Re: Le droit d'aimer.
Posté : 07 mars14, 01:17
Bonjour Medico,
1 ) Attendait-on vraiment une bénédiction de la part de la hiérarchie ?
2 ) L'Église Romaine n'est pas monolithique sur le célibat des prêtres puisque les Églises Catholiques Orientales ordonnent des homme mariés.
Or, dans le cas qui nous occupe, il eût fallu que l'Église Catholique acceptât le mariage d'un prêtre (et le mariage d'une religieuse), ce qui est assez éloigné de la lettre du Nouveau Testament.
Pourquoi ne pas innover, en effet ? mais aussi, permettez-moi cette question, pourquoi innover ?
La seule innovation qui me paraît urgente, c'est que les prêtres qui désirent se marier puissent être libérés rapidement de leurs vœux.
On pourrait aussi dire que les vœux solennels devant D.ieu, béni soit-Il, et les humains n'engagent personne.
très cordialement
votre sœur
pauline
C'est un divorce qui se passe mal et je ne tiens pas particulièrement commenter sur la souffrance d'autrui.medico a écrit : Mais le probléme c'est que l'église a tout fait pour que les prêtre en question ne romp pas ses voeux.
As tu lu le résumer de cette histoire qui est donné dans le premier message ?
1 ) Attendait-on vraiment une bénédiction de la part de la hiérarchie ?
2 ) L'Église Romaine n'est pas monolithique sur le célibat des prêtres puisque les Églises Catholiques Orientales ordonnent des homme mariés.
Or, dans le cas qui nous occupe, il eût fallu que l'Église Catholique acceptât le mariage d'un prêtre (et le mariage d'une religieuse), ce qui est assez éloigné de la lettre du Nouveau Testament.
Pourquoi ne pas innover, en effet ? mais aussi, permettez-moi cette question, pourquoi innover ?
La seule innovation qui me paraît urgente, c'est que les prêtres qui désirent se marier puissent être libérés rapidement de leurs vœux.
On pourrait aussi dire que les vœux solennels devant D.ieu, béni soit-Il, et les humains n'engagent personne.
très cordialement
votre sœur
pauline