Seigneur,
Par conséquent contrairement au Pharaon, l'empereur lui n'a pas été endurci mais conquis, captivé, charmé par Jésus qu'il a considéré comme étant "une divinité"
Mais D.IEU ne rend pas responsable l'empereur puisque l'empereur a un mental de paien, il n'est pas du tout inspiré par l'Esprit Saint, il considère Jésus comme un demi Dieu car ça rentre dans le système de ses croyances paiennes.
Autant l'empereur lui est complètement inapte qu'il a cependant un pouvoir, le pouvoir d'un empereur et face à lui se trouvent les évêques, les évêques qui eux à contrario sont inspirés par l'Esprit Saint.
Donc pourrait on en faisant le parallèle dire que les évêques eux ont été endurcis pour que s'abattent les fléaux prophétisés dans l'Apocalypse ?
Tout comme Pharaon a été endurci pour que les fléaux s'abattent ?
Qu'en fait donc les évêques ont pondu la Trinité car D.IEU leur a donné un endormissement ?
Et que le fait qu'ils se fassent amis avec le serpent l'empereur c'est tout à fait ce que D.IEU a voulu ?
Parce qu'au fond il faut bien qu'il y ait un serpent dans une histoire car ce serpent c'est lui qui fera des émules et c'est lui qui provoquera chez d'autres personnes un éloignement !
Et qu'ainsi en ayant mis en scène : un serpent, des traitres (les évêques) et des fléaux (qui est une menace) = il y a le blé qui se sépare de l'ivraie tout naturellement.
Et à la Moisson et bien : il ne restera que la récolte à amasser pour le Paradis, le reste ce n'est pas une récolte, c'est de l'ivraie à jeter au feu.