IIuowolus a écrit :
Mais qu'es-ce que t'y connais en déglutition des langues sémites.
Tu saurais même pas prononcer Allah avec l'accent Arameen ou Perse.
Le seul talent que tu as c'est de bien savoir recopie se que tu lis, mais comme t'est pas le seul autant dirent que ton talent te sert à rien.
Tiens lis un peu ; on dirais que tu vis dans une planete qui se nomme " arabie" prés de saturne.
instruit toi :
Le Syriaque désigne un dialecte d’araméen oriental parlé à Edesse et qui s’est répandu après l’apparition du christianisme. Il a donc pour origine l’araméen parlé en Mésopotamie
Le Syriaque a un style et une grammaire uniforme, il va supplanter l’araméen comme une version standard de l’araméen
A partir du 3eme siècle, le syriaque devient la langue littéraire des chrétiens d’Edesse
La bible est traduite en syriaque nommé Peshita, qui développe une riche littérature, ce qui va crée une tendance parallèle au christianisme, les controverses religieuses éclate sur la nature du Christ (querelles christologique), beaucoup de syriaque fuyant en perse et Mésopotamie pour échapper aux persécutions byzantines, commence alors le schisme entre les églises occidentales monophytes et l’église orientale nestorienne, ces deux doctrines elles-mêmes considéré comme hérétique par l’église grecques orthodoxe
La division orientale-occidentale du syriaque va évoluer en deux variantes, qui se différencient par certaines règles grammaticales et typographie utilisé
Le syriaque va disparaître, ou plutôt « mués » au profit de l’arabe à partir du 7 eme siècle, mais doctrinalement, ils restent les arabes restaient fidèles aux byzantins, et les arabes fideles aux perses, ce qui nous donne 2 catégories d’arabes sous le titre des Ghassanides, et des Lakhmides, leurs origines est aussi divisé en 2, les arabes du Nord et les arabes du Sud , c’est leurs origines qui les unira sous une même communauté « arabes » plus tard, mais l’union n’est pas encore total, les guerres intra-arabes se poursuivra encore longtemps
L’alphabet syriaque est composé de 22 lettres
Le chrétiens commencé par écrite l’arabe avec des caractères syriaques ; ces écrits sont appelés Karshuni ou Guarshuni, utilisé dans les manuscrits liturgiques arabes, c’est de l’arabe avec l’alphabet syriaque (et donc sa grammaire et sa typologie), qu’on peut nommer syriaque-arabe utilisé dans le cas des arabes pour une meilleurs compréhension et conservations d’être dans des lectionnaires
Utilisé pour des offices religieux, des livres de prières lors des célébrations des messes, des hymnes a chanté dans les offices, selon les fêtes
L’alphabet arabe dérive d’une forme d’araméen appelle Nabatéen utilisé dans la région de Petra
Pour retrouver de quoi était constitué les lectionnaires
L’epistolier (Kitab al-rasa’il) contient des textes des actes des apôtres, des épitres pauliennes et des epitres catholiques
L’évangéliaire (Kitab al-injil) contient des textes des 4 évangiles
Le Psautier (Kitab al-mazamir) contenant les 150 psaumes et les 10 cantiques bibliques
Les psaumes sont repartis en 20 sections et chaque section qui contient 9 psaumes, sont divisés en 3 parties de 3 psaumes
Le Livre des prophéties (Kitab al-Nubuwat) Livre qui contient les péricopes de l’ancien testament qui sont lues lors des grandes fêtes
Le synaxaire ( syncasar) recueils de brèves notices sur les saints et prophètes
2 autres livres :
Le grand :
L’euchologe ( afkhulugi) des prières de rites ( mariage, baptême, pénitence, onction des malades,…)
Le petit : des prières de rites pour les sacrements et les bénédictions
L’Horologe (al-saway’iyya) c’est le livre qui contient des prières invariables des heures du jour et la nuit
Les livres contenants les parties variables des offices Sont des compositions poétiques rimées et rythmées :
Le menée ; contient des offices des fetes fixes aux nombres de 12, 1 pour chaque mois
Le paraclitique (Al-Mu’azzi) : il contient les offices des 7 jours de la semaine
Le triodi contentant des Odes
Le pentecostaire (Al-Khamisini le « cinquantaire »)
Les manuscrits proviennent de la même origine dans l’ensemble de ce qu’on appelle les lives , la bible dans son sens large (juif et chrétiens), les thèmes sont de la même origines , tretraduit suivant les versions de chaque communauté et dans l’esprit de l’époque
Kurshuni :
le coran ne sort pas d'un chapeau de magicien.