'Abd asSalam a écrit :
L’historien écossais William Montgomery (1909-2006) a dit que «
la supposition selon laquelle Mohammed serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout. »
L’écrivain, poète et politicien français Alphonse de Lamartine (1790-1869) décrit ainsi la grandeur d’un homme qui ne possédait presque rien :
« Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l’immensité de la réussite sont les trois mesures du génie de l’homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l’histoire moderne à Mohammed ? »
Selon l’historien et philosophe américain Dr William Draper (1811-1882), Mohammed fut « l’homme qui parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine. »
Après avoir étudié la vie de Mohammed (‘aleyhi assalam), l’apôtre de la non-violence, Mahatma Gandhi tira la conclusion suivante :
« Je suis désormais plus que jamais convaincu que ce ne fut pas l’épée qui créa une place pour l’Islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie. Ce fut cette grande humilité, cet altruisme du prophète, l’égard scrupuleux envers ses engagements, sa dévotion intense à ses amis et adeptes, son intrépidité, son courage, sa confiance absolue en Dieu… »
En 1841, l’historien et philosophe écossais, Thomas Carlyle (1795-1881) écrit :
« On a distingué Mohammed durant toute sa vie avec des principes inébranlables, une sincère détermination, bienveillant, généreux, compatissant, pieux, vertueux, digne d’éloges, libre, humaniste, très sérieux, sincère. Et avec toutes ces qualités, il avait le plus doux caractère, le tempérament le plus aisé, de bonne humeur, de compagnie louable et agréable, mieux il était plaisant et spirituel. Il était juste, sincère, clairvoyant, magnanime, pur et présent d’esprit.
Il était un grand homme par sa nature, sans qu’une école lui inculquât la science ni qu’un enseignant se chargeât de son éducation, car il n’en avait aucunement besoin. »
En 1874, l’auteur anglais Bosworth Smith (1839-1908) écrit :
« S’il y avait un homme qui aurait le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mohammed, puisqu’il a reçu tout le pouvoir sans avoir les instruments ni les supports. »
Johann Wolfgang Von Goethe qui témoigna :
« Nous, les Européens avec tous nos concepts n’avons pas pu encore atteindre ce que Mohammed a atteint et nul ne pourra le dépasser. J’ai cherché dans l’histoire de l’humanité un homme qui en soit l’exemple idéal et je l’ai trouvé en la personne du Prophète Mohammed. »
L’écrivain irlandais George Bernard Shaw (1856-1950) exprima lui aussi sa grande admiration pour le prophète de l’Islam :
« Ce dont le monde a le plus besoin est un homme qui a l’esprit de Mohammed. »
Après avoir étudié sa biographie, Shaw conclut : « À mon avis, il est loin d’être un antéchrist. Il mérite le titre de Sauveur de l’humanité. Je crois que si un homme comme lui prenait la dictature du monde moderne, il réussirait à résoudre ses problèmes d’une façon qui lui apporterait la paix et le bonheur si nécessaires. »
L’intellectuelle britannique Annie Besant (1847-1933), connue pour être une activiste des droits de la femme dit qu’« il est impossible pour celui qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d’Arabie, pour celui qui sait comment il enseignait et de quelle façon il vivait, de ressentir d’autre sentiment que le respect pour ce prophète prodigieux, l’un des grands messagers de l’Être suprême. »
Source :
http://www.reponse-aux-islamologues.com ... sager.html
slt,
Tu a besoin pour rehausser le statut de cette infâme personnage (mahomet) de citations comme celle de nopoleon, grand général, gonflé d'orgueil, dont on ne doute pas un seul instant qu'il pouvait se reconnaitre en mahomet.
d'un Nietsche ? Nietsche le judéophobe ou Nietsche le judéophile ? d'un voltaire qui s'il eut été parmi nous aujourd'hui se serait converti a l'islam pour de l'argent, voltaire est un opportuniste.
Il y a beaucoup d'autre citations de personnages célèbres s'agissant de l'islam, voyons voir un peu ce qu'ils disent sur le beau modèle et sa religion.
De Saint Thomas d'Acquin à Charles de Gaulle en passant par Bossuet, Voltaire ou Flaubert et bien d'autres :
"Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair. Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement. »
« En fait de vérités, il n’en a avancé que de faciles à saisir par n’importe quel esprit médiocrement ouvert…D’ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l’aida, par la violence des armes, à imposer sa loi aux autres peuples. »
« Par contre, il [Mahomet] a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines les plus fausses. Il n’a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l’inspiration divine, à savoir quand une oeuvre visible qui ne peut être que l’oeuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu’il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans. Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur : bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c’est évident pour qui étudie sa loi. Aussi bien, par une mesure pleine d’astuces, il interdit à ses disciples de lire les textes de l’Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté. » Saint Thomas d’Aquin (1258)
« […] quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garces d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmieller et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit. » (Essais, II, xii, page 518) (Montaigne / 1533-1592)
« L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. » (Bossuet /1627-1704)
« C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. » (Montesquieu / 1689-1755)
« La religion des Guèbres (Zoroastriens) rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire. » (Montesquieu / 1689-1755)
« Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. […] Sur le caractère de la religion chrétienne et celui de la mahométane, on doit, sans autre examen, embrasser l’une et rejeter l’autre : car il nous est bien plus évident qu’une religion doit adoucir les mœurs des hommes, qu’il ne l’est qu’une religion soit vraie. De l’Esprit des lois, 1748, livre XXIV, chapitres 3, 4 et 11. (Montesquieu / 1689-1755)
« Mahomet le fanatique, le cruel, le fourbe, et, à la honte des hommes, le grand, qui de garçon marchand devient prophète, législateur et monarque. » (Voltaire / 1694-1778)
« Mahomet, simple courtier d’Arabie, sans lettres, sans éducation, et dupe lui-même en partie du fanatisme qu’il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre et ridicule ouvrage nommé al-koran, d’avoir recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans un tel homme, ne pas reconnaître l’ouvrage du hasard qui le place dans le temps et les circonstances où devait s’opérer la révolution à laquelle cet homme hardi ne fit guère que prêter son nom ? » (Claude Adrien Helvétius – (1715-1771)
"Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet « Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine. » (d’Alembert / 1717-1783)
« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (…) semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire » (Condorcet / 1743-1794)
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme.(.) je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. » (Arthur Schopenhauer / 1788 -1860)
« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. » (Alfred de Vigny / 1797-1863)
" La religion de Mahomet, une décadence plutôt qu’un progrès « L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cour du côté de l’intérieur de la famille. » (Alexis de Tocqueville / 1805-1859)
« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman (…) je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. » (Alexis de Tocqueville / 1805-1859)
« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu. » (Monseigneur Louis Pavy – Évêque d’Alger / 1805-1866)
« Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise la Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme. » (Gustave Flaubert / 1821-1880)
« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. » (Joseph Ernest Renan / 1823-1892)
« L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, (…) c’est la religion excluant l’État… » (Joseph Ernest Renan / 1823-1892)
« Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme » (Joseph Ernest Renan / 1823-1892)
« L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu… » (Joseph Ernest Renan / 1823-1892)
« Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? (…) d’une manière générale, non (…) Dans cette foi le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. » (Charles de Foucauld / 1858-1916)
« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles (…) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde (…) Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. » (Winston Churchill / 1874-1965)
« Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d’un homme ? Cela est-il digne d’un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple ! » (Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)
« Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a coutée ! » (Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)
« L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » (Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)
« Les musulmans ne sont pas français, ceux qui prônent l’intégration, ont une cervelle de colibri. » (Charles de Gaulle / 1890-1970)
« Les tentatives pour islamiser les pays occidentaux ne doivent pas être dissimulées. La menace que cela fait peser sur l’identité de l’Europe ne devrait pas être ignorée sous prétexte de respect mal placé. » (Gänswein George / secrétaire particulier de Benoit XVI)
« Des millions d’hommes quitterons l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir, et ils le feront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre fécond de nos femmes qui nous donnera la victoire. » (Houari Boumedienne – Conférence islamique de 1974)
« Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats. » (Erdogan – Premier Ministre de Turquie)
« C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sousestimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les «misérables» ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. » (André Malraux, 3 juin 1956)
Voici d'autres citations qui elles démontrent un rapprochement entre l'islam et le nazisme. Qui se ressemble s'assemble :
Heinrich Himmler : "Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam"
Reichführer SS (1900-1945) : « Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »
Le grand Mufti de Jérusalem en 1943 : « Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. »
Hitler : « Que le Christianisme est bien quelque chose de fade – Nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l’héroïsme : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains auraient avec cela conquis le monde, ce n’est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés. »
Carl-Gustav Jung (1875-1961) : « La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. »
Hermann von Keyserling (1880-1946) : « Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »